Cette semaine, 500 reçoit Sazamyzy. D'origine algérienne, Sazamyzy grandit dans la commune de Bondy ( Seine Saint Denis). Passionné par le foot depuis sa tendre enfance, il a été licencié à L'AS Bondy et entraîné par le désormais célèbre Wilfried Mbapé. Bon élève, il poursuit ses études jusqu'en terminal mais c'est dans la musique qu'il va trouver sa voie. Enfance difficile car Samy succombe à l'appel de la rue et fini même par passer par la case prison. Revenchar, il prend cette expérience comme une belle leçon, ce qui lui a permis de rentrer dans le rang en découvrant notamment la religion qui lui a apporté un autre sens à la vie. Fort d'un long parcours de près de 20 ans où il a croisé des figures importantes du mouvement hip hop, Saza se révèle comme étant un chef d'entreprise accompli. Mais le point culminant de tout cet échange est l'amour qu'il porte à sa famille et à toutes celles et ceux qui ont eu la chance de croiser son chemin.

Cette semaine, LeChair reçoit Yves Landu. Originaire de Meaux, Yves voit le jour à la fin des années 80. Cet amoureux de sport grandit dans le quartier populaire "Pierre colinet " en compagnie de sa nombreuse fratrie. Très tôt, il est initié à la danse et plus particulièrement au Breakdance mais c'est dans le MMA qu'il deviendra professionnel. Repéré pour sa qualité et son abnégation, "you know " comme on le surnomme a su confirmer les attentes placées en lui. Combattant au Bellator, il a d'ores et déjà marqué les esprits par ses prouesses mais surtout son talent. Au fil d'une belle émission, Yves nous parle de ses aspirations, son amour pour le sport, les dangers et n'hésite pas à distiller de précieux conseils.

Cette semaine, LeChair reçoit Rachid Arhab. D'origine algérienne, Rachid voit le jour en 1955 dans la Kabylie. C'est en 1958, qu'il s'en va rejoindre ses parents en Lorraine. Très bon élève, il a pris goût à l'effort et c'est très jeune qu'il a décidé d'opter pour le métier de journaliste. Diplômes en poche, il s'en va rejoindre Strasbourg afin d'intégrer l'école de journalisme et parvient à décrocher le sésame. Des années plus tard, il fera son entrée officiellement dans le PAF et deviendra le journaliste préféré des français comme l'a attesté le magasine "télé 7 jours".Après avoir fait des remplacements au sein du journal télévisé d'antenne 2, Rachid s'engage pour un mandat de 6 ans au CSA ce qui a été une expérience significative pour lui... Au fil d'un bel échange, Rachid se livre sur son métier de journaliste, sa place dans la société en tant que franco algérien et n'hésite pas à distiller de précieux conseils.

Cette semaine nous recevons pour la troisième fois Ousmane Badara aka Alpha 5.20. Originaire du Senegal, Alpha atterrit en France dans les années 90 afin de poursuivre sa scolarité. N'ayant pu continuer les études, il s'est orienté vers l'entrepreneuriat et le RAP plus précisément. Ce fan de Master P a su mettre à profit son savoir faire auprès du Ghetto Fabulous Gang et était une figure incontestable de la scène hip-hop française. A la table de 500, celui qu'on appelle aussi Gun's Poppin nous partage sa vision de la société, sa vision d'entrepreneur, nous donne son avis sur le futur du Sénégal et n'hésite pas à distiller de précieux conseils.

Cette semaine, 500 reçoit Adama Keïta. D'origine malienne, Adama voit le jour au début des années 90. Ce noiséen est issu d'une belle fratrie où les valeurs du travail et de l'autosuffisance ont toujours été mises en avant. Adama a toujours eu pour ambition d'aider les personnes dans le besoin. En 2015, il a créée une association "Indeme" qui a pour but de rendre meilleur le quotidien des orphelins. Persuasif, il a su convaincre ses amis de se joindre à lui dans ce projet. C'est lors d'un voyage en Afrique, qu'il a pris conscience des difficultés que pouvait rencontrer les personnes atteintes d'albinisme jusqu'à en faire un objectif personnel.

Cette semaine, 500 reçoit Mokobe. D'origine malienne et sénégalaise, Mokobe Traoré grandit à Vitry sur seine. Aîné d'une famille nombreuse, il prend à cœur son statut de leader et se veut être le repère de ses frères et sœurs. Grand fan de Michael Jackson, il prend un malin plaisir à l'imiter mais c'est dans le rap que ce dernier trouvera le refuge. Nous sommes en 1984, quand le rap arrive dans l'hexagone, ce nouveau mouvement issu du Bronx qui changera à jamais sa vie. En compagnie de ses amis, ils formèrent un crew "DTF" pour Détenteur du savoir faire. L'idée était de copier ses illustres aînés sans savoir que c'était les prémisses d'une belle et longue carrière. La version finale deviendra le 113, célèbre groupe à succès qui vendra pas moins de 3 millions de CD dans le monde. Figure incontournable du rap français, Mokobe est également un homme au grand cœur qui agit toujours pour les causes qu'il estime juste... Au fil d'un bel échange,  Mokobe nous parlera de sa jeunesse, sa vision de l'industrie, le paludisme ainsi que la relation qu'il entretient avec les siens et tentera de nous mettre en garde sur les pièges à éviter.  

OuiHustle, ta première émission qui rassemble et motive ! Au fil des émissions nous recevrons des artistes, des entrepreneurs, des militants, politiques, philanthropes.. qui viendront nous parler de leurs échecs mais surtout de leurs réussites. Cette semaine LeChair reçoit Mister You. Originaire du quartier de Belleville à Paris 19e, Younes voit le jour au milieu des années 80. D'origine marocaine, il grandit au sein d'un foyer chaleureux en compagnie de ses sept frères et sœurs. Passionné de musique depuis son plus jeune âge, il grandit avec les influences marocaines ainsi que le rap ( musique initiée par ses grands frères). Élève ayant de grandes capacités, Younes dérive et se laisse attirer par les vices de la rue. C'est en 2003 qu'il connaîtra sa première Incarcération s'en suivront plusieurs derrière. Parallèlement, Younes écrit des musiques et glane un succès d'estime auprès des sympathisants de la culture rap. Il deviendra officiellement Mr You. C'est en 2009 que le monde découvrira le personnage au fil d'un rocambolesque scénario... Au fil de l'émission, You reviendra sur son parcours, ses regrets, nous parlera avec franchise des pièges à éviter dans la vie de quartier et n'hésitera pas à se livrer avec toute la franchise qu'on lui connait. 

Cette semaine, LeChair reçoit Seumboy vrainom. D'origine ivoirienne et togolaise, Seumboy grandit dans la commune de Gennevilliers. Elève attachant, il se distingue par son goût de la culture. Dans le cadre de ses études, il a été amené a faire un stage en Chine. Cette étape fut crucial dans sa vie. En effet à 25 ans, il décide d'en savoir plus sur son histoire, l'Afrique et ses origines. Il y a maintenant 3 ans, il a créé le média "histoires crépues" avec pour objectif de vulgariser la culture africaine dans sa diversité. Ce féru d'histoire, nous parle avec justesse du monde qui nous entoure. Au fil d'un bel échange, Seumboy se livre à cœur ouvert sur les faits de société, son histoire et n'hésites pas à distiller de précieux conseils.  

Cette semaine, LeChair reçoit Lise Vieville. Originaire de Metz, Lise grandit au sein d'une famille modeste. Après une formation en droit et l'obtention de son diplôme, elle décide de se tourner vers le métier de conseillère principale d'éducation qui l'emmènera dans le 93. Fraîchement débarquée dans ce département, elle apprend de nouveaux codes et demeure au contact d'une nouvelle population. Appréciée de tous, elle croise le chemin du jeune Dadju et lui sera d'une précieuse aide.. Au fil d'un bel échange, Lise nous parle de ses actions et de son investissement de chaque instant. 

Cette semaine, LeChair reçoit Khalid Zaouche. Marocain d'origine, Khalid Zaouche grandit dans la commune de Garges les gonesse. Tres tôt, il se montre actif dans la vie de la commune. En effet, cette derniere manquait d'infrastructures et de commodités et il s'est vu confier trés tôt la gestion du club de boxe de Garges. Des années plus tard, Khalid et ses associés ont eu l'ingenieuse idée de créer "le bus de la santé ". L'objectif étant de sensibiliser et prévenir sur les risques du cancer. Au fil d'un bel échange, Khalid nous parle de ses actions et son investissement de chaque instant.  

Cette semaine, LeChair reçoit Black M. Guinéen d'origine, Alpha de son vrai nom voit le jour à Paris en Décembre 84. Entouré de ses trois frères et sœurs, il grandit dans le 7e arrondissement de Paris. Fan de musique depuis sa tendre en enfance, il se cultive des sonorités provenant d'Afrique ou encore d'Outre Atlantique. C'est à l'internat qu'il écrit ses premiers textes et attire l'attention de ses camarades. Des années plus tard, sous les conseils d'un ami, il fit la rencontre des membres de la Sexion et à partir de là, sa vie ne sera plus jamais la même... Au fil d'un bel échange, Black M nous parle de sa famille, sa carrière, son amour pour la Guinée et nous met en garde sur les difficultés du monde de la musique.  

Cette semaine, 500 reçoit Waly Dia. Greneblois de naissance, Waly voit le jour à la fin des années 80. Franco sénégalais, il grandit avec sa mère suite au divorce de ses parents. Bon élève et ayant des facilités, il obtient son baccalauréat ES et décide de s'expatrier à Nantes pour poursuivre ses études avant que son amour pour le stand up se développe. Poussé par quelques amis, il fait le tour des cafés bars nantais, monte sur scène, propose ses sketchs et se confronte à l'avis du public... Les débuts sont hésitants mais à force de persévérance et d'abnégation, la suite est plus radieuse. Croyant en son destin, il postule pour des castings et par inadvertance croise le chemin de Laurent Ruquier qui apprécie le style et se voit proposer de faire des passages dans son émission "on n'demande qu'à en rire " Parallèlement, il rejoint la troupe du Jamel Comedy Club en 2012 et devient une figure de proue de cette nouvelle édition. Excellent comédien, Waly n'hésite pas non plus à dénoncer et prendre la parole sur les faits de société... Au fil d'un bel échange, Waly nous parle de son parcours, son ambition et n'hésite pas à distiller de précieux conseils.  

Cette semaine, LeChairman reçoit le Directeur Général de la Fondation Franco-Britannique de Sillery : Jean Christophe Prouheze. C'est en Lozère que Jean Christophe nait et effectue une grande partie de sa scolarité avant plus tard de s'expatrier à Montpellier. Travailleur social de formation, il a acquis une solide expérience auprès d'une jeune population au parcours difficile. Diplômé d'état en tant qu'educateur spécialisé, il rejoint des années après, la région parisienne afin d'y exercer son métier. C'est en 2001 qu'il arrive au sein de la FFBS au début comme educateur ensuite comme chef de service avant d'en prendre la direction générale en 2019. Il a pour mission de rendre plus agréable le quotidien des personnes en situation de handicap. Cela se traduit par de la valorisation du travail mais aussi de l'inclusion. Jean-Christophe nous sensibilise sur son quotidien en tant que Directeur de la FFBS et sur celui des personnes en situation de handicap qu'il accompagne chaque jour.   

Cette semaine, 500 reçoit Pit Baccardi. D'origine Camerounaise, Pit Baccardi voit le jour à la fin des années 70. Enfant, il multiplie les allers retours entre la France et le Cameroun, avant de s'installer définitivement dans le 12eme arrondissement de Paris. Ayant grandi au sein d'un foyer uni, Pit est frappé très tôt par la vie et ses lois en perdant très jeune sa maman. Sa seconde maman, mère de Dosseh, prend le relai et l'élève sans faire de différence. Les choses se compliquent pour Pit lorsqu'elle se sépare de son père et que Pit se retrouve livré à lui même. En effet, ayant pris très tôt son indépendance, il grandit loin du foyer familial et finit par être placé dans un foyer institutionnel. Parallèlement, il découvre le rap et se reconnaît à travers ce discours qui se veut revendicateur. Il commence cette discipline auprès d'un collectif nommé ATK pour ensuite rejoindre TimeBomb. Le public reconnaît en lui un potentiel.Des années plus tard il rejoint le collecteur Secteur Ä, signe sa patte et s'inscrit dans cette liste glorieuse que compose ce groupe. Au fil d'un bel échange, Pit nous parle de sa longue traversée du désert, sa dépression, ses angoisses et sa nouvelle vie en tant que Producteur de musique en Afrique.  

Cette semaine, 500 reçoit Kery James. D'origine haïtienne, Alix Mathurin de son vrai nom voit le jour aux Abîmes en Guadeloupe le 28 Décembre 1977. C'est à l'âge de 7 ans qu'il arrive en métropole dans la commune d'Orly dans le Val de Marne en compagnie de sa Mère et sa sœur. Bon élève, il est d'abord envoyé en pension dans les Yvelines avant de revenir faire sa scolarité à Orly. De parents séparés mais toujours présents, ils ont souhaité pour lui une de longues études mais le destin en a décidé autrement. En effet, très tôt, il se découvre une nouvelle passion : le rap. Pris d'amour par cette nouvelle culture, on lui décèle un talent pour l'écriture et les rimes et il finit par se faire repérer. À 3, Kery, Jessy et Alter, formèrent le groupe Idéal junior. Après un beau succès d'estime et quelques conflits dantant avec les anciens producteurs, ils ont été contraints de faire une pause de trois ans avant de revenir sous une nouvelle forme avec l'arrivée de Dj Mehdi. Désormais place à Idéal J... Ce groupe est considéré pour la plupart des auditeurs de rap comme étant l'un des groupes les plus charismatiques et authentiques que le rap français ait connu. Entre revendications et authenticité, ils détiennent une place importante chez les amateurs de musique. Mais cette belle histoire connaît une fin plutôt tragique, nous sommes en 1999 et l'un des meilleurs ami de Kery, Las Montana fut assassiné. Ce sombre meurtre marquera à jamais la vie et la carrière du jeune Alix qui décida de tout arrêter dans un premier temps puis de se convertir à l'islam . Quelques années plus tard, il reviendra sous une toute autre forme avec des textes imprimés de sagesse et un message qui se voulait conscient. Auréolé d'un disque d'or, son premier album  symbolisera son renouveau et par la même occasion, utilisera sa renommée pour mener des actions sociales. Au fil d'un bel échange, James nous parlera de sa jeunesse, sa vision de l'industrie, de sa famille ainsi que la relation qu'il entretient avec les siens et tentera de nous mettre en garde sur les pièges à éviter.  

Cette semaine, 500 reçoit Kadiatou Tapily. D'origine malienne, Kadiatou voit le jour à Strasbourg en 1989. De parents divorcés, elle vit avec sa mère et ses quatre sœurs. Studieuse et vive d'esprit, elle est plutôt bonne élève et s'implique énormément dans la vie de l'école. Cependant, comme elle le confesse, cela n'a pas toujours été facile car peu de mixité à l'école et elle a souvent été la cause de raillerie de la part de certains de ses camarades. Néanmoins, après avoir obtenu un bac scientifique puis poursuivi des études dans le secondaire, Kadi rejoint Paris, ville qui correspond plus à ses attentes. Ayant pris rapidement ses marques, elle travaille d'arrache pieds et décroche le graal en devenant avocate quelques années plus tard. Parallèlement, Kadi est une joueuse de Basket et trouve en ce sport des valeurs qui lui permettent d'affronter la vie avec les meilleurs armes. Au fil d'un bel échange, Kadiatou nous parle de son parcours, ses projets, de la discrimination subit et n'hésite pas distiller de précieux conseils que les gens sauront appliquer. 

Cette semaine, 500 reçoit Didi-Stone. D'origine congolaise, Didi comme on l'a surnomme grandit en Seine Saint Denis et plus précisément au Blanc Mesnil. Élevée au sein d'une fratrie de onze ans, elle se distingue par sa jovialité et son goût prononcé pour la mode. Bonne élève, elle gravit les échelons et obtient un bac littéraire avant de poursuivre ses études dans le secondaire. Accessoirement, elle est également la fille de Koffi Olomidé, célèbre artiste congolais. Grande et élancée, elle est repérée jeune ( à 15 ans pour être precis) dans les métros parisiens par un "scout" qui voit en elle un avenir radieux dans le milieu de la mode. Plus tard, elle défilera pour des grandes marques telles que Thierry Mugler, Jean Paul Gautier ou encore devient égérie pour Fenty Beauty qui n'est autre que la célèbre gamme de produit de Rihanna. Au fil d'un bel échange, Didi nous parle de son parcours, ses projets, de la discrimination subit et n'hésite pas distiller de précieux conseils que les gens sauront appliquer. 

Cette semaine, 500 reçoit le comédien et acteur Abdé Maziane. D'origine marocaine, Abdé voit le jour au début des années 80 dans les Ardennes et plus précisément à Charleville Mézières. Huitième d'une fratrie de dix enfants, Abdé a grandi au sein d'un foyer aimant et chaleureux. Toutefois, tout n'a pas été facile le concernant. En effet, avec son frère jumeau, ils sont atteint d'une dysplasie ectodermique (maladie méconnue) qui est caractérisée par une voire des malformations de la peau, des dents, glandes sudoripares... Cette particularité lui a forgé un caractère à tout épreuves face aux épreuves de la vie. Malgré cela, il réussit à décrocher un bac S avant de poursuivre des études supérieures. Attiré par l'entrepreneuriat, cet amoureux de basket (pratiquant) à créé son entreprise de décoration ce qui était un réel objectif pour lui. Cherchant sa bonne étoile, il démarche, fait des castings et nombreux d'entre nous ont eu la chance de le voir notamment au côté de Greg Guillotin. Au fil d'une belle conversation Abdé nous parle de sa scolarité, de sa famille et nous parle de toutes les épreuves qu'il a surmonté.  

Cette semaine, 500 reçoit la journaliste Nawal Ben Ali. Née en Tunisie, Nawal arrive très tôt en France et plus précisément dans le département de l'Essonne. Excellente élève, elle grandit au sein d'un foyer uni en compagnie de ses deux frères. Après avoir poursuivi sa scolarité sans encombre, elle décroche son diplôme de journaliste à l'IEJ en 2022. Amazigh, elle dénonce un racisme latent et n'hésite pas à faire bouger les lignes à travers son podcast "y'a ça chez nous" où encore lors de ses nombreuses prises de paroles. Au fil d'une belle conversation Nawal nous parle de sa scolarité, nous met en garde sur la banalisation du racisme ou encore nous parle de son amour pour le continent africain. 

Cette semaine, 500 reçoit l'ecrivain Nabil Ennasri. D'origine marocaine, Nabil voit le jour au début des années 80 dans la commune de Laval. Huitième d'une fratrie de dix enfants, Nabil est très tôt passionné par le sport et la littérature. Très bon élève, il gravit les échelons et finit par obtenir son doctorat à l'IEP d'Aix-en-Provence. Très sensible sur les questions liés à l'écologie, Nabil décide d'effectuer le trajet en vélo entre Paris et la Mecque afin de nous sensibiliser sur la cause. Ce long voyage atypique et qui plus est remarquable a attiré l'attention du public. Au fil d'un bel échange, Nabil nous parlera d'écologie, de sa scolarité et n'hésitera pas à distiller de précieux conseils. 

D'origine marocaine, Youssef voit le jour au début des années 90. Aîné de la fratrie, il a également une sœur jumelle ainsi qu'un petit frère. Doué pour le sport, Youssef pratique le football depuis son plus jeune mais c'est finalement dans la Boxe qu'il trouvera son salut. Après le départ de son père, Il se voit confier les reines de la famille alors dans sa tête tout est clair : Il doit réussir dans la Boxe. Pour ça, il décide d'aller en Thaïlande et d'y emmener son frère. Avec des entraînements journaliers ainsi qu'une discipline à toute épreuve, Youssef performe et s'améliore... Champion du monde à plusieurs reprises des années plus tard, il deviendra une référence ultime dans sa discipline. Au fil d'un bel échange Youssef nous parlera de son amour pour la Boxe, sa famille et n'hésitera pas à distiller de précieux conseils. 

Cette semaine, 500 reçoit le producteur Alassane Konaté. Né au Havre à la fin des années 70, Sals'a comme il se fait appeler est un passionné de musique. D'origine sénégalaise, il grandit à la cité Mont-gaillard. Jeune, il était fan de football et d'athlétisme mais c'est dans le monde de la musique qu'il exercera. Bon élève, il décroche son baccalauréat et peut désormais rêver d'une carrière de rappeur. En compagnie de Proof son acolyte de toujours, ils forment le groupe Ness & cité qui connaîtra un beau succès d'estime. Autour du groupe gravite des personnalités comme La Boussole, Koto, Enarce ou encore Medine.. Plus tard, Sals'a décide de prendre du recul sur sa carrière de rappeur pour devenir manager et conseiller de certains artistes en créant la structure Din Records. Au fil d'un bel échange, Sals'a se livre sur sa vie , Din records, l'entrepreneuriat et n'hésite pas à distiller de précieux conseils.  

Cette semaine LeChair' reçoit Walid, policier dans le 93. Exerçant dans le département depuis de nombreuses années, Walid nous fait part de son quotidien et de la recrudescence de la violence. Originaire de Dijon, il est devenu policier après avoir réalisé le rêve de son père. Comme il le dit, cette fonction lui a apporté beaucoup d'empathie. Il est désormais prêt à aller à la rencontre des jeunes, voire des institutions afin de les sensibiliser. 

Cette semaine LeChair' reçoit Magloire Diabley. Franco ivoirien, Magloire voit le jour au début des années 60. Époux et parent, il vit entre Paris et Abidjan ou il développe plusieurs business. C'est en Janvier 2018 que sa vie basculera à tout jamais. En effet, Hismael son fils s'écroule face aux coups de couteaux de son assaillant. Enfant respectueux, Hismael est une victime collatérale autrement dit, il se trouvait au mauvais endroit au mauvais moment. Depuis son départ, son père fait de la prévention auprès des Jeunes du square de la roquette, sensibilise sur le phénomène des rixes ... Au fil d'un bel échange, Magloire nous parle de son regretté fils, de sa nouvelle vie et distille de précieux conseils. 

Cette semaine LeChair' reçoit le philanthrope Adama Camara. Né à Paris, Sansan comme il se fait surnommer arrive à Garges les Gonesse à l'âge de 5 ans. Second d'une fratrie de huit enfants, Adama a, très jeune, endossé son rôle de "Grand frère". C'est en 2011 que sa vie a basculé. Rappel des faits : son petit frère Sada est assassiné  par ses propres amis. Animé par un sentiment de vengeance, il passe à l'action et tire à bout portant sur les assaillants de son frère. Résultat des courses, jugement aux assises pour tentative de meurtre, Adama a écopé de huit ans de prison. Il co-réalise également la série à succès "RIXES" avec Street Press et revient cette année avec une deuxième saison. Cette série donne la parole à des victimes de règlements de comptes, des familles endeuillées... Tout au long de cet échange Sansan nous livre un poignant témoignage et nous parle des combats qu'il mène.  

Cette semaine, 500 reçoit Vicelow. Bondynois de naissance, Vicelow voit le jour en 1978. D'origine guadeloupeene et beninoise, il est élevé par sa mère auprès de ses sept frères et sœurs. Élevé à la rude, Vicelow demeure casanier malgré lui. Fan de Michael Jackson, il grandit en écoutant l'album "Thriller" et s'évade à travers la musique. Il découvre le rap à la fin des années 80 et quelques années plus tard en compagnie de son ami Landry,  il s'exerce à la discipline et finit par apprécier. Au fil des années, il se perfectionne et fait la rencontre de Féfé et KLR. Le courant passe et les 3 feront la rencontre d'un groupe provenant de Bagneux nommé "Explicit Samouraï " sans oublier Sly qui vient de Montrouge. Nous assistons à la naissance du Saïan supa crew.. Au fil d'un bel échange, Vicelow se livre sur sa vie , le saian, nous parle de sa relation difficile avec sa mère et n'hésite pas à distiller de précieux conseils.  

Cette semaine 500 reçoit Juan Branco. Né en Andalousie à la fin des années 80, c'est à l'âge de 6 ans que Juan et sa famille posent leurs valises en France et plus précisément à Paris. D'origines portugaise et espagnole, il a grandit avec ses différentes cultures qu'il considère comme étant une richesse. Provenant d'un milieu relativement aisé, il fait notamment ses classes au sein de la prestigieuse école alsacienne dans le 6eme arrondissement. Juriste en premier lieu, Juan finira par devenir avocat. On retiendra notamment qu'il fut le conseiller de Jean Luc Mélanchon ou encore Julian Assange fondateur de Wikileaks. Dernièrement, il fera les gros titres en devenant l'avocat d'Ousmane Sonko adversaire du président de la république sénégalaise Macky Sall. Au fil d'un bel échange, Juan Branco nous donnera son point de vue sur la société qui nous entoure, son rôle d'avocat ainsi que son dernier livre qui est devenu un "Best seller". 

Cette semaine, 500 reçoit Abou Debeing. D'origine ivoirienne, Abou voit le jour à Paris à la fin des années 80. Très tôt et suite au divorce de ses parents, il est placé quelque temps à la DDASS avant d'être récupéré par son père. Fils d'une commerçante qui se déplaçait régulièrement en Côte d'Ivoire, Abou vit la plupart du temps chez son père. Fan de musique, il en écoute régulièrement à la maison mais c'est au collège qu'il décide de la pratiquer. En effet, sous la houlette de Barack Adama, il décide d'écrire ses premiers textes de rap. Parallèlement, il commence aussi à tomber dans les pièges de la vie de cité et en paie le prix cher. Incarcéré à plusieurs reprises, ses allers retours lui ONT coûté sa relation avec son père .. C'est en sortant en 2013, qu'il décide de prendre la musique plus au sérieux avec notamment son groupe L'institut ainsi qu'en étant sur scène avec Black M. Des années plus tard, il découvre une jeune pépite nommée Imen Es qu'il produira. Au fil d'une belle conversation, Abou se livre sur sa relation familiale parfois tumultueuse, son rapport à la musique et nous parle aussi de son amour pour l'Afrique.

Cette semaine, 500 reçoit Serge Aurier. Né en Côte d'Ivoire en 1992, Serge arrive en France (Sevran) à l'âge de 7 ans. Très tôt, il se passionne pour le football. Ses éducateurs sportifs lui décèlent des qualités et naturellement, il s'inscrira au sein du club de la ville. Après des années réussies, il s'en va poursuivre à l'échelon supérieur en rejoignant le club voisin de Villepinte. Fort d'une année convaincante, il se fait repérer par le racing club de Lens ou il fera sa formation avec un certain Geoffrey Kondogbia.. Des années plus tard, après de grandes performances, il lui sera proposé un contrat professionnel. Latéral droit confirmé, il poursuivra son cursus au Toulouse football club avant d'atterrir au PSG. Révélé aux yeux du monde, Serge est considéré comme l'un des meilleurs à son poste avant que l'affaire de "périscope" ne mette du plomb dans l'aile de sa belle saison. Exilé en Angleterre, Serge brille de mille feux dans un championnat qu'il affectionne. À noter qu'il sera finaliste de la LDC en 2019 avec Tottenham Hotspurs. Capitaine de la sélection ivoirienne, Serge se livre pendant près de deux heures sur son parcours, son amour pour la Côte d'Ivoire, sa vision sur le foot business sans occulter de distiller de précieux conseils. 

Cette semaine, 500 reçoit Yanisport. Yanis voit le jour en Algérie au début des années 90. Après une enfance joyeuse auprès des siens, sa famille décide de plier bagage et de poser ses valises en France et plus particulièrement en Meurthe-et-Moselle. Élève passionné de sports, Yanis est un fervent supporter de l'as Nancy Lorraine. Le Baccalauréat en poche, il opte pour l'armée de terre ce qui sera une grande réussite pour lui. En effet, son professionnalisme est décuplé ainsi que sa rigueur.. Parallèlement, avec l'avènement des réseaux Sociaux, Yanis prodigue des conseils via des videos ce qui lui permettra de développer une clientèle et même de la fidéliser. Un choix s'opère et il opte pour l'entrepreneuriat ce qui sera une grande réussite. Il est également à l'initiative de la "Marche des champions " marche solidaire mettant en avant le savoir vivre ensemble ainsi que le partage. Au fil d'un bel échange, Yanis nous parle de son amour pour le sport, sa famille et n'hésite pas à distiller de précieux conseils.  

Cette semaine, 500 reçoit Dadju. Né à Melun en Seine et Marne en 1991, Dadju grandit à Romainville en Seine Saint Denis. Avec sa mère et son petit frère, ils grandissent  sans réelle figure paternelle et affrontent la vie et ses obstacles sans avoir toutes les armes. Un temps sans domicile fixe, la famille Djuna vit grâce aux aides de l'Etat dans les hôtels, les foyers où parfois dans les cages d'escaliers...Malgré ces obstacles de la vie, Dadju est un bon élève. En effet, il décroche son baccalauréat avant de poursuivre ses études à la Faculté. Accessoirement, il est le petit frère de Maître Gims qui lui a mis le pied à l'étrier dans le monde de la musique. En 2012, il signe au sein du label Wati B en compagnie de son comparse Abou Tall et à deux, ils ont formé le groupe "The Shin Sekaï". Après 3 albums, Dadju décide de filer en solo, et le succès sera au rendez vous. Au fil d'une longue discussion, Dadju se livre sur ses ambitions, ses projets au Kongo, nous parle de son enfance difficile et de son amour envers les personnes qui lui ont tendu la main. 

Cette semaine, 500 reçoit Cynthia Kä, naturopathe et auteure. Née en banlieue parisienne au milieu des années 80, Cynthia est la cadette d'une fratrie de quatre enfants. Après une enfance chaleureuse passée dans le 78, Cynthia à rapidement développé une passion pour la mode. Son ambition débordante l'a amenée à travailler avec des stars dans le milieu de la mode et de la musique notamment. Mais en Août 2016, sa vie bascule. En effet, elle apprend qu'elle est atteinte d'un cancer du sein. Ne sachant que faire, elle se documente, reprend du poil de la bête et décide de faire front. Apres la chimiothérapie, des dépressions et une perte de confiance en soi, Cynthia a décidé de ne pas se laisser abattre. Elle devient experte en santé naturelle et prend son alimentation, sa santé en main pour elle et pour donner un exemple aux générations futures. En septembre prochain, elle sortira son premier ouvrage ou elle traitera de son long combat qui sonne comme un espoir pour les personnes atteintes d'un cancer du sein. Cynthia nous met en alerte sur les perturbateurs endocriniens, nous éclaire sur le cancer du sein et nous partage son expérience pleine d'émotions et de sens.  

Cette semaine, 500 reçoit Alban Ivanov. Né à Narbonne en 1984, Alban est l'aîné d'une fratrie de trois enfants. C'est à l'âge de quatre ans que ses parents se séparent et que sa mère décide de s'installer en région parisienne. Ayant désormais un beau père (à qui il rendra un hommage poignant), Alban n'est pas un enfant facile. En effet, n'étant pas l'élève modèle à l'école, il a causé bien du tort à ses parents. Même son de cloche à la maison, lui qui n'était pas le dernier à faire des bêtises. Voyant son beau fils s'écarter du droit chemin, Ali Saidi lui a proposé d'intégrer le théâtre d'improvisation ce qui provoquera en lui un nouveau souffle. En effet, nombreux vont lui reconnaître une âme de comédien et le jeune Alban va se prendre au jeu. Au fil d'un bel échange, Alban nous parlera de son amour pour la comédie, sa relation avec son beau père, la main tendue par Jamel Debbouze et distillera de précieux conseils pour la jeune génération mais pas que... 

Cette semaine, 500 reçoit Gnaqui Gassama. Né en 1993 dans l'Essonne, Gnaqui est l'avant dernier d'une fratrie de 7 enfants. À ses 4 ans, on lui detecte la drépanocytose, maladie qui bouleversera sa vie. En effet, son enfance se résume par plusieurs hospitalisations, des crises ainsi qu'une fragilité qui l'empêche de suivre une scolarité normale. Frêle et docile, il a soigné ses douleurs par les opiacés avant de devenir addict. En 2007, il subit une greffe de la moelle osseuse qui éradiquera la drépanocytose mais son addiction aux opiacés ne fait que de commencer. Au fil d'un échange poignant, Gnaqui nous parle de sa traversée du désert, son addiction, sa dépression et distille de précieux conseils ... 

Cette semaine, 500 reçoit Koffi Olomide. Né à Kisangani (Zaïre) à la fin des années 50, Koffi grandit dans le matriarcat. L'un des plus jeunes d'une grande fratrie, il a développé très tôt des compétences musicales en découvrant notamment la guitare. Repéré jeune pour son écriture, Koffi se met à rêver en grand. Il fait ses premières armes en écrivant pour le célèbre et regretté Papa Wemba, ce qui le propulsera au rang de révélation. Quelques années plus tard, il en vient à écrire ses propres musiques et rencontre un franc succès. Parallèlement, il poursuit ses études qui l'emmèneront en Suisse et à Bordeaux. Comme on le sait, la vie est faite de choix et la musique deviendra son métier. Il peut se venter d'avoir été le premier africain Subsaharien à avoir rempli Bercy. Bien que son statut ne soit pas remis en question, Koffi n'hésite pas à donner son point de vue sur les problèmes de société et du Monde qui nous entoure. Ce qui lui a quelques fois valu des réprimandes. Au fil d'une longue conversation, Koffi nous parle de son amour pour son pays, la République Démocratique du Congo, sa vie de famille ainsi que ses objectifs personnels.  

Cette semaine, 500 reçoit Dawala. Dawala voit le jour à Paris au milieu des années 70. Malien d'origine, c'est à ses 1 an que ses parents décident de l'envoyer au pays auprès de sa grand mère. Après près de 10 ans au Mali, Dawala revient dans la capitale et s'acclimate à son nouvel environnement. Ne parlant pas le français à son arrivée, il a dû travailler d'arrache pied pour combler son retard. Passionné de football, il a écumé les clubs de sa région natale ce qui lui a permis de se sociabiliser. Étant considéré par des plus jeunes du quartier comme étant un "grand frère" Dawala s'amuse à les produire avant de prendre ce divertissement au sérieux. Nous sommes à la fin des années 90 quand apparaît la compilation PSG pour (pur son ghetto) avec de nombreuses têtes d'affiche ce qui sera sa carte d'identité musicale. Des années plus tard, il produira le remarquable album d'Intouchables. Des années plus tard, il fit la rencontre d'un underground groupe parisien : Sexion d'assaut. Ensemble, ils graviront les échelons, jusqu'à la notoriété et enfin la consécration... Au fil d'une belle conversation, Dawala abordera de sa relation avec la sexion d'assaut, son amour pour la musique et déclarera sa flamme au Mali pays qui lui a tout donné.

Cette semaine, 500 reçoit Gims. Ce Zairois d'origine voit le jour à Kinshasa en 1986. C'est-à l'âge de 2 ans qu'il atterit en France en compagnie de ses frères et sœurs. Placé dans une famille d'accueil, ce n'est que plus tard qu'il rejoindra ses parents à Paris. Enfant modeste, Gims trouve un échappatoire dans le dessin et se voyait devenir mangaka. Père absent, il se construit sans réelle figure paternelle et affronte la vie et ses obstacles sans avoir toutes les armes. Le petit studio familial était devenu le refuge des toxicomanes et sans domicile fixe du coin. Ne se trouvant plus à sa place, Gims errait de maison en maison jusqu'à finir par dormir dans des cages d'escaliers. Sa rencontre avec la musique fut également déterminante puisqu'elle lui a permis de rencontrer ses frères de "sons" et notamment une personne qu'il a considéré pendant longtemps comme son meilleur ami : le fameux Barack Adama. En compagnie d'Adama et d'autres, ils décidèrent de former le fameux groupe "Sexion d'assaut". Considérés comme étant en avance sur leur temps, ils écumaient les scènes parisiennes jusqu'au jour où ils firent la rencontre du producteur Dawala. Après plusieurs consécrations ( Tournées, Disques d'or, Platines ) .. le groupe décide de se séparer pour poursuivre en solo. Carrière rythmée par quelques turbulences, Gims ne laisse personne sans avis. L' artiste possède plusieurs cordes à son arc et est devenu le premier rappeur à avoir rempli le stade de France... Au fil d'un bel échange, Warano comme on le surnomme se livre sur sa carrière, ses ambitions, ses aspirations ou encore sa famille et n'hésite pas à nous distiller de précieux conseils. 

Cette semaine, 500 reçoit l'ingénieur Djibril N'doye. Sénégalais d'origine, Djibril né à Dakar au début des années 80. Élève studieux et discipliné, il obtient brillament son baccalauréat en 1998 et décide de poursuivre ses études secondaire en France. Domicilié chez de la famille, il poursuit son cursus scolaire et le succès demeure toujours au rendez-vous. Ingénieur et salarié chez PEGA, Djibril nous donne les clefs de sa réussite. Parallèlement, il vient de sortir un ouvrage sur la finance islamique et tente de mettre sa connaissance au service du peuple. 

Cette semaine, 500 reçoit La Fouine. D'origine marocaine, Laouni voit le jour au début des années 80 dans la commune de Trappes. Au côté de ses sept frères et sœurs, il grandit en développant très tôt un amour pour la musique. Inscrit au conservatoire dès son plus jeune âge, ses parents souhaitaient l'occuper et ainsi l'éloigner de la vie de "quartier". Élève difficile, Laouni commence à faire ses premières bêtises (exclusion du collège) avant malheureusement de finir en prison à plusieurs reprises. C'est à la fin de sa dernière peine de prison qu'il décide de se prendre en main en misant plus sérieusement sur la musique. La naissance de sa fille fut également un tournant déterminant. Raison pour laquelle il n'hésite pas à lui rendre constamment hommage. Rappeur et entrepreneur à succès, La fouine a sillonné le monde grâce à sa carrière et a vendu plus d'un million de CD dans le monde. Au cours d'un bel échange, La Fouine se livre sur sa carrière, sa vie de père, son regard sur le monde, parle en toute franchise de ces erreurs et donne de précieux conseils.  

Cette semaine, 500 reçoit le Docteur Amine Benyamina. Originaire de l'Algerie, Amine arrive en France afin de poursuivre ses études. D'abord à Toulon et ensuite à Paris, il gravit les échelons en devenant diplômé. Aujourd'hui spécialiste en addictologie et chef de service à l'hôpital Paul Brousse (villejuif), il nous donne son analyse sur la recrudescence des drogues. L'addition de ces drogues de synthèse ou encore de l'alcool à lieu de plus en plus jeune. A travers son expérience, il nous conscientise sur les drogues ainsi que les fléaux. 

Cette semaine, 500 reçoit Maman Jeanine de Château Rouge. Originaire du Cameroun Maman Jeanine est arrivée en France en 2000. Sans titre de séjour, elle a d'abord logée chez sa sœur qui l'a accueillie. Après avoir étudié la zone de chalandise, Maman Jeanine, s'est lancée dans un business de prunes, appelé communément le safou. Elle s'est vite aperçue que ce business lucratif lui permettrait de s'occuper des siens. De fil en aiguille, la demande fut de plus en plus grande. Elle a réussi à développer son business en faisant l'acquisition d'un commerce et en lançant une société. Initialement au pays, elle a d'ailleurs réussi à faire venir ses enfants en France pour les faire étudier et faire des business avec elle. Cette histoire singulière nous montre que le travail et la détermination sont la clé de la réussite.  

Cette semaine, 500 reçoit Feuneu. D'origine ivoirienne, Feuneu voit le jour à Montreuil en Seine Saint Denis à la fin des années 90. C'est à l'âge de Cinq ans que sa famille emménage à Brunoy dans le 91. Cadet de la famille, ce n'est pas le dernier quand il s'agit de faire des "bêtises". Elève ayant des facultés, il ne se retrouve pas dans le système scolaire. Passionné de sports, il en pratique depuis son plus jeune ce qui l'aide à le canaliser. Adolescent à problèmes, "Neuf" comme on le surnomme, passera par la case prison. Cet étape constituera un tremplin dans sa vie car c'est à ce moment qu'il se consacre à sa vie et son envie de réussir s'est décuplé. À sa sortie, il se promet de rester dans le droit chemin et s'inscrit à l'interim. Parallèlement, il officie en tant que dénicheur de talents notamment avec la création de sa chaîne YouTube " Guette l'ascension" où des rappeurs en devenir y sont présents. Mais, c'est en 2020 qu' il sera officiellement sur le devant de la scène avec l'avènement de la jeune artiste " Wejdene" ... Au fil d'un bel échange, Feuneu se livre sur sa carrière, ses ambitions, ses aspirations ou encore sa famille et n'hésite pas à nous distiller de précieux conseils. 

Cette semaine, 500 reçoit DJ Bellek. Né en 1986, DJ Bellek est aujourd'hui l'un des producteurs les plus importants de la scène hip hop française. Ayant baigné très tôt dans le mouvement, il a commencé à toucher ses premières platines à l'âge de 8 ans. Sous la houlette de son frère et producteur, Kore, il exerce et ne cesse de s'améliorer. En 2000, il officie même en tant que DJ pour le groupe Lunatic. Des années plus tard, il formera un duo mythique avec son frère, les fameux "Kore & Bellek". Après une petite traversée du désert, Bellek se relève, s'arme de patience et travaille d'arrache pieds. Il est d'ailleurs aujourd'hui le producteur de ZKR ou encore Landy. Au cours d'un bel échange, Bellek se livre sur son amour pour sa passion, sur les dangers de l'industrie musicale, parle en toute franchise de ces erreurs et donne de précieux conseils.  

Cette semaine, 500 reçoit Yassine Belattar. Né dans les débuts des années 80, Yassine est originaire de la commune yvelisienne de Conflans Saint Honorine. Élève studieux, Yassine a un goût prononcé pour la lecture ... et la culture. En compagnie de quelques amis, ils créent une radio pirate nommée strange FM où il s'exerce et se découvre une passion. En 2003, c'est le grand saut et Yassine atterit comme animateur à la radio Génération FM. Cette expérience salvatrice lui permet de gagner en notoriété et acquérir des compétences significatives. Il y restera 4 ans avant d'intégrer Canal + et l'émission " En Aparté". Parallèlement à cette activité, Yassine est également un comédien " stand uper " . Après avoir fait ses classes auprès de Fabrice Eboue ou encore Thomas N'Gijol, il monte à son tour sur scène et rencontre un franc succès. D'un point de vue societal et politique, il n'est pas le dernier à prendre la parole quand il s'agit d'injustice où pour faire valoir "nos" droits. Au fil d'un bel échange,  Yassine se livre sur sa carrière, ses ambitions, ses aspirations,  sa famille et n'hésite pas à nous distiller de précieux conseils.

Cette semaine, LeChair reçoit Philippe Simo. Ce Camerounais d'origine voit le jour au milieu des années 80 dans la commune de Douala. Issu d'une famille modeste, il grandit au sein d'une famille nombreuse. À l'école, Philippe a beaucoup de facilités et cela s'est traduit par un parcours brillant. Après l'obtention de son baccalauréat, il décide d'arriver en France pour poursuivre ses études en ingénieries. Là aussi, une nouvelle victoire car il deviendra diplômé en 2010. Après avoir travailler en France en tant qu'ingénieur, Philippe a décidé de retourner au Cameroun son pays d'origine afin d'entreprendre et de développer ses business. Parallèlement à ses activités, il n'hésite pas à prendre publiquement la parole afin de conscientiser le public sur les possibilités que peut offrir le continent africain en terme de travail et d'émancipation. Au fil d'un bel échange, Philippe reviendra sur son parcours, sa vie de famille, ses ambitions et n'hésitera pas à distiller des précieux conseils. 

Cette semaine, 500 reçoit Omar Sy. Originaire de Trappes, Omar voit le jour à la fin des années 70. Franco-sénégalais-mauritanien, il grandit au sein d'une famille nombreuse. Elève studieux, ce n'est pas le dernier à emmener des bonnes notes à la maison. Très ami avec Jamel Debbouze et Nicolas Anelka, il les voit très vite embrasser leurs rêves. Pris par cet élan, il s'efforce lui aussi de trouver sa voie. Jamel Debbouze "étoile montante " à décelé un potentiel et l'invitera à Radio Nova. Le reste est historique... Au fil d'un bel échange,  Omar se livre sur sa carrière, ses ambitions, ses aspirations,  sa famille et n'hésite pas à nous distiller de précieux conseils.

Cette semaine, 500 reçoit l'ancien rappeur d'Alliance Ethnik, Kamel. Originaire de creil (60), Kamel découvre le rap à la fin des années 80. Cadet d'une fraterie de 3 enfants, il est bercé par la soûl, la funk et le hip hop. Accompagné de ces 2 amis d'enfance, ils décidèrent de fonder le groupe Alliance Ethnik. De scène en scène, l'équipe s'améliore à tel point qu'ils se voient proposer de faire la première partie de Naughty by Nature à l'Elysee Montmartre. Leurs performances fait le tour de l'hexagone et ils se voient proposer un contrat dans une major. Vient quelques années après leur album avec le titre incontournable "Respect". Leur succès leur permettra de rencontrer leur public à travers le pays ou encore à l'étranger. Par la suite Kamel embrassera une carrière solo à succès. Aujourd'hui c'est un autre homme qui a laissé le monde de la musique pour entreprendre et vivre sa vie comme un citoyen lambda. Papa, il constate et donne son point de vue sur le monde qui nous entoure, ses obstacles mais aussi ses opportunités. Au fil d'une belle discussion Mel-K retrace son parcours, ses nouvelles ambitions et nous parle de l'amour pour son continent Africain.  

Cette semaine, LeChair' reçoit le journaliste Karl Zero. Né à Aix les bains dans les débuts des années 60, Karl arrive très tôt à Paris en compagnie de la fratrie. Pas doué pour l'école comme il le dit lui même, il trouve refuge dans la culture et le dessin. Amateur de "Paris Match" , ces revues l'ont poussé à devenir journaliste. Après quelques piges chez Charlie Hebdo ou encore sur Radio Nova, Karl fera son entrée sur Canal +. Le " vrai journal " l'installera comme un journaliste de conviction et d'engagement. L'affaire Allègre précipitera son départ ainsi que quelques remous... Quelques années plus tard, sur treizième rue, il fera son "come-back " en devenant journaliste d'investigation. Aujourd'hui, totalement indépendant, il dénonce la Pédocriminalité qui secoue le monde. Cela lui vaut d'ailleurs d'être qualifié de "complotiste" par certains. Au fil d'un bel échange, Karl retrace son parcours, sa longue carrière, ses démêlés et n'hésite pas à nous mettre en garde sur le fléau qu'est la Pédocriminalité. 

Cette semaine, 500 reçoit Youv. D'origine mauritanienne, Youv voit le jour au début des années 80. Il arrive très jeune dans la commune de Mantes la Jolie. C'est l'un des plus grands d'une fratrie de onze enfants et il se singularise par son côté espiègle dès le plus jeune âge. Élève peu concerné, il se marginalise très tôt avant d'embrasser un chemin beaucoup plus complexe. En effet, il connaît sa première incarcération à l'âge de quinze ans au CJD de Bois d'arcy. Cette première peine marquera le début de sa descente aux enfers. Il se spécialise dans les vols à mains armés et en paiera le prix cher. En accumulant toutes ses peines, il aura effectué vingt quatre ans de prison. Au fil d'une longue conversation, Youv revient sur son destin tragique, sa paternité, le décès de ses parents et sensibilise les auditeurs sur la vie de "voyou" qu'il ne faut surtout pas emprunter. 

Cette semaine, 500 reçoit Niska. Né en banlieue parisienne dans le milieu des années 90, "Zifu" comme on le surnomme, grandit dans la commune d'Évry. D'origine congolaise, il est baigné très jeune dans l'univers musical. Bon élève, il obtient un baccalauréat avant de poursuivre une formation d'éducateur spécialisé. Parallèlement aux études, il s'exerce en tant que rappeur dès le collège. Ses amis lui trouvent un certain talent et lui, s'amuse et s'améliore au fur et à mesure. Le grand public le découvrira en 2015 avec son fameux morceau "Matuidi Charo" avant de confirmer avec l'incontournable chanson " Sappés comme jamais " de Maître Gims. Enchaînant les certifications ainsi que les concerts à guichets fermés, Niska change de statut pour le plus grand plaisir de son public... Au fil d'une belle conversation, Niska nous parle de sa carrière, sa vie de famille, son amour pour le continent africain et n'hésite pas à distiller quelques précieux conseils. 

Cette semaine, 500 reçoit Stavo. D'origine congolaise, Stavo voit le jour au début des années 90. Enfant attachant, il grandit en Seine Saint Denis dans la commune de Pantin ainsi qu'à Sevran. Attiré très tôt par la musique, il découvre le rap par le biais de la Mafia K1fry ou encore le Ghetto Fabulous Gang. Pris de passion, il se met également à écrire en formant quelques groupes qui ne dureront pas avec le temps... Ce n'est que plus tard, en compagnie de ses amis d'enfance qu'il formera le Block 13 qui se transformera plus tard en 13 Block. Au détour d'une longue conversation, Stavo nous dévoile les secrets de sa réussite, son amour pour les gens et l'Afrique ainsi que le côté social qui détient une place prépondérante dans son esprit et son cœur.  

Cette semaine, 500 reçoit le producteur DJ Kore. D'origine algérienne, Djamel est né à Montreuil au début des années 80. Ce fan de musique a très tôt été initié par ses oncles, eux-mêmes musiciens. Enfant attachant mais un peu bout en train, sa famille décide de le changer d'environnement et rejoint une petite ville du Val d'Oise. Là-bas, son amour pour le beatmaking est décuplé. Il fait d'ailleurs des rencontres qui le propulseront... Quelques années après, on lui présente NTM, rencontre qui va tout accélérer. Manager par Choukri, Kore devient officiellement le DJ de Lunatic et acquiert en notoriété. Au sortir de la tournée Lunatic, il se voit proposer de produire la compilation "Taxi" qui rencontrera un franc succès. L'année suivante, une autre compilation à succès verra le jour : "Raï'n'B". Comme il le dit lui même, c'est un game changer dans sa carrière. Avec ces compilations à succès, Kore grandit. Des années plus tard, on le verra à la production du célèbre disque "Coreleone" de Lacrim ou encore "A7" de SCH. Ses succès l'inscriront encore plus dans la légende de la scène francophone. Au fil d'un riche échange, Djamel nous parle de son amour pour la musique, ses ambitions en tant qu'homme et ses projets futurs.  

Cette semaine, 500 reçoit Ibrahima Doukansi. D'origine malienne, Ib comme on le surnomme voit le jour à la fin des années 90. Aîné d'une fraterie de quatre enfants, il grandit dans la commune de Clichy la Garenne. Très tôt, il se passionne pour le sport et après avoir essayé beaucoup de discipline, il jette son dévolu sur la Boxe. Aujourd'hui semi professionnel et reconnu par ses pairs, Ib poursuit ses études et est actuellement en Bac +4. Au fil d'un bel échange, Ib nous parle de son parcours, de la jeunesse, de son amour pour le sport et n'hésite pas à nous sensibiliser sur le rôle que ses parents ont joués sur lui. 

Cette semaine, 500 reçoit Kweta Ndosimau. Congolais d'origine, Kweta voit le jour au début des années 70. Au côté de ses nombreux frères et sœurs, il grandit au sein d'un foyer chaleureux. Enfant respectueux, il suit un cursus scolaire traditionnel avant d'arrêter aux portes du secondaire. Sous le règne de Joseph Mobutu, où le pays était sans dessus dessous, Kweta décide de prendre son destin en mains. En effet, il rejoint le pays voisin l'Angola et décide de se lancer dans la vente de poisson séché. Résultat fructueux mais pas assez pour son ambition. Par la suite, il fut recruté par des rebelles et s'en va travailler dans les mines de diamants. Là bas, sous la houlette du guide, il a pour objectif de trouver des diamants. Alors avec l'aide d'une massue, il casse des pierres pour trouver le cesam. Pendant que certains de ses collègues sont devenus soldats et ont malheureusement ôté des vies, lui a trouvé son salut dans la découverte du diamant. Conscient de la dangerosité de son environnement, il obtient enfin un "guia" qui lui permet de quitter le pays en temps de guerre. Ce fan de cinéma, traverse l'Angola et la Namibie et pose ses valises en Afrique du Sud. Sa gentillesse et sa débrouillardise lui ont ouvert des portes et lui ont ainsi permis de réaliser son rêve : travailler dans le monde du cinéma.. 

Cette semaine 500 reçoit le député Carlos Martens Bilongo. D'origine congolaise, Carlos voit le jour au début des années 90. Cadet d'une fraterie de six enfants, il grandit dans la commune de Villiers le Bel. Représentant des élèves durant sa scolarité, Carlos a ce qu'on peut appeler la fibre politique. Plus jeune, il allait déjà à la rencontre du maire de sa commune pour lui faire remonter le mécontentement des habitants. Orphelin de ses parents, Carlos travaille d'arrache pieds afin de les rendre fier et prouver à tous qu'ils n'ont pas fait tous ses efforts en vain. Aujourd'hui député, il nous parle des ambitions qui l'anime, son amour pour le Congo et nous sensibilise sur des problèmes de société.  

Une semaine de sensibilisation au Handicap & à l'éducation. 3 épisodes, 3 points de vue différents viendront ponctuer cette semaine. Voici le premier de la série #Tousàlécole ! Cette semaine LeChair reçoit Khaled Berriche. D'origine tunisienne, Khaled Berriche voit le jour à la fin des années 80. Excellent élève et passionné par le football, Khaled Grandit dans le matriarcat en compagnie de ses 3 frères et sœurs. Aujourd'hui professeur de mathématique au sein du lycée La Tourelle (Sarcelles), Khaled nous dresse un constat sans détour de son environnement, répond aux problématiques liés aux manques de moyens et nous sensibilise sur le handicap. 

Une semaine de sensibilisation au Handicap & à l'éducation. 3 épisodes, 3 points de vue différents viendront ponctuer cette semaine. Voici le premier de la série #Tousàlécole !  Cette semaine LeChair reçoit Gilles Lockhart. D'origine Guyanaise, Gilles arrive en métropole à l'âge de 29 ans. Titulaire d'un Baccalauréat professionnel de commerce, Gilles s'est orienté vers le milieu du handicap. Après l'obtention d'un BAFA et divers fonctions au sein de la jeunesse, Gilles se spécifie et devient AESH et plus tard responsable des AESH. Au fil d'un bel échange, il nous parle de la difficile condition du métier d'AESH, les problématiques liés à son poste de travail et nous sensibilise sur le handicap.  

Cette semaine LeChair reçoit Mona Jafarian. D'origine iranienne, Mona arrive en France à l'âge de 1 an. Bonne élève, elle fera une école de commerce pendant quelques temps avant de se découvrir une passion : Décoratrice d'intérieur. Il y'a onze ans, elle fit la rencontre de Cadio son époux. Plus tard ils se marieront et auront deux enfants. Maman d'une petite fille en situation de handicap, Mona se bat quotidiennement afin que Panthéa puisse être scolarisée. Elle dénonce le manque de moyens, de structures et de considération pour les enfants en situation de handicap. Au fil d'un échange poignant, elle se livre sur son quotidien, sur ses différents combats et n'hésite pas à nous sensibiliser sur le handicap. 

Cette semaine LeChair reçoit Malik Bentalha. Originaire du Gard, Malik voit le jour en Mars 1989. Bon élève, il a beaucoup de facilité. Fan de football et de comédie, Malik se met à rêver en grand. Sur les conseils de Madame Dupuis (professeur d'espagnol) , il rejoint la capitale après l'obtention de son Bac ES. Arrivé sur Paris, Malik s'inscrit aux cours Florent dans l'optique de poursuivre son "rêve" de devenir comédien. Contraint d'arrêter par la suite car le cursus était onéreux, il trouva son salue dans le stand up. En effet, il accumule les représentations et un jour il se fait repérer par Jamel Debbouze... Des semaines plus tard, il rejoindra officiellement la troupe du "Jamel Comedy Club " gagnera en notoriété et sera même considéré comme étant l'un des meilleurs de sa génération. Ses remarquables performances l'emmèneront également au cinéma " Pattaya, Taxi 5 ou dernièrement Jack Mimoun". Au fil d'une longue conversation, Malik dresse un constat lucide sur sa carrière, les difficultés de son métier, son amour pour la jeunesse et nous divulgue quelques précieux conseils.  

Cette semaine LeChair reçoit l'ancien rappeur du groupe "Outlawz" Mutah Beale anciennement Napoleon. Mutah est né dans le New Jersey à la fin des années 70. Après l'assassinat de ses parents lorsqu'il n'avait que 3 ans, Mutah fut élevé par ses grands parents. Jeune, il commence à se passionner pour le rap et à l'adolescence, commence à écrire ses premières poésies ainsi que ses premiers textes de rap. Influencé par les rappeurs de la côte ouest américaine, il commence à prendre la discipline très au sérieux. Un peu plus tard, il fit la rencontre de Kadafi rappeur du New Jersey et accessoirement cousin du célèbre rappeur 2pac. Une rencontre est organisée et ce dernier décide de le prendre sous son aile : C'est la naissance de Napoleon le rappeur. En compagnie de ses amis d'enfance, ils forment alors le  groupe "Outlawz". Cette expérience fut enrichissante mais à la fois douloureuse. En effet, les rivalités, et le climat hostile qui régnaient à l'époque ont provoqué la perte de Tupac Shakur et Notorious BIG. Après plusieurs certifications avec son groupe, Mutah sent qu'il est l'heure pour lui de tourner la page avec l'industrie musicale. Il découvre l'islam, trouve la paix et décide de s'installer en Arabie Saoudite. Au fil d'un bel échange, Mutah nous parle de sa nouvelle vie d'entrepreneur, son ancienne carrière musicale et n'oublie pas de distiller de précieux conseils... 

Cette semaine LeChair reçoit l'agriculteur et humaniste Cédric Herrou. Cedric voit le jour à la fin des années 70 à Nice. Agriculteur de formation, le public français le découvre en 2015. En effet, vivant dans la vallée de la Roya, il aide et accueille les migrants en provenance d'Italie. Ses actions lui ont valu des gardes à vues ainsi que des procès. Au fil d'un bel échange, Cedric nous parle de son quotidien, des menaces qu'il subit ainsi que des actions qu'il mène. 

D'origine Cap-verdienne, Aurélien est né au Sénégal en 1970. Il arrive en France à l'âge de 3 ans sans ses parents et est placé à l'orphelinat. Pus tard, il rejoindra une famille d'accueil dans l'est de la France. Après l'arrivée de sa mère, Aurélien s'installera à Villejuif et fit très jeune la découverte du sport. En premier lieu le Basket et enfin le Kickboxing. Des années plus tard, il deviendra une référence dans ce sport. Champion du monde, il raccroche les gants en 2011 à l'âge de 41 ans. Oncle de Stomy Bugsy, Aurélien nous parle de son amour pour le sport, sa construction en tant que homme loin de sa fille et nous distille de précieux conseils sur l'alimentation.

Cette semaine 500 reçoit Dj Snake. Originaire d'Ermont dans le Val d'Oise, William voit le jour en 1986. Franco- Algérien, il grandit avec sa mère et son petit frère. Très tôt, il se passionne pour le DJing après avoir vu la fameuse scène de Cut Killer dans le film "La haine ". Il s'entraîne à mixer dans sa chambre, dans les fêtes de quartiers et acquiert une certaine renommée au sein de sa ville. Des années plus tard, il obtiendra un travail en tant que vendeur chez le disquaire "Samad records " où il voyait ses idoles tels que Dj Mehdi (Paix à son âme), Dj Abdel, Cut Killer... cette expérience fut salvatrice au point de se voir proposer de mixer au gibus ou encore de faire les premières parties de Dj Abdel. En 2009, il s'envole vers les États Unis en espérant un meilleur avenir. Il fit la rencontre de ses artistes favoris mais déchante. Ce n'est que plus tard en 2013 qu'il fait sensation avec la chanson " Turn down for what " qui va le hisser à la tête des charts. À partir de ce moment, sa vie ne sera plus du tout la même... Au fil d'un bel échange, Snake nous parle de son parcours, ses ambitions, son amour pour l'Algérie et n'hésite pas à distiller quelques précieux conseils. 

Cette semaine 500 reçoit Despo Rutti. D'origine congolaise, Despo a vu le jour au début des années 80 à Kinshasa. Très tôt, en compagnie de sa fratrie, il part s'installer à Brazzaville où sa mère exerce en tant que commerçante. Ce n'est qu'à l'âge de 10 ans, que la famille posera ses valises en France. D'abord dans le 19ème arrondissement de Paris ou il s'accommodera rapidement avec les codes français, Paris 17, St Denis et enfin les Pavillons sous bois. Adolescent, il découvre le rap par le biais de ses cousins mais c'est en écoutant la célèbre compilation "hostile 1996" qu'il prendra l'ampleur de ce mouvement. De fil en aiguille, en compagnie de quelques comparses, il s'exerce à son tour et le résultat est prometteur. C'est à l'aube de l'an 2000 qu'il fera la rencontre de son futur producteur "Coco" et à deux fondèrent le label "Soldats sans grade ". Après une solide reconnaissance dans le  milieu "underground" , Despo se voit proposer de faire une apparition sur la célèbre compilation Hostile 2006. Il y répond favorablement et sa chanson "Arrêtez" le fit remarqué aux yeux du grand public. Fort d'une carrière de plus de 15 ans, Despo nous dresse avec sincérité son bilan, nous parle de ses embûches et n'hésite pas à distiller des conseils qui serviront à tous. 

Cette semaine 500 reçoit l'ancien footballeur et désormais agent de joueur Amadou Konté. Amadou grandit en région parisienne et plus particulièrement dans la commune de Vitry sur Seine. Très tôt, il développe un amour pour le football. Repéré au sein de son club natal, il part poursuivre son rêve en rejoignant les rangs de Créteil. Après quelques années ponctuées par de belles saisons, il intègre le centre de formation de Beauvais. Attaquant, il se distingue par sa puissance et ses belles performances lui feront signer professionnel dans un club phare : le FC Porto. Nouveau statut, Amad est entouré de joueurs pléthoriques. Entraîné quelque temps par José Mourinho, il s'envolera vers d'autres cieux (Grèce, Angleterre, Ecosse...)à la recherche de temps de jeu. Il met un terme à sa carrière à l'âge de 32 ans seulement et se consacrera par la suite à une carrière d'agent de joueur. Au fil d'une belle conversation, Amad comme on le surnomme nous parle des dangers du monde du foot, des pièges à éviter et n'hésite pas à distiller quelques précieux conseils. 

Cette semaine 500 reçoit l'entrepreneure Aïta Magassa. D'origine mauritanienne, Aïta grandit dans l'Essonne et plus particulièrement dans la commune d'Angerville. Très jeune, elle avait déjà l'ambition de créer et d'entreprendre. Après de nombreuses réussites sur le plan professionnel, elle décide de monter sa propre agence immobilière qui se nomme "Nawali". Créée en 2018, cette société novatrice ne cesse de croître avec un chiffre d'affaire estimé à plus de 2 millions d'euros. Au fil d'un bel échange la fondatrice de Nawali nous parle de la genèse de sa société, son émergence et distille des conseils qui serviront à tous.

Cette semaine 500 reçoit le rappeur, acteur et écrivain MC Jean Gab'1. Né en 1967, Charles de son vrai nom grandit à Paris dans le 19ème arrondissement. Féru de sports, il pratique des le plus jeune âge le Rugby ou encore la Boxe... Mais c'est en 1977 que sa vie bascule. En effet, c'est avec stupeur qu'il apprend que son père vient d'assassiner sa mère. Résultat des courses, sur décision de la juge, toute la famille se retrouve placé à la DDASS et il y reste jusqu'à ses 18 ans. De retour à Paris en 85, il fait la découverte d'un nouveau mouvement, le HIP HOP. Il s'adonne à la danse, au graffiti... et parallèlement il intègre une bande : les requins vicieux. La débrouillardise est le mot d'ordre et P'tit Charles comme on le surnomme fera quelques séjours derrière les barreaux. À sa sortie, il décide de mettre le cap sur l'Allemagne et là aussi, il connaîtra des mésaventures qu'il lui ont valu de purger une peine de cinq ans de prison pour vol à main armées. Nous sommes au début des années 2000 et Charles commence à écrire des textes sous le pseudonyme de MC Jean Gab'1. Il fera carrière dans la musique, ce qui lui ouvrira les portes du cinéma ou nous avons pu l'apercevoir dans des films réussis comme Black, Banlieue 13 ou encore seul two... Au fil d'un bel échange, MC Jean Gab'1 revient sur sa carrière et son parcours de vie. 

Cette semaine 500 reçoit le journaliste Walid Acherchour. Ce stanois d'origine a vu le jour en 1993. Passionné par le football dès le plus jeune âge, il a foulé de nombreux terrains en tant que joueur et supporter., sous la houlette de son papa, son premier fan. Elève avec des capacités, Walid ne trouve pas sa voix dans les études. Il obtient malgré tout un Bac pro commerce. Fan des émissions de foot, il prend son courage à deux mains, appelle la fameuse radio RMC et débat en direct avec Daniel Riolo. Cette émission fut un déclic pour lui : il veut être journaliste footballistique. Pour se faire , il tente l'école de journalisme, mais il échoue. Il n'abdique pas et persévère. Il se fait connaitre dans ce milieu et réussi à gagner sa place de chroniqueur dans l'after foot sur RMC ! Plébiscité par son travail & reconnu pour être l'un des meilleurs à son poste, il anime également la chaîne YouTube le Club des 5. Au fil d'une belle conversation, Walid nous parle de son abnégation, de son amour pour le foot et rend un bel hommage à ses parents qui l'ont supporté dès la première heure.  

Cette semaine 500 reçoit l'entrepreneur Chef Abdou. D'origine sénégalaise, Chef Abdou grandit dans les Yvelines à Elancourt. Diplômé d'un BEP restauration, Abdou se met à rêver et à croire en un avenir meilleur. Après de multiples expériences au sein de différents restaurants, il gagne en confiance et en compétence. Quand le Covid a obligé les restaurants à fermer leurs portes, Abdou a eu la malice de proposer ses services à une clientèle afin de cuisiner à leurs domiciles. Résultat des courses : carton plein. Il gagne en renommé, travaille avec des sportifs tels que Didier Drogba ou encore Serge Aurier.. Au fil d'une belle conversation, Chef Abdou nous parle de son ambition, rend hommage à ses parents et n'hésite pas à distiller quelques précieux conseils.  

Cette semaine 500 reçoit TiTo Prince. Congolais d'origine, TiTo voit le jour en région parisienne au milieu des années 80. Ayant vécu dans le Val d'Oise la majeure partie de son enfance, c'est à l'âge de 17 ans qu'il pose ses valises chez sa tante domiciliée à Vigneux sur seine. Élève talentueux, il décroche son bac scientifique. Son arrivée dans le 91 coïncide également avec sa découverte du rap. Sous l'impulsion des aînés de Vigneux, il se prend au jeu et s'améliore à vitesse grand V. La rencontre avec Ol Kainry est également déterminante et lui fait franchir des paliers. Après une bagarre, Tito Prince se fait lâchement agressé et frôle la mort. Se remettant en question, TiTo se pose des questions existentielles sur le sens de la vie en se rapprochant du christianisme... Au fil d'une longue discussion, Tito nous parle de son bonheur, de son amour pour la musique, sa famille, ses ambitions ainsi que sa nouvelle casquette d'entrepreneur.  

Cette semaine LeChair reçoit Jason Brokerss. D'origine marocaine, Jason Brokerss voit le jour à la fin des années 80 dans l'Aube. Issue d'une famille de classe ouvrière, il grandit au sein d'une fraterie de six enfants. Excellent élève, il fait la fierté de ses parents et de ses proches. En 2007, Jason emménage sur Paris afin de poursuivre son parcours scolaire. Bac +5 en poche, il décide parallèlement de faire de l'humour. Poussé par ses amis qui lui trouvent un talent hors pair, il décide de monter sur les planches. Le succès est au rendez-vous et quelques temps plus tard, il intègre la troupe du Jamel Comedy Club. Aujourd'hui, Jason remplit les salles de spectacles, vit de sa passion et aspire à faire davantage... Au fil d'un bel échange, Jason nous retrace son parcours, nous parle avec franchise des coulisses de son métier et distille quelques précieux conseils.  

Cette semaine nous recevons pour la seconde fois Ousmane Badara aka Alpha 5.20. Originaire du Senegal, Alpha atterrit en France dans les années 90 afin de poursuivre sa scolarité. N'ayant pu continuer les études, il s'est orienté vers l'entrepreneuriat et le RAP plus précisément. Ce fan de Master P a su mettre à profit son savoir faire auprès du Ghetto Fabulous Gang et était une figure incontestable de la scène hip-hop française. A la table de 500, celui qu'on appelle aussi Gun's Poppin nous partage sa vision de la société, sa vision d'entrepreneur et des nombreuses ambitions qui l'anime.  

Cette semaine, 500 reçoit Soprano. Né à Marseille en 1979, Saïd est l'aîné d'une fratrie de 5 enfants. Originaire des Comores, son père arrive au début des années 70 en aspirant à une vie meilleure. Enfant, Saïd est casanier. Ses journées sont rythmées par l'école et la mosquée. Nous sommes au milieu des années 90 quand il découvre la musique et le rap en particulier. En compagnie de ses cousins Vincenzo, Alonzo et de son ami de longue date Sya styles, ils décident de créer le groupe Psy 4 de la Rime. Programmés dans de nombreuses fêtes de quartiers, le groupe se fait une renommée au point d'être repérés par Akhenaton. Ils rejoindront plus tard la Cosca. Fort d'une brillante carrière en groupe, Sopra se lance en solo. Encore une fois, le succès est au rendez-vous. Albums couronnés de certifications, tournées à guichet fermé, on peut dire qu'une superstar est née ! Au fil d'une longue discussion, Sopra nous parle de son amour pour son pays d'origine les Comores, sa vision de la société, rend hommage aux disparus et n'hésite pas à prodiguer de précieux conseils. 

Cette semaine, 500 reçoit Fababy. Né à la fin des années 80, Fababy est le cadet d'une fratrie de sept enfants. Élevé par sa mère, il a très tôt été attiré par la musique en observant notamment les Poetic Lovers qui chantaient au pied de son immeuble. Fervent amateur de zouglou (musique ivoirienne), ce n'est que plus tard qu'il décida de chanter et se lancer dans le rap. L'année 2008 marque le début de sa carrière. Il fait la rencontre de Despo Rutti et à eux deux sortent le fameux " Saint Valentin avec la bâte de base-ball " qui fera office de carte de visite. Plébiscité, il se fait un nom dans le microcosme du rap français à tel point qu'il est remarqué par Lafouine qui le signera dans son label "Banlieue sale music". Parfois adulé, souvent décrié, Fababy n'en demeure pas moins un Homme engagé. Il nous dresse un constat lucide sur son parcours, nous parle de l'amour qu'il porte à son continent l'Afrique et n'hésite pas à distiller des conseils à la nouvelle génération.  

Cette semaine, 500 reçoit la Ouïghour Dilnur Reyhan. Née dans le début des années 80 au Turkestan, Dilnur est une excellente élève. Elle poursuit ses études en chine où elle découvre la difficulté d'être Ouïghour. En effet, victime d'agressions, de discriminations... elle a un but : rejoindre l'occident et dénoncer le génocide des Ouïghours. C'est en 2004 qu'elle pose ses valises en France. Après une période d'adaptation, elle décide de créer une association OGHOUZ et fut présidente jusqu'en 2019. Cette doctorante en sociologie se bat afin de faire reconnaître ce génocide contre comme crime contre l'humanité. 

Cette semaine, 500 reçoit le footballeur Younousse Sankhare. Né à Sarcelles en 1989, Younousse grandit dans la commune voisine de Pierrefitte sur Seine. Issu d'une famille nombreuse, il commence à pratiquer le football très jeune pour imiter son grand frère qui jouait à un haut niveau (Red Star). Licencié dans le club de sa ville, il est rapidement repéré par le PSG qu'il intègre en 2004. Étant souvent surclassé de catégories, les formateurs sont unanimes concernant son talent et en 2007, il signe son premier contrat professionnel avec son club formateur. Nous sommes en 2007, Arsenal reçoit et organise un tournoi dans son enceinte où le Psg et l'Atletico Madrid entre autres sont conviés. Les spectateurs découvrent le jeune Younousse qui défient ses adversaires avec plein d'assurance et d'autorité.. En manque de temps de jeu, il est prêté dans différents clubs afin de s'aguerrir (Reims, Dijon, Valenciennes) avant d'être transféré à Guingamp et remporter la coupe de France en 2014. International sénégalais, Younousse nous parle de sa carrière, de sa dernière expérience à Giresunspor ou encore de ses péripéties avec les dirigeants de Bordeaux. Mais, il n'hésite pas à distiller des conseils à la jeune génération et nous parle avec passion de son métier de footballeur.  

Cette semaine, 500 reçoit le rappeur et acteur Stomy Bugsy. Né en 1972, ce sarcellois d'origine est ce qu'on peut qualifier un enfant du rap. Second d'une fratrie de trois enfants, Stomy a très jeune été influencé par cette nouvelle culture provenant des états Unis, le HIP HOP. Initié par son grand frère, il s'est mis à danser, taguer et par la suite écrire. La rencontre avec Passi, Hamed Daye, Bouboule et Kenzy fut également déterminante et à eux tous ont décidé de créer un groupe : le Ministère Amer. Fort d'un succès d'estime, Stomy décide de se lancer en solo et là, le succès est au rendez-vous. Rappeur et acteur à succès, Stomy est également un homme engagé socialement. Il se mobilise contre les violences policières, les expulsés de Cachan et est un membre actif du mouvement initié par Assa Traoré Justice pour Adama. Autour d'une longue discussion, Mysto nous retrace son parcours, nous parle fièrement de son amour pour le continent africain, de sa pièce de théâtre :" un jour j'irai à Detroit " et n'oublie pas de rendre hommage à celles et ceux qui ont fait de lui un homme accompli.  

Cette semaine, 500 reçoit Alonzo. Né à Marseille en 1982, Kassim est le cadet d'une fratrie de 7 enfants. Issu d'une famille de musiciens, Capo comme on le surnomme, a très vite pris goût à l'écriture. Ce passionné de foot a rejoint le groupe des Psy 4 de la rime à l'âge de 16 ans, en 1999. C'est une année charnière pour lui, il fit la rencontre d'Akenaton, membre du légendaire groupe IAM, qui l'intégrera dans la COSCA. Cette même année, il apprend qu'il deviendra papa. Il prit alors conscience que la musique pourrait lui assurer une stabilité. Artiste reconnu et plébiscité, Capo nous parle de sa carrière, de l'amour pour son pays d'origine les Comores, de sa ville de naissance Marseille et des Quartiers Nords dont il est une figure importante.  

Une semaine de sensibilisation aux drogues, un fléau qui touche beaucoup de monde. 3 épisodes, 3 points de vue différents viendront ponctuer cette semaine. Voici le premier de la série #Ditesnonàladrogue ! Pour clôturer la semaine, 500 reçoit le policier Rida. Etant en première ligne, Rida nous parle de ce qu'il voit tous les jours sur le terrain. Il évoque la justice et ses obligations de part sa fonction mais aussi de son ressenti à lui, Rida, marocain et policier aujourd'hui en France.  

Une semaine de sensibilisation aux drogues, un fléau qui touche beaucoup de monde. 3 épisodes, 3 points de vue différents viendront ponctuer cette semaine. Voici le premier de la série #Ditesnonàladrogue ! Aujourd'hui, 500 reçoit Tarak Sassi, riverain et membre du collectif Paris anti-crack. Ancien catcheur et originaire du sud de la France, Tarak s'installe à Paris en 2007. De nature joviale, il prend un immense plaisir à découvrir la vie parisienne. Ce n'est que plus tard que les ennuis commencent. Habitant du 18ème arrondissement de Paris, il a vu au plus près le crack faire des ravages. La colline du crack jouxtant son quartier, il voit la toxicomanie au plus près. Pour denoncer ce fléau, il monte le collectif Paris anti crack et souhaite par dessus tout trouver la paix et que les toxicomanes soient réellement accompagnés.  

Une semaine de sensibilisation aux drogues, un fléau qui touche beaucoup de monde. 3 épisodes, 3 points de vue différents viendront ponctuer cette semaine. Voici le premier. #Ditesnonàladrogue Cette semaine, 500 reçoit Justine, toxicomane. Cette provinciale débarque à Paris pour ses études de théâtre. Fêtarde ou épicurienne comme elle se qualifie, consomme plusieurs types de drogues. Jusqu'au jour où elle vient à consommer du crack.. Elle ne le sait pas encore mais sa vie va basculer à partir de ce moment là. Désormais, Justine fréquente la colline du crack et se démène chaque jour pour trouver sa/ses dose(s), car malheureusement une seule ne lui suffit pas. Elle fait la manche, se prostitue, cherche par tous les moyens à se faire de l'argent pour acheter son sésame. Justine, amoureuse, rêve de s'en sortir, de fonder une famille. Elle demande plus d'aides de l'état, un substitut à cette drogue qui lui permettrait de s'en sortir.  

Cette semaine, 500 reçoit Isha. Natif de Bruxelles, Isha voit le jour au milieu des années 80. Cadet d'une fratrie de cinq enfants, Isha est très tôt passionné par la musique et le rap en particulier. Les yeux rivés vers l'hexagone, il grandit en écoutant Salif ou encore le Secteur Ä. À la suite du divorce de ses parents, il est balloté entre leurs différents domiciles. En désaccord avec son père sur pas mal de sujets, Isha se considère comme étant un marginal et en 2006, il passera même par la case prison. Celui qui se faisait appelé Psmaker, rappe et prend du plaisir sans toutefois vivre de sa passion. Nous sommes en 2010 et Isha pose ses valises chez de la famille à Sarcelles. Il découvre une nouvelle famille et un tout autre environnement. Entre travail et errance, Isha peine à trouver sa voie. Ce n'est que plus tard, après un retour en Belgique que le public découvrira Isha le rappeur. Plébiscité pour son écriture, il a conquis un public qui se reconnaît à travers son vécu et ses paroles. Au fil d'une discussion riche en émotion, Isha se livre à cœur ouvert sur son passé, son avenir ainsi que les ambitions qui l'anime. 

Cette semaine, 500 reçoit Lucas. Né au Brésil en 2002, Lucas est à peine âgé de 20 ans. Fils de narcotrafiquant, il est placé dans un un foyer à Sao Paolo en compagnie de ses petits frères et sœurs. Ayant grandit dans les favelas, les services sociaux craignent pour sa vie car mal entouré... C'est à l'âge de 12 ans qu'il fut adopté par une famille française et arrive en Seine et Marne à Villeparisis. L'acclimatation se deroule plutôt bien jusqu'à l'annonce de la grossesse de sa copine. Souhaitant garder l'enfant contre l'avis de son père adoptif, il quitte le domicile familial et part s'installer ... dans sa voiture à la gare de Versailles chantier.  

Cette semaine, 500 reçoit l'international centrafricain et joueur de l'Atletico Madrid Geoffrey Kondogbia. Né au début des années 90 à Nemours, Geoffrey est très jeune pris de passion par le foot. Élevé au sein d'une fratrie de cinq enfants, Geoffrey grandit entre le 77 et le 94 après le divorce de ses parents. Licencié au club de Moissy Cramayel ou d'autres talents ont plus tard émergés (Kingsley Coman notamment), Geoffrey se fait repérer par le RC Lens et rejoint le club à ses 11 ans. Remarqué pour ses aptitudes physiques et techniques, il gravit les échelons sans difficultés et l'âge de 17 ans finit par signer son premier contrat professionnel. Après une année en ligue 2 où il s'impose en tant que titulaire, il s'en va rejoindre le FC Séville. Encensé en Espagne, il revient en France en signant à l'AS Monaco avec un nouveau statut. Après 2 ans de bons et loyaux services, il rejoindra l'Inter Milan, Valence et enfin l'Atletico Madrid sous les ordres d'un certain Diego Simeone. Au cours d'une belle conversation, Geoffrey nous livre les secrets de sa réussite, nous parle de son amour pour la Centrafrique, le continent africain et retrace son parcours avec ferveur et justesse. 

Cette semaine, 500 reçoit pour la seconde fois Driver. Dans le cadre de la promotion de son premier ouvrage intitulé " J'étais là " co-écrit par Ismael Mereghetti, Driver nous raconte les coulisses de la rédaction de son livre. En effet, ce sarcellois d'origine a entendu les réclamations du public et s'est pris au jeu. Entre des anecdotes dont il a le secret, son point de vue sur sa carrière où encore ses rencontres les plus farfelues, Driver nous dit tout.  

Cette semaine, 500 reçoit la journaliste et auteure Aude Lancelin. Tourangelle de naissance, Aude voit le jour au début des années 70. Élève studieuse et fille d'un inspecteur académique, elle est contrainte de déménager régulièrement. Bac scientifique en poche, elle poursuit ses études au lycée Henri IV et obtient une licence en littérature. Quelques années après, elle décroche un Master de philosophie. L'année 2000 marque le début d'une carrière journalistique. Après plusieurs expériences, elle prend la direction de la rédaction de Marianne puis de l'Obs. Après des expériences remarquées et un système qu'elle dénonce Aude décide de lancer son média QG. Au fil d'une longue conversation, elle dresse un constat amer sur la non liberté des médias, les mouvements de société et nous donne son avis sur le climat politique. 

Cette semaine, LeChair' reçoit Kamelancien. Natif du Kremlin Bicêtre, Kamel grandit au côté de ses nombreux frères et sœurs. Amoureux du rap New yorkais depuis sa tendre enfance, il se met à écrire. Son talent l'emmène à se faire repérer et avec ses amis, ils décident de former le groupe 109. Après des apparitions remarquées sur les différentes compilations, Kamel se distingue et commence à se faire un nom dans le Val de Marne. Plus tard, Il fit la rencontre de Rohff et à deux enregistrent les fameux titres "À quoi bon sert" et "Code 187". Fort d'une carrière à succès, il est malheureusement confronté aux péripéties de ce milieu. Kamel nous parle à cœur ouvert de sa dépression qui a duré plus de deux ans, de la perte de son père ainsi que de sa longue traversée du désert. Au fil d'une discussion riche en émotion, Kamel se livre à cœur ouvert sur son passé, son avenir ainsi que les ambitions qui l'anime. 

Cette semaine, 500 reçoit Sudehy. Né au Cameroun, Sudehy arrive à Paris au début des années 2000. Envoyé dans l'hexagone afin de poursuivre ses études, il atterrit chez son frère à Gennevillers. Malgré de grandes capacités décelées par ses professeurs, Sudehy finit par éprouver un désintérêt. Le décès de sa mère fait effet d'un électrochoc. En effet, c'est à l'âge de 17 ans qu'il voit sa vie changer à jamais. Au lieu de se morfondre, il comprend qu'il se doit d'être utile dans la vie et surtout de réaliser le rêve de sa mère qui était la poursuite des études. Il finit par être diplômé et parallèlement aux études se lance dans l'entrepreneuriat. Ses premiers échecs l'ont forgé et c'est quelques années plus tard qu'il devient Coach mental. Ses conférences dans l'hexagone font de lui l'un des meilleurs de son domaine. Au fil d'une discussion riche en émotion, Sudehy se livre à cœur ouvert sur son passé, son avenir ainsi que les ambitions qui l'anime.  

Cette semaine, 500 reçoit le footballeur et international comorien Chaker Alhadhur. Ce nantais d'origine voit le jour au début des années 90. Très jeune et afin d'éviter d'errer dans son quartier, son père décide de l'inscrire au sein du club de la ville qui n'est autre que le football club de Nantes Atlantique. Salué pour ses performances et ses qualités, Chaker gravit les échelons de toutes les catégories jeunes et finit par signer son premier contrat professionnel en juin 2011. En manque de temps de jeu, Chaker est prêté dans la foulée à Épinal en national afin de s'aguerrir. Son parcours de footballeur l'emmènera dans différents clubs Nantes, Épinal, Châteauroux, Caen et enfin Ajaccio. Mais ce n'est qu'en février 2022 durant la can disputée au Cameroun que le grand public le découvre. En effet latéral de formation, Chaker se retrouve gardien de but pour pallier l'absence de ses coéquipiers. Geste salué par tous les amateurs de ballons et plus encore... Au détour d'une belle conversation, il nous livre sans détour son expérience de la coupe d'Afrique des nations, ses nouvelles ambitions et nous parle de son amour pour les Comores. 

Cette semaine, 500 reçoit le rappeur et entrepreneur H Magnum. C'est au milieu des années 80 en Côte d'Ivoire que le dream, comme on le surnomme, voit le jour. Après le divorce de ses parents, sa mère s'en va s'installer à Paris et ce n'est qu'à l'âge de 8 ans qu'il s'en va la rejoindre. Entre la vie de rue et ses difficultés scolaires, H est un enfant perturbé. Au carrefour de ses péripéties, il embrasse l'Islam et se redécouvre. Egalement passionné de rap, c'est à cet même période qu'il rencontre les membres de la sexion d'assaut. Désormais acteur de ce mouvement, H magnum nous livre les secrets de sa réussite, son parcours semé d'embûches et n'hésite pas à distiller quelques précieux conseils. 

Cette semaine, 500 reçoit la députée et Présidente du groupe parlementaire Mathilde Panot. Cette tourangelle d'origine a vu le jour à la fin des années 80. Issue d'une fratrie de quatre enfants, Mathilde grandit dans la banlieue d'Orléans. Élève studieuse et titulaire d'un Master en relation internationale, Mathilde intègre en tant que bénévole le milieu associatif où elle part à la rencontre des habitants en situation de précarité. Désormais présidente du parti LFI (La France Insoumise) Mathilde nous dresse le constat de la vie politique, nous parle des ambitions de Jean Luc Mélenchon et se livre à cœur ouvert sur les combats qui l'anime. Un bel échange à l'aube des élections présidentielles 2022. 

Cette semaine, 500 reçoit le doctorant Joao Gabriel. Originaire de la Guadeloupe, Joao a vécu une enfance paisible. Élève intéressé et curieux, il a rapidement développé une soif d'apprendre son histoire, ses origines et de mieux connaître la diaspora. Arrivé en métropole deux ans après son bac, il s'installe en région parisienne et poursuit ses études d'histoire. Ayant goût pour la découverte, il approfondi ses recherches et se spécialise en tant qu'historien au sein de la diaspora africaine. Au fil d'une longue conversation, Joao se livre à cœur ouvert. Il nous parle de la situation de pandémie au sein de la caraïbe française, sa première fois en Afrique subsaharienne, la manifestation antivax en Guadeloupe où encore les dégâts du chlordécone.  

Cette semaine, 500 reçoit l'acteur et réalisateur Tony (Mpoudja) Harrisson. Tony est né à Paris au début des années 80. Quelques temps plus tard, la famille Harrisson pose ses valises à Sarcelles. Enfant débrouillard, Tony est passionné par le sport et le basket en particulier. Plus tard alors étudiant au lycée et attiré par l'acting, il se lance et participe au casting du futur film à succès La Squale. Casté parmi 2000 candidats, la carrière de Tony se lance et de surcroît de très belle manière. Couronné au festival de Paris avec le titre de jeune espoir, Tony enchaîne les prestations remarquables : " Dans tes rêves", "24 Jours" ou encore "La mer à boire". Au fil d'un bel échange, il nous livre sans détour son parcours en tant qu'acteur, les problématiques liés à son environnement social et distille sans sourciller de précieux conseils.  

Cette semaine, 500 reçoit le journaliste et auteur Aymeric Caron. Ce journaliste et fan de hard rock a vu le jour en 1971 à Boulogne-sur-mer. Fils d'une mère néerlandaise, Aymeric a baigné dès son plus jeune âge entre 2 cultures et religions. A 12 ans, après avoir vu un documentaire à la télé, il se découvre l'envie d'être un reporter de guerre. Il fait alors des études de journaliste et obtient avec brio son diplôme à l'école de journalise de Lille. Diplôme en poche, il part alors à Shanghai exercer pendant 2 ans puis atterrit chez Canal + et couvre différents conflits comme ceux du Kosovo, de l'Afghanistan ou encore l'Irak. Il passe ensuite par Europe 1, Direct 8 pour finir chroniqueur dans l'émission de Laurent Ruquier "On n'est pas couché" en 2012. L'émission qui le révèlera comme un journaliste qui ne se laisse pas faire et qui dit ce qu'il pense ! Depuis, Aymeric a sorti plusieurs livres dont son dernier "Nous mourrons de nous être tant haïs". Un bel échange où Aymeric nous parle de sa carrière, de son amour pour l'écriture, de ses idéologies politiques et nous décrypte la France d'aujourd'hui.  

Cette semaine, 500 reçoit l'ancien bandit et désormais comédien David Desclos. Ce normand a vu le jour au début des années 1970 et a grandi à Caen. Elevé dans une fratrie de 3 enfants, il est issu d'une famille de classe moyenne. Avec un papa en situation de handicap physique, David a dû très vite se débrouiller seul et voler de ses propres ailes. Il tombe dans la délinquance et ses larcins lui ont valu plusieurs séjours derrière les barreaux.   Dans son malheur, il a eu la chance d'avoir son épouse toujours présente à ses côtés. C'est d'ailleurs elle qui l'a aidé à se remettre sur les rails. Attiré par le théâtre et la comédie, à sa sortie de prison il décide de croire en ses rêves. Il fait la rencontre de Stomy Bugsy et ils produisent à eux deux, son spectacle à succès : Ecroué de rire. Entre ses différentes prises de position, son implication envers la jeunesse et les détenues en prison, David nous dresse un constat dur mais lucide.  

Cette semaine, 500 reçoit le chorégraphe et MC Abibou "Playmo" Kebe. Ce hip-hopeur a vu le jour au milieu des années 70 à Paris avant de s'installer quelques années plus tard dans la commune du val d'Oise, Saint-Brice-sous-Forêt. Fan de musique depuis son plus jeune âge, Abibou s'amuse a reproduire des chorégraphies avec ses sœurs dans le salon familial. De fil en aiguille, il rencontre différentes personnalités issus du milieu Hip-Hop. C'est à l'occasion d'une soirée à Sarcelles, qu'il fait la rencontre de Desh, futur producteur à succès. Etant ami avec Blacko, il initie le contact. Il sera le premier manager du groupe Sniper et amorcera la fameuse rencontre avec Joey Starr et BOSS. Dans son parcours, il est également important de rappeler qu'il fut le premier coach des danseurs à succès "Les Twins". Au fil d'un entretien riche, Abibou nous parle de sa motivation, de ses ambitions et de l'amour qu'il a pour la danse.  

Cette semaine, 500 reçoit le rappeur Bakhaw. D'origine sénégalaise, c'est à Marseille au milieu des années 80 que Bakhaw voit le jour. C'est à l'âge de neuf ans que sa famille et lui atterrissent au Blanc Mesnil (93) à la cité des Tilleuls. Très jeune, il découvre le rap par le biais de sa grande sœur qui lui présente KRIS KROS ou encore le célèbre Doc Gyneco. Pris par l'euphorie, il décide d'aller à sa rencontre et ces deux nouent une relation qui les lient jusqu'aujourd'hui. Backeur officiel du Doc, Boozoo (son ancien pseudonyme) parcourt la France, le monde et rêve secrètement de faire une grande carrière à son tour. Parallèlement, il se lance dans l'entrepreneuriat et ouvre notamment des restaurants en Thaïlande. C'est en 2010, que sa vie bascule de l'autre côté et qu'il se met à revendre des produits illicites. Ces mésaventures lui ont valu des séjours en prisons à Villepinte mais surtout en Martinique. En 2016, invité par Sofiane, Bakhaw se remet de manière plus sérieuse dans la musique et le travail porte ses fruits avec à la clé une signature chez Sony Music. Au fil d'un entretien riche, Bakhaw nous dresse son parcours, parle avec transparence et la franchise qu'on lui connait.  

Cette semaine, 500 reçoit le journaliste et Head of Hip-Hop France chez Apple Music, Mehdi Maizi. Né en Algérie, c'est à l'âge de quatre ans que Mehdi arrive en France. Avec ses parents, ils posent leurs valises à Montataire (60). Enfant studieux, le jeune Mehdi demeure un fan inconditionnel de football. La coupe du monde de football 1994 aux USA sonne d'ailleurs comme un déclic chez lui et le fait vivre quasi quotidiennement avec un ballon aux pieds. Collégien modèle, Mehdi est également un féru de musique. Rap, variétés, R&B toutes ces chansons l'ont aidé quant à sa construction. Bachelier scientifique, Mehdi poursuivra sa scolarité en école de commerce ou il décrochera son diplôme. Parallèlement, il décide d'écrire des chroniques et postule en tant que chroniqueur pour le journal l'Abcdr du son. Salué pour la qualité de ses écrits, Mehdi se fait repérer et fini par devenir journaliste au sein du même média. Des années plus tard, le média OKLM décide d'en faire le journaliste phare de leur nouveau programme intitulé La Sauce. Emission quotidienne où il invitera chaque jours différents invités. Au bout de quelques années de bons et loyaux services, Mehdi décide de voler vers d'autres cieux. En effet, repéré par Apple Music, ils décident d'en faire le french "Ebro" ! Au fil d'un entretien riche, Mehdi nous dresse son parcours, parle avec transparence et la franchise qu'on lui connait.  

Cette semaine LeChairman reçoit la judoka et médaillée olympique Audrey Tcheuméo. Née en 1990, Audrey grandit à Bondy en Seine Saint Denis. Fille de sportifs camerounais, elle pratique le football, le basket ball mais c'est dans le judo qu'elle s'épanouie. En effet, c'est à l'âge de 14 ans qu'elle découvre ce sport. Prise par passion, ses entraîneurs de l'époque trouve en elle du talent et une belle combativité. Repérée, elle poursuivra son apprentissage à l'INSEP qui demeure jusqu'à ce jour l'élite du sport français. Au fil des années, Audrey se professionnalise jusqu'à devenir une référence en tant que Judoka. Sélectionné en équipe de France pour les jeux olympiques de Londres en 2012, elle rafle la mise en remportant la médaille de bronze. Quatre ans plus tard, elle confirme les espoirs placés en elle en remportant la médaille d'argent aux jeux olympiques de Rio de Janeiro. Au fil d'un entretien riche, Audrey nous dresse son parcours, parle avec transparence avec la franchise qu'on lui connait.  

Cette semaine LeChairman reçoit la romancière Diary Sow. Passionnée de lecture et d'écriture depuis toute petite, Diary a grandit à Mbour avec ses 5 frères et sœurs. Elle qui rêvait d'être avocate s'est finalement tournée vers la science. Cette jeune étudiante sénégalaise arrive d'ailleurs en France en 2019 pour poursuivre ses études au lycée Louis-Le-Grand à Paris. L'écriture la passionne toujours, elle sort d'ailleurs  son premier roman en 2020 "Sous le visage d'un ange". Mais c'est surtout à cause de sa fugue en 2021, que Diary se fait connaître aux yeux du grand public. C'est d'ailleurs son histoire qui l'a inspirée pour écrire son deuxième roman sorti il y a un mois, intitulé "Je pars". Diary nous raconte son parcours, nous parle de sa fugue et de son roman.  

Cette semaine LeChairman reçoit l'ancien rappeur Ghislain Loussingui, plus connu sous le pseudonyme de Mystik. Arrivé en France en 1989, Mystik originaire de Pointe noire, débarque à Paris. Alors âgé de 11 ans, il rejoint sa mère fraichement arrivée d'URSS, où elle a poursuivit ses études. Très vite, il développe une attirance pour l'écriture, parallèlement à ses activités de footballeur. Début des années 1990, propulsé par l'émission RapLine d'Olivier Cachin, Mystik commence à écrire ses premiers textes de rap. Très vite remarqué par les producteurs locaux, il intègre le groupe Ménage à 3. Ce collectif a pour objectif de réunir plusieurs artistes provenant de la Seine et Marne comme Monsieur R ou Les 2Bal. Nous sommes en 1998, là où Le Congo est ravagé par des guerres civiles et des tensions. Passi du Ministère Amer décide de l'intégrer dans un collectif au coté de plusieurs artistes congolais pour tenter, à leur échelle, de ramifier le pays à travers un discours motivant. Chose réussie, le projet fut acclamé par le public et eut un bel accueil au Congo et sur le continent Africain. Mystik continue son ascension et participe au morceau "on fait les choses" de Première Classe. Vient après le plus gros succès de sa carrière : Le fruit défendu feat K-Reen. Auréolé de plusieurs certifications, Mystik voit sa vie changer. Le jeune artiste underground est devenue star du rap français. Malheureusement son 2e album connait moins de succès et il passe de désillusions en désillusions. Entre promesses non tenues et problèmes familiaux, il passe même par la case prison avant de sortir la tête de l'eau et se retirer du rap. Aujourd'hui il est revenu à son première amour, l'écriture. Il intervient d'ailleurs auprès de différentes structures, comme les MECS ou les clubs de prévention, pour sensibiliser et aider les jeunes. Au fil d'un échange riche, Mystik nous livre un discours poignant sur son parcours, ses échecs, ses apprentissages et ses réussites.  

Cette semaine LeChairman reçoit le cheminot Anasse Kazib. Né à Sarcelles en 1987, Anasse y passe une partie de sa jeunesse. D'origine marocaine et cadet d'une fratrie de 5 enfants, il s'en va vivre à Paris 18ème à l'âge de 11 ans. Fils d'un père ouvrier et d'une maman nourrisse, Anasse poursuit les pas de ce dernier et devient aiguilleur à la SNCF. Toujours concerné et à l'écoute du bien-être de ses collègues, il rejoint le syndicat Sud-Rail quelques années après son entrée dans l'entreprise. Trotskist, il participe d'ailleurs au mouvement contre la loi du travail, fervent militant de la mouvance gilet jaune et du comité Adama. Dans l'attente des 500 signatures, Anasse, membre du comité Révolution Permanente, décide de se présenter aux élections de 2022. Au fil d'un entretien riche, il nous dresse son parcours, parle sans transparence avec la franchise qu'on lui connait. 

Cette semaine 500 reçoit l'athlète Jean Baptiste Alaize. Né à Muyinga au Burundi en 1991, Jean Baptiste est un miraculé. Alors que nous sommes en plein génocide en 1994, JB et sa famille furent attaqués par les Hutus. Sous ses yeux à trois ans, il assiste au meurtre de sa mère. Lui, se fait attaquer à la machette et en conserve les séquelles. Amputé d'une jambe suite à cette agression, son père qui officiait en tant que chef des armées décide de l'envoyer en France pour se faire soigner et se faire adopter... C'est donc le 12 Juillet 1998 que JB arrive en France et découvre sa famille adoptive. Enfant vif d'esprit, il grandit à Bonlieu sur Roubion auprès de ses parents et de son frère adoptif. Ayant rapidement pris goût pour le sport, JB excelle dans son domaine et intègre l'INSEP en 2010. Quelques années plus tard, il devient le recordman du monde du saut en longueur des moins de 23 ans... Au fil d'une longue conversation animée, Jean Baptiste se livre, se libère et nous raconte son histoire qui assurément fait de lui un héros.  

Cette semaine 500 reçoit l'ancien rappeur et désormais entrepreneur Chef Hacene. Né au début des années 80 à Villepinte, Hacene grandit dans la commune voisine de Tremblay en France. D'origine algérienne et cadet d'une fraterie de cinq enfants, Hacène oscille entre la vie de quartier et son amour pour la cuisine. Cette vie de rue l'emmènera séjourner en prison pendant près de 30 mois pour tentative de meurtre.. Emblème d'un rap qui se proclamait comme authentique, Larsen comme il se faisait appeler était le porte étendard. Au côté de Samat, il a sillonné toutes les scènes underground du Pays. 2010 est l'année de la remise en question. À l'heure où il est plébiscité, contre toute attente, Larsen décide de tout abandonner. Fini les studios et autres concerts, il quitte le territoire et retrouve l'Algerie terre de ses ancêtres. En quête de spiritualité, il regrette son passé d'antan et étudie les sciences religieuses. Aujourd'hui installé à Marrakech, Chef Hacene comme il se fait désormais appelé est un entrepreneur hors pair. En effet, ce père de six enfants est à la tête de plusieurs "affaires" et est sollicité dans les quatre coins du monde pour son talent de cuisinier.. Au fil d'une longue conversation animée et sincère, Chef Hacene se livre, se libère, prodigue des conseils avec l'enthousiasme qu'on lui connaît.

Cette semaine 500 reçoit l'entrepreneur, l'ingénieur Pape Meïssa Tall. Ce sénégalais d'origine arrive à Paris au début des années 90 et loge à sarcelles, chez son frère. Issu d'une famille de 20 enfants, Meïssa arrive en France au prix de nombreux sacrifices. Excellent élève, il souhaite poursuivre ses études en France. Diplômé de polytechnique au Sénégal, il se spécialise en France dans l'automobile. Fraichement gradué de l'Ecole Centrale de Paris, Meïssa fait son entrée dans le milieu professionnel en tant que manager chez Otis. Expérience significative qui l'emmènera quelques années plus tard chez Deloitte Consulting où il a pu faire l'étalage de tout son savoir & de son talent. Au fil des années, il a su développer des compétences dans le consulting et le management à travers ses différentes expériences. Aujourd'hui, il est associé chez KPGM et est considéré comme étant l'un des meilleurs à son poste. Son expertise lui vaut même la sollicitation de certains gouvernement.. Au fil d'une longue conversation, Meïssa nous raconte son parcours inspirant, ses ambitions et sa détermination à tout épreuve.  

Cette semaine LeChair reçoit pour la seconde fois le militant Kemi Seba. Membre incontournable et figure emblématique du Panafricanisme, KS comme on le surnomme s'est livré à coeur ouvert. Cet autodidacte qui a plusieurs cordes à son arc (producteur, journaliste, chroniqueur, conférencier...) aborde certains faits d'actualités et n'hésite pas à nous livrer certains de ses secrets. Autour d'une longue discussion animée, KS nous donne son point de vue sur la politique en Guinée, ses futurs ambitions ainsi que son regard sur la jeunesse africaine. 

Cette semaine, 500 reçoit la journaliste Nesrine Slaoui. Née au Maroc, Nesrine arrive à Apt dans le Vaucluse à l'âge de trois ans. Fille d'ouvriers, elle grandit dans la cité de Saint Joseph auprès de sa mère et de son père, arrivé quant à lui quelques années plus tard du Maroc. Fille unique, elle se passionne dès son plus jeune âge pour la culture HIP HOP ainsi que la lecture. Élève studieuse, c'est avec brio que Nesrine traverse sa scolarité. Baccalauréat en poche, elle décide de suivre une préparation aux grandes écoles. Étape qui l'emmènera par la suite à sciences po où elle sera diplômée quelques années plus tard. Aujourd'hui journaliste, Nesrine dénonce le racisme et la discrimination présente dans sa corporation. Au détour d'une longue discussion, Nesrine nous livre sans concession son histoire, sa relation tout aussi importante avec les membres de sa famille, son amour pour la littérature sans oublier son amour pour le Maroc, son pays d'origine.  

Cette semaine, 500 reçoit l'entrepreneur Pape San. Né en 1995, Pape Sy (de son vrai nom) grandit à Montmagny puis à Montmorency (communes situées dans le Val d'Oise). Cependant, à 10 ans, sa mère décide de l'envoyer au Sénégal en compagnie de ses frères et sœurs et ce pendant quatre ans. Expérience enrichissante qui lui à fait comprendre qu'il était mieux loti que certains... Elève studieux et féru de mangas, Pape retourne en France à l'âge de quatorze ans ou il poursuit ses études. Après l'obtention de son baccalauréat, il intègre une préparation aux grandes écoles. Diplômé et ingénieur de fonction, Pape s'est installé en Corée du Sud ou il officie en tant que tel et nous fait part de sa vie à travers ses Vlogs. Au détour d'une longue discussion, Pape San nous raconte se livre sans concession sur son histoire, sa relation tout aussi importante avec les membres de sa famille ainsi que son amour pour la vie en Corée du Sud.  

Cette semaine LeChair reçoit le rappeur/producteur Barack Adama. Né en décembre 1985, ce parisien de naissance grandit dans le neuvième arrondissement de la capitale. D'origine sénégalaise-guadeloupéenne , cet adepte de breakdance s'émancipe en écoutant du rap. Fan de la scred connexion, AD comme le surnomment ses intimes, s'initie et commence à rédiger ses premières rimes en compagnie de Maska et de Maître Gims également originaires de Paris 9 ème. Plus tard, d'autres membres rejoindront la troupe et ensemble, ils formeront la Sexion D'assaut. Reconnus par leurs pairs, ils se feront un nom dans le milieu underground parisien mais l'accélérateur interviendra après la rencontre avec leur producteur Dawala. Après les consécrations (disques d'or et platines) et quelques polémiques, le groupe a eu envie de marquer une pause. Cela laisse plus de temps à Barack pour se diversifier. En effet, il met son écriture au service des autres artistes (Ghostwritting) et ouvre des partenariats avec l'enseigne (footkorner). Homme accomplit, il sait élargir son champ de compétence. Il est d'ailleurs à l'origine de la découverte de l'artiste en vogue du moment Tayc. Au détour d'une longue discussion, Barack se livre sans concession sur sa carrière, les polémiques avec la Sexion, son amour pour le continent africain et sa vision sur la société.  

Cette semaine 500 reçoit l'acteur Said Taghmaoui. Ce marocain d'origine voit le jour à Villepinte en Juillet 1973. Issu d'une fraterie de huit enfants, Said l'hyperactif, ne se retrouve pas dans les valeurs de l'école. C'est à l'âge de 13 ans alors en décrochage scolaire, qu'il réussi à dire "non" à sa conseillère d'orientation qui espérait le voir en C.A.P chaudronnerie. Enfance difficile, marquée par la perte de son frère Mohamed, Said se forge et va à la rencontre de son destin. Nous sommes à la fin des années 80 et le HIP HOP débarque fraîchement des États-Unis. Grand amateur de graffitis, Said s'initie et fait la rencontre de Mathias Cassel qui deviendra plus tard Rockin Squat. Entre graffitis et tournage de clips vidéos, Said fit la rencontre d'un homme important dans son parcours : Mathieu Kassovitz. En compagnie de Vincent Cassel et de Hubert Coundé, ils tournent le film qu'on ne présente plus :" La haine ". Film qui marque un tournant dans sa carrière aussi bien personnelle que professionnelle. Autour d'un échange animé, Said nous livre avec la franchise qu'on lui connaît, les clés de sa réussite, son amour pour la boxe et sa nouvelle vie aux États-Unis.  

Cette semaine LeChair reçoit le comédien Fabrice Eboué. Né à Maison Alfort dans le Val-de-Marne, Fabrice grandit dans la commune voisine de Nogent sur Marne. D'origine normande et camerounaise, il est le fils d'un père gynécologue et d'une mère professeure d'histoire. Second d'une fratrie de quatre enfants, Fabrice est un élève peu studieux. Il s'émancipe en écoutant du rap américain (West coast) tel que Eazy E, Compton Most Wanted, Ice Cube pour ne citer qu'eux... Il s'exerce également en tant que rappeur sous le pseudo de Mr Faf auprès de son acolyte de Joinville le Pont Aélpéacha. Quelques rimes plus tard, Fabrice se découvre une passion: Le One man show. Il écume les cafés théâtres de la capitale au point de se faire un nom et de se faire repérer par Jamel Debbouze qui l'intègre dans sa troupe du Jamel Comedy Club. Époustouflant selon l'avis du public, la carrière de Fabrice connaît un démarrage en trombe. Le cinéma lui fait les yeux doux, il produit, co-écrit, co-réalise et est considéré comme étant l'un des meilleurs de sa génération. Au détour d'une longue discussion, Fabrice se livre sans concession sur sa carrière, les polémiques  suscités avec le film Case Départ, son amour pour le rap et nous dresse un constat sur le monde actuel. Il distille également quelques conseils pour les plus ambitieux...

Cette semaine 500 reçoit le journaliste, chroniqueur, designer, manga addict : Sébastien Abdelhamid. Né au début des années 80 à Orléans (45), c'est dans la banlieue rouennaise à Canteleu (76) que Sébastien Godenu passe sa jeunesse. Ville ouvrière, classe moyenne, Sébastien est issu d'un milieu modeste. Vivant avec une mère et un beau père alcooliques, ce dernier a purgé une longue peine derrière les barreaux pour vol à mains armés. Spécialiste du vol à l'étalage, Sébastien est peu fier de ce passé qu'il regrette aujourd'hui. Élève moyen, ce passionné de mangas rejoint finalement son père biologique à Paris 20ème, qui est gravement malade. Parallèlement à cela, il se convertit à l'islam à l'âge de 17ans. Contraint de travailler pour subvenir aux besoins de sa famille, c'est à distance qu'il poursuivra ses études. Entre ses années en tant que chauffeur livreur ou encore sa fonction d'employé à la mairie de Paris, Sébastien nous livre un constat de sa vie sans concession. Au fil des rencontres de sa nouvelle vie parisienne, il fit la rencontre de Mouloud Achour qui officie alors comme manager d'un groupe de rap nommé La Caution. Cette rencontre fut déterminante professionnellement mais surtout personnellement... il nous raconte. 

Cette semaine, 500 reçoit Miss France 2019 en la personne de Vaimalama Chaves. C'est en Polynésie française que Vai grandit et s'émancipe. Fille d'une mère infirmière et d'un père travaillant dans la télécommunication, Vai a opté pour le marketing et a obtenu un master. Parallèlement à ses études, Vai concourt et est couronnée Miss Tahiti en 2018. Et un an plus tard, le diadème refait surface avec le sacre de Miss France 2019. Après avoir représentée fièrement la France tout au long de son mandat, Vai aspire a de nouvelles ambitions. Chanteuse, influenceuse, elle déborde d'énergie... Mais c'est en politique que Vai souhaite orienter sa carrière ! 

Cette semaine LeChair reçoit l'ancien braqueur Laurent Jacqua. Fils de militaire, il a été amené à bouger de ville en ville jusqu'à poser ses valises à Saint Ouen l'aumône au début des années 70. Ce jeune bout en train, passionné de musique, fit la rencontre de Lisa, femme clé de son parcours. Follement amoureux, ils décident de vivre ensemble et à son grand désarroi il découvre le travers de Lisa : l'héroïne... C'est en voulant la protéger d'une attaque de skined que Laurent fait feu sur ses assaillants jusqu'à provoquer la mort de l'un d'entre eux. Condamné, il découvre qu'il est atteint du virus sida. Entre peine et colère, Laurent parvient à s'échapper de prison à plusieurs reprises mais son amour pour sa femme, sa fille et l'écriture, lui ont permis de se relever et d'espérer un meilleur destin.  

Cette semaine LeChair reçoit le footballeur international sénégalais Abdou Diallo. Formé à l'AS Monaco, Abdou a rapidement pris son destin en mains. Ce tourangeau d'origine a fait ses classes en club dès son plus jeune âge.   Amoureux du ballon rond, Abdou n'hésitait pas à effectué des détections dans différents clubs en compagnie de l'international marocain Adam Ounas. Rapidement repéré par l'AS Monaco, Abdou intègre le centre de formation, se forme et parvient à devenir professionnel. Barré par la concurrence et en manque de temps de jeu, Abdou s'en va chercher du temps de jeu en Belgique dans le club du Zv Zulte waregem ensuite à Mayence en Allemagne avant d'être repéré par Lucien Favre qui le fait venir à Dortmund. À peine un an passé dans l'Est de la Rurh et Abdou s'en va poser ses valises sous d'autres cieux. En effet, Leonardo,  séduit par le profil du joueur l'invite à rejoindre le Paris Saint Germain proposition qu'il accepte. À travers cet échange, ce néo international sénégalais, se livre comme il ne l'a jamais fait. De l'absence de son père en passant par les coulisses du monde professionnel où encore des ambitions dans le domaine associatif, Abdou parle sans concession. 

Cette semaine LeChair reçoit l'imam Nader Abou Anas. Égyptien d'origine, c'est à Aubervilliers que Nader voit le jour. Aîné d'une fratrie de quatre enfants, Nader grandi et s'émancipe dans le 19 ème arrondissement de la capitale. Issu d'un milieu modeste et fils d'ouvrier, ce dernier poursuit ses études jusqu'à obtenir un BTS en informatique. Se qualifiant comme étant par moment "égaré " Nader, trouve en la religion musulmane un équilibre et un mode de vie qui lui correspond. Étudiant les sciences religieuses, il s'est spécifié dans la compréhension et la maîtrise de la langue arabe. Imam et Conférencier, il sillonne la France afin de rencontrer les fidèles et échanger avec ses pairs. Pour Ouihustle, Nader Abou Anas revient sur son parcours, les polémiques actuelles, les problèmes de société et nous parle de ses ambitions. 

Cette semaine 500 reçoit Yannis Gautier. Fruit d'une relation adultérine entre un père ivoirien et une maman française, Yannis grandit entre la Courneuve et Vitry. Abandonné par sa mère dès son plus jeune âge, Yannis est élevé par sa belle-mère. Issu d'une famille modeste, sa jeunesse est quelque peu chaotique. Entre une belle-mère n'éprouvant aucun amour à son égard et un père volatile, Yannis est livré à lui-même. Son grand frère, Marc Olivier Gildas, plus connu sous le pseudonyme Rudlion, joue un rôle capital dans sa vie. Entre débrouillardise et larcins, les deux frères se retrouvent mais surtout se comprennent. C'est à l'âge de 15 ans qu'il connaîtra son premier séjour derrière les barreaux. Prison qu'il qualifie lui-même comme l'école du crime. Plus tard, les vols à mains armées, deviendront son quotidien. Dans tout ce marasme, il fit la rencontre de Manu, qui l'amènera vers le chemin de la rédemption. Cette fervente chrétienne, lui inculque les valeurs de l'évangélisme et le tire vers le haut. Entre déboires et méandres, l'appel de Dieu arrive comme une révélation...

Cette semaine 500 reçoit Blacko. Né à Montfermeil en Seine-Saint-Denis, Blacko s'installe et grandi à Albi, ville située non loin de Toulouse. Amoureux de musique depuis son plus jeune, il a rapidement fondé le groupe KDM (Killer du micro) avec ses amis d'enfance. Ce fan de Bob Marley a toujours oscillé entre le rap et le chant. Quelques années plus tard, sa mère décide de l'envoyer chez sa tante maternelle du côté de Sarcelles avant de le rejoindre un an plus tard et de s'installer dans la ville voisine de Deuil la barre. Blacko n'en démord pas, il veut se faire une place dans le milieu de la musique. Il rencontre Tunisiano et Aketo qui rêvent secrètement de se faire un nom. La rencontre avec Habibou dit Playmo demeure crucial. C'est notamment grâce à lui qu'il rencontre Desh, alors compositeur du Ministère Amer. Sous le charme Desh décide de les signer au sein de sa structure Desh music. Le festival à la rochelle marque le début du groupe Sniper. Repéré très tôt, le groupe est sollicité de toute part que ce soit dans la compilation de B.O.S.S ou figure un Joey Starr au sommet de son art ou encore la compilation à succès de première classe. Plus tard, le groupe sortira trois albums couronnés de succès avant une première séparation. La deuxième séparation interviendra plus tard après une série de concerts annulés suite à de nombreux désaccord. Pour Ouihustle, Blacko revient sur l'épopée Sniper, les causes des séparations, son procès contre son ancien producteur Desh, son amour pour son Ile de la réunion ainsi que le mouvement rastafari qu'il a quitté depuis plusieurs années.  

Cette semaine LeChairman reçoit le philanthrope Badis Diab. Badis a grandi à Romans sur Isère et plus précisément dans le quartier La Monnaie. Amateur et passionné de football depuis son plus jeune âge, Badis se fait rapidement repérer par l'AS Saint Étienne. Génération dorée où il évoluera entre autre avec Faouzi Ghoulam ou encore Joshua Guilavogui. Ce n'est que plus tard, à 18 ans, qu'il signera son premier contrat professionnel… à Constantine en Algérie, pays de ses origines. Entre retard de salaires, et non professionnalisme du championnat, Badis considère son expérience comme étant un mauvais choix de carrière. Quelques mois plus tard, il décide de mettre un terme à sa carrière professionnelle et de s'orienter dans le consulting. Qui de mieux qu'un ancien footballeur pour conseiller un footballeur toujours en activité ? En 2013, Badis rencontre un célèbre agent espagnol Marco Kirdemir qui l'engage dans sa structure en tant que "football consulting". Il a pour mission de recruter des joueurs évoluant dans le championnat de France au service des clubs Turcs. Ces missions l'amènent à voyager et à découvrir de nouvelles cultures. Ce n'est que quelques années plus tard, qu'il décide de lancer son ONG humanitaire à but non lucratif UNITY en compagnie de son ami Karim Amrani. L' ambition est d'agir dans différents pays à travers des parrainages, denrées alimentaires ou encore des créations de puits. C'est avec cet enthousiasme qu'on lui connaît que Badis Diab nous parle de son parcours, sa vision de la société et de ses ambitions personnelles. 

Cette semaine LeChairman reçoit l'attaquant de Manchester city et capitaine de la sélection algérienne de football Riyad Mahrez. Né d'une union entre un père algérien et une mère marocaine, Riyad grandit à Sarcelles en compagnie de son frère et de sa soeur. Amoureux du ballon rond depuis son plus âge et sous l'influence de son père, Riyad s'inscrit au sein du club de sa ville à Sarcelles et gravit les échelons au fils des années. 2006 est une année charnière. Riyad, orphelin de son père parti d'un cancer se remet en question et décide de prendre ses responsabilités. En effet, toujours licencié au sein du club de sa ville natale, il décide d'effectuer des essais dans d'autres club de divisions supérieurs sous l'impulsion de son éducateur sportif Athé N'zété. Resultat des courses, essai fructueux à Quimper puis intégration au CFA du Havre avant de s'installer de manière définitive dans l'équipe première comme titulaire indiscutable. En janvier 2014 et à la surprise générale, Mahrez s'engage à Leicester en deuxième division anglaise. Quelques mois plus tard il devient champion de championship et comme il l'a révélé lui même, cette décision était probablement la meilleure de sa carrière. Sélectionné par Vahid Halilhodzic cette même année, il participe à sa première coupe du monde. 2016 est l'année de la confirmation, Riyad devient champion d'Angleterre avec Leicester et est sacré meilleur joueur de premiereleague. Une première pour un international algérien. Ballon d'Or africain, Riyad posera ses valises à Manchester City, où sous l'impulsion de Pep Guardiola, devient une nouvelle fois champion d'Angleterre, vainqueur de la Cup et finaliste de la dernière Champion's league. Tout au long de cet échange, Riyad nous dresse un constat sans précédent sur le milieu du Football professionnel, ses ambitions personnelles et sa vision de la société. 

Cette semaine LeChairman reçoit l'artiste S.Pri Noir. Parisien de naissance, Malick de son vrai nom, grandit à Paris 18ème. C'est à l'âge de 12 ans qu'il emménage à Paris 20ème dans le quartier des Fougères. Passionné de musique depuis son plus âge, "S" s'initie à cet art. En compagnie de certains amis comme Still Fresh pour ne citer que lui, il se démarque et réussi à créer de l'engouement autour de lui. Entre featurings et performances de hauts standing, S.Pri se fait repérer et fini son accomplissement en maison de disque. Parallèlement à sa carrière de rappeur, S.Pri entre dans le cercle fermé de la mode. Egérie de Cartier, Hugo Boss et Adidas S.Pri n'a pas fini de nous impressionner. C'est avec cet enthousiasme qu'on lui connaît que S.Pri Noir nous parle de son parcours, sa vision de la société et de ses ambitions personnelles.

Cette semaine LeChairman reçoit le professeur Tariq Ramadan. Né en 1962 en Suisse, Tariq n'est autre que le petit fils du fondateur des Frères Musulmans. Cadet d'une fratrie de 6 enfants, Tariq grandit et s'émancipe à Genève. Diplômé de la prestigieuse université de Genève, ce passionné de football, ressort avec un doctorat et exerce un peu plus tard en tant que professeur à Oxford. En parallèle, ce diplômé de Sciences Islamiques, parcours le monde et distille son savoir à travers des conférences. Certaines prises de position lui ont d'ailleurs valu l'interdiction de territoire dans certains pays. Ce professeur, conférencier est également auteur de plusieurs ouvrages dont "la biographie du Prophète Mohammed" ou encore "L'autre en nous : pour une philosophie du pluralisme". Une discussion riche en émotions que nous livrent Tariq et 500. 

Cette semaine LeChairman reçoit l'ancien footballeur et international malien Mohamed Lamine Sissoko. Né à Mont Saint Aignan, Momo arrive très jeune à Paris plus précisément dans le quartier de Stalingrad dans le 19 ème arrondissement. Issu d'une famille nombreuse, Momo a rapidement pris ses responsabilités. Repéré à Troyes par le célèbre Guy Roux, il intégrera le centre de formation de l'Aja et croisera le chemin entre autres de Bruce Dombolo et Younes Kaboul. Surclassé dans toutes les catégories de jeunes, Momo se fait repérer par Rafael Benitez alors entraîneur du FC Valence. Résultat des courses, départ pour l'Espagne à 17 ans et champion d'Europe et d'Espagne à tout juste 19 ans. Quelques années plus tard, Momo continuera son apprentissage en posant ses valises du côté de Liverpool avant de rallier la Juventus de Turin. Joueur reconnu et confirmé, il s'imposera comme un leader dans chacune de ses équipes. Son passage au Paris Saint Germain en 2011 lui laisse un goût amer...miné par les pépins physiques, il fut contraint de quitter le club. Tout au long de cet échange de près d'une heure, Momo nous dresse un constat sans précédent sur le milieu du Football professionnel, ses ambitions personnelles et sa vision de la société.  

Cette semaine 500 reçoit le tirailleur sénégalais Ousmane Sagna.  C'est au Sénégal qu'Ousmane Sagna voit le jour. Cadet d'une famille nombreuse, Ousmane est le seul enfant scolarisé. Ayant un oncle dans l'armée française, il décida de suivre ses pas. Volontaire pour la guerre d'Indochine, il fut recalé car non éligible. Ce n'est que quelques années après qu'il servira dans les troupes françaises, la guerre d'Algérie comme fait d'armes.  A 90 ans, Ousmane, homme robuste, nous retrace tant bien que mal son parcours et son histoire poignante. A coup sûr, une leçon d'humilité et de courage.  

Cette semaine LeChair' reçoit le philanthrope Adama Camara. Né à Paris, Sansan comme il se fait surnommer arrive à Garges les Gonesse à l'âge de 5 ans. Second d'une fratrie de huit enfants, Adama a, très jeune, endossé son rôle de "Grand frère".   C'est en 2011 que sa vie a basculé.  Rappel des faits : son petit frère Sada est assassiné  par ses propres amis. Animé par un sentiment de vengeance, il passe à l'action et tire à bout portant sur les assaillants de son frère.   Résultat des courses, jugement aux assises pour tentative de meurtre, Adama a écopé de huit ans de prison.   Ayant passé six années derrières les verrous, Adama ressort transformé. Il va à la rencontre de la jeunesse afin de les sensibiliser, se rend régulièrement dans les centres de Protection Judiciaire de la Jeunesse et travaille en coordination avec les municipalités sur tous ces sujets. Il co-réalise également une série à succès intitulé "RIXES" avec Street Press et France TV Slash. Cette série donne la parole à des victimes de règlements de comptes, des familles endeuillées...   Tout au long de cet échange Sansan nous livre un poignant témoignage sur sa vie et ses nouvelles ambitions. 

Cette semaine LeChairman reçoit Hamad, co-fondateur du média Booska-P.  Cet entrepreneur de renom a toujours eu cet esprit créatif.   Né à Évry au début des années 80, Hamadou de son vrai nom a grandit au sein d'une famille de huit enfants dans le quartier du Canal à Courcouronnes. Bon élève mais désintéressé, Hamad fit la rencontre de Fif également originaire du Canal. En compagnie d'Alexis, ils décident de créer le média Booska-P en 2005. L'idée principale était de suivre Ol'Kainry pour lui accorder une tribune car c'était un artiste sous côté à leurs yeux. Ils ont par la suite décidé de suivre d'autres rappeurs en leur accordant des interviews et des sessions freestyle. Tout le monde se souvient des Booska d'or n'est ce pas ?   Jeune et ambitieux comme dirait 113, ils se sont confrontés à la concurrence, ont fait leur nom pour devenir aujourd'hui une référence dans la paysage médiatique français.   Tout au long de cet échange, Hamad nous parle de la genèse de son média, ses ambitions et nous distille quelques conseils dont il a le secret. 

Cette semaine LeChairman reçoit le réalisateur Chris Macari.    Né en France au début des années 80, Chris a néanmoins passé près de la moitié de sa vie en Martinique.    Entre sa passion pour le basket et son talent pour l'art, Chris a obtenu son bac à l'âge de 18 ans. De retour en France, à Paris plus précisément, il découve le rap français et s'exerce aux clips vidéos. C'est quelques années plus tard, par le biais de son cousin Manu, que Chris fait la rencontre d'Amadoun, fondateur du célèbre tournoi de basket, le Quai 54. Plongé en plein cœur d'un événement médiatique et médiatisé, il fait ses armes et commence à proposer son talent à de nombreux rappeurs.    Chris devient alors le numéro 1 et le réalisateur incontournable dans son domaine. Parmi ses œuvres : "93 tu peux pas test" de Mac Tyer, "Zoo" de Kaaris ou encore "Double poney" de Booba.. Des clips vidéos qui ont fait des millions de vues, connus de tous.    Ce que nous connaissons moins en revanche, c'est la maladie de Chris dont il est atteint depuis son plus jeune âge, la drépanocytose. Il nous livre son combat poignant et nous raconte son histoire.

Cette semaine 500 reçoit l'humoriste Patson. Arrivé en France à la fin des années 80 en provenance de la Côte d'Ivoire, il s'installe dans le 91.   Loin de ses parents restés au pays, Patson est hébergé par une cousine. Cohabitation difficile, il a été exclu du domicile. SDF pendant près de 2 ans, Patson s'acharne de patience et s'endurcit.    Elève enthousiaste et passionné, c'est son professeure d'anglais qui lui tend la main et par la suite devient sa mère adoptive.   L'équilibre familiale retrouvé, Patson poursuit ses études et devient diplômé. Les péripéties de la vie lui ont appris le partage mais surtout l'empathie. Travailleur social, Patson va à la rencontre des migrants et leur donne des cours d'alphabétisation et les aide dans leurs démarches administratives.    Ayant un goût prononcé pour la comédie, il se professionnalise et commence par faire des stand up. Sa passion l'emmène au Canada. Il y découvre de nouvelles techniques de travail et part à la rencontre d'un nouveau public.    Quelques années après, il fit la rencontre de Jamel Debbouze. Il l'invite alors à faire ses premières parties. Bluffé, il décide de l'intégrer à sa troupe du Jamel Comedy Club et là, la suite est historique. 

Cette semaine LeChair' reçoit l'humoriste Greg Guillotin.   Autodidacte, Greg se fait connaître grâce à ses vidéos YouTube notamment sur la chaîne "Nou" qui comptabilisent des millions de vues. Adepte de la camera cachée, il prend un malin plaisir à piéger les passants.   Repéré par Lorenzo Benedetti et Guillaume Lacroix, Greg rejoint la troupe du Studio Bagele, société de production audiovisuelle. On pouvait y retrouver Mister V, Kévin Razy ou encore Marion Seclin.    En 2017, son audace et son talent l'ont propulsé à la télé, au rang de chroniqueur au sein du célèbre Talk show TPMP animé par Cyril Hanouna.    Greg n'est pas seulement un comédien talentueux, c'est également un amoureux de rap français et notamment du mythique label Secteur Ä. C'est aussi un défenseur de la cause animale, ce qui l'a d'ailleurs conduit à se tourner vers le véganisme.

Cette semaine LeChair' reçoit Abdelaali El Badaoui.   Cet ancien sportif de haut niveau a vu le jour à  Douai en 1983. Originaires du Maroc ses parents s'installent dans le Nord-Pas-de-Calais. Petit, Abdelaali est victime d'un accident domestique qui lui a valu une brûlure d'une gravité extrême visible au niveau du torse et des bras.   Entre temps, la famille El Badaoui s'installe à Monterault Fault Yonne en Seine et Marne. Éleve moyen, Abdelaali trouve refuge dans le sport, et excelle dans son domaine de prédilection: l'Athlétisme. Ses performances l'emmènent jusqu'en équipe de France espoir mais une blessure à la malléole douchera ses espoirs. Laissé pour compte par la fédération française d'athlétisme, il change de vocation et devient technicien de surface à l'hôpital de Melun.   Volontaire et créatif, il gravit les échelons jusqu'à devenir infirmier libéral ce qui est pour lui une consécration.   Parallèlement, il crée son association Banlieue santé. L'objectif est de venir en aide aux plus démunis et ceux qui n'ont pas accès aux soins essentiels. Cela se traduit par des conseils, du soutien, des soins de premiers secours...    Abdelaali nous raconte son parcours et la force qui l'anime pour mener à bien ses projets.  

Cette semaine LeChairman reçoit William Deligny.   Cet ancien membre de Gang a vu le jour en Juillet 1967 à Levallois Perret.  Arrivé à Bagnolet à l'âge de six mois, William et sa famille s'installent dans les nouveaux logements sociaux que la ville met à disposition. Enfant, il était plutôt sage et introverti. Mais tout bascule...   William se transforme et son comportement devient nocif. Violent et bagarreur, ce loubard rejoint un gang de skinhead. Jusqu'à l'âge de 23 ans, ils arpentent les rues de Paris en quête de sensations fortes où haine et adrénaline fusionnent.   Cela se traduit par de la dépouille, bagarres et actes racistes...  N'ayant conscience de leurs agissements, William et sa bande ne reculent devant rien. 1991 fut une année charnière. Son ami intime devient paralysé après une agression à main armée. Résultat des courses, William sent que c'est le moment pour lui de mener d'autres combats. Sa spiritualité le surprend et l'appelle à s'orienter vers l'hindouisme.  Aujourd'hui moine hindou, William nous raconte son histoire, sa longue traversée du désert et son chemin vers la paix. 

Cette semaine LeChair' reçoit le rappeur Tunisiano.   C'est à Deuil la barre dans le Val d'Oise que Tuni se découvre une passion pour le grafiti puis le rap.    Cet amoureux d'écriture se lie d'amitié avec Aketo avec qui il commence à rédiger ses premiers textes. Ce n'est que plus tard, qu'il fera la rencontre de Blacko avec qui ils formeront le groupe Sniper, en compagnie de Dj Boudj et sous la houlette de Desh.    Couronné de succès mais pas que, ce groupe n'hésite pas à donner son point de vue sur la société ce qui lui a valu un procès initié par Nicolas Sarkozy, alors ministre de l'intérieur, ainsi que de Nadine Morano.   La réussite commerciale de Sniper a nourri l'ambition de Tunisiano. Rappeur confirmé, on lui doit notamment la découverte de Vald rappeur à succès.   Ghostwritter, producteur, entrepreneur et fort d'une carrière de plus de 20 ans, ce franco tunisien nous dresse avec franchise son regard sur sa carrière et ses ambitions.

Cette semaine 500 reçoit l'avocat Maître Mbeko Tabula. C'est à l'âge de sept mois que Mbeko et ses parents fuient la République Démocratique du Congo présidée par Joseph Désiré Mobutu. De milieu modeste, la famille Tabula pose ses bagages à Montreuil en Seine Saint Denis. Ville cosmopolite, le jeune Mbeko a côtoyé différentes personnes venant de tout horizons : le savoir vivre ensemble comme dirait l'autre.   Du haut de ces dix ans ce jeune montreuillois savait qu'il allait devenir avocat. Son instinct protecteur ainsi que sa curiosité l'ont poussé à aider les autres et à en faire son métier.   Considéré comme étant en avance sur son temps, ce senaquo dionysien a fait parler de lui récemment dans la tristement célèbre affaire Samuel Paty.   Ambitieux, ce panafricain voue un amour indéfectible au continent qui l'a vu naître et distille des conseils avisés pour celles et ceux qui veulent y croire. 

Cette semaine LeChairman reçoit Latifa Ibn Ziaten.    Rappel des faits : mars 2012, le terroriste Mohamed Merah abat de sang froid le militaire Imad Ibn Ziaten.   Latifa, meurtrit, se lance alors dans un combat de toute une vie, rencontrer les jeunes et les sensibiliser.    Cette femme forte au tempérament doux transpire la bienveillance et la sagesse. Le mot haine ne fait pas partie de son vocabulaire et le partage est son mot d'ordre.   Couronnée du Zayed Award for Human Fraternity, cette mère engagée a pleins de projets en tête et compte bien faire résonner le nom de son fils en France et à l'étranger. 

Cette semaine 500 reçoit le Producteur, Beatmaker et Dj Desh. Ce sarcellois d'origine a contribué à propulser la carrière du groupe Sniper au sommet des charts.    D'abord Dj, Desh à fait ses armes aux côtés du fameux groupe qu'on ne présente plus le Ministere Amer. Il se produit sur scène et demeure le Dj officiel.   Dénicheur de talents, la découverte du groupe Arsenik apparu sur sa compilation " l'art d'utiliser son savoir ", est à mettre à son crédit    Des années après en compagnie de ses associés, Éric a décidé de créer sa propre structure nommée  "Desh music" composée de Sniper, Tunisiano, Blacko, Aketo, Insa Sané...  Entre succès et mésaventures, de son éviction du Ministere Amer à son apogée avec Sniper, Desh nous dresse un constat réel.  

Cette semaine LeChairman reçoit le rappeur et philanthrope Ol'Kainry. Originaire de Courcouronnes, Dyf comme le surnomme ses intimes a gravit les échelons depuis une vingtaine d'années.  Lancé par Kodjo au sein du label Nouvelle Donne, Mister Ol' et ses comparses d'Agression verbale ont imprégnés le rap de leurs signatures.   Entre succès et mésaventures, sports et entrepreneuriat, Ol'Kainry nous livre les recettes dont il a le secret.    Enfin, il nous parle de son ancienne rivalité avec Disiz la Peste, son amour pour le rap et n'a pas manqué de rendre hommage à son cousin Maxwell parti il y'a quelques semaines... 

Cette semaine LeChairman reçoit l'ancien trader Marwan Muhammad.   Parisien de naissance, Marwan a passé sa jeunesse entre la France, l'Algérie et l'Egypte. Poussé dans les études par ses parents, Marwan a jonglé entre l'école privée et le public. Les mathématiques, son domaine de prédilection, l'ont d'ailleurs poussé à la Fac Pasqua.    Devenu Trader, il a eu l'occasion de voyager à travers l'Europe, Londres, Varsovie et s'est même installé quelques temps à Tokyo.   Engagé socialement, Marwan devient par la suite Directeur et porte parole du Comité Contre l'Islamophobie en France (CCIF). Ce philanthrope a eu pour mission de sensibiliser la population à travers l'acharnement subi par les musulmans de France.   Entre ambitions et passion pour le RAP, Marwan nous peint sa vision de la société en 2021.  

Cette semaine LeChairman reçoit la journaliste Rokhaya Diallo. Cette parisienne de naissance fait office de référence dans le paysage audio visuelle français.    Pendant cet échange, elle aborde son parcours qui fut semer d'embûches. Elle nous fait part également de son abnégation et des ambitions qui la font avancer aujourd'hui.    Cette passionnée de mangas a su se mettre au service des autres à travers la réalisations de documentaires et sa prise de position sur des faits de société.    Cette journaliste de RTL qui est également passée par Canal +, a plusieurs cordes à son arc. Elle nous dévoiles quelques unes de ses facettes dans cette discussion pleine de bienveillance. 

Cette semaine LeChairman donne la parole au photographe David Delaplace. Originaire de Vigneux-sur-Seine dans le 91, David est clairement un autodidacte.    Ce passionné de photos a débuté à tout hasard en réalisant les clichés de son frère, rappeur à l'époque. Contacté par l'équipe de Tito Prince, originaire de son quartier, David prit confiance en son travail et se perfectionna à cet art.    Entre petits boulots et débrouillardise, David a su tisser sa toile dans le milieu du hip-hop et devint petit à petit un photographe connu et reconnu. Il n'hésite pas aujourd'hui à faire profiter de son savoir et conseille dès qu'il le peut la jeunesse sur la photographie ou le rap en général.   Quelques années après, riche de ses réalisations il sort un ouvrage "Le visage du rap français" qui nous dévoile les clichés de différents artistes tels que Oxmo Puccino, Secteur Ä, Zoxea, Kery James etc..    Cet amoureux de voyages nous raconte également ces différents périples & la richesse des rencontres qu'il a pu faire. 

Cette semaine LeChairman reçoit Passi. Cet artiste originaire de Sarcelles, membre et fondateur du Ministère Amer, nous parle de son parcours.    Tout droit venu du Congo, Passi pose ses bagages à Sarcelles en 1979. Quelques années après, c'était l'heure de la découverte du Hip Hop en compagnie de ses acolytes de toujours Stomy Bugsy, Hamed Daye, Moda, Bouboule et Kenzy.    Il se livre sur ses années rap, Bisso na Bisso, ses études, son passage par la case prison et son amour pour le contient qui l'a vu naître, l'Afrique.    Un échange poignant qui nous permet de découvrir Issap autrement.   

Cette semaine LeChairman reçoit Frédéric Bride alias Bouboule ! Avec Kenzy, Bouboule est considéré comme une figure incontournable du hip hop français. Co-Fondateur du Secteur Ä, il a marqué une génération par sa vision et sa créativité.    Ce sarcellois d'origine, cinéphile et fan de Funk, découvre un mouvement appelé RAP au milieu des années 80. Entre études et débrouillardise, ce dénicheur de talents a jeté son dévolu sur le Ministère Amer composé de Passi, Stomy Bugsy, Moda et plus tard le Doc Gynéco. La suite est historique...   Ici, Bouboule nous donne son point de vue sur la société en 2021, la situation politique en Martinique et nous fait rentrer dans les coulisses de la fameuse écurie Secteur Ä.  

Cette semaine nous donnons la parole à Aissa Moments. Philanthrope et entrepreneuse, Aissa a pour ambition d'aider les gens. Cette diplômée dune école de neurosciences, exerce depuis de nombreuses année en tant que Love Coach.    Ces différentes activités l'emmène à sillonner la France et rencontrer des gens de différents horizons. Sa determination la d'ailleurs propulsée à la télé en tant que Love Coach des Princes sur W9. Aissa intervient également dans les établissements scolaires pour sensibiliser la jeunesse.

Cette semaine nous recevons le journaliste Harry Roselmack.   Ce français d'origine martiniquaise s'est installé comme figure de proue du paysage audiovisuel français.   Ce tourangeau à gravit les échelons. Fils de fonctionnaire, il a fait ses premiers pas au sein d'une radio locale où officiait son père.    Animé par de grandes ambitions depuis son plus jeune âge, Harry a franchi le pas en tentant l'aventure parisienne. Entre études et débrouillardises, celui qu'on surnomme aussi H.J Boungo, a su saisir les opportunités qui se présentaient à lui.  Joker du 20h sur TF1, producteur et présentateur de SeptàHuit, il a également créé son émission "En immersion", où il partait à la rencontre des français.    Entre ambitions et prises de positions, Harry est définitivement dans le combat social. 

Cette semaine nous recevons Ousmane Badara aka Alpha 5.20.   Originaire du Senegal, Alpha atterrit en France dans les années 90 afin de poursuivre sa scolarité. N'ayant pu continuer les études, il s'est orienté vers l'entrepreneuriat et le RAP plus précisément.    Ce fan de Master P a su mettre à profit son savoir faire auprès du Ghetto Fabulous Gang et était une figure incontestable de la scène hip-hop française.    A la table de 500, celui qu'on appelle aussi Gun's Poppin nous partage sa vision de la société en 2021, sa vision d'entrepreneur et des nombreuses ambitions qui l'anime. 

Cette semaine nous donnons la parole à Mamadou Diakité. Originaire de Neuilly sur Marne, ce jeune français d'origine malienne nous donne les clefs de sa réussite.   Ancien footballeur professionnel passé par le SM Caen, le FC Metz ou encore le Vitoria SETUBAL (Portugal), Mams s'est reconverti dans le coaching mental.    Fort de son expérience sur les terrains, il a éprouvé le besoin de transmettre tout ce qu'il appris au fil de sa carrière. Entre maraudes et conférences, se définit comme étant un médecin du bonheur. 

Cette semaine nous donnons la parole au journaliste Claudy Siar ! Fort d'une expérience de plus de 30 ans en tant que journaliste, reporter, politique, producteur et entrepreneur, Claudy nous dévoile les clés de sa réussite.    Claudy est ce qu'on appelle un autodidacte. Ce passionné d'histoire et de culture a su gravir les échelons au point de devenir une figure incontournable du PAF.    Militant depuis son jeune âge, il profite de son poste pour se faire entendre à plus grande échelle. Fier de ses origines antillaises, Claudy se considère comme un citoyen du monde. Il a à coeur de défendre tous les opprimés et assurément cette discussion marquera les esprits de chacun. 

Cette semaine nous recevons Baloo, l'entertainer !   Au fil des années il a su s'imposer comme l'un des leaders de l'entertainment français. Entrepreneur accompli, chef d'entreprises, Baloo nous distille les clés de sa réussite.    Entre sa fonction de journaliste, son métier de chroniqueur chez BET et ses autres casquettes, Baloo nous raconte tout !   Lors de cette discussion très riche avec LeChairman, Baloo nous parle également de ses racines antillaises et de son amour pour l'Afrique.

Cette semaine nous recevons Pascal Légitimus, membre incontournable du trio Les Inconnus. Pascal a su imposer sa griffe depuis toutes ces années.    Humoriste, Acteur, Metteur en scène et Producteur (d'Elie Semoun, Dieudonné, Laurent Ruquier, Stephane Rousseau etc.), Pascal a su se diversifier et est aujourd'hui une icône du patrimoine culturel français.    Fort dune carrière de plus de 40 ans, Pascal nous fait part de son point de vue sur la société en 2020 et de la nouvelle vague d'humoristes.

Cette semaine nous recevons le fonctionnaire de Police Abdoulaye Kante.   Ce français d'origine malienne, exerce dans les rangs de la Police depuis une quinzaine d'années.    Entre manifestations et violences policières, Abdoulaye Kante nous partage le ressenti des policiers dont il représente aujourd'hui la parole dans les médias.    Au cours de l'émission avec LeChairman, Abdoulaye nous parle de son statut de policier ainsi que la réécriture de l'article 24, loi qu'il désapprouve. 

Cette semaine nous recevons le militant Kemi Seba.   Membre incontournable et figure emblématique du Panafricanisme, KS comme on le surnomme s'est livré à coeur ouvert.   Cet autodidacte qui a plusieurs cordes à son arc (producteur, journaliste, chroniqueur, conférencier...) aborde certains faits d'actualités et n'hésite pas à nous livrer certains de ses secrets.   Enfin, il nous parle de son amour pour l'Afrique, continent cher à son coeur où il a élu domicile.

Cette semaine nous recevons l'humoriste Farid Chamekh. Originaire de Villars (42), Farid a su exporter son talent jusqu'à Paris. Parcours atypique mêlé à la détermination, Farid est un autodidacte qui a su franchir le pas.    Il nous raconte ses différentes rencontres, notamment celles avec Jamel Debbouze, ami et mentor ainsi que la troupe de comédiens reconnus que sont notamment Malik Bentalha et Bun Hay Mean.   Enfin, il nous parle du Jamel Comedy Club qui était le point de départ de son ascension fulgurante, de son amour pour l'Algérie et de sa carrière de comédien. 

Cette semaine, nous donnons la parole à Bruce Dombolo.   Ancien footballeur professionnel, Bruce a connu les déboires avec la justice. Deux lourdes peines de prison ont balayé ses espoirs quant à un avenir dans le milieu sportif.   Après près de 11 ans passés derrière les barreaux, Bruce nous raconte son environnement, ses rencontres et ses nouvelles ambitions.    Il nous parle notamment de sa passion pour le théâtre, son rôle aux côtés de Nawell Madani et de son association qui vient en aide à la jeunesse et aux détenus.

Cette semaine, nous recevons Assa Traoré, activiste qui se bat depuis plus de 4 ans pour obtenir justice dans la triste mais célèbre affaire d'Adama Traoré, son petit frère.   Rappel des faits : en Juillet 2016, Adama décède dans les mains des forces de l'ordre lors d'un contrôle. Ne croyant pas à la version donnée par les policiers ce jour là, la famille d'Adama Traoré décide de se battre afin d'obtenir gain de cause.     Entre mobilisations et interventions médiatiques, Assa Traoré accompagnée du comité "Justice pour Adama", fait entendre sa voix et celles de tous ceux partis de violences policières.

Cette semaine, nous recevons Mara Kante, l'activiste.    Rappel des faits : en 2007, après la mort de Mouhsine et Laramy à Villiers-le-Bel, suite à une collision de leur moto cross avec une voiture de police, la ville s'embrase. Une vague d'interpellations a alors lieu et Mara Kanté fut injustement accusé et incarcéré. Après pratiquement 3 ans passé derrière les barreaux, Mara fut acquitté.    Il nous raconte aujourd'hui cette épreuve, mais surtout l'ambition et la détermination qui le pousse à oeuvrer contre ces injustices. 

Cette semaine, nous recevons Christian Dzellat N'Koussou, fondateur de NOFI (Noir et Fier) Group.  Il nous raconte la genèse de son projet, ses doutes mais surtout la détermination qui l'a emmené à être aujourd'hui à la tête d'une structure qui regroupe plusieurs filiales.   Entrepreneur acharné et attaché à ses origines africaines, Christian met au service de sa communauté son savoir et son sens des affaires.    Il revient entre autre sur sa rencontre avec Samuel Eto'o le footballeur, son partenaire et associé Jacques Faty ainsi que la vive altercation entre Kemi Seba et Egountchi Behanzin. 

Cette semaine, nous recevons Aïda Touihri, journaliste et chroniqueuse.   A travers cette discussion enrichissante, Aïda a mis en lumière ses actions et nous a partagé son incroyable expérience.    Depuis plus de 20 ans, elle partage le quotidien des français à travers sa casquette de journaliste, notamment dans l'émission 66 minutes.   Elle nous donne également son point de vue sur la jeunesse africaine, son pays d'origine qu'est la Tunisie ou encore sur la société en 2020 et les bavures policières (Adama Traoré & Georges Floyd notamment).

Cette semaine, nous recevons Valou, pionnière du Hip-Hop français.   A travers une longue carrière de 30 ans, elle nous retrace son parcours qui n'a pas toujours été des plus simples.    Visionnaire et déterminée, elle a mis au profit de la culture son savoir faire et son sens du business.    De rédactrice en chef chez Radikal à sa boîte de production, Valou est une entrepreneuse accomplie. Elle nous évoque certains faits marquants de son expérience.   La musique a une place prépondérante dans sa vie, elle nous distille quelques conseils pour réussir dans ce milieu. 

Cette semaine, nous recevons Kareen Guiock cette grande journaliste connue notamment pour son JT, le 12/45 sur M6.   Cette autodidacte s'est formée toute seule au journalisme. Depuis petite elle en a fait une vraie vocation, elle s'est battue et est aujourd'hui l'une des plus grandes journalistes d'une grande chaîne française.   Kareen c'est aussi une chanteuse, une songwriter et une passionnée de musique. Avec sa gentillesse qui l'habite, elle nous fait part de son parcours atypique.   LeChairman & Kareen ont aussi parlé des Antilles, de la culture noire et de son attachement profond à la culture africaine au sens large.   

Cette semaine, nous recevons Vikash Dhorasoo, ancien footballeur international français.   A travers ses nouvelles ambitions, Vikash nous donne son point de vue sur la société en 2020.   Il évoque sa carrière de footballeur, ses différentes rencontres et les problèmes qu'il a pu rencontrer. Cependant, éternel optimiste, il a su se servir de sa détermination pour devenir le consultant qu'il est aujourd'hui.    Ses différents combats l'ont également mené vers la politique, il nous raconte.    Cet homme bienveillant nous évoque les embûches de son parcours mais nous raconte surtout ses réussites.

Cette semaine, nous recevons Moussa Mansaly aka Sam's aka Mastar aka Moussa le mec de mon bâtiment.   Sam's nous raconte ses débuts dans le rap, son premier amour. Il évoque notamment son passage chez Bomaye et son état d'esprit actuel.   Au delà du rappeur, Sam's c'est aussi un parolier, une plume qui a écrit des tubes comme le son "Bazardée" de KeBlack, il nous raconte.    Cet échange n'aurait pas été complet si Mastar et LeChairman n'avaient pas évoqué une ultime casquette, "le cinéma". Ils nous parlent de la série à succès de Franck Gastambide, "Validé" dans laquelle il incarne Mastar et du film "La vie scolaire" de Grand Corps Malade et Mehdi Idir.    On a découvert un Moussa authentique, accès sur les valeurs et qui n'a pas peur de faire du bien autour de lui. On vous laisse apprécier :) 

Cette semaine, nous recevons Moussa Ibn Yacoub fondateur de l'ONG Bani Street.   Philanthrope engagé, Moussa nous raconte son parcours et nous livre un poignant témoignage sur ses différents combats.   Cet échange nous aide à en savoir davantage sur ce militant ainsi que de prendre connaissance sur la délicate situation des Rohyngyas...

Cette semaine, nous recevons Seendanew Kassongo, responsable de la programmation de BET France. Journaliste de formation, Seendanew nous parle de son parcours et nous sensibilise sur des faits marquants de la culture Hip Hop.   Cet échange nous aide à en savoir plus sur ce grand Monsieur et sur son poste actuel chez BET.    

Cette semaine, nous recevons Almamy Kanouté, éducateur spécialisé et activiste.  Il nous donne son point de vue sur la société actuelle et nous parle des valeurs transmises par ses parents mais aussi par la rue. Dans ce bel échange, on en apprend plus sur ses convictions et les combats qui l'animent.  Membre actif du comité "La vérité pour Adama", il nous parle de sa mobilisation aux côtés d'Assa Traoré. Enfin, il nous raconte sa rencontre avec Ladj Ly, réalisateur du film "Les misérables" dans lequel Almamy a joué.

Cette semaine, nous recevons Leïla Sy, Directrice Artistique et réalisatrice.   Connue principalement pour ses talents de réalisatrice de clips, elle nous a tous impressionné par la qualité de son premier film "Banlieusards" co-réalisé avec Kery James. Elle nous raconte les galères, les refus et les coulisses du nom de ce long métrage diffusé depuis le 12 octobre 2019 sur Netflix.   Femme engagée, elle nous partage son point de vue sur la politique actuelle et les bavures policières.     Leïla avant toute chose est une maman et elle témoigne avec émotion des sacrifices nécessaires pour concilier sa vie de maman et son métier. Elle évoque également la force incroyable que lui ont apporté ses enfants pour en être où elle en est aujourd'hui.    

Cette semaine, nous recevons Diariata N'Diaye, artiviste et slameuse.   Féministe, engagée contre les violences faites aux filles et femmes, elle nous parle de son vécu. Mariée de force à l'âge de 15 ans, elle nous livre son expérience poignante qui lui a donné la force de créer l'association Résonantes.    Elle nous raconte aussi l'histoire d'App-elles cette application dédiée aux filles et femmes victimes de violences, primée en 2019 au Consumer Electronics Show de Las Vegas.   Enfin, elle nous parle de sa passion première la musique et plus particulièrement du slam. 

Cette semaine, nous recevons Enora Malagré, animatrice télé et comédienne.  Connue pour ses années passées aux côtés de Cyril Hanouna dans l'émission Touche pas à mon poste sur C8, elle se livre aujourd'hui sur sa nouvelle vie et son retour à son premier amour, le théâtre. C'est une Enora touchante qui nous parle également de son long combat contre l'Endométriose, cette maladie encore trop peu connue. Enfin, cette femme passionnée issue d'une famille militante, nous donne son point de vue sur le monde d'aujourd'hui, les injustices, la jeunesse et la politique mise en place.

Aujourd'hui, LeChairman reçoit Juliette Fievet, cette figure incontournable du Hip-Hop français. Journaliste de l'émission Légendes Urbaines sur RFI et France 24, elle nous donne son point de vue sur le show business, milieu qu'elle parcours depuis près de 25 ans.   Auparavant manageur de Kery James, de Kiff No Beat, de Nelly Furtado ou encore de Sean Paul, Juliette a su se faire une place de renom dans ce monde très masculin. Passionnée et activiste dans l'âme, elle nous parle des injustices au sens large, du féminisme en passant par le racisme.