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Business of Bouffe

French, Arts, 1 season, 470 episodes, 6 days, 8 hours, 26 minutes
About
Business of Bouffe est un média 100% dédié aux coulisses de la Bouffe Destiné aussi bien aux professionnels qu’aux particuliers, en quête de transparence et d’authenticité, Business of Bouffe donne la parole à tous les acteurs du secteur, de la terre à l’assiette. Selon nous, “il faut bien connaître les choses pour les apprécier à leur juste valeur”. Ainsi, notre mission est de créer des contenus immersifs et sincères, basés sur le temps long, pour aborder les sujets en profondeur. Le tout dans une ambiance décontractée !
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Les produits ultra-transformés | Kelly Frank - Goûm

Dans ce nouvel épisode de Culture Bouffe, nous parlons des produits ultra-transformés. Pour nous éclairer sur ce sujet complexe, Pauline est accompagnée de Kelly Frank, ingénieure en sciences des aliments et fondatrice de Goûm, l'agence d’expertise scientifique alimentaire qui défend le vrai goût des aliments. Kelly est aussi co-fondatrice de La Bonne Distribution.Au cours de cet échange, nous répondons notamment aux questions suivantes :Quelle est la définition d’un ingrédient ultra-transformé et comment les repérer ?Quelles sont les conséquences de leur consommation ?Pourquoi faut-il défendre le vrai goût des aliments ?Bref, vous allez forcément apprendre plein de choses sur les produits ultra-transformés ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
2/4/20241 hour, 6 minutes, 55 seconds
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Naïs Pirollet | La promesse d'une cuisson parfaite

Dans ce nouvel épisode de Toque Toque, partons à la conquête du Bocuse d’or aux côtés de la jeune cheffe Naïs Pirollet. En janvier 2023, elle est, à 24 ans, la plus jeune candidate et la première femme à représenter la France lors de ce prestigieux concours. Major de sa promo à l’institut Paul Bocuse, elle passe par plusieurs cuisines étoilées avant de se présenter aux sélections du Bocuse d'Or qu’elle remporte haut la main. Identifiée par les médias comme l’un des grands espoirs de la cuisine française, là voilà propulsée sur le devant de la scène avec face à elle, des chefs étoilés et renommés. Le traque est tenace mais l'envie de montrer ce qu'elle sait faire est plus forte : elle sait pourquoi elle est ici.Aujourd’hui, après avoir été courtisée par les plus belles tables de France, Naïs Pirollet a choisi de poursuivre son apprentissage aux côtés de la cheffe Anne-Sophie Pic, à Valence. Un modèle à suivre ? Avant de lancer son propre restaurant, Naïs Pirollet veut prendre son temps. Elle saura saisir les opportunités comme elle saisit la viande. Avec talent et conviction, sans jamais se tromper. L'histoire ne fait que commencer.Une série audio proposée par Metro en collaboration avec Le Nouveau Belier et produite par Lacmé production.Avec la voix de Philippe Maymat, écrit par Margaux Opinel, réalisé et mixé par Ben Macé sur une musique originale de Pablo Altar. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
1/28/202418 minutes, 44 seconds
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Guy Savoy - Episode Intégral | L'histoire d'un chef cuisinier au sommet de la gastronomie mondiale

Aujourd’hui nous sommes avec l'un de plus grands chefs français : Guy Savoy. Son restaurant niché au cœur de la Monnaie de Paris est, selon certains, le meilleur restaurant du monde. Pour co-animer ce nouvel épisode de Business of Bouffe, Philibert est accompagné de son acolyte Samir Ouriaghli, sourceur d’épices et fondateur d’Ankhor. À travers cet épisode, nous cherchons à mieux connaître ce chef cuisinier hors-norme qui s'est hissé au sommet de la gastronomie mondiale. On prend évidemment le temps de revenir sur son parcours : de sa petite enfance à Bourgoin-Jallieu à la création de son propre restaurant. Ensemble, on cherche à comprendre les raisons de son succès, l'occasion de découvrir l'entrepreneur qui se cache derrière le chef.Puis, nous évoquons évidemment la perte de la 3ème étoile début 2023. Avec plusieurs mois de recul, Guy Savoy nous raconte ici avec beaucoup de sincérité comment il a vécu cette "péripétie" et les conséquences réelles sur son activité. Enfin, Guy Savoy nous livre sa vision de la gastronomie d'aujourd'hui et de demain.Cet épisode a été enregistré avec la participation exceptionnelle de François-Régis Gaudry, Laurent Guez, Juan Arbelaez, Fabrice Hybert et Melody Gardot. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
1/21/20241 hour, 58 minutes, 37 seconds
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Guy Savoy - Chapitre #4 | Sa vision de la gastronomie

Aujourd’hui nous sommes avec l'un de plus grands chefs français : Guy Savoy. Son restaurant niché au cœur de la Monnaie de Paris est, selon certains, le meilleur restaurant du monde. Pour co-animer ce nouvel épisode de Business of Bouffe, Philibert est accompagné de son acolyte Samir Ouriaghli, sourceur d’épices et fondateur d’Ankhor.Dans ce 4ème et dernier chapitre, Guy Savoy nous livre sa vision de la gastronomie d'aujourd'hui et de demain.Cet podcast a été enregistré avec la participation exceptionnelle de Juan Arbelaez (chef) et Melody Gardot (musicienne) Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
1/18/202421 minutes, 37 seconds
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Guy Savoy - Chapitre #3 | La perte de la 3ème étoile

Aujourd’hui nous sommes avec l'un de plus grands chefs français : Guy Savoy. Son restaurant niché au cœur de la Monnaie de Paris est, selon certains, le meilleur restaurant du monde. Pour co-animer ce nouvel épisode de Business of Bouffe, Philibert est accompagné de son acolyte Samir Ouriaghli, sourceur d’épices et fondateur d’Ankhor.Dans ce 3ème chapitre, nous évoquons évidemment la perte de la 3ème étoile début 2023. Avec plusieurs mois de recul, Guy Savoy nous raconte ici avec beaucoup de sincérité comment il a vécu cette "péripétie" et les conséquences réelles sur son activité. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
1/17/202425 minutes, 51 seconds
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Guy Savoy - Chapitre #2 | L'ascension au sommet de la gastronomie

Aujourd’hui nous sommes avec l'un de plus grands chefs français : Guy Savoy. Son restaurant niché au cœur de la Monnaie de Paris est, selon certains, le meilleur restaurant du monde. Pour co-animer ce nouvel épisode de Business of Bouffe, Philibert est accompagné de son acolyte Samir Ouriaghli, sourceur d’épices et fondateur d’Ankhor.Dans ce 2ème chapitre, nous évoquons l’ouverture du propre restaurant de Guy Savoy, puis ses différentes mutations jusqu'à son apogée : le sommet de la gastronomie mondiale.Ce podcast a été enregistré avec la participation exceptionnelle de François-Régis Gaudry et Fabrice Hybert. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
1/16/202438 minutes, 9 seconds
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Guy Savoy - Chapitre #1 | Les débuts d'un chef hors-norme

Aujourd’hui nous sommes avec l'un de plus grands chefs français : Guy Savoy. Son restaurant niché au cœur de la Monnaie de Paris est, selon certains, le meilleur restaurant du monde. Pour co-animer ce nouvel épisode de Business of Bouffe, Philibert est accompagné de son acolyte Samir Ouriaghli, sourceur d’épices et fondateur d’Ankhor.Dans ce 1er chapitre, nous évoquons l'enfance, les débuts et les inspirations de Guy Savoy afin de mieux comprendre le chef hors-norme qu'il est aujourd'hui.Ce podcast a été enregistré avec la participation exceptionnelle de Laurent Guez. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
1/15/202436 minutes, 45 seconds
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[Extrait] Culture Bouffe #11 | La galette des rois par Benoît Castel

Dans cet extrait, Benoît Castel nous donne ses conseils pour choisir et déguster sa galette des rois !Pour tout savoir sur la galette des rois et découvrir l'épisode en entier, tapez "Business of Bouffe galette des rois" sur votre appli audio préférée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
1/11/20244 minutes, 53 seconds
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Culture Bouffe #11 | La galette des rois par Benoît Castel

Dans ce nouvel épisode de Culture Bouffe, nous parlons en cette nouvelle année de la galette des rois. Véritable emblème du mois de janvier, ce gâteau est à la fois une célébration et une occasion de se ravir les papilles. Pour nous éclairer sur ce sujet, Pauline est accompagnée de Benoît Castel, pâtissier boulanger à la tête de deux boulangeries-pâtisseries, un coffee shop et une épicerie à Paris.Au cours de cet échange, nous répondons notamment aux questions suivantes :·      Quels sont les ingrédients pour faire une bonne galette ?·      Comment reconnaître une galette artisanale ?·      Quelle est l’origine de la galette des rois et comment la déguster ?Bref, vous allez forcément apprendre plein de choses sur la galette des rois ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
1/7/202446 minutes, 45 seconds
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[Replay] Les Pieds dans le Terroir #3 | Regards croisés : un chef et un paysan engagé se racontent

Pour les fêtes de fin d'année, nous vous proposons de (re)découvrir quelques épisodes marquants de 2023. On vous donne rendez-vous en 2024 pour de nouveaux épisodes inédits. Bonne écoute !On part aujourd’hui à la rencontre de Laurent Chalet, un paysan engagé qui a consacré sa vie à la sauvegarde d’une race de vache locale : la vache nantaise. Pour l’occasion, Philibert a la chance d’être accompagné d’un immense chef, connu et respecté dans le monde entier, Michel Bras. Il est depuis toujours un fervent défenseur du terroir et de l’agriculture paysanne.Dans cet épisode, on prend évidemment le temps de découvrir l’histoire captivante et touchante de Laurent. Il nous raconte les hauts et les bas de la reprise de la ferme familiale, puis son combat pour démontrer qu’un autre modèle d’agriculture est possible : plus vertueux et plus durable. Michel et Laurent aujourd’hui amis, partagent les mêmes valeurs paysannes et un engagement commun pour la sauvegarde des races rustiques : la vache nantaise dans le cas de Laurent, l’aubrac dans le cas de Michel.On évoque ensuite la fameuse « fête de la vache nantaise » qui a connu tous les succès lors de sa dernière édition en 2018, avec plus de 50 000 visiteurs, la présence des plus grands chefs français (dont Michel Troisgros, Olivier Roellinger et Michel Bras) et même une émission spéciale sur France Inter animée par François-Régis Gaudry. La gloire !Le partenaire de cet épisode est « Le Voyage à Nantes ». Pour ceux qui ne connaissent pas, il s’agit pour faire simple de l’office de tourisme de la ville de Nantes. En réalité, c’est plus que cela, leur rôle est de mettre en scène la ville à travers l’art et la culture. Et pour le « Voyage à Nantes », la culture c’est aussi la Bouffe ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
1/4/20241 hour, 30 minutes, 56 seconds
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[Replay] Business of Bouffe #51 | Le Guide Michelin : découvrez les coulisses du guide qui fait la pluie et le beau temps dans la gastronomie

Pour les fêtes de fin d'année, nous vous proposons de (re)découvrir quelques épisodes marquants de 2023. On vous donne rendez-vous en 2024 pour de nouveaux épisodes inédits. Bonne écoute !Sa parole est rare. Pourtant sa voix est déterminante dans le monde de la gastronomie. Nous sommes avec Gwendal Poullennec, le directeur international du Guide Michelin. Pour co-animer cet épisode exceptionnel de Business of Bouffe, Philibert est accompagné de son acolyte, Samir Ouriaghli, sourceur d'épices et fondateur d'Ankhor. À travers cet épisode, nous cherchons à mieux connaitre et comprendre le Guide Michelin, en posant à Gwendal Poullennec toutes les questions que chacun rêve de poser au patron du guide rouge. Ainsi, dans un premier temps nous revenons sur l'histoire et les grandes évolutions du Guide Michelin : de l’outil publicitaire qu’il était à ses débuts pour inciter les français à rouler (et user leurs pneus… Michelin !), au guide gastronomique qui orchestre désormais la scène culinaire mondiale.  Dans la seconde partie de l'épisode, on s'intéresse particulièrement au fonctionnement du Guide Michelin, et notamment sa méthode de sélection dont on sait finalement assez peu de choses. C'est donc l'occasion de questionner Gwendal sur le fascinant métier d'inspecteur, sur les critères de sélection et sur le processus d’attribution des fameuses étoiles. Sujet très rarement abordé, nous évoquons ensuite le modèle économique du Guide Michelin. Pour bien comprendre le Guide Michelin, il est essentiel de comprendre son économie, son organisation et le nouveau tournant abordé il y a quelques années.  Enfin, on revient sur le rôle central du Guide Michelin et la responsabilité qui en découle, avant d’évoquer les enjeux liés à son développement.  Cet épisode a été enregistré avec la participation exceptionnelle de Hélène Darroze (cheffe doublement étoilée), Yannick Alleno (chef triplement étoilé), Omar Dhiab (chef étoilé), et Emmanuel Rubin (journaliste et critique gastronomique au Figaro) Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
12/31/20231 hour, 50 minutes, 18 seconds
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[Replay] Culture Bouffe #7 | Tout savoir sur le chocolat grâce à Victoire Finaz (Chocologue Paris)

Pour les fêtes de fin d'année, nous vous proposons de (re)découvrir quelques épisodes marquants de 2023. On vous donne rendez-vous en 2024 pour de nouveaux épisodes inédits. Bonne écoute !Dans cet épisode de Culture Bouffe, nous parlons du chocolat. C'est un pêché-mignon pour bon nombre d’entre nous. Il peut être de différentes couleurs, sa palette aromatique est immense, et il est utilisé aussi bien pour faire des gâteaux que des structures de plusieurs mètres de haut. Alors, pour nous éclairer sur ce sujet, Pauline est accompagnée de Victoire Finaz, la fondatrice de l’école Chocologie et de la marque Chocologue Paris.Au cours de cet échange, nous répondons entre autres aux questions suivantes :Comment fabrique-t-on du chocolat, de la cabosse à la tablette ?Que signifient les mentions telles que chocolat noir 80%, chocolat de couverture ou encore chocolat d'origine ?Comment se familiariser avec le chocolat pour mieux le choisir et le déguster ?Bref, vous allez forcément apprendre plein de choses sur le chocolat ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
12/28/20231 hour, 10 minutes, 20 seconds
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[Replay] Business of Bouffe #50 | La Tour d’Argent : découvrez l’histoire du plus vieux restaurant de Paris

Pour les fêtes de fin d'année, nous vous proposons de (re)découvrir quelques épisodes marquants de 2023. On vous donne rendez-vous en 2024 pour de nouveaux épisodes inédits. Bonne écoute !Aujourd'hui nous sommes avec André Terrail, le président et propriétaire de La Tour d'Argent. Véritable monument de la gastronomie, La Tour d’Argent a traversé les siècles et marqué l’histoire de la scène culinaire parisienne. Pour co-animer ce nouvel épisode de Business of Bouffe, Philibert est accompagné d’Emmanuel Rubin, journaliste et critique gastronomique au Figaro. À travers cet épisode, nous cherchons à comprendre comment André Terrail, qui succède à son père et à son grand-père, parvient à conjuguer tradition et modernité pour faire vivre ce monument de la gastronomie dans son époque.  Ainsi, dans un premier temps nous revenons sur la longue et fascinante histoire de La Tour d'Argent. André nous plonge alors dans les riches archives du restaurant, puisque son histoire commence en 1582. D'André Terrail, son grand-père à Claude Terrail, son père, nous traversons les époques pour comprendre les étapes du développement de cette institution de la gastronomie parisienne et les raisons de sa renommée mondiale. Dans la seconde partie de l'épisode, nous prenons le temps de parler des différentes activités du groupe Tour d'Argent, pour en comprendre les rouages. Puis, André nous révèle les détails et les coulisses du projet de « la nouvelle Tour d’Argent » qui vient tout juste de réouvrir après plus d’un an de travaux colossaux.  Cet épisode a été enregistré avec la participation exceptionnelle de François-Régis Gaudry (“On va déguster” France Inter), Eric Beaumard (Sommelier-directeur du Cinq, George V) et Denis Courtiade (Directeur du restaurant gastronomique au Plaza Athénée).  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
12/24/20232 hours, 10 minutes, 41 seconds
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[Extrait] Culture Bouffe #10 | Les volailles de fêtes | Hugo Desnoyer

Dans cet extrait, Hugo nous donne tous ses conseils pour que l'on se régale à Noël. De l'achat à la cuisson en passant par les accompagnements, vous saurez tout pour profiter pleinement de vos volailles de fêtes !Pour en apprendre davantage sur les volailles de fêtes et découvrir l'épisode en entier, tapez "Business of Bouffe les volailles de fêtes" sur votre appli audio préférée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
12/21/20234 minutes, 37 seconds
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France Terre de Lait #10 - Saison 2 | Pourquoi soutenir les banques alimentaires ? | Laurence Champier et Emmanuel Vasseneix – Directrice Générale des Banques alimentaires, Président du groupe LSDH

Dans ce dernier épisode de la saison 2 de France Terre de Lait, Déborah s'est rendue à Saint-Denis-de-l'Hôtel, à quelques kilomètres d'Orléans, pour rencontrer Laurence Champier et Emmanuel Vasseneix. Laurence est la Directrice Générale des Banques Alimentaires et Emmanuel est le Président de la Laiterie de Saint-Denis-de-l'Hôtel (LSDH), où nous avons la chance d'enregistrer cet épisode.Actuellement, un français sur deux renonce à certains aliments faute de moyens suffisants et un français sur trois doit sauter des repas. C'est le constat alarmant auquel font face Les Banques Alimentaires, qui ont récolté en 2022 l’équivalent de 18 millions de repas à redistribuer. C'est justement le sujet de cet épisode, dans lequel nous abordons entre autres les sujets suivants :Quel est le contexte actuel en France concernant l'aide alimentaire ?Pourquoi les produits laitiers sont-ils indispensable dans le cadre de l’aide alimentaire ?Comment la filière laitière répond-elle à la demande des Banques Alimentaires en produits laitiers ?Cette série spéciale est réalisée en partenariat avec le CNIEL dans le cadre de la démarche de responsabilité sociétale de la filière laitière française : France Terre de Lait. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
12/19/202347 minutes, 55 seconds
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Culture Bouffe #10 | Les volailles de fêtes | Hugo Desnoyer

Dans ce nouvel épisode de Culture Bouffe spécial fêtes de fin d'année, nous parlons des volailles. Dinde, chapon ou encore poularde, elles sont un incontournable des fêtes de fin d'année. Pour nous éclairer sur ce sujet, Pauline est accompagnée de Hugo Desnoyer, artisan boucher, propriétaire de deux boutiques à Paris et fournisseur entre autres des cuisines de l'Élysée et du chef Pierre Gagnaire.Au cours de cet échange, nous répondons notamment aux questions suivantes :Quelle est la différence entre le poulet, la poularde et le chapon ?Comment ces volailles sont-elles élevées et en quoi les conditions d'élevage impactent-elles leur qualité ?Comment les choisir et comment les cuisiner pour se faire plaisir pour les fêtes ?Bref, vous allez forcément apprendre plein de choses sur les volailles de fêtes et vous régaler à Noël ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
12/17/202335 minutes, 10 seconds
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[Extrait] Un Pavé dans la Mer #3 | Est-ce que la bonne bouffe peut rimer avec responsabilité ? | Chloé Charles - Cheffe engagée et indépendante

Dans cet extrait, Chloé Charles revient sur ses engagements. Depuis ses débuts, elle a mis en place des pratiques vertueuses afin de limiter significativement l'impact de sa cuisine. Elle nous explique aujourd'hui pourquoi et comment elle souhaite aller encore plus loin...Pour découvrir l'épisode en entier, tapez "Un Pavé dans la Mer Chloé Charles" sur votre appli audio préférée.Cette série spéciale est réalisée en partenariat avec la marque OLALA!, une nouvelle génération de produits de la mer, 100% végétale, d’origine naturelle et durable. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
12/14/20235 minutes, 47 seconds
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Un Pavé dans la Mer #3 | Est-ce que la bonne bouffe peut rimer avec responsabilité ? | Chloé Charles - Cheffe engagée et indépendante

Dans ce 3ème épisode de la mini-série « Un Pavé dans la Mer », nous sommes dans le port de Boulogne-sur-Mer en compagnie de Chloé Charles. Cheffe engagée, très attachée à défendre et respecter l’environnement dans sa cuisine, Chloé n’oublie pas pour autant le goût et la gourmandise. Elle a fait ses armes dans de prestigieux restaurants étoilés et bistronomiques, avant de prendre son envol et devenir aujourd’hui une cheffe indépendante.Placée sous le feu des projecteurs lors de son passage dans la saison 12 de Top Chef, Chloé est aujourd’hui connue pour son engagement en faveur des pratiques vertueuses en cuisine. Écoresponsabilité, respect des saisons, sourcing local ou encore zéro déchet sont des pratiques qui ont du sens pour elle.Ainsi, au cours de cet épisode, nous abordons notamment les sujets suivants :Le parcours de Chloé, de ses débuts en cuisine à son métier de cheffe indépendanteSes engagements et sa vision de l'écoresponsabilité en matière d'alimentationSon intérêt pour l'océan et sa volonté de le protéger face aux enjeux actuelsCette série spéciale est réalisée en partenariat avec la marque OLALA!, une nouvelle génération de produits de la mer, 100% végétale, d’origine naturelle et durable. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
12/10/20231 hour, 2 minutes, 52 seconds
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[Extrait] Culture Bouffe #9 | Les gâteaux de fêtes | Benoît Castel et Christophe Louie

Dans cet extrait, Benoît et Christophe nous donnent leurs recommandations pour profiter pleinement de nos gâteaux de fêtes : quand et où les acheter, et comment les conserver et les déguster.Pour en apprendre davantage sur la bûche et le panettone, et découvrir l'épisode en entier, tapez "Business of Bouffe gâteaux de fêtes" sur votre appli audio préférée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
12/7/20234 minutes, 36 seconds
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Culture Bouffe #9 | Les gâteaux de fêtes | Benoît Castel et Christophe Louie

Dans ce nouvel épisode de Culture Bouffe spécial fêtes de fin d'année, nous parlons de deux gâteaux emblématiques de Noël : la bûche et le panettone. La bûche est LE dessert emblématique de cette fête, le panettone revient sur le devant de la scène depuis quelques années, et tous deux incarnent la tradition et la gourmandise. Pour nous éclairer sur ces deux desserts de Noël, Pauline est accompagnée de Benoît Castel et Christophe Louie, tous les deux pâtissiers-boulangers.Au cours de cet échange, nous répondons entre autres aux questions suivantes :Quelles sont les histoires et les traditions associées à ces deux gâteaux ?Quels sont les différentes étapes de fabrication, les ingrédients et les déclinaisons possibles de ces gâteaux ?Sur quels critères se baser pour bien les choisir et se faire plaisir pour les fêtes ?Bref, vous allez forcément apprendre plein de choses sur les bûches et le panettone, et vous régaler à Noël ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
12/3/20231 hour, 5 minutes, 22 seconds
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[Extrait] Bouchées Doubles #20 | Alan Geaam - Le Liban

Dans cet extrait, Alan nous parle des étapes marquantes par lesquelles il est passé avant d'être le chef qu'il est aujourd'hui. Il lui aura fallu 18 ans pour assumer son histoire et définir son identité culinaire, lui permettant ainsi de partager une vraie émotion dans ses plats. Pour découvrir l'épisode en entier, tapez "Business of Bouffe Alan Geaam » sur votre appli audio préférée.  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
11/30/20235 minutes, 21 seconds
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Un Pavé dans la Mer #2 | Qui est le fondateur d'OLALA!, un entrepreneur à succès et fervent défenseur de l'alimentation vertueuse ? | Simon Ferniot - OLALA!

Dans ce 2ème épisode de la mini-série « Un Pavé dans la Mer », nous sommes en compagnie de Simon Ferniot, serial entrepreneur de la bouffe et de la nutrition-santé. Il est le fondateur de la marque OLALA!La cuisine est une histoire de famille chez les Ferniot. Son père, Jean, était écrivain et journaliste, connu notamment pour ses chroniques gastronomiques dans l’Express. Son frère Vincent est également journaliste culinaire. Et, de la famille de sa mère, les Servan-Schreiber, Simon hérite de la volonté de bien faire et d'une rigueur à toute épreuve. La ligne directrice de Simon dans l'entrepreneuriat est donc de défendre une alimentation plus vertueuse. Il a créé plusieurs entreprises en ce sens, notamment Biogroupe et Boco, avant de se lancer dans une nouvelle aventure entrepreneuriale avec OLALA!.Ainsi, au cours de cet épisode, nous abordons notamment les sujets suivants :Le riche parcours entrepreneurial de Simon FerniotSon engagement en faveur d'une alimentation gourmande et vertueuseLa création d'OLALA! et sa raison d'êtreMerci à Stéphane Méjanes, journaliste culinaire, pour sa participation exceptionnelle à travers sa question audio.Cette série spéciale est réalisée en partenariat avec la marque OLALA!, une nouvelle génération de produits de la mer, 100% végétale, d’origine naturelle et durable. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
11/28/20231 hour, 15 minutes, 22 seconds
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Bouchées Doubles #20 | Alan Geaam - Le Liban | Avec la participation spéciale de sa femme Chloé

Dans ce nouvel épisode de Bouchées Doubles, Armelle reçoit Alan Geaam.Alan Geaam est le premier et unique chef d'origine libanaise étoilé par le Guide Michelin en France. Il est propriétaire de six établissements à Paris, dont un restaurant gastronomique, une épicerie et un comptoir street-food.Dans cet épisode, Alan revient sur son enfance, passée au Libéria jusqu'à l'âge de 5 ans, avant de fuir la guerre civile et de rejoindre le Liban. On comprend vite d'où lui vient sa passion pour la cuisine, ayant grandi auprès d'un père épicier et d'une maman excellente cuisinière.Alan nous parle évidemment de la cuisine libanaise et des "gamelles", comme il le dit, ses plats traditionnels libanais mijotés pendant des heures. Mais il évoque surtout sa double culture qu'il n'assumait pas au début de sa carrière. Et, c'est finalement cette richesse qui lui permet aujourd'hui de se révéler dans sa cuisine et de faire voyager ses convives !Tout au long de cet épisode, Alan partage avec passion ses souvenirs du Liban, sa culture et sa gastronomie. Ses propos nous emmènent tout droit au Liban, de Beyrouth à Tripoli ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
11/26/202346 minutes, 13 seconds
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[L'essentiel] Business of Bouffe #52 | François Daubinet - Chef Pâtissier Consultant | L'histoire d'un pâtissier hors-norme et ultra-créatif qui sublime la pâtisserie avec audace

Comme son nom l'indique, cet épisode est une version courte (moins de 30min !) de l'épisode #52 de l'émission Business of Bouffe.Notre invité est François Daubinet. Véritable électron libre de la haute-pâtisserie, François a fait ses armes à l’Hôtel Crillon, puis au Plaza Athénée, avant de devenir le chef pâtissier du restaurant étoilé Le Taillevent et de l’illustre Maison Fauchon. Pour co-animer cet épisode de Business of Bouffe, Philibert est accompagné de son acolyte, Samir Ouriaghli, sourceur d'épices et fondateur d'Ankhor. Dans cette version éditée, nous évoquons notamment :Le parcours de François notamment chez les Compagnons du DevoirSes années "Palaces"Son expérience au sein de la Maison FauchonPour découvrir tous les sujets abordés lors de cette rencontre unique et écouter l'épisode original en entier, tapez "Business of Bouffe François Daubinet" sur votre appli audio préférée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
11/19/202330 minutes, 47 seconds
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[Extrait] Culture Bouffe #8 | La charcuterie | Gilles Vérot - Maison Vérot

Dans cet extrait, Gilles nous explique les différentes méthodes de fabrication de la charcuterie, que l'on connait sous les noms de salaison, fumage, séchage, saumurage et pour finir la cuisson. Pour en apprendre davantage sur la charcuterie et découvrir l'épisode en entier, tapez "Business of Bouffe la charcuterie" sur votre appli audio préférée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
11/16/20236 minutes, 18 seconds
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Un Pavé dans la Mer #1 | Quels sont les enjeux liés à la protection de l'océan ? | Sabine Roux de Bézieux - Fondation de la Mer

Dans ce 1er épisode de la mini-série « Un Pavé dans la Mer », nous sommes en compagnie de Sabine Roux de Bézieux, présidente de la Fondation de la Mer. Créée en 2015 par des navigateurs et des scientifiques engagés, cette fondation est au service de tous ceux qui agissent pour la protection et la gestion durable de l’océan.L'océan recouvre 72% de la surface du globe et a un rôle essentiel dans le développement de la vie sur Terre. Mais il est confronté à de nombreuses menaces dont certaines sont directement liées à l'activité humaine. Pour limiter notre impact sur l'océan, il faut dans un premier temps mieux le connaitre et le comprendre. C'est pourquoi dans cet épisode nous abordons notamment les sujets suivants :Quel rôle joue l'océan pour l'Homme et la biodiversité ?Quelles sont les menaces auxquelles il est confronté ?Comment pouvons-nous adapter nos habitudes alimentaires pour répondre à ces enjeux ?Cette série spéciale est réalisée en partenariat avec la marque OLALA!, une nouvelle génération de produits de la mer, 100% végétale, d’origine naturelle et durable. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
11/14/202352 minutes, 31 seconds
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Culture Bouffe #8 | La charcuterie | Gilles Vérot - Maison Vérot

Dans ce nouvel épisode de Culture Bouffe, nous parlons de charcuterie. Souvent résumée au jambon ou aux saucissons, la charcuterie a quelque peu perdu ses lettres de noblesse. C'est une famille de produits très différents les uns des autres, dont les méthodes de fabrication et la qualité peuvent énormément varier. Alors pour nous éclairer sur ce sujet, Pauline est accompagnée de Gilles Vérot, le fondateur des charcuteries Maison Vérot.Au cours de cet échange, nous répondons entre autres aux questions suivantes :Qu'est-ce que la charcuterie et quels sont les différents types de charcuterie ?Quels sont les éléments clés pour fabriquer une bonne charcuterie ?Comment bien choisir sa charcuterie ?Bref, vous allez forcément apprendre plein de choses sur la charcuterie ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
11/12/202353 minutes, 1 second
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[Extrait] Les Pieds dans le Terroir #4 | Jérôme Bretaudeau et Ludovic Pouzelgues – Le Voyage à Nantes | L'histoire d'un artiste vigneron qui sublime le Muscadet

Dans cet extrait Ludovic, Jérôme et Philibert se rendent au milieu des chais pour déguster quelques cuvées. Ce moment d'échange est l'occasion d'encore mieux comprendre l'importance de chacune des étapes du travail de Jérôme, décrites dans la première partie du podcast, pour obtenir ces vins au caractère unique.Le partenaire de cet épisode est « Le Voyage à Nantes ». Pour ceux qui ne connaissent pas, il s’agit pour faire simple de l’office de tourisme de la ville de Nantes. En réalité, c’est plus que cela, leur rôle est de mettre en scène la ville à travers l’art et la culture. Et pour le « Voyage à Nantes », la culture c’est aussi la Bouffe !Pour découvrir l'épisode en entier, tapez "Les Pieds dans le Terroir" sur votre appli audio préférée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
11/9/202310 minutes, 43 seconds
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France Terre de Lait #9 - Saison 2 | Quelle place pour les femmes dans la filière laitière ? | Laurence et Angéline – Éleveuses laitières en Mayenne

Dans ce nouvel épisode, Déborah met les pieds en Mayenne dans la ferme de Laurence, éleveuse laitière et fondatrice de l'association Les Elles de la Terre. Elle est accompagnée d'Angéline, qui vient tout juste de reprendre une ferme laitière à quelques kilomètres d'ici, pour parler de la place des femmes dans la filière laitière.En France, les femmes représentent 26% des chefs d'exploitations agricoles, et se tournent majoritairement vers l'élevage laitier. Nous sommes en compagnie de deux femmes cheffes d'exploitation au parcours différent mais au quotidien similaire pour aborder notamment les sujets suivants :En quoi l'arrivée des femmes à la tête des exploitations contribue à transformer le métier d'éleveur ?Quelle est la place des femmes dans la gouvernance des fermes laitières ?Les femmes doivent-elles davantage travailler que les hommes pour faire leurs preuves ?Cette série spéciale est réalisée en partenariat avec le CNIEL dans le cadre de la démarche de responsabilité sociétale de la filière laitière française : France Terre de Lait. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
11/7/202343 minutes, 10 seconds
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Les Pieds dans le Terroir #4 | Jérôme Bretaudeau et Ludovic Pouzelgues – Le Voyage à Nantes | L'histoire d'un artiste vigneron qui sublime le Muscadet

Dans ce nouvel épisode de l’émission « Les Pieds dans le Terroir », on continue notre découverte du terroir nantais !On a quitté la campagne de Plessé pour rejoindre le Sud Est Nantais, plus précisément à Gétigné, en plein cœur des terroirs du Muscadet. On part aujourd’hui à la rencontre de Jérôme Bretaudeau, artiste vigneron du domaine de Bellevue dont les connaisseurs s’arrachent les bouteilles. Pour l’occasion, Philibert a la chance d’être accompagné du chef étoilé Ludovic Pouzelgues, propriétaire du restaurant Lulu Rouget sur l'Île de Nantes. Dans cet épisode, on prend évidemment le temps de s’intéresser à l’histoire et à l'attachement singulier de Jérôme pour ses parcelles et ses cuvées. Notre invité est connu pour sa grande créativité, voire son extravagance, aussi bien dans la culture des cépages locaux (et pas uniquement !) que dans ses méthodes de vinification. Jérôme nous explique sa vision du métier de vigneron, l’occasion de revenir sur ses engagements et notamment sa conversion en bio, puis en biodynamie.Dans la seconde partie du podcast, nous partons à la découverte des cuvées de Jérôme avec une dégustation au cœur des chais du domaine de Bellevue. Un moment unique afin de découvrir le fruit d’un travail acharné et méticuleux. Ludovic de son côté, fidèle ambassadeur des vins de Jérôme, évoque les différents accords mets & vins proposés dans son restaurant.Le partenaire de cet épisode est « Le Voyage à Nantes ». Pour ceux qui ne connaissent pas, il s’agit pour faire simple de l’office de tourisme de la ville de Nantes. En réalité, c’est plus que cela, leur rôle est de mettre en scène la ville à travers l’art et la culture. Et pour le « Voyage à Nantes », la culture c’est aussi la Bouffe ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
11/5/20231 hour, 37 minutes, 14 seconds
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[Extrait] Business of Bouffe #52 | François Daubinet - Chef Pâtissier Consultant | L'histoire d'un pâtissier hors-norme et ultra-créatif qui sublime la pâtisserie avec audace

Dans cet extrait nous nous intéressons au métier de Chef Pâtissier Consultant, sujet que l'on a rarement eu l'occasion d'aborder sur Business of Bouffe. François nous explique les contours de son activité et en quoi cette façon d'exercer le métier de pâtissier lui permet de repousser les limites de la créativité. Pour découvrir l'épisode en entier, tapez "Business of Bouffe François Daubinet" sur votre appli audio préférée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
11/2/202312 minutes, 12 seconds
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Business of Bouffe #52 | François Daubinet - Chef Pâtissier Consultant | L'histoire d'un pâtissier hors-norme et ultra-créatif qui sublime la pâtisserie avec audace

Aujourd'hui nous sommes avec François Daubinet. Véritable électron libre de la haute-pâtisserie, François a fait ses armes à l’Hôtel Crillon, puis au Plaza Athénée, avant de devenir le chef pâtissier du restaurant étoilé Le Taillevent et de l’illustre Maison Fauchon. Pour co-animer ce nouvel épisode de Business of Bouffe, Philibert est accompagné de son acolyte, Samir Ouriaghli, sourceur d'épices et fondateur d'Ankhor.  À travers cet épisode, nous cherchons à comprendre comment le parcours de François auprès des plus grands talents de la pâtisserie française et sa passion viscérale pour l'art et le design l'ont poussé à redéfinir les contours de son métier, en devenant Chef Pâtissier Consultant.  Ainsi, dans un premier temps nous revenons sur le parcours de François en pâtisserie, déjà diplômé de plusieurs CAP à l'âge de 20 ans. Retracer son parcours c'est évidemment revenir sur sa formation chez les Compagnons du Devoir, qui l'a finalement amené outre-atlantique dans la cuisine triplement étoilée de Daniel Boulud et auprès de Dominique Ansel, à New-York. Dans la seconde partie du podcast, nous évoquons ses années "Palaces" qui ont évidemment changé sa vie. Du Crillon, au Taillevent en passant par le Plaza Athénée, ces années ont ravivé la flamme de la pâtisserie que François pensait avoir perdu. Il nous raconte l’exaltation du travail en équipe et des responsabilités, et l'expression grandissante de sa propre créativité. François est un véritable artiste : sa matière c’est le sucré évidemment, mais il aurait certainement pu être un sculpteur talentueux ou un grand architecte ! Enfin, Philibert et Samir profitent de cet échange pour le questionner sur le métier de Chef Pâtissier Consultant, qu'il exerce depuis 2021 à la suite d'une très belle expérience au sein de la Maison Fauchon. C'est l'occasion d'en savoir un peu plus sur ce métier finalement peu connu, dont la liberté on l'apprend à la fin du podcast, va pousser François à construire un tout nouveau projet à l'étranger.Cet épisode a été enregistré avec la participation exceptionnelle de Guillaume Sanchez (Chef étoilé), Victoire Loup (Journaliste gastronomique et consultante culinaire), Christophe Michalak (Champion du Monde de Pâtisserie en 2005) et Pierre Hermé (Chef Pâtissier et Chocolatier) Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
10/29/20232 hours, 32 minutes, 59 seconds
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[L'essentiel] Business of Bouffe #51 | Gwendal Poullennec - Guide Michelin | L’histoire du guide qui fait la pluie et le beau temps dans le monde de la gastronomie

Comme son nom l'indique, cet épisode est une version courte (moins de 30min !) de l'épisode #51 de l'émission Business of Bouffe.Notre invité est Gwendal Poullennec, le directeur international du Guide Michelin. Pour co-animer cet épisode exceptionnel de Business of Bouffe, Philibert est accompagné de son acolyte, Samir Ouriaghli, sourceur d'épices et fondateur d'Ankhor. Dans cette version éditée, nous évoquons notamment :L'histoire et les grandes évolutions du Guide MichelinLes critères de sélection et le processus d’attribution des fameuses étoilesLe modèle économique du Guide MichelinPour découvrir tous les sujets abordés lors de cette rencontre unique et écouter l'épisode original en entier, tapez "Business of Bouffe Guide Michelin" sur votre appli audio préférée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
10/22/202329 minutes, 59 seconds
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[Extrait] Culture Bouffe #7 | Le chocolat | Victoire Finaz - La Chocologue

Dans cet extrait, Victoire nous donne ses conseils pour choisir un bon chocolat et les éléments sur lesquels s'attarder pour avoir un oeil avisé !Pour en apprendre davantage sur le chocolat et découvrir l'épisode en entier, tapez "Business of Bouffe le chocolat" sur votre appli audio préférée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
10/19/20233 minutes, 57 seconds
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Culture Bouffe #7 | Le chocolat | Victoire Finaz - La Chocologue

Dans ce nouvel épisode de Culture Bouffe, nous parlons du chocolat. C'est un pêché-mignon pour bon nombre d’entre nous. Il peut être de différentes couleurs, sa palette aromatique est immense, et il est utilisé aussi bien pour faire des gâteaux que des structures de plusieurs mètres de haut. Alors, pour nous éclairer sur ce sujet, Pauline est accompagnée de Victoire Finaz, la fondatrice de l’école Chocologie et de la marque Chocologue Paris.Au cours de cet échange, nous répondons entre autres aux questions suivantes :Comment fabrique-t-on du chocolat, de la cabosse à la tablette ?Que signifient les mentions telles que chocolat noir 80%, chocolat de couverture ou encore chocolat d'origine ?Comment se familiariser avec le chocolat pour mieux le choisir et le déguster ?Bref, vous allez forcément apprendre plein de choses sur le chocolat ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
10/15/20231 hour, 10 minutes, 20 seconds
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[Extrait] Les Pieds dans le Terroir #3 | Laurent Chalet et Michel Bras – Le Voyage à Nantes | L'histoire d'un paysan engagé qui a consacré sa vie à la sauvegarde d'une race de vache locale

Dans cet extrait, Laurent, Michel et Philibert partent à la rencontre des fameuses vaches nantaises. Cette expérience est l’occasion d’en savoir davantage sur cette belle race de vaches et de comprendre leur spécificité. Laurent prend ainsi le temps d’expliquer comment est organisé le travail sur sa ferme.Le partenaire de cet épisode est « Le Voyage à Nantes ». Pour ceux qui ne connaissent pas, il s’agit pour faire simple de l’office de tourisme de la ville de Nantes. En réalité, c’est plus que cela, leur rôle est de mettre en scène la ville à travers l’art et la culture. Et pour le « Voyage à Nantes », la culture c’est aussi la Bouffe !Pour découvrir l'épisode en entier, tapez "Les Pieds dans le Terroir" sur votre appli audio préférée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
10/12/20239 minutes, 36 seconds
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Les Pieds dans le Terroir #3 | Laurent Chalet et Michel Bras – Le Voyage à Nantes | L'histoire d'un paysan engagé qui a consacré sa vie à la sauvegarde d'une race de vache locale

Dans ce nouvel épisode de l’émission « Les Pieds dans le Terroir », on continue notre découverte du terroir nantais !On a quitté les plages du Croisic pour s’enfoncer dans les terres et plus précisément à Plessé en pleine campagne verdoyante, tout prêt de la Bretagne. On part aujourd’hui à la rencontre de Laurent Chalet, un paysan engagé qui a consacré sa vie à la sauvegarde d’une race de vache locale : la vache nantaise. Pour l’occasion, Philibert a la chance d’être accompagné d’un immense chef, connu et respecté dans le monde entier, Michel Bras. Il est depuis toujours un fervent défenseur du terroir et de l’agriculture paysanne.Dans cet épisode, on prend évidemment le temps de découvrir l’histoire captivante et touchante de Laurent. Il nous raconte les hauts et les bas de la reprise de la ferme familiale, puis son combat pour démontrer qu’un autre modèle d’agriculture est possible : plus vertueux et plus durable. Michel et Laurent aujourd’hui amis, partagent les mêmes valeurs paysannes et un engagement commun pour la sauvegarde des races rustiques : la vache nantaise dans le cas de Laurent, l’aubrac dans le cas de Michel. On évoque ensuite la fameuse « fête de la vache nantaise » qui a connu tous les succès lors de sa dernière édition en 2018, avec plus de 50 000 visiteurs, la présence des plus grands chefs français (dont Michel Troisgros, Olivier Roellinger et Michel Bras) et même une émission spéciale sur France Inter animée par François-Régis Gaudry. La gloire !Dans la seconde partie du podcast, Laurent, Michel et Philibert partent à la rencontre des fameuses vaches nantaises. Cette expérience est l’occasion d’en savoir davantage sur cette belle race de vaches et de comprendre leur spécificité. Laurent prend ainsi le temps d’expliquer comment est organisé le travail sur sa ferme.Le partenaire de cet épisode est « Le Voyage à Nantes ». Pour ceux qui ne connaissent pas, il s’agit pour faire simple de l’office de tourisme de la ville de Nantes. En réalité, c’est plus que cela, leur rôle est de mettre en scène la ville à travers l’art et la culture. Et pour le « Voyage à Nantes », la culture c’est aussi la Bouffe ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
10/8/20231 hour, 30 minutes, 56 seconds
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[Extrait] Business of Bouffe #51 | Gwendal Poullennec - Guide Michelin | L’histoire du guide qui fait la pluie et le beau temps dans le monde de la gastronomie

Dans cet extrait nous nous intéressons au modèle économique du Guide Michelin. Gwendal Poullennec nous explique notamment quelles sont les sources de revenus du Guide Michelin et comment elles ont évolué depuis sa création. Et, aujoud'hui, la vente de guides représente une infime partie du chiffre d'affaires.Pour découvrir l'épisode en entier, tapez "Business of Bouffe Guide Michelin" sur votre appli audio préférée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
10/5/20238 minutes, 57 seconds
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Business of Bouffe #51 | Gwendal Poullennec - Guide Michelin | L’histoire du guide qui fait la pluie et le beau temps dans le monde de la gastronomie

Sa parole est rare. Pourtant sa voix est déterminante dans le monde de la gastronomie. Nous sommes avec Gwendal Poullennec, le directeur international du Guide Michelin. Pour co-animer cet épisode exceptionnel de Business of Bouffe, Philibert est accompagné de son acolyte, Samir Ouriaghli, sourceur d'épices et fondateur d'Ankhor. À travers cet épisode, nous cherchons à mieux connaitre et comprendre le Guide Michelin, en posant à Gwendal Poullennec TOUTES les questions que chacun rêve de poser au patron du guide rouge. Ainsi, dans un premier temps nous revenons sur l'histoire et les grandes évolutions du Guide Michelin : de l’outil publicitaire qu’il était à ses débuts pour inciter les français à rouler (et user leurs pneus… Michelin !), au guide gastronomique qui orchestre désormais la scène culinaire mondiale.  Dans la seconde partie de l'épisode, on s'intéresse particulièrement au fonctionnement du Guide Michelin, et notamment sa méthode de sélection dont on sait finalement assez peu de choses. C'est donc l'occasion de questionner Gwendal sur le fascinant métier d'inspecteur, sur les critères de sélection et sur le processus d’attribution des fameuses étoiles. Sujet très rarement abordé, nous évoquons ensuite le modèle économique du Guide Michelin. Pour bien comprendre le Guide Michelin, il est essentiel de comprendre son économie, son organisation et le nouveau tournant abordé il y a quelques années.  Enfin, on revient sur le rôle central du Guide Michelin et la responsabilité qui en découle, avant d’évoquer les enjeux liés à son développement.  Cet épisode a été enregistré avec la participation exceptionnelle de Hélène Darroze (cheffe doublement étoilée), Yannick Alleno (chef triplement étoilé), Omar Dhiab (chef étoilé), et Emmanuel Rubin (journaliste et critique gastronomique au Figaro) Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
10/1/20231 hour, 50 minutes, 18 seconds
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[Teaser] Business of Bouffe #51 | Gwendal Poullennec - Guide Michelin | L’histoire du guide qui fait la pluie et le beau temps dans le monde de la gastronomie

Dimanche prochain, nous diffuserons un épisode exceptionnel de Business of Bouffe. Sa parole est rare. Pourtant sa voix est déterminante dans le monde de la gastronomie. Notre invité est Gwendal Poullennec, directeur international du Guide Michelin. Pour co-animer cet épisode, Philibert est accompagné de son acolyte, Samir Ouriaghli, sourceur d'épices et fondateur d'Ankhor.Ce premier extrait est un avant-goût de l'épisode original : très riche et plein de surprises. Nous évoquons ici les critères de sélection et d'attribution des étoiles.L'épisode intégral sera disponible ce dimanche ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
9/28/20237 minutes, 52 seconds
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France Terre de Lait #8 - Saison 2 | Comment prendre en main la filière laitière bio ? | Bruno Martel et Benoit Soury – Éleveur laitier bio, Référent bio FCD et Directeur Marché Bio Carrefour

Dans ce nouvel épisode, Déborah s'est installée dans l'hypermarché Carrefour Paris Auteuil et pas dans n'importe quel rayon : celui des produits laitiers bio. La filière laitière bio est en effet le sujet à l'ordre du jour. Pour cela, Déborah est en compagnie de Bruno Martel, éleveur laitier bio en Bretagne et Benoit Soury, Référent bio FCD et Directeur Marché Bio Carrefour.Au cours de cet échange nous abordons notamment les sujets suivants :Qu'est-ce qu'un produit laitier bio ?Comment l'agriculture biologique se transforme ?A quoi ressemblera la filière laitière bio demain ?Cette série spéciale est réalisée en partenariat avec le CNIEL dans le cadre de la démarche de responsabilité sociétale de la filière laitière française : France Terre de Lait. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
9/26/202349 minutes, 39 seconds
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[L'essentiel] Business of Bouffe #50 | André Terrail - La Tour d'Argent | L’histoire d’un monument de la gastronomie qui a traversé les siècles et écrit la légende de la scène culinaire parisienne

Comme son nom l'indique, cet épisode est une version courte (moins de 30min !) de l'épisode #50 de l'émission Business of Bouffe.Notre invité est André Terrail, le président et propriétaire de La Tour d'Argent. Véritable monument de la gastronomie, La Tour d’Argent a traversé les siècles et marqué l’histoire de la scène culinaire parisienne. Pour co-animer cet épisode de Business of Bouffe, Philibert est accompagné d’Emmanuel Rubin, journaliste et critique gastronomique au Figaro. Dans cette version éditée, nous évoquons notamment :La longue histoire de La Tour d'Argent et ce qui a fait sa renommée mondialeL'arrivée d'André Terrail à la tête de cette institutionLe développement de La Tour d'Argent ces dernières décennies et sa récente réouverturePour découvrir tous les sujets abordés lors de cette rencontre unique et écouter l'épisode original en entier, tapez "Business of Bouffe Tour d'Argent" sur votre appli audio préférée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
9/24/202330 minutes, 14 seconds
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[Extrait] Culture Bouffe #6 | Les jus de fruits | Benjamin Dubois - My Brazil

Dans cet extrait, Benjamin nous explique les différents types de jus de fruits qui existent et comment les choisir en fonction de ses attentes et de son budget. Pour en apprendre davantage sur les jus de fruits et découvrir l'épisode en entier, tapez "Business of Bouffe les jus de fruits" sur votre appli audio préférée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
9/22/20233 minutes, 21 seconds
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Culture Bouffe #6 | Les jus de fruits | Benjamin Dubois - My Brazil

Dans ce nouvel épisode de Culture Bouffe, nous parlons des jus de fruits. C'est un produit que l'on consomme régulièrement, pour prendre une bonne dose de vitamines le matin ou pour se rafraîchir, et on en trouve des dizaines et des dizaines de bouteilles dans nos supermarchés. Il peut donc être difficile de s'y retrouver, tant les méthodes de fabrication sont différentes les unes des autres, impactant grandement la qualité finale du jus. Alors, pour nous éclairer sur ce sujet, Pauline est accompagnée de Benjamin Dubois, co-fondateur du groupe MyBrazil.Au cours de cet échange, nous répondons entre autres aux questions suivantes :Quels sont les différents types de jus de fruits, du 100% pur jus au nectar en passant par le concentré ?Quelles sont les différentes méthodes de fabrication des jus de fruits ?Sur quels critères se baser pour choisir son jus de fruits ?Bref, vous allez forcément apprendre plein de choses sur les jus de fruits ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
9/17/202352 minutes, 46 seconds
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[Extrait] Les Pieds dans le Terroir #2 | Jean-Marie Pédron et Manon Fleury – Le Voyage à Nantes | L'histoire d'un cuilleur d'algues qui fournit et inspire les plus grands chefs

Dans cet extrait, Manon, Jean-Marie et Philibert enfilent les bottes, et partent cueillir et goûter quelques algues fraîches directement sur les plages du Croisic. Cette expérience est l’occasion pour Philibert et Manon d’apprécier des saveurs insoupçonnées et étonnantes. On découvre ici une nouvelle facette du terroir de la région, à l'ouest de Nantes.Le partenaire de cet épisode est « Le Voyage à Nantes ». Pour ceux qui ne connaissent pas, il s’agit pour faire simple de l’office de tourisme de la ville de Nantes. En réalité, c’est plus que cela, leur rôle est de mettre en scène la ville à travers l’art et la culture. Et pour le « Voyage à Nantes », la culture c’est aussi la Bouffe !Pour découvrir l'épisode en entier, tapez "Les Pieds dans le Terroir" sur votre appli audio préférée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
9/14/202314 minutes, 36 seconds
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Les Pieds dans le Terroir #2 | Jean-Marie Pédron et Manon Fleury – Le Voyage à Nantes | L'histoire d'un cuilleur d'algues qui fournit et inspire les plus grands chefs

Dans ce deuxième épisode de l'émission "Les Pieds dans le Terroir", on continue notre découverte du terroir nantais ! Aujourd'hui on part à la rencontre de Jean-Marie Pedron, cueilleur d'algues professionnel et heureux propriétaire de la Ferme Marine du Croisic. Pour l’occasion, Philibert a la chance d'être accompagné de Manon Fleury, cheffe engagée et (future) propriétaire du restaurant Datil à Paris. L'épisode a été enregistré au printemps dernier, à l'heure où Manon était encore à la tête des cuisines du Chalet des Iles Daumesnil. Très attachée au terroir et passionnée de cuisine végétale et iodée, Manon travaille en étroite collaboration avec Jean-Marie, son fournisseur d'algues. Dans cet épisode, on prend évidemment le temps de faire connaissance avec Jean-Marie, à travers son histoire familiale et son parcours professionnel. Il nous explique notamment que la ferme marine sur laquelle nous nous trouvons est une ancienne saline ; celle de son père. Avec l’aide de Manon, Philibert en profite évidemment pour le questionner sur les algues, un produit finalement méconnu mais aux nombreuses vertus : gustatives, nutritionnelles et écologiques ! Manon partage avec nous sa passion pour ces végétaux marins et l’incroyable ressource qu’ils représentent pour les chefs d’aujourd’hui et de demain. Dans la seconde partie du podcast, Manon, Jean-Marie et Philibert enfilent les bottes, et partent cueillir et goûter quelques algues fraîches directement sur les plages du Croisic. Cette expérience est l’occasion pour Philibert et Manon d’apprécier des saveurs insoupçonnées et étonnantes. On découvre ici une nouvelle facette du terroir de la région, à l’ouest de Nantes.Le partenaire de cet épisode est « Le Voyage à Nantes ». Pour ceux qui ne connaissent pas, il s’agit pour faire simple de l’office de tourisme de la ville de Nantes. En réalité, c’est plus que cela, leur rôle est de mettre en scène la ville à travers l’art et la culture. Et pour le « Voyage à Nantes », la culture c’est aussi la Bouffe ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
9/10/20231 hour, 18 minutes, 44 seconds
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[Extrait] Business of Bouffe #50 | André Terrail - La Tour d'Argent | L’histoire d’un monument de la gastronomie qui a traversé les siècles et écrit la légende de la scène culinaire parisienne

Dans cet extrait, nous revenons sur l'une des plus grosses actualités de La Tour d'Argent ces dernières années : sa réouverture après plusieurs mois de travaux. André Terrail nous révèle l'ampleur des travaux lancés en 2022 dont l'objectif est de réinventer La Tour et d'offrir de nouvelles expériences à ses clients.La Tour d'Argent a réouvert il y a quelques jours et ce n'est plus seulement un restaurant gastronomique, mais une expérience complète, que nous vous invitons à découvrir dans cet extrait.Pour découvrir l'épisode en entier, tapez "Business of Bouffe La Tour d'Argent" sur votre appli audio préférée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
9/7/202325 minutes, 45 seconds
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France Terre de Lait #7 - Saison 2 | Le lait, une matière magique ? | Paul Zindy et Frédéric Gaucheron – Ingénieur agronome, fondateur de la laiterie de la La Chapelle et Directeur Science et Technologie Laitière au CNIEL

Dans ce nouvel épisode, Déborah est de retour à Paris, mais pas n'importe où : dans une laiterie urbaine, installée au cœur du 18e arrondissement.On y retrouve Paul Zindy, fondateur de la laiterie de La Chapelle et Frédéric Gaucheron, Directeur Science et Technologie Laitière au CNIEL, pour parler avec eux de cette matière naturelle, vivante et quelque part un peu magique, qu'est le lait.Le fromage et les yaourts sont évidemment des produits riches en lait, mais ce que l'on ne voit pas à l'oeil nu, ce sont les bactéries qui se développent lors de leur fabrication, sans quoi on n'obtiendrait finalement ni yaourt, ni fromage ! Dans un 1 gramme de yaourt, il n'y a pas moins de 100 millions de bactéries, et dans 1 gramme de fromage au lait cru on compte en moyenne 10 millions de microbes dans la pâte et jusqu’à 1 milliard sur la croûte ! Au cours de cet échange nous abordons notamment les sujets suivants :Qu'est-ce qui compose le lait et pourquoi est-ce un aliment si vivant ?Quelles sont les étapes de transformation du lait en produits laitiers ?Quels sont les innovations et les défis pour le lait et la production de produits laitiers ?Cette série spéciale est réalisée en partenariat avec le CNIEL dans le cadre de la démarche de responsabilité sociétale de la filière laitière française : France Terre de Lait. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
9/5/202344 minutes, 11 seconds
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Business of Bouffe #50 | André Terrail - La Tour d'Argent | L’histoire d’un monument de la gastronomie qui a traversé les siècles et écrit la légende de la scène culinaire parisienne

Aujourd'hui nous sommes avec André Terrail, le président et propriétaire de La Tour d'Argent. Véritable monument de la gastronomie, La Tour d’Argent a traversé les siècles et marqué l’histoire de la scène culinaire parisienne. Pour co-animer ce nouvel épisode de Business of Bouffe, Philibert est accompagné d’Emmanuel Rubin, journaliste et critique gastronomique au Figaro. À travers cet épisode, nous cherchons à comprendre comment André Terrail, qui succède à son père et à son grand-père, parvient à conjuguer tradition et modernité pour faire vivre ce monument de la gastronomie dans son époque.  Ainsi, dans un premier temps nous revenons sur la longue et fascinante histoire de La Tour d'Argent. André nous plonge alors dans les riches archives du restaurant, puisque son histoire commence en 1582. D'André Terrail, son grand-père à Claude Terrail, son père, nous traversons les époques pour comprendre les étapes du développement de cette institution de la gastronomie parisienne et les raisons de sa renommée mondiale. Dans la seconde partie de l'épisode, nous évoquons d'abord l'arrivée d'André à la tête de La Tour d'Argent, après le décès de son père en 2006. Nous prenons le temps de parler des différentes activités du groupe Tour d'Argent, pour en comprendre les rouages. Puis, André nous révèle les détails et les coulisses du projet de « la nouvelle Tour d’Argent » qui vient tout juste de réouvrir après plus d’un an de travaux colossaux.  Cet épisode a été enregistré avec la participation exceptionnelle de François-Régis Gaudry (“On va déguster” France Inter), Eric Beaumard (Sommelier-directeur du Cinq, George V) et Denis Courtiade (Directeur du restaurant gastronomique au Plaza Athénée).  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
9/3/20232 hours, 10 minutes, 41 seconds
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[Replay] Culture Bouffe #2 | Les épices | Samir Ouriaghli - Ankhor

Pour vous accompagner pendant l'été, nous vous proposons de (re)découvrir les épisodes qui vous ont le plus inspirés cette année. On vous donne rendez-vous à la rentrée pour de nouveaux épisodes originaux. Bonne écoute !Dans ce deuxième épisode de l’émission Culture Bouffe, nous nous intéressons non pas à un produit mais plutôt à une famille de produits : les épices. Il en existe des centaines, certaines très courantes comme le poivre, d’autres un peu moins comme la cardamome. Elles proviennent souvent de l’autre bout du monde et on les connait finalement assez mal. Pour nous éclairer sur ce produit, Pauline a invité derrière le micro de Culture Bouffe un expert du sujet. Il s’agit de Samir Ouriaghli, le fondateur de la marque Ankhor.Au cours de cet échange, nous répondons entre autres aux questions suivantes :Quelles sont les plantes à l'origine des épices et qu'est-ce qui les différencie ?Comment sont-elles produites, récoltées et transformées ?Comment choisir les épices pour bénéficier de toutes leurs saveurs et leurs vertus ?Bref, vous allez forcément apprendre plein de choses sur les épices ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
8/30/202356 minutes, 8 seconds
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[Replay] Les Pieds dans le Terroir #1 | Alice Ménard et Sarah Mainguy – Le Voyage à Nantes | L'histoire d'une jeune maraichère engagée qui reprend l'exploitation familiale pour la convertir en bio et fournir les plus belles tables de la région

Pour vous accompagner pendant l'été, nous vous proposons de (re)découvrir les épisodes qui vous ont le plus inspirés cette année. On vous donne rendez-vous à la rentrée pour de nouveaux épisodes originaux. Bonne écoute !Vous avez été très nombreux à écouter et apprécier le 1er épisode de l'émission "Les Pieds dans le Terroir" diffusé en septembre 2022. Bonne nouvelle : des nouveaux épisodes arrivent à partir du 10 septembre prochain (cela nous a pris un peu de temps pour produire la suite et faire les choses bien !). En attendant, nous vous invitons à (re)decouvrir l'épisode #1 !Dans ce 1er épisode de l'émission "Les Pieds dans le Terroir", on vous invite à mettre les pieds dans le terroir nantais ! Le partenaire de cet épisode est « Le Voyage à Nantes ». Pour ceux qui ne connaissent pas, il s’agit pour faire simple de l’office de tourisme de la ville de Nantes. En réalité, c’est plus que cela, leur rôle est de mettre en scène la ville à travers l’art et la culture. Et pour le « Voyage à Nantes », la culture c’est aussi la Bouffe ! Aujourd'hui, on part à la rencontre d'Alice Ménard, une jeune maraichère engagée qui vient de reprendre l'exploitation familiale, à Saint-Julien-de-Concelles, à quelques minutes de Nantes, pour la convertir en bio intensif afin de fournir les plus belles tables de la région en légumes sains, de qualité et qui goûtent fort l'authenticité. Pour cette rencontre, Philibert a la chance d'être accompagnée de Sarah Mainguy, la jeune cheffe surdouée, star montante de la scène culinaire à Nantes, finaliste de Top Chef en 2021 et jeune talent 2021 du Guide Gault & Millau. A travers l'histoire de sa famille et des 3 générations qui se sont succédées sur ces terres ligériennes réputées pour le maraichage, Alice nous apporte un témoignage sincère et vivant sur l'évolution du monde agricole des 80 dernières années. Du développement de la production intensive, nécessaire après la 2nde guerre mondiale pour subvenir aux besoins de la population européenne jusqu'aux limites de ce modèle qui peine à se réinventer. Alice nous raconte comment elle voit les choses aujourd'hui et pourquoi elle a décidé d'agir et de faire autrement.Puis on évoque ensemble l'importance de la relation qui lie étroitement la jeune cheffe créative et engagée avec sa maraichère chérie afin de garantir "ultra-saisonnalité" et "ultra-fraicheur" à sa cuisine : "Sarah commande le week-end, on récolte le lundi et le mardi midi c'est dans l'assiette".En résumé, il s'agit d'un épisode riche en découverte, en paroles inspirantes... du sérieux un peu, de la bonne humeur souvent, des rires parfois (et une dégustation/bizutage de piments qui laissera des souvenirs à Philibert !).  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
8/27/20231 hour, 49 minutes, 40 seconds
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[Replay] Bouchées Doubles #09 | Omar Dhiab - L'Egypte | Avec la participation spéciale de sa femme Pauline

Pour vous accompagner pendant l'été, nous vous proposons de (re)découvrir les épisodes qui vous ont le plus inspirés cette année. On vous donne rendez-vous à la rentrée pour de nouveaux épisodes originaux. Bonne écoute !Dans ce nouvel épisode de Bouchées Doubles, Armelle reçoit Omar Dhiab.Omar Dhiab est un jeune chef talentueux d'origine égyptienne. Son restaurant éponyme, basé dans le 1er arrondissent de Paris, a ouvert il y a seulement quelques semaines, mais il est déjà salué par la critique. Emmanuel Rubin du Figaro a titré ainsi sa critique : "La naissance d'un grand chef" !Dans cet épisode, Omar replonge dans ses premiers souvenirs gustatifs. Bercé par les plats égyptiens cuisinés par son père, quelques recettes tunisiennes de sa mère et les raviolis en boite, c’est bel et bien l’influence des recettes de son père que l’on retrouve par petites touches dans sa carte. Sa cuisine est française, avec des "petits clins d’œil" à l’Égypte, comme il aime le dire.Nous parlons évidemment de l’ouverture de son restaurant, très récente. Omar nous raconte son parcours : d’une idée soudaine lorsqu’il était adolescent à la concrétisation de son rêve d’enfant. Il nous explique comment il a construit sa carte et ce qu’il souhaite partager avec ses clients. Cet épisode est finalement un voyage entre la France, l’Égypte et la Tunisie. Un joli moment de partage avec un jeune chef plein d’enthousiasme qui n’a pas fini de nous surprendre avec sa cuisine aux nombreuses influences. Et spécialement pour les auditeurs de Bouchées Doubles, Omar partage avec nous la recette de la basboussa, le gâteau de semoule de sa maman, qu’il sert en mignardises dans son restaurant ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
8/23/202330 minutes, 3 seconds
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[Replay] Business of Bouffe #45 | Guillaume Sanchez - Neso | L'histoire d'un chef atypique et ultra-créatif qui cherche à réinventer la cuisine et l'image de la gastronomie

Pour vous accompagner pendant l'été, nous vous proposons de (re)découvrir les épisodes qui vous ont le plus inspirés cette année. On vous donne rendez-vous à la rentrée pour de nouveaux épisodes originaux. Bonne écoute !Aujourd'hui nous sommes avec Guillaume Sanchez, chef surdoué et inclassable, passionné par la création en tout genre. Il est chef et propriétaire du restaurant Neso à Paris, et également fondateur de l'agence créative Solide. Pour co-animer ce nouvel épisode de Business of Bouffe, Philibert est accompagné de Samir Ouriaghli, sourceur d'épices et fondateur de la marque Ankhor.À travers cet épisode, nous cherchons à mieux comprendre ce personnage complexe qui bouscule le paysage gastronomique français. Sa cuisine ultra-créative, son look décalé et son franc-parler ne laissent pas indifférent. Bref, il était temps de lui donner l'occasion de s'exprimer en profondeur (plus de 3h !) pour se faire un véritable avis et écouter sa vision libre et lucide de la cuisine d'aujourd'hui et de demain.Pour comprendre l’état d’esprit de Guillaume, nous revenons d’abord sur son enfance "classique" dans une famille de militaires et sur sa formation exigeante chez les Compagnons du Devoir. Ainsi formé à la pâtisserie et non à la cuisine comme nous pourrions l’imaginer, Guillaume nous parle de ses premières expériences dans des maisons de renom à Paris, du concours de Meilleur Apprenti de France et de ses premières aventures entrepreneuriales.Nous prenons ensuite le temps de détailler l’histoire de ses restaurants, Nomos tout d’abord, puis Neso. L'occasion pour nous de mieux comprendre son univers et de revenir sur sa cuisine hors norme et engagée. Cet échange est aussi l’occasion de nous intéresser aux autres activités de Guillaume : chef consultant, directeur d'une agence de création, etc... Puis, nous parlons de son image. C'est évidemment un sujet primordial aujourd'hui pour les chefs. Guillaume ne fait pas exception à la règle, mais sa gestion de la médiatisation est plus singulière.Enfin, Philibert et Samir profitent de cet échange avec Guillaume pour l’interroger sur sa vision de la restauration de demain, en référence au livre qu'il a co-écrit avec Henry Michel : "Post-Cuisine".Cet épisode a été enregistré avec la participation exceptionnelle de Déborah Pham (Mint Magazine), Raphaële Marchal (Enrangdoignons) et François-Régis Gaudry (“On va déguster” France Inter) Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
8/20/20233 hours, 13 minutes, 19 seconds
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[Replay] Culture Bouffe #4 | Le pain | Adriano Farano - Pane Vivo

Pour vous accompagner pendant l'été, nous vous proposons de (re)découvrir les épisodes qui vous ont le plus inspirés cette année. On vous donne rendez-vous à la rentrée pour de nouveaux épisodes originaux. Bonne écoute !Dans ce nouvel épisode de Culture Bouffe, nous parlons du pain. Il en existe des centaines, de goûts, de formes et de composition différents. Le pain est un élément central sur nos tables depuis la nuit des temps et on l'achète finalement par habitude, sans trop se poser de questions. Mais le pain que nous consommons aujourd'hui n'est plus le pain de nos ancêtres. Sa composition, ses bienfaits nutritionnels ou encore ses méthodes de production ont bien changé. Alors, pour nous éclairer sur ce sujet, Pauline est accompagnée d'Adriano Farano, fondateur des boulangeries Pane Vivo.Au cours de cet échange, nous répondons entre autres aux questions suivantes :Comment est produit le pain, du choix de la variété de blé à la cuisson ?Quelles sont les différences entre la baguette, le pain au levain ou encore le pain bio ?Pourquoi le pain a-t-il tant évolué ces dernières années ?Bref, vous allez forcément apprendre plein de choses sur le pain ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
8/16/20231 hour, 1 minute, 21 seconds
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[Replay] Business of Bouffe #43 | Sarah Mouchot et Nicolas Alary - Holybelly | L’histoire d’un couple de restaurateurs qui a créé une institution du petit-déjeuner à Paris

Pour vous accompagner pendant l'été, nous vous proposons de (re)découvrir les épisodes qui vous ont le plus inspirés cette année. On vous donne rendez-vous à la rentrée pour de nouveaux épisodes originaux. Bonne écoute !Aujourd’hui nous sommes avec Sarah Mouchot et Nicolas Alary, les fondateurs des restaurants Holybelly à Paris. En seulement quelques années, ils ont créé une véritable institution moderne, populaire et engagée, qui bouscule les codes de la restauration. Pour co-animer ce nouvel épisode de Business of Bouffe, Philibert est accompagné d’Élisa Gautier, animatrice de l'émission Bascis of Bouffe et fondatrice du restaurant Kiosk.Jusqu’en décembre dernier, Holybelly c’était deux restaurants installés dans le 10e arrondissement de Paris. Depuis, Sarah et Nicolas ont décidé de fermer l’un des deux établissements pour se concentrer sur la gestion du plus grand et sur de nouveaux projets. La volonté du couple reste inchangée : proposer des petits-déjeuners et déjeuners gourmands, inspirés de leur voyage à l’autre bout du monde et cuisinés sur place avec des produits de saison. À travers cet épisode, nous cherchons à comprendre les raisons du succès des restaurants Holybelly et plus précisément, comment Sarah et Nicolas ont repensé tous les codes et usages du métier pour proposer la meilleure expérience possible à leurs clients. Ainsi, dans un premier temps, nous revenons sur le parcours atypique de Sarah et Nicolas et en particulier leurs longs voyages initiatiques à Vancouver et Melbourne. Sans aucun doute, ces expériences dépaysantes et enivrantes ont été le déclic et la source d’inspiration de leur projet d’ouverture de restaurant à Paris. Pris de passion pour la culture du « breakfast » comme ils aiment le dire, ils ont pris le temps pendant ces voyages d’apprendre une autre façon de cuisiner, de servir le café (de spécialité évidemment !) et plus globalement d’accueillir et fidéliser les clients. Dans la seconde partie de l’épisode, nous profitons de la jeune, mais déjà riche, expérience de Sarah et Nicolas pour analyser les clés de leur réussite. On parle alors de leur exigence dans le sourcing des produits, de leur implication dans la gestion durable des équipes ou encore de l’extraordinaire communauté de « fans » qui les suit sur les réseaux sociaux.Nous évoquons évidemment à la fin de l’épisode la décision de Sarah et Nicolas de fermer leur premier établissement il y a quelques semaines et les raisons de ce choix surprenant, mais plein de bon sens.Cet épisode a été enregistré avec la participation exceptionnelle de Sarah Mainguy (Vacarme), Thomas Lehoux (Chanceux) et Pierre Lebrun (Le Parti du Thé). Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
8/13/20232 hours, 33 minutes, 1 second
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[Replay] Bouchées Doubles #07 | Alessandra Montagne - Le Brésil | Avec la participation spéciale de sa fille Thaïs

Pour vous accompagner pendant l'été, nous vous proposons de (re)découvrir les épisodes qui vous ont le plus inspirés cette année. On vous donne rendez-vous à la rentrée pour de nouveaux épisodes originaux. Bonne écoute !Dans ce nouvel épisode de Bouchées Doubles, Armelle reçoit Alessandra Montagne.Alessandra Montagne est cuisinière et cheffe de son restaurant : Nosso, ouvert au printemps 2021 dans le 13e arrondissement de Paris. Elle a également pris les commandes du restaurant Dana et ouvrira bientôt l’Epicerie Tempero à deux pas de son restaurant.Dans cet épisode, Alessandra replonge avec nous dans ses souvenirs d’enfance, au cœur d’un petit village au Brésil, aux côtés de ses grands-parents. C’est d’ailleurs auprès de sa grand-mère qu’elle a découvert la cuisine. Une cuisine généreuse, à base de produits locaux et de saison issus de la ferme familiale, qui fait aujourd’hui son identité.Cet épisode est un voyage culinaire au Brésil : ses plats typiques, son identité culinaire, ses traditions, raconté par une femme attachée à ses origines. Elle nous parle de son plat préféré, un plat brésilien évidemment, et du goût de son enfance à base de riz, de haricots ou encore de maïs, les ingrédients de base de la cuisine brésilienne.Elle nous partage également le regard qu’elle portait sur la gastronomie française lorsqu’elle était encore au Brésil, une cuisine bien plus technique que celle qu’elle connaissait. Elle nous révèle d’ailleurs avoir longtemps cru que nous ne mangions que du hachis Parmentier en France !Cet épisode est finalement un moment d'échange drôle, émouvant et chaleureux, qui donne envie de sauter dans le premier avion pour Rio de Janeiro ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
8/9/202329 minutes, 53 seconds
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[Replay] Business of Bouffe #41 | Stéphane Manigold – Groupe Éclore | L'histoire d'un restaurateur autodidacte qui bouscule la profession

Pour vous accompagner pendant l'été, nous vous proposons de (re)découvrir les épisodes qui vous ont le plus inspirés cette année. On vous donne rendez-vous à la rentrée pour de nouveaux épisodes originaux. Bonne écoute !Aujourd’hui, nous sommes avec Stéphane Manigold, le médiatique et talentueux restaurateur autodidacte qui bouscule la profession. Le grand public l’a découvert pendant la crise sanitaire lors de son bras de fer avec AXA. Il dirige aujourd’hui le groupe Éclore qui compte déjà quelques belles réussites de la scène culinaire parisienne : Substance, Contraste, La Maison Rostang, Le Bistrot Flaubert, Liquide, Granite et plus récemment Braise. Pour co-animer ce nouvel épisode de Business of Bouffe, Philibert a la chance d'être accompagné d’Emmanuel Rubin, l’un des critiques gastronomiques les plus réputés de sa génération.À travers cet épisode, nous cherchons à comprendre comment un homme aussi éloigné du monde de la restauration a réussi à s’imposer dans ce milieu, à force d’audace, d'instinct et de détermination. Philibert profite également de ce témoignage et de la riche expérience de Stéphane, ainsi que de la présence exceptionnelle d’Emmanuel Rubin, pour parler du « Restaurant » dans son ensemble et comprendre les facteurs clés de succès d'un restaurant aujourd'hui.Pour comprendre la philosophie et l’état d’esprit de Stéphane, nous revenons sur son enfance très douloureuse à Mulhouse. Stéphane s’est construit avec courage et détermination dans l’adversité. Là où certains pourraient sombrer, il apprend à se battre et se forge un caractère et une ambition hors du commun. Après un début de carrière de vendeur dans l’automobile à Mulhouse, il grimpe à grands pas « l’escalier social » et se constitue une solide expérience d’homme d’affaires à Paris. Sa passion pour le « Business de la Bouffe » et son instinct éprouvé le pousse à se lancer dans la restauration. Débute alors l’aventure Éclore. Un premier restaurant voit le jour avec un chef qui est aujourd’hui bien plus qu’un collaborateur : Matthias Marc. La volonté de Stéphane est déjà claire : faire éclore de jeunes talents. Nous revenons en détails sur l’ouverture singulière de Substance, puis nous évoquons les autres ouvertures et acquisitions du groupe. Cet échange est l’occasion pour Emmanuel et Philibert d’analyser ce qui a fait la réussite de ses établissements et plus globalement, d’aborder les enjeux actuels du monde de la restauration.  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
8/6/20232 hours, 42 minutes, 28 seconds
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[Replay] Culture Bouffe #1 | L'huile d'olive | Dorian Tota - Olio di Serra

Pour vous accompagner pendant l'été, nous vous proposons de (re)découvrir les épisodes qui vous ont le plus inspirés cette année. On vous donne rendez-vous à la rentrée pour de nouveaux épisodes originaux. Bonne écoute !Dans ce tout premier épisode de l'émission Culture Bouffe, nous nous intéressons à un produit que l'on croit connaitre, mais qui reste très opaque : l'huile d'olive. Pour nous éclairer sur ce produit, Pauline a invité derrière le micro de Culture Bouffe un expert du sujet. Il s'agit de Dorian Tota, le fondateur de la marque d'huile d'olive Olio di Serra.Au cours de cet échange, nous répondons entre autres aux questions suivantes :Comment est produite l'huile d'olive, de la récolte des olives à leur transformation ?Que signifie les mentions comme "vierge extra", "extraction à froid" ou encore "origine UE et hors UE" ?Comment choisir une bonne huile d'olive, d'un point de vue gustatif et nutritionnel ?Bref, vous allez forcément apprendre plein de choses sur l'huile d'olive ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
8/2/202345 minutes, 44 seconds
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[L'essentiel] Business of Bouffe #49 | Julien Ross et Alexandre Giesbert – Daroco | L’histoire d’un duo atypique et complice qui s’est fait une jolie place dans le cercle des restaurateurs parisiens à succès

Comme son nom l'indique, cet épisode est une version courte (moins de 30min !) de l'épisode #49 de l'émission Business of Bouffe.Nos invités sont Alexandre Giesbert et Julien Ross, les co-fondateurs du groupe Daroco. Depuis le début de leur association en 2013 avec l'ouverture de leur premier restaurant Roca, ce duo s'est fait une jolie place dans le petit cercle des restaurateurs parisiens à succès. Pour co-animer cet épisode de Business of Bouffe, Philibert est accompagné d’Élisa Gautier, fondatrice du restaurant Kiosk à Paris.Dans cette version éditée, nous évoquons notamment :La rencontre de Julien et Alexandre et leur premier projet en duoL'ouverture du premier restaurant DarocoLe développement du groupe Daroco à Paris puis à l'étranger Pour découvrir tous les sujets abordés lors de cette rencontre unique et écouter l'épisode original en entier, tapez "Business of Bouffe Daroco" sur votre appli audio préférée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
7/30/202330 minutes, 11 seconds
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France Terre de Lait #6 - Saison 2 | Comment est abordé le sujet de la décarbonation dans la filière laitière ? | Samuel Danilo et Pierre Barrucand – Eleveur laitier et Responsable Environnement chez Association de la Transformation Laitière Française

Dans ce nouvel épisode, Déborah s’échappe en Bretagne à quelques kilomètres de Ploërmel dans le Morbihan pour rejoindre la ferme de Samuel Danilo, éleveur laitier. Samuel est en compagnie de Pierre Barrucand, responsable environnement dans l'Association de la Transformation Laitière Française (ATLA) pour aborder avec nous les principaux enjeux de la filière en matière de transition environnementale, dont celui de la décarbonation.  Si l'on devait citer les deux priorités majeures de la filière laitière française aujourd'hui, ce serait le renouvellement des générations et la décarbonation. Pour assurer l'avenir et la durabilité de la filière, aborder la question des émissions de CO2 est évidemment primordial. Les professionnels du lait travaillent sur cette problématique depuis plusieurs années et poursuivent leurs efforts pour réduire au maximum leur impact sur l'environnement. Au cours de cet échange nous abordons notamment les sujets suivants :Que signifie « décarboner la filière laitière » ?Quels sont les leviers pour réduire l'impact de la production laitière sur l'environnement ?État des lieux de la décarbonation : quelles sont les actions déjà mises en place ?Cette série spéciale est réalisée en partenariat avec le CNIEL dans le cadre de la démarche de responsabilité sociétale de la filière laitière française : France Terre de Lait. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
7/25/202344 minutes, 31 seconds
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Bouchées Doubles #19 | Camille Gozé et Laurent Kalala - Le Congo | Avec la participation spéciale de Marie-Paule et Yohan

Dans ce nouvel épisode de Bouchées Doubles, Armelle reçoit deux invités : Camille Gozé et Laurent Kalala, les fondateurs du restaurant Bomayé.Camille et Laurent sont un duo dans la vie privée et dans la vie professionnelle depuis l'ouverture de leur restaurant Bomayé il y a presque un an, dans le 10e arrondissement de Paris. Bomayé démocratise la culture africaine à travers des burgers dont les saveurs s'inspirent de plats typiques du Sénégal, du Congo et de la Côte d’Ivoire.Dans cet épisode, Camille et Laurent nous parlent de leur enfance, très différente l'une de l'autre. Mais surtout, ils nous racontent leurs nombreux voyages. Seul ou à deux, ils ont visité bon nombre de pays, découvert des nouvelles cultures et se sont inspirés de ces expériences pour créer Bomayé.On parle ainsi de cuisine d'Afrique du Sud ou encore du Japon, pour un petit voyage gustatif à travers le monde. Tout au long de cet épisode, on ressent la passion de Camille et Laurent pour la bouffe et leur volonté de la partager au plus grand nombre. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
7/23/202339 minutes, 18 seconds
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[Extrait] Culture Bouffe #5 | Les glaces | Henri Guittet - Glazed

Dans cet extrait, Henri nous explique les étapes à suivre pour la réalisation de la glace et du sorbet, ainsi que les contraintes associées à leur fabrication. Il nous parle également du sucre et de l'importance de cet ingrédient dans la structure de la glace, bien que l'on puisse jouer sur les équilibres pour ne pas en abuser. Pour en apprendre davantage sur les glaces et découvrir l'épisode en entier, tapez "Business of Bouffe les glaces" sur votre appli audio préférée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
7/20/20236 minutes, 32 seconds
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Culture Bouffe #5 | Les glaces | Henri Guittet - Glazed

Dans ce nouvel épisode de Culture Bouffe, nous parlons des glaces. Que ce soit une glace aux fruits, ou au chocolat, en cornet ou en pot, ou encore à l’italienne, il y en a pour tous les goûts et elles peuvent être très différentes les unes des autres. C'est un produit phare de nos étés, mais il peut être difficile de choisir une bonne glace tant les ingrédients utilisés pour sa fabrication et les méthodes de production peuvent varier. Alors, pour nous éclairer sur ce sujet, Pauline est accompagnée d'Henri Guittet, fondateur des boutiques Glazed.Au cours de cet échange, nous répondons entre autres aux questions suivantes :Comment fait-on de la glace, que ce soit de façon artisanale et de façon industrielle ?Pourquoi le terme "glace artisanale" n'est pas toujours gage de qualité ?Comment s'y retrouver parmi toutes les glaces et sur quels critères se baser pour les choisir ?Bref, vous allez forcément apprendre plein de choses sur les glaces ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
7/16/202341 minutes, 58 seconds
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[Extrait] Business of Bouffe #49 | Alexandre Giesbert et Julien Ross - Daroco | L'histoire d'un duo atypique et complice qui s'est fait une jolie place dans le cercle des restaurateurs parisiens à succès

Dans cet extrait, Alexandre Giesbert et Julien Ross, les co-fondateurs de Daroco reviennent sur l'ouverture de leur deuxième grand restaurant : Zebra.Partis de l'idée d'ouvrir une brasserie traditionnelle française, ils n'ont pas rencontré le succès escompté avec cet établissement. Alexandre et Julien ont donc malgré eux fait le choix de pivoter en transformant cette brasserie en un deuxième restaurant Daroco. Ils nous expliquent dans cet extrait les raisons de l'échec de Zebra et comment ils ont rebondi pour en faire un succès.Cette expérience illustre parfaitement les aléas de la vie d'entrepreneur et la nécessité de savoir se remettre en question pour avancer.Pour découvrir l'épisode en entier, tapez "Business of Bouffe Daroco" sur votre appli audio préférée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
7/13/202318 minutes, 1 second
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Business of Bouffe #49 | Alexandre Giesbert et Julien Ross - Daroco | L'histoire d'un duo atypique et complice qui s'est fait une jolie place dans le cercle des restaurateurs parisiens à succès

Aujourd'hui nous sommes avec Alexandre Giesbert et Julien Ross, les co-fondateurs du groupe Daroco. Depuis le début de leur association en 2013 avec l'ouverture de leur premier restaurant Roca, ce duo s'est fait une jolie place dans le petit cercle des restaurateurs parisiens à succès. Pour co-animer ce nouvel épisode de Business of Bouffe, Philibert est accompagné d’Élisa Gautier, fondatrice du restaurant Kiosk à Paris. À travers cet épisode, nous cherchons à comprendre les raisons du succès des restaurants Daroco, mais également comment Alexandre et Julien ont su transformer un échec, lors de l'ouverture de leur deuxième grand restaurant, en une très belle réussite. Ainsi, dans un premier temps, nous revenons sur le parcours d'Alexandre et Julien, l'un en cuisine et l'autre en salle. Leur complémentarité (et leur complicité !) est sans aucun doute l’un des secrets de leur réussite. Tous deux passionnés par leur métier et partageant le même rêve d’ouvrir un jour leur propre restaurant, ils ont choisi de s'associer et de s'amuser ensemble pour créer des établissements singuliers et très différents les uns des autres : du bistrot à la trattoria italienne en passant par le kebab gourmet. Dans la seconde partie de l’épisode, nous revenons évidemment sur l’ouverture et le succès du restaurant Daroco, cette trattoria d’un nouveau genre où les clients peuvent déguster dans un décor grandiose des pizzas préparées dans la plus pure tradition napolitaine. L’ouverture du second grand restaurant d’Alexandre et Julien n’a pas connu la même destinée : Zebra, leur brasserie traditionnelle française, a été un échec cuisant. Ce sujet est un joli cas d'école car Alexandre et Julien ont su reconnaitre leurs erreurs rapidement et pivoter, pour finalement transformer cet échec en réussite. Enfin, nous abordons les nouveaux projets d'Alexandre et Julien, notamment l'ouverture prochaine d'un nouveau restaurant Daroco outre-manche, à Londres. Cet épisode a été enregistré avec la participation exceptionnelle de Franz-Olivier Giesbert (journaliste et père d'Alexandre), Chloé Charles (cheffe) et Charles Compagnon (restaurateur et propriétaire des restaurants Le Richer, Le Café Compagnon, 52 Faubourg Saint Denis).  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
7/9/20232 hours, 8 minutes, 12 seconds
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[Extrait] Bouchées Doubles #18 | Alessandra Pierini - L'Italie

Dans cet extrait, Alessandra Pierini nous parle de la cuisine italienne et de sa diversité. L'Italie est en effet un pays marqué par des identités régionales très fortes. Chaque région revendique des spécialités et des produits très différents, ce qui donne souvent lieu à de vifs débats !Pour découvrir l'épisode en entier, tapez "Business of Bouffe Alessandra Pierini » sur votre appli audio préférée.  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
7/6/20234 minutes, 59 seconds
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France Terre de Lait #5 - Saison 2 | Comment est abordé le sujet des emballages dans la filière laitière ? | Claire Pelletier et Valentin Fournel – Chef de projet éco-conception chez YEO frais, Directeur éco-conception et réemploi chez CITEO

Dans ce cinquième épisode, Deborah s'est installée dans les locaux de CITEO pour aborder avec nos deux invités du jour le sujet des emballages dans la filière laitière. Pour avoir des réponses à ses questions, Deborah a convié Claire Pelletier ; Chef de projet éco-conception chez YEO frais et Valentin Fournel ; Directeur éco-conception et réemploi chez CITEO.Le recyclage et le réemploi des emballages plastiques est un vrai défi au sein de la filière laitière pour répondre aux enjeux d'aujourd'hui et de demain. Tous les secteurs d'activité sont évidemment concernés et cet échange est l'occasion de comprendre comment la filière laitière aborde ce sujet.Au cours de cet échange nous abordons notamment les sujets suivants :État des lieux du recyclage : quels emballages de produits laitiers sont recyclés ?Les défis et contraintes pour réduire les emballages au sein de la filière laitière Et demain comment seront emballés nos produits laitiers ?Cette série spéciale est réalisée en partenariat avec le CNIEL dans le cadre de la démarche de responsabilité sociétale de la filière laitière française : France Terre de Lait. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
7/4/20231 hour, 3 minutes, 21 seconds
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Bouchées Doubles #18 | Alessandra Pierini - L'Italie | Avec la participation spéciale de son fils Christian

Dans ce nouvel épisode de Bouchées Doubles, Armelle reçoit Alessandra Pierini. Alessandra Pierini se présente elle-même comme une ancienne épicière, amoureuse des produits. Elle a en effet tenu une épicerie italienne à Marseille, avant de venir s’installer à Paris pour proposer aux parisiens, le meilleur des produits italiens. Dans cet épisode, Alessandra nous parle de son enfance passée entre Gênes et la région de Parme. De sa grand-mère à ses cousins, en passant par sa mère, Alessandra a grandi dans une famille de gastronomes, passionnés par leur pays et les bons produits. Alessandra nous parle évidemment de la gastronomie italienne. Elle nous met l’eau à la bouche en nous parlant de recettes traditionnelles italiennes et des produits de base pour les réaliser.Tout au long de cet épisode, on ressent l'amour qu'Alessandra voue à la cuisine de son pays d'origine et son souhait de la partager au plus grand nombre, à travers ses nombreux livres notamment. Cet épisode est un vrai avant goût des vacances ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
7/2/202351 minutes, 45 seconds
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[L'Essentiel] Business of Bouffe #48 | Julie Chapon - Yuka | L'histoire d’une application qui révolutionne notre façon de consommer

Comme son nom l'indique, cet épisode est une version courte (moins de 30min !) de l'épisode #48 de l'émission Business of Bouffe.Notre invité est Julie Chapon, la co-fondatrice et CEO de Yuka ! En 6 ans seulement, Julie et ses associés Benoît et François, se sont inscrits avec succès dans le paysage de la Food Tech française avec leur application dédiée au mieux-manger. Pour co-animer cet épisode de Business of Bouffe, Philibert est accompagné de Samir Ouriaghli, sourceur d'épices et fondateur de la marque Ankhor.Dans cette version éditée, nous évoquons notamment :La genèse du projet Yuka et son développementLe modèle économique de YukaLe fonctionnement de l'application et notamment son système de notationPour découvrir tous les sujets abordés lors de cette rencontre unique et écouter l'épisode original en entier, tapez "Business of Bouffe Yuka" sur votre appli audio préférée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
6/25/202330 minutes, 52 seconds
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[Extrait] Culture Bouffe #4 | Le pain | Adriano Farano - Pane Vivo

Dans cet extrait, Adriano nous explique pourquoi les méthodes de fabrication du pain ont changé ces dernières années et les conséquences de ces changements sur la qualité du pain. Il aborde ainsi les sujets de variété du blé, de mouture et d'utilisation de la levure au détriment du levain.Pour en apprendre davantage sur le pain et découvrir l'épisode en entier, tapez "Business of Bouffe le pain" sur votre appli audio préférée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
6/22/20236 minutes, 8 seconds
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France Terre de Lait #4 - Saison 2 | Comment l'élevage laitier contribue à la préservation de nos paysages ? | Céline Jeannin, Daniel Vignon, Pauline Guillot – Parc naturel régional du Vercors, producteur fermier, salariée dans la ferme familiale

Dans ce quatrième épisode, Deborah se rend chez nos invités, dans une ferme familiale à Lans en Vercors. Le sujet du jour concerne le lien entre l'élevage laitier et la préservation de nos paysages. Pour cela, Déborah est accompagnée de : Céline Jeannin ; responsable du service agriculture et forêt du parc naturel régional du Vercors, Daniel Vignon ; producteur fermier de Bleu du Vercors-Sassenage à Saint-Martin-en-Vercors et ancien président de l'ODG (Organisme de Défense et de Gestion) et enfin Pauline Guillot ; salariée dans la ferme familiale où nous nous trouvons.Rarement abordé sous cet angle, l'élevage laitier a pourtant un rôle essentiel dans la préservation de nos paysages. Le Parc Naturel Régional du Vercors en est un parfait exemple puisque sa philosophie pourrait se résumer à cette citation : "Une source inépuisable de savoir-faire, transmise de génération en génération, pour faire perdurer les richesses et les traditions d'un territoire naturel et préservé."Au cours de cet échange nous abordons notamment les sujets suivants :La production d'une AOP (bleu du Vercors) au sein d'un parc naturel régionalLes liens étroits tissés entre les éleveurs laitiers et le parc pour valoriser le territoireLes enjeux du territoire pour le maintien de la biodiversitéCette série spéciale est réalisée en partenariat avec le CNIEL dans le cadre de la démarche de responsabilité sociétale de la filière laitière française : France Terre de Lait. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
6/20/202355 minutes, 27 seconds
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Culture Bouffe #4 | Le pain | Adriano Farano - Pane Vivo

Dans ce nouvel épisode de Culture Bouffe, nous parlons du pain. Il en existe des centaines, de goûts, de formes et de composition différents. Le pain est un élément central sur nos tables depuis la nuit des temps et on l'achète finalement par habitude, sans trop se poser de questions. Mais le pain que nous consommons aujourd'hui n'est plus le pain de nos ancêtres. Sa composition, ses bienfaits nutritionnels ou encore ses méthodes de production ont bien changé. Alors, pour nous éclairer sur ce sujet, Pauline est accompagnée d'Adriano Farano, fondateur des boulangeries Pane Vivo.Au cours de cet échange, nous répondons entre autres aux questions suivantes :Comment est produit le pain, du choix de la variété de blé à la cuisson ?Quelles sont les différences entre la baguette, le pain au levain ou encore le pain bio ?Pourquoi le pain a-t-il tant évolué ces dernières années ?Bref, vous allez forcément apprendre plein de choses sur le pain ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
6/18/20231 hour, 1 minute, 21 seconds
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[Extrait] Bouchées Doubles #17 | Dina Nikolaou - La Grèce

Dans cet extrait, Dina Nikolaou nous parle de ses premiers pas en cuisine. Elle évoque également les plats de son enfance, qui la transportent encore aujourd'hui avec nostalgie.Pour découvrir l'épisode en entier, tapez "Business of Bouffe Dina Nikolaou » sur votre appli audio préférée.  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
6/15/20234 minutes, 45 seconds
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Bouchées Doubles #17 | Dina Nikolaou - La Grèce | Avec la participation spéciale de son fils Stilianos

Dans ce nouvel épisode de Bouchées Doubles, Armelle reçoit Dina Nikolaou.Dina Nikolaou est cheffe et co-fondatrice avec sa soeur Maria des restaurants et service de traiteur grecs Evi Evane à Paris. Dina est également animatrice d'émissions culinaires en Grèce. Une vraie ambassadrice de la gastronomie grecque entre Paris et Athènes !Dans cet épisode, Dina nous parle de son enfance passée en Grèce auprès de parents agriculteurs. L'amour des bons produits et de la cuisine trouve évidemment ses origines ici. Au cours de cet épisode, Dina évoque avec son accent chantant ses souvenirs de Grèce, son arrivée à Paris et son amour pour la cuisine traditionnelle grecque.Elle nous explique ce qu'est la cuisine grecque, ses particularités et les produits phares qui la caractérise. On comprend qu'avec ses établissements Evi Evane, elle a à coeur de proposer une cuisine grecque traditionnelle, synonyme de partage.Tout au long de cet épisode, Dina nous parle de plats grecs, de la très connue salade grecque au galaktoboureko, dont on vous laisse découvrir les secrets dans cet épisode ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
6/11/202336 minutes, 36 seconds
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[Extrait] Business of Bouffe #48 | Julie Chapon - Yuka | L'histoire d’une application qui révolutionne notre façon de consommer

Dans cet extrait, nous revenons sur un sujet qui a mis Yuka sous le feu des projecteurs ces derniers mois : son combat contre les nitrites !Julie Chapon, co-fondatrice de Yuka, nous explique tout d'abord ce que sont les nitrites et les raisons de leur utilisation dans la fabrication des charcuteries industrielles, malgré les alertes de l'OMS sur les risques pour notre santé. Ainsi, Yuka a lancé en 2019, avec l'association de consommateurs Foodwatch et la Ligue contre le cancer, une pétition pour faire interdire l'utilisation des nitrites. Attaquée en justice par la fédération des charcutiers, et condamnée en premier instance, l'application Yuka vient de gagner son procès en appel. Julie nous raconte comment elle a géré et vécu cette période agitée et décisive pour Yuka.Pour découvrir l'épisode en entier, tapez "Business of Bouffe Yuka" sur votre appli audio préférée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
6/8/202316 minutes, 6 seconds
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Business of Bouffe #48 | Julie Chapon - Yuka | L'histoire d’une application qui révolutionne notre façon de consommer

Aujourd'hui nous sommes avec Julie Chapon, la co-fondatrice et CEO de Yuka. En 6 ans seulement, Julie et ses associés Benoît et François, se sont inscrits avec succès dans le paysage de la Food Tech française avec leur application dédiée au mieux-manger. Pour co-animer ce nouvel épisode de Business of Bouffe, Philibert est accompagné de Samir Ouriaghli, sourceur d'épices et fondateur de la marque Ankhor. À travers cet épisode, nous cherchons à comprendre comment ces trois entrepreneurs soucieux d’avoir de l’impact ont réussi à bousculer les codes de l’industrie agroalimentaire et à engager une communauté de plus de 40 millions d’utilisateurs !  Dans un premier temps, nous revenons rapidement sur le parcours de Julie et les raisons qui l’ont poussée à se lancer dans l’entrepreneuriat. Puis, Julie nous raconte la genèse du projet Yuka, dans lequel elle s’est retrouvée impliquée un peu malgré elle, aux côtés de deux frères : Benoit et François Martin. On évoque ensuite le développement de l’application et le succès immédiat de la 1ère version.Dans une seconde partie de l'épisode, Julie nous explique en détail le fonctionnement de l’application et la force du modèle collaboratif qui permet aujourd’hui à Yuka de référencer plus de 4 millions de produits. Nous nous intéressons évidement au modèle économique de Yuka, que les 3 fondateurs ont tardé à trouver, mais qui garantit aujourd’hui son indépendance.  Enfin, nous revenons sur l’impact de Yuka sur l’industrie agroalimentaire et les relations que la startup entretient avec les industriels. C’est évidemment l’occasion d’évoquer le combat de Yuka contre l’utilisation des nitrites, qui illustre à merveille la mission de la marque, et qui est par ailleurs un formidable alibi de communication.Cet épisode a été enregistré avec la participation exceptionnelle de Lucie Basch (fondatrice de Too Good To Go) et Guillaume Gibault (fondateur du Slip Français).  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
6/4/20232 hours, 25 minutes, 23 seconds
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France Terre de Lait #3 - Saison 2 | Pourquoi choisir un métier dans la filière laitière ? | Guillaume Gomez, Louis et Gabrielle – Ambassadeur de la gastronomie française, étudiants dans la filière laitière

Dans ce troisième épisode, Deborah s'est installée dans un café parisien, pour échanger du sujet du renouvellement des générations avec deux étudiants ; Louis et Gabrielle, qui nous viennent de Franche-Comté. Louis étudie les techniques d'élevage, avec pour ambition de s'installer dans la ferme de son oncle. Gabrielle quant à elle étudie la transformation laitière et imagine dans quelques années ouvrir sa fromagerie.Pour accompagner Louis et Gabrielle dans cette discussion, nous avons convié Guillaume Gomez, Ambassadeur de la gastronomie française. Ce rôle d'ambassadeur et son attachement personnel à l'agriculture française et à la filière, font de la transmission un vrai sujet pour lui.Le renouvellement des générations est un véritable enjeu pour la filière laitière, quand on sait que d'ici 10 ans un éleveur sur deux sera à la retraite. Mais ce défi ne concerne pas que l’élevage puisque la filière laitière française représente plus de 300 000 emplois directs sur tout le territoire. Le secteur de la transformation laitière par exemple, peine à recruter parmi ses nombreux métiers : fromagers, ingénieur R&D, pilote de ligne de production de produits laitiers.Au cours de cet échange nous abordons notamment les sujets suivants :La filière laitière, un secteur d'avenirL'évolution des métiers au sein de la filière laitière pour les rendre plus attractifsLa place de la filière laitière française à l'internationalCette série spéciale est réalisée en partenariat avec le CNIEL dans le cadre de la démarche de responsabilité sociétale de la filière laitière française : France Terre de Lait. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
5/30/20231 hour, 27 seconds
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[L'Essentiel] Business of Bouffe #47 | Tristan Laffontas - MoiChef | L’histoire d’un ingénieur en informatique passionné de bonne Bouffe qui crée un club de gastronomes pour défendre les grands producteurs

Comme son nom l'indique, cet épisode est une version courte (moins de 30min !) de l'épisode #47 de l'émission Business of Bouffe.Notre invité est Tristan Laffontas, le fondateur de MoiChef, le club des passionnés de bonne Bouffe ! MoiChef compte aujourd'hui plus de 600 membres et réunit à la fois des grands chefs, leurs producteurs et des gastronomes. Pour co-animer cet épisode de Business of Bouffe, Philibert est accompagné de Samir Ouriaghli, sourceur d'épices et fondateur de la marque Ankhor.Dans cette version éditée, nous évoquons notamment :Le parcours de Tristan, entrepreneur dans l'âmeLes prémices de MoiChef et son développementLe changement de modèle économique et la création du club MoiChefPour découvrir tous les sujets abordés lors de cette rencontre unique et écouter l'épisode original en entier, tapez "Business of Bouffe MoiChef" sur votre appli audio préférée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
5/28/202329 minutes, 56 seconds
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[Extrait] Culture Bouffe #3 | Le gaspillage alimentaire | Faustine Calvarin - Beesk

Dans cet extrait, Faustine Calvarin nous explique l'impact global du gaspillage alimentaire d'un point de vue social, économique et environnemental. Nous abordons également le contexte d'inflation actuel et l'importance de considérer ces ressources gaspillées alors que des personnes en situation de précarité peinent à se nourrir.Pour en apprendre davantage sur le gaspillage alimentaire et découvrir l'épisode en entier, tapez "Business of Bouffe gaspillage alimentaire" sur votre appli audio préférée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
5/24/20235 minutes, 38 seconds
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Culture Bouffe #3 | Le gaspillage alimentaire | Faustine Calvarin - Beesk

Dans ce nouvel épisode de Culture Bouffe, nous parlons du gaspillage alimentaire. Chaque année, un tiers des aliments produits sont jetés à travers le monde. Nous sommes de plus en plus conscients de l’importance et des conséquences du gaspillage sur la planète, mais le problème reste néanmoins difficile à intégrer dans notre quotidien. Alors, pour nous éclairer sur ce sujet, Pauline est accompagnée de Faustine Calvarin, co-fondatrice de Beesk et experte du gaspillage alimentaire.Au cours de cet échange, nous répondons entre autres aux questions suivantes :D'où provient le gaspillage alimentaire, de la production à la consommation, en passant par la distribution ?Quelles sont les raisons de ce gaspillage ?Comment l’enrayer à notre échelle et à l'échelle d'un pays ?Bref, vous allez forcément apprendre plein de choses sur le gaspillage alimentaire ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
5/21/202332 minutes, 2 seconds
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[Extrait] Bouchées Doubles #16 | Eyyup Gunduz - La Turquie | Avec la participation spéciale de son ami Alexandre

Dans cet extrait, Eyyup Gunduz partage avec nous les coutumes et traditions turques : une culture tournée vers le partage et la convivialité, inspirée des richesses méditerranéennes. Pour découvrir l'épisode en entier, tapez "Business of Bouffe Eyyup Gunduz » sur votre appli audio préférée.  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
5/17/20235 minutes, 38 seconds
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Bouchées Doubles #16 | Eyyup Gunduz - La Turquie | Avec la participation spéciale de son ami Alexandre

Dans ce nouvel épisode de Bouchées Doubles, Armelle reçoit Eyyup Gunduz.Eyyup Gunduz est un chef turc à la tête des restaurants et traiteurs Seç-Sizin. Ses établissements mettent à l'honneur la cuisine de Gaziantep, ville natale d'Eyyup.Dans cet épisode, Eyyup nous parle des années passées à Gaziantep jusqu'à ses 10 ans. Il évoque ses souvenirs dans la cuisine avec sa maman et les repas partagés en famille ou avec les voisins. On comprend que la richesse culinaire de Gaziantep, ville reconnue pour sa gastronomie, l'a énormément imprégné tout au long de son enfance.Il nous explique ce qu'est la cuisine turque, une cuisine qui ne peut se résumer à l'échelle du pays. La cuisine de la région de Gaziantep au sud-est de la Turquie, est par exemple largement influencée par les pays voisins.La cuisine est pour Eyyup une vraie histoire de famille. C'est son père qui, quelques années après son arrivée en France, a ouvert le premier restaurant turc à Paris. Plus tard, c'est donc Eyyup et ses frères qui ont repris le flambeau.Tout au long de cet épisode, Eyyup nous parle de plats avec tant de passion que vous en aurez l'eau à la bouche ! C'est un vrai voyage express à Gaziantep qu'il nous fait vivre. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
5/14/202328 minutes, 27 seconds
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[Extrait] Business of Bouffe #47 | Tristan Laffontas - MoiChef | L’histoire d’un ingénieur en informatique passionné de bonne Bouffe qui crée un club de gastronomes pour défendre les grands producteurs

Dans cet extrait nous revenons sur l'état d'esprit de Tristan lorsqu'il décide de se lancer dans l'aventure MoiChef il y a presque 10 ans.Entrepreneur dans l'âme, il explique comment il s'est entouré, questionné et remis en question pour avancer. L'approche de Tristan dans la création de MoiChef est d'ailleurs bien connue des entrepreneurs, c'est le Lean Startup, dont l'objectif est de se lancer rapidement pour se confronter à la réalité du marché.Pour découvrir l'épisode en entier, tapez "Business of Bouffe MoiChef" sur votre appli audio préférée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
5/11/202313 minutes, 1 second
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France Terre de Lait #2 - Saison 2 | Comment la filière assure-t-elle la qualité sanitaire et nutritionnelle des produits laitiers ? | Antoine Thibault et Nathalie Morel – Éleveur laitier et directrice communication alimentation santé au CNIEL

Dans ce deuxième épisode, Deborah reçoit Antoine Thibault et Nathalie Morel. Antoine alias Agriskippy, est éleveur laitier dans l’Eure et a pris l'habitude de partager son quotidien d'agriculteur sur les réseaux sociaux. Nathalie Morel est quant à elle, directrice communication alimentation santé au CNIEL.Pour l'enregistrement de ce deuxième épisode, nous sommes en immersion puisque Antoine nous reçoit chez lui dans sa ferme, en Normandie !Antoine et Nathalie nous parlent aujourd'hui de la qualité sanitaire et nutritionnelle du lait. En tant qu'éleveur et spécialiste de la nutrition, ils répondent notamment aux questions suivantes :Quels sont les critères qui définissent un bon lait ? Comment la qualité du lait est-elle contrôlée ?Quelles sont les recommandations nutritionnelles des produits laitiers ?Cette série spéciale est réalisée en partenariat avec le CNIEL dans le cadre de la démarche de responsabilité sociétale de la filière laitière française : France Terre de Lait. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
5/9/202332 minutes, 44 seconds
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Business of Bouffe #47 | Tristan Laffontas - MoiChef | L’histoire d’un ingénieur en informatique passionné de bonne Bouffe qui crée un club de gastronomes pour défendre les grands producteurs

Aujourd'hui nous sommes avec Tristan Laffontas, le fondateur de MoiChef, le club des passionnés de bonne Bouffe ! MoiChef compte aujourd'hui plus de 600 membres et réunit à la fois des grands chefs, leurs producteurs et des gastronomes. Pour co-animer ce nouvel épisode de Business of Bouffe, Philibert est accompagné de Samir Ouriaghli, sourceur d'épices et fondateur de la marque Ankhor.A travers cet épisode, nous cherchons à comprendre la genèse de MoiChef et ce qui fait l'originalité de son modèle économique. Avant de devenir un club, MoiChef a connu plusieurs vies depuis sa création en 2014. Cet échange est donc l'occasion de revenir sur le parcours d'un entrepreneur qui a dû à plusieurs reprises se questionner, se réinventer et se lancer. Loin d'être un passionné de Bouffe à l'origine, Tristan est arrivé dans ce milieu par hasard. Il a finalement développé une vraie passion pour la gastronomie et particulièrement pour les producteurs. MoiChef a d'ailleurs pris un virage à 360 degrés en 2019, pour devenir le club MoiChef. L'entreprise se donne alors une vraie mission : celle de défendre les petits producteurs, ou plutôt comme Tristan aime le dire "les grands producteurs". Tristan nous explique ainsi ce qu'il propose aux adhérents du club : à la fois des ventes privées de produits exceptionnels et des évènements exclusifs auprès des chefs.Dans une seconde partie de l'épisode, Tristan nous explique le modèle économique original de MoiChef et son fonctionnement. On revient ainsi sur le système d'abonnement mis en place et sur les critères de sourcing pour sélectionner les producteurs notamment. Enfin, Tristan nous parle évidemment de la suite et de sa vision pour les prochaines années.Cet épisode a été enregistré avec la participation exceptionnelle de Romain Meder (chef étoilé), Thierry Marx (chef étoilé), Côme de Cherisey (ancien directeur du Gault&Millau) et Hervé Mons (fromager et affineur, Meilleur Ouvrier de France) Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
5/7/20232 hours, 14 minutes, 42 seconds
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[Extrait] France Terre de Lait #1 - Saison 2 | À quoi sert une interprofession ? | Thierry Roquefeuil – Éleveur laitier et président du CNIEL

Dans cet extrait, Philibert présente la nouvelle saison de France Terre de Lait en compagnie de Deborah Pham. Il en profite pour exprimer son attachement au monde agricole et notamment à la filière laitière française.C'est avec fierté que Business of Bouffe donne la parole aux femmes et aux hommes qui font la richesse et le rayonnement de ce secteur. Cette émission est l'occasion de prendre le temps de les écouter afin de mieux les connaître et de comprendre les enjeux auxquels ils sont confrontés.Cette saison vous promet de nouvelles thématiques, des épisodes encore plus vivants, la participation d'experts et de personnalités, ainsi que quelques surprises que l'on a hâte de vous dévoiler... Pour découvrir l'épisode intégral, tapez "France Terre de Lait Thierry Roquefeuil" sur votre appli audio préférée.  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
5/3/20233 minutes, 2 seconds
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[L'essentiel] Business of Bouffe #46 | Pierre-Julien et Grégory Chantzios - Kalios et Eleni Group | L'histoire de deux frères qui ont transformé la petite oliveraie familiale de Kalamata en marque d'huile d'olive à succès

Comme son nom l'indique, cet épisode est une version courte (moins de 30min !) de l'épisode #46 de l'émission Business of Bouffe.Nos invités sont Pierre-Julien et Grégory Chantzios, les fondateurs de Kalios et Eleni Group. Ces 2 frères d’origine grecque ont transformé la petite oliveraie familiale de Kalamata en une marque d’huile d’olive à succès. Ils fournissent aujourd’hui les plus grands restaurants et épiceries fines en produits grecs de qualité, et dirigent plus d’une dizaine de restaurants, parmi lesquels Yaya, Vida, Bazurto, etc... Pour co-animer cet épisode de Business of Bouffe, Philibert est accompagné de Samir Ouriaghli, sourceur d'épices et fondateur de la marque Ankhor.Dans cette version éditée, nous évoquons notamment :La genèse du projet Kalios, de l'idée à la mise en œuvreLa création des cuvées de chefs, puis l'élargissement de la gamme à d'autres produits d'épicerie grecsLeur association avec Juan Arbelaez et le développement de leur activité dans la restaurationPour découvrir tous les sujets abordés lors de cette rencontre unique et écouter l'épisode original en entier, tapez "Business of Bouffe Kalios" sur votre appli audio préférée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/30/202330 minutes, 3 seconds
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[Extrait] Culture Bouffe #2 | Les épices | Samir Ouriaghli - Ankhor

Dans cet extrait, Samir Ouriaghli nous redonne quelques éléments à garder en tête lorsque l'on achète des épices. La provenance est évidemment importante mais Samir insiste surtout sur la nécessité d'éviter les épices en poudre ! Il nous explique également comment elles doivent-être conservées, pour éviter d'altérer leur goût. Pour en apprendre davantage sur les épices et découvrir l'épisode en entier, tapez "Business of Bouffe les épices" sur votre appli audio préférée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/27/20234 minutes, 45 seconds
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France Terre de Lait #1 - Saison 2 | À quoi sert une interprofession ? | Thierry Roquefeuil – Éleveur laitier et président du CNIEL

Cet épisode lance la deuxième saison de la série France Terre de Lait ! À cette occasion Déborah et Philibert reçoivent Thierry Roquefeuil, éleveur laitier dans le Lot et président du CNIEL depuis dix ans. Thierry nous raconte tout d’abord son parcours d’agriculteur : de la reprise de la ferme familiale à la présidence du CNIEL, l’interprofession qui regroupe tous les acteurs de la filière laitière française.Deborah et Philibert en profitent pour lui poser toutes leurs questions sur le rôle d’une interprofession : Quelles sont ses missions ?Comment fonctionne-t-elle ? Comment est-elle financée ?Quels sont ses principaux enjeux (l’attractivité du métier, l’impact écologique, etc…) ?Cette série spéciale est réalisée en partenariat avec le CNIEL dans le cadre de la démarche de responsabilité sociétale de la filière laitière française : France Terre de Lait. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/25/202348 minutes, 41 seconds
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Culture Bouffe #2 | Les épices | Samir Ouriaghli - Ankhor

Dans ce deuxième épisode de l’émission Culture Bouffe, nous nous intéressons non pas à un produit mais plutôt à une famille de produits : les épices. Il en existe des centaines, certaines très courantes comme le poivre, d’autres un peu moins comme la cardamome. Elles proviennent souvent de l’autre bout du monde et on les connait finalement assez mal. Pour nous éclairer sur ce produit, Pauline a invité derrière le micro de Culture Bouffe un expert du sujet. Il s’agit de Samir Ouriaghli, le fondateur de la marque Ankhor.Au cours de cet échange, nous répondons entre autres aux questions suivantes :Quelles sont les plantes à l'origine des épices et qu'est-ce qui les différencie ?Comment sont-elles produites, récoltées et transformées ?Comment choisir les épices pour bénéficier de toutes leurs saveurs et leurs vertus ?Bref, vous allez forcément apprendre plein de choses sur les épices ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/23/202356 minutes, 8 seconds
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[Extrait] Bouchées Doubles #15 | Walter Ishizuka - Le Japon

Dans cet extrait, on fait le tour avec Walter Ishizuka des spécificités japonaises. Il nous explique également la différence fondamentale entre la cuisine japonaise et la cuisine française.Pour découvrir l'épisode en entier, tapez "Business of Bouffe Walter Ishizuka" sur votre appli audio préférée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/19/20234 minutes, 43 seconds
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Bouchées Doubles #15 | Walter Ishizuka - Le Japon | Avec la participation spéciale de sa femme Jenny

Dans ce nouvel épisode de Bouchées Doubles, Armelle reçoit Walter Ishizuka.Walter Ishizuka est un chef d'origine japonaise qui a ouvert il y a quelques mois un restaurant de street food japonaise : Yabaï Sando. La spécialité de cet établissement installé dans le quartier d'Odéon à Paris est le sando, ce fameux sandwich japonais moelleux et gourmand.Dans cet épisode, Walter nous parle de son enfance passée en France auprès d'une maman française et d'un papa japonais. La culture japonaise avait une place à part entière dans son enfance, que ce soit par la pratique du judo ou le partage de repas japonais chaque dimanche en famille.Walter nous explique comment il est tombé dans la cuisine, sur le tard, avec un premier apprentissage dans le restaurant de ses parents. Il a ensuite fait ses armes chez Paul Bocuse, avant de prendre les cuisines du Hoxton puis d'ouvrir son restaurant.Tout au long de cet épisode, Walter nous parle de la cuisine japonaise, ses différences avec la cuisine française, les arts de la table au Japon et ses traditions.Cet échange avec Walter nous emmène tout droit au Japon. Un vrai moment de partage et de dépaysement ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/16/202326 minutes, 53 seconds
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[Extrait] Business of Bouffe #46 | Pierre-Julien et Grégory Chantzios - Kalios et Eleni Group | L'histoire de deux frères qui ont transformé la petite oliveraie familiale de Kalamata en marque d'huile d'olive à succès

Dans cet extrait, nous revenons sur deux piliers de la marque Kalios : les cuvées de chefs et l'identité de marque.Pierre-Julien et Grégory Chantzios nous expliquent ainsi l'origine de leurs quatre cuvées, et comment ils ont réussi à impliquer des chefs reconnus pour cautionner et promouvoir leurs huiles d'olive. Nous revenons également sur l'identité très singulière de la marque Kalios, facilement reconnaissable aux côtés d'autres huiles.Pour découvrir l'épisode en entier, tapez "Business of Bouffe Kalios" sur votre appli audio préférée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/12/202311 minutes, 46 seconds
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Business of Bouffe #46 | Pierre-Julien et Grégory Chantzios - Kalios et Eleni Group | L'histoire de deux frères qui ont transformé la petite oliveraie familiale de Kalamata en marque d'huile d'olive à succès

Aujourd'hui nous sommes avec Pierre-Julien et Grégory Chantzios, les fondateurs de Kalios et Eleni Group. Ces 2 frères d’origine grecque ont transformé la petite oliveraie familiale de Kalamata en une marque d’huile d’olive à succès. Ils fournissent aujourd’hui les plus grands restaurants et épiceries fines en produits grecs de qualité, et dirigent plus d’une dizaine de restaurants, parmi lesquels Yaya, Vida, Bazurto, etc... Pour co-animer ce nouvel épisode de Business of Bouffe, Philibert est accompagné de Samir Ouriaghli, sourceur d'épices et fondateur de la marque Ankhor. À travers cet épisode, nous cherchons à comprendre les raisons du succès de la marque Kalios et ce qui fait sa singularité : de la qualité des « cuvées » à la force de son marketing. Nous évoquons également l’autre facette (moins connue !) de Pierre-Julien et Grégory : celle de restaurateurs accomplis obsédés par la création de lieux et d’expériences originales.Dans un premier temps, on revient évidemment sur la genèse du projet Kalios, inspiré des origines grecques des deux frères. Pierre-Julien et Grégory nous expliquent les débuts de la marque et leur approche singulière du marché de l’huile d’olive. Ils nous racontent ainsi en détail les étapes de production de leurs huiles d'olive, leurs engagements et leur cahier des charges. Puis, on évoque ensemble leur coup de maître : celui d’avoir enrôlé rapidement des chefs reconnus, comme Éric Guérin, Christophe Aribert, Amandine Chaignot ou encore Juan Arbelaez pour faire la promotion de leurs huiles. Forts de cette réussite, les frères Chantzios ont depuis ouvert leur gamme pour devenir la référence en sourcing de produits grecs : olives, câpres, balsamiques, épices ou encore mezzés. Dans une seconde partie d'épisode, Pierre-Julien et Grégory nous racontent comment ils ont développé leur activité dans la restauration, notamment depuis leur rencontre et association avec le chef Juan Arbeleaz. Nous revenons ainsi sur l'ouverture des restaurants Yaya et des autres restaurants du groupe Eleni comme Pouliche avec la cheffe Amandine Chaignot. Cet épisode a été enregistré avec la participation exceptionnelle de Juan Arbelaez et d'Amandine Chaignot. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/9/20232 hours, 26 minutes, 32 seconds
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[Extrait] Culture Bouffe #1 | L'huile d'olive | Dorian Tota - Olio di Serra

Dans cet extrait, Dorian Tota nous explique brièvement les éléments à garder en tête pour choisir son huile d'olive. Lire l'étiquette est évidemment primordial, mais d'autres critères sont également très importants, comme le contenant dans lequel l'huile est vendue.Pour en apprendre davantage sur l'huile d'olive et découvrir l'épisode en entier, tapez "Business of Bouffe huile d'olive" sur votre appli audio préférée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/5/20233 minutes, 39 seconds
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Culture Bouffe #1 | L'huile d'olive | Dorian Tota - Olio di Serra

Dans ce tout premier épisode de l'émission Culture Bouffe, nous nous intéressons à un produit que l'on croit connaitre, mais qui reste très opaque : l'huile d'olive. Pour nous éclairer sur ce produit, Pauline a invité derrière le micro de Culture Bouffe un expert du sujet. Il s'agit de Dorian Tota, le fondateur de la marque d'huile d'olive Olio di Serra.Au cours de cet échange, nous répondons entre autres aux questions suivantes :Comment est produite l'huile d'olive, de la récolte des olives à leur transformation ?Que signifie les mentions comme "vierge extra", "extraction à froid" ou encore "origine UE et hors UE" ?Comment choisir une bonne huile d'olive, d'un point de vue gustatif et nutritionnel ?Bref, vous allez forcément apprendre plein de choses sur l'huile d'olive ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/2/202345 minutes, 44 seconds
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Culture Bouffe #0 | Le podcast qui donne des clés pour mieux consommer

Aujourd’hui nous avons le plaisir de vous annoncer la naissance d'une nouvelle émission "Culture Bouffe", diffusée sur Business of Bouffe et animée par Pauline Lavatine. Pauline est petite-fille d'agriculteur, passionnée de bonne bouffe et soucieuse de mieux comprendre ce qu'elle met dans son assiette. Elle collabore avec Philibert depuis plusieurs mois et a souhaité proposer un nouveau format de podcast, simple et accessible, pour partager avec nos auditeurs des clés pour mieux consommer !Dans cet épisode #0, Pauline et Philibert vous racontent la genèse du projet et le concept de cette nouvelle émission. Dans chaque épisode de “Culture Bouffe”, Pauline s’intéressera à un produit ou une thématique avec un producteur, un expert ou un passionné.L'épisode #1, consacré à l'huile d'olive, sera disponible ce dimanche ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/30/20236 minutes, 25 seconds
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[L'essentiel] Business of Bouffe #45 | Guillaume Sanchez - Neso | L'histoire d'un chef atypique et ultra-créatif qui cherche à réinventer la cuisine et l'image de la gastronomie

Comme son nom l'indique, cet épisode est une version courte (moins de 30min !) de l'épisode #45 de l'émission Business of Bouffe.Notre invité est Guillaume Sanchez, chef surdoué et inclassable, passionné par la création en tout genre. Il est chef et propriétaire du restaurant Neso à Paris, et également fondateur de l'agence créative Solide. Pour co-animer cet épisode de Business of Bouffe, Philibert est accompagné de Samir Ouriaghli, sourceur d'épices et fondateur de la marque Ankhor.Dans cette version éditée, nous évoquons notamment :Le parcours de Guillaume, des Compagnons du Devoir à ses premiers projets professionnelsSes expériences à la télévision dans des émissions de cuisineL'histoire de ses restaurants Nomos puis NesoPour découvrir tous les sujets abordés lors de cette rencontre unique et écouter l'épisode original en entier, tapez "Business of Bouffe Guillaume Sanchez " sur votre appli audio préférée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/26/202330 minutes, 3 seconds
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[Extrait] Bouchées Doubles #14 | Elhadj Diop - Le Sénégal

Dans cet extrait, Elhadj nous parle de la cuisine de sa maman et de certaines spécialités sénégalaises qu'elle cuisine régulièrement. Parmi elles, il évoque notamment le soupou kandja. C'est un plat qu'il adore mais qui ne fait pas l'unanimité auprès de ceux qui n'y sont pas habitués.Il nous parle également de la cuisine sénégalaise au sens large ; ce qui la caractérise et la différencie de la cuisine française, l'heure des repas, la notion de partage ou encore les modes de cuisson. Pour découvrir l'épisode en entier, tapez "Business of Bouffe Elhadj Diop" sur votre appli audio préférée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/22/20235 minutes, 32 seconds
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Bouchées Doubles #14 | Elhadj Diop - Le Sénégal | Avec la participation spéciale de sa femme Céline

Dans ce nouvel épisode de Bouchées Doubles, Armelle reçoit Elhadj Diop.Elhadj Diop est un pâtissier d'origine sénégalaise installé au Mans. Anciennement joueur de basket professionnel, il a ouvert sa pâtisserie Le destin du Gourmand, en 2019. Ayant été diagnostiqué diabétique au moment de sa reconversion, il y propose des pâtisseries à faible teneur en sucre.Dans cet épisode, Elhadj nous parle de son enfance passée en région parisienne. Habitant en France tout en vivant au rythme de la culture sénégalaise dans le foyer familial, il nous explique à quel point le terme "double culture" est approprié pour décrire son enfance.On en apprend beaucoup sur la cuisine sénégalaise et ses spécialités dans cet épisode, car Elhadj a été bercé par les plats traditionnels sénégalais cuisinés par sa maman.Enfin, nous revenons sur sa reconversion et l'ouverture de sa pâtisserie. Elhadj nous explique sa démarche et comment ses origines sénégalaises influencent la création de ses pâtisseries.Cet échange avec Elhadj nous transporte entre le Sénégal et la France. Un vrai moment de partage et de gourmandise aussi ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/19/202346 minutes, 12 seconds
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[Extrait #2] Business of Bouffe #45 | Guillaume Sanchez - Neso | L'histoire d'un chef atypique et ultra-créatif qui cherche à réinventer la cuisine et l'image de la gastronomie

Dans cet extrait (un peu plus long que d'habitude), on partage avec vous l'un des temps forts de ce podcast très riche consacré à Guillaume Sanchez. Philibert et Samir font ici référence au livre "Post-Cuisine", que Guillaume a co-écrit avec Henry Michel, pour le questionner sur sa vision de la restauration d'aujourd'hui et de demain.On y découvre un Guillaume Sanchez, aussi doué en économie, qu'en cuisine, qui se risque avec bon sens et lucidité au périlleux exercice de la prospective. On évoque ainsi l'avenir des différents segments de restaurants : des dark kitchens aux restaurants gastronomiques, en passant par les bistrots populaires.Pour découvrir l'épisode en entier, tapez "Business of Bouffe Guillaume Sanchez" sur votre appli audio préférée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/12/202315 minutes, 19 seconds
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[Extrait] Business of Bouffe #45 | Guillaume Sanchez - Neso | L'histoire d'un chef atypique et ultra-créatif qui cherche à réinventer la cuisine et l'image de la gastronomie

Dans cet extrait, Guillaume Sanchez revient sur la première critique reçue lors de l'ouverture de son premier restaurant Nomos.Cette "mauvaise critique" publiée à l'époque dans le Figaroscope et écrite par le journaliste gastronomique Emmanuel Rubin a vivement touché Guillaume. Malgré les années, il en parle encore avec une vive émotion, mais il admet aujourd'hui que cette critique a joué un rôle décisif pour la suite de sa carrière. Il le confirmera d'ailleurs un peu plus tard dans l'épisode lorsqu'il racontera à Samir et Philibert l'ouverture de son second restaurant : Neso.Pour découvrir l'épisode en entier, tapez "Business of Bouffe Guillaume Sanchez" sur votre appli audio préférée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/8/20236 minutes, 5 seconds
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Business of Bouffe #45 | Guillaume Sanchez - Neso | L'histoire d'un chef atypique et ultra-créatif qui cherche à réinventer la cuisine et l'image de la gastronomie

Aujourd'hui nous sommes avec Guillaume Sanchez, chef surdoué et inclassable, passionné par la création en tout genre. Il est chef et propriétaire du restaurant Neso à Paris, et également fondateur de l'agence créative Solide. Pour co-animer ce nouvel épisode de Business of Bouffe, Philibert est accompagné de Samir Ouriaghli, sourceur d'épices et fondateur de la marque Ankhor.À travers cet épisode, nous cherchons à mieux comprendre ce personnage complexe qui bouscule le paysage gastronomique français. Sa cuisine ultra-créative, son look décalé et son franc-parler ne laissent pas indifférent. Bref, il était temps de lui donner l'occasion de s'exprimer en profondeur (plus de 3h !) pour se faire un véritable avis et écouter sa vision libre et lucide de la cuisine d'aujourd'hui et de demain.Pour comprendre l’état d’esprit de Guillaume, nous revenons d’abord sur son enfance "classique" dans une famille de militaires et sur sa formation exigeante chez les Compagnons du Devoir. Ainsi formé à la pâtisserie et non à la cuisine comme nous pourrions l’imaginer, Guillaume nous parle de ses premières expériences dans des maisons de renom à Paris, du concours de Meilleur Apprenti de France et de ses premières aventures entrepreneuriales.Nous prenons ensuite le temps de détailler l’histoire de ses restaurants, Nomos tout d’abord, puis Neso. L'occasion pour nous de mieux comprendre son univers et de revenir sur sa cuisine hors norme et engagée. Cet échange est aussi l’occasion de nous intéresser aux autres activités de Guillaume : chef consultant, directeur d'une agence de création, etc... Puis, nous parlons de son image. C'est évidemment un sujet primordial aujourd'hui pour les chefs. Guillaume ne fait pas exception à la règle, mais sa gestion de la médiatisation est plus singulière.Enfin, Philibert et Samir profitent de cet échange avec Guillaume pour l’interroger sur sa vision de la restauration de demain, en référence au livre qu'il a co-écrit avec Henry Michel : "Post-Cuisine".Cet épisode a été enregistré avec la participation exceptionnelle de Déborah Pham (Mint Magazine), Raphaële Marchal (Enrangdoignons) et François-Régis Gaudry (“On va déguster” France Inter) Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/6/20233 hours, 13 minutes, 19 seconds
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[Teaser] Business of Bouffe #45 | Guillaume Sanchez - Neso | L'histoire d'un chef atypique et ultra-créatif qui cherche à réinventer la cuisine et l'image de la gastronomie

Dimanche prochain, nous diffuserons un épisode inédit de Business of Bouffe consacré à Guillaume Sanchez, chef et propriétaire du restaurant Neso à Paris, et fondateur de l'agence créative Solide. Pour co-animer ce nouvel épisode de Business of Bouffe, Philibert est accompagné de Samir Ouriaghli, sourceur d'épices et fondateur d'Ankhor.Vrai compétiteur dans l'âme, Guillaume Sanchez ne cache pas sa quête d'étoiles. Il a obtenu très vite après l'ouverture de Neso sa première étoile et ne compte pas s'arrêter là. Dans cet extrait, il nous parle de cet acteur incontournable du paysage gastronomique qu'est le Guide Michelin. C'est un sujet d'actualité puisque la cérémonie des étoiles a lieu dans quelques jours, c'est donc l'occasion de revenir sur l'impact que peut avoir l'obtention ou la perte d'une étoile sur les chefs et leur(s) restaurant(s).L'épisode intégral sera disponible ce dimanche ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/1/20233 minutes, 27 seconds
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[L'essentiel] Business of Bouffe #44 | Christophe Juville - Spok | L’histoire d’un serial entrepreneur dont le parcours semé d'embûches le conduit malgré tout à la tête d'une franchise de plus de cinquante restaurants

Comme son nom l'indique, cet épisode est une version courte (moins de 30min !) de l'épisode #44 de l'émission Business of Bouffe.Notre invité est Christophe Juville, le fondateur de Spok, la franchise qui bouscule la restauration rapide et compte déjà plus de cinquante restaurants partout en France. Christophe est également à la tête des restaurants Lolo Bistrot, Lolo Cave à Manger et Figure, installés à Paris et à Marseille. Pour co-animer cet épisode de Business of Bouffe, Philibert est accompagné d’Élisa Gautier, animatrice de l'émission Bascis of Bouffe et fondatrice du restaurant engagé Kiosk.Dans cette version éditée, nous évoquons notamment :Le parcours de Christophe et son apprentissage de la cuisineL'ouverture puis la mise en liquidation judiciaire de ses deux premiers restaurants La Girafe et ZEL'ouverture du premier Spok et le développement de sa franchisePour découvrir tous les sujets abordés lors de cette rencontre unique et écouter l'épisode original en entier, tapez "Business of Bouffe Spok " sur votre appli audio préférée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
2/26/202329 minutes, 24 seconds
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[Extrait] Business of Bouffe #44 | Christophe Juville - Spok | L’histoire d’un serial entrepreneur dont le parcours semé d'embûches le conduit malgré tout à la tête d'une franchise de plus de cinquante restaurants

Dans cet extrait, Philibert et Elisa questionnent Christophe sur les autres établissements qu'il a ouvert ces dernières années. En effet, il n'est pas seulement le fondateur de Spok, mais également de Lolo Cave à manger, Lolo Bistrot, Figure et Ippon.Christophe nous explique l'origine et l'histoire de chacun de ces établissements et leur promesse. Il revient également sur l'un de ses derniers projets ; l'ouverture d'un restaurant végétarien, plus confidentiel, au sein des nouveaux bureaux de Veja.Pour découvrir l'épisode en entier, tapez "Business of Bouffe Spok" sur votre appli audio préférée. L'Essentiel de cet épisode sera également disponible dès dimanche ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
2/22/202312 minutes, 8 seconds
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Bouchées Doubles #13 | Thomas Chisholm - Les Etats-Unis | Avec la participation spéciale de sa compagne Marion

Dans ce nouvel épisode de Bouchées Doubles, Armelle reçoit Thomas Chisholm.Thomas Chisholm est un jeune chef franco-américain qui a grandi à Brooklyn avant d'arriver en France à l'âge de 14 ans. Il a fait ses armes dans des restaurants gastronomiques de renom avant de participer à la saison 12 de Top Chef. Il est aujourd'hui chef et propriétaire de son restaurant, Chocho, à Paris.Dans cet épisode, Thomas nous parle d'abord de son parcours, de son arrivée en France à sa participation à Top Chef. Il prend le temps de revenir sur ses différentes expériences de Nîmes à Paris, dans des établissements très différents les uns des autres. Ces expériences lui ont permis de construire son identité et de s'affirmer en tant que chef.Nous revenons ensuite sur son enfance passée à New-York entre Chinatown, la cuisine de sa tante italienne ou encore Clinton Hill, un quartier de New-York aux influences africaines. Thomas nous explique comment cette diversité de cultures dans laquelle il a grandi influence aujourd'hui sa cuisine. Les anecdotes vont bon train quand Thomas nous raconte ses souvenirs de l'école, plus particulièrement de la cantine ou des fêtes traditionnelles américaines comme Thanksgiving.Cet épisode est un vrai moment de partage avec Thomas. Il nous embarque complètement dans ses souvenirs et dans la culture américaine le temps d'un voyage express à New-York ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
2/19/202347 minutes, 23 seconds
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[Teaser] Bouchées Doubles #13 | Thomas Chisholm - Les Etats-Unis

Cet épisode est un avant-goût du podcast que nous avons enregistré il y a quelques semaines avec Thomas Chisholm, chef franco-américain et propriétaire du restaurant Chocho à Paris.Dans cet extrait, Thomas nous parle de son enfance à New-York. Il a grandi dans une diversité de cultures et découvre ainsi très jeune de nombreuses cuisines du monde. Cette ouverture sur le monde l'a évidemment nourri et influence le chef qu'il est aujourd'hui.L'épisode intégral sera disponible dimanche ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
2/15/20232 minutes, 3 seconds
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[L'essentiel] Business of Bouffe #43 | Sarah Mouchot et Nicolas Alary - Holybelly | L’histoire d’un couple de restaurateurs qui a créé une institution du petit-déjeuner à Paris

Comme son nom l'indique, cet épisode est une version courte (moins de 30min !) de l'épisode #43 de l'émission Business of Bouffe.Nos invités sont Sarah Mouchot et Nicolas Alary, les fondateurs des restaurants Holybelly à Paris, une véritable institution moderne, populaire et engagée, qui bouscule les codes de la restauration. Pour co-animer cet épisode de Business of Bouffe, Philibert est accompagné d'Elisa Gautier, animatrice de l'émission Bascis of Bouffe et fondatrice du restaurant engagé Kiosk.Dans cette version éditée, nous évoquons notamment :Les voyages initiatiques de Sarah et Nicolas à Vancouver, puis à MelbourneLes inspirations du projet Holybelly, et notamment les expériences et rencontres de Sarah et Nicolas à l'autre bout du mondeLe lancement d'Holybelly et les étapes clés de son développementPour découvrir tous les sujets abordés lors de cette rencontre unique et écouter l'épisode original en entier, tapez "Business of Bouffe Holybelly " sur votre appli audio préférée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
2/12/202330 minutes, 7 seconds
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[Extrait] Business of Bouffe #44 | Christophe Juville - Spok | L’histoire d’un serial entrepreneur dont le parcours semé d'embûches le conduit malgré tout à la tête d'une franchise de plus de cinquante restaurants

Dans cet extrait, Christophe Juville nous parle d'un aspect important dans la gestion de la franchise SPOK : les achats de matières premières.L'une des promesses de Spok étant de travailler des produits locaux et de saison, la gestion des achats au niveau national est évidemment un peu plus complexe. Conserver une logique d'économie d'échelle tout en respectant sa démarche RSE nécessite une vraie réflexion.Christophe nous explique donc comment est structurée au sein de SPOK la gestion des achats entre la franchise et les franchisés installés partout en France.Pour découvrir l'épisode en entier, tapez "Business of Bouffe SPOK" sur votre appli audio préférée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
2/9/20234 minutes, 20 seconds
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Business of Bouffe #44 | Christophe Juville - Spok | L’histoire d’un serial entrepreneur dont le parcours semé d'embûches le conduit malgré tout à la tête d'une franchise de plus de cinquante restaurants

Aujourd'hui nous sommes avec Christophe Juville, le fondateur de Spok, la franchise qui bouscule la restauration rapide et compte déjà plus de cinquante restaurants partout en France. Christophe est également à la tête des restaurants Lolo Bistrot, Lolo Cave à Manger et Figure, installés à Paris et à Marseille. Pour co-animer ce nouvel épisode de Business of Bouffe, Philibert est accompagné d’Élisa Gautier, animatrice de l'émission Bascis of Bouffe et fondatrice du restaurant engagé Kiosk.À travers cet épisode, nous cherchons à comprendre comment un entrepreneur qui a connu un échec retentissant, le poussant à repartir de zéro, à su trouver la force de rebondir pour créer une marque de restauration rapide singulière et incontournable. Élisa et Philibert profitent également de cet échange pour parler du modèle de franchise, un sujet peu abordé jusqu'à présent sur Business of Bouffe.Pour comprendre l'état d'esprit et la persévérance de Christophe, nous revenons évidemment sur son enfance passée dans les quartiers nord de Marseille. À l'adolescence il doit déjà faire preuve de volonté pour se donner les moyens de construire son avenir. La cuisine arrive comme une révélation et sera finalement pour Christophe une revanche ! Tout au long de son apprentissage de la cuisine, Christophe gravit les échelons, travaille dans des établissements luxueux et développe une rigueur et une ambition qu'il n'a jamais perdues.Débute ensuite son parcours d'entrepreneur avec la création de ses deux premiers restaurants à Marseille : La Girafe et ZE. Nous revenons en détail sur l'ouverture de ces deux établissements avec déjà une proposition de valeur propre à Christophe : un bon sourcing, un chef talentueux et des lieux imaginés par des architectes. Mais après le succès, c'est le début d'une spirale infernale qui conduit Christophe à placer les deux restaurants en liquidation judiciaire. L'expérience de Christophe est évidemment enrichissante par la résilience et la détermination dont il a dû faire preuve dans la gestion de cet échec.Dans une seconde partie de l'épisode, nous parlons évidemment de Spok, du lancement du premier restaurant à Marseille à l'organisation du modèle de franchise au niveau national. Nous revenons sur ce qui fait la singularité des restaurants Spok : une offre de restauration rapide de qualité, des plats qui changent chaque jour et cuisinés sur place par un chef. Enfin, Philibert et Elisa profitent de cet échange pour questionner Christophe sur ses autres projets et activités, ainsi que sur ses ambitions pour la suite. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
2/5/20232 hours, 28 minutes, 26 seconds
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[Teaser] Business of Bouffe #44 | Christophe Juville - Spok | L’histoire d’un serial entrepreneur dont le parcours semé d'embûches le conduit malgré tout à la tête d'une franchise de plus de cinquante restaurants

Dimanche prochain, nous diffuserons un épisode inédit de Business of Bouffe consacré à Christophe Juville, le fondateur des cantines de chefs Spok et des restaurants Lolo Cave à manger, Lolo Bistrot et Figure.Entrepreneur dans l'âme, Christophe Juville est aujourd'hui à la tête de la franchise Spok, qui compte une cinquantaine de restaurants partout en France, et également de trois restaurants basés à Paris et à Marseille. Mais avant de lancer Spok, Christophe a connu un échec retentissant avec ses deux premiers restaurants basés à Marseille, La Girafe et ZE, malgré le succès rencontré au début.Dans cet extrait, Christophe nous parle de cette expérience dont il tire une force et une persévérance hors du commun et nous explique comment il a réussi à se relever pour finalement lancer Spok et connaître à nouveau le succès.L'épisode intégral sera disponible ce dimanche ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
2/1/20235 minutes, 28 seconds
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Bouchées Doubles #12 | Youssef Gastli - La Tunisie | Avec la participation spéciale de sa femme Leila et sa fille Zina

Dans ce nouvel épisode de Bouchées Doubles, Armelle reçoit Youssef Gastli.Youssef Gastli est un chef d’origine tunisienne, arrivé en France il y a vingt ans pour apprendre la cuisine. Youssef a étudié à l’Institut Paul Bocuse et aux côtés de grands chefs. Il a ensuite ouvert son premier restaurant, Plume en 2016 et le second, Dune il y a quelques mois, tous deux à Paris.Dans cet épisode, Youssef nous parle de son enfance à Tunis. Il nous explique aussi l’attachement qu’il a développé très tôt pour la France grâce aux nombreux séjours passés ici. Bien que sa famille soit sensible à la cuisine et à la gastronomie, Youssef nous explique que la cuisine est avant tout une vocation pour lui, presque quelque chose d’inné.Nous parlons évidemment de la cuisine tunisienne, de ses particularités et traditions mais aussi de l’importance de la transmission entre générations. La cuisine de Youssef est d’ailleurs inspirée des cuisines française et tunisienne, qu’il aime mixer pour tirer le meilleur de chacune d’elles.Cet épisode est un joli moment de partage avec Youssef, en totale immersion dans sa cuisine : vous y entendrez les bruits de casseroles puisque nous avons enregistré cet épisode chez Plume juste avant le service de midi ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
1/29/202323 minutes, 43 seconds
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[Teaser] Bouchées Doubles #12 | Youssef Gastli - La Tunisie

Cet épisode est un avant-goût du podcast que nous avons enregistré pas plus tard qu'hier avec Youssef Gastli, chef tunisien et propriétaire des restaurants Dune et Plume à Paris.Dans cet extrait, Youssef nous parle de la cuisine tunisienne, une cuisine avant tout familiale qui se transmet de génération en génération. Cette spécificité la rend finalement moins connue car il existe peu de livres de recettes traditionnelles de ce pays. L'épisode intégral sera disponible dimanche ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
1/25/20232 minutes, 14 seconds
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[L'essentiel] Business of Bouffe #36 | Cyril Lignac et Laurence Mentil – Groupe Cyril Lignac | L’histoire d’un duo iconique d’entrepreneurs avant-gardistes et heureux d’être libres

En moins de 30 minutes, nous souhaitons vous faire (re)découvrir nos meilleurs épisodes de Business of Bouffe.Cette semaine, nous mettons à l'honneur notre échange avec Cyril Lignac et Laurence Mentil, respectivement chef-entrepreneur et directrice générale du groupe Cyril Lignac.Dans cette version courte, Philibert et Daniel abordent notamment :Les débuts de Cyril dans l'univers de la cuisine, de son premier poste de chef à ses premiers pas à la télévisionLa rencontre entre Cyril et Laurence et son rôle important dans le lancement de la carrière de CyrilLe développement du groupe Cyril Lignac avec l'ouverture de restaurants, de chocolateries, de boulangeries ou encore le lancement d'une société de productionPour découvrir tous les sujets abordés lors de cette rencontre unique et écouter l'épisode original en entier, tapez "Business of Bouffe Cyril Lignac" sur votre appli audio préférée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
1/22/202330 minutes, 14 seconds
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[L'essentiel] Business of Bouffe #31 | Stéphane Layani - Marché de Rungis | L’histoire du plus grand marché de produits frais au monde

En moins de 30 minutes, nous souhaitons vous faire (re)découvrir nos meilleurs épisodes de Business of Bouffe.Cette semaine, nous mettons à l'honneur notre échange avec Stéphane Layani, le président directeur général du marché international de Rungis.Dans cette version courte, Philibert et Daniel abordent notamment :L'histoire des premiers marchés de produits frais à Paris, qui sont les prémices du marché international de RungisLe rôle de Rungis au niveau régional et nationalL'organisation des différents métiers du marché de RungisPour découvrir tous les sujets abordés lors de cette rencontre unique et écouter l'épisode original en entier, tapez "Business of Bouffe Stéphane Layani " sur votre appli audio préférée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
1/15/202329 minutes, 44 seconds
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[Extrait] Business of Bouffe #43 | Sarah Mouchot et Nicolas Alary - Holybelly | L’histoire d’un couple de restaurateurs qui a créé une institution du petit-déjeuner à Paris

Dans cet extrait, Sarah et Nicolas nous parlent de leur retour en France après leur long voyage initiatique à l'autre bout du monde.Ils reviennent à Paris avec l'idée d'ouvrir leur restaurant, un lieu inspiré de ce qu'ils ont vu à Vancouver et à Melbourne. Mais le parcours de jeune entrepreneur n'est pas toujours facile, c'est ce qu'ils nous rappellent dans cet extrait. À travers le récit d'anecdotes et des différentes étapes qu'ils ont franchi pour créer leur premier restaurant, Sarah et Nicolas partagent surtout l'idée que la persévérance est la clé de la réussite.Pour découvrir l'épisode en entier, tapez "Business of Bouffe Holybelly" sur votre appli audio préférée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
1/11/202317 minutes, 46 seconds
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Business of Bouffe #43 | Sarah Mouchot et Nicolas Alary - Holybelly | L’histoire d’un couple de restaurateurs qui a créé une institution du petit-déjeuner à Paris

Aujourd’hui nous sommes avec Sarah Mouchot et Nicolas Alary, les fondateurs des restaurants Holybelly à Paris. En seulement quelques années, ils ont créé une véritable institution moderne, populaire et engagée, qui bouscule les codes de la restauration. Pour co-animer ce nouvel épisode de Business of Bouffe, Philibert est accompagné d’Élisa Gautier, animatrice de l'émission Bascis of Bouffe et fondatrice du restaurant Kiosk.Jusqu’en décembre dernier, Holybelly c’était deux restaurants installés dans le 10e arrondissement de Paris. Depuis, Sarah et Nicolas ont décidé de fermer l’un des deux établissements pour se concentrer sur la gestion du plus grand et sur de nouveaux projets. La volonté du couple reste inchangée : proposer des petits-déjeuners et déjeuners gourmands, inspirés de leur voyage à l’autre bout du monde et cuisinés sur place avec des produits de saison. À travers cet épisode, nous cherchons à comprendre les raisons du succès des restaurants Holybelly et plus précisément, comment Sarah et Nicolas ont repensé tous les codes et usages du métier pour proposer la meilleure expérience possible à leurs clients. Ainsi, dans un premier temps, nous revenons sur le parcours atypique de Sarah et Nicolas et en particulier leurs longs voyages initiatiques à Vancouver et Melbourne. Sans aucun doute, ces expériences dépaysantes et enivrantes ont été le déclic et la source d’inspiration de leur projet d’ouverture de restaurant à Paris. Pris de passion pour la culture du « breakfast » comme ils aiment le dire, ils ont pris le temps pendant ces voyages d’apprendre une autre façon de cuisiner, de servir le café (de spécialité évidemment !) et plus globalement d’accueillir et fidéliser les clients. Dans la seconde partie de l’épisode, nous profitons de la jeune, mais déjà riche, expérience de Sarah et Nicolas pour analyser les clés de leur réussite. On parle alors de leur exigence dans le sourcing des produits, de leur implication dans la gestion durable des équipes ou encore de l’extraordinaire communauté de « fans » qui les suit sur les réseaux sociaux.Nous évoquons évidemment à la fin de l’épisode la décision de Sarah et Nicolas de fermer leur premier établissement il y a quelques semaines et les raisons de ce choix surprenant, mais plein de bon sens.Cet épisode a été enregistré avec la participation exceptionnelle de Sarah Mainguy (Vacarme), Thomas Lehoux (Chanceux) et Pierre Lebrun (Le Parti du Thé). Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
1/8/20232 hours, 33 minutes, 1 second
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[Extrait] Bouchées Doubles #11 | Abdel Alaoui - Le Maroc

Dans cet extrait, Abdel nous parle de quelques unes des spécialités marocaines. Il en existe un sacré nombre puisque chaque région et même chaque ville possède son plat traditionnel ! Il nous raconte notamment l'histoire de la tanjia, seule recette préparée par les hommes au Maroc.Pour découvrir l'épisode en entier, tapez "Business of Bouffe Abdel Alaoui" sur votre appli audio préférée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
1/4/20232 minutes, 4 seconds
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Bouchées Doubles #11 | Abdel Alaoui - Le Maroc | Avec la participation spéciale de son fils Basile

Dans ce nouvel épisode de Bouchées Doubles, Armelle reçoit Abdel Alaoui.Abdel Alaoui est un chef d'origine marocaine aux multiples casquettes. Avant tout passionné de cuisine, il s'est tourné vers le métier de chef très tôt dans sa jeunesse. Il porte également un grand intérêt pour la comédie : il a suivi des cours de théâtre et écrit un one man show il y a une dizaine d'années. Ce sont d'ailleurs ces deux passions qui lui ont ouvert les portes d'un tout autre métier : celui d’animateur et chroniqueur à la télévision et à la radio, notamment sur Canal+, France Télévision ou encore Europe 1. Il y parle évidement le plus souvent… de bouffe !! Abdel est également fondateur et propriétaire du restaurant Yemma à Paris, cantine marocaine.Dans cet épisode, Abdel nous raconte ses souvenirs d'enfance, bercé par de multiples cultures mais surtout marocaine. Il nous raconte sa jeunesse, passée en région parisienne et ses nombreux séjours au Maroc. La passion communicative d'Abdel pour son pays d'origine nous porte tout au long de cet épisode. Il s'amuse à nous raconter avec beaucoup d'enthousiasme les coutumes et spécialités locales, sources d'inspiration pour sa cuisine aujourd'hui.Ce podcast est finalement un véritable voyage au Maroc, drôle, dépaysant et profondément sincère. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
1/1/202336 minutes
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[L'essentiel] Business of Bouffe #7 | Emmanuel Rubin - Le Figaro | L’histoire d’un journaliste énigmatique qui aime profondément les restaurants et la gastronomie

En moins de 30 minutes, nous souhaitons vous faire (re)découvrir nos meilleurs épisodes de Business of Bouffe.Cette semaine, nous mettons à l'honneur notre échange avec Emmanuel Rubin, critique gastronomique du Figaro depuis plus de 30 ans, mais également co-fondateur du Fooding, co-fondateur d'Achab Conseil et depuis un an rédacteur en chef de Gestes Magazine. Emmanuel Rubin est par ailleurs co-animateur occasionnel sur Business of Bouffe.Dans cette version courte, Philibert et Daniel abordent notamment :Le parcours d'Emmanuel Rubin, de sa volonté originelle de devenir restaurateur aux grandes étapes de sa carrière de journaliste et critique gastronomiqueL'évolution de la restauration en France ces 30 dernières années, et ses conséquences sur le métier de journaliste culinaire et critique gastronomique. Emmanuel nous explique d'ailleurs très clairement la différence entre ces 2 approches !La création du Fooding et d'Achab ConseilPour découvrir tous les sujets abordés lors de cette rencontre unique et écouter l'épisode original en entier, tapez "Business of Bouffe Emmanuel Rubin " sur votre appli audio préférée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
12/27/202229 minutes, 9 seconds
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[Teaser] Business of Bouffe #43 | Sarah Mouchot et Nicolas Alary - Holybelly | L’histoire d’un couple de restaurateurs qui a créé une institution du petit-déjeuner à Paris

Cet épisode est un avant-goût du podcast que nous avons enregistré il y a quelques jours avec Sarah Mouchot et Nicolas Alary, les fondateurs des restaurants Holybelly à Paris.Nous souhaitions diffuser cet extrait dès aujourd'hui car nous y évoquons une actualité "brûlante" de Sarah et Nicolas : la fermeture cette semaine de Holybelly 19, leur tout premier restaurant. Dans ce passage, ils nous expliquent en détail les raisons qui les ont poussés à prendre cette décision difficile, mais paradoxalement pleine d'espoir pour la suite.L'épisode intégral sera disponible début janvier 2023 ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
12/22/202215 minutes, 36 seconds
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[L'essentiel] Business of Bouffe #42 | Alexis Vaillant - Alterfood | L'histoire d'un jeune entrepreneur qui défie les multinationales agroalimentaires

Comme son nom l'indique, cet épisode est une version courte (moins de 30min !) de l'épisode #42 de l'émission Business of Bouffe.Notre invité est Alexis Vaillant, le fondateur d’Alterfood, un jeune groupe agroalimentaire engagé en faveur d'une alimentation plus responsable. Pour co-animer cet épisode de Business of Bouffe, Philibert est accompagné d'Elisa Gautier, animatrice de l'émission Bascis of Bouffe et fondatrice du restaurant engagé Kiosk.Dans cette version éditée, nous évoquons notamment :Le parcours d'Alexis, de ses débuts d'entrepreneur au lancement de chacune des marques d'AlterfoodLes valeurs et les engagements du groupe AlterfoodL'impact économique de la crise actuelle et de l'explosion de l’inflation sur le système agroalimentaire dans son ensemblePour découvrir tous les sujets abordés lors de cette rencontre unique et écouter l'épisode original en entier, tapez "Business of Bouffe Alexis Vaillant " sur votre appli audio préférée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
12/18/202229 minutes, 50 seconds
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[Extrait] Bouchées Doubles #10 | Cathy Paraschiv - La Roumanie

Dans cet extrait, Cathy nous parle évidemment de la cuisine roumaine, influencée par son histoire et notamment les nombreuses invasions que le pays a connues. Ainsi, elle nous explique qu'il n'existe pas vraiment de cuisine roumaine, mais plutôt une cuisine des Balkans.Pour découvrir l'épisode en entier, tapez "Business of Bouffe Cathy Paraschiv" sur votre appli audio préférée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
12/14/20224 minutes, 1 second
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Bouchées Doubles #10 | Cathy Paraschiv - La Roumanie | Avec la participation spéciale de son amie Marta

Dans ce nouvel épisode de Bouchées Doubles, Armelle reçoit Cathy Paraschiv.Cathy Paraschiv est une cheffe d'origine roumaine et propriétaire de deux établissements à Paris. Auparavant juriste financière, elle s'est reconvertie en ouvrant Ibrik café et Ibrik kitchen en 2017 et 2018, poussée par la volonté de partager sa culture et son histoire.Dans cet épisode, Cathy nous emmène avec elle dans ses souvenirs d'enfance à Bucarest, en pleine dictature sous Ceaușescu. Nous en apprenons beaucoup à travers cet échange sur la vie en Roumanie pendant cette période. Elle nous explique la vie quotidienne bien sûr, mais aussi pour faire le lien avec la bouffe, les rations de nourriture, l'absence de marques occidentales et les coutumes.Cathy nous raconte également son arrivée en France et la découverte d'un monde qu'elle ne connaissait pas du haut de ses six ans. Des couleurs dans les rues, aux marchés de petits producteurs en passant par les grandes surfaces, on comprend l'émerveillement ressenti par cette petite fille à l'époque.Enfin, nous parlons évidemment de ses restaurants. Cathy voit ces lieux comme des espaces de partage à la fois conviviaux et familiaux. Elle souhaite y faire découvrir la cuisine des balkans et recevoir les clients comme elle reçoit chez elle.Cet épisode est finalement un voyage dans l'histoire, enrichissant et captivant. Cathy se livre et nous permet de voyager avec elle dans sa culture, qui reste finalement peu connue. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
12/11/202256 minutes, 37 seconds
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[Extrait] Bouchées Doubles #04 | Claudia Concha (No Diet Club) - Le Portugal

Dans cet extrait, Claudia nous parle des traditions culinaires au Portugal. Elle nous explique notamment les habitudes quotidiennes locales et les coutumes traditionnelles de Noël.Pour découvrir l'épisode en entier, tapez "Business of Bouffe Claudia Concha" sur votre appli audio préférée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
12/7/20224 minutes, 54 seconds
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[L'essentiel] Business of Bouffe #34 | Apollonia Poilâne - Maison Poilâne | L’histoire d’une marque iconique de la boulangerie à l’origine d’un pain qui nourrit et qui se garde

En moins de 30 minutes, nous souhaitons vous faire (re)découvrir nos meilleurs épisodes de Business of Bouffe.Cette semaine, nous mettons à l'honneur notre échange avec Apollonia Poilâne, 3e génération à la tête des boulangeries éponymes.Dans cette version courte, Philibert et Daniel abordent notamment : L’histoire de la maison Poilâne depuis sa création en 1932Le savoir-faire unique de Poilâne et la qualité de ses pains, reconnus pour leur goût singulier et leur longue conservationLe rayonnement international de cette marque française notoire et emblématique.Pour découvrir tous les sujets abordés lors de cette rencontre unique et écouter l'épisode original en entier, tapez "Business of Bouffe Poilâne" sur votre appli audio préférée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
12/4/202229 minutes, 23 seconds
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[Extrait] Bouchées Doubles #09 | Omar Dhiab - L'Egypte

Dans cet extrait, Omar nous parle de la cuisine égyptienne et de ce qui la rend différente de la cuisine française. Il évoque également avec nous les traditions culinaires égyptiennes, notamment celles associées aux fêtes.Pour découvrir l'épisode en entier, tapez "Business of Bouffe Omar Dhiab" sur votre appli audio préférée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
11/30/20222 minutes, 58 seconds
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Bouchées Doubles #09 | Omar Dhiab - L'Egypte | Avec la participation spéciale de sa femme Pauline

Dans ce nouvel épisode de Bouchées Doubles, Armelle reçoit Omar Dhiab.Omar Dhiab est un jeune chef talentueux d'origine égyptienne. Son restaurant éponyme, basé dans le 1er arrondissent de Paris, a ouvert il y a seulement quelques semaines, mais il est déjà salué par la critique. Emmanuel Rubin du Figaro a titré ainsi sa critique : "La naissance d'un grand chef" ! Dans cet épisode, Omar replonge dans ses premiers souvenirs gustatifs. Bercé par les plats égyptiens cuisinés par son père, quelques recettes tunisiennes de sa mère et les raviolis en boite, c’est bel et bien l’influence des recettes de son père que l’on retrouve par petites touches dans sa carte. Sa cuisine est française, avec des "petits clins d’œil" à l’Égypte, comme il aime le dire.Nous parlons évidemment de l’ouverture de son restaurant, très récente. Omar nous raconte son parcours : d’une idée soudaine lorsqu’il était adolescent à la concrétisation de son rêve d’enfant. Il nous explique comment il a construit sa carte et ce qu’il souhaite partager avec ses clients. Cet épisode est finalement un voyage entre la France, l’Égypte et la Tunisie. Un joli moment de partage avec un jeune chef plein d’enthousiasme qui n’a pas fini de nous surprendre avec sa cuisine aux nombreuses influences. Et spécialement pour les auditeurs de Bouchées Doubles, Omar partage avec nous la recette de la basboussa, le gâteau de semoule de sa maman, qu’il sert en mignardises dans son restaurant ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
11/27/202230 minutes, 3 seconds
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[Extrait] Business of Bouffe #42 | Alexis Vaillant - Alterfood | L'histoire d'un jeune entrepreneur qui défie les multinationales agroalimentaires

Dans cet extrait, Alexis Vaillant aborde avec nous la situation économique actuelle et la vision qu'il porte sur les prochains mois.Il nous explique ici les arbitrages qu'il a déjà dû faire pour surmonter la hausse des coûts, puis il se confie sur sa stratégie pour aborder les négociations à venir avec la grande distribution.En tant qu'administrateur de la FEEF (Fédération des Entreprises et Entrepreneurs de France), Alexis partage également avec nous ses inquiétudes sur le risque de faillites en cascade au sein des PME françaises.Pour découvrir l'épisode en entier, tapez "Business of Bouffe Alexis Vaillant" sur votre appli audio préférée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
11/23/20228 minutes, 23 seconds
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Business of Bouffe #42 | Alexis Vaillant - Alterfood | L'histoire d'un jeune entrepreneur qui défie les multinationales agroalimentaires

Aujourd’hui, nous sommes avec Alexis Vaillant, le fondateur d’Alterfood, un jeune groupe agroalimentaire engagé en faveur d'une alimentation plus responsable. Le portefeuille d'Alterfood compte plus d'une vingtaine de marques parmi lesquelles : Infusion, Hugo le Maraîcher, Tensaï, Leamo ou encore Marcel Bio. Pour co-animer ce nouvel épisode de Business of Bouffe, Philibert a la chance d'être accompagné d’Élisa Gautier, animatrice de l'émission Bascis of Bouffe et fondatrice du restaurant engagé Kiosk.À travers cet épisode, nous cherchons à comprendre comment Alexis a réussi à imposer ses marques dans un secteur très concurrentiel et trusté par des grands groupes nationaux et surtout internationaux. Plus globalement, Élisa et Philibert profitent de l'expertise d'Alexis pour décortiquer les coulisses du système agroalimentaire dans son ensemble, de la production à la distribution. Pour comprendre l'état d'esprit d'Alexis, nous revenons évidemment sur son parcours d'entrepreneur et sur le cheminement qui a fait évoluer son engagement. On revient ainsi sur la création de son premier business lancé par opportunisme, mais qui a révélé ses talents marketing et commerciaux. Ces qualités lui sont aujourd'hui indispensables pour piloter Alterfood, devenue depuis 2020 une entreprise à mission, et pour porter les valeurs de son groupe. On aborde ensuite en détail les engagements de ses marques sur le plan nutritionnel, social ou encore environnemental.Dans une seconde partie de l'épisode, nous prenons un peu de recul pour analyser ensemble les principaux enjeux du secteur agroalimentaire. Alexis nous éclaire de son témoignage sur les rapports de force entre les grands groupes de la distribution, les multinationales agroalimentaires et les PME françaises. Nous évoquons également l'impact économique de la crise actuelle et de l'explosion de l’inflation. Enfin, nous revenons sur les conséquences de la baisse continue du budget des ménages consacré à l'alimentation et sur l'absolue nécessité de changer nos habitudes de consommation. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
11/20/20222 hours, 31 minutes, 31 seconds
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[Teaser] Business of Bouffe #42 | Alexis Vaillant - Alterfood | L'histoire d'un jeune entrepreneur qui défie les multinationales agroalimentaires

Dimanche prochain, nous diffuserons un épisode inédit de Business of Bouffe consacré à Alexis Vaillant, le fondateur du groupe Alterfood. En quelques années, il a créé un petit groupe agroalimentaire qui se démarque déjà dans ce secteur évidemment trusté par les grands groupes nationaux et surtout internationaux. Son groupe s’est engagé depuis ses débuts pour une alimentation plus responsable.Dans ce 1er extrait, nous profitons de l’expérience et l'expertise d'Alexis pour décortiquer les rapports de force entre les grands groupes de la distribution, les multinationales agroalimentaires et les PME françaises.L'épisode en entier sera disponible ce dimanche ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
11/16/20227 minutes, 22 seconds
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[L'essentiel] Business of Bouffe #30 | Eric Kayser - Artisan Boulanger | L’histoire d’un boulanger et entrepreneur à succès qui a créé un groupe international de 300 boulangeries artisanales

Comme son nom l'indique, cet épisode est une version courte (moins de 30min !) de l'épisode #30 de l'émission Business of Bouffe.Le format "L'essentiel" semble vous plaire, alors on s'est dit qu'on allait en profiter pour vous faire également (re)découvrir nos meilleurs épisodes. Notre invité est ici Éric Kayser, boulanger-entrepreneur connu et reconnu dans le monde entier, grâce notamment au succès de ses 300 boulangeries installées dans plus d'une trentaine de pays.Dans cette version éditée, Philibert et Daniel abordent notamment :Le premier projet entrepreneurial d'Éric Kayser : le Fermentolevain.L'ouverture de sa première boulangerie à Paris avec la volonté de remettre au goût du jour "le pain de tradition", et le développement à l'internationalL'attachement d'Eric Kayser à la formation et la transmission de son savoirPour découvrir tous les sujets abordés lors de cette rencontre unique et écouter l'épisode original en entier, tapez "Business of Bouffe Eric Kayser " sur votre appli audio préférée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
11/13/202228 minutes, 11 seconds
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[Extrait] Bouchées Doubles #02 | Elvira Masson - La Suède

Dans cet extrait, Elvira revient sur quelques techniques culinaires ou spécialités suédoises qui font le charme de son pays d'origine. Profondément parisienne mais très attachée à la Suède, elle évoque avec nous la vision parfois un peu méprisante que peuvent porter les gastronomes français sur ces spécialités étrangères.Pour découvrir l'épisode en entier, tapez "Business of Bouffe Elvira Masson" sur votre appli audio préférée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
11/9/20223 minutes, 5 seconds
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[L'essentiel] Business of Bouffe #41 | Stéphane Manigold – Groupe Éclore | L'histoire d'un restaurateur autodidacte qui bouscule la profession

Comme son nom l'indique, cet épisode est une version courte (30min !) de l'épisode #41 de l'émission Business of Bouffe.Notre invité est Stéphane Manigold, le fondateur du groupe Eclore dont nous pouvons citer quelques restaurants parisiens comme Substance, La Maison Rostang ou encore Liquide. Pour co-animer ce nouvel épisode de Business of Bouffe, Philibert a la chance d'être accompagné d’Emmanuel Rubin, l’un des critiques gastronomiques les plus réputés de sa génération.Dans cette version éditée, on aborde notamment :Les débuts de Stéphane dans le milieu de la restauration et les raisons qui l'ont poussé à entreprendre dans ce secteurLes étapes qui ont précédées l'ouverture de son premier restaurant : SubstanceLes facteurs clés de succès d'un restaurant selon Stéphane et EmmanuelPour découvrir tous les sujets abordés lors de cette rencontre unique et écouter l'épisode original en entier, tapez "Business of Bouffe Stéphane Manigold " sur votre appli audio préférée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
11/6/202230 minutes, 52 seconds
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[Extrait] Bouchées Doubles #08 | Juan Arbelaez - La Colombie

Dans cet extrait, Juan partage avec nous l'origine de sa passion pour la cuisine. Son grand-père et sa maman n'y sont pas pour rien : deux grands cuisiniers, prêts à passer des heures aux fourneaux pour régaler la famille. Il revient également sur ses premiers pas en cuisine et sa première recette... Pour découvrir l'épisode en entier, tapez "Business of Bouffe Juan Arbelaez" sur votre appli audio préférée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
11/2/20222 minutes, 35 seconds
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Bouchées Doubles #08 | Juan Arbelaez - La Colombie | Avec la participation spéciale de sa maman Jeannette

Dans ce nouvel épisode de Bouchées Doubles, Armelle reçoit Juan Arbelaez.Juan Arbelaez est un chef et entrepreneur colombien. Il est à la tête de plusieurs restaurants en région parisienne, dont Plantxa, Levain ou encore Vida pour ne citer qu'eux. Juan est également connu du grand public suite à sa participation à la troisième saison de Top Chef. Dans cet épisode, Juan nous emmène avec lui en Colombie, à travers ses voyages aux quatre coins du pays, ses repas de famille autour de plats confectionnés par sa mère et son grand-père et les souvenirs qui le tiennent encore en haleine.Nous parlons donc de cuisine : ses débuts aux fourneaux, sa perception de la gastronomie française lorsqu'il était encore en Colombie ou encore son arrivée en France et sa rencontre avec Pierre Gagnaire notamment. Et puisque la Colombie est synonyme de fête et de musique pour Juan, il partage avec nous quelques souvenirs festifs et la musique qui le ramène en Colombie, dans ses souvenirs d'enfant. C'est entrainant, vous verrez !Très attaché à son pays natal, Juan revient avec nous sur les traditions qui lui sont chères et qui ont bercé son enfance. Des repas sur le pouce à la plage, aux traditions de Noël en passant par les plats typiques et très roboratifs colombiens, nous découvrons à travers ses propos ce beau pays qu'est la Colombie. En écoutant cet épisode, vous embarquez finalement pour un voyage entre Paris et Bogota, à travers la voix chantante de Juan, ses anecdotes et sa musique ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
10/30/202242 minutes, 11 seconds
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[Extrait] Bouchées Doubles #07 | Alessandra Montagne - Le Brésil

Dans cet extrait, Alessandra Montagne revient sur les goûts qui ont marqué son enfance. Des fruits cueillis dans l'arbre et dégustés aussitôt à son amour pour les haricots, nous partons avec elle au Brésil, à la découverte de ses spécialités et de ses coutumes. Pour découvrir l'épisode en entier, tapez "Business of Bouffe Alessandra Montagne" sur votre appli audio préférée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
10/26/20225 minutes, 12 seconds
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France Terre de Lait #8 | Le fromage à table | Laure Takahashi et Jonathan Schweizer – Fromagère et Chef

France Terre de Lait c’est la démarche de responsabilité sociétale de la filière laitière française. L’objectif ? Embarquer l’ensemble des acteurs laitiers dans une démarche de progrès pour produire une alimentation durable accessible à tous. Dans cette série spéciale en partenariat avec le CNIEL (Centre national interprofessionnel de l’économie laitière), présentée par la journaliste Déborah Pham, ce sont des femmes et des hommes du secteur qui prennent la parole pour décrypter les enjeux auxquels est confrontée la filière. Dans ce nouvel épisode de la série France Terre de Lait, Deborah Pham reçoit Laure Takahashi, propriétaire de la fromagerie Taka & Vermo et Jonathan Schweizer, chef du café Les Deux Gares, tous deux situés à Paris. Cet épisode est d'ailleurs enregistré dans ce beau café, vous l'entendrez tout au long de votre écoute ! Laure et Jonathan sont tous deux de grands fanatiques de fromages et ont développé une belle relation professionnelle : celle d'une fromagère et d'un chef qui fonctionnent en binôme.Au cours de cet épisode, Laure revient sur le lien qu'elle a développé avec ses producteurs et l'importance de travailler en direct avec eux. De la sélection des fromages à la transmission du savoir-faire à ses clients, cette façon de travailler est pour elle un gage de qualité non négligeable.  Jonathan lui, nous explique dans quelle mesure les fromages ont une place essentielle dans sa carte et plus largement dans sa cuisine. Il précise également que la proximité qu'il partage avec Laure lui permet de "raconter les paysages" quand il parle de fromages avec ses clients.  Enfin, tous deux abordent la question de la rémunération des producteurs et du prix des produits laitiers, notamment des fromages. Pour Laure comme pour Jonathan, le prix est la représentation du travail nécessaire à l’élaboration de produits de qualité. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
10/23/202231 minutes, 10 seconds
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[Extrait] Les Pieds dans le Terroir #1 | Alice Ménard et Sarah Mainguy – Le Voyage à Nantes | L'histoire d'une jeune maraichère engagée qui reprend l'exploitation familiale pour la convertir en bio et fournir les plus belles tables de la région

Dans cet extrait, Alice Ménard et Sarah Mainguy reviennent sur la relation qui les unit en tant que cheffe et maraîchère.Elles nous expliquent toutes les deux à quel point la proximité entre la terre et l'assiette est essentielle pour travailler le produit et en tirer le meilleur. Échanger, tester, suggérer et goûter sont les maîtres-mots de leur collaboration. Ensemble, on parle ensuite du dynamisme de la scène culinaire à Nantes et de son lien étroit avec le terroir local. Pour découvrir l'épisode en entier, tapez "Business of Bouffe Le Voyage à Nantes" sur votre appli audio préférée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
10/19/202210 minutes, 55 seconds
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[L'essentiel] Business of Bouffe #40 | Alain Milliat et Pierre-Olivier Gandon – Alain Milliat | L'histoire d'un agriculteur qui a réussi à imposer une marque forte et à créer une nouvelle catégorie de produits

Comme son nom l'indique, cet épisode est une version courte (moins de 30min !) de l'épisode #40 de l'émission Business of Bouffe.Nos invités sont Alain Milliat et Pierre-Olivier Gandon, respectivement fondateur et directeur général de l’entreprise Alain Milliat. Pour co-animer ce nouvel épisode de Business of Bouffe, Philibert est accompagné de Stéphane Brunerie, fondateur du média StripFood.Dans cette version éditée, on aborde notamment :La reprise de la ferme familiale, la "rénovation" du verger puis le "pivot" vers la production de jus de dégustationLe respect des matières premières et la relation durable d'Alain Milliat avec ses fournisseursLa stratégie de distribution sélective et le développement international de la marquePour découvrir tous les sujets abordés lors de cette rencontre unique et écouter l'épisode original en entier, tapez "Business of Bouffe Alain Milliat" sur votre appli audio préférée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
10/16/202228 minutes, 12 seconds
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[Extrait] Business of Bouffe #41 | Stéphane Manigold – Groupe Éclore | L'histoire d'un restaurateur autodidacte qui bouscule la profession

Dans cet extrait, Stéphane Manigold, président du groupe Éclore, revient sur l'ouverture de son 1er restaurant Substance.Il nous livre ici les coulisses du projet qui a lancé sa carrière de restaurateur à succès. Ensemble, on parle de sa rencontre et de son association singulière avec le chef Matthias Marc, du management et de l'implication de l'équipe, de la conduite des travaux et de l'importance de l'emplacement.Pour découvrir l'épisode en entier, tapez "Business of Bouffe Stéphane Manigold" sur votre appli audio préférée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
10/12/202214 minutes, 48 seconds
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Business of Bouffe #41 | Stéphane Manigold – Groupe Éclore | L'histoire d'un restaurateur autodidacte qui bouscule la profession

Aujourd’hui, nous sommes avec Stéphane Manigold, le médiatique et talentueux restaurateur autodidacte qui bouscule la profession. Le grand public l’a découvert pendant la crise sanitaire lors de son bras de fer avec AXA. Il dirige aujourd’hui le groupe Éclore qui compte déjà quelques belles réussites de la scène culinaire parisienne : Substance, Contraste, La Maison Rostang, Le Bistrot Flaubert, Liquide, Granite et plus récemment Braise. Pour co-animer ce nouvel épisode de Business of Bouffe, Philibert a la chance d'être accompagné d’Emmanuel Rubin, l’un des critiques gastronomiques les plus réputés de sa génération.À travers cet épisode, nous cherchons à comprendre comment un homme aussi éloigné du monde de la restauration a réussi à s’imposer dans ce milieu, à force d’audace, d'instinct et de détermination. Philibert profite également de ce témoignage et de la riche expérience de Stéphane, ainsi que de la présence exceptionnelle d’Emmanuel Rubin, pour parler du « Restaurant » dans son ensemble et comprendre les facteurs clés de succès d'un restaurant aujourd'hui.Pour comprendre la philosophie et l’état d’esprit de Stéphane, nous revenons sur son enfance très douloureuse à Mulhouse. Stéphane s’est construit avec courage et détermination dans l’adversité. Là où certains pourraient sombrer, il apprend à se battre et se forge un caractère et une ambition hors du commun. Après un début de carrière de vendeur dans l’automobile à Mulhouse, il grimpe à grands pas « l’escalier social » et se constitue une solide expérience d’homme d’affaires à Paris. Sa passion pour le « Business de la Bouffe » et son instinct éprouvé le pousse à se lancer dans la restauration. Débute alors l’aventure Éclore. Un premier restaurant voit le jour avec un chef qui est aujourd’hui bien plus qu’un collaborateur : Matthias Marc. La volonté de Stéphane est déjà claire : faire éclore de jeunes talents. Nous revenons en détails sur l’ouverture singulière de Substance, puis nous évoquons les autres ouvertures et acquisitions du groupe. Cet échange est l’occasion pour Emmanuel et Philibert d’analyser ce qui a fait la réussite de ses établissements et plus globalement, d’aborder les enjeux actuels du monde de la restauration.  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
10/9/20222 hours, 42 minutes, 28 seconds
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Bouchées Doubles #07 | Alessandra Montagne - Le Brésil | Avec la participation spéciale de sa fille Thaïs

Dans ce nouvel épisode de Bouchées Doubles, Armelle reçoit Alessandra Montagne.Alessandra Montagne est cuisinière et cheffe de son restaurant : Nosso, ouvert au printemps 2021 dans le 13e arrondissement de Paris. Elle a également pris les commandes du restaurant Dana et ouvrira bientôt l’Epicerie Tempero à deux pas de son restaurant.Dans cet épisode, Alessandra replonge avec nous dans ses souvenirs d’enfance, au cœur d’un petit village au Brésil, aux côtés de ses grands-parents. C’est d’ailleurs auprès de sa grand-mère qu’elle a découvert la cuisine. Une cuisine généreuse, à base de produits locaux et de saison issus de la ferme familiale, qui fait aujourd’hui son identité.Cet épisode est un voyage culinaire au Brésil : ses plats typiques, son identité culinaire, ses traditions, raconté par une femme attachée à ses origines. Elle nous parle de son plat préféré, un plat brésilien évidemment, et du goût de son enfance à base de riz, de haricots ou encore de maïs, les ingrédients de base de la cuisine brésilienne.Elle nous partage également le regard qu’elle portait sur la gastronomie française lorsqu’elle était encore au Brésil, une cuisine bien plus technique que celle qu’elle connaissait. Elle nous révèle d’ailleurs avoir longtemps cru que nous ne mangions que du hachis Parmentier en France !Cet épisode est finalement un moment d'échange drôle, émouvant et chaleureux, qui donne envie de sauter dans le premier avion pour Rio de Janeiro ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
10/2/202229 minutes, 53 seconds
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France Terre de Lait #7 | Faire rayonner les savoir-faire laitiers français à l’international | Marie-Laure Martin et François Robin – Directrice communication à l'international au CNIEL et un des MOF fromager

France Terre de Lait c’est la démarche de responsabilité sociétale de la filière laitière française. L’objectif ? Embarquer l’ensemble des acteurs laitiers dans une démarche de progrès pour produire une alimentation durable accessible à tous. Dans cette série spéciale en partenariat avec le CNIEL (Centre national interprofessionnel de l’économie laitière), présentée par la journaliste Déborah Pham, ce sont des femmes et des hommes du secteur qui prennent la parole pour décrypter les enjeux auxquels est confrontée la filière.Dans ce nouvel épisode de la série France Terre de Lait, Déborah Pham reçoit Marie-Laure Martin, Directrice communication à l’international pour le CNIEL et François Robin, un des meilleurs Ouvrier de France (MOF) Fromager en 2011. Ensemble, ils conjuguent leurs différentes expériences dans la filière laitière pour nous témoigner de l’excellence des produits laitiers français. On parle également du rayonnement de cette filière sur la scène internationale. Du Japon à la Chine en passant par les États-Unis, ils nous expliquent les raisons de l’engouement pour les produits laitiers français, mais aussi leur perception dans les différentes cultures culinaires étrangères. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
9/25/202247 minutes, 7 seconds
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Business of Bouffe #40 | Alain Milliat et Pierre-Olivier Gandon – Alain Milliat | L'histoire d'un agriculteur qui a réussi à imposer une marque forte et à créer une nouvelle catégorie de produits

Aujourd’hui, nous sommes avec Alain Milliat et Pierre-Olivier Gandon, respectivement fondateur et directeur général de l’entreprise Alain Milliat. Pour co-animer ce nouvel épisode de Business of Bouffe, Philibert est accompagné de Stéphane Brunerie, fondateur du média StripFood.À travers ce témoignage riche et sincère, nous cherchons notamment à comprendre comment un fils et petit-fils d’agriculteur, devenu entrepreneur, a réussi à imposer une marque forte et finalement à créer une nouvelle catégorie de produits.Ensemble, nous revenons évidement sur le parcours d’Alain Milliat : de la reprise de la ferme familiale dans les Coteaux-du-Lyonnais à la création des premiers jus de dégustation. Même si Alain nous explique qu’il a lancé cette nouvelle activité pour diversifier et sauver l’exploitation, on comprend que ses motivations sont plus profondes : il est un véritable entrepreneur, curieux et créatif. Le « bon sens paysan »  et ses bonnes intuitions seront ses meilleurs alliés.Les changements profonds qu’il voit venir sur le verger français dans les années 90 font murir un début de réflexion. Mais c’est surtout la perception qu’il a de l’offre de jus de fruits à cette époque et l’absence d’offres qualitatives qui le poussent à se lancer et à créer une nouvelle catégorie de produits : « les jus de dégustation ». Très attaché au respect de la matière première, « aux fruits de la terre » pour reprendre ses mots, Alain sait dès le début que la qualité doit être au coeur de la marque Alain Milliat et de son positionnement unique. C’est donc avec une transparence totale qu’Alain et Pierre-Olivier partagent avec nous le fil directeur de la marque, à travers leur stratégie de sourcing, les relations particulières qu’ils entretiennent avec les producteurs ou le processus de transformation de la matière première. Ensemble, nous évoquons également les actualités, les enjeux et les développements à venir pour l’entreprise. La transparence des deux hommes est également de mise lorsque nous abordons les sujets sensibles de l’utilisation des fruits exotiques et de leur impact environnemental.  En bref, cet échange est une belle leçon d’entrepreneuriat qui remet en perspective l’importance du bon sens et de l’intuition. Ces deux qualités essentielles ont permis à Alain Milliat de créer une marque devenue leader sur le marché des jus de fruits de dégustation. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
9/18/20222 hours, 44 minutes, 41 seconds
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Les Pieds dans le Terroir #1 | Alice Ménard et Sarah Mainguy – Le Voyage à Nantes | L'histoire d'une jeune maraichère engagée qui reprend l'exploitation familiale pour la convertir en bio et fournir les plus belles tables de la région

Dans ce 1er épisode de l'émission "Les Pieds dans le Terroir", on vous invite à mettre les pieds dans le terroir nantais !Le partenaire de cet épisode est « Le Voyage à Nantes ». Pour ceux qui ne connaissent pas, il s’agit pour faire simple de l’office de tourisme de la ville de Nantes. En réalité, c’est plus que cela, leur rôle est de mettre en scène la ville à travers l’art et la culture. Et pour le « Voyage à Nantes », la culture c’est aussi la Bouffe ! Aujourd'hui, on part à la rencontre d'Alice Ménard, une jeune maraichère engagée qui vient de reprendre l'exploitation familiale, à Saint-Julien-de-Concelles, à quelques minutes de Nantes, pour la convertir en bio intensif afin de fournir les plus belles tables de la région en légumes sains, de qualité et qui goûtent fort l'authenticité. Pour cette rencontre, Philibert a la chance d'être accompagnée de Sarah Mainguy, la jeune cheffe surdouée, star montante de la scène culinaire à Nantes, finaliste de Top Chef en 2021 et jeune talent 2021 du Guide Gault & Millau. Sa cuisine ultra-créative étant très inspirée par le végétal, Sarah ne rigole pas avec la qualité des légumes. Les deux jeunes femmes se connaissent bien, elles travaillent étroitement ensemble et s'apprécient. On ne pouvait pas rêver un meilleur casting !A travers l'histoire de sa famille et des 3 générations qui se sont succédées sur ces terres ligériennes réputées pour le maraichage, Alice nous apporte un témoignage sincère et vivant sur l'évolution du monde agricole des 80 dernières années. Du développement de la production intensive, nécessaire après la 2nde guerre mondiale pour subvenir aux besoins de la population européenne jusqu'aux limites de ce modèle qui peine à se réinventer. Alice nous raconte comment elle voit les choses aujourd'hui et pourquoi elle a décidé d'agir et de faire autrement.Puis on évoque ensemble l'importance de la relation qui lie étroitement la jeune cheffe créative et engagée avec sa maraichère chérie afin de garantir "ultra-saisonnalité" et "ultra-fraicheur" à sa cuisine : "Sarah commande le week-end, on récolte le lundi et le mardi midi c'est dans l'assiette" On parle également des richesses du terroir nantais et du dynamisme de la scène culinaire à Nantes, dignement représentée ici par Sarah Mainguy et portée par une génération de jeunes chefs responsables et connectés à leur terroir.En résumé, il s'agit d'un épisode riche en découverte, en paroles inspirantes... du sérieux un peu, de la bonne humeur souvent, des rires parfois (et une dégustation/bizutage de piments qui laissera des souvenirs à Philibert !). N'hésitez pas à nous dire ce que vous avez pensé de ce 1er épisode de l'émission "Les Pieds dans le Terroir". Vos retours nous sont précieux pour nous améliorer. Nous avons vraiment envie que cette émission fonctionne car l’enjeu est de taille : celui de mettre davantage la lumière sur le monde agricole. Vous pouvez nous contacter sur nos réseaux sociaux : Instragram, Linkedin ou encore nous envoyer un petit message sur : hello@businessofbouffe.comEt merci à celles et ceux qui lisent les notes de l’épisode jusqu'au bout ! ;-)   Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
9/11/20221 hour, 50 minutes, 35 seconds
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[Rediff] Business of Bouffe #36 | Cyril Lignac et Laurence Mentil – Groupe Cyril Lignac | L’histoire d’un duo iconique d’entrepreneurs avant-gardistes et heureux d’être libres

Cet été, nous vous proposons de (re)découvrir les épisodes qui vous ont le plus inspirés ! La sélection a été réalisée en toute objectivité suite à nos sondages sur Instagram et Linkedin ;-)Aujourd’hui, nous sommes avec  Cyril Lignac, un des chefs préférés des Français et serial entrepreneur, ainsi que Laurence Mentil, son associée qui, dans l’ombre, l’a aidé à développer son business.Ensemble, nous revenons en détail sur le parcours de Cyril Lignac, qui cumule les métiers de chef cuisinier, pâtissier, animateur télé, producteur ainsi que manager d’un groupe de plus de 150 collaborateurs. S’il a réussi à combiner toutes ces activités avec brio, c’est grâce à Laurence, qui depuis 15 ans l’accompagne quotidiennement dans tous ses projets. Enfant, Cyril ne réussissait pas bien à l’école mais a trouvé dans la cuisine un moyen de se faire respecter et aimer. La suite, on la connait : le chef aveyronnais a travaillé pour plusieurs grands noms de la gastronomie française puis est rapidement contacté pour participer à Oui Chef ! sur M6. L’émission est un succès, et le propulse ainsi dans l’univers de la télé. Elle lui permet également d’ouvrir son premier restaurant, Le Quinzième, qui obtiendra une étoile au Guide Michelin en 2012. Si à l’époque, peu de ses compères, si ce n’est aucun, n’acceptait de tourner pour le petit écran, Cyril a su être avant-gardiste et est fier de voir, désormais, l’ampleur prise par les émissions de cuisine. Comme nous l’expliquent nos invités, cette diversification d’activités est une vraie force pour le groupe car la télé offre l’opportunité de dégager des revenus qui peuvent être utilisés pour le financement d’autres projets comme l’ouverture de nouveaux restaurants, de pâtisseries ou encore de la chocolaterie. Cette liberté d’entreprendre est d’ailleurs l’une des plus grandes fiertés de Laurence et Cyril. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
9/4/20222 hours, 19 minutes, 56 seconds
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[Rediff] Business of Bouffe #35 | Gilles, Catherine et Nicolas Verot – Maison Verot | L’histoire d’une famille d’artisans qui rend ses lettres de noblesse à la charcuterie

Cet été, nous vous proposons de (re)découvrir les épisodes qui vous ont le plus inspirés ! La sélection a été réalisée en toute objectivité suite à nos sondages sur Instagram et Linkedin ;-)Aujourd’hui, nous sommes avec Gilles, Catherine et Nicolas Verot, qui à eux trois, père, mère et fils, constituent l’incontournable maison charcutière du même nom, la Maison Verot. Gilles revient tout d'abord sur l'histoire de la maison familiale à Saint-Étienne, avant de nous raconter sa rencontre avec Catherine et l'ouverture de leur 1ère boutique à Paris. Ici, ils ont rendu toutes ses lettres de noblesse au métier de charcutier, alors mésestimé. Avec nous, Gilles, Catherine et Nicolas parlent ensuite de leur sourcing, à l’origine de leurs produits de haute charcuterie. Au-delà de leur qualité gustative, les charcuteries de la Maison Verot sont connues pour leur qualité esthétique, et en font saliver plus d’un. Avec eux, le pâté en croûte, la terrine et le fromage de tête sont devenus sexy, si bien que leurs boutiques ne désemplissent pas. En bref, la Maison Verot a dépoussiéré l’image de la charcuterie, jusqu’à l’emmener dans des restaurants de renom, en France mais aussi à l’étranger et notamment à New-York.  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
8/21/20222 hours, 31 minutes, 7 seconds
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Basics of Bouffe | Le Thé #3 - Consommer le thé | Pierre Lebrun - Fondateur du Parti du Thé

Dans un format court, Élisa décrypte des thématiques autour de l’alimentation avec des experts, de manière ludique et très simple.Dans cette nouvelle saison, nous nous immergeons dans l'univers passionnant du thé avec notre invité spécial, Pierre Lebrun, le fondateur de la marque "Le Parti du Thé". Nous vous dévoilerons les secrets du thé : son histoire, sa géographie, sa culture ou encore la meilleure façon de le consommer. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
8/8/20226 minutes, 33 seconds
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[Rediff] Business of Bouffe #31 | Stéphane Layani - Marché de Rungis | L’histoire du plus grand marché de produits frais au monde

Cet été, nous vous proposons de (re)découvrir les épisodes qui vous ont le plus inspirés ! La sélection a été réalisée en toute objectivité suite à nos sondages sur Instagram et Linkedin ;-)Aujourd’hui, nous sommes avec Stéphane Layani, le président directeur général du marché international de Rungis.Ensemble, nous évoquons l’histoire du plus grand marché de produits frais au monde, de ses origines au coeur de Paris jusqu’à son installation à Rungis. De la qualité des produits en passant par le développement des circuits courts et de la filière biologique, Stéphane Layani nous explique la mission et les valeurs de son institution. À la tête de la Société d’Économie Mixte du Marché de Rungis (SEMMARIS) depuis 2012, il est en charge de la gestion et de l'exploitation du marché et revient avec nous sur le fonctionnement de cette gigantesque machine qui nourrit 18 millions de personnes. Chaque jour, les 1 200 entreprises, présentes sur les 234 hectares du marché, échangent près d’un million de références de produits, pour un chiffre d’affaires annuel de 10 milliards d’euros. Et malgré ces chiffres vertigineux, Stéphane nous raconte que le marché continue de se développer et de se moderniser pour s’adapter aux nouveaux enjeux du Business de la Bouffe. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
8/7/20221 hour, 46 minutes, 2 seconds
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Basics of Bouffe | Le Thé #2 - La plante | Pierre Lebrun - Fondateur du Parti du Thé

Dans un format court, Élisa décrypte des thématiques autour de l’alimentation avec des experts, de manière ludique et très simple.Dans cette nouvelle saison, nous nous immergeons dans l'univers passionnant du thé avec notre invité spécial, Pierre Lebrun, le fondateur de la marque "Le Parti du Thé". Nous vous dévoilerons les secrets du thé : son histoire, sa géographie, sa culture ou encore la meilleure façon de le consommer. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
8/1/20228 minutes, 21 seconds
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Basics of Bouffe | Le Thé #1 - L’histoire du thé | Pierre Lebrun - Fondateur du Parti du Thé

Dans un format court, Élisa décrypte des thématiques autour de l’alimentation avec des experts, de manière ludique et très simple.Dans cette nouvelle saison, nous nous immergeons dans l'univers passionnant du thé avec notre invité spécial, Pierre Lebrun, le fondateur de la marque "Le Parti du Thé". Nous vous dévoilerons les secrets du thé : son histoire, sa géographie, sa culture ou encore la meilleure façon de le consommer. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
7/25/20227 minutes, 31 seconds
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[Rediff] Business of Bouffe #10 | Claude Gruffat – Biocoop | L’histoire d’un fils d’agriculteur qui veut changer l’agriculture par une consommation consciente et engagée

Cet été, nous vous proposons de (re)découvrir les épisodes qui vous ont le plus inspirés ! La sélection a été réalisée en toute objectivité suite à nos sondages sur Instagram et Linkedin ;-)Cet épisode avec Claude Gruffat a été enregistré en novembre 2019, avant qu'il devienne député européen. Il s'agissait à l'époque de l'un de nos 1ers invités, mais les sujets abordés sont toujours terriblement d'actualité.  Claude, qui connaissait Philibert depuis plusieurs années, a accepté de se prêter au jeu du podcast et de l'échange long pour passer des messages forts ! Il s'agit ici d'une conversation riche avec un expert engagé du secteur agroalimentaire. Claude Gruffat est un pionnier de l’agriculture biologique en France, il a notamment dirigé le réseau Biocoop entre 2004 et 2019. Sous sa présidence, l’enseigne est devenue n°1 du secteur.Dans cet épisode nous revenons sur son parcours, et notamment sa présidence du réseau Biocoop. Nous parlons de la situation précaire des agriculteurs, de l’émergence de la Bio, de l’origine du réseau Biocoop et de son développement. Nous nous intéressons également aux engagements de Biocoop, son cahier des charges, sa gouvernance et les résultats de cette aventure coopérative hors du commun. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
7/24/20221 hour, 45 minutes, 58 seconds
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Basics of Bouffe | Les cuissons #10 - Le sous-vide | Aaron Rosenthal - Chef résident

Dans un format court, Elisa décrypte des thématiques autour de l’alimentation avec des experts, de manière ludique et très simple.Dans cette nouvelle saison, nous nous immergeons dans l’univers des cuissons avec notre invité spécial, Aaron Rosenthal, chef résident. Nous vous dévoilerons les secrets de la fumaison, la cuisson à la vapeur, la fermentation, la friture, de la cuisson au four et bien d’autres encore… Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
7/18/20224 minutes, 45 seconds
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Basics of Bouffe | Les cuissons #9 - Le barbecue | Aaron Rosenthal - Chef résident

Dans un format court, Elisa décrypte des thématiques autour de l’alimentation avec des experts, de manière ludique et très simple.Dans cette nouvelle saison, nous nous immergeons dans l’univers des cuissons avec notre invité spécial, Aaron Rosenthal, chef résident. Nous vous dévoilerons les secrets de la fumaison, la cuisson à la vapeur, la fermentation, la friture, de la cuisson au four et bien d’autres encore… Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
7/11/20225 minutes, 2 seconds
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[Rediff] Business of Bouffe #32 | Steve et Jonathan Dolfi - À la Mère de Famille, Stohrer | L’histoire d’une famille d'entrepreneurs gardiens du savoir-faire sucré français

Cet été, nous vous proposons de (re)découvrir les épisodes qui vous ont le plus inspirés ! La sélection a été réalisée en toute objectivité suite à nos sondages sur Instagram et Linkedin ;-)Aujourd’hui, nous sommes avec Steve et Jonathan Dolfi, deux des quatre frères et sœurs à la tête des chocolateries et confiseries À la Mère de Famille et des pâtisseries Stohrer. Ensemble, nous revenons sur l’histoire de l’entreprise familiale : des débuts du père, Étienne Dolfi, dans la confiserie jusqu’aux rachats successifs d’institutions en région et à Paris. Steve et Jonathan nous expliquent leur vision, ainsi que leur attachement à la longue histoire des établissements qu’ils reprennent et font évoluer dans le respect de leurs deux siècles et demi de tradition. En effet, c’est en 1730 et 1761 que sont fondées respectivement la maison Stohrer et À la Mère de Famille, doyennes parisiennes de la pâtisserie et de la confiserie. La modernisation de ces maisons passe par le choix des produits, par l’amélioration des process et des recettes, par le développement du digital et pourquoi pas par un éventuel développement à l’étranger…  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
7/10/20222 hours, 16 minutes, 49 seconds
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Basics of Bouffe | Les cuissons #8 - Le four | Aaron Rosenthal - Chef résident

Dans un format court, Elisa décrypte des thématiques autour de l’alimentation avec des experts, de manière ludique et très simple.Dans cette nouvelle saison, nous nous immergeons dans l’univers des cuissons avec notre invité spécial, Aaron Rosenthal, chef résident. Nous vous dévoilerons les secrets de la fumaison, la cuisson à la vapeur, la fermentation, la friture, de la cuisson au four et bien d’autres encore… Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
7/4/20223 minutes, 51 seconds
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Eat’s Business #60 | Eat’s Business évolue, la canette tient sa revanche et compteur de calories intégré

Dans ce nouvel épisode de Eat’s Business, la revue de presse du Business de la Bouffe, Olivier Frey et Daniel Coutinho reviennent sur les actualités food de la semaine. On parle des changements important au sein du média Business of Bouffe et de Eat’s Business, de Danone qui adapte ses produits à l’inflation et du champion français de la boulangerie, Marie Blachère. On parle également des dernières tendances instagram dans la food, de la canette qui tient sa revanche dans le monde de la bière et du cerveau humain qui apparemment vient de l’usine avec un compteur de calories. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
6/30/202230 minutes, 6 seconds
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[Spécial] Business of Bouffe | Nouvelle impulsion : Daniel se lance dans un nouveau projet & Philibert revient en force

UNE NOUVELLE IMPULSION POUR BUSINESS OF BOUFFE !  Aujourd’hui les fondateurs Daniel Coutinho et Philibert Chambre ont finalisé un accord pour revoir leur implication dans Business of Bouffe. Daniel se lance à temps plein dans un projet de reprise d’une PME dans la Bouffe et quitte Business of Bouffe définitivement.  Philibert reprend la main sur Business of Bouffe pour donner une nouvelle impulsion au média, grâce notamment à la contribution d’experts reconnus du secteur et la création de nouveaux formats. Philibert et Daniel nous expliquent tout dans cet épisode très spécial !  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
6/29/202219 minutes, 59 seconds
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Basics of Bouffe | Les cuissons #7 - La friture | Aaron Rosenthal - Chef résident

Dans un format court, Elisa décrypte des thématiques autour de l’alimentation avec des experts, de manière ludique et très simple.Dans cette nouvelle saison, nous nous immergeons dans l’univers des cuissons avec notre invité spécial, Aaron Rosenthal, chef résident. Nous vous dévoilerons les secrets de la fumaison, la cuisson à la vapeur, la fermentation, la friture, de la cuisson au four et bien d’autres encore… Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
6/27/20225 minutes, 12 seconds
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Bouchées Doubles #06 | Constance (Hungry Consti) - Madagascar Avec la participation d'Arthur

Dans ce nouvel épisode, Armelle reçoit Constance Lasserre, aka Hungry Consti. Car Constance a faim, et elle partage ses expériences gourmandes avec ses 75k followers sur IG. En route pour un food tour franco-malgache, guidé par l'influenceuse / comédienne / chanteuse. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
6/24/202219 minutes, 9 seconds
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France Terre de Lait #6 | Le bien-être de l’éleveur laitier et de ses vaches | Luc Verhaeghe - Eleveur à Valenciennes

Pour ce nouvel épisode de la série France Terre de Lait, Luc Verhaeghe accueille Deborah Pham dans sa ferme familiale à Valenciennes dans les Hauts-de-France. Luc est éleveur laitier depuis des générations et prendre soin de ses animaux fait partie intégrante de son métier. Aujourd'hui, il explique comment la modernisation et l’innovation peut avoir un réel impact sur le bien-être de l'éleveur et de ses animaux.  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
6/22/202246 minutes, 28 seconds
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Eat’s Business #59 | Disparition des Food Trucks, la révolution du lait en Chine et Patagonia se lance dans l’alimentaire

Dans ce nouvel épisode de Eat’s Business, la revue de presse du Business de la Bouffe, Olivier Frey et Daniel Coutinho reviennent sur les actualités food de la semaine. On parle de la disparition des foodtrucks, de la Chine qui risque de bouleverser le marché mondial du lait et de Grand Marché, nouvelle enseigne de Invivo et 2MX, qui propose une approche intéressante dans la distribution.On parle également d’une étude autour du quick commerce, de Patagonia, une marque de vêtements engagés qui se lance dans l’alimentaire et de la hausse du prix du melon Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
6/21/202224 minutes, 43 seconds
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Basics of Bouffe | Les cuissons #6 - L'eau | Aaron Rosenthal - Chef résident

Dans un format court, Elisa décrypte des thématiques autour de l’alimentation avec des experts, de manière ludique et très simple.Dans cette nouvelle saison, nous nous immergeons dans l’univers des cuissons avec notre invité spécial, Aaron Rosenthal, chef résident. Nous vous dévoilerons les secrets de la fumaison, la cuisson à la vapeur, la fermentation, la friture, de la cuisson au four et bien d’autres encore… Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
6/20/20224 minutes, 15 seconds
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Eat’s Business #58 | Le débat autour du chèque alimentaire, le côté obscur de la haute gastronomie à Copenhague et le renouveau de certaines filières françaises

Dans ce nouvel épisode de Eat’s Business, la revue de presse du Business de la Bouffe, Olivier Frey et Daniel Coutinho reviennent sur les actualités food de la semaine. On parle des débats autour des chèques alimentaires, de la face sombre de la gastronomie à Copenhague et de Panzani, leader des pâtes qui fait des efforts pour développer la filière française du blé dur.On parle également d’une entreprise qui développe la filière du champignon de Paris en France, des tomates à la tête d’une révolution alimentaire et des prix de la viande aux US qui pousse les Américains vers une alimentation végétale ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
6/14/202228 minutes, 57 seconds
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Basics of Bouffe | Les cuissons #5 - La marinade | Aaron Rosenthal - Chef résident

Dans un format court, Elisa décrypte des thématiques autour de l’alimentation avec des experts, de manière ludique et très simple.Dans cette nouvelle saison, nous nous immergeons dans l’univers des cuissons avec notre invité spécial, Aaron Rosenthal, chef résident. Nous vous dévoilerons les secrets de la fumaison, la cuisson à la vapeur, la fermentation, la friture, de la cuisson au four et bien d’autres encore… Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
6/13/20225 minutes, 28 seconds
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Food Karma | Clap de fin de la Saison 1

Une nouvelle page se tourne chez Food Karma ! Cette année, deux fois par mois, Beena partait à la rencontre des acteurs qui œuvrent pour une bonne alimentation, pour nos papilles, pour notre santé et pour la planète. Un rendez-vous qu'on attendait tous avec impatience. Et c'est 24 épisodes plus tard qu'on boucle cette belle saison avec un bilan des temps forts de cette année chez Food Karma.Mais on ne vous laissera pas partir les mains vides. Eh oui ! Beena sera de retour pour une 2ᵉ saison pleine de surprises, un format évolutif, des invités variés de la terre à l'assiette, des visions différentes et la promesse de toujours inciter les gens à agir dans la bouffe. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
6/9/202217 minutes, 41 seconds
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Eat’s Business #57 | Les prix en hausse dans l’alimentaire, TheFork se lance dans le paiement au restaurant et les rois de l’apéro

Dans ce nouvel épisode de Eat’s Business, la revue de presse du Business de la Bouffe, Olivier Frey et Daniel Coutinho reviennent sur les actualités food de la semaine. On parle de la hausse des prix dans l’alimentaire, des fortes chaleurs qui affectent la filière française de fraises et de la Fourchette qui se développe dans le paiement au restaurant.On parle également des nouvelles stars de l’apéro, du gin plus que jamais en vogue et on termine avec une nouvelle qui fera plaisir aux amateurs de café : apparemment il réduit le risque de mourir prématurément. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
6/7/202231 minutes, 13 seconds
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Basics of Bouffe | Les cuissons #4 - La fermentation | Aaron Rosenthal - Chef résident

Dans un format court, Elisa décrypte des thématiques autour de l’alimentation avec des experts, de manière ludique et très simple.Dans cette nouvelle saison, nous nous immergeons dans l’univers des cuissons avec notre invité spécial, Aaron Rosenthal, chef résident. Nous vous dévoilerons les secrets de la fumaison, la cuisson à la vapeur, la fermentation, la friture, de la cuisson au four et bien d’autres encore… Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
6/6/20224 minutes, 51 seconds
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Eat’s Business #56 | Fin de l'étiquetage de l’origine de la viande, le quick commerce dans la tourmente et le collapse de notre système alimentaire prévu par The Guardian

Dans ce nouvel épisode de Eat’s Business, la revue de presse du Business de la Bouffe, Olivier Frey et Daniel Coutinho reviennent sur les actualités food de la semaine. On parle de la fin de l’étiquetage obligatoire pour la viande, et du quick commerce qui souffre avec des démissions en masse et cessations d’activité. On parle également de la consolidation dans l’e-commerce alimentaire Bio, du collapse de notre système alimentaire projeté par The Guardian et on finit avec un projet innovant des pâtes à base de champignon. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
5/31/202230 minutes, 38 seconds
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Basics of Bouffe | Les cuissons #3 - La vapeur | Aaron Rosenthal - Chef résident

Dans un format court, Elisa décrypte des thématiques autour de l’alimentation avec des experts, de manière ludique et très simple.Dans cette nouvelle saison, nous nous immergeons dans l’univers des cuissons avec notre invité spécial, Aaron Rosenthal, chef résident. Nous vous dévoilerons les secrets de la fumaison, la cuisson à la vapeur, la fermentation, la friture, de la cuisson au four et bien d’autres encore… Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
5/30/20223 minutes, 25 seconds
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Bouchées Doubles #05 | Diadié Diombana - Le Mali | Avec la participation spéciale d’Angy

Dans ce nouvel épisode de Bouchées doubles, Armelle reçoit Diadié Diombana, un chef dont la cuisine colorée et épicée est influencée entre autres par sa culture franco-malienne. Diadié Diombana est né et à grandi dans Paris, dans une famille malienne où la cuisine occupe une place essentielle : elle se transmet dès le plus jeune âge, se pratique et se partage en famille.  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
5/25/202223 minutes, 18 seconds
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Eat's Business #55 | Embargo sur le blé Indien, bataille d'influence autour de Nutriscore et Flink rachète Cajoo

Dans ce nouvel épisode de Eat’s Business, la revue de presse du Business de la Bouffe, Olivier Frey et Daniel Coutinho reviennent sur les actualités food de la semaine. On parle de la crise du blé qui prend une nouvelle dimension avec l’embargo Indien, des débats autour du Nutriscore et du rachat de Cajoo par l’Allemand Flink.On parle également des géants de la viande qui investissent massivement dans l’alternative végétale, au même temps que le secteur souffre avec une croissance moins rapide que prévu. Et on finit avec un article intéressant sur le Bowl, le plat en vogue dans la restauration rapide.  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
5/24/202230 minutes, 36 seconds
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Basics of Bouffe | Les cuissons #2 - Le pourri | Aaron Rosenthal - Chef résident

Dans un format court, Elisa décrypte des thématiques autour de l’alimentation avec des experts, de manière ludique et très simple.Dans cette nouvelle saison, nous nous immergeons dans l’univers des cuissons avec notre invité spécial, Aaron Rosenthal, chef résident. Nous vous dévoilerons les secrets de la fumaison, la cuisson à la vapeur, la fermentation, la friture, de la cuisson au four et bien d’autres encore… Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
5/23/20223 minutes, 40 seconds
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Eat’s Business #54 | Dijon, cité de la gastronomie, pénurie de la moutarde et l'évolution des influenceurs Food

Dans ce nouvel épisode de Eat’s Business, la revue de presse du Business de la Bouffe, Olivier Frey et Daniel Coutinho reviennent sur les actualités food de la semaine. Nous parlons de la Cité de la gastronomie à Dijon, de la moutarde qui fait face à une pénurie et d’Apple qui compte se lancer dans la livraison.Nous parlons également du business des influenceurs food de la pénurie des bouteilles en verre qui impact la filière viticole et des cuillères d’argent dans les bouteilles de Champagne. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
5/17/202240 minutes, 1 second
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Basics of Bouffe | Les cuissons #1 - La fumaison | Aaron Rosenthal - Chef résident

Dans un format court, Elisa décrypte des thématiques autour de l’alimentation avec des experts, de manière ludique et très simple.Dans cette nouvelle saison, nous nous immergeons dans l’univers des cuissons avec notre invité spécial, Aaron Rosenthal, chef résident. Nous vous dévoilerons les secrets de la fumaison, la cuisson à la vapeur, la fermentation, la friture, de la cuisson au four et bien d’autres encore… Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
5/16/20223 minutes, 26 seconds
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Eat’s Business #53 | La pénurie de l'huile de palme, le défi du cacao durable et les ventes de vin explosent

Dans ce nouvel épisode de Eat’s Business, la revue de presse du Business de la Bouffe, Olivier Frey et Daniel Coutinho reviennent sur les actualités food de la semaine. Aujourd’hui nous parlons de l'Indonésie qui met le marché des huiles végétales sous tensions, de substitution d’huile et de céréales au jus d’orange.Nous parlons également du cacao qui fait face à d’immenses défis, des trous de gruyère, des ventes de vins qui rebondissent et d’une ville allemande qui bloque le prix de la bière. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
5/10/202233 minutes
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Basics of Bouffe | La face cachée des labels #5 - Les labels | Fanny Giansetto - Cofondatrice d’Ecotable

On se retrouve pour une nouvelle saison spéciale, car cette fois on se penche sur les labels et les grands concepts autour de l'agriculture. Et pour nous éclairer, nous avons invité Fanny Giansetto, cofondatrice d'écotable, un label de restauration vertueuse. À travers ces prochains épisodes, nous allons tenter de démêler le vrai du faux sur l'agriculture biologique, l'agriculture intensive, la saisonnalité et plein d'autres sujets. Le premier épisode est disponible dès maintenant, les suivants seront mis en ligne chaque semaine. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
5/9/20226 minutes, 12 seconds
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Eat’s Business #52 | La désillusion dans le bio, la France a la banane et le renouveau du cidre

Dans ce nouvel épisode de Eat’s Business, la revue de presse du Business de la Bouffe, Olivier Frey et Daniel Coutinho reviennent sur les actualités food de la semaine. Aujourd’hui nous parlons de la crise de l’agriculture bio, de la banane française qui soigne son image et de la viande Brésilienne dont les émissions de gaz dépassent ceux de l’Italie.Nous parlons également des vins médaillés, de l’avenir du cidre qui s’annonce prometteur et des conséquences de la guerre en Ukraine sur la vodka russe. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
5/3/202234 minutes, 43 seconds
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Basics of Bouffe | La face cachée des labels #4 - La saisonnalité et le locavorisme | Fanny Giansetto - Cofondatrice d’Ecotable

On se retrouve pour une nouvelle saison spéciale, car cette fois on se penche sur les labels et les grands concepts autour de l'agriculture. Et pour nous éclairer, nous avons invité Fanny Giansetto, cofondatrice d'écotable, un label de restauration vertueuse. À travers ces prochains épisodes, nous allons tenter de démêler le vrai du faux sur l'agriculture biologique, l'agriculture intensive, la saisonnalité et plein d'autres sujets. Le premier épisode est disponible dès maintenant, les suivants seront mis en ligne chaque semaine. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
5/2/20227 minutes, 40 seconds
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Bouchées Doubles #4 | Claudia Concha (No Diet Club) - Le Portugal | Avec la participation spéciale de sa maman

SPOILER ALERT : cet épisode empeste l'amour ! L'amour entre une mère et sa fille, l'amour de la cuisine partagée, l'amour de la bouffe portugaise, généreuse et aillée !  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/26/202222 minutes, 25 seconds
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Eat’s Business #51 | Fin de l'opacité sur l'origine du miel, la France numéro 1 européen des glaces et et la demande croissante d'aliments frits

Dans ce nouvel épisode de Eat’s Business, la revue de presse du Business de la Bouffe, Olivier Frey et Daniel Coutinho reviennent sur les actualités food de la semaine. Aujourd’hui nous parlons de sécurité alimentaire, de la provenance du miel consommé en France et de Casino qui lance une nouvelle initiative concernant la saisonnalité des produits.Nous parlons également des glaces, des fritures et du secteur de la pêche qui connaît une transformation grâce aux données. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/26/202234 minutes, 50 seconds
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Basics of Bouffe | La face cachée des labels #3 - L’agriculture vertueuse, régénératrice | Fanny Giansetto - Cofondatrice d’Ecotable

On se retrouve pour une nouvelle saison spéciale, car cette fois on se penche sur les labels et les grands concepts autour de l'agriculture. Et pour nous éclairer, nous avons invité Fanny Giansetto, cofondatrice d'écotable, un label de restauration vertueuse. À travers ces prochains épisodes, nous allons tenter de démêler le vrai du faux sur l'agriculture biologique, l'agriculture intensive, la saisonnalité et plein d'autres sujets. Le premier épisode est disponible dès maintenant, les suivants seront mis en ligne chaque semaine. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/25/20227 minutes, 32 seconds
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France Terre de Lait #5 | Transmission et renouvellement des générations | Christine et Jean Baptiste – Eleveur·se de vaches laitières en Haute Loire

Pour ce nouvel épisode de France Terre de Lait, Deborah Pham part en Auvergne à la rencontre de Christine et de son fils Jean Baptiste, qui représente la quatrième génération en charge de l'exploitation agricole. Au cœur de cette dernière, ils nous racontent l'histoire de cette stabulation familiale qui existe depuis les années 70, la façon dont le savoir a été transmis de génération en génération et les problèmes auxquels ils ont été confrontés tout au long de leur histoire. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/20/202237 minutes, 29 seconds
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Eat’s Business #50 | InVivo s'allient à 2MX, la série noire de contamination dans l'agro-alimentaire et les restaurants dans le Metaverse

Dans ce nouvel épisode de Eat’s Business, la revue de presse du Business de la Bouffe, Olivier Frey et Daniel Coutinho reviennent sur les actualités food de la semaine. Aujourd’hui on parle de l’alliance entre 2MX et InVivo Retail, des récentes contaminations à la salmonelle dans l’agroalimentaire et des restaurants qui ouvrent dans le MetaverseOn parle également de la filière du pruneau qui est en danger suite à la vague de froid de la semaine dernière, et on finit avec le Financial Times qui nous apprend comment vendre les vins du nouveau monde aux Français. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/19/202239 minutes, 59 seconds
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Basics of Bouffe | La face cachée des labels #2 - L’agriculture et l’élevage intensifs | Fanny Giansetto - Cofondatrice d’Ecotable

On se retrouve pour une nouvelle saison spéciale, car cette fois on se penche sur les labels et les grands concepts autour de l'agriculture. Et pour nous éclairer, nous avons invité Fanny Giansetto, cofondatrice d'écotable, un label de restauration vertueuse. À travers ces prochains épisodes, nous allons tenter de démêler le vrai du faux sur l'agriculture biologique, l'agriculture intensive, la saisonnalité et plein d'autres sujets. Le premier épisode est disponible dès maintenant, les suivants seront mis en ligne chaque semaine. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/18/20229 minutes, 16 seconds
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Basics of Bouffe | La face cachée des labels #1 - Le bio | Fanny Giansetto - Cofondatrice d’Ecotable

On se retrouve pour une nouvelle saison spéciale, car cette fois on se penche sur les labels et les grands concepts autour de l'agriculture. Et pour nous éclairer, nous avons invité Fanny Giansetto, cofondatrice d'écotable, un label de restauration vertueuse. À travers ces prochains épisodes, nous allons tenter de démêler le vrai du faux sur l'agriculture biologique, l'agriculture intensive, la saisonnalité et plein d'autres sujets. Le premier épisode est disponible dès maintenant, les suivants seront mis en ligne chaque semaine. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/11/20228 minutes, 34 seconds
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Eat’s Business #49 | Moins de sel dans la baguette, la filière française du sarrasin et Agricool en redressement judiciaire

Dans ce nouvel épisode de Eat’s Business, la revue de presse du Business de la Bouffe, Olivier Frey et Daniel Coutinho reviennent sur les actualités food de la semaine. Aujourd’hui on parle du secteur de la boulangerie qui s’engage pour réduire la quantité de sel dans nos pains, d’une nouvelle épidémie aviaire assez inquiétante et de l’Atelier Sarrasin qui veut voir pousser la filière française du blé noir.On parle également du nouveau concept de Picard, de la start-up Agricool en redressement judiciaire et directement du financial times on va vous parler de la psychologie secrète du goût, un article qui ferait plaisir à notre cher Brillat-Savarin. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/5/202234 minutes
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Basics of Bouffe| Charcuterie #3 | Saucisses et saucisson | Adrien Léonard - Maison Montalet

Notre invité de la saison, Adrien Léonard, co-fondateur de la Maison Montalet, nous emmène dans un voyage à la découverte de la charcuterie. Nous parlons de la confection et de la préparation du jambon, du pâté, des saucisses et bien plus encore… Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/4/20227 minutes, 43 seconds
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Bouchées Doubles #3 | Katia Barek - L'Algérie | Avec la participation spéciale de Lilia

Dans ce nouvel épisode de Bouchées doubles, Armelle reçoit Katia Barek qui nous partage son expérience culinaire entre l'Algérie de ses parents, et la France où elle est née.Katia Barek est née à paris, dans une famille kabyle. Elle connaît la capitale comme sa poche et c'est dans le 9e arrondissement de Paris qu’en mars 2021, elle a ouvert Majouja, une cantine chaleureuse inspirée par la cuisine de sa mère et ses aïeules.Dans cet épisode elle nous parle du terroir Algérien, de tripes de boeuf, de couscous aux légumes vapeur, des fêtes religieuses qui réunissent la famille autour des plats traditionnels kabyles.  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/30/202216 minutes, 11 seconds
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Eat’s Business #48 | Michelin 2022 avec Esterelle Payani, Starbucks perd son chemin et les vins de Normandie

Dans ce nouvel épisode de Eat’s Business, la revue de presse du Business de la Bouffe, Olivier Frey et Daniel Coutinho reviennent sur les actualités food de la semaine. Aujourd’hui on parle du guide Michelin avec la participation d'Estérelle Payany, de l’impact de la guerre en Ukraine le "manger local" et de l'entreprise Starbucks qui perd son nord.On parle également de l'intelligence artificielle appliquée à la nutrition, des vins de Normandie et des investissements dans le vin. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/29/202249 minutes, 33 seconds
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Basics of Bouffe | Charcuterie #2 - Paté, rillettes, terrines | Adrien Léonard - Maison Montalet.

Notre invité de la saison, Adrien Léonard, co-fondateur de la Maison Montalet, nous emmène dans un voyage à la découverte de la charcuterie. Nous parlons de la confection et de la préparation du jambon, du pâté, des saucisses et bien plus encore… Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/28/20223 minutes, 31 seconds
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France Terre de Lait #4 | La RSE | Laura Garrot et Thierry Geslain – Responsable RSE chez Sodiaal et directeur du développement durable au CNIEL

Pour ce nouvel épisode de la série France Terre de Lait, Déborah Pham reçoit Laura Garrot, responsable RSE de la coopérative Sodiaal et Thierry Geslain, Directeur du développement durable au CNIEL. Ces deux invités ont un point commun, celui d’essayer de trouver un équilibre entre la rentabilité d’une entreprise et les attentes sociétales qui se sont multipliées au fil du temps. Dans cet épisode, nous cherchons à comprendre les démarches et les plans stratégiques mis en place par les entreprises pour continuer à se développer et à être rentables tout en respectant les principes de la RSE. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/23/202237 minutes, 37 seconds
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Eat’s Business #47 | Avril s’offre la marque Italians do It Better, pénurie d'huile de tournesol et les 10 entreprises les plus innovantes dans la Food selon Fast Company avec la participation de Christian de Waldner

Dans ce nouvel Eat's Business, la revue de press du business de la bouffe. Olivier et Daniel reviennent sur les actualités food de la semaine. On parle des effets de la guerre sur l’huile de tournesol, de l’achat de la marque Italians do it better par le groupe Avril et de l’essor des plats végétariens dans le milieu de la restaurationOn évoque également le classement des 10 entreprises food les plus innovantes en 2022, une rubrique à ne pas rater,  et on termine avec le chocolat chaud qui petit à petit remplace le café en Angleterre Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/22/202241 minutes
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Basics of Bouffe | Charcuterie #1 - Le jambon | Adrien Léonard - Maison Montalet.

Notre invité de la saison, Adrien Léonard, co-fondateur de la Maison Montalet, nous emmène dans un voyage à la découverte de la charcuterie. Nous parlons de la confection et de la préparation du jambon, du pâté, des saucisses et bien plus encore… Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/21/20226 minutes, 18 seconds
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Eat’s Business #46 | Le prix du blé explose, le GIEC lance une alerte face au changement climatique et une découverte d’une nouvelle protéine faite à partir d’air.

Dans ce nouvel épisode de Eat’s Business, la revue de presse du Business de la Bouffe, Olivier Frey et Daniel Coutinho reviennent sur les actualités food de la semaine. On parle de la guerre en Ukraine et l’impact sur le prix du blé, de changement climatique et du futur de l’agriculture.On parle également des stratégies de français pour combattre l’inflation, d’Unilever qui veut propose des produits de meilleure qualité et d’une nouvelle protéine faite à partir de l’air. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/15/202230 minutes, 55 seconds
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Basics of Bouffe | Boulangerie #4 - Les viennoiseries | Alice Quillet - Ten belles

Dans un format court, Elisa décrypte des thématiques autour de l’alimentation avec des experts, de manière ludique et très simple.Avec l'invitée de cette saison Alice Quillet, nous partons à la découverte des arrière-cuisines de la boulangerie, de la farine jusqu'aux savoureuses viennoiseries, nous saurons tout sur les délices que nous dégustons chaque matin. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/14/20224 minutes, 35 seconds
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Food Karma #24 | Basma Paradin et Pierre-Elie Boiton – Fondateurs de Tambouille | De l'intérêt d'une approche flexitarienne

Basma et Pierre-Elie étaient respectivement avocate et banquier avant de se lancer dans l'aventure de Tambouille, des kits à cuisiner 100% bio, artisanaux et engagés. Leur démarche a été faite de plen d'apprentissages, de celui de la permaculture, notamment avec Perrine et Charles Hervé-Guyer ou du pain auprès de Roland Feuillas. Leur démarche dans Tambouille est très holistique : produits bien sourcés, dont une partie vient de leur propre ferme, emballages consignés majoritairement et compostés sinon, moins de gaspillage avec la juste dose. Leur approche est veggie et gourmande. Ils partagent leur conviction qu'une alimentation flexitarienne est la meilleure pour la santé et la planète et qu'elle est recommandée même aux enfants ! Une belle démarche à découvrir !  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/10/202228 minutes, 48 seconds
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Eat’s Business #45 | Les conséquences de la guerre en Ukraine, l'essor de la pêche en France et le Kaya

Dans ce nouvel épisode de Eat’s Business, la revue de presse du Business de la Bouffe, Olivier Frey et Daniel Coutinho reviennent sur les actualités food de la semaine. Aujourd’hui on parle des effets de la guerre en Ukraine sur l'industrie agroalimentaire, d’agriculture urbaine et de pêche en FranceOn parle également du super food “le kaya”, et de criminalité liée au vin. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/8/202231 minutes, 5 seconds
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Basics of Bouffe | Boulangerie #3 - Les brioches | Alice Quillet - Ten Belles

Dans un format court, Elisa décrypte des thématiques autour de l’alimentation avec des experts, de manière ludique et très simple.Avec l'invitée de cette saison Alice Quillet, nous partons à la découverte des arrière-cuisines de la boulangerie, de la farine jusqu'aux savoureuses viennoiseries, nous saurons tout sur les délices que nous dégustons chaque matin. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/7/20224 minutes, 12 seconds
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France Terre de Lait #3 | Les AOP | Hubert Dubien et Didier Lincet – Président du CNAOL et Président de la Fromagerie Lincet

Pour ce troisième épisode de la série France Terre de Lait, Déborah Pham reçoit au salon de l'agriculture Hubert Dubien, président du CNAOL et président de l’AOP la Fourme de Montbrison ainsi que Didier Lincet, président de la PME familiale Fromagerie Lincet. Ils sont tous les deux producteurs de lait, mais surtout, amoureux de leurs métiers et de leurs régions. Dans cet épisode dédié aux AOP, ils nous expliquent comment ces dernières contribuent à la vitalité économique, environnementale, sociale et culturelle du territoire.  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/4/202241 minutes, 8 seconds
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Bouchées Doubles #2 | Elvira Masson - La Suède | Avec la participation spéciale de François-Régis Gaudry

On connaît Elvira Masson chroniqueuse food à la TV dans Très très bon sur Paris Première et sur France Inter dans On va déguster.Elle est aussi rédactrice en chef adjointe de Marie-Claire, et l’auteure de son premier livre de recettes grâce auquel elle nous invite dans sa cuisine. Ce qu’on sait moins d’Elvira c’est qu’elle a grandi dans une famille franco-suédoise, au bord du lac Léman d’abord, puis sur la Rive gauche de Paris.Dans cet épisode, Elvira évoque ces odeurs familières de café filtre, farine cuite et épices qui rejaillissent dès l’aéroport de Stockholm et entretiennent ce sentiment d’appartenance à ce pays où elle ne va plus qu’occasionnellement. Elvira parle également de crêpes suédoises, de fika évidemment, mais aussi de poulet rôti et de pot-au-feu. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/2/202240 minutes, 32 seconds
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Eat’s Business #44 | Les français et l'agriculture, les anti-régimes et l'abonnement aux restaurants

Dans ce nouvel épisode de Eat’s Business, la revue de presse du Business de la Bouffe, Olivier Frey et Daniel Coutinho reviennent sur les actualités food de la semaine. Aujourd’hui on parle d’une étude qui s’intéresse à la place des agriculteurs dans la société, de la crise du bio et de l’abonnement appliqué à la restauration.On parle également des NFTs, évidemment, de régimes alimentaires et de l'ananas pain de sucre. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/1/202242 minutes, 47 seconds
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Basics of Bouffe | Boulangerie #2 - Les farines | Alice Quillet - Ten Belles

Dans un format court, Elisa décrypte des thématiques autour de l’alimentation avec des experts, de manière ludique et très simple.Avec l'invitée de cette saison Alice Quillet, nous partons à la découverte des arrière-cuisines de la boulangerie, de la farine jusqu'aux savoureuses viennoiseries, nous saurons tout sur les délices que nous dégustons chaque matin. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
2/28/20223 minutes, 52 seconds
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Food Karma #23 | François-Xavier Delmas – Fondateur du Palais des Thés | Le bon thé

L'univers du thé est aussi riche que celui du vin. François-Xavier Delmas est tombé par hasard dans le thé, en ouvrant la première boutique du Palais des Thés pour proposer une offre qui n'est ni anglaise, ni coloniale ni celle d'un herboriste. Le thé est devenu sa passion et il parcourt le monde à la recherche des meilleurs crûs, dans des territoires connus comme en Chine ou au Japon et dans des terroirs nouveaux comme en Georgie ou au malawi par exemple. Il explique ce qui fait le prix du thé et partage aussi tout ses tips pour faire du bon thé, de façon accessible. Il nous livre de belles idées d'association thé et met qui sortent de l'ordinaire.  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
2/24/202230 minutes, 47 seconds
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Eat's Business #43 | Tequila vs Vodka, le succès du café en grain et le vin en canette

Dans ce nouvel épisode de Eat’s Business, la revue de presse du Business de la Bouffe, Olivier Frey et Daniel Coutinho reviennent sur les actualités food de la semaine. Aujourd’hui on parle de l’augmentation de l’espérance de vie pour ceux qui mange sainement, des Amaps face à la crise, et de l’essor du café en grainOn parle également de wasabi, des vins en canettes et du boom de la tequila haut de gamme aux US.  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
2/22/202230 minutes, 35 seconds
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Basics of Bouffe | Boulangerie #1 - Le levain | Alice Quillet - Ten Belles

Dans un format court, Elisa décrypte des thématiques autour de l’alimentation avec des experts, de manière ludique et très simple.Avec l'invitée de cette saison Alice Quillet, nous partons à la découverte des arrière-cuisines de la boulangerie, de la farine jusqu'aux savoureuses viennoiseries, nous saurons tout sur les délices que nous dégustons chaque matin. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
2/21/20225 minutes, 58 seconds
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Pépin déménage chez Citron Caviar

Voici un épisode quelque peu inédit de Pépin, puisqu’il s’agit du dernier diffusé sur la chaîne de podcast Business of Bouffe ! Ce début d’année 2022 sonne comme un renouveau pour le collectif Citron Caviar Studio. Hé oui, le duo quitte la chaîne qui a vu naître le concept Pépin, pour créer leur propre chaîne de papotages ! On en discute d’ailleurs ouvertement à l'antenne, vous verrez c’est assez drôle. Ce dernier épisode sera disponible uniquement sur la plateforme Business of BouffeMais vous pourrez retrouver d’ores et déjà l’intégralité des épisodes Pépin sur les plateformes d’écoute Simple Cast, Apple Podcast, Spotify, Deezer, Google Podcast, Amazon Podcast et TuneIn ! Rien que ça ! On leur souhaite bon vent ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
2/18/20228 minutes, 55 seconds
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Eat's Business #42 | Importation de chips, lait de pomme de terre et les robots qui se lancent dans la livraison

Dans ce nouvel épisode de Eat’s Business, la revue de presse du Business de la Bouffe, Olivier Frey et Daniel Coutinho reviennent sur les actualités food de la semaine. Aujourd’hui on parle d’importation de chips en france, de lait à base de pommes de terre et de la consommation de lait de vache qui est en déclin.On parle également de la restauration commerciale qui souffre encore avec la crise sanitaire, d’une startup américaine qui propose des livraisons de nourriture par robot télécommandé et enfin on parle de Thrive Market, un site américain de vente en ligne d'aliments et d'articles ménagers sains et écologiques. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
2/15/202237 minutes, 31 seconds
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Basics of Bouffe | Le Fromage #7 - Consommer du fromage | Laure Takahashi - Fromagerie Taka et Vermo

Le podcast qui décortique la Bouffe par Elisa Gautier. Dans cette saison, on met un pied, même deux, dans l’univers du fromage. C’est Laure Takahashi, cofondatrice de la fromagerie parisienne et engagée Taka & Vermo, qui nous accompagne dans ce voyage. À travers 7 épisodes, on découvre le fromage sous toutes ses coutures. Comment est fabriqué le fromage ? Quelle est la différence entre le lait cru et le lait pasteurisé ? Comment est affiné un fromage ? Quelle influence le paysage a-t-il sur le fromage ? Y’a-t-il une saisonnalité dans le fromage ? Comment choisir et conserver son fromage ? On voudrait pas en faire tout un fromage, mais cette saison est à déguster au plus vite si vous êtes un amoureux du fromage ou que vous souhaitez en savoir plus.Dans ce dernier épisode de la saison, Laure et Elisa aborde la question de la consommation du fromage : choisir des fromages de qualité, faire un bon plateau de fromage ou encore conserver de manière optimale son fromage. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
2/14/20225 minutes, 38 seconds
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Food Karma #22 | Guy Debert – PDG de Kaoka | Le chocolat, un plaisir pas si simple.

Guy Debert a succédé à son père à la tête de Kaoka, une marque qui depuis les années 70 développe des chocolats bio. Kaoka, c’est aujourd’hui 33 millions d’euros de CA, avec une trentaine de références commercialisées dans 19 pays.  Si 98% des Français déclarent aimer le chocolat, que c’est un plaisir simple du quotidien, nous réfléchissons trop rarement à ce qu’il y a derrière la tablette que l’on croque à l’heure du café ou du goûter : les femmes et les hommes qui font pousser le cacao, le type d’agriculture.  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
2/10/202230 minutes, 20 seconds
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Eat’s Business #41 | Carrefour et Brut se lancent dans le live shopping, invasion des distributeurs automatiques et génération Mcdo

Dans ce nouvel épisode de Eat’s Business, la revue de presse du Business de la Bouffe, Olivier Frey et Daniel Coutinho reviennent sur les actualités food de la semaine. Aujourd’hui on parle de Carrefour et Brut qui lancent une plateforme de live shopping, de la bataille entre la grande distribution et les industriels qui ne sont pas d’accord sur les prix et de distributeurs automatiques qui remplacent les commerces.On parle également de grands vins bordelais qui passent au bio, d’un vigneron qui propose ses vins en abonnement et pour nos auditeurs qui arrivent à la fin de l’épisode, un article spécial sur la génération McDo en France. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
2/8/202229 minutes, 59 seconds
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Basics of Bouffe | Le Fromage #6 - Fromages et paysages | Laure Takahashi - Fromagerie Taka et Vermo

Le podcast qui décortique la Bouffe par Elisa Gautier. Dans cette saison, on met un pied, même deux, dans l’univers du fromage. C’est Laure Takahashi, cofondatrice de la fromagerie parisienne et engagée Taka & Vermo, qui nous accompagne dans ce voyage. À travers 7 épisodes, on découvre le fromage sous toutes ses coutures. Comment est fabriqué le fromage ? Quelle est la différence entre le lait cru et le lait pasteurisé ? Comment est affiné un fromage ? Quelle influence le paysage a-t-il sur le fromage ? Y’a-t-il une saisonnalité dans le fromage ? Comment choisir et conserver son fromage ? On voudrait pas en faire tout un fromage, mais cette saison est à déguster au plus vite si vous êtes un amoureux du fromage ou que vous souhaitez en savoir plus.Cet épisode entreprend d'expliquer les liens entre les paysages et le fromage. Pourquoi les fromages de montagnes sont-ils plus gros et plus affinés ? Quelles régions sont-elles plus propices au fromage de vache, de chèvre ou de brebis ? Ces questions et d'autres seront abordées. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
2/7/20226 minutes
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Bouchées Doubles #1 | Beena Paradin Migotto – L’Inde | Avec la participation spéciale de Yanick Migotto

Beena Paradin-Migotto est née dans l’état indien du Kerala. Elle a un an et demi lorsqu'elle arrive en France avec ses parents. Leur volonté de s'intégrer à la culture française n'a pas atténué leur lien fort avec la culture indienne. C’est dans cette double richesse que Beena a grandi.Dans cet épisode elle nous parle de la difficulté de cuisiner indien en France dans les années 70, de savoir-faire d’épices, de baba au rhum revisité, ou encore de cuisine végétarienne.  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
2/2/202221 minutes, 40 seconds
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Eat’s Business #40 | Gorillas rachète Frichti, Picard cash machine et l'Irlande augmente l’impôt sur l’alcool avec la participation spéciale de Julia Bijaoui, la co-fondatrice de Frichti

Dans ce nouvel épisode de Eat’s Business, la revue de presse du Business de la Bouffe, Olivier Frey et Daniel Coutinho reviennent sur les actualités food de la semaine. Aujourd’hui on parle du rachat de Frichti par Gorillas avec la participation spéciale de la fondatrice de Frichti, Julia Bijaoui, on parle aussi du casse-tête des Dark kitchens pour la mairie de Paris, de la grande distribution notamment avec plus d'informations sur une éventuelle fusion entre Carrefour et Auchan.On parle également de Picard, des fruits et légumes qui viennent d’ailleurs et de la forte augmentation du prix de l’alcool en Irlande Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
2/1/202231 minutes, 42 seconds
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Basics of Bouffe | Le Fromage #5 - La saisonnalité | Laure Takahashi - Fromagerie Taka et Vermo

Le podcast qui décortique la Bouffe par Elisa Gautier. Dans cette saison, on met un pied, même deux, dans l’univers du fromage. C’est Laure Takahashi, cofondatrice de la fromagerie parisienne et engagée Taka & Vermo, qui nous accompagne dans ce voyage. À travers 7 épisodes, on découvre le fromage sous toutes ses coutures. Comment est fabriqué le fromage ? Quelle est la différence entre le lait cru et le lait pasteurisé ? Comment est affiné un fromage ? Quelle influence le paysage a-t-il sur le fromage ? Y’a-t-il une saisonnalité dans le fromage ? Comment choisir et conserver son fromage ? On voudrait pas en faire tout un fromage, mais cette saison est à déguster au plus vite si vous êtes un amoureux du fromage ou que vous souhaitez en savoir plus.Dans cet épisode, la saisonnalité est à l'honneur. Et oui, les fromages aussi ont leur saison ! On apprend quand consommer de manière optimale chaque type de fromage.  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
1/31/20224 minutes, 37 seconds
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Food Karma #21 | Myriam Sabet – Fondatrice de la Maison Aleph | Rendre la pâtisserie holistiquement bonne

Myriam sabet raconte l'histoire de la création de Maison Aleph, sa pâtisserie, inspirée des saveurs levantines de son enfance qu'elle travaille dans un esprit parisien. Elle partage sa démarche de qualité et rappelle qu'elle s'inscrit dans une tradition de la pâtisserie qui, depuis une bonne vingtaine d'années, cherche à être moins sucrée et plus légére. Elle nous raconte son goût du levant et sa cuisine très végétale, parfumée d'épices sublimes.  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
1/27/202230 minutes, 18 seconds
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Bouchées Doubles Episode #0 | Armelle - Bouchées Doubles

L’été dernier, elle a participé au concours de podcast de Business of Bouffe et nous avons été de suite séduits par son sujet captivant et son grand enthousiasme.“Bouchées Doubles” est un podcast qui explorera les doubles cultures dans la bouffe. Chaque mois, Armelle aura l’occasion de rencontrer des invités qui ont grandi avec l’influence de deux cuisines : la française et celle de leurs familles.Bouchées doubles, c’est aussi un moment de partage, de convivialité et de découverte. Nous parlerons des différentes traditions, des plats nationaux, des souvenirs d’enfance, des contrastes entre les deux cultures et de bien plus.Si vous souhaitez faire partie de ce voyage, rendez-vous 1 fois par mois, le mercredi. Le premier épisode est à retrouver dès mercredi 2 février ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
1/26/20224 minutes, 48 seconds
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Eat’s Business #39 | Baguette polémique, légumes moches et TikTok qui se lance dans la restauration

Dans ce nouvel épisode de Eat’s Business, la revue de presse du Business de la Bouffe, Olivier Frey et Daniel Coutinho reviennent sur les actualités food de la semaine. Aujourd’hui on parle  du pouvoir d’achat des français, notamment avec la baguette de Leclerc, du chef italien Massimo Bottura, du gaspillage alimentaire, des fruits et légumes moches et de TikTok qui se lance dans la restauration Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
1/25/202230 minutes, 57 seconds
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Basics of Bouffe | Le Fromage #4 - L'affinage | Laure Takahashi - Fromagerie Taka et Vermo

Le podcast qui décortique la Bouffe par Elisa Gautier. Dans cette saison, on met un pied, même deux, dans l’univers du fromage. C’est Laure Takahashi, cofondatrice de la fromagerie parisienne et engagée Taka & Vermo, qui nous accompagne dans ce voyage. À travers 7 épisodes, on découvre le fromage sous toutes ses coutures. Comment est fabriqué le fromage ? Quelle est la différence entre le lait cru et le lait pasteurisé ? Comment est affiné un fromage ? Quelle influence le paysage a-t-il sur le fromage ? Y’a-t-il une saisonnalité dans le fromage ? Comment choisir et conserver son fromage ? On voudrait pas en faire tout un fromage, mais cette saison est à déguster au plus vite si vous êtes un amoureux du fromage ou que vous souhaitez en savoir plus.Dans cet épisode, on parle de l'affinage, cette méthode cruciale de la fabrication du fromage qui va en partie lui apporter son goût et sa texture. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
1/24/20225 minutes, 58 seconds
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France Terre de Lait #2 | La filière laitière | Caroline Le Poultier – Directrice Générale du CNIEL

Pour ce deuxième épisode de la série France Terre de Lait, Déborah Pham reçoit Caroline Le Poultier, directrice générale du CNIEL depuis plus de sept ans. Créé en 1974, l’interprofession réunit aujourd’hui 4 fédérations professionnelles représentants la filière : les producteurs de lait, les coopératives laitières, les industriels privés et depuis peu les acteurs du commerce, de la distribution et de la restauration. Avec près de 350 000 emplois directs et indirects, la filière laitière contribue à la vie des territoires. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
1/19/202230 minutes, 12 seconds
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Eat's Business Spécial Fêtes de Fin d'Année | Le retour du Champagne, Noël sans foie gras et la puissance politique du sucre

Le Figaro, Quand les animalistes veulent faire la peau au foie gras, 09/12/2021Quatre grandes villes ont déjà retiré le foie gras au menu de leurs réceptions sous la pression d’associations animalistes au premier rang desquels Peta.Dans un courrier envoyé à la mairie de Strasbourg, Peta écrit ainsi “en raison de la production importante de foie gras en Alsace, et de l’imminence de ses célèbres marchés de Noël – où des stands en font justement la promotion – un engagement officiel de votre part aurait un très fort impact! Ainsi, pourriez-vous mettre en place une politique interdisant de servir du foie gras dans vos locaux et lors des repas officiels offerts par la municipalité strasbourgeoise à diverses occasions?”. Peta a ainsi écrit un courrier similaire à une vingtaine de maires de grandes villes.Comme alternative au foie gras, les associations animalistes proposent de déguster du “faux gras”, qui est fabriqué à partir de tofu, champignon, levure et huile végétale.Si certains maires ont entendu le message de Peta et ont pris des décisions radicales (comme la maire de Strasbourg par exemple) il semble que les Français soient encore loin de passer au “faux gras”. D’après un sondage CSA pour le CIFOG publié récemment, 91% des personnes interrogées déclarent manger du foie gras et 75% ont l’intention de consommer du foie gras pour les fêtes cette année, soit 2 points de plus que l’an dernier.Par ailleurs, 14 associations, représentant plusieurs dizaines de milliers de chefs à travers tous les territoires de France et à l’international, se sont d’ores-et-déjà engagés auprès de la filière française du Foie Gras en signant le manifeste de soutien à la filière française du foie gras et un hashtag #TouchePasMonFoieGras a été lancé pour l’occasion. Les Échos, Les deux géants du foie gras Maïsadour et Euralis se rapprochent, 08/12/2021Alors que la filière foie gras a souffert ces dernières années suite à la multiplication des épidémies d’influenza aviaire, les deux leaders du secteur, les groupes coopératifs Euralis et Maisadour, réfléchissent à fusionner leurs pôles spécialisés dans le canard à foie gras. Les deux groupes représentent environ 45% de la production française de foie gras avec une production de 13 millions de canards gras chaque année. Les deux groupes ont également des marques fortes dans ce secteur : Delpeyrat et Comtesse du Barry (Maisadour) et Rougié et Maison Montfort (Euralis).L’article explique que la production de foie gras a quadruplé depuis le début des années 90 et que la filière souffre désormais de surproduction.Ils doivent toutefois obtenir l’aval des autorités de la concurrence pour un plan qui pourrait déboucher sur des restructurations Le Monde, La puissance politique du sucre, entre délices et dominations, 24/12/2021Un article très complet sur l’histoire du sucre et ses liens avec le capitalisme, la mondialisation, l’esclavagisme et la politique.Quelques chiffres pour commencer : entre le début du confinement et la fin du mois de mai 2020, les ventes de sucre ont augmenté de 30 % en France. Si la peur de la pénurie a probablement joué un rôle comme pour certains autres produits, une enquête réalisée par le Centre des sciences du goût et de l’alimentation a montré que cette période a favorisé le « manger émotionnel ».Comme le résume bien l’article, “le sucre raconte, à sa façon, la part intime de l’histoire des hommes et des femmes, de leurs joies et de leurs détresses, de leurs peurs et de leurs espoirs”. Mais surtout, “il est aussi, aux côtés des céréales, l’un des produits qui, à travers les siècles, décrit le mieux l’histoire des peuples, la violence des empires et la naissance d’une mondialisation dont il est un acteur central”. Le sucre a pendant longtemps été un “marqueur de distinction sociale et de richesse” et était réservé aux élites. Il est en effet source de plaisir et le goût sucré est devenu très tôt un marqueur social de pouvoir et un enjeu politico-religieux. Mais désormais il est présent dans tous les placards. A tel point que, depuis quarante ans, la recherche en sciences sociales s’interroge sur la raison pour laquelle “cet ingrédient jugé non essentiel aux besoins alimentaires cristallise autant les passions, au point de modeler les paysages et de peser sur les politiques publiques”.L’article propose ainsi un historique politique du sucre permettant de mieux comprendre l’ambivalence de nos comportements à son égard et d’éclairer l’origine des rapports de force dont il fait aujourd’hui l’objet.  Le Monde, Des ventes record pour les maisons de champagne, 10/12/20212020 a été une des pires années pour la filière champagne avec “des pertes de 20 % en moyenne par rapport à 2019” et, début 2021, le Comité interprofessionnel du vin de Champagne pensait qu’il faudrait plusieurs années au secteur pour s’en remettre. Et bien contre toute attente 2021 s’annonce comme une année record.C’est ce que confirme Fabrice Rosset, PDG des champagnes Deutz, qui explique “en près de cinquante ans de métier, je n’ai jamais vécu une période semblable !”. Les conséquences sont visibles : ruptures de stock un peu partout dans les grandes marques, demandes de pays étrangers qui ne sont pas satisfaites, tensions sur le marché, des cavistes français qui ne reçoivent pas la marchandise qu’ils ont commandée… Cela se traduit évidemment au niveau des chiffres. Pour Deutz, c’est une hausse de 80 % des ventes pour la cuvée classique et de 40 % pour la cuvée prestige. Et au niveau de l’entreprise, comme le précise le PDG,“+ 35 % au global par rapport à 2019, qui était notre année record. En chiffre d’affaires global, par rapport à 2020, alors que la réouverture des frontières n’est pas totale et, même si tous les indicateurs ne sont pas au beau fixe, nous dépassons les 60 %”.Parmi les explications avancées sur les performances exceptionnelles de cette année : la consommation mondiale de 2020 aurait été supérieure aux expéditions des maisons de champagne. En d’autres termes, les grossistes, importateurs et cavistes ont vendu leurs bouteilles et laissé leurs stocks baisser. Ils ne les auraient reconstitués qu’en 2021. Autre explication : l’explosion du e-commerce, en France mais surtout à l’étranger où les ventes en ligne ont été multipliées par quatre dans certains pays. Enfin les habitudes des consommateurs dans certains pays ont évolué. C’est ce qu’explique Quentin Meurisse, directeur marketing pour les maisons Mumm et Perrier-Jouët, “Aux Etats-Unis, la cuvée Mumm “Grand Cordon ” est habituellement bue au restaurant. Pour la première fois, à cause des confinements, les Américains l’ont commandée en ligne et consommée à la maison. Quand les restaurants ont rouvert, ils y ont à nouveau acheté nos bouteilles mais ils ont aussi continué à en boire chez eux”. CNBC, People are paying top dollar for cocktails with no alcohol in them, 09/12/2021En 2020, l’industrie des boissons sans alcool a connu une croissance fulgurante, les consommateurs délaissant les soirées arrosées pour privilégier leur santé et leur bien-être. Alors que certaines personnes réduisent complètement leur consommation, d’autres optent pour des boissons qui ont le même goût que leurs boissons préférées, mais sans alcool.Mais la plupart des consommateurs de ces boissons n’abandonnent cependant pas l’alcool pour de bon. Selon une étude réalisé par IWSR, 58 % des consommateurs de boissons sans alcool ou à faible teneur en alcool continuent de boire de l’alcool, mais avec modération.Aux Etats-Unis, selon des données de NielsenIQ, les ventes de boissons non alcoolisées ont augmenté de 33,2 % en 2020, pour atteindre 331 millions de dollars. Les ventes de bière et de cidre non alcoolisés ont augmenté de 31,7 %, mais surtout les ventes de spiritueux non alcoolisés ont augmenté de 113,4 % au cours de la même période.Parmi les sociétés proposant des spiritueux sans alcool, l’article cite la société CleanCo. L’article parle également de Lyre’s, une start-up fondée en 2019 et qui vient de boucler une levée de fonds de 20 millions de livres en novembre. L’entreprise est désormais évaluée à 270 millions de livres. New York Times, How Will Americans Eat in 2022? The Food Forecasters Speak, 28/12/2021Comme à chaque début d’année, chacun s’adonne à l’exercice des prévisions. Le New York Times en proposent certaines récoltées auprès d’experts du secteur. Pour cette année, comme le résume bien Anna Fabrega, qui a récemment pris la direction du service d’abonnement aux repas Freshly, “la contrainte engendre l’innovation”.Selon elle et d’autres experts de l’industrie alimentaire aux États-Unis, 2022 sera de nouveau une année pragmatique façonnée par les besoins des personnes qui travaillent à domicile et par la génération Z, culinairement astucieuse mais capricieuse, dont les membres veulent des aliments contenant des ingrédients durables et une histoire culturelle forte, préparés sans exploitation et livrés de manière neutre en carbone dans les 30 minutes.Voici les prédictions mentionnées dans l’article :Ingrédient de l’année : les champignons figurent sur de nombreuses listes de prédictions, sous presque toutes les formes, des champignons psilocybines (suite au regain d’intérêt pour les substances psychédéliques) aux pleurotes qui sont utilisées comme substituts végétaux aux coquilles Saint-Jacques.Boisson de l’année : les boissons des années 1980 (Tequila Sunrise, les Long Island Iced Tea…) reviennent en force remaniés avec des jus frais, moins de sucre et des alcools de meilleure qualité. Autre tendance : l’essor des “éco spiritueux”, fabriqués à partir d’ingrédients provenant de fermes locales ou de déchets alimentaires et emballés et expédiés selon des méthodes respectueuses du climat.La viande de poulet cultivée en laboratoire : les poulets à base de plantes proposés par des entreprises comme Impossible Foods et Beyond Meat sont arrivés récemment dans les épiceries et les restaurants.Les algues à la rescousse : le varech pousse rapidement, présente un profil nutritionnel intéressant et élimine le dioxyde de carbone de l’atmosphère et l’azote de l’océan. En conséquence, le varech d’élevage va dépasser le stade du dashi et des menus de certains restaurants haut de gamme pour se retrouver dans des aliments de tous les jours comme les pâtes.Nostalgie des bonbons : les nostalgies d’enfance de la Chine (le bonbon White Rabbit et les flocons de grésil) et de la Corée du Sud (la friandise en forme de nid d’abeille ppopgi et les pailles Apollo) feront leur chemin dans les caddies et les recettes de desserts et de boissons des Américains.La montée en puissance du robusta : face à l’envolée des prix de l’arabica, le robusta, qui est moins cher et plus facile à cultiver, va revenir en force. On le trouve notamment au Vietnam et en conséquence un nouveau style de café vietnamien est en train d’apparaître dans de nombreuses villes américaines.Une vaisselle savoureuse : la qualité des cuillères, baguettes, assiettes, bols et tasses comestibles augmente et leur prix diminue, ce qui marque le début d’une véritable révolution des emballages comestibles.La saveur de l’année : l’hibiscus, qui ajoute sa teinte cramoisie et sa saveur acidulée et terreuse à tout, des cocktails aux sodas en passant par les crudités et les yaourts.L’Inde en point de mire : les aliments régionaux de l’Inde feront l’objet d’une grande attention, avec des plongées approfondies dans les plats du Gujarat, du Kerala, du Cachemire, du Tamil Nadu et de la région d’Awadh.L’ambiance de l’année : un intérêt croissant pour la nature historique et culturelle de la nourriture et son impact sur le climat ne fera qu’ajouter à ce que les prévisionnistes disent être un nouvel accent sur la gentillesse et la compréhension.Au-delà des grandes tendances, l’article met en avant certaines autres tendances naissantes : le bacon Koji, l’alcool chinois baijiu, la soupe de nouilles laksa, le riz jollof, les graines prendront le pas sur les noix en tant que source alternative de protéines, un regain d’intérêt pour les fromages sans lait provenant d’un animal, le lait de pomme de terre, le moringa, les plats de petit-déjeuner taïwanais, le thé et les olives.  Pour vous abonner à la newsletter Eat’s Businesshttps://businessofbouffe.com/revue-de-presse-eats-business-newsletter Hébergé par Acast. 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1/18/202233 minutes, 36 seconds
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Basics of Bouffe | Le Fromage #3 - Les fromages fermiers | Laure Takahashi - Fromagerie Taka et Vermo

Le podcast qui décortique la Bouffe par Elisa Gautier. Dans cette saison, on met un pied, même deux, dans l’univers du fromage. C’est Laure Takahashi, cofondatrice de la fromagerie parisienne et engagée Taka & Vermo, qui nous accompagne dans ce voyage. À travers 7 épisodes, on découvre le fromage sous toutes ses coutures. Comment est fabriqué le fromage ? Quelle est la différence entre le lait cru et le lait pasteurisé ? Comment est affiné un fromage ? Quelle influence le paysage a-t-il sur le fromage ? Y’a-t-il une saisonnalité dans le fromage ? Comment choisir et conserver son fromage ? On voudrait pas en faire tout un fromage, mais cette saison est à déguster au plus vite si vous êtes un amoureux du fromage ou que vous souhaitez en savoir plus.Cet épisode est consacré aux fromages fermiers. On apprend ce qui se cache derrière cette appellation et les avantages de tels fromages. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
1/17/20225 minutes, 29 seconds
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Food Karma #20 | Olivier Roellinger | La révolution délicieuse

La révolution délicieuse qu'Olivier Roellinger appelle de ses vœux s'est beaucoup accélérée pendant le confinement. De nombreux Français se sont mis à cuisiner, se posant la question du lien avec le producteur, de ce qui fait du bien à soi, aux autres et à la planète. Il partage sa conviction que la grande majorité des gens pensent avoir le temps et les moyens de bien se nourrir. Olivier Roellinger partage sa passion des épices, des sortilèges de la baie du Mont Saint-Michel, des croyances de l’arrière-pays celtique et de l'horizon, comme marchepied de l'aventure. Il nous raconte les épices à la française et sa passion de créer des mélanges qui racontent une histoire. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
1/13/202253 minutes, 40 seconds
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Basics of Bouffe | Le Fromage #2 - Le lait cru | Laure Takahashi - Fromagerie Taka et Vermo

Le podcast qui décortique la Bouffe par Elisa Gautier. Dans cette saison, on met un pied, même deux, dans l’univers du fromage. C’est Laure Takahashi, cofondatrice de la fromagerie parisienne et engagée Taka & Vermo, qui nous accompagne dans ce voyage. À travers 7 épisodes, on découvre le fromage sous toutes ses coutures. Comment est fabriqué le fromage ? Quelle est la différence entre le lait cru et le lait pasteurisé ? Comment est affiné un fromage ? Quelle influence le paysage a-t-il sur le fromage ? Y’a-t-il une saisonnalité dans le fromage ? Comment choisir et conserver son fromage ? On voudrait pas en faire tout un fromage, mais cette saison est à déguster au plus vite si vous êtes un amoureux du fromage ou que vous souhaitez en savoir plus.Dans cet épisode, on découvre les différences entre le lait cru, le lait thermisé, le lait pasteurisé ou encore le lait stérilisé UHT. Laure nous apprend tous les avantages du fromage au lait cru. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
1/10/20224 minutes, 38 seconds
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Business of Bouffe #39 | Antoine Hubert - Ynsect | L'histoire du leader mondial de l’alimentation à base d’insectes

Aujourd’hui, Daniel Coutinho et Olivier Frey sont avec Antoine Hubert, ingénieur agronome, entrepreneur et président d’Ynsect.🌱 Ensemble, nous revenons sur le parcours d’Antoine, amoureux de la nature depuis son plus jeune âge. Petit déjà, il s’amusait à chasser des papillons dans les montagnes savoyardes. S’il ne savait pas qu’il serait quelques années plus tard à la tête de l’entreprise leader de la production de protéines naturelles à base d’insectes, il souhaitait déjà travailler pour la préservation de l’environnement. Cette conscience écologique le mena à travailler en tant qu’ingénieur agronome et à s’intéresser aux insectes. C’est à travers l’association Worgamic qu’il monte avec quelques copains qu’il va d’abord mettre en pied dans l’univers des insectes. Au fil des projets alimentaires éducatifs menés dans les écoles, Antoine Hubert s’intéresse alors à la capacité de ces petites bêtes à recycler les déchets organiques.🐜 🦗 L’envie de faire bouger les choses l’emmène par la suite à entreprendre. Il décide alors de se lancer dans l’élevage de scarabées Molitor, plus communément appelés « vers de farine », à destination d’abord de l’alimentation animale puis de l’alimentation humaine. Il fonde Ynsect en 2011 avec Jean-Gabriel Levon, Fabrice Berro et Alexis Angot. L’entreprise possède aujourd’hui deux sites d’élevage, un implanté dans le Jura et l’autre aux Pays-Bas, qui sont de véritables bijoux de technologie. Les insectes vivent dans des bacs superposés et la plupart des opérations (nourrissage, tri, température, hydrométrie, etc.) sont automatisées, ce qui rend le coût d’élevage relativement faible. Après transformation, de nombreux produits à base de poudre de protéines ou d’huile sont proposés aux entreprises pour être ensuite intégrés dans différents types d’aliments. Plus rentable et moins polluant, l’élevage d’insectes est une solution concrète pour nourrir la population humaine qui ne cesse de croître tout en limitant notre impact environnemental.♻️ La force d’Ynsect est d’être une entreprise qui s’inscrit dans l’économie circulaire. Pour nourrir ses insectes, l’entreprise récupère des déchets agricoles locaux. Par ailleurs, les déjections des animaux sont revalorisées en engrais bio utilisés pour la nutrition végétale. Tout se transforme, rien ne se perd !Ynsect semble avoir un bel avenir : l’entreprise construit actuellement une nouvelle ferme verticale à Amiens, haute de 36 mètres et a le projet d’installer des sites de production dans d’autres pays. La startup française a su convaincre de nombreux investisseurs dont l’acteur américain Robert Downey Jr qui a même fait sa promo dans la célèbre émission américaine Late Show. " L’élevage d’insectes n’est absolument pas nouveau, ça fait des centaines voire des milliers d’années qu’on élève des insectes " Plus d’informations sur Ynsect :http://www.ynsect.com/fr/ Pour découvrir les épisodes Business of Bouffe :https://businessofbouffe.com/le-podcast-food-business Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
1/9/20221 hour, 22 minutes, 13 seconds
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Basics of Bouffe | Le Fromage #1 - La fabrication du fromage | Laure Takahashi - Fromagerie Taka et Vermo

Le podcast qui décortique la Bouffe par Elisa Gautier. Dans cette saison, on met un pied, même deux, dans l’univers du fromage. C’est Laure Takahashi, cofondatrice de la fromagerie parisienne et engagée Taka & Vermo, qui nous accompagne dans ce voyage. À travers 7 épisodes, on découvre le fromage sous toutes ses coutures. Comment est fabriqué le fromage ? Quelle est la différence entre le lait cru et le lait pasteurisé ? Comment est affiné un fromage ? Quelle influence le paysage a-t-il sur le fromage ? Y’a-t-il une saisonnalité dans le fromage ? Comment choisir et conserver son fromage ? On voudrait pas en faire tout un fromage, mais cette saison est à déguster au plus vite si vous êtes un amoureux du fromage ou que vous souhaitez en savoir plus.Dans cet épisode, on en apprend plus sur la fabrication du fromage et son impact sur le résultat final. Traite, caillage, découpe, moulage, pressage, affinage, toutes les étapes sont évoquées. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
1/3/20224 minutes, 45 seconds
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Basics of Bouffe | Le vin #4 - Les couleurs du vin | Fleur Godart - Grossiste et agent de vignerons

Le podcast qui décortique la bouffe animé par l’entrepreneure et restauratrice Elisa Gautier.Dans cette saison, Elisa et son invitée Fleur Godart, décryptent le vin. Ce qui le compose, des vignes au verre, Comment est-il fait ? Comment se créent les aromes ? Qu’est ce que le vin nature ? Des questions pas si bêtes que ça, pour enfin savoir le B.A-BA de l’œnologie !Dans cet épisode, Elisa et Fleur Godard parlent des différentes couleurs du vin : rouge, rosé, blanc ou encore orange. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
12/27/20217 minutes, 31 seconds
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Basics of Bouffe | Le vin #3 - La biodynamie | Fleur Godart - Grossiste et agent de vignerons

Le podcast qui décortique la bouffe animé par l’entrepreneure et restauratrice Elisa Gautier.Dans cette saison, Elisa et son invitée Fleur Godart, décryptent le vin. Ce qui le compose, des vignes au verre, Comment est-il fait ? Comment se créent les aromes ? Qu’est ce que le vin nature ? Des questions pas si bêtes que ça, pour enfin savoir le B.A-BA de l’œnologie !Dans cet épisode, Elisa et Fleur Godard parlent viticulture biodymanique. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
12/20/20217 minutes, 13 seconds
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Food Karma #19 | Sonia Ezgulian | Rendre la cuisine poétique

Le podcast qui nous invite à agir dans la Bouffe par Beena Paradin Migotto La rencontre avec Sonia EzgulianSonia Ezgulian est une cuisinière passionnée qui a commencé dès l’âge de 4 ans, en aidant sa grand-mère. Ce n’est pas la dimension technique qui l’intéresse : ce qu’elle aime avant tout, c’est d’intégrer le beau dans la cuisine. Dans cet épisode, elle raconte comment elle travaille son inspiration au quotidien et partage ses techniques pour alimenter sa créativité en cuisine. Elle nous parle de la complicité créative qu’elle entretient avec son mari, Emmanuel Augé. Enfin, elle livre ses secrets pour organiser les meilleurs piques-niques de TGV grâce notamment à l’upcycling de packagings pour des casses-dalles aussi bons que beaux. “”La poésie, je l’ai toujours considérée comme un des ingrédients de la cuisine.””  Pour suivre les aventures de Sonia Ezgulian :https://www.instagram.com/soniaezgulian/Pour découvrir l’origine du podcast de Beena Paradin Migotto :https://businessofbouffe.com/podcast/food-karma-0Pour découvrir les épisodes de Food Karma :https://businessofbouffe.com/podcast-food-karma Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
12/16/202130 minutes, 59 seconds
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Eat's Business #38 | Abattoir mobile, le vin se met aux NFT et le supermarché du futur

Dans ce nouvel épisode de Eat’s Business, la revue de presse du Business de la Bouffe, Olivier Frey et Daniel Coutinho reviennent sur les actualités food de la semaine. Aujourd’hui on parle d’un abattoir mobile pensé pour limiter les souffrances animales, de la crise de l’œuf bio et des champignons de Paris en difficulté.On continue avec un focus sur le sirop d’érable, les NFT, pour un nouveau mode de consommation du vin et enfin nous vous présentons la nourriture du futur !  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
12/14/202134 minutes, 27 seconds
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Basics of Bouffe | Le vin #2 - Les vins natures | Fleur Godart - Grossiste et agent de vignerons

Le podcast qui décortique la bouffe animé par l’entrepreneure et restauratrice Elisa GautierDans cette saison Elisa et son invitée Fleur Godart, décryptent le vin. Ce qui le compose, des vignes au verre, Comment est-il fait ? Comment se créent les aromes ? Qu’est ce que le vin nature ? Des questions pas si bêtes que ça, pour enfin savoir le B.A-BA de l’œnologie ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
12/13/202110 minutes, 42 seconds
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France Terre de Lait #1 | Le lait bio | Yves Sauvaget - Eleveur laitier Bio

Pour ce premier épisode d'une série avec France Terre de Lait, Déborah Pham reçoit Yves Sauvaget, éleveur laitier bio. Yves il élève des vaches depuis plus de 25 ans et il est président de la commission bio du Cniel, autant dire qu'il connait bien le sujet. Quelles sont les différences concrètes entre une ferme conventionnelle et une ferme bio ? Et économiquement ça représente quoi ? Quels sont les tensions actuelles autour du lait bio ? Ces questions dont on a jamais vraiment les réponses claires, Yves y répond avec son point de vue interne.  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
12/8/202137 minutes, 5 seconds
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Eat's Business #37 | Les darks kitchen un business compliqué, Buffalo Grill devient Napaqaro et Oishii la fraise de luxe

Nous évoquons également une ferme verticale de fraises qui prend de la hauteur, du vinaigre, un produit du quotidien qui reprend de la noblesse et du nouveau champion du monde de pâté en croûte, qui, attention, n’est pas Français !  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
12/7/202126 minutes, 55 seconds
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Basics of Bouffe | Le vin #1 - Les bases | Fleur Godart - Grossiste de vin

Le podcast qui décortique la bouffe animé par l’entrepreneure et restauratrice Elisa GautierDans cette saison Elisa et son invitée Fleur Godart, décryptent le vin. Ce qui le compose, des vignes au verre, Comment est-il fait ? Comment se créent les aromes ? Qu’est ce que le vin nature ? Des questions pas si bêtes que ça, pour enfin savoir le B.A-BA de l’œnologie ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
12/6/20216 minutes, 41 seconds
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Business of Bouffe #38 | Thierry Marx | L’histoire d’un chef qui s’est extrait de sa condition sociale pour devenir un entrepreneur étoilé

Nous l’avons rencontré, autour des micros de Business of Bouffe, il a répondu à nos questions et à celles des auditeurs pendant plus de 2 heures. Les quartiers du 20 -ème arrondissement de Paris ont vu grandir l’enfant turbulant, pas très bon à l’école et souvent bagarreur. Aujourd’hui, il est l’un des chefs les plus connu et respecté de sa génération.« J’ai un cerveau de poète », cette poésie, ce don artistique, c’est ce qui lui a valu son succès auprès de la critique, sa première étoile il la décroche très vite. Mais ce n’est pas suffisant, il lui faudra apprendre la gestion, économique et humaine. Il se forme à Berkley,En véritable homme d’affaire, Thierry Marx multiplie les partenariats. Son image fait vendre, et il la prête régulièrement à quelques marques, ce qui lui a été parfois reproché. Comment un chef doit -il gérer son image ? Doit-on tout accepter ? Il nous explique, sans filtres, ses choix de partenariats, la manière dont il s’engage avec une marque et pourquoi il a quelques fois décidé d’y mettre fin. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
12/5/20212 hours, 21 minutes, 6 seconds
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Food Karma #18 | Apollonia Poilâne – Boulangère globe-trotter | Le goût du pain

Poilâne, c’est une maison artisanale mais qui a un rayonnement mondial : quatre adresses à Paris, une à Londres, une Manufacture où 10 tonnes de pain sont façonnées chaque jour et la livraison dans 25 pays. Pour Apollonia, le pain n'est pas que de la farine que l'on transforme. Pour elle, le pain, c'est un grain que l'on écoute et qu'on met en valeur. Sa maison garde le souci de fabriquer un pain et des viennoiseries de grande qualité, au prix juste. Elle nous donne des conseils pour trier le bon grain de l'ivraie lorsque l'on rentre dans une boulangerie au hasard. Elle aime cuisiner le pain pour ne pas en perdre une miette. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
12/2/202129 minutes, 34 seconds
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Eat's Business #36 | Le phénomène "shrinkflation", l'explosion des emballages plastique et l'obésité infantile bat tous les records depuis le confinement

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11/30/202126 minutes, 26 seconds
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Basics of Bouffe - Le café #3 | La consommation de café | Antoine Peron - Esperanza Café

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11/29/20213 minutes, 40 seconds
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Sur le Champ | Episode final avec Edouard Bergeon

Sur le Champ est également diffusé sur Cultivons Nous TV, la chaine de films, séries et documentaires spécialisés dans l'agriculture. Le réalisateur Edouard Bergeon, créateur de cette plateforme a imaginé avec les deux étudiantes le format de série Sur le Champs. C'est d'ailleurs là nous les avons découvertes !Elles ont aujourd'hui retrouvé les bancs d'HEC et nous revenons ensemble sur cette aventure, les difficultés, les plus beaux souvenirs et les enseignements. Ambre et Camille ont d'ailleurs pleins de nouveaux projets ... jamais très loin des champs ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
11/24/202141 minutes, 46 seconds
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Eat's Business #35 | Le prosecco pas écolo, la plus grosse fraude au bio aux Etats-Unis et le raclette bowl

On parle aussi de la cancoillotte en route pour l'IGP, de la stratégie d'un des supermarchés préférés des français Grand Frais et de l'histoire de la plus grosse fraude au bio aux Etats-Unis. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
11/23/202129 minutes, 59 seconds
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Basics of Bouffe - Le café #2 | Le café de spécialité | Antoine Peron - Esperanza Café

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11/22/20214 minutes, 44 seconds
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Food Karma #17 | Edouard Bergeon – Réalisateur | Le lien de la terre à l'assiette

Ce nouvel épisode de Food Karma explore le lien de la terre à l’assiette aujourd’hui avec Edouard Bergeon. Celui-ci raconte à Beena l'aventure de son film, au Nom de la Terre, et de son nouveau livre, Cultivons-nous qui veut semer l'avenir. Il donne plein de conseils pour faire des choix judicieux dans son cabas afin de soutenir une agriculture plus vertueuse ! Edouard promeut une attitude constructive, qui met en avant tous ceux qui veulent faire progresser l'agriculture. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
11/18/202130 minutes, 57 seconds
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Eat's Business #34 | Le virage digital de Carrefour, 6 milliards de dollars pour stopper la faim dans le monde et les macarons Ladurée ne sont plus produits en France

On apprend également que Ladurée ne produit plus ses macarons en France, que la boulangerie hyper tendance Circus Bakery à Paris ne payait pas ses salariés et l’annonce inattendue de Joey Starr qui lance son propre magazine de cuisine. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
11/16/202125 minutes, 4 seconds
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Basics of Bouffe - Le café #1 | Les bases | Antoine Peron - Esperanza Café

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11/15/20213 minutes, 41 seconds
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Eat's Business #33 | La France pays d'agriculture durable, Café in vitro et l'Amazon du quinoa bowl

Nous évoquons aussi le café in-vitro, la dure réalité des producteurs de cacao et l’Amazon des bols de quinoa. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
11/9/202128 minutes, 18 seconds
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Basics of Bouffe - L'Italie #6 | Les desserts | Alessandra Pierini - RAP Epicerie

Dans cette nouvelle saison, on embarque pour l’Italie ! Et c’est Alessandra Pierini qui est notre guide . Alessandra est propriétaire de l’épicerie fine RAP, à Paris; la caverne d’Ali Baba des amoureux de l’Italie. Et on peut dire qu’elle en connait un rayon sur la cuisine de ce pays. Les secrets des pâtes, l’historique de la mozzarella ou encore les subtilités du parmesan… A travers 6 épisodes, on investigue les spécialités gourmandes italiennes, pour sans aucun doute devenir un expert en la matière !Pour retrouver Elisa sur Instagram : @rdvaukiosk  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
11/8/20216 minutes, 10 seconds
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Food Karma #16 | Nordine Labiadh | Le couscous, c'est la vie !

Le couscous, c'est sans doute, le plat populaire par excellence, délicieux et nourrissant. Il est souvent cité par les Français comme leur plat favori ! Nordine Labiadh nous raconte que le couscous est un plat de terroir, économique et écologique, que les nomades cuisinaient avec ce qu'ils avaient sous la main, sur un seul foyer. Nordine décripte les différences entre les couscous dans les différentes régions du Maghreb et nous parle du couscous royal, cette spécialité française au carrefour, qui incorpore les influences de plusieurs pays. Nordine nous donne tous ses tips pour que chacun puisse faire son couscous ! Pour lui, le choix des épices dans le couscous peut l'emmener dans de nombreux registres, de l’aphrodisiaque à l'endeuillé. Si vous aussi, vous voulez comprendre et vous approprier le couscous, c'est un épisode à écouter absolument ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
11/4/202129 minutes, 46 seconds
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Eat's Business #32 | La révolution du pain, les prix de l'alimentaire augmentent et les robots, nouveaux cuisiniers

Nous parlons aussi de ces start-up françaises qui ont pour cuistots... des robots. De Beyond meat qui a ses actions au plus bas, et du boeuf qui devient un produit de luxe au même titre que le champagne.  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
11/2/202131 minutes, 27 seconds
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Basics of Bouffe - L'Italie #5 | Le parmesan | Alessandra Pierini - RAP Epicerie

Dans cette nouvelle saison, on embarque pour l’Italie ! Et c’est Alessandra Pierini qui est notre guide . Alessandra est propriétaire de l’épicerie fine RAP, à Paris; la caverne d’Ali Baba des amoureux de l’Italie. Et on peut dire qu’elle en connait un rayon sur la cuisine de ce pays. Les secrets des pâtes, l’historique de la mozzarella ou encore les subtilités du parmesan… A travers 6 épisodes, on investigue les spécialités gourmandes italiennes, pour sans aucun doute devenir un expert en la matière !Pour retrouver Elisa sur Instagram : @rdvaukiosk Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
11/1/20216 minutes, 23 seconds
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Eat's Business #31 | L'agriculture intensive pour protéger la biodiversité, le Top10 des tendances food 2022 et l'entreprise Herta leader des charcutiers

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10/26/202139 minutes, 56 seconds
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Basics of Bouffe - L'Italie #4 | La mozzarella | Alessandra Pierini - RAP Epicerie

Dans cette nouvelle saison, on embarque pour l’Italie ! Et c’est Alessandra Pierini qui est notre guide . Alessandra est propriétaire de l’épicerie fine RAP, à Paris; la caverne d’Ali Baba des amoureux de l’Italie. Et on peut dire qu’elle en connait un rayon sur la cuisine de ce pays. Les secrets des pâtes, l’historique de la mozzarella ou encore les subtilités du parmesan… A travers 6 épisodes, on investigue les spécialités gourmandes italiennes, pour sans aucun doute devenir un expert en la matière !Pour retrouver Elisa sur Instagram : @rdvaukiosk Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
10/25/20218 minutes, 49 seconds
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Food Karma #15 | Mathilde Roellinger d'Epices Roellinger | Le goût des épices

Mathilde a ressenti le besoin de quitter sa robe d'avocat pour rejoindre le berceau familial de Cancale et apprendre l'art des épices à la française auprès de son père Olivier. Elle propose aujourd’hui ses propres créations comme la Poudre Botanique d'Eté, inspirée d'une émotion ou d'une atmosphère qu'elle a envie de raconter dans un mélange. Elle nous donne les clés pour choisir une épice en toute confiance. Elle est frappée par l'enthousiasme pour les épices engendrée par le confinement, reflet de l'envie de cuisiner et de voyager ! Elle nous raconte aussi comment beaucoup d'épices sont plus locales qu'on ne le pense ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
10/21/202131 minutes, 8 seconds
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Eat's Business #30 | 2 milliards d’euros pour l’alimentation, une histoire d’amour compliquée entre Carrefour et Auchan et la fin des emballages plastiques sur les fruits et légumes

 Aujourd’hui, on parle du marché de Rungis qui se digitalise de plus en plus, des pourboires par cartes bancaires qui seront défiscalisés d’ici 2022 et des cordons bleus bannis des cantines scolaires à Lyon.Dans cet épisode sont aussi évoqués les restaurants qui se lancent dans l’agroalimentaire et vice versa, du prix du pois qui explose mais aussi de la robotisation des vendanges en Italie. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
10/19/202130 minutes, 16 seconds
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Basics of Bouffe - L'Italie #3 | Le riz | Alessandra Pierini - RAP Epicerie

Dans cette nouvelle saison, on embarque pour l’Italie ! Et c’est Alessandra Pierini qui est notre guide . Alessandra est propriétaire de l’épicerie fine RAP, à Paris; la caverne d’Ali Baba des amoureux de l’Italie. Et on peut dire qu’elle en connait un rayon sur la cuisine de ce pays. Les secrets des pâtes, l’historique de la mozzarella ou encore les subtilités du parmesan… A travers 6 épisodes, on investigue les spécialités gourmandes italiennes, pour sans aucun doute devenir un expert en la matière !Pour contacter Elisa sur Instagram :  @rdvaukiosk Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
10/18/20218 minutes, 25 seconds
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Eat's Business #29 | Rungis devient une marketplace digitale, les pourboires défiscalisés et les cordons bleus bannis des cantines lyonnaises

Dans cet épisode sont aussi évoqués les restaurants qui se lancent dans l'agroalimentaire et vice versa, du prix du pois qui explose mais aussi de la robotisation des vendanges en Italie.  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
10/12/202131 minutes, 34 seconds
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Basics of Bouffe - L'Italie #2 | La pizza | Alessandra Pierini - RAP Epicerie

Dans cette nouvelle saison, on embarque pour l’Italie ! Et c’est Alessandra Pierini qui est notre guide . Alessandra est propriétaire de l’épicerie fine RAP, à Paris; la caverne d’Ali Baba des amoureux de l’Italie. Et on peut dire qu’elle en connait un rayon sur la cuisine de ce pays. Les secrets des pâtes, l’historique de la mozzarella ou encore les subtilités du parmesan… A travers 6 épisodes, on investigue les spécialités gourmandes italiennes, pour sans aucun doute devenir un expert en la matière !Pour retrouver Elisa sur Instagram : @rdvaukiosk  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
10/11/20216 minutes, 57 seconds
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Food Karma #14 | Gilles et Nicolas Verot - Maison Verot | La bonne charcuterie

La Maison Verot, c'est cinq points de vente à Paris, un à Londres, un à NY et un Toronto en association avec le chef Daniel Boulud. La savoir-faire de la maison, c'est avant tout, une passion et un goût du bien manger, de faire des produits bons, à la fois en termes de goût, d'élevage et de fabrication. Le prix d'une bonne charcuterie, c'est le prix juste pour payer le travail de l'éleveur, l'alimentation de l'animal, les collaborateurs qui réalisent un travail manuel minutieux. Gilles et Nicolas Verot ont eu à coeur de démocratiser leur démarche, à travers la publication d'un livre au Editions du Chêne, accessible à tout cuisinier débutant, sans accessoire ou ingrédient pointu ! La famille adore explorer de nouvelles saveurs et n'a pas hésité, par exemple, à mettre le banh mi en pâté en croûte avec la complicité gourmande de Céline et Julien Pham. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
10/7/202130 minutes, 23 seconds
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Basics of Bouffe - L'Italie #1 | Les pâtes | Alessandra Pierini - RAP Epicerie

Dans cette nouvelle saison, on embarque pour l’Italie ! Et c’est Alessandra Pierini qui est notre guide . Alessandra est propriétaire de l’épicerie fine RAP, à Paris; la caverne d’Ali Baba des amoureux de l’Italie. Et on peut dire qu’elle en connait un rayon sur la cuisine de ce pays. Les secrets des pâtes, l’historique de la mozzarella ou encore les subtilités du parmesan… A travers 6 épisodes, on investigue les spécialités gourmandes italiennes, pour sans aucun doute devenir un expert en la matière !Le premier épisode sur les pates est disponible dès maintenant, les suivants seront postés chaque semaine.Pour retrouver Elisa sur Instagram : @rdvaukiosk  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
10/4/20218 minutes, 37 seconds
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Eat's Business #28 | Spécial e-commerce alimentaire avec Epicery, PicNic et les marges pour la grande distribution, le Colza nouvel incontournable et le phénomène Poké Bowl - Avec la participation d’Edouard Morhange, fondateur d’Epicery

Nous allons également parler de l’importance du Colza dans la transition écologique, du phénomène du Poké Bowl et des vins en byodinamie.  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
9/28/202142 minutes, 49 seconds
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Basics of Bouffe - La Mer #12 | La filière pêche | Charles Guirriec - Poiscaille

Dans un format court, Elisa décrypte des thématiques autour de l’alimentation avec des experts, de manière ludique et très simple.Pour cette première saison, on s’immerge dans les fonds marins avec Charles Guirriec, le fondateur de Poiscaille, la poissonnerie responsable et durable. Ensemble, ils nous expliquent tout ce qu’il faut savoir pour comprendre les produits marins et les consommer de manière responsable . Les différentes techniques de pêche, les enjeux autour du saumon ou encore la saisonnalité de la moule et du homard. Devenez un expert de la mer avec Basics of Bouffe !Le premier épisode sur la pêche est disponible dès maintenant, les suivants seront postés chaque semaine. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
9/27/202112 minutes, 4 seconds
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Food Karma #13 | Laëtitia Van de Walle et Nina Michelet - Lamazuna | Adopter une démarche zéro déchet dans sa cuisine

Laëtitia et Nina nous donnent plein de conseils sur comment rendre son quotidien zéro déchet : notamment une journée zéro déchet dans sa salle de bain, le compost ou le vrac. Elles racontent comment fonctionnent leurs bureaux : eux aussi, sont zéro déchet et exemplaire. Lamazuna offre des formations pour les salariés pour se former à cette démarche. Aujourd'hui, Lamazuna se lance dans les produits pour la cuisine. Ils vont commencé à être distribués dans les prochains mois. Avec Beena, elles ont parlé des gestes du quotidien que chacun peu faire pour limiter les déchets dans le quotidien, pour que cela rentre dans le quotidien et que cela soit simple : les courses en vrac, le wrap à la place du film étirable dans la cuisine, tips pour faire son compost. Avec leur démarche, on peut réduire sa poubelle dans la cuisine à un sac que l'on vide une fois par mois ! Cela fait rêver, non ? Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
9/23/202126 minutes, 16 seconds
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Eat's Business #27 | Surplus de lait bio, abonnements pour les supermarchés et les donuts contre l'industrie du pétrole

Dans cet épisode est aussi évoqué la grande distribution qui passe à l’abonnement, ainsi que l’enseigne Marks & Spencer qui risque de quitter la France une nouvelle fois et les Donuts aux Etats-Unis qui font face à la concurrence de Biocarburants !  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
9/21/202127 minutes, 24 seconds
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Basics of Bouffe - La Mer #11 | Les huîtres | Charles Guirriec - Poiscaille

Dans un format court, Elisa décrypte des thématiques autour de l’alimentation avec des experts, de manière ludique et très simple.Pour cette première saison, on s’immerge dans les fonds marins avec Charles Guirriec, le fondateur de Poiscaille, la poissonnerie responsable et durable. Ensemble, ils nous expliquent tout ce qu’il faut savoir pour comprendre les produits marins et les consommer de manière responsable . Les différentes techniques de pêche, les enjeux autour du saumon ou encore la saisonnalité de la moule et du homard. Devenez un expert de la mer avec Basics of Bouffe !Le premier épisode sur la pêche est disponible dès maintenant, les suivants seront postés chaque semaine. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
9/20/202111 minutes, 1 second
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Eat's Business #26 | Néopaysans, nutrition personnalisée et Kouign Amman

Dans cet épisode, sont aussi évoqués les nouveautés concernant la loi Egalim 2, les conséquences du changement climatique sur la filière viticole et l'apparition de poulet artificiel sur une table étoilée.  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
9/14/202126 minutes, 12 seconds
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Basics of Bouffe - La Mer #10 | Les moules | Charles Guirriec - Poiscaille

Dans un format court, Elisa décrypte des thématiques autour de l’alimentation avec des experts, de manière ludique et très simple.Pour cette première saison, on s’immerge dans les fonds marins avec Charles Guirriec, le fondateur de Poiscaille, la poissonnerie responsable et durable. Ensemble, ils nous expliquent tout ce qu’il faut savoir pour comprendre les produits marins et les consommer de manière responsable . Les différentes techniques de pêche, les enjeux autour du saumon ou encore la saisonnalité de la moule et du homard. Devenez un expert de la mer avec Basics of Bouffe !Le premier épisode sur la pêche est disponible dès maintenant, les suivants seront postés chaque semaine. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
9/13/20217 minutes, 9 seconds
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Food Karma #12 | Noah Courtial | Produire des fruits bon, bio, locaux, pour toutes et tous !

Sur 100 hectares, les Coteaux Nantais produisent 40 variétés de pomme et 10 variétés de poire. Noah nous explique ce qu'est la biodynamie, qui est la technique utilisée dans tous leurs vergers. Les choix agricoles leur permettent de faire des économies significatives d'eau. Il a confiance dans la capacité des consommateurs à acheter de meilleurs produits. Les Coteaux Nantais ont investit dans des modes de cuisson sous pression, pour préserver l'intérêt nutritionnel des produits. Ils poussent leur engagement écologique jusqu’à refuser de faire un des best-sellers du marché, la gourde, et de proposer uniquement des emballages en vert. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
9/9/202130 minutes
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Eat's Business Spécial Eté | Champagne Russe , Carrefour investit dans Cajoo et foie gras en labo

Dans cet épisode, sont aussi évoqués l’apparition d’un label nutritionnel sur les bouteilles de vin, la vente, entre autres, de Tropicana à PAI Partners, d’une start up qui lève de nouveaux fonds pour des secondes peau de fruits et légumes et enfin nous parlerons du phénomène O’tacos. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
9/7/202126 minutes, 43 seconds
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Basics of Bouffe - La Mer #9 | Le homard | Charles Guirriec - Poiscaille

Dans un format court, Elisa décrypte des thématiques autour de l’alimentation avec des experts, de manière ludique et très simple.Pour cette première saison, on s’immerge dans les fonds marins avec Charles Guirriec, le fondateur de Poiscaille, la poissonnerie responsable et durable. Ensemble, ils nous expliquent tout ce qu’il faut savoir pour comprendre les produits marins et les consommer de manière responsable . Les différentes techniques de pêche, les enjeux autour du saumon ou encore la saisonnalité de la moule et du homard. Devenez un expert de la mer avec Basics of Bouffe !Le premier épisode sur la pêche est disponible dès maintenant, les suivants seront postés chaque semaine. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
9/6/20218 minutes
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Sur le Champ #11 | La rétro - innovation en transhumance | Olivier et Floé - Bergerie de Coucourde.

De ce perchoir à 2000m d’altitude, elles suivent le quotidien d’un binôme de bergers passionnés, de leur troupeau blanc aux bides bien arrondis, et de leurs chiens assidus et protecteurs. Ici, simplicité, précarité et authenticité rythment le quotidien. Le cirque du Morgon est leur salle de bain, leur petit coin et leur réserve à champignons.Marmottes, chamois, loups, brebis et randonneurs cohabitent dans ce parc Natura 2000.  Ce coup ci, c’est la retro-innovation qui a piqué leur curiosité ! Comment le métier ancestral de berger se réinvente et s’adapte aux nouveaux défis de son écosystème ? Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
9/1/202150 minutes, 24 seconds
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Basics of Bouffe - La Mer #8 | Les crevettes | Charles Guirriec - Poiscaille

Dans un format court, Elisa décrypte des thématiques autour de l’alimentation avec des experts, de manière ludique et très simple.Pour cette première saison, on s’immerge dans les fonds marins avec Charles Guirriec, le fondateur de Poiscaille, la poissonnerie responsable et durable. Ensemble, ils nous expliquent tout ce qu’il faut savoir pour comprendre les produits marins et les consommer de manière responsable . Les différentes techniques de pêche, les enjeux autour du saumon ou encore la saisonnalité de la moule et du homard. Devenez un expert de la mer avec Basics of Bouffe !Le premier épisode sur la pêche est disponible dès maintenant, les suivants seront postés chaque semaine. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
8/30/20217 minutes, 7 seconds
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Food Karma #11 | Pascale Weeks | Manger bon tous les jours grâce au batch cooking

Pascale Weeks est rédactrice en chef de 750 grammes, l'un des sites leaders de cuisine en France. L’auteure du fameux blog de cuisine « C’est moi qui l’ai fait ! » revient sur le succès de ses deux ouvrages sur le batch cooking parus en 2018 et 2019. Le batch cooking, c’est quoi au fait ? Avec Beena Paradin, Pascale explique les intérêts de cette méthode qui permet d’organiser des menus sans stress, tout en faisant des économies, et moins de gaspillage alimentaire.  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
8/26/202122 minutes
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Basics of Bouffe - La Mer #7 | Le thon | Charles Guirriec - Poiscaille

Dans un format court, Elisa décrypte des thématiques autour de l’alimentation avec des experts, de manière ludique et très simple.Pour cette première saison, on s’immerge dans les fonds marins avec Charles Guirriec, le fondateur de Poiscaille, la poissonnerie responsable et durable. Ensemble, ils nous expliquent tout ce qu’il faut savoir pour comprendre les produits marins et les consommer de manière responsable . Les différentes techniques de pêche, les enjeux autour du saumon ou encore la saisonnalité de la moule et du homard. Devenez un expert de la mer avec Basics of Bouffe !Le premier épisode sur la pêche est disponible dès maintenant, les suivants seront postés chaque semaine. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
8/23/202112 minutes, 55 seconds
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Basics of Bouffe - La Mer #6 | Le saumon | Charles Guirriec - Poiscaille

Dans un format court, Elisa décrypte des thématiques autour de l’alimentation avec des experts, de manière ludique et très simple.Pour cette première saison, on s’immerge dans les fonds marins avec Charles Guirriec, le fondateur de Poiscaille, la poissonnerie responsable et durable. Ensemble, ils nous expliquent tout ce qu’il faut savoir pour comprendre les produits marins et les consommer de manière responsable . Les différentes techniques de pêche, les enjeux autour du saumon ou encore la saisonnalité de la moule et du homard. Devenez un expert de la mer avec Basics of Bouffe !Le premier épisode sur la pêche est disponible dès maintenant, les suivants seront postés chaque semaine. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
8/16/20218 minutes, 39 seconds
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Basics of Bouffe - La Mer #5 | Les poissons ronds | Charles Guirriec - Poiscaille

Dans un format court, Elisa décrypte des thématiques autour de l’alimentation avec des experts, de manière ludique et très simple.Pour cette première saison, on s’immerge dans les fonds marins avec Charles Guirriec, le fondateur de Poiscaille, la poissonnerie responsable et durable. Ensemble, ils nous expliquent tout ce qu’il faut savoir pour comprendre les produits marins et les consommer de manière responsable . Les différentes techniques de pêche, les enjeux autour du saumon ou encore la saisonnalité de la moule et du homard. Devenez un expert de la mer avec Basics of Bouffe !Le premier épisode sur la pêche est disponible dès maintenant, les suivants seront postés chaque semaine. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
8/9/20218 minutes, 23 seconds
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Food Karma #10 | | Les Cuistots Migrateurs | La cuisine du monde hors des sentiers battus

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8/5/202126 minutes, 35 seconds
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Basics of Bouffe - La Mer #4 | Les poissons plats | Charles Guirriec - Poiscaille

Dans un format court, Elisa décrypte des thématiques autour de l’alimentation avec des experts, de manière ludique et très simple.Pour cette première saison, on s’immerge dans les fonds marins avec Charles Guirriec, le fondateur de Poiscaille, la poissonnerie responsable et durable. Ensemble, ils nous expliquent tout ce qu’il faut savoir pour comprendre les produits marins et les consommer de manière responsable . Les différentes techniques de pêche, les enjeux autour du saumon ou encore la saisonnalité de la moule et du homard. Devenez un expert de la mer avec Basics of Bouffe !Le premier épisode sur la pêche est disponible dès maintenant, les suivants seront postés chaque semaine. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
8/2/20216 minutes, 11 seconds
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Sur le Champ #10 | Une ferme d'intégration professionnelle | l'ESAT de la Haute Lande.

Pour l’avant-dernière étape de leur Tour de France, Ambre et Camille sont résidentes de l’ESAT de la Haute Lande, une ferme pas comme les autres, innovante humainement et très porteuse de sens.Casquette sur la tête et caméra en main, elles ont rejoint l’équipe de travailleurs sur l’atelier élevage, grandes cultures et maraîchage. Thomas, Patricia, et Bruno, les 3 moniteurs, encadrent ces derniers tous les jours avec patience, bienveillance, et rigueur. Le troupeau, constitué de 200 Bazadaises, race emblématique de la région, fait la fierté de l’équipe, et les trois hectares de maraîchage bio font le bonheur des habitants aux alentours.Mais ici, la terre qu'ils chérissent, rend bien plus que des légumes. Sa fertilité offre aux travailleurs en situation de handicap un lieu d’expression, de progression, de confiance et de reconnaissance par le travail.Les fruits de leurs efforts sont multicolores, aux saveurs d’épanouissement personnel, aux goûts professionnels et à la dégustation inoubliable. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
7/28/202139 minutes, 3 seconds
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Basics of Bouffe - La Mer #3 | L'élevage | Charles Guirriec - Poiscaille

Dans un format court, Elisa décrypte des thématiques autour de l’alimentation avec des experts, de manière ludique et très simple.Pour cette première saison, on s’immerge dans les fonds marins avec Charles Guirriec, le fondateur de Poiscaille, la poissonnerie responsable et durable. Ensemble, ils nous expliquent tout ce qu’il faut savoir pour comprendre les produits marins et les consommer de manière responsable . Les différentes techniques de pêche, les enjeux autour du saumon ou encore la saisonnalité de la moule et du homard. Devenez un expert de la mer avec Basics of Bouffe !Le premier épisode sur la pêche est disponible dès maintenant, les suivants seront postés chaque semaine. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
7/26/20217 minutes, 4 seconds
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Food Karma #9 | Laura Zavan – Auteure et styliste culinaire | La cuisine Italienne : pour mettre tout le monde d'accord

Une enfance à Trévise près de Venise, des cours de cuisine au Ritz et au Cordon Bleu à Paris pour mieux connaître le patrimoine français. La carrière de Laura Zavan s’amorce aux fourneaux de restos, puis elle devient styliste et auteure culinaire, avec plus d’une dizaine de livres produits. Dont sa "Balade gourmande en Italie" (éd. Mango), parue en 2019, qui rend compte de l’immense diversité alimentaire de la péninsule. Au micro de Beena Paradin, elle explicite les raisons du succès immense de la cuisine italienne dans le monde.La cuisine italienne a conquis le monde. La cuisine italienne, ce n'est pas que la pâte et la pizza : c'est aussi une très grande diversité dans la cuisine. L'imagination des migrants italiens a crée des plats à travers le monde, pour faire de la cuisine de la botte un goût mondialement partagé. Laura Zavan raconte cette formidable épopée dans ce neuvième épisode de Food Karma. Elle partage aussi plein de secrets pour faire une cuisine délicieuse dont l'équation magique pour faire des pâtes comme un Italien ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
7/22/202129 minutes, 59 seconds
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Basics of Bouffe - La Mer #2 | La pêche durable | Charles Guirriec - Poiscaille

Dans un format court, Elisa décrypte des thématiques autour de l’alimentation avec des experts, de manière ludique et très simple.Pour cette première saison, on s’immerge dans les fonds marins avec Charles Guirriec, le fondateur de Poiscaille, la poissonnerie responsable et durable. Ensemble, ils nous expliquent tout ce qu’il faut savoir pour comprendre les produits marins et les consommer de manière responsable . Les différentes techniques de pêche, les enjeux autour du saumon ou encore la saisonnalité de la moule et du homard. Devenez un expert de la mer avec Basics of Bouffe !Le premier épisode sur la pêche est disponible dès maintenant, les suivants seront postés chaque semaine. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
7/19/202111 minutes, 58 seconds
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Sur le Champ #9 | Elevage de chèvres, porcs et poules pondeuses | Emilie et Aurélien - La ferme des Cabrotins.

Le podcast qui donne la parole aux agriculteurs par Camille Fournier et Ambre Germain. Ambre et Camille mettent les bouchées doubles vers toujours plus de farfelu et de folies agricoles.Pour leur 9ème ferme, elles font étape dans le Jura, chez Émilie et Aurelien, un couple d’éleveur de chèvres, de porcs et de poules pondeuses. Mais ce n’est pas tout, ils transforment tout le lait du troupeau en fromages qui existent et qui n’existent pas. Ils confectionnent des petits frais, des bûches, des secs, demi-secs, pyramides cendrées, mais aussi des types reblochons, bleus, monts d’or, fêta, polinois, camemberts, tommes... L’innovation est le leitmotiv d’Aurelien qui invente et façonne en permanence des nouveaux fromages ! Emilie enchaine les marchés et ne cesse de surprendre les clients avec son étale bien garnie et 100% chèvres.Leurs 15 porcs valorisent le petit lait, co-produisent des fromages, et les poules fournissent des bons œufs frais plein air qui garnissent l’étale.Immergées dans leur petit mobile home, bercées par les bêlements des chèvres, les ronflements des cochons et le chant du coq, elles nous emmènent à la découverte d’une ferme pas comme les autres... « C’est simple, quand on veut faire de la qualité, il faut être dedans. On ne peut pas se dire je veux faire de la qualité et y être 1 heure par jour. »Pour en savoir plus sur La ferme des Cabrotins :https://www.la-ferme-des-cabrotins.fr/ Pour contacter Emilie et Aurélien :Par mail : contact@la-ferme-des-cabrotins.fr Pour contacter Camille Fournier et Ambre Germain :Sur le Champ 🌻 (@surlechamp2020) • Photos et vidéos Instagram   Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
7/14/202141 minutes, 46 seconds
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Basics of Bouffe - La Mer #1 | La pêche | Charles Guirriec - Poiscaille

Dans un format court, Elisa décrypte des thématiques autour de l’alimentation avec des experts, de manière ludique et très simple.Pour cette première saison, on s’immerge dans les fonds marins avec Charles Guirriec, le fondateur de Poiscaille, la poissonnerie responsable et durable. Ensemble, ils nous expliquent tout ce qu’il faut savoir pour comprendre les produits marins et les consommer de manière responsable . Les différentes techniques de pêche, les enjeux autour du saumon ou encore la saisonnalité de la moule et du homard. Devenez un expert de la mer avec Basics of Bouffe !Le premier épisode sur la pêche est disponible dès maintenant, les suivants seront postés chaque semaine. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
7/12/202111 minutes, 32 seconds
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Food Karma #8 | Boris Tavernier – Délégué général de l'association VRAC | Favoriser un accès démocratique à une alimentation bio et durable

Le podcast qui nous invite à agir dans la Bouffe par Beena Paradin Migotto La rencontre avec Boris TavernierComment favoriser un accès démocratique à une alimentation bio et durable ? L'alimentation demeure un marqueur d'inégalités sociales. Créée en 2013, l'association VRAC (Vers un Réseau d’Achat en Commun) favorise l'accès, dans les quartiers populaires des grandes villes, à des produits de qualité, aux prix très compétitifs. À la tête de l'association, Boris Tavernier a construit des groupements d'achats à Lyon, Strasbourg, Bordeaux, Toulouse, Paris. Une action qui se propage dans d'autres communes françaises. Il raconte l'aventure VRAC à Beena Paradin. « Les habitants des quartiers sont soucieux des producteurs. Il y a une solidarité dans la précarité qui m'a beaucoup touchée » Pour en savoir plus sur VRAC :https://vrac-asso.org/  Pour contacter Boris Tavernier:Boris Tavernier sur LinkedIn : https://fr.linkedin.com/in/boris-tavernier-910546104Boris Tavernier sur Instagram : https://instagram.com/boristavernier?utm_medium=copy_link  Pour découvrir l'origine du podcast de Beena Paradin Migotto :https://businessofbouffe.com/podcast/food-karma-0  Pour découvrir les épisodes de Food Karma :https://businessofbouffe.com/podcast-food-karma    Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
7/8/202123 minutes, 16 seconds
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Eat's Business #24 | EGalim 2, de la vanille au plastique et des aliments illégaux.

Eat's Business #24Dans ce nouvel épisode de Eat's Business, la revue de presse du Business de la Bouffe, Olivier Frey et Daniel Coutinho reviennent sur la publication de la loi EGalim 2, sur un procédé qui permet d'extraire de la vanilline à partir de plastique et sur les allégations santé illégales inscrites sur les aliments.Dans cet épisode, sont aussi évoqués la mort de travailleurs agricoles en Italie sous la chaleur et le coût réel d'une tasse de café. EGalim 2.0Vie publique, Loi Besson-Moreau rémunération des agriculteurs Egalim 2, 24/06/2021L'Assemblée nationale a adopté à l'unanimité la loi EGalim 2, aussi appelée Loi Besson-Moreau du nom du député qui a déposé le texte en mai 2021. Cette nouvelle proposition de loi complète la loi du 30 octobre 2018 dite EGAlim (pour rappel : loi pour l’équilibre des relations commerciales dans le secteur agricole et alimentaire et une alimentation saine, durable et accessible à tous), qui a notamment encadré les promotions et relevé le seuil de revente à perte des produits agricoles afin de lutter contre la guerre des prix. Mais cette loi n’a pas été suffisante pour améliorer de manière notable les revenus des agriculteurs. Cette loi EGalim 2 a donc pour but d’encadrer de façon beaucoup plus stricte les négociations tarifaires annuelles entre agriculteurs, industriels et distributeurs. Parmi les nouvelles mesures phares de cette loi, le texte impose notamment des contrats écrits et pluriannuels entre un producteur et son premier acheteur. Ces contrats devront être conclus pour trois ans minimum. Il s'agit là, Olivier, de permettre aux producteurs agricoles d’avoir plus de visibilité sur leurs ventes.Ce qui est bénéfique pour la rémunération des agriculteurs, c’est que des mécanismes de révision des prix dans les contrats sont prévus, pour que les agriculteurs puissent répercuter d'éventuelles hausses des coûts de production sur l’aval de la chaîne. Cela leur permet de ne plus être les seuls à subir l’inflation de leurs coûts. Ouest France, Un « rémunérascore » à l’étude pour afficher le revenu des agriculteurs sur les aliments, 17/06/2021Des députés LREM souhaitent mettre en place un « rémunérascore », qui consiste à apposer une note qui évalue la valeur du produit revenant à l’agriculteur.Ils souhaitent insérer ce dispositif dans la proposition de loi EGalim 2. Le 16 juin, ils ont notamment voté la mise en place d’une expérimentation de ce « rémunérascore » pour une durée de cinq ans. Plusieurs filières se sont d’ores et déjà déclarées candidates pour l’expérimenter.Petit message pour nos députés : plutôt qu’un énième logo à apposer sur le packaging pourquoi ne pas plutôt intégrer un volet rémunération dans une solution de traçabilité blockchain comme celles que proposent par exemple Connecting Food ou Tilkal ?  Le Figaro, Les distributeurs vent debout face à EGalim 2, 25/06/2021 + Les Echos La future loi Egalim 2 inquiète les PME agroalimentaires, 01/07/2021 + Challenges, Rémunération des agriculteurs: Lidl défend la loi Besson-Moreau, 30/06/2021La nouvelle loi EGalim ne plait pas à tout le monde, des voix discordantes s’élèvent du côté des distributeurs et industriels. La loi EGalim 1 avait échoué pour améliorer le revenu des agriculteurs et les nouvelles mesures visent à sanctuariser les prix agricoles qui pourront être répercutés en aval. Les industriels craignent d’être pris en étaux entre les prix agricoles qu’ils ne pourraient plus négocier en cas d’inflation, et des distributeurs qui refusent toute hausse de prix. Pour pallier cette crainte, la loi EGalim 2 introduit la non-discrimation des prix. C’est-à-dire que les industriels ne pourront plus proposer pour un même produit, des prix différents à des 2 distributeurs distincts. Mais ces dispositions pourront toujours être soumises à négociations. Un distributeur pourra obtenir une réduction, s’il commande un grand nombre d’articles, s’il place les produits en tête de gondole ou dans son catalogue. Cela ne plaît pas à certains distributeurs, qui restent sceptiques. D’après Jacques Creyssel, délégué général de la Fédération du commerce et de la distribution “une hausse injustifiée des prix de 10% ne pourra plus être négociée. Il y a un déséquilibre au profit de l’industrie et au détriment des consommateurs.” Michel-Edouard Leclerc s’est aussi exprimé en défaveur : “Un industriel pourrait proposer un produit plus cher en France qu’à l’étranger.” Même parmi les distributeurs, il n’y a pas de consensus. Michel Biero, gérant des achats de Lidl a exprimé son soutien à cette loi. Il avance que grâce à elle, les éleveurs, de lait notamment, pourront vivre dignement, grâce à la sanctuarisation des coûts de production. Les industriels sont aussi en désaccord avec ses propositions…les PME, s’inquiètent que les négociations prennent une autre forme, qui finira par favoriser les grands groupes internationaux.Là encore, EGalim 2, via un autre amendement adopté en séance, exige une négociation « ligne à ligne ». Chaque service doit être listé avec une valeur précise. Auparavant, les négociations s'effectuaient « à la louche », les prix bas étant justifiés par un paquet global de services. Et c’est justement ce que craint Dominique Amirault, président de la FEEF. Il avance que les PME n'ont pas les moyens d'acheter ces services qui vont souvent de pair avec de la publicité. Ils font des faibles volumes de ventes en comparaison des multinationales. Ils auront du mal à faire les investissements nécessaires pour garantir une visibilité dans les linéaires. Selon lui, ces petites marques finiront par disparaitre dans les rayons, derrière les marques internationales comme Nutella. A suivre donc... Mort de travailleurs agricolesLa republica (courrier international), Décès : la région des Pouilles interdit le travail dans les champs dans les heures les plus chaudes, 2706/2021Cet article relate un événement tragique : suite à la récente vague de chaleurs en Italie (avec des températures atteignant 44-45 degrés Celsius), un travailleur agricole migrant, Camara Fantamadi est décédé alors qu'il rentrait à vélo, après avoir travaillé pendant quatre heures dans une exploitation agricole, exposé au soleil. Un évènement tragique qui a suscité l’inquiétude des autorités.Cet épisode a donc poussé les autorités régionales à réagir. Michele Emiliano, président de la région, a décidé de prendre une mesure forte, puisqu’il a publié une ordonnance qui interdit le travail agricole en condition d’exposition prolongée au soleil, entre 12h30 et 16 heures, jusqu’au 31 août 2021. Cette mesure ne s’appliquera que les jours où le niveau de risque sera établi comme important. C’est une bonne nouvelle pour les travailleurs des champs de la région. En effet, cette dernière concentre un grand nombre d’exploitations (avec une production très importante de tomates), où sont souvent employés des migrants dans des conditions très difficiles. Il faut savoir que des milliers d'ouvriers agricoles, travailleurs migrants saisonniers sans contrat de travail, viennent en Italie, depuis l'Afrique et l'Europe de l'est pour ramasser des fruits et des légumes. Mal payés, ils vivent dans des conditions précaires et dans des campements de fortune.Beaucoup travaillent dans le cadre d'un système illégal connu sous le nom de «caporalato». Les ouvriers agricoles sont soumis à de longues heures de travail pour une rémunération bien inférieure au salaire minimum. Ces travailleurs migrants sont obligés de payer une somme à des «caporali» ou intermédiaires, parfois issus des mafias locales qui gèrent les squats, l'embauche quotidienne des ouvriers agricoles et leur transport vers les exploitations.Si l’interdiction de travailler pendant les heures chaudes est une bonne chose, malheureusement, ça ne suffira pas pour permettre aux travailleurs migrants d’avoir de bonnes conditions de travail. Le vrai coût d'une tasse de caféLe Figaro, De la plantation à la tasse au comptoir, le vrai prix du café, 28/06/21L’article retrace notamment le parcours que font les grains de café pour arriver jusqu’à votre tasse.Tout d’abord, les deux grands pays exportateurs de grains de café vers la France sont le Brésil (pour l’arabica) et le Vietnam (pour le robusta). Au niveau des tarifs, l’arabica brésilien s'échangeait aux alentours de 2€40 le kilo en mai 2021, soit environ le double du prix du robusta. Et, comme le précise Lionel Galut, directeur expertise chez Maxicoffee, “un café payé 2€40 est disponible directement et en masse mais n'offre pas de traçabilité précise”. Ainsi, pour un café d’origine certifiée, il faut compter autour de 5 euros le kilo. Une fois récolté, le café va passer par les mains d’un certain nombre d’intermédiaires. D’ailleurs comme le résume Alexandre Bellangé, le DG de Belco, “plus le producteur est petit, plus il va y avoir d'intermédiaires”.Lorsqu’il a été conditionné, le café est ensuite vendu à un torréfacteur qui va se charger de transformer la graine. A cet échelon, selon Lionel Galut, “le coût est d'environ 1 euro le kilo pour les plus gros industriels. Pour le petit artisan on sera plutôt à 5 euros”. Il faut également savoir qu’à ce stade, le café perd une partie de son poids initial car en chauffant le grain de café perd en humidité, ce qui induit une perte de matière de 18 à 20%.En ce qui concerne les coûts annexes comme le transport, le stockage et le financement, il faut ajouter selon Lionel Galut, 1 à 2 euros du kilo et cela va dépendre “du volume d'achat et de la taille des structures”. A cela il faut encore ajouter 1 euro du kilo si il y a un importateur dans la boucle.Mais finalement, comme l’explique Benoît Bertrand, chargé de la filière café au Cirad, “le gros de la valeur ajoutée est le marketing”. C’est pourquoi les capsules de café proposées par un géant de l’agroalimentaire affichent un prix de 86 euros au kilo.NB : Pour les amateurs de café qui aiment également les statistiques, vous pouvez aller voir ces graphiques que j’ai réalisés sur la production et les échanges de café dans le monde. Les alicaments illégauxLe Figaro, Tisanes, céréales, chocolat...Ces produits qui brandissent des allégations de santé non réglementaires, 21/06/2021D’après les résultats d’une enquête publiée cette semaine par la DGCCRF, 44% des denrées alimentaires présenteraient des anomalies en ce qui concerne les indications réglementaires. Ces produits mettent en avant des allégations santé et/ou thérapeutiques qui ne sont pas autorisées, du type “détox”, “la vitamine C augmente les défenses immunitaires” ou encore “s'utilise lors d'un rhume”. Comme le précise la DGCCRF, « cette enquête a ciblé les produits les plus susceptibles de porter des allégations de santé : infusions, thés, chocolats, céréales pour petit-déjeuner, produits de la ruche…».L’article rappelle par ailleurs, que “seules des listes positives d'allégations, répertoriées par la Commission Européenne peuvent normalement figurer sur ces produits de consommation”.La DGCCRF note qu’il y a une forte augmentation des cas d'anomalie. En effet, une étude identique avait eu lieu en 2016 et l’organisme avait trouvé un taux d'anomalie de 21%. Le communiqué de presse de la DGCCRF est disponible ici. De la vanilline dans le plastiqueThe Guardian, Scientists convert used plastic bottles into vanilla flavouring, 15/06/2021Alors que, comme nous l’apprend l’article, les plastiques perdent environ 95 % de leur valeur en tant que matériau après une seule utilisation, l’un des enjeux du recyclage est d’encourager une meilleure collecte et une meilleure utilisation de ces déchets.Pour ce faire, la science est une alliée. Ainsi, des chercheurs ont, dans un premier temps, mis au point des enzymes mutantes arrivant à décomposer le PET utilisé pour fabriquer les bouteilles en acide téréphtalique (AT). Ensuite, ils utilisent des bactéries E. coli génétiquement modifiées pour transformer l’acide téréphtalique en vanilline.La vanilline est largement utilisée dans les industries alimentaire et cosmétique et constitue un important produit chimique en vrac utilisé pour fabriquer des produits pharmaceutiques, des produits de nettoyage et des herbicides. La demande mondiale de vanilline est en hausse et s'élevait, en 2018, à 37 000 tonnes. De plus, environ 85 % de la vanilline est actuellement synthétisée à partir de produits chimiques dérivés de combustibles fossiles. Comme l’explique Joanna Sadler, de l'Université d'Édimbourg, “c'est le premier exemple d'utilisation d'un système biologique pour upcycler des déchets plastiques en un produit chimique industriel précieux”.  Découvrez l’émission Eat’s Businesshttps://businessofbouffe.com/podcast-eats-business  Pour vous abonner à la newsletter Eat’s Businesshttps://businessofbouffe.com/revue-de-presse-eats-business-newsletter   Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
7/6/202124 minutes, 54 seconds
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Basics of Bouffe #0 | Elisa Gautier - Basics of Bouffe | Le Podcast qui décortique la Bouffe

Le podcast qui décortique la bouffeAujourd'hui, nous avons le plaisir de vous présenter notre nouvelle émission "Basics of Bouffe" qui sera diffusée sur Business of Bouffe, chaque lundi matin, et animée par l'entrepreneure et restauratrice, Elisa Gautier.Il y a quelques mois, Elisa nous envoyait un message pour nous rencontrer et pitcher son projet d'émission : Basics of Bouffe. L'idée est de décrypter des thématiques autour de l'alimentation avec des experts, de manière ludique et très simple.De nombreuses thématiques seront abordées comme les produits de la mer, les labels, le vin nature, la cuisine italienne ou encore les différents types de cuisson. Chaque thématique fera l'objet d'une série, comprenant plusieurs épisodes, de moins de 10 minutes.Basics of Bouffe s'adresse au plus grand nombre et à tous ceux qui veulent en savoir plus sur le contenu de leurs assiettes ! À  écouter tous les lundis pour commencer la semaine avec les réponses aux questions que vous vous êtes sûrement posées un jour… « Finalement, le but est de pouvoir consommer de manière plus informée, car manger est un acte politique. » Pour contacter Elisa Gautierkiosk (@rdvaukiosk) • Photos et vidéos Instagram  Pour découvrir les épisodes de Basics of Bouffe :Basics of Bouffe | Business of Bouffe   Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
7/5/20215 minutes, 20 seconds
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Sur le Champ #8 | La ferme qui soigne | Babeth et Raphaël Colicci – Oleatherm

Révolution verte avec Raphaël Colicci, fondateur d'OleathermLa huitième étape d'Ambre et Camille se niche sur les hauteurs du Languedoc, la nature y foisonne, le printemps colore et pigmente progressivement les quatres coins de la ferme. Elles sont à Oleatherm, chez Babeth et Raphaël Colicci, qui ont quitté leur Bretagne et leur Italie natales pour venir s’installer ici, il y a 30 ans. Et à cette époque, ils étaient pris pour des fous, à vouloir faire pousser des oliviers et des fruitiers sur une terre rocheuse et stérile. Mais avec patience et persévérance, la biodiversité a fleuri, les arbres ont grandi, et Oleatherm est devenue une magnifique exploitation et une ferme qui soigne la Terre et l’Homme.Ce beau couple cultive oliviers, grenadiers, agrumes.. mais aussi de l'asimine, des feijoas, et d’autres noms farfelus qui doivent sonner comme du chinois pour vous, mais qui pour Raphaël représente le travail de toute une vie et un trésor inestimable.Tout leur travail est orienté vers la préservation d’une biodiversité qui soigne, l’entretien de ce merveilleux conservatoire et les soins dans leur centre de bien-être. Autant vous dire qu’ici, il fait bon vivre et qu'Ambre et Camille partagent un petit bout du rêve de ce couple inspirant. « Quand j'ai vu que les 600 premiers oliviers qui faisaient 30 centimètres ont pu subsister dans cet amas rocheux, je me suis dit qu'il y avait de l'espoir. » Pour en savoir plus sur Oléatherm :Oleatherm - Centre de bien-être - oleatherm.com  Pour contacter Babeth et Raphaël Colicci :Par e-mail : contact@oleatherm.comLa Ferme Qui Soigne Oleatherm (@la_ferme_qui_soigne) • Photos et vidéos Instagram  Pour contacter Camille Fournier et Ambre Germain :Sur le Champ 🌻 (@surlechamp2020) • Photos et vidéos Instagram   Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
6/30/202146 minutes, 42 seconds
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Food Karma #7 | Estérelle Payany – Journaliste | Lutter contre le gaspillage alimentaire en donnant une belle finalité aux restes

Estérelle Payany, journaliste, vient de publier chez Flammarion La Cuisine des Beaux Restes. Ce livre permet d'apporter au quotidien sa contribution en limitant le gaspillage alimentaire dans sa cuisine. Estérelle y partage son savoir-faire pour mieux gérer ses quantités et lorsqu'il y a des restes, leur trouver une belle finalité ! Pour elle, le reste n'est pas une angoisse mais une joie, la promesse d'un nouveau plat à construire. Elle dit la fierté à faire mieux avec moins et la satisfaction à voir sa poubelle se réduire ! Après avoir écouté cet épisode, vous ne regarderez plus votre frigo de la même façon !  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
6/24/202127 minutes, 14 seconds
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Eat's Business #23 | Anti Nutri-Score, guerre de la saucisse et vrac-washing ? | avec la participation de Kelly Frank, co-fondatrice de Siga

Eat's Business #23Dans ce nouvel épisode de Eat's Business, la revue de presse du Business de la Bouffe, Olivier Frey et Daniel Coutinho reviennent sur les détracteurs du Nutri -Score avec la co-fondatrice de Siga Kelly Frank, sur la guerre de la saucisse sous fond de Brexit et sur l'emballement des marques pour le vrac. Dans cet épisode, sont aussi évoqués les transformations du groupe Bel, le développement de la technologie dans l'apiculture et les caves à vins connectées. Les opposants au Nutri-Score20 Minutes, Occitanie : Le logo Nutri-Score menace-t-il les produits du terroir sous label ?, 18/05/2021Alors qu’un Rocamadour ou du jambon de porc noir de Bigorre obtiennent un Nutriscore peu flatteur de D ou E, un soda light plein d’édulcorants affiche pour sa part un B. C’est le cas également d’un fromage emblématique : le roquefort. Pour Jérôme Faramond, le vice-président de la Confédération générale de Roquefort, « A la base, Nutri-Score a été créé pour les plats cuisinés, pour évaluer les produits transformés. Des progrès sur la valeur nutritionnelle du Roquefort, il n’y en aura pas. Il a déjà des qualités, des apports en calcium, dont Nutri-Score tient très peu compte, alors qu’il met en avant les acides gras. Le lait cru qui entre dans sa fabrication est notre fierté, il respecte la tradition et le terroir ».Cette situation fait donc réagir les députés de l’Occitanie, région dans laquelle on trouve de nombreux produits du terroir. De plus, les producteurs de produits labellisés, réunis au sein de l’lnstitut régional de la qualité alimentaire d’Occitanie (Irqualim), ont décidé de monter au créneau pour demander à la Commission européenne à être exemptés de ce système d’étiquetage.The Conversation, Lobbying et alimentation : les « aliments traditionnels », le nouvel argument des anti-Nutri-score, 10/06/2021Dans cet article, Serge Hercberg, qui est à l’origine du Nutriscore, et certains de ses collègues répondent aux arguments des défenseurs des produits locaux vis à vis du système de notation. En effet, ils estiment que “cette tentative d’opposer Nutri-score à un modèle alimentaire traditionnel (…) correspond à une stratégie de désinformation”. Pour les auteurs, “en mettant en avant le fait que les charcuteries et les fromages font partie du paysage culinaire et gastronomique d’une région ou d’un pays”, “les lobbys cherchent (…) à entretenir une confusion dans l’esprit du public”.Selon eux, le phénomène décrit dans l’article précédent n’est pas nouveau mais s’observe dans plusieurs autres pays européens, dont l’Italie et l’Espagne où il y a, selon eux, “l’émergence de nouvelles actions de lobbying anti-Nutri-score”.Ainsi, ils admettent qu’au sein des charcuteries et des fromages, “une grande partie se trouve classée D et E, en raison de leur teneur élevée en acides gras saturés et en sel, ainsi que de leur forte densité calorique”. Néanmoins, selon eux, “il ne s’agit cependant pas d’une pénalisation intentionnelle ou nouvelle : le classement est opéré en toute transparence et objectivité sur la base des données de composition de ces produits. Le Nutri-score ne fait que traduire de façon synthétique les informations de l’étiquette nutritionnelle obligatoire qui existait avant lui”.Par ailleurs, les auteurs mettent en avant le fait que le Nutri-score ne s’oppose pas au régime alimentaire de type méditerranéen qui fait la part belle aux fromages, à la charcuterie ainsi qu’à l’huile d’olive car, selon eux, le Nutri-score “classe plus favorablement tous les aliments qui sont pauvres en gras, sucre ou sel, et riches en fibres, fruits et légumes, légumineuses et fruits secs à coque. Autrement dit, les éléments principaux de l’alimentation méditerranéenne”. De plus, en attribuant un score de C à l’huile d’olive, il la classe “dans la meilleure catégorie possible pour les matières grasses ajoutées”. Les auteurs précisent d’ailleurs, qu’“aucune huile n’est classée A ou B, du fait de leur composition, il s’agit d’un produit composé à 100 % de matière grasse”. Une Bel transformation en vueLes Echos, « Il faut sortir de la seule logique du profit », tranche le patron de La vache qui rit, 11/06/2021Dans cette longue interview d’Antoine Fievet, le PDG du groupe Bel, celui-ci met en avant une vision originale de ce que doit être une entreprise à l’avenir.Il s’est notamment exprimé sur les attentes des consommateurs. Selon lui, certaines ne sont pas atteignables de suite. Ainsi, comme il l’explique, “On nous demande d'être à la fois extrêmement responsables sur le plan écologique, d'avoir un passeport nutritionnel le plus sain possible, des produits les moins transformés possible qui se conservent en dehors du réfrigérateur, tout en étant le moins cher possible”. Pour se conformer à ces demandes multiples “cela suppose d'innover et prend du temps” car une entreprise comme Bel n’est pas “pas en mesure de changer toutes (ses) lignes de production du jour au lendemain”. Il revient également sur le Nutriscore. Et selon lui, “c'est en partie le gras qui donne son goût au fromage et dans l'alimentation” et comme “le goût reste un élément très important” forcément le gras influe sur le score Nutriscore. Par ailleurs, il rappelle que le Nutriscore se base sur “des portions de 100 grammes quel que soit le produit que vous consommiez”. Or, comme il l’explique, “100 grammes chez Bel, cela correspond par exemple à 5 Babybel” et “personne ne mange 5 Babybel par jour !”.Mais surtout, il donne une vision nouvelle de la responsabilité d’une entreprise. Ainsi, il précise la manière dont son groupe contribue à développer une filière laitière plus durable. Comme il l’affirme, “on ne peut pas se satisfaire de voir un monde agricole qui souffre et qui ne suscite plus de vocations, des entreprises agroalimentaires à la peine et une grande distribution qui cherche trop à ne se différencier que par le prix et qui ne roule pas sur l'or”. Ainsi, il faut selon lui “sortir de la seule logique de profit, sinon nous allons nous autodétruire”. Le développement du vrac en grande distributionLe Figaro, Les marques se mettent au vrac… à tâtons, 13/06/2021Focus sur ces grandes marques qui développent le vrac en test dans certains supermarchés, notamment chez Franprix ou Day by Day. Qu’ils s’agissent de Panzani, Kellogg's, Benenuts, Carte noire, Ebly, Uncle Bens, Taureau ailé… toutes essaient de se lancer dans le vrac.Comme l’explique l’article, “conscientes de l'attrait des consommateurs pour ce mode de distribution et leur volonté de réduire l'impact environnemental des produits qu'ils consomment, les grandes marques se mettent aussi au vrac petit à petit”.Ainsi, Lustucru et Michel et Augustin ont fait leur arrivée chez Day by Day. Et, selon l’article leur objectif est de « tester l'intérêt et la réponse des consommateurs, ainsi que le modèle économique ».Mais pour les marques il s’agit de se réinventer pour attirer les clients car elles se retrouvent de fait “privées de leur support favori de communication (l'emballage)”. Une autre difficulté mise en avant : la taille des meubles en magasin limite le nombre de références dans les linéaires. Enfin les coûts logistiques augmentent car il y a des étapes supplémentaires (contenants dédiés...) alors que les produits en vrac doivent “par souci de cohérence” être vendus moins cher que les produits emballés. Et tout cela pèse évidemment sur les marges des industriels.Autres problèmes cette fois-ci côté distributeur : la rotation des produits et en moyenne trois fois plus faible que pour les produits emballés, il faut aussi prévoir de la main-d'oeuvre supplémentaire pour approvisionner et laver les bacs ou encore ramasser les produits tombés par terre. La saucisse se noie dans la MancheLe Figaro, La « guerre de la saucisse » jette un froid entre Londres et les Européens, 13/06/2021Eh oui, la saucisse peut aussi être source de gastrodiplomatie.Dans ce cas précis, la saucisse est au cœur de l’accord du Brexit et de son application. En effet, l’article nous explique que l’Angleterre refuse pour le moment de mettre en place les contrôles sur certaines marchandises, notamment la viande réfrigérée. En effet, le pays affirme que cela pourrait faire disparaître les saucisses et nuggets de poulets britanniques des rayons des supermarchés nord-irlandais. Boris Johnson a même lancé à Emmanuel Macron : «  Comment le prendrais-tu si la justice française t'empêchait de transporter des saucisses de Toulouse à Paris » ? Ce à quoi le président français aurait répondu que cela ne pouvait pas arriver « puisque Paris et Toulouse font partie du même pays ». Et évidemment les Anglais l’ont mal pris… La technologie pollinise les ruchesBBC, Tech firms use remote monitoring to help honey bees, 14/06/2021Un article qui s’intéresse aux startups dédiées à l’apiculture.C’est le cas par exemple de Best Bees, qui installe des ruches sur des propriétés commerciales et résidentielles. Pour surveiller la santé de ses colonies d’abeilles, l’entreprise utilise un système logiciel avancé. Les données sont ensuite partagées avec des chercheurs de l'université de Harvard et du MIT, afin de les aider à mieux comprendre la situation critique des insectes. Best Bees est rémunéré par les propriétaires et les entreprises, récolte et met en bouteille le miel pour qu'ils le conservent.De son côté, la startup irlandaise ApisProtect, fabrique des capteurs sans fil disposés à l'intérieur des ruches et qui collectent et transmettent des données à un "tableau de bord" en ligne. Comme l’explique Fiona Edwards Murphy, la directrice générale “nous recueillons des données sur la température, l'humidité, le son et l'accélération [des abeilles qui s'envolent de la ruche]”. Elle précise ainsi que cela permet de dire à l’apiculteur “quelles ruches sont en croissance et quelles ruches sont en décroissance, ou quelles ruches sont vivantes et quelles ruches sont mortes”.La startup israélienne Beewise vise à réduire encore davantage le besoin d'intervention humaine. Elle a créé "Beehome", une sorte de grande boîte alimentée par l'énergie solaire qui peut abriter 24 ruches distinctes. Capable de fonctionner de manière autonome ou via une application sur le téléphone ou la tablette de l'apiculteur, chaque Beehome est équipée d'un ensemble de caméras, de capteurs et de bras robotisés qui prennent en charge les actions qui, autrement, nécessiteraient une intervention humaine. Ainsi, grâce à ce système, les seules actions nécessitant une intervention humaine sont de s'assurer que les abeilles ont accès à une source de nourriture et d'eau, et d'aller récupérer le miel récolté par la machine.Enfin, l’article mentionne un projet de technologie apicole encore plus futuriste. Il s’agit du projet paneuropéen Hiveopolis, qui étudie la possibilité de placer de minuscules robots "dansants" à l'intérieur des ruches pour influencer le comportement des abeilles. La high-tech du vin voit le verre à moitié pleinL’Obs, Quand le high-tech met le vin en bouteille, 09/06/2021Un article qui fait le point sur les avancées technologiques dans le secteur du vin. En effet, comme l’explique l’article, les accessoires connectés liés au vin se sont multipliés en quelques années. Et, suite aux confinements successifs, Dominique Gandy, directeur d'activité « Blanc et Cuisine » pour Fnac Darty explique que « l'électroménager plaisir est très en vogue et a même connu en 2020 une apogée ». Ainsi, les caves à vin connectées ont, par exemple, vu leurs ventes s’envoler de 316 %.Dernière née dans ce domaine, la cave Ecellar 185 de La Sommelière, intelligente et made in France. Cette dernière est directement pilotable depuis son smartphone. Elle peut accueillir jusqu'à 185 bouteilles, avec, à chaque emplacement, un capteur relié à une application dédiée (Vinotag). Ainsi, chaque ajout ou retrait d'un vin est automatiquement détecté et indiqué sur son smartphone. Il est donc possible de connaître graphiquement et en temps réel le contenu de sa cave.  Découvrez l’émission Eat’s Businesshttps://businessofbouffe.com/podcast-eats-business  Pour vous abonner à la newsletter Eat’s Businesshttps://businessofbouffe.com/revue-de-presse-eats-business-newsletter   Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
6/22/202144 minutes, 43 seconds
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Concours Podcast #0 | Émilie Laystary, Léo Corcelli, Beena Paradin Migotto, Olivier Frey et Daniel Coutinho racontent leur expérience podcast + les règles du concours

Et si vous deveniez animateur de votre propre émission sur Business of Bouffe ?Nous lançons le premier concours de podcast 100% dédié à la Bouffe ! Dans cet épisode, on vous explique tout ce que vous devez savoir pour participer : conditions de participation, critères de sélection, planning, jury, gain, etc. Et pour que vous ayez toutes les cartes en main avant de vous lancer dans l’aventure, on a demandé à notre jury d’experts et passionnés de Bouffe de nous raconter leur expérience podcast. Les plus et les moins du format, les qualités pour devenir un bon podcasteur, les conseils pour se lancer … notre jury composé des animateurs de Business of Bouffe Olivier Frey, Beena Paradin et Daniel Coutinho ainsi que des podcasteurs Emilie Laystary et Léo Corcelli, vous dévoile tout ! A vos micros, on a hâte d’écouter vos créations ! 😉 « J'aime que le format du podcast soit celui de la discussion fleuve et que chacun puisse participer en toute légitimité » Pour en savoir plus sur le Concours Podcast :Le concours podcast 100% dédié à la Bouffe : https://businessofbouffe.com/concourspodcast Pour découvrir les podcasts du jury :Bouffons par Émilie Laystary : https://nouvellesecoutes.fr/podcast/bouffons/Tomorrow Food par Léo Corcelli : https://www.instagram.com/tomorrow.food/?hl=frEat's Business par Olivier Frey et Daniel Coutinho : https://businessofbouffe.com/podcast-eats-businessFood Karma par Beena Paradin Migotto : https://businessofbouffe.com/podcast-food-karmaBusiness of Bouffe : https://businessofbouffe.com/le-podcast-food-business  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
6/17/202126 minutes, 51 seconds
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Eat's Business #22 | 100% Français au restaurant, AXA VS les restaurateurs et le durian, un fruit épineux | avec la participation de Victor Mercier

Eat's Business #22Dans ce nouvel épisode de Eat's Business, la revue de presse du Business de la Bouffe, Olivier Frey et Daniel Coutinho reviennent sur la composition des cartes de restaurants, pas 100% françaises avec le chef Victor Mercier de FIEF, sur l'annonce d'AXA qui va indemniser 15 000 restaurateurs suite aux déconvenues de la crise sanitaire et le fruit exotique durian, sujet à discordes.Dans cet épisode, sont aussi évoqués la consommation d'avocats aux Etats-Unis toujours à la hausse, le succès du Spritz et un tour d'horizon des plateformes de livraison rapide à domicile. Pourquoi ne mange-t-on pas Français au restaurant ?Le Figaro, Pourquoi les restaurateurs ne jouent pas toujours la carte du 100% français, 01/06/2021On répète souvent aux consommateurs français de privilégier le made in France, mais force est de constater que les origines des viandes affichées dans les restaurants sont plus souvent irlandaises ou allemandes que françaises. Ce constat a d’ailleurs été mis en avant par Emmanuel Macron le 18 mai dernier lorsqu’il affirmait que “les tables françaises de la restauration servent à plus de 60% de la viande qui n'est pas française”.Les premiers fautifs selon l’article seraient les grossistes, et en premier lieu Metro, car '“les restaurateurs sont orientés par les propositions des fournisseurs et grossistes”. L’article précise toutefois que Metro “s'est engagé depuis 2020 dans une démarche de valorisation des produits hexagonaux”. Autre difficulté : la saisonnalité des productions. Ainsi, les tomates et les salades proposées sont à 90% françaises entre avril et octobre et l'offre de fruits et légumes est en général française à 60%. Pour Laurent Frechet, président de la branche restauration au GNI, afin de limiter les coûts des produits français “il suffit de travailler avec des produits de saison et pour cela il ne faut pas démarrer trop tôt”. Il explique ainsi que “les asperges, au début de saison sont à 35 euros le kilo, mais elles tombent à 7 ou 8 euros une fois la saison lancée”. Par conséquent “si on a une carte adaptée, cela ne coûte pas plus cher”.Michael Gautier patron du restaurant «Les Françaises» à Paris, et qui travaille à 100% en viandes françaises, propose de son côté la création d’« un label qui dit qu'on a une certaine part de produits français dans nos assiettes ». Toujours selon lui, il y a le problème des appellations. Ainsi, “entre une planche de Pata Negra et un porc noir de Bigorre, les gens vont choisir le premier”.  Du côté de la restauration collective, il y a une contrainte budgétaire qui “oriente fortement la recherche des produits”. L’article précise également que “pour les clients publics, il n'est pas autorisé de choisir explicitement un produit du fait de son origine géographique, en raison des règles de concurrence élaborées au niveau européen”. AXA VS Les restaurateursLe Monde, Axa France va débloquer une enveloppe de 300 millions d’euros pour 15 000 restaurateurs, 10/06/2021Pendant le premier confinement, nous avions suivi de près les échanges entre restaurateurs et assureurs. On rappelle que les assureurs, notamment AXA, disaient ne pas pouvoir indemniser les restaurateurs pendant la fermeture. Le chef de l'Ami Jean, Stéphane Jégo, avait beaucoup fait parlé de lui avec sa pétition, adressée directement à Bruno Le Maire, ministre de l'économie. Dans cette dernière, il militait pour que l'état de catastrophe naturelle sanitaire soit déclaré par les assurances. Malheureusement, son amendement a été rapidement débouté devant l'Assemblée Nationale.On avait aussi vu et entendu le restaurateur Stéphane Manigold se défendre contre AXA. Il a mené un véritable travail d'enquête pour démontrer que les assurances avaient les moyens d'indemniser les restaurants et qu'elles étaient même contraintes et obligées, selon une clause du contrat. Le tribunal de Paris a fini par lui donner raison. Cette décision a eu un retentissement international. Elle a été reprise par le New York Times, mais aussi en Espagne et Angleterre, jusqu'en Afrique du Sud.Finalement, AXA est revenu sur ses positions. L'assureur vient d'annoncer qu'il débloque 300 millions d'euros pour 15 000 de ses clients restaurateurs, pour éponger les dettes et les pertes dues à la crise sanitaire, soit environ 20 000 euros par restaurateur. Le directeur général d'AXA a déclaré sur Europe 1 : "Il est important de mettre derrière nous ces difficultés, le flou judiciaire qu'on a vécu dans le dossier des restaurateurs."Le groupe AXA enregistre au total 1 500 procédures judiciaires du même acabit. De plus, les 300 millions débloqués ne sont pas une indemnisation, mais une transaction. Si les clients acceptent l'argent, ils devront aussi renoncer à toutes actions en justice contre l'assureur. Les premiers paiements vont arriver rapidement, dès le mois de juin et s'échelonner jusqu'au mois de septembre. La surenchère des start-up de livraison rapideLSA, Embouteillage dans la livraison à domicile express (23 acteurs à la loupe), 03/06/2021Un article de LSA qui fait le point sur le maquis des acteurs du Q-commerce et de la livraison de courses à domicile.L’article rappelle un chiffre : en 2020, les courses alimentaires livrées à domicile ont bondi de 45 %. Mais, rapporté au global, la livraison à domicile ne représentait, en février 2021, que 0,5 % des achats alimentaires.Et comme l’explique Matthieu Vincent de DigitalFoodLab,  «  la rapidité de déploiement de ces start-up est étonnante. On remarque, en outre, qu’elles attirent dès leur création des investisseurs étrangers, ce qui est plutôt rare ». En moins d’un an d’existence Gorillas est ainsi devenue une licorne.LSA segmente les business models des entreprises de livraison de courses en plusieurs types :Celles reposant sur des “dark stores” comme Gorillas, Cajoo, Flink, Dija, Weezy et GetirCelles qui ont un assortiment plus vaste et proposent des temps de livraison supérieurs aux 10 minutes promises par la plupart des entreprises de la catégorie précédente. C’est le cas de Picnic, La Belle Vie ou encore mon-marché.fr.Celles qui proposent de la livraison collaborative, à l’instar de Everli.Celles qui sont des prestataires de livraison, par exemple pour la grande distribution, comme Deliveroo, Uber Eats et Frichti.  L'avocat a encore des beaux jours devant luiFood Navigator, Avocado consumption climbs with plenty of headroom for growth ahead, says Rabobank, 01/06/2021Un article déniché par Céline Laisney.Selon un rapport de Rabobank, la consommation d'avocats aux États-Unis a atteint des record en début d’année grâce à la reprise de l’économie ainsi qu’une perception toujours positive de l’avocat en tant que super aliment à la mode. Ainsi, les expéditions mensuelles d'avocats sur le marché américain en janvier 2021, ont enregistré une croissance en volume de 33 % par rapport à janvier 2020.La consommation d'avocats par habitant a augmenté à un taux de croissance annuel moyen de 8 % au cours de la dernière décennie. En 2010, la consommation d'avocats par habitant aux États-Unis était d'environ 4 livres, en 2018 elle était proche de 8,5 livres et Rabobank estime que ce chiffre pourrait dépasser 11 livres par personne d'ici 2026.Pour ceux qui veulent aller plus loin sur l’avocat, je vous invite à lire cet article que nous avons co-écrit avec Céline Laisney dans l’édition 2021 du Déméter. Le durian : un fruit polémiqueFinancial Times, The durian fruit, redeemed, 02/06/2021Un article qui s’intéresse à fruit que l’on ne trouve quasiment qu’en Asie et qui a une assez mauvaise réputation dans les pays occidentaux : le durian.Il s’agit d’un gros fruit vert, en forme de ballon de rugby et qui est originaire de Malaisie, d'Indonésie et de Brunei. Le durian est également cultivé en Thaïlande ou au Vietnam. Surnommé le "roi des fruits", il peut peser jusqu'à 4 kg et est couvert de pointes ("duri" signifie épine en malais).Ce fruit a une saveur complexe. Au 19è siècle, l'explorateur britannique Alfred Russell Wallace affirmait qu'il s'agissait du fruit parfait pour la "douceur gluante" de sa pulpe, qui ressemble à "une crème riche, semblable à du beurre, fortement aromatisée aux amandes [et entremêlée d'odeurs de] crème au fromage, de sauce aux oignons, de sherry brun et d'autres incongruités".Mais ce qui fait le plus débat à propos du durian est son odeur. D’ailleurs l’article précise que “la façon dont le fruit et son arôme sont présentés en Occident est devenue un sujet de discorde majeur”. Un article paru dans le New York Times en 2020 va même jusqu’à affirmer qu'il "pue la mort". A tel point que de nombreux asiatiques y voient tout simplement du racisme. Pour l'écrivaine gastronomique Anna Sulan Masing, “vous pouvez écrire que le durian n'est pas une saveur que vous aimez, comme vous pourriez le faire pour le roquefort. Et parler de la complexité de sa saveur. Mais c'est rarement fait comme ça. C'est plus souvent une excuse pour écrire des choses subtilement racistes”. Elle précise d’ailleurs que c'est une des raisons pour lesquelles la diaspora d'Asie du Sud-Est s'accroche au durian car “il y a un sentiment de réappropriation”. Le Spritz : un cocktail plébiscitéL’Opinion, « La guerre du Spritz aura-t-elle lieu ? », 04/06/2021Un article consacré à cet apéritif italien orange, que l’on trouve désormais dans tous les bars dignes de ce nom (et à des prix parfois exhorbitants).Tout commence au début des années 2000 lorsque l’entreprise Campari fait l’acquisition de Barbero, qui possède entre autres la marque Aperol. Comme l’explique Sébastien Abis, pour Campari, l’objectif est aussi et surtout de promouvoir un cocktail mixant ses liqueurs avec de l’eau gazeuse et du vin effervescent.Et pour accroître la notoriété du Spritz, Campari va mettre les moyens avec “opérations de séduction innovantes sur les places des grandes villes italiennes” ou “publicités spectaculaires à grand renfort de stars internationales du cinéma” mais également “création de festivals de musique de très haut niveau entièrement labellisés”. Et même s’il existe plusieurs variantes du Spritz (Campari Spritz, Select Spritz ou Aperol Spritz), c’est l’Aperol Spritz qui est la locomotive car il a un goût plus léger et est donc plus accessible.Et dans le Spritz, l’Aperol est désormais indissociable du prosecco (dont nous parlions il y a quelques semaines). Comme l’explique Sébastien Abis, le prosecco était, jusqu’au succès du Spritz, “méconnu en dehors des milieux professionnels et de sa zone géographique en Vénétie”. Désormais il fait même de l’ombre au champagne. D’ailleurs, en réponse, LVMH vient de lancer Chandon Garden Spritz.  Découvrez l’émission Eat’s Businesshttps://businessofbouffe.com/podcast-eats-business  Pour vous abonner à la newsletter Eat’s Businesshttps://businessofbouffe.com/revue-de-presse-eats-business-newsletter   Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
6/15/202142 minutes, 38 seconds
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Business of Bouffe #37 | Alexandre Cammas - Fooding | L’histoire d'un mouvement qui dépoussière la bouffe avec "le goût de l'époque"

La rencontre avec Alexandre Cammas, fondateur du FoodingAujourd’hui, Alexandre Cammas, fondateur du guide d’hôtellerie-restauration et média événementiel, prescripteur du « goût de l’époque », Le Fooding, est avec Daniel Coutinho, Raphaële Marchal et Léo Corcelli. Ensemble, c’est 20 ans d’histoire que nous parcourons.Comme bon nombre de ses homologues auvergnats de Paris et membres de sa famille, Alexandre Cammas intègre une école hôtelière après le bac, sans grande conviction. Elle lui donne cependant l’envie de devenir un gentil rebelle, trublion et agitateur de la cuisine française. Mais ce qui anime réellement le jeune homme, c’est la pop culture à la sauce Nova Mag et Radio, co-fondés par son mentor, Jean-François Bizot. Au début des années 1990, il écume cuisines et salles de cafés pour appréhender le métier. Mais l’évidence lui apparaît rapidement : il ne se destine pas à une carrière de cafetiers. En parallèle de ses services, il publie des chroniques dans Gault et Millau, Libération, Le Journal du Dimanche, où il affirme son style et sa liberté. Mais il découvre aussi un microcosme qu’il juge poussiéreux, dans lequel les critiques manquent de déontologie, ne règlent pas leurs additions et où les grands chefs ont pignon sur rue et occupent toute la scène. Il finit par se consacrer au journalisme, ce qui l’amène à voyager à Londres à la fin des années 1990 pour découvrir la New British Food, une cuisine sexy, jeune, créative, goûtue, branchée et vivante qui n’existe pas encore à Paris. À une époque où tous les arts font leur révolution, la bouffe doit s’y mettre aussi. De retour à Paris, il s’attèle à dépeindre et valoriser des restaurants et chefs originaux comme Frédérik Grasser Hermé qui propose du poulet au coca, Paul Pairet et son Café Mosaic ou Alain Ducasse et le Spoon dans les pages restaurants de Nova Mag. La naissance du Fooding avec Emmanuel Rubin et Julie AndrieuAlexandre Cammas revient dans cet épisode sur la naissance du Fooding. Lors d’un bouclage du supplément Nova Mag il trouve une rime pour décrire ces nouveaux lieux incarnés par ces chefs : « Plus fort que le Clubbing, le Fooding ». Après la publication, des échos de ce nouveau mot se font entendre, il tient quelque chose. Le Fooding commence à prendre forme. Il contacte les journalistes Emmanuel Rubin, Julie Andrieu, Jean-Christophe Napias, pour leur exposer le projet. Ils adhèrent. Les réunions mensuelles puis hebdomadaires s’enchainent et se succèdent.Entre éthique et surprise, le Fooding met un point d’honneur à régler toutes ses additions. Le critère ultime d’appréciation d’une table étant : ai-je envie de revenir m’attabler dans ce restaurant ? Ils se font aussi et surtout connaître avec leurs évènements, très remarqués et décalés. Le rachat du Fooding par MichelinAlexandre Cammas évoque aussi les raisons du rachat du guide par Michelin à partir de 2017 ainsi que son départ l’an passé, et nous révèle ses projets post-Fooding. Il revient également sur sa vision du paysage gastronomique contemporain : entre digital, influence et conséquences du Covid. Il envisage les prochains grands défis auxquels le Fooding et la bouffe devront se confronter. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
6/13/20212 hours, 31 minutes, 30 seconds
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Food Karma #6 | Ranwa Stephan – Les Délices de l'Ogresse | De l’importance du repas, partout, tout le temps, y compris en temps de guerre

Ranwa Stephan est la fondatrice de la conserverie artisanale et bio, Les Délices de l'Ogresse, à la Courneuve. Avant de lancer cette marque, Ranwa était spécialiste des documentaires dans les zones de guerre au Moyen-Orient. Elle raconte comment la nourriture constitue un lien fondamental, même en plein conflit. Elle partage ses expériences de communion avec les femmes après un bombardement en Syrie ou avec un vendeur d'épices en pays Pachtoune. La cuisine, c'est sa passion depuis toujours, transmise par sa mère palestinienne. C'est ce qui lui a donné envie de créer Les Délices de l'Ogresse, une aventure entrepreneuriale dont elle nous raconte les développements tout en partageant les secrets pour faire un vrai taboulé !« Le plaisir de la table, même avec des choses simples, c'est cet élan de vie qu'on est obligé de retrouver pour survivre. » Pour en savoir plus sur La Conserverie de l'Orgresse :Les Délices de l'Ogresse – Fait main, équitable & bio (lesdelicesdelogresse.com)  Pour contacter Ranwa Stephan :Ranwa Stephan | LinkedInLes Délices de l'Ogresse (@lesdelicesdelogresse) • Photos et vidéos Instagram  Pour découvrir l'origine du podcast de Beena Paradin Migotto :https://businessofbouffe.com/podcast/food-karma-0  Pour découvrir les épisodes de Food Karma :https://businessofbouffe.com/podcast-food-karma  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
6/10/202126 minutes, 45 seconds
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Eat's Business #21 | Nestlé pas bon pour la santé, Yuka VS Charcuterie et la mafia des fruits de mer | avec la participation de l'avocat Juan-Carlos Zedjaoui

Dans ce nouvel épisode de Eat's Business, la revue de presse du Business de la Bouffe, Olivier Frey et Daniel Coutinho reviennent sur la divulgation de documents Nestlé qui affirment que leurs produits ne sont pas bons pour la santé, sur le jugement rendu dans le litige entre Yuka et la Fédération des Industriels Charcutiers Traiteurs, ainsi que sur un fruit de mer victime de trafics mafieux.Dans cet épisode, sont aussi évoqués le come-back tendance de Lidl, des hackers qui s'attaquent au plus grand producteur de viande au monde et la bataille culturelle autour de la pizza hawaïenne. Nestlé affirme que ses produits sont mauvais pour la santéFinancial Times, Nestlé document says majority of its food portfolio is unhealthy, 31/05/2021D’après un document interne auquel le Financial Times a eu accès, Nestlé admet que plus de 60 % de ses produits alimentaires et boissons grand public ne répondent pas à une “définition reconnue de la santé” et que “certaines de nos catégories et certains de nos produits ne seront jamais “sains”, quelles que soient nos rénovations”.Ainsi, seuls 37% des produits alimentaires et des boissons de Nestlé, à l'exclusion de produits tels que les aliments pour animaux de compagnie et la nutrition médicale spécialisée, obtiennent une note supérieure à 3,5 dans le cadre du système australien d'évaluation Health Star Rating. Nestlé décrit le seuil de 3,5 étoiles comme une “définition reconnue de la santé”.D’après le document interne de Nestlé, 96 % des boissons - à l'exception du café pur - et 99 % du portefeuille de confiseries et de glaces n’atteignent pas ce seuil de 3,5. Le groupe s’en sort mieux pour les eaux (82% atteignent le seuil) et les produits laitiers (60 % atteignent le seuil).Evidemment ces conclusions font mauvaises figures au moment où les grands industriels de l’agroalimentaire font face à une pression mondiale croissante pour lutter contre l'obésité et promouvoir une alimentation plus saine.L’article donne plusieurs exemples de produits Nestlé très mal notés : une pizza DiGiorno qui a une croûte faite d’une pâte à croissant et qui contient environ 40 % de l'apport journalier recommandé en sodium, une pizza Hot Pockets au pepperoni qui en contient 48 %, ou encore une boisson San Pellegrino à l'orange qui contient plus de 7,1 g de sucre par 100 ml et obtient un E au Nutriscore.Comme le résume bien la présentation interne de Nestlé : "Une marque qui se dit soucieuse de sa santé peut-elle avoir un score E ?". Yuka KO par la Fédération des Industriels Charcutiers TraiteursLa Dépêche, Face à l’appli Yuka, les saucissons remportent une bataille, 29/05/2021C’est un combat juridique qui oppose les industriels de la charcuterie à Yuka et la justice vient de condamner l’application nutritionnelle estimant que Yuka avait "une pratique commerciale déloyale et trompeuse et commettait des actes de dénigrement au préjudice" de la Fédération des industriels charcutiers traiteurs (FITC).La FICT attaquait Yuka à cause du fait que, lorsqu’un consommateur scanne le code-barres d’un saucisson ou d’un jambon, il est ensuite invité à signer une pétition demandant l’interdiction des nitrites et des nitrates. Dans sa décision, le tribunal de commerce "interdit à Yuka d’opérer un lien direct entre, d’une part la pétition "Interdiction des nitrites" ou tout appel à interdire l’ajout de nitrites ou de nitrates dans les produits de charcuterie, d’autre part les fiches de l’application Yuka relatives aux produits de charcuterie". Lidl : le nouvel eldoradoLe Parisien, Comment Lidl est devenue une marque tendance, 29/05/2021L’histoire de Lidl remonte à 1930, lorsque Josef Schwarz, un commerçant de Heilbronn, dans le sud de l'Allemagne, devient actionnaire de Lidl & Co, grossiste en fruits exotiques. Au début des années 1970, Josef et son fils Dieter lancent leur premier supermarché.Il s’agit d’un magasin de hard discount, à savoir une petite superficie, un petit assortiment de produits et de petits prix. Depuis la mort de Josef en 1977, la petite entreprise est devenue un véritable empire et compte environ 10 000 magasins en Europe. Dieter Schwarz est même à la 38e place du classement Forbes des milliardaires de la planète. Le groupe est arrivé en France à la fin des années 80 et, en l’an 2000, le groupe avait environ 1500 magasins dans l’Hexagone. A cette époque, comme le décrit l’article “l'éclairage est blafard; les produits, entassés sur des palettes dans des allées étroites; le personnel, presque invisible”. Mais au début des années 2010, les enseignes de hard discount ont commencé à prendre du plomb dans l’aile car les autres acteurs de la grande distribution se sont mis à copier leur stratégie, ont baissé leurs prix et ont ouvert des petites surfaces en centre-ville.  C’est en 2012 que Michel Biero, l’actuel directeur exécutif de Lidl France et Friedrich Fuchs, l’ancien DG de Lidl France, ont mis en place la nouvelle stratégie de l’enseigne avec un objectif affiché : sortir du hard discount et monter en gamme. Par la suite, le siège est délocalisé de Strasbourg à Rungis, 180 magasins ont été fermés et les autres ont été rénovés. L’enseigne a tout de même gardé se qui faisait son ADN de base : un catalogue restreint à moins de 2000 références et composé à 90 % de produits de marques distributeurs. Parmi les autres idées novatrices mises en place par Michel Biero pour relancer l’enseigne : l'origine française pour 100 % du boeuf, du porc et du lait et s’offrir un stand au Salon de l'agriculture. Aujourd'hui, l’enseigne possède à nouveau environ 1500 points de vente dans l’Hexagone, emploie 40 000 salariés et pèse environ 7 % de parts de marché (contre 4,5 % en 2016) Les hackers font trembler les géants internationaux de l'agroalimentaireThe Guardian, White House contacts Russia after hack of world’s largest meatpacking company, 01/06/2021 + Bloomberg, No One Knows How Much U.S. Meat Costs After Cyberattack Jams Report, 01/06/2021On aurait pu sous-titrer tout cela : “Comment la sécurité alimentaire des pays sera de plus en plus mis à mal par les hackers”.En effet, une attaque par ransomware contre le groupe brésilien JBS SA, le plus grand producteur de viande au monde, a réussi à perturber la production de viande en Amérique du Nord et en Australie. Et cela pose évidemment problème car JBS contrôle environ 20 % de la capacité d'abattage des bovins et des porcs aux Etats-Unis. Et, comme l’explique l’article du Guardian, si les pannes se poursuivent, les consommateurs américains pourraient voir les prix de la viande augmenter alors que la saison des grillades va commencer à battre son plein. De plus, les exportations de viande pourraient être perturbées à un moment où la demande de la Chine est forte. Bloomberg nous apprend que cette cyberattaque sur JBS a également empêché le ministère américain de l'agriculture de publier les prix de gros du bœuf et du porc sur lesquels les marchés agricoles s’appuient quotidiennement.Selon les américains, cette attaque aurait été perpétrée par une organisation criminelle probablement basée en Russie. Un mollusque qui fait datte, entre trafic et contrebandeThe Guardian, Mafia mussel: the fight to save a mollusc from the mob, 20/05/2021Le Guardian s’est intéressé à un mollusque qui fait le régal des grandes tables napolitaines mais qui malheureusement est victime du crime organisé : la datte de mer.De leur vrai nom Lithophaga lithophaga, il s’agit de mollusques en forme de cigare qui s'installent dans le calcaire, sécrétant un acide qui creuse lentement un tunnel dans la roche. Il leur faut des décennies pour se développer (entre 18 et 36 ans pour atteindre 5 cm de long) et ils peuvent vivre plus de 50 ans.Les dattes de mer font l’objet d’un juteux trafic illégal le long des côtes napolitaines, et tout particulièrement à Capri. Elles sont vues comme un met délicat et sont considérées par certains comme un aphrodisiaque. Sur le marché noir, un kilo peut atteindre 200 euros .Pour les dénicher, les trafiquants n’hésitent pas à utiliser des explosifs pour les détacher des rochers, ce qui a pour effet de dévaster l'environnement marin. La pêche aux dattes est d’ailleurs considérée par les scientifiques comme l'une des pratiques les plus destructrices pour les habitats marins. D’ailleurs, comme le précise l’article, la pêche ou la vente de dattes de mer est illégale dans l'UE.C’est un magistrat de 37 ans, Giulio Vanacore, qui a ouvert une enquête en 2018. Celle-ci a duré trois ans et a abouti à un rapport de 1 100 pages qui retrace toutes les étapes de l'activité criminelle et nomme plus de 100 personnes, des récoltants aux propriétaires de restaurants. En mars dernier, le parquet de Naples a émis des mandats d'arrêt qui ont conduit à l’arrestation de 12 suspects. La réhabilitation de la pizza hawaïenneThe Economist, The great Hawaiian pizza culture war, 10/05/2021Retour sur une des pires aberrations culinaires qui existent : la pizza hawaïenne.On apprend qu’elle a été inventée en 1962 par un certain Sam Panopoulos. Comme l’explique l’article, soixante ans plus tard, le débat sur les mérites et les défauts de l'ananas sur la pizza est devenu un passe-temps mondial. Le débat sur la pizza à l'ananas est devenu si omniprésent qu'en 2019, le gouvernement américain a lancé "The War on Pineapple", une campagne d'information publique illustrant comment les gens peuvent être manipulés par des messages en ligne sur des sujets qui divisent.Dans les années 60, l'ananas en conserve était un produit d'exportation majeur pour Hawaï, qui produisait les trois quarts de l'offre mondiale à l’époque. Ainsi, lorsque Panopoulos a créé sa nouvelle pizza fruitée, le nom qu'il lui a donné fut évident : l’hawaïenne.A mesure que la pizza s'américanisait, l’Italie a cherché à protéger la recette originale. Comme l’a expliqué Antonio Pace, fondateur de l'Associazione Verace Pizza Napoletana (l'association de la vraie pizza napolitaine), lors du lancement de l'organisation en 1984, "nous sommes contre la déformation culturelle et commerciale de notre pizza. Nous voulons simplement affirmer nos anciennes traditions".Comme l’explique l’article, bien qu'elle soit l'une des pizzas les plus populaires au monde, la pizza hawaïenne est devenue synonyme d'inauthenticité, de restauration rapide et de mauvais goût. Mais le débat a été véritablement amplifié par internet et les réseaux sociaux. Entre les groupes Facebook anti, à l’image de “Pineapple does NOT belong on PIZZA!” lancé dès décembre 2009 ou les pro du groupe Reddit "Knights of Pineapple", fondé en 2015 et qui compte aujourd'hui 68 000 membres le combat fait rage.  Découvrez l’émission Eat’s Businesshttps://businessofbouffe.com/podcast-eats-business  Pour vous abonner à la newsletter Eat’s Businesshttps://businessofbouffe.com/revue-de-presse-eats-business-newsletter   Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
6/8/202137 minutes, 2 seconds
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Sur le Champ #7 | Maraîchage bio et impact social | Hélène et Etienne Falise – Village Potager

Ambre et Camille sont villageoises du Village Potager depuis bientôt 3 semaines !Il y a 3 ans, Hélène et Etienne se lançaient dans ce projet un peu fou : réunir sur un même lieu impact social, impact environnemental et rentabilité. C’est ainsi qu'est né le Village Potager, une ferme de plus de 40 hectares dont 11 destinés au maraîchage biologique, située au cœur de la forêt de Fontainebleau, à Saint pierre les Nemours. Aujourd’hui ils pilotent cette exploitation grandissante avec ses 12 maraîchers, au sein d’une équipe plus large d’une vingtaine de personnes.On le devine facilement à son nom, le Village Potager est bien plus qu’une ferme maraîchère, c’est un vrai village. Certains y habitent, d’autres y passent pour faire leurs courses, y séjournent le temps d’un week-end, de vacances, ou d’un séminaire…En ce début de printemps, nous avons enfilé nos gants et aiguisé nos sécateurs pour découvrir les plaisirs de la plantation, la récolte, le désherbage, la préparation des paniers… Mais aussi pour comprendre l’aspect innovant de cette exploitation, développée suivant le modèle d’une startup et alimentée par les expériences de management des fondateurs.« On veut arriver à démontrer au marché qu'on peut faire tourner une exploitation maraîchère rentable et avec cette mission sociale qui est de créer de l'emploi maraîcher et de créer de l'impact territorial sur le plan alimentaire. » Pour en savoir plus sur Le Village Potager :Bio, Local et Solidaire, une ferme maraîchère et des séminaires nature (levillagepotager.com)  Pour contacter Hélène et Etienne Falise :Par e-mail : bonjour@levillagepotager.comLe Village Potager (@levillagepotager) • Photos et vidéos Instagram  Pour contacter Camille Fournier et Ambre Germain :https://www.instagram.com/surlechamp2020/  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
6/2/202147 minutes, 58 seconds
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Eat's Business #20 | Climatariens, départ d'Alain Ducasse du Plaza Athénée et des repas à un euro

 Eat's Business #20Dans ce nouvel épisode de Eat's Business, la revue de presse du Business de la Bouffe, Olivier Frey et Daniel Coutinho reviennent sur la montée en force des climatariens, le départ d'Alain Ducasse du Plaza Athénée et un compte Twitter qui propose des repas à 1 euro.Dans cet épisode, sont aussi évoqués l'étiquetage d'un score carbone, la nouvelle série d'alimentation Netflix et le regain de consommation des œufs par les Français.Un nouveau régime alimentaire : les climatariensNew York Times, The Rise of the Climatarian, 20/05/2021Focus sur une nouvelle catégorie de consommateurs : les climatariens (un terme qui est apparu pour la première fois en 2015 dans un article du New York Times). Il s’agit de consommateurs qui mangent des aliments en tenant compte de leur empreinte carbone et de leur niveau d'émission. Ainsi, ils s'en tiennent aux fruits et légumes de saison produits dans leur région, évitent la viande provenant d'élevages industriels (ils ne sont donc pas végétariens mais privilégient plutôt l’agneau et le poulet plutôt que le boeuf) et recherchent des ingrédients locaux parce qu'ils ont une empreinte carbone plus faible.Pour faire leurs choix, les climatariens peuvent même s’appuyer sur une appli spécialement conçue pour eux : Kuri, qui propose des recettes climatariennes. Aux Etats-Unis, des chaînes de restaurants fast-casual comme Just Salad ou Chipotle, marquent sur leurs menus les articles qui s'inscrivent dans ce régime (voir par exemple ici et ici).Il existe également des marques qui se disent respectueuses du climat, comme Moonshot, qui fabrique une gamme de crackers à partir d'ingrédients cultivés de manière régénérative et qui met en avant son bilan carbone neutre. L’entreprise a même lancé Planet FWD, qui vend un "logiciel de durabilité" pour aider les autres entreprises alimentaires à calculer l'impact environnemental de leurs produits.Bientôt un score carbone affiché sur les aliments ?Food Navigator, “Carbon score is the next big thing,” predicts CGC co-head, industry experts gathered by FoodBytes!, 13/05/2021Selon des experts réunis par FoodBytes ! lors d'une récente table ronde sur la transparence dans la chaîne d'approvisionnement, l'étiquetage carbone pour les aliments et les boissons pourrait arriver plus vite que prévu et pourrait même bientôt avoir plus d'influence sur les consommateurs que d'autres certifications populaires.Les acteurs présents ont tout d’abord fait le constat d’un trop plein de certifications et de logos en tout genre sur les produits agroalimentaires, avec parfois jusqu’à “quatre ou cinq certifications différentes”.Mais selon Ben Fishman, codirecteur de CGC Ventures, “le score carbone est la prochaine grande innovation” pour les consommateurs. Ces derniers veulent en effet de plus en plus savoir combien de carbone a été utilisé pour produire un article ou un aliment. Est-il à émission neutre en carbone ? A-t-il été réduit de 25 % ?De plus, d’après une étude publiée récemment dans la revue Food Policy, les marques qui s'empressent d'apposer un label carbone sur leurs emballages pourraient être récompensées par les consommateurs qui se tournent vers les produits ayant un impact moindre sur le climat.Selon l’article il y a déjà de nombreux acteurs du secteur de l'alimentation et des boissons qui adressent cette nouvelle demande des consommateurs et s'en servent pour se démarquer de la concurrence. Ainsi, Horizon Organic (une filiale de Danone) communique sur ses efforts pour devenir positif en matière de carbone d'ici 2025. De son côté, Bright Future Foods (filiale de Post Holdings) s'est récemment associée à la société EverGrain pour créer Airly Oat Cloud, qu'ils décrivent comme le “tout premier snack climatiquement positif”. L’article précise également qu’Unilever, Mondelez International et Oatly envisagent tous un étiquetage carbone.Les Français couvent leurs œufsLSA, Les œufs séduisent toujours les Français, 20/05/2021Les oeufs font partie des grands gagnants de la pandémie de Covid-19.En effet, pendant le 1er confinement de mars 2020 les ventes d’oeuf ont explosé (il s’est vendu 611 millions d’œufs de mars à avril 2020, soit 185 millions de plus qu’à la même période en 2019). Au global, sur toute l’année 2020, la France a produit 15,7 milliards d’œufs (en hausse de 4,9 % par rapport à 2019).Et, comme l’explique LSA, 90 % des consommateurs qui ont augmenté ou maintenu leur niveau d’achat d’œuf pendant la crise, envisagent de le conserver. Les ventes d’oeufs sont d’ailleurs toujours en progression en ce début d’année 2021 avec une hausse de 4% sur les mois de janvier et février par rapport à janvier-février 2019.Autre fait notable observé sur ces deux premiers mois de 2021 : les ventes d’œufs standards sont en baisse de 13,2% par rapport à 2020 alors que les œufs issus d’élevage au sol sont en progression de 30,2 % en volume, ceux de plein air de 15,8 %, les bio de 3,8 et les Label Rouge de 2,1 %.L’article précise également que la filière a atteint plus rapidement que prévu son objectif de 1 poule sur 2 en mode d’élevage alternatif. Prévu initialement pour 2022, l’objectif a été atteint dès 2019 avec 53 % de poules élevées en alternatif. Et en 2020 la proportion est même montée à 64 %.Au niveau des innovations, l’article souligne également les progrès réalisés en matière de bien-être animal, notamment pour éviter le broyage des poussins avec des solutions telles que le sexage in ovo, des élevages de males souches actuelles ou encore l’élevage de mâles de souches mixtes à sélectionner. Mais la filière précise que ces innovations représentent un coût supplémentaire d’environ 75 millions d’euros par an.Alain Ducasse quitte le Plaza Athénée : Jean Imbert le reprendra-t-il ?Le Figaro “Alain Ducasse et le Plaza Athénée c’est fini”, 17/05/2021Alors que le chef Alain Ducasse et le palace de l’avenue Montaigne travaillaient en collaboration depuis 2000, le Plaza Athénée a annoncé le non-renouvellement du partenariat qui prendra fin le 30 juin prochain.Le chef a développé, depuis 2014, le concept avant-gardiste de "naturalité" autour de la trilogie légumes - céréales - poissons. Alain Ducasse cherche à proposer une alimentation plus en accord avec la nature et plus saine, qu'il a décliné en restauration rapide avec le concept Naturaliste.Mais Alain Ducasse ne rompt pas les ponts avec Dorchester Collection, groupe qui possède le Plaza Athénée ainsi que le Meurice et un hôtel parisien 5 étoiles. Alain Ducasse continue de superviser la partie haute gastronomie de l'établissement, dont les fourneaux sont confiés au chef deux étoiles, Amaury Bouhours. De plus, le chef conserve les fourneaux londoniens du restaurant Alain Ducasse at The Dorchester, couronné de 3 étoiles.Qui prendra la suite au Plaza ? Selon les murmures, le chef parisien Jean Imbert pourrait reprendre le flambeau ; ce qui peut refléter la volonté de cet hôtel de luxe de proposer une cuisine bistronomique et branchée, moins raffinée, mais aussi plus rentable.Alain Ducasse a d'autres projets en cours. Il s'est notamment associé à Stéphane Courbit pour un nouvel hôtel qui va ouvrir ses portes dans le pavillon du Grand Contrôle du château de Versailles.Netflix replace sur la carte l'héritage gastronomique américainThe Wall Street Journal Netflix’s ‘High on the Hog’ Centers Black Cooks in the Story of American Food, 21/05/2021Un article sur, "High on the Hog: How African American Food Transformed America", la nouvelle série Netflix consacrée à l’histoire de l’alimentation aux Etats-Unis. Cette dernière est basée sur le livre "High on the Hog : A Culinary Journey from Africa to America" de l’historienne de l'alimentation Jessica B. Harris et publié en 2011.Comme l’explique l’article en introduction “pendant des années, l'histoire de la nourriture américaine a été principalement racontée comme une histoire de nourriture de blanc”. L’objectif de la série est donc d’amplifier l'œuvre de Jessica B. Harris et de mettre en lumière un riche héritage d'ingéniosité culinaire qui continue d'évoluer dans les foyers, les cuisines et les restaurants noirs, en Afrique et aux États-Unis.Dans le premier épisode, Jessica B. Harris et l’animateur de l’émission Stephen Satterfield voyagent au Bénin. Ils y suivent notamment une formation sur le riz et le gombo dans un marché local. Dans les épisodes suivants, M. Satterfield retourne aux États-Unis et invite les téléspectateurs à examiner le savoir-faire africain et le travail forcé qui ont permis de construire la lucrative industrie du riz des deux Etats de Caroline.Cuisiner 1 repas pour 1 euro tous les joursLe Parisien, VIDÉO. 1 repas, 1 euro : des recettes de cuisine simples, saines et pas chères qui cartonnent sur Twitter, 22/05/2021Zoom sur un compte Twitter qui est devenu un phénomène en à peine quelques semaines. Derrière le compte @1repas1euro, qui compte désormais quasiment 40 000 followers se cache Marina, une étudiante en psychologie.Elle propose par exemple des menus complets qu’elle a dénommé « anti-charge mentale » qui sont prévus pour une semaine entière et comprennent quatre repas (petit-déjeuner, déjeuner, goûter et dîner) par jour, toujours à un euro maximum le plat.Elle explique qu’à travers sa démarche elle souhaite « redonner envie aux gens de cuisiner autre chose que des pâtes au gruyère. De leur redonner le goût pour la cuisine variée et à moindre coût ».  Si vous avez des étudiants dans votre entourage n’hésitez pas à leur conseiller de suivre ce compte, il a le mérite d’en remettre un certain nombre à la cuisine.Découvrez l’émission Eat’s Businesshttps://businessofbouffe.com/podcast-eats-businessPour vous abonner à la newsletter Eat’s Businesshttps://businessofbouffe.com/revue-de-presse-eats-business-newsletter Hébergé par Acast. 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6/1/202124 minutes, 21 seconds
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Food Karma #5 | Antonin Bonnet – Chef de Quinsou et propriétaire de La Boucherie Grégoire | Manger seulement de la viande de qualité

Doit-on encore manger de la viande et si oui, laquelle ? Pour parler de cette question, Beena Paradin est allée voir Antonin Bonnet, le chef du restaurant Quinsou qui a racheté La Boucherie Grégoire, voisine de son restaurant à Paris. Antonin a fait ses classes chez Michel Bras à Laguiole, qui a été le premier a lancer un menu végétal dès 1983. Il a ensuite officié une douzaine d’années à Londres. Il nous livre un témoignage passionnant sur la façon dont il conçoit la viande dans l'assiette, sur comment la rendre compatible avec l'urgence écologique. Antonin nous donne aussi plein de recettes pour faire de repas quotidiens sans viande des moments délicieux. Un épisode essentiel sur un des enjeux majeurs de l'alimentation aujourd’hui ! « C'est un peu fada parce que moi, j'ai une boucherie et je dis aux gens de manger moins de viande. Si vraiment vous voulez en manger, mangez-en de la meilleure. »  Pour en savoir plus sur Quinsou et La Boucherie Grégoire :Quinsou Restaurant / Restaurant Gastronomique / PARISLa Boucherie Grégoire / Boucherie / Paris (laboucheriegregoire.fr)Pour contacter Antonin Bonnet :Antonin Bonnet sur LinkedIn : linkedin.com/in/antonin-bonnet-98694671Antonin Bonnet sur Instagram : Antonin Bonnet (@quinsouparis) • Photos et vidéos InstagramPour découvrir l'origine du podcast de Beena Paradin Migotto :https://businessofbouffe.com/podcast/food-karma-0Pour découvrir les épisodes de Food Karma :https://businessofbouffe.com/podcast-food-karma Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
5/27/202128 minutes, 26 seconds
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Eat's Business #19 | Reconquête de la souveraineté alimentaire française, marché de l’eau de luxe et café sans café | avec la participation de Emilie Laystary

Eat’s Business #19Dans ce nouvel épisode de Eat’s Business, la revue de presse du Business de la Bouffe, Olivier Frey et Daniel Coutinho reviennent sur le développement du marché de niche des eaux de luxe, sur la reconquête de la souveraineté alimentaire en France, ainsi que sur une startup proposant du café sans café.Dans cet épisode, sont aussi évoqué les chiffres du gaspillage alimentaire en France, le futur des restaurants gastronomiques post-pandémie et l’influence de TikTok sur les commandes Starbucks. La souveraineté alimentaire en France est-elle atteignable ?Le Point, La France peut-elle reconquérir sa souveraineté alimentaire ?, 18/05/20211La souveraineté alimentaire est LE sujet dont tout le monde parle en ce moment et cet article du Point résume bien le problème.L’article nous apprend que les échanges agricoles de la France ont rapporté l’an dernier 6,3 milliards mais que ce bénéfice a été divisé par deux en sept ans. Par ailleurs, nous importons 60 % des fruits que nous consommons, 40 % des légumes et ce n’est pas mieux au niveau de la viande, avec plus d’un tiers des volailles qui sont importées (contre 13 % en 2000). De même, 85 % des produits aquacoles que nous consommons (pêche et aquaculture confondues) viennent de l’étranger.L’article avance plusieurs explications à cette baisse de l’indépendance alimentaire de la France :des charges sociales plus élevéesune surrèglementation systématique en matière environnementaledes faiblesses structurelles de filières mal organisées... Des eaux de luxe qui manquent de transparenceLibération, Eaux de luxe : l’amer à boire,18/05/2021L’article s’intéresse à un segment de niche mais qui est en forte croissance. Eau de mer puisée à plus de 300 mètres de profondeur au grand des côtes bretonnes, eau prélevée dans les icebergs de l’Atlantique Nord... ces eaux vantées comme étant « pures » sont vendues dans des bouteilles en verre à la manière d’un grand cru classé. Elles s’appelle Breeze, Odeep, Berg ou encore Antipodes Water et se vendent jusqu’à 10 fois plus cher que les eaux classiques (certaines vont jusqu’à 10,50 € pour une bouteille de 75cl, voire même 69€ pour Bling H20). Comme le précise l’article, ces eaux « autrefois réservées aux rayons confidentiels de quelques épiceries bio » sont désormais disponibles dans beaucoup de super et hypermarchés. Mais, comme le rappel l’article, la définition d’une « eau pure » est « floue » voiture « au sens chimique une eau pure est une eau déminéralisée, donc impropre à la consommation ». Pour la chercheuse Agathe Euzen, la pureté de l’eau se rapprocherait de la définition de Brillat-Savarin, à savoir « la transparence, l’absence de goût et la neutralité ». Et pour justifier leur positionnement luxe, ces marques d’eau jouent sur « l’esthétique de la rareté ».Evidemment ces eaux ont un bilan carbone parfois peu flatteur et certaines pratiques pose question, notamment le fait qu’au Canada des chasseurs tire sur les icebergs pour en d’autres. Un gaspillage alimentaire encore trop important en FranceLe Parisien, Gaspillage alimentaire : en France, 5,5 millions de tonnes de nourriture jetées par an,13/05/2021Les résultats d’un sondage de l’institut OpinionWay pour le compte SmartWay (ex-Zéro-Gâchis) sont assez ment d’évidence.Commençons par les bonnes nouvelles :94 % des personnes interrogées affirment faire attention au gaspillage alimentaire50% pratiquent au moins 5 gestes anti gaspillage au quotidien60% pratiquent le tri des produits dans le frigidaire en fonction des dates limites de consommation, 56% congèlent des produits frais dès l’achat et 51% cuisinent de plus petites quantitésMais du côté des mauvaises nouvelles :les Français jettent chaque année 5,5 millions de tonnes de nourriture, soit « de quoi nourrir 10 millions de personnes »50% confient jeter au moins un type de produits (douleur, légumes, produits laitiers...) tous les mois et 25% au moins 5 types de produitsles 18-24 ans jettent 2 à 3 fois plus que les 65 ans et plus, tout type de produits confondusPour ceux qui veulent aller voir les résultats du sondage en détail, cela se passe ici. Une startup qui propose du café avec 0 gramme de café dans sa compositionBloomberg, Coffee Without Beans? A Startup Brews a New Cup of Joe, 12/05/2021Après la “viande sans viande” ou le “lait sans lait” voici désormais le “café sans café”.L’article s’intéresse à une startup FoodTech américaine qui se nomme Atomo Coffee qui produit un café qui est fabriqué à partir d’ingrédients recyclés, comme les enveloppes de graines de tournesol et les graines de pastèque, qui subissent un processus chimique breveté pour produire des molécules qui imitent la saveur et la sensation en bouche du vrai café. Le marc qui en résulte est infusé comme une tasse de café ordinaire et la boisson obtenue contient même de la caféine.L’industrie du café pèse environ 100 milliards de dollars par an mais est l’une des plus vulnérables au changement climatique. Nous en parlions il y a quelques semaines, au cours des sept prochaines décennies, l’arabica risque de perdre au moins 50 % de sa zone de production, selon un rapport publié en 2019 par des scientifiques des Royal Botanic Gardens de Kew, en Grande-Bretagne.Après plus de deux ans de développement, Atomo Coffee va enfin lancer son café cette année, avec, dans un premier temps des canettes de cold brew. À terme, l’entreprise prévoit d’étendre sa gamme avec des cafés instantanés, des cafés moulus et des cafés en grains. L’un des co-fondateurs d’Atomo Coffee présente d’ailleurs son entreprise comme “la Tesla du café”.Et l’entreprise compte sur une subtilité juridique. En effet, l’article nous apprend que, contrairement à la viande et aux produits laitiers, le terme “café” n’a pas de standard d’identité réglementée par la Food and Drug Administration (l’équivalent américain de notre Agence Française de Sécurité Sanitaires des Produits de Santé). En somme, cela signifie qu’une boisson peut s’appeler “café” sans avoir à provenir d’un lieu particulier, ni même d’une plante particulière.Atomo Coffee a déjà levé environ 11,5 millions de dollars en deux tours de financement depuis 2019. TikTok : nouveau guide de recettes StarbucksBuzzfeed, The Rise Of The Appuccino: How TikTok Is Changing Starbucks, 14/05/2021L’article est inspiré d’un tweet publié début mai avec une photo d’une commande Starbucks d’une boisson contenant pas moins de 13 personnalisations.L’article explique au préalable que l’appli Starbucks pèse de plus en plus dans le chiffre d’affaires du groupe. Selon un récent rapport de Starbucks, 26 % des commandes passées entre janvier et mars 2021 l’ont été par l’intermédiaire de l’application mobile, contre 18 % l’année précédente. De plus, l’article précise que lorsque vous commandez via l’application Starbucks, l’ajout de personnalisations est facile et presque encouragé. C’est ce que l’article nomme “l’ère de l’Appuccino”.Mais le véritable contributeur de la montée en puissance de l’Appucino est à trouver du côté des réseaux sociaux, et plus particulièrement chez TikTok. En effet, sur ce dernier les suggestions de boissons personnalisées deviennent virales et des influenceurs de Starbucks (et même des employés) y montrent les boissons qu’ils préparent. D’une part, il s’agit du réseau star des adolescents mais, comme le précise l’article, contrairement aux adultes qui ont tendance à conserver la même commande de café pendant des décennies, les adolescents expérimentent de nouveaux goûts et de nouvelles commandes.Et l’effet TikTok sur les commandes Starbucks est loin d’être insignifiant. Ainsi, un barista à Nashua, dans le New Hampshire, a raconté à BuzzFeed News que l’été dernier une boisson était devenue virale sur TikTok et s’est mise à représenter jusqu’à 20% des boissons qu’il préparait pendant le service de l’après-midi.Et bien évidemment l’Appuccino a ses propres influenceurs sur TikTok. Allez donc voir le profil de Anna Sitar, qui compte pas moins de 9,2 millions d’abonnés.Quel restaurants gastronomiques pour l’après-pandémie ?Financial Times, Gastronomes look beyond pandemic to a revolution in French fine-dining, 14/05/2021Le Financial Times s’intéresse à la réouvertures des restaurants trois étoiles français.Comme le résume l’article, “Ces temples de la gastronomie française ont longtemps attiré les touristes étrangers fortunés, qui n’hésitent pas à payer plus de 1 000 euros pour un repas en tête-à-tête, tant qu’ils peuvent découvrir l’art de vivre à la française.”Mais avec la pandémie ces clients ne devraient pas revenir avant un certain temps. Pour ces restaurants le défi est donc double : attirer les locaux et retenir les employés, dont bon nombre ont quitté le secteur pour se réorienter. Car, comme le résume Joerg Zipprick, cofondateur de La Liste, “la pandémie a révélé que le modèle économique des restaurants haut de gamme en France ne fonctionne tout simplement pas sans les touristes”.Pour illustrer son propos, le journal est allé interviewer Yannick Aléno. Ce dernier affirme “J’ai trois ans de lutte devant moi” et précise que la moitié des 4 millions d’euros de réserves de trésorerie du groupe a été dépensée lors de la crise sanitaire. Selon lui, “il y aura beaucoup de victimes” parmi les restaurants trois étoiles. Il faut dire qu’avant la pandémie son restaurant phare générait plus des 3/4 de son chiffre d’affaires avec des clients étrangers, principalement d’Asie et des États-Unis. Et donc comme leur retour est peu probable avant quelques mois les portes de son restaurant resteront fermées jusqu’en septembre.Selon Yannick Aléno, une des solutions pour les trois étoiles serait de “chercher à personnaliser les expériences en discutant au préalable avec les clients de l’occasion de leur dîner, des invités et de leurs goûts”. Ainsi, cette approche en mode “service de conciergerie” permettrait de mieux planifier les menus, ce qui améliorerait l’expérience du client et les finances du restaurant qui pourrait commander des quantités plus précises de chaque produit. Découvrez l’émission Eat’s Businesshttps://businessofbouffe.com/podcast-eats-business Pour vous abonner à la newsletter Eat’s Businesshttps://businessofbouffe.com/revue-de-presse-eats-business-newsletter Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
5/25/202136 minutes, 56 seconds
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À Côté D'La Plaque #22 | Dernier épisode | Le best-of... la crème de la crème

Pour ce dernier épisode d'À Côté D'La Plaque, voici une rétrospective des meilleurs moments. La crème de la crème d'une vingtaine d'échanges avec des personnalités de la bouffe en une vingtaine de minutes : à vos mouchoirs ! Et surtout, à vos oreilles, car il va falloir deviner qui est qui… Le romantisme si doux de @yves_camdeborde, @chloecharlescuisine & @annesophiepic, celui à couper au couteau de @l_ami_jean, @osanchaise et @glennviel, mais aussi l’agacement certain de @pierrehermeofficial pour les sacs à dos, de @pierregagnaire pour les mini bouteilles de gel douche dans les hôtels, de @delphineplissonvareillesperso pour les peine-à-jouir et de @christophe_saintagne pour les machos…Les péchés mignons de @helenedarroze, les confessions accumulatrices de @jeanfrancoispiege et le moment le plus sidérant de la vie de @celine_pham_. Vous écouterez aussi les histoires de prouts de @laguinguettedangele et sa curiosité limitée à se glisser dans la peau d’un homme, les grand grand moments de récompense gourmande de @christophe_michalak, qui coupe un pain au chocolat en deux, une barre de chocolat de chaque côté, et les trempe l’une après l’autre dans un chocolat chaud bien crémeux…La vie excessive mais tellement riche de grands moments de @steflequellec et l’emmerdement formidable de @laiterie_de_paris_fromagerie_ pour les plateaux de fromage, l’amour pour l’insolence de la vie de @jacquesgenin, et les confessions j’aime pas ma gueule de @yanncouvreur ...Mais aussi la vision du demain de @mory_sacko_, la vie après la mort avec @glennviel et un très grand moment de gastronomie par Pierre Gagnaire : un rösti de pomme de terre, sur l’autoroute. « Qu'est-ce qui m'agace dans la vie ? Les peine-à-jouir en général, les pinailleurs, les gens qui n'arrivent pas à savourer ou qui ne se donnent pas les moyens d'être pleinement vivants. »Pour découvrir l'origine du podcast de Raphaële Marchal :À Côté D’La Plaque #0 | Raphaële Marchal – Présentation de son nouveau podcastPour découvrir les épisodes d'À Côté D'La Plaque :https://businessofbouffe.com/podcast-a-cote-dla-plaque  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
5/20/202122 minutes, 12 seconds
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Sur le Champ #BONUS | Solution clef en main pour la fabrication de produits à la ferme | Jérôme Huguet – La ferme des Bergeronnettes x Né d'une seule ferme

Aujourd’hui, Ambre et Camille font une petite halte à Dolomieu en Isère, pour découvrir la jolie ferme laitière d’Elsa et Jérôme. Depuis quelques mois, ils ont décidé de produire eux même leurs yaourts, à la ferme. Et pour cela ils ont fait appel au concept innovant d’une jeune entreprise : Né d’une seule ferme. C’est une solution clé en main pour la transformation de produits laitiers, de la fabrication à la vente. Et cela a piqué notre curiosité, donc on a fait un petit crochet pour aller à leur rencontre…« On est juste là pour produire, transformer notre bon lait en yaourt et c’est eux qui gèrent tout le reste. » Pour en savoir plus sur la ferme des Bergeronnettes :Ferme des Bergeronnettes, https://www.facebook.com/Gaec-des-bergeronettesPour en savoir plus sur Né d'une seule ferme :Né d'une seule ferme, https://neduneseuleferme.fr/Pour contacter Né d'une seule ferme :Sur Instagram : https://www.instagram.com/_nusfSur LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/nusfPour contacter Camille Fournier et Ambre Germain :https://www.instagram.com/surlechamp2020/Pour découvrir l'origine du podcast Sur le Champ :https://businessofbouffe.com/podcast/sur-le-champ  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
5/19/202117 minutes, 39 seconds
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Eat's Business #18 | Boom des alternatives végétales au lait, commerce équitable français et appétit pour le pain de mie | avec la participation de Guillaume Millet – PlantBased Global Director chez Danone

Dans ce nouvel épisode de Eat's Business, la revue de presse du Business de la Bouffe, Olivier Frey et Daniel Coutinho reviennent avec sur le boom des alternatives végétales au lait avec Guillaume Millet, PlantBased Global Director chez Danone, sur l'appétit des Français pour le pain de mie, ainsi que sur le commerce équitable français.Dans cet épisode, sont aussi évoqués la composition des laits végétaux, les coopératives de livraison de repas et l'avenir du marc de raisin. Alternatives végétales au lait en plein boomFinancial Times, The battle for the future of milk, 07/05/2021Alors que Nestlé vient de lancer Wunda, sa propre alternative végétale au lait, le Financial Times s’est intéressé à ce segment en plein boom qui pèse déjà 17 milliards de dollars selon Euromonitor. Toutefois, même s’il commence à prendre de l’ampleur, ce segment ne représente encore qu'une petite fraction du marché global des produits laitiers, qui est estimé à 650 milliards de dollars par an. Mais les multinationales de l’agroalimentaire y investissent de plus en plus et il existe désormais au moins 124 startups qui se sont lancées sur ce créneau selon les données de Pitchbook. Le suédois Oatly prépare même sa prochaine introduction en bourse, qui pourrait le valoriser jusqu'à 10 milliards de dollars.L'enjeu pour tous ces acteurs est de taille : selon leurs défenseurs, les émissions de gaz à effet de serre émises lors de la production de “lait végétal” sont inférieures à celles émises lors de la production de lait de vache. De plus, ces alternatives ouvrent la voie à une nouvelle approche de l'alimentation et des boissons, sans animaux et de haute technologie, qui pourrait contribuer à nourrir l'humanité et à freiner le réchauffement climatique.Selon l’article, la demande pour le “lait végétal” s'est en fait nourrie de la culture des cafés. Ainsi, comme l’explique un expert de chez Bernstein, “choisir son type spécifique de lait végétal chez Starbucks semble être une façon de s'identifier”.Cette entrée tardive de certaines multinationales comme Nestlé sur ce marché traduit, selon l’article, leur conviction que la tendance des alternatives végétales au lait est un changement durable, et pas seulement une mode chez la classe moyenne. Pour mettre au point Wunda, les chercheurs de Nestlé ont combiné des protéines de pois avec de l'eau, des fibres de chicorée, du sucre et de l'huile de tournesol.Historiquement, les "laits végétaux" produits à partir de graines de soja sont fabriqués en Chine depuis des siècles, tandis que le lait d'amande a une longue histoire au Moyen-Orient. Mais les laits végétaux ont atteint les marchés européens et américains beaucoup plus tardivement.La sensibilisation croissante à l'intolérance au lactose a stimulé la demande de lait de soja dans les années 1970 et 1980, soutenue par une nouvelle génération de consommateurs soucieux de leur santé. Les ménages à la recherche d'une boisson végétalienne peuvent désormais choisir parmi l'avoine, les noix de cajou, la noix de coco, le chanvre, les pois, l'orge, le riz, les graines de chia et autres. Le soja a décliné en raison des préoccupations liées aux allergies et à sa contribution à la déforestation.Au cours de la dernière décennie, les ventes de laits végétaux (hors lait à base de soja) ont été multipliées par neuf sur les marchés occidentaux, qui comprennent l'Europe occidentale, l'Amérique du Nord et l'Australasie, selon Euromonitor.Les investissements en capital-risque dans le secteur des alternatives végétales aux produits laitiers et aux œufs ont grimpé en flèche pour atteindre 1,6 milliard de dollars l'année dernière, contre 64 millions de dollars en 2015, selon Dealroom. Et, même si le lait végétal deviendra moins rentable à l’avenir, les experts sont convaincus qu'il a un rôle à jouer pour freiner le changement climatique. Les laits végétaux sont-ils bons pour la santé ?New York Times, Are Plant Milks Good for You?, 10/05/2021Le New York Times s’intéresse d’un peu plus près à la composition des alternatives végétales au lait.Ces substituts à base de plantes sont généralement fabriqués en faisant tremper la légumineuse, la noix, la céréale ou tout autre ingrédient principal. On presse ensuite l’ensemble et on en extrait le liquide. Beaucoup de gens les préfèrent parce qu'ils veulent (ou doivent) éviter les produits laitiers mais certains les choisissent parce qu'ils pensent qu'ils sont plus sains que le lait de vache.Comme l’explique Melissa Majumdar, porte-parole de l'Academy of Nutrition and Dietetics, “en général, ces laits non laitiers ont été présentés comme étant plus sains, mais ce n'est pas nécessairement le cas”. Les experts invitent donc les consommateurs à examiner l'étiquette nutritionnelle car certains laits ne sont pas aussi bons pour la santé qu'ils le semblent. Finalement tout dépend du type de lait végétal que vous buvez, du fait qu'il soit ou non enrichi, de la quantité de sucres ajoutés qu'il contient et de la manière dont il s'intègre à votre régime alimentaire général.Le lait de vache est naturellement riche en protéines, en calcium, en potassium et en vitamines B, et il est souvent enrichi en vitamine A (naturellement présente dans le lait entier) et en vitamine D. Si de nombreux laits d'origine végétale sont enrichis de plusieurs des nutriments présents dans le lait de vache, tous ne le sont pas. De plus, beaucoup ne fournissent pas suffisamment certains nutriments clés comme les protéines, le potassium et la vitamine D.L’article compare ensuite les six principales alternatives végétales au lait (amande, avoine, soja, noix de coco, pois et riz) en termes de goût, de protéines, de calories, de graisses et d'autres attributs. Commerce équitable françaisL’ADN, Le label équitable Fairtrade / Max Havelaar s’ouvre aux producteurs français, 05/05/2021Pour la 20ème édition de la Quinzaine du Commerce Equitable, Max Havelaar a commandité un nouveau sondage à Opinion Way. On y apprend que :62% des Français déclarent plébisciter l’origine France des produits qu’ils consomment,53% réclament le respect d'un prix payé aux agriculteurs qui couvre leurs coûts de production,39% sont favorables au développement de marques et labels garantissant une juste rémunération. Selon les répondants, les 2 principales raisons qui pénalisent l’agriculture française sont :les prix bas imposés aux agriculteurs par les intermédiaires et distributeurs (67% des répondants),la concurrence avec d’autres pays aux normes moins contraignantes (63% des répondants). C’est dans ce contexte que Max Havelaar a décidé de proposer une labellisation des producteurs français et on pourra donc à l’avenir retrouver le fameux logo sur des yaourts, crèmes desserts, viennoiseries, pâtisseries, ou encore biscuits. La labellisation concernera les filières françaises de blé et lait. Elle reposera sur une méthode inédite de fixation du prix garanti en fonction du territoire et d’un objectif chiffré de revenu. L’idée d’un prix en fonction du territoire est intéressante car, comme l’explique Blaise Desbordes, directeur général de Max Havelaar France, « un seul prix équitable pour tout un pays peut être réducteur. (…) Avec par exemple 40 centimes perçus par litre de lait, un producteur du Poitou peut être finalement moins bien rémunéré qu’un acteur breton qui perçoit 37 centimes. » A travers cette certification équitable “Nord-Nord”, Max Havelaar affiche 3 objectifs principaux :garantie de meilleure rémunération,accompagnement vers une agriculture durable,contribution au maintien de territoires ruraux. Pour ceux qui veulent en savoir plus sur la démarche, n’hésitez pas à aller aussi consulter le dossier de presse. Coopératives de livraison de repasThe Guardian, ‘More than a job’: the meal delivery co-ops making the gig economy fairer, 11/05/2021Alors que les livraisons de repas à domicile ont explosé un peu partout dans le monde avec la pandémie et que les gros acteurs de ce marché en ont profité, The Guardian s’intéresse à ces alternatives plus éthiques et sociales qui se sont créées en Europe.Elles se nomment Eraman en Espagne, Olvo en France ou encore Khora en Allemagne et ces entreprises ont un point commun : ce sont des coopératives. Elles sont dirigées par les travailleurs et se targuent d'être gouvernées démocratiquement. Comme le résume Cristina González, qui est coopératrice chez Eraman, “c'est un travail, mais c'est aussi plus que cela. Chez Eraman, vous êtes un maillon de la chaîne, un membre d'une équipe, chez Glovo, vous êtes un pion, la dernière position dans une hiérarchie.”Et ces coopératives utilisent un logiciel mis au point par la fédération de coopératives CoopCycle, qui a été lancée par des français il y a quelques années et qui compte désormais 67 coopératives dans sept pays et s'est étendue de l'Europe au Canada et à l'Australie.Les coopératives affirment que leur modèle économique est plus avantageux pour les restaurants et les usagers. Eraman, par exemple, fait payer aux restaurants entre 10 et 20 % de la valeur de la commande, alors que Deliveroo prend 32%, que la commission moyenne de Glovo est de 35% et que celle de Just Eat et Uber Eats est de 36,2%.Mais l’une des questions clés est la suivante : ces coopératives de livraison dirigées par des travailleurs peuvent-elles constituer une véritable alternative aux géants de la livraison ? Grand appétit pour le pain de mieBFM TV, Pourquoi le pain de mie aiguise l’appétit des industriels, 10/05/2021BFM nous apprend que l’entreprise espagnole Vicky Food va investir pas moins de 45 millions d’euros pour ouvrir sa première usine en France d'ici fin 2022.L’article précise que, selon les chiffres d’IRI, les ventes de la panification préemballée ont atteint 855 millions d'euros sur la période allant de mars 2020 à mars 2021 (soit +11,7% sur un an). Au sein de cette catégorie, le pain de mie représente plus de la moitié des ventes et est en progression de +7% sur un an. Et si 2020 a été une année atypique à bien des égards, les ventes de pain de mie ont encore progressé de 7% au 1er trimestre de cette année selon Nielsen.Le marché du pain de mie est dominé par deux acteurs : Harrys (filiale du groupe italien Barilla), qui représente environ un tiers des ventes, et Jacquet (filiale du groupe coopératif Limagrain), qui représente environ 15%. Les MDD pèsent quant à elles environ la moitié des ventes.  Après avoir été décrié pendant quelques années, notamment à cause de son apport calorique et des additifs le composant, le renouveau du pain de mie s’explique en partie par des innovations axées sur la nutrition (sans sucres ajoutés, affichage du Nutri-score, au seigle, au quinoa, à la farine d'épeautre…) et le développement d’offres bio.   Seconde vie pour le marc de raisinWine Spectator, A Second Life for Winemaking's Leftover Grape Skins, 28/04/2021Le marc de raisin est un sous-produit de la vinification qui peut peser jusqu'à 30 % du poids total du raisinet dont l’élimination pose problème car cela représente au global des milliers de tonnes de déchets par an.Mais une étude récente a révélé que ce sous-produit, composé de peaux, de tiges et de graines, pourrait être un complément de santé. En effet, des chercheurs de l'université de Californie ont découvert que le marc de raisin Chardonnay contient des quantités importantes d'oligosaccharides, un type d'hydrate de carbone présent dans divers tissus végétaux et humains. Des études sur les oligosaccharides ont révélé que ce composé contribue à promouvoir la santé immunitaire et intestinale.Ces résultats constituent une découverte intéressante, car ils pourraient ouvrir la voie à de nouveaux débouchés pour le marc de raisin, notamment sous forme de compléments alimentaires.Le papier de recherche est disponible ici. Découvrez l’émission Eat’s Businesshttps://businessofbouffe.com/podcast-eats-business Pour vous abonner à la newsletter Eat’s Businesshttps://businessofbouffe.com/revue-de-presse-eats-business-newsletter  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
5/18/202134 minutes, 47 seconds
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Food Karma #4 | Sandra Salmandjee alias Sanjee – Fondatrice de Bollywood Kitchen | Le bonheur de cuisiner indien

Sandra Salmandjee, alias Sanjee a quitté l'univers de la mode pour se consacrer à sa passion pour la cuisine indienne ! Elle a fondé Bollywood Kitchen, un blog de cuisine indienne inventive et moderne. Elle a de multiples casquettes : consultante, créatrice évènementielle, auteure culinaire et experte en contenu digital. Elle nous raconte comment la cuisine indienne s'est transmise dans sa famille, même si celle-ci a quitté l'Inde depuis plusieurs générations pour Madagascar. Elle partage plein d'idées pour partir en voyage en Inde au quotidien à partir de sa cuisine ! « J'ai beaucoup de jeunes de 20 ans qui m'écrivent pour me dire à quel point elles sont contentes que je retranscrive les recettes de leur famille dans mes livres. » Pour en savoir plus sur Bollywood Kitchen :Bollywood Kitchen, http://www.bollywoodkitchen.com/ Pour contacter Sandra Salmandjee alias Sanjee :Sandra Salmandjee (Sanjee) sur LinkedIn, https://www.linkedin.com/in/sandra-salmandjeeSanjee sur Instagram, https://www.instagram.com/sanjeebollywood/ Pour découvrir l'origine du podcast de Beena Paradin Migotto :https://businessofbouffe.com/podcast/food-karma-0 Pour découvrir les épisodes de Food Karma :https://businessofbouffe.com/podcast-food-karma Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
5/13/202126 minutes, 33 seconds
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Eat's Business #17 | Emmanuel Rubin commente les actus bouffe : réquisitoire contre les géants de la livraison de repas, casse-tête de la réouverture des restos et les nouveaux OGM

Dans ce nouvel épisode de Eat's Business, la revue de presse du Business de la Bouffe, Olivier Frey et Daniel Coutinho reviennent avec Emmanuel Rubin sur l'envers des plateformes de livraison, sur le casse-tête de la réouverture des restaurants ainsi que sur les nouveaux OGM bientôt dans nos assiettes européennes.Dans cet épisode, sont aussi évoqués Hectar l'école d'agriculture de Xavier Niel, CrowdFarming ou le Airbnb de l'agriculture, et Bialetti, le fabricant de l'emblématique cafetière italienne Moka.Réquisitoire d'Emmanuel Rubin contre les géants de la livraison de repasFront Populaire, Uber Eats - Deliveroo – Just Eat, Ces ennemis intimes de la restauration…, 23/04/2021Voici quelques extraits du réquisitoire :“Ils s’appellent Uber Eat, Just Eat, Deliveroo… Des entités florissantes de cette armée que l’on dira « financiarisée. » Des corps d’élite, sortes de GAFAM du food business, qui, le temps d’une crise, ont quasi installé leur idée de la restauration d’après. Celle d’une restauration nomade, montée en plateforme, préposée à la livraison à domicile, formatée dans le mondial et triomphant aujourd’hui en menant l’offensive dans les rangs mêmes d’un secteur fébrile et blessé.”“Un conflit entre deux approches de la restauration. D’un côté, encore une fois, la « financière », imposant la vision oxymoresque du resto chez soi : une restauration quasi virtuelle, productiviste, désincarnée, plus proche de la notion de service que des vertus de partage et généralement sans grande plus-value gastronomique, tout entière dévolue à confiner l’appétit à résidence. Face à elle, une restauration indépendante, d’esprit artisanal, souvent familiale, ancrée dans le paysage et la tradition, nourrie par un large tissu de moyennes, petites et très petites entreprises.”“L’idée est simple comme le vice : profiter du restaurant pour mieux l’assujettir, l’asservir bientôt, en lui faisant miroiter la complémentarité et les promesses de nouvelles sources de revenus, d’une communication contemporaine, l’élargissement à un public plus jeune.”“Et pour mieux l’affaiblir, autant la soumettre en faisant mine de l’accompagner. Bonne vieille parade du cheval de Troie où les fameux grands chefs, si souvent pressés de s’exhiber en porte-voix de la gastronomie, s’avèrent, dans le duel, d’un mutisme complet, d’une bienveillance naïve voire d’une duplicité très active.”Le casse-tête de la réouverture des restaurantsLes Echos, Restaurants : le casse-tête de la réouverture en quatre questions, 03/05/2021Evidemment c’est la bonne nouvelle de la semaine écoulée. Le Président vient en effet de donner un horizon à nos amis restaurateurs après plus de 6 mois de refermeture.Cela se fera par étapes, avec une réouverture des terrasses le 19 mai et des salles le 9 juin (mais avec une jauge limitée à 50 % de la capacité) avec un couvre-feu repoussé à 23 heures.L’article s’est donc posé 4 questions par rapport à cette réouverture :Est ce rentable de rouvrir dès le début ? : seuls 25 à 30 % des établissements disposent d'une terrasse. Et pour certains d'entre eux ouvrir pour n’avoir de l'activité qu’avec la terrasse n'est pas rentable.Comment retrouver ses salariés ? : après une si longue période de fermeture certains salariés ont décidé de se réorienter et pour d’autres il y a des inquiétudes à propos de leur forme physique et psychologique.Que se passe-t-il côté approvisionnement ? : comment les producteurs travaillant avec les restaurateurs ont-ils passé la crise?Les clients seront-ils au rendez-vous ? : selon Food Service Vision, une personne sur deux projette d'aller au restaurant dans les quinze jours suivant la réouverture.L'arrivée des nouveaux OGM en EuropeLes Echos, Agriculture : les « nouveaux OGM », révolution sous haute tension, 01/05/2021Qu’ils soient appelés « Nouveaux OGM » ou « nouvelles techniques génomiques » (NTG), les produits agricoles issus de l’édition génomique font débat depuis maintenant plusieurs années et sont strictement encadrés par le législateur européen. Mais un récent rapport de la Commission européenne sur le sujet pourrait changer la donne pour leur avenir.En effet, pour les auteurs de ce rapport, ces techniques (dont la plus célèbre est CRISPR-Cas9, qui a valu à la Française Emmanuelle Charpentier le prix Nobel de chimie en 2020) ont certaines vertus. Elles permettent par exemple de rendre les plantes “plus résistantes aux maladies et aux conditions environnementales ou aux effets du changement climatique”, d’améliorer les “caractéristiques agronomiques ou nutritionnelles”, de réduire l’utilisation des intrants agricoles (y compris les produits phytosanitaires) et d'effectuer une sélection végétale plus rapide.La différence entre les OGM et les NTG est avant tout technique. Selon l’article, un OGM a pour objectif “d’altérer le génome d'un être vivant en y insérant un ADN étranger” (ce que l’on nomme la transgenèse) alors qu’un NTG “cherche à favoriser l'apparition d'un caractère en modifiant un gène déjà présent dans le génome” (ce que l’on nomme mutagenèse). Mais comme l’explique Peter Rokowsky, directeur de recherche en génomique végétale à l'Inrae, en Europe “on est plus ou moins obligé de parler d'OGM (…) parce que la réglementation actuelle les classe comme des OGM”, ce qui n’est pas le casaux Etats-Unis, au Canada, en Amérique latine, en Australie, au Japon ou en Israël.  Enfin, toujours selon les auteurs du rapport, ces biotechnologies pourraient également aider les agriculteurs à tenir les objectifs fixés par le Pacte vert de l'UE (diviser par deux l'usage des pesticides et de 20 % des engrais d'ici 2030) sans provoquer d'effondrement de la production ou de flambée des prix alimentaires.Hectar, l'école d'agriculture de Xavier Niel prépare son ouvertureLe Figaro, L’école d’agriculture de Xavier Niel prépare son ouverture, 29/04/2021 + Le Parisien, Lévis-Saint-Nom: Ferme-école de Xavier Niel... « Nous allons former des chefs d’entreprise agriculteurs », 30/04/2021Nous en avions parlé début mars. On en sait désormais un peu plus sur le projet Hectar car la directrice Audrey Bourolleau a donné plusieurs interviews dans la presse la semaine dernière.Hectar a pour ambition de former et sensibiliser 2 000 personnes à l’agriculture par an. D’ailleurs Audrey Bourolleau insiste sur la terme “chefs d’entreprise agricole” qui, comme le précise Le Figaro, lui tient à cœur car “il faudra à ces nouveaux agriculteurs un solide bagage économique pour faire prospérer leurs fermes dans de bonnes conditions”. Autre objectif d’Hectar : développer l’attractivité des métiers de l’agriculture afin de “redonner du sens à ces professions”. Enfin, Hectar comprend à la fois un campus de formation, des espaces de recherche et d’expérimentation, un accélérateur de startups (pouvant accueillir à terme pas moins de 50 startups), ainsi que des espaces de séminaires et pédagogiques.Au niveau des formations proposées, il y aura deux offres :la première est un parcours “chef d’entreprise agriculteur” qui se déroule sur six mois et propose des cours pour savoir comment acquérir du foncier, se mettre au bio, à quel distributeur s’adresser… Gratuite et ouverte à tous, elle s’adresse notamment à des personnes en reconversion.la seconde propose 400 heures de formation à destination de celles et ceux qui veulent devenir salarié(e) agricole.Le Airbnb de l'agriculture : adopter ses arbres et plants de vignesEuronews, What is Airbnb Farming and Could It Improve Wasteful Supply Chain?, 06/04/2021Euronews nous raconte l’histoire d’une success story espagnole.Tout a commencé en 2011, lorsque les frères Úrculo ont cherché à relancer l'entreprise fruitière familiale. Ces derniers ont rapidement rencontré des problèmes, que ce soit les prix bas payés pour leurs produits ou le fait qu’une partie de la récolte était toujours gaspillée parce qu'ils ne pouvaient pas la vendre.En réponse, ils ont eu l'idée de supprimer les intermédiaires et de récolter les fruits "à la demande" pour des clients individuels. Ils ont d’abord mis leurs arbres en "adoption", permettant aux gens de payer pour l'entretien de chaque arbre en échange de la récolte lorsque celle-ci était prête.En 2017, ils ont lancé CrowdFarming.com, une plateforme qui fonctionne un peu comme Airbnb pour l'agriculture. Les clients peuvent se connecter, se renseigner sur une ferme, sur les personnes qui la dirigent et sur les méthodes qu'elles utilisent. Ils peuvent ensuite adopter une plante ou une partie d'un champ pour recevoir la récolte - qu'il s'agisse d'avocats en Espagne, de pommes de terre en Allemagne ou même de vin en France.Le site a bénéficié à plein de la pandémie et a notamment triplé ses ventes et doublé le nombre d'agriculteurs adhérant au programme en 2020. CrowdFarming affirme qu'il approvisionne désormais près de 200 000 ménages en Europe.Bialetti, fabricant de l'emblématique cafetière italienne Moka, renaît de ses cendresFortune, An indestructible Italian icon, the Moka pot is making a comeback with pod-snubbing coffee fans—and investors, 24/04/2021Alors que Bialetti, le fabricant de l'emblématique cafetière italienne Moka, était au bord de la faillite il y a à peine trois ans, Fortune s’intéresse au renouveau de cette marque. Son succès récent est dû à un regain d’intérêt pour le café à domicile ainsi qu’au relooking de l’emblématique cafetière qui fête ses 88 ans.Il faut dire que cette cafetière est une institution en Italie. Et l’article décrit parfaitement le processus de préparation du café et son “expérience sensorielle”. Ainsi, “il y a le bruit grave du métal sur le métal lorsque les chambres du haut et du bas se vissent”. Puis, “quelques minutes plus tard, vous entendez le gargouillis du café lorsque l'eau bouillante monte en bouillonnant à travers les grains”. On parle même de “rituel” pour cette préparation du café.On apprend également que la cafetière a été créé en 1933 par Alfonso Bialetti, un ouvrier de l'aluminium qui s’est inspiré des machines à laver de l'époque. La société éponyme fondée par Bialetti en a vendu plus de 200 millions d’exemplaires depuis et trois foyers italiens sur quatre en possèdent une.Pourtant, en 2018, Bialetti était endettée de plus de 70 millions d'euros et souffrait de la concurrence des machines à café à capsules. Mais Fortune explique également que la faiblesse commerciale de Bialetti c’est le fait que ses cafetières Moka sont pratiquement indestructibles. Le redressement de l’entreprise s’est donc fait grâce à une nécessaire stratégie de diversification. Bialetti s’est ainsi lancé dans le café moulu avec une nouvelle marque "Perfetto Moka" en plus d'une gamme de mugs, de tasses et d'autres articles lié au café comme des moulins à café et même des cafetières non traditionnelles comme la “French press”.Finalement, comme l’explique Jake Leonti, rédacteur en chef du magazine Coffee Talk "Je vois les cafetières Moka Express un peu comme des disques vinyles face aux CD et aux MP3 représentés par les machines à café à dosettes. Et on voit à quel point le vinyle se porte bien aujourd'hui".Découvrez l’émission Eat’s Businesshttps://businessofbouffe.com/podcast-eats-business Pour vous abonner à la newsletter Eat’s Businesshttps://businessofbouffe.com/revue-de-presse-eats-business-newsletter Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
5/11/202144 minutes, 32 seconds
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Eat's Business #16 | Repas dans l'espace, variété de café résistante au réchauffement climatique et record de consommation de viande en 2021 | avec la participation de David Nigel Flynn de Cafés Belleville

Dans ce nouvel épisode de Eat's Business, la revue de presse du Business de la Bouffe, Olivier Frey et Daniel Coutinho reviennent sur le “Coffea stenophylla”, cette variété de café résistante au réchauffement climatique avec la participation de David Nigel Flynn de Cafés Belleville, sur la composition des repas dans la station spatiale internationale, ainsi que sur un nouveau record de consommation de viande prévu pour 2021.Dans cet épisode, sont aussi évoqués l'essoufflement du secteur bio, l'impact des désordres climatiques sur le vin, et les conséquences internationales du changement d'alimentation des animaux chinois. Mauvais temps pour le bioLe Figaro, Coup de froid sur l’eldorado du bio, 25/04/2021Lancé en juin 2018, le programme "Ambition Bio 2022" s’était fixé pour objectif d’arriver à 15 % des surfaces agricoles françaises en agriculture biologique d'ici à 2022. Le ministre de l’Agriculture Julien Denormandie vient tout récemment d’admettre qu’il ne sera pas tenu. D’ailleurs, l’article précise qu'avec la crise, les consommateurs se ruent moins sur les produits bio et que, par conséquent, le rythme des conversions est à surveiller.Ainsi, dans les fruits et légumes, l’interprofession Interfel affirme que “les très nombreuses surfaces qui arrivent en fin de conversion ne sont plus en adéquation avec le tassement des ventes de fruits et légumes bio”. Dans le lait, les deux grandes coopératives Agrial et Sodiaal ont décidé de stopper les nouvelles conversions jusqu’à fin 2021 afin d’avoir “le temps d'absorber les surplus de volumes issus des dernières bascules en bio”. Le président d’Agrial est même catégorique lorsqu’il affirme “nous n'initions plus de conversions car les débouchés ne sont pas là”.Et comme l’explique Sabrina Laroche de chez Kantar Worldpanel, hormis lors du 1er confinement, la hausse des achats de produits bio a été moins forte que sur l'ensemble des produits de grande consommation ». Ceci a eu pour conséquence une stagnation de la part des produits bio dans les achats alimentaires en grandes surfaces en 2020 (à 5,6%).  Au final, comme le résume Laurent Gradin d’Interfel, « la question, c'est de savoir si nous sommes à un palier ou à un plafond ». Une variété de café résistante au réchauffement climatiqueThe Economist, How to save coffee from global warming, 24/04/2021Voilà une bonne nouvelle pour tous les amateurs de café. Et celle-ci se nomme “Coffea stenophylla”.Il faut dire qu’avec le réchauffement climatique l’approvisionnement en café est de plus en plus en difficulté. The Economist nous apprend que le marché actuel du café est dominé par “Coffea arabica”, et “Coffea canephora”, plus communément appelé robusta.L'arabica est originaire des hauts plateaux d'Éthiopie et du Sud-Soudan. Il préfère des températures de 18 à 22°C. À mesure que les températures augmentent, le nombre d’endroits où il peut pousser diminue.Le robusta est originaire d'Afrique centrale et occidentale, et pousse à des altitudes plus basses. On pensait autrefois qu'il était capable de supporter des températures de 30°C, mais des travaux récents suggèrent qu'il ne s'épanouit pas au-dessus de 24°C. Par ailleurs, s’il représente la meilleure alternative à l’arabica, le robusta est tout de même gustativement inférieur.Néanmoins, comme l’explique le Dr Aaron Davis, qui travaille aux Jardins botaniques royaux de Kew, en Grande-Bretagne, on recense 124 espèces de café différentes qui existent à l'état sauvage. Si certaines d'entre elles poussent dans des conditions beaucoup plus sèches et beaucoup plus chaudes que l’arabica, “elles ont un goût dégoûtant”. Ainsi, lorsque ce dernier est tombé sur un article rédigé en 1834 par George Don, un botaniste écossais, mentionnant le “Coffea stenophylla”, cela a suscité son intérêt. Il a notamment découvert que le stenophylla pousse dans certaines régions de la Guinée, de la Sierra Leone et de la Côte d'Ivoire où la température oscille entre 24 et 26 °C. Il semble résistant à la chaleur, mais surtout les experts affirment que sa qualité est similaire à celle de l'arabica. Par conséquent, ce grain de café, que l'on croyait perdu à la fin du siècle dernier, pourrait donc bien sauver les amateurs de café.Pour ceux qui veulent aller plus loin sur le thème du café :le papier publié dans Nature Plants par Aaron Davis et ses co-auteurs est disponible icides statistiques et des graphiques animés que réalisés par Olivier Frey sur le marché mondial du café à découvrir ici pour connaître les principaux pays producteurs, exportateurs et importateurs.  Conséquences des désordres climatiques sur le vinLes Echos, Climat : cinq questions sur le sort promis au vin français, 25/04/2021L’article répond à 5 questions pertinentes suite à l’épisode de gel de ce mois-ci.1. Le gel fait-il plus de dégâts dans la vigne que la grêle ou la sécheresse ? : comme la grêle peut tomber n'importe quand dans l'année, il n'y a pas de solution. La sécheresse est plus structurelle mais les épisodes de chaleur devraient se multiplier. Si la vigne supporte très bien le gel l'hiver jusqu'à moins 20 degrés quand elle est au repos, au printemps le gel est plus compliqué à gérer.2. Une vigne qui a gelé est-elle durablement abîmée ? :il existe des variétés de vigne qui peuvent refaire des bourgeons grâce à des rameaux secondaires mais ceux-ci font moins de fleurs et donc moins de raisins.3. Faut-il changer les cépages ? : sur ce point les mentalités évoluent. 4. Certains cépages sont-ils menacés de disparition ? : certains sont plus fragiles que d’autres car ils sont plus précoces et donc plus exposés au gel de printemps.5. Quelle est l'incidence du réchauffement sur la qualité du vin ? :la chaleur va augmenter le taux de sucre ainsi que le degré d'alcool. Qu'est-ce qu'on mange dans l'espace ?New York Times, It’s Dinner Time on the Space Station. Lobster or Beef Bourguignon?, 22/04/2021Le NYT s’est intéressé aux repas que Thomas Pesquet a emportés avec lui sur la station spatiale internationale. Entre le homard, le bœuf bourguignon, les galettes de pommes de terre aux champignons et les tartelettes aux amandes et aux poires caramélisées, comme l’a bien résumé Thomas Pesquet, “il y a beaucoup d'attentes lorsque vous envoyez un Français dans l'espace”.Comme l’illustre le NYT, les repas en atmosphère ont souvent été le parent pauvre des expéditions spatiales. En 1961, Youri Gagarine avait pour repas un pressé de boeuf réduit en purée ainsi que de la sauce au chocolat mais conditionnés dans des sortes de tubes de dentifrice. Quelques mois plus tard, John Glenn se contentait pour sa part d’avaler de la compote de pommes.Cette année, les astronautes dégusteront des plats préparés par trois institutions culinaires françaises (les chefs Alain Ducasse et Thierry Marx mais également Servair, la société de restauration qui travaille pour Air France). Comme le rappelle le NYT, les astronautes de la station spatiale ne vont pas manger du homard et du bœuf bourguignon tous les jours car ces plats seront réservés aux occasions spéciales comme les anniversaires.La nourriture à destination des expéditions spatiales doit répondre à quelques impératifs :La plupart des aliments sont lyophilisés, l'eau étant extraite, afin de réduire leur taille et leur volume.D'autres aliments sont chauffés à haute température pour tuer les germes, afin qu'ils puissent rester à température ambiante, enfermés dans des boîtes de conserve et des sacs en plastique, pendant quelques années avant d'être consommés.Elle ne doit pas être friable pour ne pas qu’elle se désintègre en morceaux qui pourraient être inhalés ou flotter dans l’air ambiant.Pour la santé des astronautes, les aliments sont généralement pauvres en sodium, en sucre et en graisses.Enfin, l'alcool est interdit, ce qui est, comme le dit bien le NYT, “un défi particulier pour la cuisine française qui fait la part belle au vin”. Parmi les futurs défis alimentaires dans l'espace : la cuisson et la culture de plantes. Cela deviendra crucial pour les missions plus longues, comme les voyages vers Mars, car il n’y aura pas de vaisseaux de ravitaillement. Des records de consommation de viande en 2021...MIT Technology Review, We’re on track to set a new record for global meat consumption, 26/04/2021Un article consacré à la viande qui va un peu à rebours de toute la frénésie autour des protéines végétales et des alternatives à la viande. Il fait notamment écho à l’appel de Bill Gates qui, dans son dernier livre, affirme que “tous les pays riches devraient passer au bœuf synthétique à 100%”.Tout d’abord, l’article rappelle que les terriens devraient manger plus de viande en 2021 que jamais auparavant. La FAO prévoit en effet que la consommation mondiale de viande augmentera de plus de 1% cette année et la croissance la plus rapide se produira dans les pays à revenu faible ou intermédiaire. Mais comme l’explique l’article, “il est peu probable que l'on puisse inverser cette tendance en essayant de détourner les goûts des gens de la viande”. En effet, même si aux États-Unis la consommation de bœuf par habitant a considérablement diminué ces dernières années, elle reste plus élevée que dans presque tous les autres pays.L’article passe ensuite en revue les différentes solutions existantes pour réduire l’impact écologique de la viande dans ce contexte.Si les substituts à la viande, que ce soit à base de protéines végétales ou de viande “cultivée”, semblent intéressants, l’article rappelle que ces alternatives “ne peuvent que modérément réduire la production animale”. En effet, il n'existe tout simplement pas de substituts à base de plantes ou de cellules dont le goût, l'apparence et la sensation sont similaires à ceux des morceaux de viande entiers comme des côtes de porc ou un onglet de boeuf. Et ces morceaux entiers représentent une part importante de la consommation de viande (40% de la consommation de bœuf aux États-Unis, par exemple).L’autre solution à ne pas négliger selon l’article est de trouver le moyen d'élever du bétail sans générer autant d'émissions de gaz à effet de serre. Des entreprises travaillent déjà sur des méthodes prometteuses permettant aux éleveurs de réduire leurs émissions (voir un exemple dans l’article suivant). Ainsi, selon l’article, l'intensification de la production bovine, par exemple en fournissant des aliments à base de plantes et en augmentant la productivité des pâturages, est l'une des meilleures possibilités de réduire l'utilisation des terres agricoles et les émissions au niveau mondial.Car comme le résume bien l’article “nous ne devons pas fonder nos espoirs sur la perspective de voir des milliards de personnes “arrêter de manger de la viande” d'un seul coup”. Moins de soja et de maïs pour l'alimentation animale en Chine - des conséquences internationalesReuters, Reshaping grain trade? China moves to change animal feed recipes, 21/04/2021La Chine fait désormais la pluie et le beau temps sur les principaux marchés agricoles mondiaux, et notamment sur celui des céréales. La Chine est notamment le premier acheteur mondial de maïs et de soja. Chaque année, la Chine consomme environ 175 millions de tonnes de maïs et importe près de 100 millions de tonnes de soja qui sont utilisés pour l'alimentation animale, selon les données du ministère de l'agriculture.Le ministère de l'agriculture chinois vient de publier de nouvelles directives recommandant de réduire la quantité de maïs et de soja dans l'alimentation des porcs et des volailles, Le ministère a ainsi déclaré que le riz, le manioc, le son de riz, l'orge et le sorgho pouvaient également remplacer le maïs, tandis que la farine de colza, la farine de coton, la farine d'arachide, la farine de tournesol, les drêches de distillerie, la farine de palme, la farine de lin, la farine de sésame et les sous-produits de la transformation du maïs constituaient de bonnes options pour remplacer la farine de soja. Ces nouvelles directives vont donc forcément impacter le flux des céréales au niveau mondial. Mais, selon des analystes, il est difficile de donner des estimations sur le niveau de la baisse de la consommation de maïs et de farine de soja qui fera suite à ces directives. Découvrez l’émission Eat’s Businesshttps://businessofbouffe.com/podcast-eats-business Pour vous abonner à la newsletter Eat’s Businesshttps://businessofbouffe.com/revue-de-presse-eats-business-newsletter  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
5/4/202132 minutes, 36 seconds
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Food Karma #3 | Pascal Beillevaire – Fondateur des fromageries Beillevaire | Rendre accessibles les bons produits laitiers au plus grand nombre

Dans le marais breton vendéen, Pascal Beillevaire a bâti un groupe de familial qui fait aujourd’hui plus de 100 millions d'euros de chiffre d'affaires. Il a su brillamment mettre ses produits à grande échelle tout en gardant la philosophie de goût et de qualité initiale. Il entretient un cercle vertueux où les producteurs, les collaborateurs et les clients sont heureux. Pascal Beillevaire est très curieux de tous les usages nouveaux autour des produits laitiers : c'est ainsi qu'il a fait un ghee indien en collaboration avec Beena. Il est respectueux du savoir-faire artisanal et se donne le temps de fabriquer de bons produits : il évoque le processus long et respectueux des saisons pour arriver à un fromage de qualité. C'est un grand hédoniste : il partage avec générosité son art de vivre à la française, de comment composer son plateau de fromages à comment l’accompagner de vin et de pain ! Un entretien passionnant qui ne vous laissera pas sur votre faim. « Nos consommateurs nous permettent tous les jours, par leur acte d’achat, de distribuer cette échelle de valeur à chacun des acteurs. » Pour en savoir plus sur les Fromageries Beillevaire :Fromagerie Beillevaire, https://www.fromagerie-beillevaire.com/Pour contacter Pascal Beillevaire :LinkedIn, https://www.linkedin.com/in/pascal-beillevairePour découvrir l'origine du podcast de Beena Paradin Migotto :https://businessofbouffe.com/podcast/food-karma-0Pour découvrir les épisodes de Food Karma :https://businessofbouffe.com/podcast-food-karma Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/29/202129 minutes, 50 seconds
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Eat's Business #15 | Restauration collective, la Russie nouveau leader de l'agroalimentaire et vieillissement artificiel de whisky

Dans ce nouvel épisode de Eat's Business, la revue de presse du Business de la Bouffe, Olivier Frey et Daniel Coutinho reviennent sur le nouvel élan de la restauration collective, sur la Russie nouveau leader de l'agroalimentaire ainsi que sur le vieillissement artificiel de whisky.Dans cet épisode, sont aussi évoqués l'expansion de Frichti, la startup Lyveat et son service de livraison de restaurants dans les villes moyennes, le système d'assurance chez les agriculteurs et la grande distribution qui soutient les fraises espagnoles. La restauration collective fait peau neuveLes Echos, Comment les géants des cantines se convertissent aux nouvelles pratiques de la restauration, 17/04/2021Les trois grands acteurs de la restauration collective (Compass, Elior et Sodexo) ont tous mis en place une stratégie spécifique face aux changements que connaît le secteur. Sodexo et Elior ont misé sur le rachat de startup, en reprenant respectivement FoodChéri en 2018 et Nestor en 2021. Compass a, pour sa part, choisi de lancer une nouvelle offre sous la marque “Popote”.Les plats proposés sous la marque Popote ont été imaginés en interne par les chefs de Compass à partir de produits frais et de saison. Ils sont préparés chaque jour dans un atelier à Courbevoie et sont livrés, sans intermédiaire, aux entreprises ou aux télétravailleurs.L’offre de Popote est ainsi adaptée à toutes les tailles d'entreprise et se décline en 3 options sur site :un corner avec des vitrines chaudes et froides en libre-service et un espace convivial où consommerun simple comptoir clic and collect où retirer une commande à emporterun frigo connecté couplé à un micro-ondes. Comme le précise Pierre-Antoine Gallet, directeur des opérations de Popote, « Cela nous permet d'adresser des TPE et PME, de 50 à 400 collaborateurs, 80 à 300 couverts par jour que nous ne touchions peu ». Compass a déjà écoulé près de 150 000 repas avec Popote et vise un doublement des volumes d'ici à la fin de l'année. Frichti à la conquête de nouveaux horizonsLe JDD, Livraisons de repas : Frichti à toute vapeur, 13/04/2021Lancée en 2015, la startup Frichti a depuis levé 43 millions d’€ et emploie désormais 350 personnes. Elle est installée à côté de Rungis où elle possède une cuisine de plusieurs milliers de mètres carrés.L’article nous apprend qu’avant la pandémie de Covid-19, les 2/3 du chiffre d’affaires de Frichti dépendaient des livraisons dans les bureaux. La pandémie a donc forcé les deux fondateurs à repenser rapidement leur business model. Frichti prévoit donc de s’étendre au delà de Paris et compte s’implanter dans 4 autres villes (Lyon, Bordeaux, Nantes et Lille) avant fin 2021.Au delà de la livraison de repas, cœur de métier historique de l’entreprise, Frichti compte également se développer dans la livraison de courses à partir de ses propres dark stores. Son “Frichti Market” est déjà un succès, avec un chiffre d’affaires qui a triplé depuis septembre 2020. Frichti a d’ailleurs déjà implanté 18 dark stores dans Paris et son assortiment est passé de 350 à 1200 produits. Lyveat : service de livraison de restaurant dans les villes moyennesLe Progrès, Lyveat livre les plats des restaurateurs jusqu'à 30 km,  14/04/2021Focus sur une autre startup française spécialisée dans la livraison qui se nomme Lyveat. Lancée en décembre 2019 dans l'Ain, celle-ci se différencie des mastodontes Uber Eats et Deliveroo car elle cible en priorité les villes moyennes (entre 5 000 et 60 000 habitants). Elle est désormais présente dans près de 120 villes, emploie plus de 450 livreurs et propose ses services dans un rayon de 30 km autour du restaurant, avec une livraison garantie en moins d'une heure. Comme l’explique Enzo Chagny, l’un des co-fondateurs, “nos commissions sont beaucoup plus faibles que les autres prestataires. En plus, la totalité des frais de livraisons est reversée au livreur”. Ainsi, les livreurs perçoivent 1€ par km plus 2€ de prise en charge.L’entreprise s’est fixé pour objectif d’être implantée dans 350 villes à l'été 2022. Peu d'agriculteurs assurés contre les intempériesLe Parisien, Gel : pourquoi aussi peu d’agriculteurs sont assurés, 16/04/2021Selon les chiffres de la Fédération française de l’assurance (FFA), seulement 32% des viticulteurs et moins de 4% des surfaces arboricoles sont assurés contre le gel.Selon l’article, c’est avant tout une question de prix : un contrat d’assurance multirisque climatique est jugé trop cher par de nombreux agriculteurs. Ainsi, selon un arboriculteur « pour une assurance moyenne des cerisiers, il faut compter 1 500 euros par hectare avec une franchise de 20% ». Il y a également un problème au niveau du seuil de déclenchement de ces assurances. Ainsi, selon la directrice du marché agricole chez Groupama, “il faut que l’agriculteur ait 30% de pertes de rendement et 13% de pertes de chiffre d’affaires pour que l’assurance se déclenche”.Et par ailleurs, s’il existe bien un fonds national de garantie des calamités agricoles, celui-ci ne permet d’indemniser qu’à partir d’un seuil de 30% de baisse de revenus. Néanmoins, comme le précise le directeur général de la FFA, “dans l’esprit des agriculteurs, ce fond de calamités agricoles peut donner le sentiment d’une protection gratuite. S’il peut intervenir, alors pourquoi s’assurer ?”. La Russie, nouveau leader mondial de l'agroalimentaireL’Express, Comment la Russie est devenue un des leaders mondiaux de l'agroalimentaire, 04/04/2021On ne le sait pas forcément, mais la Russie est devenue en quelques années un poids lourd de l’agriculture et de l’agroalimentaire.Tout a commencé en 2014. Cette année-là, l’Union Européenne et les Etats-Unis ont imposé des sanctions financières et politiques à la Russie suite à l'annexion de la Crimée. En réponse, Vladimir Poutine a décrété la mise en place d’un embargo strict sur tous les produits alimentaires venus d'Europe. Ainsi, du jour au lendemain, les fruits, légumes, produits laitiers, viande, céréales européens ont disparu des étals des magasins russes. Mais cette mesure n’a pas seulement privé les agriculteurs européens d’un débouché important, elle a également apporté une impulsion au développement de l’agriculture russe. Comme l’explique Mikhaïl Makarov, représentant commercial de la Russie en France, “dès le départ, ces contre-sanctions ont été conçues comme un outil de lutte géopolitique et comme une chance pour les producteurs russes”.Et la Russie s’est donnée les moyens de ses ambitions. Ainsi, en 2021, la Russie compte investir plus de 77 milliards de roubles (857 millions d'euros) dans son programme d'Etat de développement de l'agriculture. Et l’agriculture russe fait dans la démesure. Comme l’explique Olga Golovkina, spécialiste du marché de l'agriculture russe et directrice commerciale de la Maison des entrepreneurs français, plus de 50% des terres agricoles russes sont exploitées par des ‘agro-holdings”, qui sont ni plus ni moins que des entreprises exploitant au minimum 100 000 hectares (et parfois même jusqu’à 600 000 hectares) pour les productions végétales et jusqu’à 50 000 vaches dans le lait. On est donc très loin de la taille moyenne d’une exploitation agricole française… Manque de soutien à l'agriculture française dans la grande distribution180°C, Quand la grande distribution soutient la fraise d’Espagne, 15/04/2021Un édito en forme de piqûre de rappel pour les acteurs de la grande distribution.Comme le dit bien Philippe Toinard, le rédacteur en chef de 180°C, “On y a cru un instant en janvier dernier quand Carrefour, par la voix de son directeur des produits frais et traditionnels, annonçait fièrement qu’il n’y aurait pas de fraises en janvier dans les rayons de cette enseigne” arguant notamment que “ce n’est pas de saison, elles manquent terriblement de goût…”Mais 3 mois plus tard, Carrefour diffusait un spot radio annonçant des barquettes de fraises de 500 grammes à 0,95 euros et évidemment à ce prix ce sont des fraises d’Espagne. Du whisky vieilli en quelques joursFinancial Times, Whisky world at war as tech allows spirits to be ‘aged’ instantly, 16/04/2021C’est un sujet que nous avions déjà abordé (et le Financial Times en était déjà à l’origine) en octobre dernier.Bryan Davis, cofondateur de la distillerie Lost Spirits affirme qu’il peut faire vieillir des spiritueux pour obtenir un résultat équivalent à celui de spiritueux ayant passé des décennies en fûts mais cela en seulement quelques jours. Il fait partie d’une poignée de startups, avec notamment Bespoken Spirits et Cleveland Whiskey, qui pense que la science peut les aider à contourner le processus de vieillissement en fût. Elles expérimentent le "vieillissement" du whisky, du rhum et d'autres spiritueux en utilisant la chaleur, la lumière, le son, la pression, de minuscules fragments de bois, des réacteurs brevetés et des combinaisons de tous ces éléments.Bryan Davis pense d’ailleurs qu’il est “très probable que ce soit la façon dont tout le monde fabriquera [les spiritueux vieillis] dans 100 ans”.Et évidemment, sur un marché des spiritueux estimé à 500 milliards de dollars au niveau mondial, ces procédés de maturation rapide possèdent certains avantages. Ils permettraient d'économiser les coûts considérables induits par les nombreuses années de stockage à vieillir dans des fûts (on estime par exemple qu'environ 22 millions de barils de whisky mûrissent en Écosse). Il serait également beaucoup plus facile pour les fabricants de spiritueux de suivre la demande du marché plutôt que de tenter l’impossible tâche de l'anticiper des décennies à l'avance. Enfin, cela permettrait de répondre à la demande d'un nombre croissant de consommateurs qui aiment les spiritueux mais n’ont pas forcément les moyens de s'offrir un single malt de 20 ans d'âge.Mais ces procédés font bien évidemment fortement débat. Alan Park, directeur juridique de la Scotch Whisky Association, considère que ces produits sont essentiellement des contrefaçons, notant que de nombreux pays ont des définitions légales du whisky qui exigent une période spécifique de vieillissement en fût. Découvrez l’émission Eat’s Businesshttps://businessofbouffe.com/podcast-eats-business Pour vous abonner à la newsletter Eat’s Businesshttps://businessofbouffe.com/revue-de-presse-eats-business-newsletter  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/27/202138 minutes, 23 seconds
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Sur le Champ #6 | Agriculture et vie monastique | Sœur Marine – Abbaye de Boulaur

Bienvenue à l’Abbaye de Boulaur (@abbayedeboulaur), une abbaye de sœurs cisterciennes fondée en 1949 dans le Gers. Bien plus qu’une ferme, l’abbaye de Boulaur est un lieu unique où se rencontrent agriculture et spiritualité, travail et prière, terre et ciel.Ambre et Camille sont allées à la rencontre de cette communauté, constituée de 31 sœurs, entre 25 et 94 ans, au sein de laquelle règne un bel équilibre entre retour à la terre et tradition monastique. Fidèles à la règle de Saint Benoît, nos journées sont bien remplies, rythmées par les 7 offices et le travail agricole. Puis le soir “complies et au lit !”L’objectif de la communauté est de tendre vers une autosuffisance, c’est pourquoi à Boulaur, on trouve des vaches, des poules, un potager, un verger, une fromagerie, une meunerie… et bientôt les cochons feront leur grand retour ! Le magasin de l’abbaye, lieu de rencontres et de partage, propose une palette de produits, confectionnés par leurs soins, allant de la confiture à la farine en passant par le pâté.Nous découvrons chaque jour cette symbiose moniale, harmonieuse et fructueuse. Nous apprenons à prendre le temps, à privilégier le beau au rapide, la fécondité à l’efficacité, le durable à l'instantané. Ici, à Boulaur, on construit pour la vie, on cultive la vie et on célèbre la vie.« Être en contact avec la création, et avec les créatures, les bêtes, les animaux, nous aide à être en louange avec le créateur. Tout ça n’existe que parce que ça nous est donné. » Pour en savoir plus sur l'abbaye de Boulaur :Abbaye de Boulaur, https://www.boulaur.org/Pour contacter les sœurs cisterciennes :Par e-mail : contact-web@boulaur.orgSur Instagram : https://www.instagram.com/abbayedeboulaur/Pour contacter Camille Fournier et Ambre Germain :https://www.instagram.com/surlechamp2020/Pour découvrir l'origine du podcast Sur le Champ :https://businessofbouffe.com/podcast/sur-le-champ Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/21/202136 minutes, 16 seconds
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Eat's Business #14 | Conséquences du gel sur la viticulture française, nouveau livre antigaspi de Estérelle Payany et l'évolution de la FoodTech en 2020 | avec la participation de Estérelle Payany, journaliste et critique culinaire

Dans ce nouvel épisode de Eat's Business, la revue de presse du Business de la Bouffe, Olivier Frey et Daniel Coutinho reviennent sur les conséquences du gel sur la viticulture et l'arboriculture française, le nouveau livre de recettes anti-gaspillage d'Estérelle Payany, ainsi que sur l'évolution de la FoodTech en Europe en 2020.Dans cet épisode, sont aussi évoqués la filière asperge française, le groupe Avril qui se sépare de ses activités liées aux protéines animales, le faux-mage ou fromage végétal, et le retour du vin envoyé dans l'espace par la startup française Space Cargo Unlimited. Episode de gel catastrophique pour l'agriculture françaiseLe Figaro, Au chevet des vignobles, un cauchemar de feu et de glace, 08/04/2021Les Echos, Le gel menace la production 2021 des grands vignobles français, 09/04/2021Marianne, Vignoble ravagé par le gel : « une marque claire et nette du changement climatique », 09/04/2021Les Echos, Les récoltes de fruits de la vallée du Rhône compromises par le gel historique, 09/04/2021Une série d’articles consacrés à l’épisode de gel de la semaine dernière, qui a été reconnu comme l’un des pires que l’agriculture française ait jamais connu.Dans le premier article, le journaliste a suivi un viticulteur bourguignon lors d’une des premières nuits de gel. Malgré toute la technologie actuellement disponible, le viticulteur précise que le bon vieux thermomètre à mercure reste « le seul indicateur de température vraiment fiable ». Cela s’explique également par le fait que certains domaines viticoles sont encore situés en zone blanche, donc sans couverture 3G, et que les thermomètres connectés sont donc inutilisables. Mais finalement ce n’est pas tant cet épisode de gel en plein mois d’avril qui est problématique que l’hiver doux qui l’a précédé et a fait pousser les bourgeons plus tôt. On y a apprend également que les gelées observées la semaine dernière ne sont pas “radiatives” (ie. des gelées localisées et circonstanciées) mais “advectives” (ie. causées par l’arrivée d’importantes masses d’air froid).Pour lutter contre le gel, les viticulteurs ont mis au point plusieurs techniques :la première, dite d’aspersion, consiste à asperger de l’eau sur les vignes, qui s'entourent ainsi d'une épaisse couche de gel qui va enrober les bourgeons et les garder à une température constante, proche de zéro.la seconde consiste à brûler des feux de paille, dont la fumée produit de fines particules au dessus de la vigne et repousse ainsi l’air froid.la troisième consiste à allumer des bombonnes de paraffine réparties tous les quelques mètres le long de chaque rangla dernière plus coûteuse, consiste à installer des câbles chauffants le long des rangs de vigne qui empêchent les plants de geler. Le second article fait une synthèse des dégâts dans les différentes régions viticoles. On apprend que cet épisode de gel aurait touché 80% du vignoble français et que le gouvernement va déclencher le plan calamité agricole. Dans la vallée du Rhône, au moins 40% des vignes ont été “brûlées” par le gel. Dans le Bordelais, certaines zones (Graves, Entre-deux-Mers, Blayais, Libournais) ont été plus touchées que d’autres. En Bourgogne, la totalité des 30 000 hectares de vignes a été touchée mais à des degrés divers. En Languedoc, les pertes sont hétérogènes et vont de 20 à 75% et ce sont notamment les appellations Flaugergues, Saint-Chinian ou encore Corbières qui ont été les plus touchées. En Champagne, la situation semble également assez hétérogène avec entre 20 et 70% des bourgeons qui ont été impactés par le gel. En Alsace, les vignobles ont été moins touchés car seuls les cépages précoces comme le gewurztraminer et le chardonnay sont concernés.Le troisième article propose un entretien avec Serge Zaka, agrométéorologue chez itk. Ce dernier note que lors de cet épisode de gel certaines villes ont perdu jusqu’à 35 degrés du jour au lendemain et qu’à l’échelle de la France, “un changement aussi soudain de température moyenne (…) au mois d'avril, avec une telle amplitude (>10°C) est inédit depuis au moins 1947”. Selon lui c’est surtout la douceur qui a précédé cet épisode de gel qui est à retenir. Ainsi, il précise que 240 records de chaleur ont été battus en deux jours fin mars. Cette vague de chaleur a fait éclore les bourgeons de manière précoce. Par conséquent, si la vague de froid du mois d’avril n’est pas à proprement parler exceptionnel, elle est arrivée alors que ces bourgeons étaient à l’air libre et ne résistent en général pas à des températures inférieures à -1°C (contre -20°C lorsqu’ils n’ont pas éclos). In fine, selon lui, “une chose que l’on pourrait améliorer, c’est la prévention de ces fortes gelées qui succèdent à la douceur” car “il y a une lacune au niveau institutionnel”.Enfin, le quatrième article s’intéresse à l’arboriculture, qui a également souffert fortement de cet épisode de gel. Dans la Drôme et l’Ardèche, la quasi-totalité des productions d'abricots, de cerises et de pêches ont été gelées.On y apprend également que la plupart des exploitations arboricoles ne sont pas assurées contre le gel car « les épisodes de gel et de grêle se multiplient et il est devenu presque impossible de trouver des compagnies d'assurances qui acceptent d'assurer les arboriculteurs ».Enfin, au delà des arboriculteurs, l’article précise que c’est également une myriade d'entreprises spécialistes de la distribution et de la transformation des fruits locaux qui sont fragilisées car privées de matières premières.  Une bon début de saison pour l'aspergeLe Monde, Après une année 2020 plutôt bonne, « l’asperge reste droite dans ses bottes » en 2021, 10/04/2021Un article sur un légume de saison. On y apprend que malgré les craintes lors du premier confinement de mars 2020, la filière asperge française a limité la casse. La coopérative Copadax a, par exemple, vu ses volumes baisser de 5 à 10% mais comme les prix ont été en hausse, son chiffre d’affaire a progressé de 10% par rapport à 2019.Si en ce début d’année 2021 les restaurants sont de nouveaux fermés, les asperges landaises commencent à arriver sur les étals et les prix sont en légère hausse par rapport à l’an dernier.Néanmoins, le gel qui a frappé le territoire français la semaine dernière aura également un impact sur les volumes d’asperges, notamment dans les Landes où un producteur explique qu’il a perdu 15 à 20% de sa production en deux jours.On apprend également que l’Allemagne est le premier producteur européen d’asperges, loin devant la France et ses 20 000 tonnes par an. Un nouveau livre sur l'anti-gaspi“La cuisine des beaux restes”, Estérelle PayanyLa journaliste culinaire Estérelle Payany vient de sortir un nouvel ouvrage culinaire antigaspi intitulé “La cuisine des beaux restes”, qui est consacré à la cuisine des restes.Comment transformer ses restes de raclette en muffins, réaliser des pickles de peau de pastèque ou encore des blinis de carottes râpeés? Que faire avec un reste de jaune d’œuf, un fond de bouteille de vin ou du pain rassi ?Pour aller plus loin, elle a demandé à 7 cheffes et cuisinières : Manon Fleury, Chloé Charles, Anna Trattles et Alice Quillet de Ten Belles, Alessandra Montagne-Gomes du restaurant Nosso, et Christel Régis de la boulangerie Persephone, une de leurs recettes anti-gaspi et quelques-unes de leurs astuces.Vous le trouverez dans toutes les bonnes librairies. Le groupe Avril se sépare des protéines animalesLe Figaro, Avril cède ses œufs Matines et ses activités d’abattage de porc, 13/04/2021Le groupe Avril, spécialiste des huiles et des protéines végétales, a décidé de se recentrer complètement sur ces activités et a donc annoncé vouloir se séparer de ses activités de transformation animale. Il va donc mettre en vente sa filière œufs, composée de la marque grand public Matines et de la marque d’ovoproduits Ovoteam, mais également ses activités dans le porc (Abera). Au total, le groupe va se séparer d'environ 8,5% de son chiffre d’affaires.Si le groupe était un acteur majeur dans l’œuf, avec environ 2 milliards d’unités vendues chaque année, sa filiale ovoproduits a naturellement souffert en 2020 de la fermeture des restaurants. Sa filiale Matine a, quant à elle, souffert depuis plusieurs années de la nécessité de sortir de l’élevage en cage. Ces startups qui se lancent dans le faux-mage, le fromage végétalWired, The quest to make genuinely cheesy dairy-free cheese, 08/04/2021Un article complet sur ces startups qui se lancent dans la fabrication de fromage sans produits laitiers.Que ce soit les ersatz de camembert à la noix de cajou, du faux stilton à la noix de coco ou encore des bûchettes de mozzarella à base d'amidon de riz, ce secteur est en plein boom aux Etats-Unis où sa croissance était de +18% en 2019 (contre seulement 1% pour les fromages traditionnels). Par ailleurs, selon les prévisions le marché mondial du fromage végétalien devrait atteindre 7 milliards de dollars d'ici 2030. Il connaît un boom également au niveau de la fabrication, celle-ci se faisant de plus en plus à partir de fermentation à base de plantes.Le problème à régler pour ces startups n’est tout de même pas simple : toute personne qui en a acheté, goûté ou senti confirmera que ce ne sont pas des fromages. Que ce soit au niveau de la texture ou du goût, le résultat est encore assez loin des fromages traditionnels. Comme le dit l’article, “on n'oublie pas vraiment sa première mauvaise expérience de fromage végétalien”.L’article raconte ensuite le parcours du co-fondateur de Perfect Day qui, suite à une mauvaise expérience avec un fromage végétalien s’est intéressé à ce qui faisait la différence entre un fromage traditionnel et un fromage végétalien. Il a trouvé que deux produits typiques du lait manquent à ces alternatives végétales : la caséine et les protéines de lactosérum. Ce sont les blocs moléculaires qui, combinés, donnent au lait (et, en fin de compte, au fromage) sa texture unique, son goût et son crémeux. La caséine en particulier est le composant coagulant qui permet au vrai fromage de s'étirer ou de fondre.Aujourd’hui, Perfect Day a déjà levé 360 millions de dollars, et fait face une concurrence de plus en plus importante, avec notamment l’américaine New Culture, qui utilise une méthode similaire de réplication des protéines pour produire des boules de mozzarella, la singapourienne TurtleTree Labs, qui a transformé des cellules de vaches, de chèvres et même de chameaux en lait produit par bioréacteur ou encore Impossible Foods qui, après son succès dans les substituts à la viande, a annoncé en octobre 2020 que des travaux étaient en cours sur un prototype d'Impossible Milk.La ruée vers ce nouvel or blanc est belle et bien en marche. L'évolution de la FoodTech en 2020DigitalFoodLab, FoodTech in Europe in 2020Digital Food Lab vient de sortir la quatrième édition de son rapport sur la FoodTech en Europe.On y apprend notamment qu’en 2020, les startups européennes de la FoodTech ont levé 2,7 milliards d'euros, soit autant qu'en 2019.Néanmoins, et malgré la pandémie, le montant total investi dans les startups FoodTech au niveau mondial a fortement augmenté et la part de l'écosystème FoodTech européen a donc baissé et ne représente plus que 12%.Digital Food Lab met également en avant une troisième vague de startups FoodTech européennes qui se caractérise par deux éléments clés : elles lèvent davantage de fonds à un stade très précoce (avant même d'avoir un produit) et parient sur des tendances à long terme.Vous pouvez télécharger gratuitement le rapport ici. Le vin de l'espace de retour sur terreFinancial Times, Space wine: what a trip to the stars did for a case of Petrus, 07/04/2021La startup française Space Cargo Unlimited (SCU) s’est fixée pour objectif de déterminer si les réponses aux problèmes de l'agriculture terrestre se trouvent au-delà de la Terre. L'entreprise prévoit ainsi 6 expériences au cours des prochaines années sous la bannière de Mission Wise, un programme de recherche privé lancé par Nicolas Gaume, le co-fondateur. Pour cet essai, SCU a envoyé 12 bouteilles de Petrus dans la Station spatiale internationale (ISS). C'était la première fois que les expériences réalisées au sein de la station spatiale impliquaient des bouteilles de vin. Entre leur décollage en novembre 2019 et leur retour en janvier 2021, les bouteilles ont passé 14 mois à parcourir 300 millions de kilomètres, en orbite autour de la Terre 16 fois par jour. Suite à une première dégustation effectuée début mars, certaines personnes ont trouvé des saveurs manifestement différentes dans les vins qui avaient séjourné dans l'espace, comme des tanins et des fruits plus doux, ainsi que des arômes plus prononcés de fleurs, de fumée et de truffe, typiques de vin de Petrus ayant vieilli quelques années de plus.L’an dernier, SCU avait envoyé 320 sarments de vigne pour étudier l’impact de l’absence de gravité sur la vigne. Moitié Cabernet Sauvignon et moitié Merlot, les pieds sont désormais dans la pépinière de vignes Mercier en France et poussent visiblement plus vite que leurs homologues témoins. Une fois qu'ils seront bien établis, ils seront exposés aux maladies courantes de la vigne et aux défis climatiques tels que le manque d'eau pour voir si les conditions de l'ISS les ont rendus plus aptes à faire face aux stress de retour sur Terre. Prochaine étape pour SCU : faire fermenter le moût de raisin dans l’espace. Découvrez l’émission Eat’s Businesshttps://businessofbouffe.com/podcast-eats-business Pour vous abonner à la newsletter Eat’s Businesshttps://businessofbouffe.com/revue-de-presse-eats-business-newsletter Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/20/202138 minutes, 38 seconds
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Food Karma #2 | Krotoum Konaté – Nutrithérapeute | Tout savoir sur le microbiote, notre deuxième cerveau !

Krotoum Konaté est nutrithérapeute. Elle est spécialisée dans le microbiote, qui est véritablement notre deuxième cerveau ! Dans ce podcast, Krotoum nous dit tout ce que nous avons voulu savoir sur le microbiote sans jamais avoir osé le demander ! Elle nous explique ce qu'est le microbiote et l'impact qu'il a sur notre santé : bien-être quotidien, poids… Elle nous éclaire sur les avancées de la science sur le sujet. Elle nous donne plein de conseils sur comment entretenir efficacement son microbiote pour être en bonne santé et en forme ! « À l'âge de 3 ans, on a l'équivalent de notre microbiote adulte. La bonne nouvelle, c'est qu'on peut essayer de l'enrichir : mode de vie, alimentation, sommeil, sport… »Pour en savoir plus sur Krotoum Konaté et le microbiote :Nutrithérapie Intégrative & Microbiote, https://www.krotoumkonate.com/Pour contacter Krotoum Konaté :LinkedIn, https://www.linkedin.com/in/krotoum-konate-alimentationbio/Instagram, https://www.instagram.com/krotoum/Doctolib, https://www.doctolib.fr/naturopathe/paris/krotoum-konatePour découvrir l'origine du podcast de Beena Paradin Migotto :https://businessofbouffe.com/podcast/food-karma-0Pour découvrir les épisodes de Food Karma :https://businessofbouffe.com/podcast-food-karma Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/15/202128 minutes, 32 seconds
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À Côté D'La Plaque #21 | Pierre Hermé | Derrière l’empire qui porte son nom, il y a un homme drôle, sensible, vrai, et très heureux

Il se demande s’il est possible de parler d’autre chose que de pâtisserie il rit, bien sûr que c’est possible, l’univers de Pierre Hermé est d’une vastité et d’une richesse folle. Il cultive sa bienveillance, une qualité qui selon lui appelle la réciprocité. Son enthousiasme, il le nourrit à la curiosité, en créant des passerelles entre son métier et l’art, l’architecture ou la mode. Il adore faire du shopping ! « Je suis le personnal shopper de Valérie, ça m’intéresse énormément, pour le style, pour la beauté, pour l’inspiration, j’aime ces matières, j’aime ce toucher, c’est beau et sensuel ». Ce qui l’agace ? Les gens qui ont oublié qu’ils avaient un sac à dos, et qui vous donnent des coups sans s’en rendre compte, une situation qui lui arrive bien plus souvent qu’il ne le voudrait. Il revient sur une expérience très forte et très émouvante qu’il a vécu en 1995, et qui le fait encore pleurer, à chaque fois qu’il y repense. S’il aime qu’on l’aime ? Bien sûr, mais il préfère qu’on aime ses gâteaux… Il est impatient, aimerait que les choses existent à la seconde où il les dit : « je déteste qu’on me vole mon temps ». S’il est romantique ? Oui mais sans excès, « parce que le romantisme, ça peut être chiant ». Il reviendra aussi sur son rapport à la religion, sur son meilleur échec, et sur ses gueuletons idéaux, parce qu’il n’y en a pas qu’un.«  Je déteste qu’on me vole mon temps. » Pour en savoir plus sur les pâtisseries Pierre Hermé :https://www.pierreherme.com/ Pour contacter Pierre Hermé :Sur LinkedIn, https://www.linkedin.com/in/pierre-hermSur Instagram, https://www.instagram.com/pierrehermeofficial/ Pour découvrir l'origine du podcast de Raphaële Marchal :À Côté D’La Plaque #0 | Raphaële Marchal – Présentation de son nouveau podcast Pour découvrir les émissions À Côté D'La Plaque :https://businessofbouffe.com/podcast-a-cote-dla-plaque Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/8/202120 minutes, 7 seconds
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Eat's Business #13 | Les propositions de Serge Papin pour protéger les agriculteurs, une tablette de chocolat 100% cacao et le boom des Bag in Box et du rosé

Dans ce nouvel épisode de Eat's Business, la revue de presse du Business de la Bouffe, Olivier Frey et Daniel Coutinho reviennent les propositions de Serge Papin pour protéger les agriculteurs, la nouvelle tablette de chocolat Nestlé sucrée avec de la pulpe de cacao et le boom des vins rosés et en cubi.Dans cet épisode, sont aussi évoqués la réponse du ministre de l'Agriculture et de l'Alimentation, Julien Denormandie à Serge Papin, la filière cassis comme modèle pour le monde agricole, l'hard-discounter américain Trader Joe's et l'envolée du Q-commerce associé aux dark stores. Les propositions de Serge Papin pour protéger les agriculteursPleinchamp, Négociations commerciales : les 9 propositions de Serge Papin, 25/03/2021La loi EGalim, entrée en vigueur en 2019, n’ayant au final pas eu les effets initialement escomptés et la guerre des prix étant repartie dans le contexte de la pandémie de Covid-19, le gouvernement avait missionné en octobre l’ancien président de Système U, Serge Papin, afin de trouver des solutions pour renforcer cette loi EGalim et de rééquilibrer les rapports de force entre agriculteurs, transformateurs et distributeurs.Il en ressort 9 propositions :1) Garantir la « marche en avant du prix » dans un cadre pluriannuel : comme l’explique Serge Papin, “Le prix des matières premières agricoles sera arrêté dans un contrat passé entre les agriculteurs et les industriels de la première transformation” et “sera fixé à partir d’indicateurs de coûts de production et dans la suite de la négociation entre les industriels et les distributeurs”. De plus, “les distributeurs ne pourront plus négocier la part agricole, qui sera en quelque sorte sanctuarisée”. Enfin, il propose la signature de contrats pluriannuels (3 ans minimum) pour sortir du « rapport de force ». 2) Tendre vers davantage de transparence dans les relations commerciales en expérimentant un outil de transparence : ce système vise à pallier le manque de confiance entre les acteurs d’une même filière. Il permettrait le partage d’informations confidentielles avec un tiers de confiance pour établir des indicateurs anonymisés.3) Améliorer la perception de la valeur de l’alimentation en précisant le rôle des promotions : le rapport recommande notamment que pour les promotions concernant des dégagements, ce soit les interprofessions qui définissent les périodes de dégagement de produits sensibles pendant lesquelles la publicité sur le prix des promotions de ces produits serait interdite.4) Renforcer la médiation : renforcer les pouvoirs du médiateur.5) Revoir la politique de pénalités : le rapport recommande “du discernement sur les produits vivants”.6) Plus de patriotisme agricole : identifier systématiquement l’origine France des ingrédients et des produits, y compris en restauration collective.7) Encourager les agriculteurs à se regrouper : encourager la création d’entités plus fortes d’agriculteurs par le regroupement d’entités existantes.8) Accélérer la transformation des coopératives : accélérer leur transformation pour passer d’une logique de flux poussés à une logique d’orientation de la production.9) Mettre en place une véritable éducation nutritionnelle : celle-ci serait mise en place dès la primaire.Le rapport peut être téléchargé ici. Les réponses du Ministre de l'Agriculture et de l'Alimentation, Julien Denormandie aux propositions de Serge PapinTerre-net, Rémunération des agriculteurs : les réponses de Julien Denormandie, 26/03/2021Un entretien réalisé avec le ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation suite aux propositions faites par Serge Papin.Pour Julien Denormandie, “il est inacceptable que cette guerre des prix se fasse sur le dos des agriculteurs” et “ses propositions sont très concrètes, et doivent être mises en œuvre”. Selon lui, “dans l’idéal, les modifications nécessaires devraient être apportées dès cet été” pour qu’elles puissent encadrer les prochaines négociations commerciales.Parmi les propositions faites, la plus importante selon le Ministre est celle de “la sanctuarisation des prix des matières premières agricoles”.Julien Denormandie rappelle d’ailleurs que “le consommateur est un acteur majeur” car il doit “accepter qu’un concombre produit en France, issu de fermes ayant conduit une transition agroécologique, n’ait pas les mêmes qualités nutritionnelles et environnementales qu’un concombre importé de pays qui ne respecte pas les mêmes normes que nous, et donc que les prix soient différents”. Il met également en avant le fait que “le "mieux manger" ne peut pas passer par la destruction de nos agriculteurs” et en appelle à “sursaut collectif qui doit venir de la grande distribution, des industriels”.Enfin, il donne sa triple vision dans le cadre de la nouvelle PAC (Politique Agricole Commune) qui est en négociation : “la souveraineté de notre agriculture, la qualité et la durabilité de notre production et la spécificité de nos territoires”. Cassis : filière modèle du monde agricoleBFM TV, Pourquoi les producteurs de cassis montrent la voie à l’ensemble du monde agricole, 28/03/2021Alors que Serge Papin a proposé dans son rapport de mettre en place des contrats pluriannuels entre les producteurs et les industriels transformateurs, BFM TV s’intéresse à une filière où ces contrats existent depuis longtemps.Dans le cahier des charges de l’indication géographique « Crème de cassis de Bourgogne », il est en effet précisé que "les premiers contrats d’achats de baies de cassis entre producteurs et liquoristes, pour des baux allant de six à douze ans, sont apparus dès 1904. Cette pratique du contrat pluriannuel perdure aujourd’hui".D’après l’article, l'interprofession “Acteurs du cassis” a créé il y a 15 ans des contrats de cinq ans. Ainsi, pendant 5 ans les agriculteurs bénéficient du même prix d'achat de la part des liquoristes, qui disposent en retour de l'assurance d'avoir la matière première. Pour Jean-Dominique Caseau, l'ancien président du Syndicat des producteurs de cassis de Dijon, “C'est une garantie de débouchés. Un verger de cassis a une durée de vie de 15 ans mais il faut trois ans pour que ça produise”.Néanmoins, l’article précise que le cassis est une petite production de moins de 1500 tonnes par an, avec un nombre limité de producteurs et seulement sept transformateurs de crème de cassis. Ce qui fonctionne sur le cassis n’est pas aussi simple à répliquer sur des productions de plus grande échelle comme les pommes. Le sucre remplacé par de la pulpe de cacao dans une tablette de chocolat NestléProcess Alimentaire, Comment Nestlé utilise la pulpe de cacao pour son nouveau chocolat, 29/03/202Une innovation intéressante vient d’être mise au point par Nestlé : il s’agit d’une tablette de chocolat que l’on pourrait en quelque sorte traitée d’antigaspi. En effet, comme l’explique François Legeard, responsable marketing chocolat premium chez Nestlé, d’ordinaire le chocolat est travaillé à partir de la fève de cacao. Or cette dernière ne représente que 20% de la cabosse et les 80% restants (70% de coque et 10% de pulpe) sont jetés.Or la pulpe est sucrée et Nestlé a décidé de la valoriser pour sucrer son chocolat. Avec ce procédé, le groupe réussit ainsi non seulement à raccourcir la liste des ingrédients mais également à réduire les déchets et à améliorer le revenu des producteurs. Cette innovation est le fruit de 3 années de R&D pour trouver le bon process de séchage pour que la pulpe ait la bonne consistance, la bonne viscosités et le goût souhaité afin d’être intégrée au chocolat.Commercialisée sous le nom Incoa, on la trouve depuis ce mois-ci chez La Grande Épicerie Paris. Trader Joe's, le hard-discounter hypeLes Echos, Trader Joe's, l'américain qui gentrifie le hard-discount, 30/03/2021Un article sur une chaîne de supermarchés américaine assez méconnue chez nous mais qui mérite une visite lors de votre prochain séjour aux Etats-Unis.Trader Joe’s est née en Californie à la fin des années 1950 et appartient depuis plusieurs décennies à la famille allemande Albrecht, qui est également propriétaire du hard-discounter allemand Aldi. Ce qui démarque Trader Joe’s de ses concurrents américains : des magasins dont la surface varie de 750 à 1 100 m² (contre 3500 m² en moyenne pour un Whole Foods Market) et qui compte au maximum 4000 références (contre jusqu’à 50 000 pour ses concurrents), : pas de viande ou de poisson à la découpe, peu de produits d'entretien et de beauté, une déco cool et colorée, une présence en ligne quasi inexistante, pas de carte de fidélité, plus de 80 % de son offre est vendue sous sa marque propre et il n’y a aucune caisse automatique dans les magasins.L’article rapporte d’ailleurs ces propos de Jon Basalone, le président chargé des magasins, pour expliquer le succès des magasins Trader Joe’s : « Le magasin est notre marque et nos produits fonctionnent mieux quand ils sont vendus comme une partie de cette expérience client à l'intérieur du magasin ». Et comme le précise Mark Gardiner,  un ancien publicitaire qui a consacré un livre à cette enseigne « La seule manière de ne pas être tué par (Amazon) est de rendre le shopping agréable, de faire de l'expérience en magasin quelque chose de divertissant ».L'enseigne compte actuellement 515 supermarchés et en ouvre une vingtaine par an. Son chiffre d’affaires annuel est estimé à environ 15 milliards de dollars.  L'envolée du Q-commerceSifted, On-demand grocery delivery : The competitors, compared, 29/03/2021Un article très intéressant sur un segment naissant mais qui se développe à vitesse grand V à coups de centaines de millions d’euros : le Q-commerce. Leur offre de service se résume en quelques mots : elles proposent aux clients environ 1 000 à 2 000 produits d'épicerie, stockées dans des "dark stores", qui peuvent être commandés via une application et arrivent chez vous en moins de 15 minutes.L’article balaie et compare les différents acteurs au niveau européen. On y apprend notamment qu’hormis la turque Getir, qui existe depuis 2015, ces startups ont toutes été lancées depuis janvier 2020.Par ailleurs, elles ont multiplié les grosses levées de fonds depuis quelques semaines :Getir a levé 300 millions de dollars la semaine dernière, ce qui la valorise à 2,6 milliards de dollars.l’allemande Gorillas, qui a été lancée en juin 2020, a également levé 285 millions d’euros la semaine dernière et est déjà valorisée à 1 milliards d’euros. Le marché sur lequel la compétition est la plus féroce pour le moment est l’Angleterre, où elles ne sont pas moins de 7 à s’être aventurées.A noter également que certaines de ces startups visent également une implantation sur le marché français. C’est le cas de Getir ou encore de Gorillas.Si les investisseurs se jettent tous sur ces startups, elles ont tout de même plusieurs challenges devant elles : elles doivent multiplier rapidement le nombre de dark stores, elles ne seront pas rentables avant au moins 2 ans, la prime au premier arrivé est très importante, leurs marges sont encore faibles, les grands acteurs de la livraison de repas Uber Eats et Deliveroo se sont également lancés sur ce créneau et à moyen/long terme les loyers des dark stores peuvent être amenés à augmenter plus ou moins fortement. Bag in Box et rosés ont coulé à flots pendant le premier confinementLes Echos, Vin en cubi, spiritueux et prosecco ont profité du confinement, 25/03/2021Alors qu’en 2020, les ventes de vin réalisées dans les supermarchés et les hypermarchés ont augmenté de 1,1% en volume et de 1,3% en valeur, cette hausse des ventes n’a pas bénéficié à tous les segments.Ainsi, l’article nous apprend que cette hausse a surtout bénéficié aux vins rosés ainsi qu’aux bag-in-box. Ces derniers ont même, d’après Les Echos, “représent(é) la moitié de la totalité des vins pendant le premier confinement”. Par ailleurs, alors que le e-commerce a explosé un peu partout en 2020, le secteur du vin fait office de forteresse gauloise. La part de l'e-commerce n'a en effet augmenté que de 1,5% et ne représente que 3,6% de l’ensemble du commerce de vin. Découvrez l’émission Eat’s Businesshttps://businessofbouffe.com/podcast-eats-business Pour vous abonner à la newsletter Eat’s Businesshttps://businessofbouffe.com/revue-de-presse-eats-business-newsletter  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/6/202138 minutes, 9 seconds
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Food Karma #1 | Alain Milliat – Fondateur de la marque de jus de fruits Alain Milliat | Retrouver le bon goût des fruits

Alain Milliat a repris la ferme familiale pour se rendre compte qu'il ne pourrait pas gagner sa vie en élevant des moutons, qui pourtant le passionnent ! Il se lance dans la création d'un verger, a l'idée en chemin de transformer ses fruits en jus qui aujourd’hui se retrouvent dans beaucoup de tables de grands restaurants et hôtels. Alain Milliat revient sur son histoire et notamment comment il a trouvé ses premiers clients en s'adressant aux sommeliers des Relais & Châteaux. Il décortique tout ce qui fait la différence entre ses jus de fruits de qualité et les jus de base : qualité des ingrédients (vrais fruits versus concentré), maturité à la cueillette, sélection de profils aromatiques… Il nous engage à retrouver les goûts des bons fruits au quotidien, y compris en supermarché ! Il nous partage ses plaisirs personnels dont une alliance inédite sardines et riz ! « Un industriel, sans jugement de valeur, a une problématique de prix, où nous, nous avons une problématique de plaisir. »Pour contacter Beena Paradin Migotto :Beena Paradin Migotto, https://www.linkedin.com/in/beenaparadin/  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/1/202128 minutes, 58 seconds
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Eat's Business #12 | L'évolution du Bio en 2020, Lactalis rachète Leerdammer à Bel et la consommation d'eau en bouteille

Dans ce nouvel épisode de Eat's Business, la revue de presse du Business de la Bouffe, Olivier Frey et Daniel Coutinho reviennent sur l'évolution du Bio en 2020, le rachat de Leerdammer à Bel par Lactalis et la consommation d'eau en bouteille.Dans cet épisode, sont aussi évoqués la transition durable et sociale de l'alimentation, Everli nouveau spécialiste de la livraison de courses à domicile en France, la mondialisation du KitKat et les solutions pour réutiliser ses déchets alimentaires.Consommation de produits biologiquesL’édition 2021 du baromètre de consommation et de perception des produits biologiques en FranceL’Agence Bio suit depuis plus d’une décennie, la perception et la consommation des produits biologiques auprès de la population nationale. Mais l’année 2020 étant une année exceptionnelle vu le contexte de la crise sanitaire liée au Covid-19, les enseignements de ce baromètre sont multiples.Tout d’abord, pour la quatrième année consécutive, il y a une stabilisation de la croissance de la consommation mensuelle des produits biologiques a un taux dépassant les 70% (73% en 2020). A l’inverse, le taux de non consommateurs absolus, réfractaires aux produits biologiques est également stable depuis 3 ans, aux alentours de 10%.Au niveau des habitudes alimentaires, le fait de cuisiner davantage enregistre une progression impressionnante (+8 points par rapport à l’année précédente). Par ailleurs, le bio a séduit 15% de nouveaux consommateurs en 2020 et plus d’un quart de ces nouveaux consommateurs ont commencé à consommer des produits biologiques à partir du premier confinement.Au niveau des produits consommés, les fruits et légumes bio sont en tête (81% des consommateurs bio en consomment au moins 1 fois) devant les oeufs (69%) et le lait (44%).Enfin, pour l’ensemble des Français (consommateurs ou non), le prix continue d’être le frein majeur à consommer plus de produits bio (tout particulièrement pour les moins de 25 ans).L’étude complète est à télécharger ici.La fin des rivalités entre Lactalis et BelLe Figaro, Le mariage forcé entre Lactalis et Bel touche à sa fin, 19/03/2021 + Challenges, Lactalis rachète Leerdammer à Bel, 22/03/2021Le groupe Bel a décidé de céder un de ses joyaux, le fromage Leerdammer, ainsi que les filiales Bel Italie, Bel Allemagne, Royal Bel Leerdammer aux Pays-Bas et Bel Shostka en Ukraine, à son concurrent Lactalis. Cette opération est valorisée aux alentours de 600 millions d'euros, selon Emmanuel Besnier, le PDG de Lactalis.Mais la particularité de cette transaction est que Lactalis ne déboursera pas un centime. Lactalis récupérera en effet Leerdammer en échange de 1.591.472 actions du groupe Bel selon Challenges, soit environ 23% de son capital. Lactalis ne détiendra ainsi plus que 0,9% du capital de Bel au terme de cette opération. Comme le rappelle l’article du Figaro, “l'opération va dans le sens du rééquilibrage du portefeuille du groupe familial entre ses activités historiques laitières (…) et les produits fruitiers et végétaux”. Elle marque également la fin d’une histoire de rivalité entre deux familles emblématiques dans le monde du fromage français. L’article précise en effet que la famille Besnier, qui contrôle Lactalis, était entrée au capital du groupe Bel dans les années 1990 suite à une prise de participation opportune réalisée par le père de l'actuel PDG du groupe. Au fil du temps, ce dernier avait acquis notamment auprès d'un membre de la famille de son concurrent jusqu'à 28,5% de la holding familial du groupe Bel. Cette opération était, selon l’article du Figaro, “très probablement destinée à mettre la main sur son rival” et a été vue comme une “agression brutale” par la famille Fiévet, propriétaire du groupe Bel, malgré le fait que Lactalis n’ait jamais été jusqu’à prendre le contrôle de Bel.Selon Challenges, le groupe Bel a par ailleurs annoncé qu’à l'issue de cette opération, il a l'intention de se retirer de la bourse.Transition durable et sociale de l'alimentationLa Tribune, Un an de crise : "Il faut repenser l'alimentation durable à l'aune de l'inclusion sociale", 22/03/2021La Tribune propose un entretien intéressant avec Nicolas Bricas, socio-économiste de l'alimentation au Cirad, pour qui il est “indispensable de co-construire un projet alimentaire sociétal mobilisant tous les citoyens”.Selon lui, le phénomène le plus important induit par la crise sanitaire liée au Covid-19 est le fort accroissement de la précarité alimentaire. Le pouvoir d’achat de nombreux français s’est en effet effondré, notamment pour ceux qui travaillent dans la restauration, dans le spectacle ou encore pour les étudiants. Par conséquent, l'ensemble de la classe moyenne inférieure se tourne désormais vers une alimentation moins chère. Or améliorer la durabilité de l'alimentation entraîne bien souvent une hausse du prix des aliments, qui viendrait se heurter à ce qu’il nomme la “paupérisation silencieuse”.Ainsi il met en avant l’idée qu’une transition durable de l'alimentation doit “être repensée dans une mécanique d'inclusion sociale générale, permettant à tout le monde, et non pas seulement à une élite éduquée et à fort pouvoir d'achat, d'en faire partie”. Si, selon lui, “l’alimentation bon marché est possible seulement au prix d'une dégradation de l'environnement et d'une précarisation des conditions de travail”, la hausse des coûts induites par “la réintégration dans la valeur des aliments d'externalités environnementales et sociales” ne pourra être possible “qu’en en faisant adhérer toute la société à la nécessité d'intégrer aux prix ces externalités”.Eau en bouteille : luxe ou nécessité ?Financial Times, Bottled water should be a luxury, not a necessity, 19/03/2021En 2020, les ventes d'eau en bouteille de Danone ont chuté de 17%. Une raison à cela : la pandémie de Covid-19 a montré que nous avons une eau parfaitement bonne à portée de main avec l’eau du robinet et que nous n’avons pas besoin de boire de l'eau de source dans des bouteilles en plastique ou en verre.Comme l'a écrit un jour Richard Wilk, professeur d'anthropologie, dans un article de recherche sur l'eau en bouteille, "amener les gens à payer pour des choses qu'ils ont déjà en abondance" est un exploit pervers.Mais c’est également l’empreinte écologique de l’eau en bouteille qui est mise en cause, que ce soit le fait de transporter de l'eau sur de longues distances ou le fait qu’elle soit conditionnée dans des bouteilles plastiques finissant dans des décharges ou des océans. Mais, comme le précise l’article, le problème majeur est que des milliards de personnes boivent de l'eau en bouteille par nécessité, soit parce que l'alternative publique n'est pas sûre, soit parce qu'il n'y en a pas du tout.L’article rappelle d’ailleurs que l’économiste Adam Smith avait en son temps relevé le paradoxe suivant dans son ouvrage “La richesse des nations” : l'eau, qui est pourtant essentielle à la vie, est moins chère que les diamants, qui sont un luxe. Ceci est dû au fait que quelqu'un qui dispose de beaucoup d'eau n'accorde pas une grande valeur à un verre d'eau supplémentaire, son utilité marginale est dite faible.Everli, un nouveau spécialiste de la livraison de courses à domicile en France LSA, Everli, l'Instacart italien, détaille son offensive en France, 24/03/2021Après le hollandais Picnic, c’est un nouveau spécialiste de la livraison de courses à domicile qui arrive dans l’Hexagone. Cette fois-ci, il s’agit de l’italien Everli qui a débarqué à Lyon début février.LSA a pu s’entretenir avec le CEO d’Everli, Federico Sargenti. Ce dernier affirme ainsi que son entreprise ambitionne de devenir l' "Instacart européen". Pour rappel, Instacart est un site américain qui propose de la livraison de courses collaborative. Ainsi, comme l’explique LSA, Everli connecte des consommateurs en ligne à une communauté de “shoppers”, qui se rendent physiquement dans le magasin, y effectuent le picking et leur livrent ensuite directement les produits d'épicerie le jour même.On y apprend également que l’entreprise italienne a réalisé 110 millions d’euros de volumes d'affaires en 2020 et que La France devient le quatrième pays où Everli s'implante, après l'Italie, la Pologne et la République Tchèque. Everli est actuellement en train de se rapprocher de différents acteurs de la grande distribution en France. Selon le PDG, son offre complète celles déjà en place comme le drive ou la livraison classique. Comme il l’explique, “notre proposition est d'offrir la livraison à domicile de gros paniers le jour même partout en France, de manière très efficace pour les distributeurs en termes de coûts”. Ainsi, pour les distributeurs français Everli représente “un canal additionnel et des ventes incrémentales”.Mondialisation du KitkatFinancial Times, How the KitKat went global, 18/03/2021Un article qui parle de la mondialisation de l’alimentation en prenant l’exemple du KitKat et notamment de son développement au pays du soleil levant.On y apprend que le KitKat a été inventé en 1930 en Angleterre, lorsqu’un employé a suggéré à Henry Rowntree, le patron de la chocolaterie du même nom, de mettre au point une friandise "qu'un homme pourrait emporter au travail dans son sac". Suite à cela, l'entreprise a lancé la gaufrette recouverte de chocolat au lait que nous connaissons aujourd'hui sous le nom de KitKat. Son slogan "Have a break, have a KitKat", inventé à la fin des années 1950, perdure d’ailleurs encore aujourd'hui.KitKat est arrivé au Japon dans les années 1970 où il a été, dans un premier temps, vendu comme une friandise exotique "britannique". Rowntree a été racheté en 1988 par Nestlé et, malgré la puissance marketing de la multinationale, KitKat a eu du mal à concurrencer les confiseries des producteurs locaux comme Glico. A tel point qu’au début des années 2000, les cadres de Nestlé au Japon, se sont demandés si la marque KitKat avait un véritable avenir dans le pays.Mais un jour, un responsable local de Nestlé s’est rendu compte que les ventes de KitKats sur l'île de Kyushu, au sud du Japon, explosaient entre décembre et février. Une explication s’est dégagée pour expliquer ce phénomène : les étudiants avaient remarqué que le mot "KitKat" ressemblait à l'expression japonaise "kitto katsu" ("tu surmonteras"). Ils s'offraient donc un KitKat comme porte-bonheur pour traverser l'épreuve du juken, une sorte d’équivalent japonais du Bac. L'équipe japonaise n'a pas osé remplacer le fameux slogan "Have a break" par "Kitto katsu" car ils savaient que le groupe voulait maintenir une cohérence entre les marques mondiales. Mais ils ont néanmoins décidé d’utiliser la phrase "Kitto sakura saku yo ! ("les souhaits se réalisent !") dans leurs publicités japonaises.Et les ventes de KitKats ont commencé à exploser chez les étudiants japonais.Réutiliser ses déchets alimentairesFast Company, Banana peel bacon and sauce packet meatloaf : Ikea wants you to cook with food waste, 23/03/2021Un article déniché par Eileen Cho.Et il s’agit d’une initiative intéressante de la part de Ikea Canada, qui vient de sortir un livre de cuisine anti-gaspillage alimentaire dans lequel on trouve des recettes réalisées à partir de déchets alimentaires tels que des pelures de pommes, des croûtes de fromages, des peaux de bananes ou encore du marc de café. Les recettes ont été concoctées par des chefs nord américains.On y trouve également quelques astuces permettant d’utiliser des déchets alimentaires non comestibles, comme par exemple les coquilles d'œuf qui peuvent être moulues pour en faire une poudre servant à éliminer les dépôts calcaires dans la salle de bain, ou encore le marc de café qui peut être utilisé pour réaliser un masque exfoliant pour le visage.Intitulé Scrapsbook, celui-ci peut être téléchargé gratuitement au format PDF (en anglais).Découvrez l’émission Eat’s Businesshttps://businessofbouffe.com/podcast-eats-business Pour vous abonner à la newsletter Eat’s Businesshttps://businessofbouffe.com/revue-de-presse-eats-business-newsletter  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/30/202135 minutes, 46 seconds
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À Côté D'La Plaque #20 | Hélène Darroze | Cheffe à l’attitude irrésistible : positive, gourmande, douce et généreuse

Hélène a fait un choix très tôt, celui d’être dans le positif. Elle sourit « chaque jour est un jour de gagné, et après la pluie, il y a le beau temps ». Dans cet épisode, elle nous raconte sa longue perte de goût, le comble quand on sait son métier, « tout le monde me disait mais qu’est-ce que c’est bon et moi je trouvais tout fade je me disais qu’est-ce qu’ils racontent ! ». Elle trouve que la générosité et la gourmandise sont très liées, et elle a fait de cette générosité un pilier de l’éducation de ses filles : « c’est tellement important de donner et de faire plaisir, et puis ça rend la vie tellement plus facile ! ». Elle ne sait pas recevoir de cadeaux, c’est une situation qui la met très mal à l’aise, elle est bien meilleure à les offrir. Elle est très gourmande et elle ajoute « c’est pas un scoop, moi j’aime les crispy cream donuts et les M&Ms, je ne sais pas résister ». Son seul secret, c’est la passion, et sa remise en question permanente : « je me dis tous les jours que je peux mieux faire, pour ne jamais stagner ». Elle est d’une nature assez naïve, et elle avoue sans rougir son côté fleur bleue. Si elle aime qu’on l’aime ? « Oui je pense que j’ai besoin de reconnaissance et de l’amour des autres ». Ce sont les petites choses de la vie qui la font pleurer, par exemple une petite fille d’un milieu très pauvre qui mange une chocolatine avec bonheur comme si c’était la fête, ça lui monte les larmes instantanément. « Je pleure d’ailleurs plus facilement de joie que de peine, précise-t-elle ». Elle revient sur tout ce qu’elle ferait si elle avait plus de temps, sur son approche de la religion et sur son meilleur échec. Et puis elle nous raconte son gros gueuleton idéal, sur la falaise de Bidart au Pays Basque, au coucher de soleil. Pour ce gueuleton rêvé, elle aimerait faire revenir ses deux grand-mères, pour qu’elles connaissent ses filles, mais aussi Michelle Obama et Kamala Harris. Et côté menu… « des merlus à l’espagnole, des poulets rôtis avec des grosses frites, une salade de tomates, un fromage de brebis et les œufs au lait de ma maman, mon dessert préféré ».«  C’est tellement important de donner et de faire plaisir, et puis ça rend la vie tellement plus facile ! » Pour en savoir plus sur les restaurants d'Hélène Darroze :https://www.helenedarroze.com/ Pour contacter notre invité :Sur LinkedIn, https://www.linkedin.com/in/helene-darrozeSur Instagram, https://www.instagram.com/helenedarroze/ Pour découvrir l'origine du podcast de Raphaële Marchal :À Côté D’La Plaque #0 | Raphaële Marchal – Présentation de son nouveau podcast Pour découvrir les émissions À Côté D'La Plaque :https://businessofbouffe.com/podcast-a-cote-dla-plaque  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/25/202129 minutes, 14 seconds
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Eat's Business #11 | Lait sans origine, beurre canadien à l'huile de palme et supermarché Amazon fresh

Dans ce nouvel épisode de Eat's Business, la revue de presse du Business de la Bouffe, Olivier Frey et Daniel Coutinho reviennent sur l'annulation du décret qui imposait de mentionner l'origine du lait, sur la polémique des vaches canadiennes de la filière beurre nourries à l'huile de palme, et sur les supermarchés Amazon fresh aux Etats-Unis.Dans cet épisode, sont aussi évoqués la montée en gamme de la volaille française, l'explosion des importations de bœuf brésilien en Chine, les dark stores Monoprix dédiés à Amazon, les stratégies omnicanales de la distribution alimentaire et la bouteille de Bordeaux vendue à 1€69 chez Lidl. Plus d'obligation de mentionner l'origine du laitOuest France, Les fabricants n’ont plus l’obligation de mentionner l’origine du lait, 12/03/2021 + L’Usine Nouvelle, Trois questions pour comprendre la décision du Conseil d'Etat sur l'origine du lait, 15/03/2021Le Conseil d’État a annulé un décret gouvernemental datant du 19 août 2016 qui imposait, à titre expérimental, l’étiquetage de l’origine du lait ainsi que du lait et des viandes utilisées comme ingrédient dans des denrées alimentaires préemballées. Initialement prévue pour courir jusqu’à fin 2018, la période d’expérimentation avait par la suite été prorogée par décret jusqu’au 31 décembre 2021.Le groupe laitier Lactalis a demandé l’annulation du décret, arguant que cette obligation était contraire au règlement du 25 octobre 2011 du Parlement européen et du Conseil de l’Union européenne concernant l’information des consommateurs sur les denrées alimentaires. L’Usine Nouvelle précise que, pour Lactalis, “l’obligation d'étiquetage représentait une complexité” car le groupe est “présent dans plus de 100 pays à travers le monde”.L’administration n’ayant pas pu démontrer de lien entre origine géographique et propriétés du lait (condition exigée par la Cour de justice de l’Union européenne pour autoriser un Etat à imposer un tel étiquetage au nom de la protection des consommateurs), le Conseil d’Etat a donc donné raison à Lactalis.Dans sa décision, le Conseil d’Etat précise que, bien que les consommateurs donnent de l’importance à l’origine des produits, “en dehors de cette approche subjective, il n’y avait pas objectivement de propriété du lait qui puisse être reliée à son origine géographique”. la polémique de l'huile de palme dans le beurre canadienLe Monde, Pourquoi le beurre canadien ne ramollit pas ? La polémique du « Buttergate » met en cause l’utilisation de l’huile de palme, 05/03/2021Focus sur ce que les médias de l’autre côté de l’Atlantique appellent le #buttergate. Il se trouve en effet que, depuis plusieurs semaines, les Canadiens ont un problème avec leur beurre, qui est devenu trop dur et s’étale mal.Tout est parti d’un tweet publié le 5 février par Julie Van Rosendaal, une blogueuse culinaire. Par la suite, cette dernière a émis l’hypothèse que ce phénomène proviendrait d’un changement dans l’alimentation des vaches laitières. Dans une tribune, elle accuse notamment l’huile de palme. Cette dernière serait en effet utilisée comme complément alimentaire afin d’augmenter la production de lait ainsi que sa teneur en matières grasses.Comme le précise Sylvain Charlebois, directeur scientifique du Laboratoire de recherche en sciences analytiques agroalimentaires à l’université Dalhousie, “il n’y a rien d’illégal à donner de l’huile de palme aux vaches laitières, et rien n’empêche les producteurs laitiers de le faire”. Montée en gamme de la volaille françaiseLes Echos, Label rouge et bio portent la filière volaille française, 10/03/2021La filière volaille française a connu une bonne année 2020, aidée en cela par la pandémie et les freins qu'elle a mis au commerce international. Les achats de volaille des Français étaient en effet en hausse de 12,4% l’an passé, avec +10% pour les ventes de Label rouge et 6% pour le bio. L’article rappelle par ailleurs les efforts faits par la filière ces dernières années : montée en gamme, investissements dans de nouveaux bâtiments, progrès en matière de bien-être, réduction de 60 % de l'utilisation des antibiotiques en dix ans. Mais surtout, les élevages français correspondent au modèle que souhaitent les Français et comptent 3 fois moins d’animaux que chez nos voisins européens et 50 fois moins qu'au Brésil.La filière française craint par contre la reprise des négociations commerciales entre l’UE et l'Amérique latine qui pourrait potentiellement entraîner l’importation en Europe de “l'équivalent du quart des filets de volailles consommés aujourd'hui”.  Explosion des importations de bœuf brésilien en ChineThe Guardian, Eating up the rainforest : China’s taste for beef drives exports from Brazil, 16/03/2021Comme le résument bien les deux hommes d’affaires présentés dans l’article, “Il y a peut-être 20 ans, les habitants des villages et des petites villes ne mangeaient pas beaucoup de viande, mais ceux des grandes villes oui. Aujourd'hui, les habitants des grandes villes sont plus soucieux de leur santé et mangent plus de légumes, mais ceux des petites villes ont plus d'argent. Maintenant, ils mangent vraiment beaucoup plus de viande. Ils pensent qu'être riche signifie manger plus de viande”.Et cette envolée de la demande chinoise a permis aux ventes de bœuf brésilien d'atteindre des niveaux record. En effet, le Brésil a, selon les calculs du cabinet Safras & Mercado, représenté 43% des importations de viande de la Chine en 2020 et les exportations de bœuf du Brésil vers la Chine ont augmenté de 76% l'an dernier. Et comme le précise Thiago de Carvalho, professeur d'agrobusiness à l'Université de São Paulo, "La viande brésilienne est [parmi] les moins chères du monde", notamment à cause de la dégringolade de la monnaie brésilienne l'année dernière.L’article rappelle toutefois que les Chinois consomment moins de viande par habitant que les Américains. Mais, alors que leur viande préférée est le porc, une grande partie du cheptel porcin chinois a été décimé par la peste porcine africaine et les Chinois ont remplacé le porc par le boeuf.Ce boom a toutefois un coût environnemental élevé car l'Amazonie fournit environ un cinquième des importations de la Chine. Dark stores Monoprix dédiés à AmazonLe Monde, « Dark store » : plongée dans un supermarché de l’ombre en plein cœur de Paris, 17/03/2021Visite d’un magasin Monoprix pas comme les autres. Situé dans le 13e arrondissement de Paris, ce magasin de 1300 mètres carrés n'a ni façade ni vitrine car il se trouve en sous-sol et on n’y trouve aucun client. Ce dernier sert en effet uniquement à préparer des commandes passées en ligne par les clients de son partenaire Amazon. Ce magasin est ce que l’on appelle un “dark store”, il est organisé comme un vrai magasin mais est fermé au public et sert en fait d’entrepôt. Néanmoins, comme le décrit l’article, “ici, nul besoin que les produits soient rangés à hauteur des yeux pour attirer les regards des clients, comme dans un supermarché classique. Ni de mettre en avant ceux en promotion”. Car en fait, comme l’explique Ferdinand Tomarchio, directeur de l'e-commerce alimentaire chez Monoprix, si l'agencement de ce dark store est similaire à un véritable supermarché c’est surtout pour permettre à l'employé de circuler plus vite dans les rayons. Au niveau de l’assortiment, un produit sur six est un produit de marque Monoprix, soit largement plus que dans un supermarché classique. Ce phénomène des dark stores n’est d’ailleurs pas que franco-français mais il s’est développé un peu partout, poussé en cela par le développement fulgurant du e-commerce alimentaire suite à la pandémie de Covid-19.Concernant Monoprix, l’enseigne possède deux dark stores dédiés à Amazon dans Paris pour les livraisons à Paris et sa petite couronne. Pour les autres livraisons en Ile-de-France, les préparations se font depuis sept Monoprix disséminés en Ile-de-France. En province, les préparations se font depuis les magasins de Nice, Bordeaux, Lyon et Montpellier.  Amazon développe son activité alimentaire aux US avec Amazon freshBloomberg, Amazon Quietly Began Building a Grocery Chain During Pandemic, 11/03/2021Aux Etats-Unis, Amazon a commencé à multiplier les ouvertures de magasins Amazon Fresh depuis quelques mois. Le premier magasin a ouvert à Los Angeles en septembre 2020, le 11e a ouvert début mars et Amazon travaillerait sur 28 nouvelles ouvertures cette année, de Philadelphie à la banlieue de Sacramento. Les magasins Fresh ont une surface allant de 2300 à 4200m2 et les 11 premiers magasins sont pour la plupart disséminés dans des zones suburbaines de classe moyenne supérieure. Ils sont installés à la place d’anciens magasins de jouets Toys R’ Us et d’épiceries fermées. Amazon a utilisé des analyses détaillées des habitudes d'achat pour dresser une liste de 15 000 produits à mettre en rayon, un assortiment qui répond aux besoins quotidiens de la plupart des clients. Les marques de distributeurs, dont la gamme Whole Foods 365, occupent une place de choix.Comme le rappelle l’article, plus de dix ans après avoir commencé à vendre des produits alimentaires, Amazon ne détient qu'une infime partie du marché américain de l'alimentaire, qui représente 900 milliards de dollars. Selon les observateurs du secteur, les magasins Amazon Fresh sont un moyen pour le groupe de se rapprocher encore plus de ses membres Prime et de séduire un large éventail d'Américains, depuis les acheteurs à faible revenu qui fréquentent les discounters comme Walmart jusqu'aux clients plus aisés qui cherchent à récupérer leurs commandes en ligne. Les magasins Amazon Fresh ont un positionnement d’épicerie grand public, avec un assortiment de produits qui se situe quelque part entre les petits spécialistes comme Trader Joe's et les grands supermarchés.Rappelons toutefois qu’Amazon avait racheté la chaîne de supermarché Whole Foods Market en 2017 pour 13,7 milliards de dollars. Néanmoins, Whole Foods a eu du mal à se réinventer en tant que destination grand public et les ventes des magasins ont stagné. Les stratégies omnicanales de la distribution alimentaireThe Economist, The importance of "omnichannel" strategies, 13/03/2021Un article sur les stratégies omnicanales, qui associent les stratégies physiques et numériques, des principaux distributeurs américains et chinois.Tout d’abord, l’article s’intéresse à Walmart. Et l’accent mis sur l’omnicanal suggère que le groupe n'a pas forcément l'intention de donner la priorité au e-commerce sur son réseau de 4 000 magasins en Amérique. Le groupe considère au contraire que les deux font partie du même écosystème centré sur le client. L’article précise que, suite à la crise sanitaire liée au Covid-19, Walmart a rapidement développé des services pour faciliter l'expérience en ligne et hors ligne, tels que le retrait en magasin, le drive et la livraison depuis ses magasins. Le groupe a également lancé Walmart +, un service d'abonnement similaire à Amazon Prime qui offre aux membres une livraison express, des réductions sur l'essence et d'autres avantages. De son côté, comme nous l’avons vu dans l’article précédent, Amazon multiplie les ouvertures de magasins Amazon Fresh.Le même phénomène est observé en Chine ou les grandes plateformes telles qu'Alibaba (avec Freshippo) et JD.com, sont en train de construire de vastes chaînes de supermarchés. Comme l’explique Leigh Hopkins, responsable de la stratégie internationale de Walmart, "en Chine, les actifs hors ligne connaissent un regain d'intérêt".Mais finalement, comme le dit bien l’article, la principale question est de savoir si ces stratégies omnicanales peuvent être rentables. Il est, en effet communément admis que peu de détaillants, même Amazon, peuvent gagner de l'argent en vendant des produits alimentaires en ligne, en raison du coût élevé de la livraison. Selon les analystes, dans un secteur tel que le commerce de détail alimentaire, dont les marges ne dépassaient pas 2 à 4% avant le passage à la vente en ligne, seules les entreprises les mieux capitalisées et les plus efficaces sont assurées de survivre à l'assaut de la vente en ligne. Selon le cabinet Bain, à moins que les distributeurs ne commencent à facturer davantage les services en ligne, les pertes d'exploitation liées à l'envoi de marchandises depuis les magasins ou les entrepôts pourraient se situer entre 5 et 15%. Bordeaux à 1€69Capital, Lidl suscite la polémique avec sa bouteille de Bordeaux à 1,69 euro, 12/03/2021Pour sa foire aux vins du printemps, Lidl propose une bouteille de vin de Bordeaux AOP à 1,69 euro la bouteille. Ce prix cassé fait évidemment grincer des dents dans la filière. Selon Cédric Roureau, président du Syndicat des Courtiers de Vins et Spiritueux de Bordeaux, de la Gironde et du Sud-Ouest, “Pour sortir à 1,69 euro, l'achat de vin a dû se faire à un niveau extrêmement bas. Ce qui ne rend service à personne d'avoir des Bordeaux à ce prix”. L’enseigne se défend en arguant que ce prix a été obtenu grâce à “l’achat de volumes conséquents, plusieurs centaines de milliers de cols pour la France et d’autres marchés”. Découvrez l’émission Eat’s Businesshttps://businessofbouffe.com/podcast-eats-business Pour vous abonner à la newsletter Eat’s Businesshttps://businessofbouffe.com/revue-de-presse-eats-business-newsletter  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/23/202137 minutes, 48 seconds
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Food Karma #0 | Beena Paradin – Food Karma | Le podcast qui nous invite à agir dans la Bouffe

Aujourd’hui nous avons le plaisir de vous présenter l’émission “Food Karma” qui sera diffusée sur Business of Bouffe et animée par l’auteure culinaire et entrepreneuse de la Bouffe, Beena Paradin.Il y a plus d’un an, Daniel et Philibert avaient reçu Beena et son mari pour parler de leur marque de préparations prêtes à cuisiner veggies, bios, saines et originales. Beena revient désormais sur Business of Bouffe non pas en tant qu’invitée mais en tant qu’animatrice d’une nouvelle émission diffusée sur notre chaîne, Food Karma. Dans cet épisode pilote, Daniel et Philibert interrogent Beena au sujet de ce nouveau podcast. Elle nous explique ainsi son désir de faire de l’alimentation un acte heureux et positif pour améliorer notre karma. Derrière cette promesse empreinte de spiritualité, Beena se propose ainsi de partir à la rencontre d’acteurs œuvrant pour une alimentation bonne pour nos papilles, pour notre santé et pour la planète. A la fin de notre échange, pour nous mettre l’eau à la bouche, notre nouvelle animatrice nous dévoile ses prochains invités. Et parce que le Food Karma ne s’arrête pas aux frontières françaises, Beena vous fera même voyager avec des invités internationaux et quelques épisodes en anglais. Vous découvrirez aussi dans ce podcast les détails de cette nouvelle émission (fréquence, type d’invités…) dont le premier épisode sera diffusé le 1er avril. « La Bouffe, c’est la meilleure chose pour se faire plaisir, pour faire du bien à sa santé et à la planète. » Pour contacter Beena Paradin Migotto :Beena Paradin Migotto, https://www.linkedin.com/in/beenaparadin/ Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/18/202113 minutes, 4 seconds
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Sur le Champ #5 | Aquaponie | Félix Haget – Eauzons

Ambre et Camille vous emmènent au cœur de l’innovation, dans une ferme pilote de 1 600m2, fondée par Félix Haget, un expert en aquaponie, et son équipe de choc.L’aquaponie est un système qui unit la culture de plantes et l’élevage de poissons. Elle s’organise autour de 3 compartiments : un élevage de poissons, un élevage bactérien et des cultures végétales. Ils forment ainsi un cercle vertueux : les poissons vont générer des nutriments dans l’eau, qui vont être convertis par les bactéries pour les rendre assimilables par les plantes. Concrètement sur la ferme d’Eauzons, on développe un élevage de saumons de fontaine, relié à la culture de salades, fraises, tomates, poivrons, piments…., le tout vendu en circuits très très courts. Et l'avantage avec une culture en hors sol c’est que qu’on peut l’implanter n’importe où, même en ville, dans des zones industrielles ou sur des sols pollués. Pour en savoir plus sur Eauzons :Eauzons, http://eauzons.com/ Pour contacter notre invité :Félix Haget, https://www.linkedin.com/in/felix-haget-aquaponics-expert/ Pour contacter Camille Fournier et Ambre Germain :https://www.instagram.com/surlechamp2020/ Pour découvrir l'origine du podcast Sur le Champ :https://businessofbouffe.com/podcast/sur-le-champ  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/17/202146 minutes, 42 seconds
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Eat's Business #10 | Agriculteurs stars, culture de truffe blanche en France et eaux gazeuses alcoolisées | avec la participation de David Forge, agriculteur et youtubeur

Dans ce nouvel épisode de Eat's Business, la revue de presse du Business de la Bouffe, Olivier Frey et Daniel Coutinho reviennent sur les agriculteurs stars des réseaux sociaux, sur les tests fructueux de culture de truffe blanche en France par l'Inrae, ainsi que sur les eaux gazeuses alcoolisées.Dans cet épisode, sont aussi évoqués le premier magasin de La Ruche qui dit Oui ! en France, l'entrée à la bourse de Londres de Deliveroo, les nouveaux gourous de l'alimentation, la difficile résilience de la filière foie gras face à la crise, l'allégement des taxes douanières américaines sur le vin français, le succès des spiritueux haut de gamme, et la nouvelle levée de fonds de Instacart, société américaine d'épicerie en ligne. Ces agriculteurs starsLe Parisien, Ces agriculteurs devenus stars des réseaux sociaux, 04/03/2021Ils sont connus sur les réseaux sociaux sous leurs pseudos @agrikol, @agritof80 @agri_zoom, @d_forge ou encore @AgriSkippy, ces agriculteurs et agricultrices français ont pris d’assaut il y a maintenant plusieurs années les réseaux sociaux afin de mieux faire connaître leur métier aux consommateurs et aux citoyens. Certains de ces agriculteurs font partie de l’association FranceAgritwittos, qui regroupe également des professions para-agricoles et dont la mission est de parler positivement de l’agriculture.Selon la dernière étude Agrinautes 2020, 68 % des agriculteurs sont présents sur un réseau social. Ils étaient seulement 1 % à utiliser Twitter en 2015 et ils sont désormais plus de 11 %. Ils sont sur les réseaux sociaux pour lutter contre une certaine forme de stigmatisation et de dénigrement de leur métier. Ils ont donc décidé de jouer la carte de la transparence et s’affichent sur YouTube, Instagram, Twitter, voire même TikTok, Snapchat ou Twitch.N’hésitez pas à aller découvrir leurs posts et leurs vidéos sur les réseaux sociaux. Premier magasin La Ruche qui dit Oui ! en FranceLSA, La Ruche qui dit oui ! ouvre son premier magasin en France, 08/03/2021La Ruche Qui Dit Oui, connue initialement pour être une plateforme de mise en relation entre producteurs locaux et consommateurs, se lance dans la distribution physique. La Ruche vient en effet d’ouvrir son premier magasin à Sceaux (92) et, selon l’article, compte ouvrir cinq autres magasins dans la petite couronne de Paris courant 2021. La surface du magasin de Sceaux est plutôt restreinte (30m2) et l’offre compte entre 200 et 300 références, dont beaucoup de fruits et légumes, quelques produits carnés et laitiers, des produits vendus en vrac et de l'épicerie. Au niveau de la transparence, le nombre de kilomètres depuis les champs est indiqué pour chaque référence.Comme pour la plateforme en ligne, ce sont les producteurs qui fixent leur prix et La Ruche Qui Dit Oui applique une marge aux alentours de 40 % correspondant aux frais liés à la logistique et de fonctionnement.L’article nous apprend également que La Ruche Qui Dit Oui a déjà ouvert un magasin physique à Milan, en Italie, et qu’elle compte en ouvrir cinq autres autour de Milan en 2021. Deliveroo rentre à la bourse de LondresLes Echos, Prêt pour la Bourse, Deliveroo a livré 5 milliards d'euros de repas l'an dernier, 08/03/2021Alors que Deliveroo prépare son introduction à la bourse de Londres, on en apprend plus grâce aux documents dévoilés dans le cadre de la préparation de cette introduction.Ainsi, l’entreprise de livraison de repas à domicile est présente dans douze pays. En 2020, le montant des commandes passées par son intermédiaire a augmenté de 64% pour se monter à 4,1 milliards de livres TTC (4,7 milliards d'euros). Deliveroo livre environ 6 millions de clients par mois et travaille avec 115 000 restaurants, épiceries et commerces de proximité dans 800 villes à travers le monde. Au niveau de la performance financière, l’Ebitda est encore négatif à -9,6 millions de livres (contre -231,6 millions de livres en 2019). Au global, Deliveroo affichait une perte nette de 223,7 millions en 2020. Nouveaux gourous de l'alimentationLe Figaro, Jeûne extrême, crudivorisme, instinctothérapie: les folies des nouveaux gourous de l'alimentation, 05/03/2021Une enquête assez édifiante sur ces gourous de l’alimentation qui ont profité de la période de la crise sanitaire liée au Covid-19 pour développer leurs communautés. On y découvre notamment Gabriel, un énergéticien qui affirme qu'il est possible de se « nourrir de lumière », Claudette qui se demande si l'on « peut arrêter de boire », Irène qui préconise de « manger des aliments vivants, crus » ou Claude, qui fait la promotion de « l'instinctothérapie ». On y parle également du “pranisme”, qui consiste à jeûner le plus longtemps possible en s’alimentant, soi-disant, d’infimes particules divines qui nous entourent.Comme l’explique Charline Delporte, présidente du Centre national d'Accompagnement Familial Face à l'Emprise Sectaire (CAFFES), “l'angoisse liée au Covid a fait connaître du grand public tout un tas de pervers manipulateurs, qui ont fait de ces nouvelles pratiques alimentaires des méthodes de soin miracle, tout ça pour s’en mettre plein les poches”. La culture de la truffe blanche arrive en FranceProcess Alimentaire, L’Inrae ouvre la voie à la culture de la truffe blanche du Piémont en France, 05/03/2021C’est l’un des mets les plus rares et les plus chers au monde, qui est récoltée en majorité dans la péninsule balkanique. Mais l’article nous apprend que l’Inrae, en partenariat avec les pépinières Robin, a réussi à acclimater ce champignon en France. Ils ont procédé à des tests dans quatre plantations réparties dans des régions aux climats différents (Rhône-Alpes, Bourgogne-Franche-Comté et Nouvelle-Aquitaine) et ont récolté trois truffes en 2019 et quatre en 2020. Ces premières truffes récoltées en dehors de l'aire de répartition géographique naturelle de cette espèce sont donc une première mondiale et ouvrent de belles perspectives pour la culture de la truffe blanche à plus grande échelle en France. La difficile résilience de la filière foie grasLSA, Face à la crise, la difficile résilience de la filière foie gras, 05/03/2021Avec un chiffre d'affaires en baisse de 2,7% en GMS et des ventes en volume en recul de 3,2%, selon les données IRI (cam à P13 2020), le marché du foie gras a plutôt limité la casse en 2020 alors que la filière craignait initialement le pire.L’article rappelle par ailleurs que les circuits de distribution du foie sont les suivants : 40% en GMS, 40% en restauration et 15% à l'export. Et, au premier semestre 2020, les ventes dans ces deux derniers circuits ont reculé de 46%, puis de 26% au second semestre. Au global, les ventes de foie gras ont reculé de 36% dans le circuit de la restauration en 2020.Pour 2021 le Cifog, l’interprofession du foie gras, anticipe une baisse de la production de 20% par rapport à 2020, notamment à cause de l'épizootie d'influenza aviaire qui a ravagé les élevages du Sud-Ouest et qui a entraîné l’abattage préventif de 2,5 millions de canards. Allégement des taxes douanières américainesLes Echos, Airbus et les vins français allégés des taxes douanières américaines, 07/02/2021Le vendredi 5 mars, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a annoncé qu’un accord avait été trouvé avec le président américain, Joe Biden, sur les droits de douane qui avait été imposés à certains produits européens par l'administration Trump dans le cadre des litiges entre Airbus et Boeing. Cette suppression durera, dans un premier temps, 4 mois en attendant un éventuel accord définitif.Ces droits de douane concernaient notamment les vins français (nous en parlions d’ailleurs ici) et ont coûté environ 400 millions à la filière en 2020. Pendant ce temps, les vins d’autres pays producteurs comme l’Italie (qui était exemptée de ces droits de douanes) ont pris des parts de marché aux vins français. Eaux alcooliséesFinancial Times, How hard seltzer’s viral success could transform the drinks market, 06/03/2021Un article intéressant qui analyse la percée des “hard seltzers” au Etats-Unis à travers leur succès sur les réseaux sociaux. On y apprend ainsi que la marque White Claw est devenue à la fois l’objet de blagues en même temps qu’un choix de vie sur le réseau social TikTok au travers de refrains viraux tels que “Ain’t no laws when you’re drinking Claws” qui se moquent de l'amour que porte les millenials à cette alternative à la bière à faible teneur en glucides.Les hard seltzers sont des eaux pétillantes alcoolisées à saveur de fruits qui se sont imposées en quelque sorte comme une boisson de régime. Bien qu'elles ne soient pas forcément une boisson saine, elles sont "pauvres en glucides" et "pauvres en calories" en comparaison avec la plupart des boissons alcoolisées. Les marques varient dans leur mode de fabrication : certaines, comme High Noon, Smirnoff et Two Brooks, ajoutent de l'alcool à de l'eau gazeuse quand d'autres, comme White Claw, sont fabriquées à partir de sucre fermenté.Pour un consultant, “La hard seltzer est le plus grand phénomène dans le secteur de la bière (aux Etats-Unis) depuis le lancement de la Miller Lite en 1975 et de la Budweiser Light en 1982”. Et le succès de ces boissons se traduit dans les chiffres : selon Bernstein, les hard seltzers devraient prendre plus de 15 % du marché américain de la bière et du cidre d'ici 2024. Alors qu’en 2018, elles ont représenté un chiffre d’affaires de 708 millions de dollars au Etats-Unis, en 2020 Nielsen a estimé le chiffre d’affaires des hard seltzers a au moins 4,1 milliards de dollars rien que pour les ventes de boissons à domicile, soit plus du double des ventes au détail de l'année précédente, selon les données de la société d'études de marché Nielsen. En réponse à ce succès, les grandes marques se sont empressées de se joindre à la fête. En 2016, le marché des hard seltzers se composait de White Claw, Truly et d'une marque peu connue appelée SpikedSeltzer. En 2018, on dénombrait 10 marques dans les magasins et en 2019, il y en avait 26. Aujourd'hui, selon Nielsen, il en existe plus de 65. Les spiritueux haut de gamme ont la coteFinancial Times, Pandemic shift to premium brands leaves drinks makers in high spirits, 06/03/2021La pandémie de Covid-19 a remodelé la culture mondiale de la boisson. Ainsi, les ventes mondiales de tequila, de vodka et de liqueurs ont surperformé en 2020, les consommateurs confinés chez eux ayant pris l'habitude de siroter des spiritueux haut de gamme et de préparer leurs propres cocktails.Par ailleurs, les consommateurs les plus aisés se sont retrouvés avec un revenu disponible supplémentaire et en ont profité pour se faire plaisir en achetant des bouteilles haut de gamme. Ainsi, les ventes de spiritueux de prestige (plus de 100$ la bouteille) devraient, selon la société d’analyse IWSR, augmenter de plus de 40% d'ici 2024, soit environ 4 fois plus vite que les marques standard et près de 2 fois plus que les bouteilles premium. Diageo a par exemple déclaré que ses ventes de tequila ont augmenté de 80% en 2020, grâce aux marques haut de gamme Don Julio et Casamigos. Le PDG de Diageo a d’ailleurs déclaré “la tendance à se tourner vers les spiritueux plutôt que vers la bière et le vin s'est accélérée pendant la pandémie”. Nouvelle levée de fonds pour Instacart, société américaine d'épicerie en ligneBusiness Insider, Instacart's latest multi-million dollar cash injection will help it scale its business post-pandemic, 04/03/2021La société américaine d'épicerie en ligne Instacart vient de finaliser une nouvelle levée de fonds (sa 4ème en moins d’un an) d’un montant de 265 millions de dollars, ce qui porte sa valorisation à environ 39 milliards de dollars, soit le double de sa valorisation lors de sa levée de fonds d’octobre 2020.Instacart prévoit d'utiliser ces fonds pour augmenter ses effectifs de 50% ainsi que pour des initiatives telles que Instacart Marketplace, qui aide à mettre les clients en contact avec les détaillants, et Instacart Enterprise, la solution de e-commerce tout en un pour les épiciers.Il faut dire que le climat est propice pour l’entreprise. Les chiffres publiés par Insider Intelligence indiquent que les ventes de produits d’épicerie en ligne ont augmenté de 54% en 2020 pour atteindre une valeur de 95,82 milliards de dollars. Selon des données d'Apptopia, les téléchargements quotidiens pour Instacart ont augmenté de 218% le 15 mars 2020, par rapport à la moyenne des téléchargements quotidiens en février 2020.Selon l’article, la force d’Instacart par rapport à des concurrents comme Walmart's ou Kroger's c’est la variété d'options d'épicerie proposées qui lui permet de répondre à un éventail de préférences d'achat des clients. Découvrez l’émission Eat’s Businesshttps://businessofbouffe.com/podcast-eats-business Pour vous abonner à la newsletter Eat’s Businesshttps://businessofbouffe.com/revue-de-presse-eats-business-newsletter  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/16/202143 minutes, 7 seconds
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À Côté D'La Plaque #19 | Mory Sacko – Dévoreur de vie et passionné de tout, il construit sa carrière sur les valeurs de demain

L’altruisme, une qualité dont tout le monde n’est pas doté, est essentielle pour Mory. Même s’il en rit « j’ai appris l’altruisme sur le tard, gamin j’étais égoïste, je partageais pas mes jouets ! ». Pour sa défense, ils étaient 9. Un secret ? Il a eu une coupe afro (nous sommes en pleine recherche de photos à l’appui). L’engagement, pour lui, n’est pas seulement écologique, mais surtout social, auprès de producteurs et de fermiers certes installés en Afrique, mais qui ont besoin de faire vivre leurs familles. Le futur ? Il l’imagine pluriel, multiculturel et genré : « d’autres modèles que le chef cinquantenaire, blanc, au col bleu blanc rouge, peuvent exister, et avec le temps ils sont pris au sérieux et ils intéressent les médias ». Ce qui l’agace au plus haut point ? « Les gens qui doublent à la queue, ça me rend fou que personne ne leur dise rien ! ». Sa plus grande peur, c’est celle de se retrouver sans ses proches. Vivre au bout du monde, impossible pour Mory, il n’a jamais quitté Paris et ne peut pas vivre sans sa famille et ses amis. Il pleure très peu, ne se considère pas romantique pour un sou, mais travaille parfaitement en couple. Il nous raconte avec humour son meilleur échec en cuisine, absolument unanime face à l’assemblée, et nous parle de ses autres passions : le foot, les mangas, les arts primitifs, l’art inuit, la mode… tout le passionne ! Il est plus spirituel que religieux, et vit ça de façon très personnelle, entre lui, et sa croyance. Il finit par rêver à son gueuleton idéal : Alain Passard à la grillade, avec sa famille, ses potes… et aussi Michael Jordan, Omar Sy, Orelsan, et Gérard Depardieu.  «  Le futur je le vois pluriel, multiculturel et genré ! » Pour en savoir plus sur MoSuke :MoSuke, https://mosuke-restaurant.com/ Pour contacter notre invité :Sur LinkedIn, https://www.linkedin.com/in/mory-sackoSur Instagram, https://www.instagram.com/mory_sacko_/ Pour découvrir l'origine du podcast de Raphaële Marchal :À Côté D’La Plaque #0 | Raphaële Marchal – Présentation de son nouveau podcast Pour découvrir les émissions À Côté D'La Plaque :https://businessofbouffe.com/podcast-a-cote-dla-plaque Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/11/202118 minutes, 3 seconds
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Eat's Business #9 | Ecole d’Agriculture par Xavier Niel, restaurants ouverts en Italie et l'engouement pour le vrac alimentaire | avec la participation de Célia Rennesson, Directrice générale de Réseau Vrac

Dans ce nouvel épisode de Eat's Business, la revue de presse du Business de la Bouffe, Olivier Frey et Daniel Coutinho reviennent sur le projet d'école d'Agriculture par Xavier Niel, le patron de Free, sur la réouverture des restaurants en Italie ainsi que sur l'engouement des consommateurs pour le vrac alimentaire.Dans cet épisode, sont aussi évoqués la méfiance des agriculteurs pour le projet d'école agricole, l'inflation des produits agricoles, les solutions pour rémunérer plus justement les agriculteurs, l'histoire du groupe Lactalis, la startup Baguette Box spécialisée dans la livraison de pain à domicile de bonne heure, et l'impact du réseau social TikTok sur les ventes de Feta. Xavier Niel lance une école d'agriculture gratuiteCapital, Xavier Niel va lancer une école d’agriculture gratuite, 24/02/2021A partir de septembre prochain, une école baptisée "Hectar" formera 2.000 étudiants par an aux métiers agricoles et à la reprise d’exploitation. Et cela gratuitement, et quelle que soit leur formation initiale.Dirigée par Audrey Bourolleau, qui fut notamment conseillère agriculture d’Emmanuel Macron à l’Elysée, celle-ci se situe à Lévis-Saint-Nom, au sein d’un espace de plus de 600 hectares. Selon Capital, l’ensemble comprend de vastes salles de classe, une cantine de 200 places, des cultures certifiées bio et 27 vaches normandes logées à la "Ferme des Godets", une laiterie à l’abandon depuis les années 80, qui produira lait et fromage. Par ailleurs, les centaines d’hectares de bois, friches et champs de céréales, en cours de conversion à l'agriculture biologique, serviront aux travaux pratiques grandeur nature des étudiants.C’est surtout la structure actionnariale de cette école qui est au cœur des discussions. Elle appartient en effet à 49% à NJJ Exclusive, une société holding de Xavier Niel, le patron de Free. Méfiance des agriculteurs pour le projet d'école agricoleBFM, Les agriculteurs regardent avec méfiance le projet d'école agricole de Xavier Niel, 26/02/2021L’annonce de la présence de Xavier Niel au capital d’Hectar interpelle le monde agricole. Le patron de Free a en effet soutenu l’an dernier un projet de référendum sur la cause animale et a participé à la levée de fond de “Les Nouveaux Fermiers”, une start-up qui fabrique des substituts végétaux imitant la viande. La FNSEA émet notamment des réserves via la voix de sa présidente, Christiane Lambert, qui affirme “on va voir ce qu'il (Xavier Niel) y promeut. S'il y promeut le non-élevage ou la viande de synthèse on va avoir du mal à être d'accord".Néanmoins, comme elle le précise, il y a un enjeu important de renouvellement des générations en agriculture, avec “140.000 agriculteurs qui vont quitter [le métier] dans les six ans qui viennent sur 450.000 agriculteurs”. Inflation des produits agricolesLes Echos, Pourquoi les prix des produits agricoles s'envolent, 23/02/2021Sur le marché à terme de Chicago, le maïs a touché en février, son plus haut niveau depuis 2013 et le soja son plus haut niveau depuis 2014. A Paris, la tonne de blé meunier se négocie à un plus haut niveau depuis 2012. En Asie, le riz thaïlandais se négocie à un plus haut niveau depuis 2013. Ces hausses de prix historiques ont plusieurs explications :du côté de l’offre tout d’abord : des craintes de sécheresse au Brésil et en Argentine avec le phénomène La Niña, un refroidissement des eaux du Pacifique central qui bouleverse le climat à travers la planète. Par ailleurs, le sucre et le riz, qui se transportent en containers, sont victimes de la pénurie de containers au niveau mondial.du côté de la demande : l'appétit de la Chine. Le pays a en effet importé plus de 100 millions de tonnes de soja et 20 millions de tonnes de maïs (contre 7,6 millions de tonnes de maïs lors de la campagne précédente). Cette forte demande en maïs s’explique par le fait que le pays reconstitue son cheptel de porcs, qui a été fortement diminué suite à la peste porcine africaine en 2019 et 2020. Le pays cherche également à honorer ses engagements d'achat de produits agricoles américains dans le cadre de l'accord de Phase 1 sur la guerre commerciale. Juste rémunération des agriculteursFrance Télévisions, Circuits courts, labels, marques… Comment s'assurer que nos achats rémunèrent correctement les agriculteurs ?, 23/02/2021Alors que la loi Egalim, promulguée en 2018, avait pour but de "payer le juste prix aux producteurs, pour leur permettre de vivre dignement de leur travail", ses résultats se font toujours attendre. France Télévisions s’est donc interrogé sur la manière dont les consommateurs peuvent s’assurer que les produits qu’ils consomment vont rémunérer correctement les agriculteurs.Pour Denis Beauchamp, président de l’association FranceAgriTwittos, pour s'assurer d’une meilleure rémunération des agriculteurs, "le mieux, c'est le circuit court". Et circuit court dans sa définition en tant que “vente présentant un intermédiaire au plus”.Pour Olivier Mevel, maître de conférence en sciences de gestion à l'université de Bretagne occidentale, “quand il achète les marques des distributeurs, le consommateur contribue malgré lui à entretenir un système qui donne la toute-puissance aux grandes surfaces”.Autre solution : acheter une de ces marques vendues dans les grandes surfaces qui défendent une juste rémunération des agriculteurs comme “C’est Qui le Patron !?”.Reste un problème souligné par Marie-Laure Allain, chercheuse au CNRS, "il est difficile pour les consommateurs d'obtenir des informations sur le partage des profits avec les agriculteurs”. Histoire de LactalisLes Echos, Lactalis : dans les coulisses de l'empire du lait, 23/02/2020Alors que Daniel Jaouen, qui fut le directeur général du groupe pendant 32 ans sort un livre, « Lactalis à la conquête du monde », dans lequel il raconte comment le groupe français s’est hissé en quelques décennies à la première place mondiale, l’article propose un rapide historique de Lactalis. On y apprend notamment que Lactalis a des origines remontant aux années 30, quand André Besnier, le fondateur, s’est lancé à 39 ans dans la fabrication de camemberts. A son décès, en 1955, l’entreprise réalisait 251 millions d'euros de chiffre d'affaires et comptait 50 salariés. C’est avec Michel Besnier, le père de l’actuel président, que le groupe a commencé à changer de dimension, avec un chiffre d’affaires qui a doublé en 2 ans suite à des rachats de laiteries et de fromageries. En 1968, ce dernier a également lancé deux produits phares du groupe : la brique de lait UHT et le Camembert Président. Au début des années 80, il se lance dans une politique de rachats aussi bien en France qu'à l'international.A son décès en 2000, c’est son fils Emmanuel qui a pris la suite. Sous sa houlette, Lactalis a réalisé ses 3 acquisitions les plus déterminantes : Galbani pour 2 milliards d’euros en 2005, Parmalat en 2011 et l’activité de fromages de l’américain Kraft (hors Philadelphia) en 2020.  Les Français craquent pour le vrac alimentaireLes Echos, De plus en plus de consommateurs craquent pour le vrac alimentaire, 25/02/2021Après avoir connu une croissance moins importante que les précédentes années en 2020 (+8% contre +40% entre 2018 et 2019) à cause d’un certain désamour de la part des consommateurs lors du premier confinement, le vrac alimentaire a retrouvé des couleurs depuis l’été dernier. Selon l’article, il devrait même connaître un rebond grâce au projet de loi Climat et Résilience. En effet, d’après le projet de loi, pour réduire les emballages plastiques, tout commerce de plus de 400 m2 devra consacrer 20% de sa surface de vente au vrac d'ici à 2030. Le vrac est désormais bien présent partout : 80% des grandes surfaces et 45% des enseignes bio en proposent. A cela s’ajoutent les épiceries 100% vrac. Pour Célia Rennesson de Réseau Vrac, le chiffre d'affaires de la filière devrait tripler d’ici 2022.Signe que le vrac gagne en importance, même les grandes marques s'y mettent. A l’instar de Babybel ou Kellogg’s.Ce succès sourit au réseau d’épiceries Day by Day, lancé en 2013, et qui compte désormais 72 boutiques proposant pas moins de 750 références, allant du riz au vin en passant par les produits d’hygiène. Réouverture des restaurants en ItalieLes Echos, Covid : comment les restaurants ont rouvert en Italie, 03/03/2021L'Italie a choisi de réouvrir les bars et les restaurants dans les zones où la situation épidémiologique est sous contrôle. Le pays a ainsi divisé ses vingt régions selon l'évolution de la situation épidémiologique : Rouge (risque élevé), Orange (risque modéré) et Jaune (risque faible). Dans les régions de la zone jaune (8 régions au total), les bars et les restaurants sont ouverts de 5 heures à 18 heures. Les restaurants peuvent par ailleurs proposer de la vente à emporter jusqu'à 22 heures.Parmi les règles sanitaires à respecter :du gel hydroalcoolique mis à disposition pour les clients et pour le personnella caisse doit être dotée de barrières physiques comme un écran en plexiglassle paiement électronique à table doit être privilégiéles menus électroniques consultables sur les téléphones portables doivent être privilégiésles serveurs sont obligés d’être masquésla désinfection de la table est obligatoire après chaque serviceentre chaque table une distance d'au moins un mètre doit être observéeun maximum de quatre personnes qui ne sont pas intimes par table Livraison de pain frais avant 6H30Les Echos, Du pain frais livré avant 6 heures 30... Baguette Box relève le défi, 25/02/2020Zoom sur Baguette Box, une startup alsacienne lancée en 2019 et qui compte déjà près de 5.500 clients. Son principe : vous commandez en ligne avant 18h du pain, des viennoiseries ou des produits de boulangerie et Baguette Box vous les dépose avant 6h30 dans des boîtes placées devant les habitations.Pour bénéficier de ce service, il faut souscrire un abonnement de 6,90 euros par mois et les produits de boulangerie sont facturés aux mêmes prix qu'en boutique.Pour l’heure, Baguette Box propose ses services dans 350 communes et réalise environ 80 tournées, grâce à 150 livreurs embauchés en CDI quelques heures par jour et qui se déplacent à bord de véhicules hybrides et électriques. L’entreprise cherche désormais à se développer selon 3 axes : étendre sa couverture territoriale, élargir sa gamme de produits et se développer en franchise. Baguette Box a déjà réalisé 2 levées de fonds pour un total de 1,4 millions d'euros et vise la rentabilité à l'horizon 2023. Spotify pour livre de cuisine Financial Times, In the test-kitchen with ‘Spotify for foodies’, 01/03/2021En matière de recettes de cuisine il existe des applications telles que l’application de cuisine du New York Times (qui propose des recettes tirées des pages de ce journal) ou encore Cooked mais celle que l’auteur de cet article met en avant s’appelle Ckbk. Il s’agit d’une appli sur abonnement 5,49€ par mois qui se présente comme un "Spotify pour livre de cuisine".Ckbk rassemble des documents du monde entier, avec plus de 100 licences partenaires. Et, contrairement à l’application Eat Your Books, qui renvoie à des versions en ligne gratuites de recettes de cuisine, Ckbk offre un accès complet au contenu des livres (pas seulement aux listes d'ingrédients) et présente des centaines de titres presque introuvables ailleurs. Son inventaire actuel (en rapide augmentation) se compose d'environ 500 livres (ou 100 000 recettes), dont un peu moins de la moitié sont épuisés. L’appli permet une recherche par ingrédient, plat, auteur, titre, cuisine, plat, complexité, époque et régime. Effet TikTok : pénurie de FetaNew York Times, The TikTok Feta Effect, 26/02/2021Ou comment une recette diffusée avec succès sur l’application TikTok a fait exploser la demande de feta à tel point que certains fromagers n’ont pu recevoir leur livraison hebdomadaire.La recette en question est connue sous le nom de “baked feta pasta”. Il s'agit d'une sauce pour pâtes cuites au four extrêmement facile et crémeuse, faite d'un bloc entier de fromage de feta niché au milieu de tomates cerises, avec de l'huile d'olive, des piments et de l'ail. Le succès de cette recette remonte à 2018, lorsque la blogueuse culinaire finlandaise Jenni Hayrinen a réalisé ce qu’elle appelle “uunifetapasta”.Mais le phénomène n’a pris son envol aux États-Unis qu’au début du mois de janvier dernier. Aujourd'hui, le hashtag #fetapasta compte plus de 600 millions de vues rien que sur TikTok.Mi-février, alors que la feta était le terme de recherche numéro 1 sur l'application de livraison d'épicerie Instacart - le Charlotte Observer signalait des étagères de feta temporairement vides dans des magasins locaux comme les supermarchés Harris Teeter. Selon Danna Robinson, porte-parole de Harris Teeter, qui gère plus de 230 magasins dans sept États, la demande a augmenté de 200%. La chaîne de supermarchés Kroger a également été prise au dépourvu. Walshe Birney, qui supervise les comptoirs de fromage de spécialité de Kroger a même déclaré “c'est la plus grande hausse de l'intérêt et des ventes d'un même produit que j'ai jamais vue à une telle échelle géographique”. Découvrez l’émission Eat’s Businesshttps://businessofbouffe.com/podcast-eats-business Pour vous abonner à la newsletter Eat’s Businesshttps://businessofbouffe.com/revue-de-presse-eats-business-newsletter Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/9/202145 minutes, 38 seconds
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Business of Bouffe #36 | Cyril Lignac et Laurence Mentil – Groupe Cyril Lignac | L’histoire d’un duo iconique d’entrepreneurs avant-gardistes et heureux d’être libres

Aujourd’hui, Philibert Chambre et Daniel Coutinho sont avec Cyril Lignac, un des chefs préférés des Français et serial entrepreneur, ainsi que Laurence Mentil, son associée qui, dans l’ombre, l’a aidé à développer son business.Ensemble, nous revenons sur le parcours de Cyril Lignac, qui cumule les métiers de chef cuisinier, pâtissier, animateur télé, producteur ainsi que manager d’un groupe de plus de 150 collaborateurs. S’il a réussi à combiner toutes ces activités avec brio, c’est grâce à Laurence, qui depuis 15 ans l’accompagne quotidiennement dans tous ses projets. Enfant, Cyril ne réussissait pas bien à l’école mais a trouvé dans la cuisine un moyen de se faire respecter et aimer. La suite, on la connait : le chef aveyronnais a travaillé pour plusieurs grands noms de la gastronomie française puis est rapidement contacté pour participer à Oui Chef ! sur M6. L’émission est un succès, et le propulse ainsi dans l’univers de la télé. Elle lui permet également d’ouvrir son premier restaurant, Le Quinzième, qui obtiendra une étoile au Guide Michelin en 2012. Si à l’époque, peu de ses compères, si ce n’est aucun, n’acceptait de tourner pour le petit écran, Cyril a su être avant-gardiste et est fier de voir, désormais, l’ampleur prise par les émissions de cuisine. Comme nous l’expliquent nos invités, cette diversification d’activités est une vraie force pour le groupe car la télé offre l’opportunité de dégager des revenus qui peuvent être utilisés pour le financement d’autres projets comme l’ouverture de nouveaux restaurants, de pâtisseries ou encore de la chocolaterie. Cette liberté d’entreprendre comme bon leur semble est d’ailleurs l’une des plus grandes fiertés de Laurence. Au fil de notre discussion, on apprend aussi que le développement du business de Cyril est avant tout guidé par ses envies plutôt que par une démarche stratégique. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’il a décidé de fermer son restaurant gastronomique, désireux de retrouver sa liberté créative. 1 de perdu, 10 de retrouvés ? Pour l’instant en tout cas, deux ouvertures sont prévues en 2021 : Le Bar des Prés London, premier restaurant à l’étranger et Ischia, restaurant italien en lieu et place du Quinzième.« Aujourd’hui on ne peut pas résumer notre histoire et notre ADN sans la médiatisation. »Pour regarder la vidéo dans son intégralité :Vidéo des coulisses du podcast : https://youtu.be/R0dd7ikPe9oLes bons plan de Cyril Lignac et Laurence Mentil :Les bimbimpap à emporter ou en livraison de Pierre SangRestaurant laotien dans le 13e arrondissement de Paris : Lao Douang Chan.Pour contacter nos invités :Cyril Lignac, https://www.instagram.com/cyril_lignacLaurence Mentil, https://www.instagram.com/laurencementilPlus d'informations sur le Groupe Cyril Lignac :Groupe Cyril Lignac, https://www.cyrillignac.comPour découvrir les épisodes Business of Bouffe :https://businessofbouffe.com/le-podcast-food-business Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/7/20212 hours, 19 minutes, 56 seconds
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Eat's Business #8 | Pause déjeuner face à la Covid-19, les défis d'Alexandre Bompard pour Carrefour et LVMH x le Champagne de Jay-Z

Dans ce nouvel épisode de Eat's Business, la revue de presse du Business de la Bouffe, Olivier Frey et Daniel Coutinho reviennent sur les conséquences de la crise sanitaire sur la pause déjeuner, sur les défis d'Alexandre Bompard pour Carrefour et sur l'accord entre LVMH et Jay-Z concernant la maison de Champagne Armand de Brignac.Dans cet épisode, sont aussi évoqués l'e-commerçant spécialiste du bio en circuit court Aurore Market, l'opération "Un agriculteur dans votre répertoire téléphonique" en l'absence du traditionnel Salon de l'Agriculture, la polémique du menu unique sans viande dans les cantines scolaires à Lyon, le KitKat vegan, l'avis de Bill Gates sur l'avenir du bœuf synthétique et les ventes en ligne d'alcool. Alexandre Bompard revient sur les résultats de CarrefourLe Figaro, Alexandre Bompard : « L’histoire ne repasse pas les plats, nous avons tourné la page », 18/02/2021Une interview du PDG de Carrefour qui revient notamment sur les résultats du groupe pour l’année 2020 ainsi que l’opération de rapprochement avortée avec le canadien Couche-Tard.Selon lui, “Avec 80 milliards d'euros de chiffre d'affaires, nous n'avons pas de problème de taille critique. Carrefour est à l'offensive, tourné vers la croissance et ne recherche pas de consolidation mondiale. Ces dernières années, on a d'ailleurs plutôt observé un recentrage de grands acteurs sur un nombre réduit de pays où ils sont puissants”. On y apprend par ailleurs (mais sans surprise) que la crise sanitaire a accéléré le développement de l'e-commerce dans tous les pays où Carrefour est présent, pour tous les produits et toutes les générations. Ainsi, d’après Alexandre Bompard, Carrefour a gagné 1,3 millions de nouveaux clients en 2020 et les ventes en ligne ont augmenté de 70% dans le monde, à 2,7 milliards d'euros. Il prévoit par ailleurs qu’elles atteindront 4,2 milliards en 2022. Désormais, Carrefour représente 14% du marché du drive en France et est leader de celui de la livraison à domicile, avec 25% de parts de marché.  Les défis d'Alexandre BompardChallenges, Carrefour : quels défis pour Alexandre Bompard après une année hors norme?, 18/02/2021Alors que le groupe Carrefour a annoncé ses résultats, Challenges s’interroge sur les défis à venir pour son PDG Alexandre Bompard.1er défi : la vitesse d'exécution. Selon Alexandre Bompard, “c'est une année qui compte double” et durant laquelle le groupe doit “accélérer” et “donner de la visibilité aux investisseurs” selon un analyste de chez Barclays. Ceci passera par une amélioration de l'exécution et des performances. Ainsi, après avoir atteint son objectif de 3 Mds d'euros de baisse de coûts à fin 2020, Carrefour s’est fixé pour objectif d’atteindre 2,4 Mds d'euros d’économies de coûts additionnels en année pleine à horizon 2023.2è défi : le e-commerce. Si les chiffres donnés dans l’article précédent sont flatteurs, certains analystes estiment que Carrefour devra prouver qu'il ne s'agit pas uniquement d’un effet d'aubaine lié à la crise sanitaire. Ces chiffres seraient en effet en grande partie tirés par le drive et les drives piétons et Carrefour ne serait pas assez ambitieux dans la livraison à domicile, au risque de se voir dépassé par des acteurs comme Amazon, Deliveroo ou Uber Eats.3è défi : la compétitivité prix. Alors qu’une bataille des prix entre enseignes de distribution est à prévoir (voir la newsletter de la semaine dernière) vu le contexte de crise économique à venir, Carrefour n’est pas le mieux positionné au niveau des prix.4è défi : le cours de bourse. Selon les analystes, les principaux actionnaires de Carrefour souhaitent vendre leurs actions pour sortir du capital. Ainsi, l’un des défis du PDG est d’améliorer le cours de l’action Carrefour. Cette hausse du cours serait urgente car, selon les observateurs, Couche-Tard n'a pas abandonné son projet de racheter Carrefour. Aurore Market, spécialiste du bio en circuit courtJDD, Aurore Market, bio et solidaire à la fois, 21/02/2021Focus sur une success story du e-commerce français, le site Aurore Market, spécialiste du bio en circuit court. Lancé en 2018, Aurore Market s’est inspiré du modèle de l’américain Thrive Market.Implanté en Auvergne, le site expédie environ 800 colis par jour et compte 20 000 clients réguliers. La spécificité du modèle d’Aurore Market : pour être client il faut d’abord s’acquitter d’une adhésion d’un montant de 60 euros, qui vous donne ensuite accès à une gamme de 4000 produits. Selon Roman Régis, l’un des co-fondateurs, ce système d’adhésion permet de pratiquer des marges plus faibles. Ainsi, Aurore Market n’a pas de dépenses marketing ni de budget pour l’acquisition de nouveaux clients. Grâce à son assortiment réduit, le site va réaliser de gros volumes sur chacune de ses références ce qui lui permet d’obtenir un meilleur tarif d’achat.A noter également que le site propose une collecte pour les étudiants en difficulté. Chaque euro collecté permettra de réaliser un panier d’une trentaine d’euros qui sera envoyé aux étudiants qui se seront inscrits au programme. Salon de l'Agriculture 2021 : les agriculteurs au bout du filLe Figaro, En l’absence de salon, les agriculteurs s’invitent dans le téléphone des Français, 23/02/2021Le collectif Ici la Terre, qui réunit 130 producteurs a lancé ce lundi l’opération « Un agriculteur dans votre répertoire téléphonique ». Le but de cette opération : proposer aux citoyens, qui se seront au préalable inscrits sur le site du collectif, d’être rappelés par un exploitant pour répondre à leurs questions sur le métier d’agriculteur.Selon l’un des co-fondateurs, “la démarche est de recréer un lien direct avec les Français, d’expliquer notre métier. Il est indispensable, lorsqu’on s’intéresse à l’agriculture, d’avoir un référent sur le sujet dans son répertoire”. L’article précise que cette opération est financée par une cagnotte Leetchi, qui a permis de récolter 6 000 euros il y a deux ans.Si vous vous interrogez sur ce beau métier, n’hésitez pas à utiliser cette initiative mise en place par Ici la Terre. Les pauses déjeuners en temps de Covid-19Le Figaro, Comment la crise sanitaire a transformé nos pauses déjeuner, 18/02/2021Entre la fermeture des bars et restaurants, le développement du télétravail et les mesures de distanciation au sein des entreprises, la pause déjeuner a complètement changé de visage et, comme le précise l’article, est devenue “un moment de plus en plus solitaire”. Pour ceux qui ne peuvent pas télétravailler, les plats à emporter et les sandwichs ont remplacé les déjeuners à la cantine ou au restaurant et s’avalent souvent dans la voiture faute de pouvoir s’attabler quelque part. Pour ceux qui télétravaillent, les repas sont cuisinés ou livrés et consommés à la maison. Enfin, les déjeuners d'affaires, sont également de moins en moins fréquents.Plus cocasse, on apprend qu’un décret paru le 14 février autorise désormais les salariés à déjeuner à leur bureau, devant leur ordinateur. En effet, cette pratique était jusqu’à présent illégale…Un chiffre résume tous ces changements : 700 millions d'euros, c’est le montant estimé des tickets restaurants non utilisés. C’est pourquoi le ministère de l’Économie a décidé de prolonger la durée de validité des tickets-restaurants de l'année 2020, jusqu'en septembre 2021. Menu unique végétarien dans les cantines scolaires à LyonBFM TV, A Lyon, un menu unique dans les cantines à partir de lundi, 18/02/2021C’est la polémique de la semaine, le maire écologiste de Lyon a imposé un "menu unique sans viande" dans les cantines scolaires de la ville depuis la rentrée des vacances de février, au nom de la lutte contre le Covid. Selon Stéphanie Léger, l'adjointe chargée de l'Éducation, "Le nouveau protocole sanitaire impose une distanciation de deux mètres dans la restauration scolaire. Le menu unique va nous permettre d'accélérer le service et ainsi nous permettre d'accueillir tous les enfants" et ce menu unique sans viande permettrait de “servir plus rapidement les élèves et fluidifier les repas”.Une telle décision fait évidemment débat au sein de monde politique mais également au sein du monde agricole. KitKat veganLes Echos, KitKat vegan : la course au chocolat végétalien s'accélère, 16/02/2021Nous en parlions la semaine dernière, Nestlé lance une version vegan de ses célèbres Kit Kat. Dénommée KitKat V, il s’agit selon l’article d’une “des premières d'un acteur majeur du secteur à être 100% végétaliennes”. Pour fabriquer cette version végane, Nestlé utilise une formule à base de riz comme substitut de lait. Mais il s’agit d’un défi technique car le groupe a mis deux ans à développer cette nouvelle gamme. En effet, selon l’article, les alternatives véganes au chocolat au lait sont compliquées à développer car il faut s'assurer que l’alternative au lait utilisée “se marie bien avec le cacao et le sucre pour arriver à une texture crémeuse”. C’est pourquoi, la plupart des chocolats végans présents sur le marché sont des chocolats noirs.  L'avis de Bill Gates sur l'avenir de la viande de bœuf synthétiqueMIT Technology Review, Bill Gates : Rich nations should shift entirely to synthetic beef, 14/02/2021Un entretien avec Bill Gates, qui sort un livre intitulé “How to Avoid a Climate Disaster”, dans lequel il explique ce que, selon lui, il faudra réellement faire pour éliminer les émissions de gaz à effet de serre à l'origine du changement climatique.Dans ce livre, il adresse notamment le secteur de l’alimentaire. Et parmi les propositions de Bill Gates évoquées lors de cet entretien, il y a celle-ci : “Je pense par contre que tous les pays riches devraient passer à une viande de bœuf 100 % synthétique. On peut s'habituer à la différence de goût, et on prétend qu'ils vont la rendre encore meilleure avec le temps”.Rappelons que Bill Gates est investisseur, à titre personnel ou par l'intermédiaire de Breakthrough Energy Ventures, dans plusieurs des entreprises qui proposent des alternatives à la viande, notamment Beyond Meats, Impossible Foods, Memphis Meats et Pivot Bio. Accord entre LVMH et la marque de Champagne de Jay-ZThe New York Times, Jay-Z and LVMH, Two of the World’s Biggest Brands, Go Into Business, 22/02/2021LVMH va acquérir la moitié d'Armand de Brignac, la marque de Champagne, couramment appelé « L’as de pique », propriété du chanteur Jay-Z qui l’a acquise en 2014.Cet accord donne à Jay-Z le soutien organisationnel et le pouvoir de distribution d’un leader mondial des boissons tandis que LVMH obtient l'influence cool et le savoir-faire en matière de marketing lifestyle d'un leader culturel noir qui fait autorité à un moment où le racisme dans le secteur du luxe est particulièrement surveillé.Comme l’explique l’article, pour LVMH il ne s’agit pas seulement d'acheter une nouvelle marque de boissons, mais également d’acheter un savoir-faire culturel et pénétrer des marchés qui ne sont pas traditionnellement desservis par certaines de ses marques.Aucune des deux parties n’a divulgué le montant de la transaction. Ventes en ligne d'alcoolBloomberg Businessweek, Online Booze Gets a Covid Boost, 15-22/02/2021Un article intéressant sur la percée du e-commerce dans la vente d’alcools aux Etats-Unis en 2020. Le grand brasseur américain Molson Coors a par exemple vu ses ventes en ligne progresser de 230% sur les 11 premiers mois de 2020.Comme partout dans le monde, les fermetures de bars et restaurants aux Etats-Unis ont forcé les acteurs de ce secteur à se mettre au e-commerce. Mais la vente en ligne d’alcool était auparavant très compliquée aux Etats-Unis, notamment à cause du 21è amendement voté en 1933 à la fin de la prohibition mais également des lois propres à chaque Etat. Car, si de nombreux États autorisent la livraison à domicile depuis des années, les réglementations ont souvent été très restrictives, rendant cette option infaisable pour de nombreuses brasseries et détaillants. Par exemple, seuls 12 Etats autorisent les expéditions en dehors de leur territoire pour la bière et l'alcool. Mais en 2020, la pandémie a ouvert une nouvelle voie et une majorité d'États ont fait de leur mieux pour répondre à la crise en autorisant de nombreuses formes de distribution d'alcool à emporter et à livrer pendant la pandémie. Les fabricants de vins et spiritueux se sont dans un premier temps appuyés sur les services offerts par des startups comme Drizly, Thirstie ou Speakeasy pour développer leur offre de e-commerce.L'annonce faite début février 2021 de l'acquisition par Uber du service de distribution de boissons Drizly, pour 1,1 milliards de dollars, est vue comme un tournant qui pourrait booster la croissance de la distribution d'alcool en ligne. Les Etats-Unis sont désormais en passe de devenir le plus grand marché pour le e-commerce de vins et spiritueux. Drizly estime ainsi que la part des ventes en ligne d’alcool aux Etats-Unis devrait passait de 5% aujourd’hui à 20% d’ici 5 ans. Découvrez l’émission Eat’s Businesshttps://businessofbouffe.com/podcast-eats-business Pour vous abonner à la newsletter Eat’s Businesshttps://businessofbouffe.com/revue-de-presse-eats-business-newsletter Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/2/202136 minutes, 51 seconds
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À Côté D'La Plaque #18 | Yves Camdeborde – Grand heureux, il vit toutes les petites choses de la vie avec pleine conscience et romantisme véritable

Yves Camdeborde aime manger et être mangé, occulte avec aisance les choses difficiles de l’existence et vit sa vie avec fougue, bonheur et délectation. Sa seule crainte, c’est de manquer de temps pour profiter des gens qu’il aime : « le temps, on n’en est jamais rassasiés ». Il est fidèle, honnête et fiable, et ne supporte pas les menteurs et les hypocrites. Tenir ses engagements, c’est le respect : « je n’ai pas peur de dire non, tout le monde a le droit de dire non, sans avoir à se justifier, mais quand je dis oui, c’est un vrai oui, et je m’y tiens ». Il aimerait réussir à ne plus se mettre en colère avec excès, « surtout que cette colère me fait plus de mal à moi qu’à la personne qui l’a reçue ». La famille, c’est son socle inébranlable, « c’est la chose la plus importante, c’est celle qui est capable de supporter la détresse et l’euphorie, sans jugement ». Dans cet épisode, on parlera de l’impact inouï qu’ont eu les critiques des chefs et journalistes sur Yves et sur son égo, et d’un échec qui l’a sauvé : le concours des MOF, en 1992. On parlera aussi, non sans quiproquo, des pommes chatouillardes. On reviendra en douceur sur son romantisme : « je suis très romantique, je trouve beau, l’amour, j’adore l’amour, je suis amoureux permanent, j’aime le romantisme doux et léger, j’aime que ça me prenne dans mes chairs ». On feuillètera sa mission pour le Petit Robert, ses performances sportives et son incapacité totale à passer une journée sans cuisiner… Et on finira sur un grand moment de cuisine, qui s’étalera sur les dix dernières minutes de cet épisode, et attention : ça chatouille, tellement c’est doux.«  Avoir la chance de vivre sa vie, c’est la plus belle chose du monde. » Pour en savoir plus sur Yves Camdeborde et ses restaurants :Yves Camdeborde, https://camdeborde.com/ Pour contacter notre invité :Yves Camdeborde, https://www.instagram.com/yves_camdeborde Pour découvrir l'origine du podcast de Raphaële Marchal :À Côté D’La Plaque #0 | Raphaële Marchal – Présentation de son nouveau podcast Pour découvrir les émissions À Côté D'La Plaque :https://businessofbouffe.com/podcast-a-cote-dla-plaque Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
2/25/202134 minutes, 26 seconds
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Eat's Business #7 | Guerre des prix (grande distribution x industriels), Amazon alimentaire et bouteille en papier chez Coca-Cola | avec la participation spéciale d'Alexis Vaillant - Fondateur d’Alterfood

Dans ce nouvel épisode de Eat's Business, la revue de presse du Business de la Bouffe, Olivier Frey et Daniel Coutinho reviennent sur la guerre des prix engagée entre les industriels et la grande distribution, sur le changement d'offre alimentaire d'Amazon ainsi que sur le prototype de bouteille en papier de Coca-Cola.Dans cet épisode, sont aussi évoqués la position du président d'Alterfood sur la guerre des prix, la redéfinition des règles avec l'e-commerçant Picnic, les actionnaires de Tesco qui veulent combattre l'obésité, les conséquences de la crise sanitaire sur les ventes de petit électroménager, le devenir des parkings souterrains et les droits de douane américains sur le vin et les produits alimentaires européens. Guerre des prix : grande distribution x industrielsLe Figaro, Alimentation: le retour de la guerre des prix, 14/02/2021A deux semaines de la fin des négociations commerciales entre les distributeurs et les industriels de l’agroalimentaire, l’article nous apprend que “les désaccords sont légion” et que “le ton monte”.Le contexte est en effet particulier avec, d’un côté, la crise économique qui incite les acteurs de la grande distribution à maintenir des prix bas en rayon alors que, de l’autre côté, les industriels sont confrontés à la hausse des cours des matières premières, qui pèse sur leurs coûts de production.Industriels et distributeurs se rejettent la balle. Pour les premiers, les demandes quasi systématiques de déflation de la part des seconds sont « injustifiées ». Pour les seconds, les premiers ont des demandes « irréalistes » de 3% à 4% de hausse de tarifs en moyenne.La situation est telle que le Ministre de l’Agriculture, Julien Denormandie, est monté au créneau et a averti les acteurs de la grande distribution ainsi que les industriels que “en poussant les prix à la baisse, (ils sont en train) de creuser (leur) tombe”. L’article nous apprend également que le ministre souhaite introduire davantage de transparence dans les négociations. Il estime, en effet, que les distributeurs seraient plus enclins à accepter des revalorisations si les industriels indiquaient clairement combien ils paient aux agriculteurs, ce que beaucoup refusent de faire. Guerre des prix : le président-fondateur d'Alterfood prend la paroleLe Parisien, “Guerre des prix entre producteurs et grandes enseignes : «Le combat de David contre Goliath»”, 15/02/2021Alexis Vaillant, le président-fondateur d’Alterfood prend la parole pour dénoncer les conditions dans lesquelles se déroulent les négociations commerciales 2021, qu’il voit comme le combat de David contre Goliath.Si, selon lui, il ne faut pas mettre tous les distributeurs dans le même panier et qu’Alterfood a réussi à ne pas trop céder de terrain au niveau des prix, un distributeur a été jusqu'à baisser de 45% le volume des assortiments, ce qui entraîne mécaniquement une baisse de chiffre d’affaires de 500 à 700 000 euros, soit environ 10% des ventes de l’entreprise. Amazon change son offre alimentaireBusiness Insider, Comment Amazon va changer son offre alimentaire et s'associer avec Monoprix, 12/02/2021Cinq ans après son arrivée sur le secteur alimentaire en France, Amazon vient de tirer le bilan de son activité. Et il semblerait que ce dernier ne soit pas si positif que cela car le géant américain a décidé de réorienter son organisation sur la vente de produits alimentaires dans l'Hexagone.Comme l’explique l’article, jusqu'à maintenant, pour acheter un produit alimentaire Amazon, il fallait passer par l'option Prime Now, un service de livraison payant garantissant la livraison en moins de deux heures à Paris, une partie de la banlieue parisienne, Bordeaux, Lyon ou encore Nice. Le groupe utilisait pour ce faire 10 entrepôts en France dédiés exclusivement à la livraison des produits alimentaires. Mais un de ces entrepôts, situé dans le 18ème arrondissement de Paris, va changer son organisation pour devenir une sorte de station de livraison consacrée à la livraison via mobilité douce. Par ailleurs, le groupe a annoncé un autre changement important : d'ici le mois d'avril prochain, Amazon Retail va s'arrêter en France pour les produits alimentaires. En clair, cela signifie qu’Amazon va stopper l'achat et la vente de ce type de produits et donc abandonner son rôle de distributeur alimentaire.A partir d’avril, Amazon va quasi uniquement s'appuyer sur l'offre de Monoprix en proposant à terme 7 000 références, dont 1 600 vendues sous les différentes marques propres Monoprix. Analyse de l'activité de vente en ligne de produits alimentaires d’AmazonLe Furet du Retail, Amazon n’est vraiment plus à l’aise avec la vente en ligne de produits alimentaires. Une confirmation ?, 11/02/2021Une analyse de l'activité de vente en ligne de produits alimentaires d’Amazon en France et aux Etats-Unis réalisée par un des experts du secteur. Picnic, l’e-commerçant alimentaire néerlandais, impose ses règles aux clientsRepublik Retail, Découvrez Picnic, le néerlandais qui casse les règles de l’e-commerce alimentaire, 05/02/2021Un article intéressant sur Picnic, un acteur majeur du e-commerce alimentaire en Hollande qui lorgnerait le marché français. On y apprend notamment que sa part de marché serait passée de 6% en 2017 à environ 22% en 2020, avec un chiffre d’affaires estimé de 550 millions d’euros.Le fonctionnement de Picnic possède quelques particularités intéressantes :pour être client, il faut que l’adresse se trouve sur une tournée et il faut que le créneau de livraison, qui est fixe, convienne. Cela lui permet de bien maîtriser le dernier kilomètrel’assortiment est très court (environ 7000 références)l’offre se concentre sur les besoins des familles urbaines avec enfantsl’entreprise a conçu son propre camion de livraison, avec des roues qui tournent à 90 degrés pour faciliter les manœuvres en milieu urbain et se garer facilement. Sa conception a été pensée pour un déchargement rapide des bacs. Ainsi, “la livraison se fait en 3 mn contre 12 mn pour son concurrent Albert Heijn”.  Des actionnaires de Tesco veulent combattre l'obésitéLes Echos, Des actionnaires veulent que les supermarchés Tesco combattent l'obésité, 10/02/2021Alors que le Royaume-Uni est l'une des nations qui compte le plus de personnes obèses parmi sa population, les actionnaires de la plus grande chaîne de supermarchés du pays, Tesco, ont prévu de déposer une résolution “sanitaire” lors de la prochaine assemblée générale.Ils comptent ainsi demander au groupe de dévoiler la part que représente la vente des aliments et boissons les plus sains à partir de 2022 et de faire en sorte qu'elle augmente d'ici 2030. Pour passer, cette résolution doit être adoptée par 75% des votes des actionnaires lors de l'assemblée. Comme le rappelle l’article, certaines entreprises américaines, parmi lesquels Coca-Cola, Pepsi et McDonald's ont fait face à des demandes similaires de la part des actionnaires, notamment sur leur utilisation du sucre dans leurs produits.La crise sanitaire a dopé les ventes du petit électroménagerLes Echos, Friteuse, robots de cuisine, machine expresso… Le Covid a dopé les ventes d'électroménager, 13/02/2021En 2020, la crise sanitaire et la fermeture des cantines et restaurants a profité au secteur du petit électroménager. Parmi les succès notables : les robots multifonctions (+24%), les robots dédiés à la pâtisserie (+48%), les friteuses (+25,5%), les machines à pain (+82%), et les appareils à fondue, raclettes et autres planchas (+21%).Au global, les ventes d’électroménager ont progressé de 5% dans l'Hexagone, à plus de 9 milliards d'euros. Nouvelle vie pour les parkings souterrainsLe Monde, Agriculture urbaine, chambres froides, stockage de colis… la nouvelle vie des parkings souterrains, 16/02/2021Alors que les voitures désertes de plus en plus les centres ville, les parkings souterrains retrouvent une nouvelle vie. A Paris, par exemple, l’article nous apprend que Indigo et Effia, les deux leaders du stationnement, ont enregistré une baisse de 30 % de la fréquentation horaire ces dernières années. Ces parkings intéressent notamment les entreprises spécialisées dans l’approvisionnement des villes qui les utilisent comme des dark stores (voir la newsletter de la semaine dernière sur ce sujet). C’est le cas par exemple de monmarche.fr, qui utilise le niveau -1 d’un parking de l’Ile de la Cité à Paris à partir duquel “une trentaine de salariés préparent et livrent à vélo des paniers dans un rayon de 500m”. A la Porte de La Chapelle, l'entreprise d'agriculture urbaine Cycloponics fait pousser des champignons dans un parking situé sous un immeuble de logements sociaux.Et pour les entreprises qui gèrent ces parkings l’opération s’avère également intéressante car, comme l’explique l’article, la rentabilité des m2 loués est au moins égale à celle d'une place de stationnement. En conséquence, Indigo va équiper cinquante sites dans toute la France en chambres froides, casiers pour artisans ou consignes Amazon.  Test de bouteille en papier chez Coca-ColaBBC News, Coca-Cola company trials first paper bottle, 13/02/2021Alors que Coca-Cola a été classé premier pollueur de plastique au monde par l'association caritative Break Free From Plastic, le groupe a annoncé qu'il allait tester une bouteille en papier. Le concept concernera dans un premier temps sa marque de boisson aux fruits Adez.Le prototype est fabriqué par l’entreprise danoise Paboco à partir d'une coque en papier extra-forte qui contient encore une fine doublure en plastique. L'objectif est de créer une bouteille sans plastique, 100% recyclable, capable d'empêcher les gaz de s'échapper des boissons gazeuses.Pour Paboco, l’un des défis a consisté à créer une bouteille capable de résister aux forces exercées par les boissons gazeuses (soda, bières…) qui sont embouteillées sous pression. Il s’agit également de garantir qu'aucune fibre de papier ne s'écaille dans le liquide car cela risquerait d'altérer le goût de la boisson ou de compromettre les contrôles de santé et de sécurité.Mais même si les tests se déroulent parfaitement, le vrai défi consiste à se débarrasser complètement du plastique. Comme le papier ne peut pas entrer en contact direct avec les liquides, il est prévu d'utiliser un revêtement à base de plantes à l'intérieur de la bouteille. Droits de douane sur le vin et les aliments européens sont toujours d'actualitéWall Street Journal, Tariffs on Wine, Food From Europe to Stay for Now, U.S. Says, 12/02/2021Les espoirs de nombreuses entreprises européennes viennent d’être douchés. L'administration Biden a en effet affirmé qu'elle ne mettra pas fin de sitôt aux droits de douane imposés sur les importations de vin, de fromage et d'autres produits alimentaires européens. Ces prélèvements avaient été imposés par l'administration Trump dans le cadre d'un différend de longue date avec l'Union européenne sur les subventions à Airbus et Boeing.Fin 2019, Washington avait ainsi établi des droits de douane sur des vins et des produits alimentaires européens comme le fromage et les olives, pour une valeur de 7,5 milliards de dollars. En représailles, l'UE avait riposté avec des taxes sur le whisky, les noix et le tabac américains pour une valeur d'environ 4,5 milliards de dollars. Le 31 décembre dernier, les États-Unis ont renforcé les sanctions en imposant des droits de douane supplémentaires, soumettant la quasi-totalité des importations de vin en provenance de France et d'Allemagne à des droits de douane de 25%. Découvrez l’émission Eat’s Businesshttps://businessofbouffe.com/podcast-eats-business Pour vous abonner à la newsletter Eat’s Businesshttps://businessofbouffe.com/revue-de-presse-eats-business-newsletter  Hébergé par Acast. 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2/23/202142 minutes, 44 seconds
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Business of Bouffe #35 | Gilles, Catherine et Nicolas Verot – Maison Verot | L’histoire d’une famille d’artisans qui rend ses lettres de noblesse à la charcuterie

Aujourd’hui, Daniel et Philibert sont avec Gilles, Catherine et Nicolas Verot, qui à eux trois, père, mère et fils, constituent l’incontournable maison charcutière du même nom, la Maison Verot.Ensemble, nous revenons sur la fabuleuse histoire d’une famille de charcutiers qui allie tradition et modernité. Tous trois fils et fille de charcutiers, les Verot perpétuent un savoir-faire presque centenaire. L’aventure commence en 1930, lorsque le grand-père de Gilles Verot, ouvre sa première boutique de charcuterie à Saint-Etienne. Gilles revient alors sur son parcours. Pourtant destiné à prendre la suite de la maison stéphanoise, il tombe amoureux de Paris et surtout de Catherine, au milieu des jambons et des terrines de la charcuterie où il était alors en apprentissage. De cet amour naît le début de l’aventure parisienne de la maison charcutière, aujourd’hui connue pour être la Rolls-Royce du pâté en croûte. Ensemble, ils ouvrent leur première boutique rue Notre-Dame des Champs, et rendent toutes ses lettres de noblesse au métier de charcutier, alors mésestimé. Avec nous, Gilles, Catherine et Nicolas parlent de leur sourcing, à l’origine de leurs produits de haute charcuterie. Si leur comptable s’est, au départ, inquiétée du prix d’achat des viandes, Gilles n’a jamais voulu faire de compromis sur la qualité. La recette de la Maison Verot ? Une matière première de qualité, de la créativité et de la passion, une attention particulière portée au client et surtout pas d’ennui. De l’ennui, on ne risque pas d’en trouver dans leurs boutiques puisque à chaque saison correspond sa collection de produits charcutiers, tous plus beaux les uns que les autres. En effet, au-delà de leur qualité gustative, les charcuteries de la Maison Verot sont connues pour leur qualité esthétique, et en font saliver plus d’un. Avec eux, le pâté en croûte, la terrine et le fromage de tête sont devenus sexy, si bien que leurs boutiques ne désemplissent pas. En bref, la Maison Verot a dépoussiéré l’image de la charcuterie, jusqu’à l’emmener dans des restaurants de renom, en France mais aussi à l’étranger et notamment à New-York. « Ce qui nous a toujours animé depuis 1997 c’était de servir à nos clients ce que nous, on aimait manger. » Pour regarder la vidéo dans son intégralité :- https://youtu.be/CIpcLJ-YPLY Les bons plan de la famille Verot :Aller redécouvrir le savoir-faire des charcutiers : Arnaud Nicolas et Yoan Lastre entre autres à ParisLes paniers mixtes des Vergers Saint EustacheL'auberge d'Alain Ducasse à Moustiers Sainte-Marie, La Bastide de Moustiers  Pour contacter nos invités :Gilles Verot, https://www.linkedin.com/in/gilles-verotCatherine Verot, https://www.linkedin.com/in/catherine-verotNicolas Verot, https://www.linkedin.com/in/nicolas-verot Plus d'informations sur la Maison Verot :Maison Verot, https://www.maisonverot.fr/ Pour découvrir les épisodes Business of Bouffe :https://businessofbouffe.com/le-podcast-food-business  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
2/21/20212 hours, 31 minutes, 7 seconds
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Sur le Champ #4 | Élevage extensif et sols vivants | Nicolas Brahic - Terres Libres & Buxor

Nous vous emmenons sur le plateau du Larzac, à Saint Maurice Navacelles pour être exact grâce à Ambre et Camille. On peut se demander qu’est ce qu’on vient faire ici ou plutôt qui on vient rencontrer ? Et bien, cela fait maintenant 4 semaines que nous partageons le quotidien de Nicolas Brahic, un sacré personnage. Sur le plateau du Larzac, pas grand chose ne pousse, les grands espaces broussailleux et inoccupés offrent un cadre propice à l’élevage extensif. C’est pourquoi Nicolas s’est installé ici avec son troupeau de cochons et de brebis, élevés en plein air toute l’année et quasiment sauvages. Il a reçu plusieurs distinctions pour sa viande de porc, produit d’exception prisé par les plus grands chefs.Mais Nicolas ne s’est pas arrêté la ; désormais il se concentre sur une autre mission, de la plus haute importance : faire revivre les sols. Pour cela il a fondé Buxor, une entreprise qui valorise la broussaille de buis au service des sols vivants. La mission de Buxor c'est d'accélérer le processus à l'œuvre dans un sol forestier en utilisant de la broussailles de buis, qui, en se décomposant crée un humus riche. Celui-ci permet de restructurer le sol et favoriser le foisonnement de vies de donc de nutriments. Pour ce faire, l'équipe Buxor fourmille d'idées et leur ingéniosité se concrétise par la conception de machines du futur facilitant la récolte et le broyage du buis.Vous l'aurez compris, ce sujet est aussi complexe que passionnant, nous vous laissons le découvrir à travers cet entretien mêlant technique, philosophique, et humain.« La priorité c'est de faire comprendre aux agriculteurs qu'il faut qu'ils génèrent du sol. » Pour en savoir plus sur Terres Libres et Buxor :Terres Libres, http://www.terres-libres.fr/Buxor, https://www.buxor.fr/ Pour contacter Nicolas Brahic :Nicolas Brahic, https://www.linkedin.com/in/nicolas-brahic Pour contacter Camille Fournier et Ambre Germain :https://www.instagram.com/surlechamp2020/ Pour découvrir l'origine du podcast Sur le Champ :https://businessofbouffe.com/podcast/sur-le-champ  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
2/18/202148 minutes, 56 seconds
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Eat's Business #6 | Dark stores, étudiants en situation précaire et chocolat Louis Vuitton

Dans ce nouvel épisode de Eat's Business, la revue de presse du Business de la Bouffe, Olivier Frey et Daniel Coutinho reviennent sur l'entreprise Cajoo et le concept des dark stores, entrepôts dédiés au stockage de marchandises pour la livraison de courses à domicile, sur la situation précaire des étudiants et les initiatives solidaires pour les aider, ainsi que sur l'ouverture d'un café et d'une boutique de chocolat Louis Vuitton à Tokyo.Dans cet épisode, sont aussi évoqués les défis de la filière française laitière, la baisse des revenus pour les éleveurs bovins, le manque de boulangers en France, les plats de restaurateurs vendus en grande surface, la levée de fonds de l'application des amateurs de vin Vivino, les clés pour savoir choisir ses œufs et un reportage sur la malbouffe.Après les dark kitchens, les dark storesLes Echos, Livraison : Cajoo lève 6 millions pour livrer les courses en 15 minutes, 04/02/2021Focus sur une toute jeune entreprise, dénommée Cajoo, qui est spécialisée dans la livraison de courses à la demande. Elle débute son service à Paris et vient d’annoncer avoir levé pas moins de 6 millions d'€ en seed.Alors que le secteur de la livraison de repas à domicile est mature et dominé par 3 grands acteurs en France, celui de la livraison de courses est encore à développer. Car, comme le rappelle l’article, si les grandes enseignes de la distribution proposent ce service, les délais entre la commande et la réception peuvent parfois être assez longs.Mais Cajoo ne va pas aller batailler avec les grands acteurs de la distribution et se positionne plutôt sur le créneau de l'épicerie du coin. Via son appli, Cajoo propose un assortiment de quelques centaines de produits (apéritifs, fruits et légumes, produits d'hygiène et de nettoyage). Mais c’est surtout sur une promesse de rapidité que la startup veut se démarquer : une livraison en 15mn.Et pour réaliser cette prouesse, et également pour limiter ses coûts, Cajoo compte installer des « dark stores », sorte d’entrepôts dédiés uniquement au stockage de marchandises. Les dark stores ont plusieurs avantages : les surfaces à louer sont plus petites (donc moins chères) que pour des magasins physiques, elles n’ont pas besoin d'être décorées, ni surveillées pour lutter contre le vol. A l’intérieur, l'espace est optimisé pour faciliter la préparation de commandes et la logistique.Enfin, Cajoo envisage d’aller au delà de Paris et compte se lancer dans une dizaine de villes françaises d'ici à la fin de l’année.Le fonds Frst investit 6 millions d'euros dans CajooMedium, Pourquoi nous investissons €6m dans Cajoo, 05/02/2021Pierre Entremont, co-fondateur du fonds Frst, explique pourquoi ils ont investi dans Cajoo. Selon lui, Cajoo, tout comme certaines entreprises similaires à l’étranger (Gopuff aux Etats-Unis, Dija au Royaume-Uni, ou Gorillas en Europe), ont en commun de chercher à mailler une ville avec de mini entrepôts qui permettent de n’être jamais loin de son client et de le livrer ainsi en 15mn.Le fait de disposer de mini entrepôts entraîne donc un assortiment produits plus limité que dans un grand supermarché et, selon Pierre Entremont, “le modèle doit donc embrasser cette contrainte et en faire une force”.La filière française laitière à la reconquête des FrançaisLes Echos, Comment la filière lait veut reconquérir les Français, 03/02/2021Un article très complet sur les défis que doit affronter la filière laitière française.Tout d’abord, le métier d’éleveur laitier est en pleine désaffection, car selon Christophe Perrot, chargé de mission à l'Institut de l'élevage, « Chaque année, près de 5.000 producteurs sortent du circuit pour seulement un peu plus de 2.000 nouveaux entrants”. A l’heure actuelle on ne compte plus que 54.000 exploitations laitières dans l’Hexagone. Il faut dire qu’un éleveur laitier travaille bien souvent sept jours sur sept et que la rémunération est loin d’être à la hauteur de la charge de travail.Ensuite, il y a un certain désamour des Français pour le lait. La consommation de lait a, en effet, baissé de 25% en quinze ans en France. Le lait est également de plus en plus en concurrence avec les alternatives végétales à base d’amande, de soja ou encore d’avoine. Preuve en est, même les industriels du lait ont lancé leurs propres alternatives végétales produits laitiers (Candia s’est lancé dans les jus aux noisettes et aux amandes, Bel a sorti un Boursin végétal). Pour sortir de cette situation, certains éleveurs ont choisi de se tourner vers le bio. D’ailleurs l’article précise que “le cap du milliard de litres collectés sur douze mois a été franchi en mars 2020”, ce qui représente environ 4% de la production totale en France. D’autres se sont lancés dans la transformation, que ce soit sous forme de fromage, de yaourt, voire même de caramel. Enfin, certains ont choisi de lancer des marques de laits spécifiques, équitables ou locales. De FaireFrance à Laitik en passant par C’est Qui Le Patron, toutes ces initiatives offrent une meilleure rémunération aux éleveurs. Car, comme le dit André Bonnard, ancien secrétaire général de la FNPL, « il faut redonner de l'espoir aux jeunes éleveurs ! ».Baisse des revenus des éleveurs bovinsL’Opinion, Elevage français : un paradoxe gros comme un bœuf, 04/02/2021Si, comme nous en parlions la dernière fois, la viande bovine française a plutôt bien résisté lors de la crise sanitaire, le revenu des éleveurs bovins a par contre été chahuté.En effet, les prix de la viande bovine ont connu des baisses allant jusqu’à 15% et, pour ne rien arranger, le coût de l’alimentation animale a en parallèle augmenté de 30 à 50% à cause de la hausse du prix des céréales. Ainsi, selon les calculs de l’Institut de l’élevage, les revenus des éleveurs bovins, qui n’étaient déjà pas très élevés en 2020 (10 500 euros en moyenne) ont baissé de 25% en 2020.Pour le député Jean-Baptiste Moreau, cela tient également à un problème d’organisation dans une filière où “des centaines d’interlocuteurs ne font pas le poids face à un acteur comme Bigard, qui réalise près de 70 % des abattages en France. Il y a clairement un problème de structuration”.  Manque de boulangers en FranceOuest France, La France manque de boulangers, 9 000 postes sont à pourvoir, 05/02/2021Alors que, selon La Confédération nationale de la boulangerie et de la boulangerie-pâtisserie française, le secteur recherche 9 000 personnes pour renforcer les 33 000 boulangeries déjà présentes sur tout le territoire, l’article se pose plusieurs questions sur l’attractivité de ce métier. Au niveau de la formation, tout d’abord, il ne semble pas y avoir de problème car en 2020 pas moins de 24 000 jeunes étaient en apprentissage. Si les jeunes privilégient l’alternance, l’inconvénient est par contre sa durée car le cycle de l’alternance dure deux ans. Au niveau des contraintes horaires, comme l’explique l’article, “aujourd’hui, être boulanger ou pâtissier ne veut plus dire se lever très tôt et travailler tous les week-ends”. Au niveau de la rémunération, un boulanger-pâtissier gagne aux alentours de 1 800€ nets pour 37 à 38 heures par semaine avec un dimanche travaillé sur deux. Enfin, l’article souligne que ce n’est pas un problème propre à la boulangerie mais que tout l’artisanat alimentaire est concerné.Menu à 1€ pour les étudiants à ParisLe Figaro, Un menu de restaurant facturé 1€ pour les étudiants à Paris, 02/02/2021Le restaurant Le Reflet (Paris, 3e) lance une opération solidaire pour les étudiants en situation précaire suite à la crise sanitaire avec un menu entrée/plat/dessert à 1 euro. L'équipe du restaurant s'est remise aux fourneaux sur la base du volontariat pour leur venir en aide.Les jeunes dans le besoin sont invités à réserver leur repas en click&collect sur le site du restaurant, chaque fin de semaine au déjeuner (jeudi et vendredi de 12h à 15h, réservation ouverte d'une semaine sur l'autre, carte d'étudiant requise pour le retrait).Plats mijotés à 1€ pour les étudiants à GrenobleFrance 3, Grenoble : des petits plats mijotés à 1 euro pour aider les étudiants en difficulté, 05/02/2021Même initiative à Grenoble où le restaurant "Chez Marius" va proposer des repas à 1 euro aux étudiants à partir du jeudi 11 février. Pour en profiter, un "Doodle" (un outil de planification en ligne) devrait être créé. Les jeunes pourront s'inscrire avec leur nom et leur numéro de carte d'étudiant.Bravo en tout cas à ces restaurateurs pour ces initiatives solidaires.Les restaurateurs en grande surfaceLe Figaro, « Ça donne le sourire » : ces restaurateurs qui vendent leurs plats en grande surface, 28/01/2021Autre initiative solidaire à souligner, des hypermarchés Leclerc, Intermarché et Carrefour proposent aux restaurateurs de vendre leurs plats et produits au sein de leurs magasins.Que ce soit en leur permettant de s’installer avec leur food truck sur le parking de l’hypermarché ou encore en leur permettant de déposer leurs plats à emporter dans un des bacs réfrigérés, certains magasins, à l’image de l'Intermarché de la ville de Joigny (89), celui de la commune Les Avenières (38) ou du Carrefour Market de Bellac (87) ont décidé d’aider à leur manière les restaurateurs locaux.De son côté, Leclerc, par la voix de son PDG, a annoncé que ce genre d’initiatives existait déjà dans certains de ses magasins et que le groupe était en « train d'étendre le système ».Bravo aux propriétaires de ces magasins qui, c’est à souligner, ne prennent ni bénéfices sur les ventes, ni ne facturent l’électricité à ces restaurateurs.Vivino lève 155 millions de dollarsTechCrunch, Vivino raises $155 million for wine recommendation and marketplace app, 03/02/2021L’application bien connu des amateurs de vins, Vivino, a annoncé avoir levé 155 millions de dollars (128 millions d’euros).Lancée en 2010, Vivino a connu une croissance rapide depuis 2 ans. Sa base d'utilisateurs est en effet passée de 29 millions en 2018 à 50 millions actuellement, Vivino souhaite utiliser cette importante levée de fonds pour renforcer son moteur de recommandation technologique et personnalisé, tout en étendant sa présence sur les principaux marchés en croissance dans le monde.L’appli s’est également transformée en marketplace qui vend du vin dans 17 pays et a atteint 250 millions de dollars de vente en 2020.On apprend également que l’appli a en stock près d’1,5 milliard de photos d'étiquettes de vin qu’elle a accumulées en dix ans d’existence.Louis Vuitton se lance dans la restauration et le chocolatWWD, Louis Vuitton Expands in Tokyo With New Tower, Café — and Chocolate Shop, 27/01/2021A la fin de cet article on apprend que Louis Vuitton se lance dans la restauration et dans le chocolat.A Tokyo, l’enseigne de luxe a ouvert Le Café LV et Le Chocolat V. Le groupe a par la même occasion indiqué que les restaurants et même les hôtels pourraient être une future voie d'expansion.En janvier 2020 déjà, Vuitton avait ouvert son premier restaurant dans sa nouvelle boutique phare à Osaka, au Japon.Les chocolats, vendus en boîtes de 4, 9, 16 et 125 pièces, sont présentés en carrés ou moulés dans les formes du célèbre monogramme LV. Comme le résume Michael Burke, le PDG de Louis Vuitton, “le plus important, c'est de créer une expérience. Comment traduire Vuitton en nourriture ? Vous savez, nous avons réussi à traduire les malles en mode. C'est donc un exercice créatif”.Bien choisir ses œufsFrance 2, Derrière nos étiquettes : toutes les clés pour bien choisir des œufs, 03/02/2021Quelques pistes pour bien choisir vos œufs et faire la distinction entre les bios, les plein-air et ceux issus d'élevages intensifs.La malbouffeARTE, La grande malbouffe, 01/2021Que mangeons-nous réellement en avalant un cordon bleu industriel ? Ce documentaire met la main à la pâte pour déconstruire les pratiques souvent douteuses de l’industrie agroalimentaire. Découvrez l’émission Eat’s Businesshttps://businessofbouffe.com/podcast-eats-business Pour vous abonner à la newsletter Eat’s Businesshttps://businessofbouffe.com/revue-de-presse-eats-business-newsletter  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
2/16/202136 minutes, 45 seconds
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À Côté D'La Plaque #17 | Pierre Coulon – Laitier / Fromager | Les codes et la bienséance l’emmerdent : le fromage, c’est quand on veut, et avec ce qu’on veut

(NDLR : cet épisode aurait dû être le vingtième, mais il était tellement gourmand... qu'on n'a pas pu s'empêcher de le diffuser avant. Et puis comme dit Pierre, le fromage, c'est quand on veut !). Il avait 20 ans, il était étudiant, son maître de master lui a dit « il va falloir choisir entre élever des chèvres et faire des études de psycho », et il a choisi : il a tout plaqué pour rejoindre le monde agricole. Tout un tas d’aventures et des années plus tard, le voilà à l’aube d’un projet complètement délicieux : remettre le camembert à Camembert. Ce fromage, diffusé dans le monde entier, dont l’AOP a failli tolérer qu’il puisse être pasteurisé (pas de panique, ce n’est pas passé), est parmi les plus techniques à faire au monde. Et le camembert fermier, c’est-à-dire fabriqué avec le lait des propres vaches du fermier, se fait très rare, et à Camembert-même, il ne se fait même plus, depuis 30 ans. Dans cet épisode, Pierre nous raconte donc le début de cette grande aventure, il revient aussi sur son tour du monde des fromages, du Québec au Japon en passant par l’Auvergne, et il nous explique son militantisme anti-snobisme vis-à-vis du fromage : « moi c’est pas ma génération le plateau de fromage en fin de repas, tout le monde est bourré, plus personne n’a faim, c’est pas lui laisser sa place que de le servir entre le plat et le dessert ! ». Donc pour Pierre, le fromage, c’est quand on veut, et surtout sans codes : « à l’apéro c’est parfait, et si y’a du tarama en même temps sur la table, c’est pas bien grave, et on est pas obligé de faire l’accord parfait, moi ça me barbe tout ça ». Il nous avoue aussi un secret : les fameux fromages gourmands de la Laiterie ne sont pas là par hasard… « au début c’était pour cacher les petits trucs bizarres et pas très jolis qui poussaient sur les fromages qu’on mettait du miel et des noisettes grillées, sauf que maintenant nos fromages sont trop beaux et on est tristes de les camoufler ! ». « Autant faire du fromage à Paris c’est facile, autant faire du camembert à Camembert… c’est le plus gros défi de ma carrière. » Pour en savoir plus et sur La Laiterie de Paris :La Laiterie de Paris, https://www.instagram.com/laiterie_de_paris_fromagerie Pour découvrir l'origine du podcast de Raphaële Marchal :À Côté D’La Plaque #0 | Raphaële Marchal – Présentation de son nouveau podcast Pour découvrir les émissions À Côté D'La Plaque :https://businessofbouffe.com/podcast-a-cote-dla-plaque Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
2/11/202126 minutes, 45 seconds
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Eat's Business #5 | Explosion des dark kitchens, Ladurée en vente et menu végétarien à la cantine

Dans ce nouvel épisode de Eat's Business, la revue de presse du Business de la Bouffe, Olivier Frey et Daniel Coutinho reviennent sur l'explosion des dark kitchens, sur la mise en vente de Ladurée par son actuel propriétaire le groupe Holder, ainsi que sur la proposition de la Convention Citoyenne pour le Climat de laisser le choix d'un menu végétarien par jour dans les cantines scolaires.Dans cet épisode, sont aussi évoqués, la livraison de repas, l'embauche en CDI de livreurs chez Just Eat, les temps de crise chez Danone, les méthodes du patron de Carrefour France pour relancer les ventes, les possibles restrictions européennes pour les produits "laitiers" végétaliens, le métier de caviste et un podcast réunissant bouffe et philosophie.Boom des cuisines sans salleLe JDD, Restauration : comment la crise du Covid-19 a entraîné un boom des cuisines sans salle, 31/01/2021Nous en avons déjà parlé plusieurs fois ici mais cet article profite de l’annonce faite par Deliveroo de l’ouverture de sa 3ème dark kitchen en propre dans l’Hexagone pour faire le point sur cette activité chez l’un des leaders du secteur.On y apprend notamment que Deliveroo compte désormais 20 000 restaurants partenaires et en a gagné près 8 000 rien que sur 2020. Le groupe recense notamment quelques centaines de dark kitchen en France (alors qu’Uber Eats en compte selon l’article près de 1 500). Mais Deliveroo s’est différencié de son grand concurrent avec son activité Deliveroo Editions. Il s’agit en quelque sorte d’un concept de dark kitchen clé en main, Deliveroo fournissant les locaux, les équipements (cuisine, salle de stockage, légumerie), le tout mutualisé entre plusieurs restaurants. Les restaurants n’ont quant à eux rien à payer (le loyer, l’eau, le gaz et l’électricité sont pris en charge) mais en échange ils versent une commission de 30 à 35% sur chaque repas livré (contre 25 à 30% habituellement). Deliveroo compte ouvrir 5 ou 6 dark kitchen en propre en France en 2021, dans certaines grandes villes et autour de Paris.Le développement des dark kitchen pose évidemment pas mal de questions. Celle de l’article est intéressante à juste titre : “dans un pays dont le “repas à la française” est reconnu par l’Unesco, la gastronomie et la convivialité peuvent-elles faire bon ménage avec cette nouvelle tendance?”.Livraison de repasLes Echos, Avec la crise sanitaire, la livraison de repas est entrée dans nos moeurs, 30/01/2021Un article complémentaire au précédent.On y apprend notamment que la fermeture des bars et restaurants suite à la crise de Covid-19 a fait gagner 2 à 3 ans au développement du secteur de la livraison de repas.D’après NPD, le poids de la livraison pour la restauration à table est passé en France de 1% avant mars 2020 à 8% entre mars et octobre avec une tendance qui s'est encore renforcée en fin d'année. Au delà des chiffres de Deliveroo et Uber Eats donnés plus haut on apprend également que Just Eat a gagné près de 4 000 restaurants partenaires en 2020, ce qui porte son total à 15 000.Mais au delà des 3 leaders du secteur, l’article précise que l’arrivée de restaurants étoilés a favorisé le développement de plus petits acteurs comme Stuart, la coopérative de cyclo-logistique Olvo ou encore Tiptoque. Au delà de la livraison, les leaders du secteur s’essaient également à la livraison de courses alimentaires. Deliveroo vient notamment de nouer un partenariat avec l’enseigne Picard.Just Eat embauche 4 500 livreurs en CDILes Echos, Just Eat va embaucher 4.500 livreurs, 31/01/2021Selon l’article, Just Eat compte embaucher 4 500 livreurs en CDI dans 30 villes françaises d’ici la fin de l’année. Il s’agit d’un moyen pour l’enseigne de se démarquer de la concurrence en proposant “un service plus responsable aux restaurants”. En effet, si 80% des restaurants partenaires de Just Eat assurent eux-mêmes la livraison, ces embauches répondent à l’augmentation des livraisons des 20% restants qui n’ont pas de coursiers. Le directeur des opérations Victor Ennouchi précise par ailleurs que livreurs “sont payés 10,30 euros de l’heure, qu’ils fassent une seule course ou plusieurs”.Ladurée en venteChallenges, Le célèbre pâtissier Ladurée est en vente, 03/02/2021Challenges nous apprend que le propriétaire de Ladurée, le groupe Holder, souhaite s’en séparer. On y apprend que Ladurée possède 60 magasins en Europe, 22 en Asie, 12 en Amérique du Nord et 9 au Moyen-Orient. L’entreprise emploie 1.760 salariés et réalise un chiffre d'affaires de 100 millions d'euros. Mais en 2020, la crise du Covid l’a contraint à fermer son flagship store des Champs Elysées et désormais Ladurée affiche près de 10 millions d'euros de pertes.La famille Holder en espère une centaine de millions d'euros mais selon un expert "avec le niveau actuel de pertes et le potentiel très fort de la marque, un deal pourrait se faire plutôt aux alentours de 70 millions".Interview avec Emmanuel Faber, PDG de DanoneLe JDD, Emmanuel Faber, PDG de Danone : "La crise nous a fait perdre environ un milliard d'euros en ventes", 31/01/2021Une interview avec le PDG de Danone, Emmanuel Faber.Ce dernier revient notamment sur les mauvaises performances du groupe en 2020 en lien avec la pandémie de Covid-19. Selon lui, le groupe a perdu environ 1 milliard d’euros de ventes suite à cette crise. La division eaux a notamment été impactée par la fermeture des bars et restaurants à travers le monde et la marge a été divisée par deux. A noter également la mauvaise performance de la division nutrition infantile à cause de la chute des naissances en Chine ainsi qu’aux Etats-Unis. Suite à cette contre-performance le groupe compte supprimer 1500 à 2000 emplois dans le monde.La méthode du patron de Carrefour France pour relancer les ventesLe Figaro, La méthode du patron de Carrefour France pour relancer les ventes, 31/01/2021Un article sur Rami Baitieh, qui a été nommé en juin 2020 à la tête de Carrefour France. Sa mission : “traque(r) les moindres détails qui pourraient pousser les clients à aller voir ailleurs… et valorise(r) ceux susceptibles de les fidéliser”.Parmi les changements mis en avant dans l’article :le bureau du directeur de magasin, qui était auparavant à l’étage, est désormais installé au beau milieu du magasin et sa photo et son numéro de portable sont affichés à l’entrée et dans différents rayons les clients peuvent l’appeler pour lui faire part de leurs doléances.chacune des 50 caisses a été équipée d’un carnet, sur lequel les caissiers notent les remarques des clients. Pour faire en sorte que les équipes adhèrent à ces changements, Rami Baitieh a mis en place un outil managérial, baptisé « 5-5-5 », qui consiste à fixer aux équipes 3 séries d’objectifs simples, qui évoluent au fil du temps. Et comme le rappelle l’article, “mettre le client au centre semble une évidence et un retour aux règles de bases du commerce”. Et la méthode Baitieh semble porter ses fruits car l’indice de satisfaction des clients a doublé depuis juin 2020 et, pour la première fois depuis 14 ans, Carrefour a gagné en décembre 0,3 point de part de marché en France.Menu végétarien à la cantineLe Monde, Faut-il proposer un menu végétarien à la cantine tous les jours ?, 25/01/2021Il s’agit d’une des propositions de la convention citoyenne pour le climat et l’article propose divers arguments en faveur ou en défaveur de cette proposition.Parmi les points positifs mis en avant :Cela permettrait de réduire les coûts de 10 %, car les produits carnés sont les plus chers.Si les enfants ont le choix, ils iront vers des menus dont ils ne laisseront pas la moitié.Les classes les moins aisées consomment moins de fruits et légumes que les classes sociales supérieures et la cantine scolaire pourrait donc pallier ce manque. Parmi les points négatifs avancés :selon le cabinet du ministre de l’Agriculture, « il n’est pas à exclure qu’une telle alternative soit susceptible d’engendrer un surcoût pour la restauration collective ».que l’obligation d’une proposition d’un menu végétarien quotidien augmente le gaspillage par deux ou par quatre car selon l’Ademe environ 30 % des accompagnements et 20 % des entrées (le plus souvent des légumes) sont déjà jetés.un menu végétarien par jour mettrait en péril l’équilibre nutritionnel, selon le ministère de l’Agriculture. Restrictions européennes pour les produits "laitiers" végétaliensThe Conversation, Vegan ‘dairy’ products face EU ban from using milk cartons and yoghurt packaging – and UK could be next, 25/01/2021La marque de lait d’avoine Oatly et le propriétaire de la margarine Flora mènent une campagne visant à contrecarrer de nouvelles règles européennes qui pourraient avoir des conséquences désastreuses pour les entreprises spécialisées dans les substituts au lait. En effet, l’amendement 171, s’il était approuvé, leur interdirait d’utiliser des termes ou des images qui font référence ou évoquent des produits laitiers sur leurs emballages. Interprété au sens large, il pourrait les empêcher d'inclure des allégations ou des dénominations telles que "produit laitier", "crémeux", "dessert au yaourt" ou "ne contient pas de lait". Ils ne pourraient pas non plus utiliser des emballages évoquant des produits laitiers, tels que des pots de yaourt ou des cartons de lait. Même le simple fait de montrer l'impact climatique en comparant l'empreinte carbone de leurs produits avec des équivalents laitiers pourrait devenir illégal.Le métier de cavisteLe Monde, Caviste, une passion française, 27/01/2021L’article nous rappelle que le métier de caviste est une passion française qui remonte à 1822 quand le dénommé Etienne Nicolas (à l'origine de l'enseigne du même nom), a ouvert sa première boutique à Paris. On recense désormais 5 800 magasins en France, ce qui en fait le plus important réseau de cavistes au monde. La moitié d’entre eux sont implantés dans les centres-villes. Néanmoins, il faut tempérer ce bon score car l’article précise que les cavistes ne représentent qu’1 bouteille de vin achetée sur 10 (contre 8 sur 10 pour les supermarchés et 1 sur 10 pour les restaurants). En outre, le vin ne représente que la moitié du chiffre d'affaires des cavistes (l’autre moitié étant réalisée par les ventes d'alcools, de bières ou encore de produits alimentaires).  L’entreprise Nicolas a tour à tour été rachetée par Rémy Martin puis par Castel. De nos jours, on dénombre 500 boutiques Nicolas en France (soit 10 % du nombre total de cavistes de l'Hexagone) et une cinquantaine à l'étranger.Si, comme l’explique l’article, beaucoup de cavistes ont réalisé une année 2020 satisfaisante, grâce notamment à la proximité, au contact humain, au conseil ou à l'envie de bio, certains cavistes, notamment ceux qui sont implantés dans des quartiers de bureau ont plus de mal.Bouffe et philosophieFrance Culture, Je mange donc je suisUne série de 4 épisodes d’une heure qui vous propose de vous installer à table de plusieurs philosophes :Dégustez un steak-frites et autres tempuras en compagnie de Roland BarthesGardez la ligne avec Rousseau, passionné par les produits laitiers.Découvrez qui vous êtes en fonction de ce que vous mangez, grâce à Brillat-Savarin et sa physiologie du goût.Et comment lier lard et littérature, avec l’écrivain Mathias Enard… Découvrez l’émission Eat’s Businesshttps://businessofbouffe.com/podcast-eats-business Pour vous abonner à la newsletter Eat’s Businesshttps://businessofbouffe.com/revue-de-presse-eats-business-newsletter  Hébergé par Acast. 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2/9/202138 minutes, 54 seconds
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Business of Bouffe #34 | Apollonia Poilâne - Maison Poilâne | L’histoire d’une marque iconique de la boulangerie à l’origine d’un pain qui nourrit et qui se garde

Aujourd’hui, nous sommes avec Apollonia Poilâne, 3e génération à la tête de la maison éponyme, Poilâne devenue un nom incontournable de la boulangerie.Ensemble, nous revenons sur l’histoire de cette marque iconique qui fabrique un pain qui nourrit et qui se garde. Apollonia nous raconte les débuts de l’aventure familiale en 1932 avec la petite boulangerie à Saint-Germain-des-Prés de Pierre Poilâne, son grand-père. Nous évoquons avec elle la reprise de la maison par son père, Lionel Poilâne, qui a fait décoller l’affaire familiale et a construit sa renommée internationale. Apollonia, littéralement bercée depuis toute petite par la boulangerie, puisqu’elle dormait dans une panière à pain étant bébé, a toujours eu en tête de reprendre l’entreprise. A 18 ans, lorsque ses parents décèdent dans un tragique accident d’hélicoptère, elle perpétue courageusement l’héritage familial tout en poursuivant ses études à l’Université de Harvard. Se définissant avant tout comme boulangère, elle nous détaille le processus de fabrication des pains et notamment celui de l’emblématique miche de 1.9 kg identique depuis 1932. Elaborée à partir de seulement quatre ingrédients (farine, eau, sel, levain), cette fameuse miche est connue pour la singularité de son goût, sa croûte épaisse et sa mie dense, qui font la marque de fabrique de Poilâne. Cheffe d’entreprise émérite, Apollonia est multitâche : elle a aussi publié plus de 10 livres, mélangeant recettes, histoire familiale et littérature, elle accompagne de jeunes entrepreneurs et donne des masterclass en ligne pour apprendre à faire du pain et à l’utiliser jusqu’à la dernière miette.« En CP, je savais que j'allais prendre la suite de mon père. » Pour voir l'interview en vidéo :https://youtu.be/QTI9Zd143Lc Le bon plan d'Apollonia Poilâne :Pique-niquer au coucher du soleil dans un parc en prenant du pain et une tarte aux pommes de chez Poilâne, du fromage chez votre fromager préféré et un morceau de jambon chez votre charcutier préféré. Pour contacter notre invité :Apollonia Poilâne, https://www.instagram.com/apollonia_poilane/ Plus d'informations sur la Maison Poilâne :Poilâne, https://www.poilane.com/ Pour découvrir les épisodes Business of Bouffe :https://businessofbouffe.com/le-podcast-food-business Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
2/7/20211 hour, 32 minutes, 20 seconds
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Eat's Business #4 | Poisson in-vitro, le modèle des supermarchés coopératifs et Vorwerk vs Lidl

Dans ce nouvel épisode de Eat's Business, la revue de presse du Business de la Bouffe, Olivier Frey et Daniel Coutinho reviennent sur les poissons cultivés in-vintro bientôt dans les assiettes américaines, sur le modèle des supermarchés coopératifs ainsi que sur la bataille juridique engagée entre Vorwerk et Lidl à propos de leurs robots cuiseurs respectifs, Thermomix et Monsieur Cuisine Connect. Dans cet épisode, sont aussi évoqués, la filière française de viande face à la fermeture des restaurants, la joint-venture de PepsiCo et Beyond Meat, l'impact de la vente en ligne sur la grande distribution, les pubs larmoyantes de la grande distribution, le succès des surgelés Findus, la future brique 100% carton de Tetra Pak, l'intérêt grandissant pour le vin bio, et le légendaire mille-feuille.  La filière française de viande en bonne forme Le Figaro, La fermeture des restaurants profite à la viande française, 22/01/2021 Alors que près de 20 % de la viande bovine française est vendue aux restaurants et aux cantines, la fermeture de ces établissements suite au confinement a été, dans un premier temps, un coup dur pour la filière viande bovine. Mais au final, la filière française a moins souffert qu’anticipé. D’une part, la consommation de viande bovine, tous circuits confondus, n’a baissé que de 2,3 % en France sur les dix premiers mois de 2020. D’autre part, ce sont avant tout les filières d'importation qui ont souffert. L’explication est simple : comme le souligne Matthieu Repplinger, en charge de la section bovine d'Interbev, « la restauration collective et commerciale (…) consomme beaucoup de viande étrangère ». De son côté, la consommation de viande bovine française a augmenté de 1,6 % entre janvier et octobre 2020. De plus, les bouchers ont profité du regain d'attrait des consommateurs pour les commerces de proximité et ont vu leurs ventes augmenter en moyenne de 10 % en 2020.  Poisson in-vintro Bloomberg, Cultured Fish May Go From Lab to U.S. Plates This Year, 19/01/2021 Alors que l’on a beaucoup parlé ces derniers mois de la viande cultivée in-vitro, voilà qu’arrive désormais le poisson cultivé in-vitro. La startup BlueNalu a levé 60 millions de dollars et travaille à la réalisation d'une étude réglementaire avec la Food and Drug Administration, qui pourrait la voir devenir la première à vendre des poissons cultivée in-vitro. Selon Lou Cooperhouse, le directeur général de BlueNalu, l’entreprise suscite “beaucoup d'intérêt de la part des principaux établissements de restauration à travers les États-Unis”. La société prévoit d'introduire d'abord le mahi mahi puis, plus tard dans l'année, le thon rouge. Son usine d'essai de près de 40 000 pieds carrés sera située à San Diego et devrait être terminée au cours du troisième trimestre.  La joint-venture de PepsiCo et Beyond Meat Wall Street Journal, PepsiCo, Beyond Meat Form Plant-Based Foods Venture, 26/01/2021 Le partenariat qui va beaucoup faire parler de lui dans les prochains jours. Pepsico et Beyond Meat ont en effet décidé de créer une joint-venture pour développer des snacks et des boissons à base de protéines végétales. Les conditions de l'accord avec PepsiCo n'ont pas été divulguées. Les entreprises ont refusé de se prononcer sur la taille de l'investissement dans l'entreprise. Un porte-parole de PepsiCo a déclaré que l'entreprise serait gérée conjointement par les deux sociétés. Les sociétés n'ont pas précisé quels types de snacks et de boissons seront développés par la nouvelle entreprise, appelée Planet Partnership LLC. Ses produits seront commercialisés auprès des consommateurs nord-américains, et pourraient ensuite être étendus au Royaume-Uni et à la Chine, a déclaré une porte-parole de Beyond. Nul doute qu’on entendra de nouveau parler de ce partenariat dans les mois à venir.  La grande distribution face au boom de la vente en ligne The Economist, An online sales boom is killing supermarket profits, 23/01/2021 Un article sur les conséquence de la crise du Covid-19 sur la grande distribution au Royaume-Uni. Comme en France, les grandes chaînes britanniques ont profité de la fermeture des bars et des restaurants. Ainsi, Tesco a enregistré une hausse de 7,2 % de ses ventes en termes de volume au cours du dernier trimestre 2020, soit la plus forte hausse depuis des décennies. De son côté, le numéro deux du secteur, Sainsbury's, a vu ses ventes augmenter de 8,6 %. Mais qui dit hausse de chiffres d’affaires ne signifie pas forcément hausse des bénéfices. Ainsi, Sainsbury's s'attend à un bénéfice “d'au moins 330 millions de livres” pour l’exercice 2020, contre 586 millions de livres l'année précédente. Tesco s'attend à ce que les bénéfices soient à peu près les mêmes en 2020 que l'année précédente. Plusieurs explications à cette baisse des marges : des absences de personnel, coûts liés à la mise en conformité des magasins avec les normes de sécurité ou encore impact du Brexit. Mais, selon l’article, le plus gros impact sur la rentabilité provient du passage de la vente physique à la vente en ligne. Ainsi, les commandes en ligne ont augmenté de 128 % chez Sainsbury's et représentent désormais 18 % des ventes d'épicerie. Chez Tesco, elles ont augmenté de 80 %. L’article rappelle par ailleurs que les Britanniques étaient déjà les champions des achats d’épicerie en ligne avant la pandémie, avec une part d'environ 7 %, contre 5 % en France et moins de 2 % en Allemagne, en Italie et en Espagne. La concurrence étant rude sur ce segment, la bataille se joue sur les frais de livraison. La plupart des enseignes ne font payer que 99 pence pour les livraisons de commandes supérieures à 40 livres et les offrent pour les commandes plus importantes. Mais, si cette situation était viable lorsque le volume des ventes en ligne était relativement faible, ce boom des ventes en ligne impacte les marges.  Les pubs larmoyantes de la grande distribution Challenges, Auchan, Intermarché, Monoprix... Pourquoi la grande distribution s'est mise aux pubs larmoyantes, 26/01/202 Vous l’avez probablement tous remarqué, les pubs des acteurs de la grande distribution sont de plus en plus scénarisées et calibrées pour faire du buzz positif sur les réseaux sociaux. Alors que la grande distribution n’a eu le droit de faire de la publicité télé qu’à partir de 2007, l’argumentaire a pendant 10 ans été centré avant tout sur la guerre des prix. Mais désormais les thématiques mises en avant dans les spots publicitaires des acteurs de la grande distribution ont évolué. Exit le prix ou le produit et place à l’amour, l’amitié et la famille. Et c’est Intermarché qui a été le premier à se lancer sur ce nouveau style de communication avec son court-métrage publicitaire L’Amour, l’amour sorti en 2017.  Supermarché coopératif France Inter, Un supermarché différent : à la Louve, quand la coopération s'empare de la consommation, 22/01/2021 Une émission à écouter en replay sur le supermarché coopératif La Louve, situé à Paris. Ouvert en 2016, à l’initiative de Tom Boothe et Brian Horihan, deux Américains installés à Paris, La Louve compte désormais près de 5000 membres actifs. Son modèle est inspiré de celui de la Park Slope Food Coop, qui a été lancée il y a près de 45 ans à Brooklyn. Ainsi, pour pouvoir faire ses courses à la Louve il faut dans un premier temps devenir sociétaire et souscrire des parts de capital social (100 euros, ou dix euros pour les bénéficiaires des minimas sociaux. Par la suite, chaque sociétaire doit consacrer trois heures par mois à la coopérative pour tenir la caisse, remplir les rayons ou encore faire du nettoyage. A noter également que ce sont les sociétaires qui décident du choix des produits proposés dans le magasin. En 2020, La Louve a réalisé un chiffre d’affaire de 7,5 millions d’euros (pour une surface de vente de 750 m2) et un bénéfice d’environ 120.000 euros. Elle compte 12 salariés. Et depuis son ouverture, La Louve a inspiré d’autres supermarchés de ce type à travers la France.  Thermomix (Vorwerk) vs Monsieur Cuisine Connect (Lidl) Capital, Le fabricant du Thermomix a fait saisir des Monsieur Cuisine Connect chez Lidl France, 21/01/2021 Sur un marché en plein boom, on assiste depuis quelques semaines à une véritable “kitchen-robots war”. En effet Vorwerk, le fabricant du Thermomix, a obtenu le retrait de la vente des Monsieur Cuisine Connect fabriqués par Lidl en Espagne. Selon l’article, cette décision pourrait bien faire boule de neige et Vorwerk France aurait lancé une procédure similaire dans plusieurs pays, dont la France. Vorwerk accuse Lidl de contrefaçon et lui reproche de s’être un peu trop inspiré de son Thermomix pour créer son robot cuiseur. En tout il y a clairement une différence au niveau du prix : celui de Lidl est vendu à 329 euros contre plus de 1 300 euros pour le dernier modèle Thermomix de Vorwerk.  Le succès des surgelés Findus LSA, Surgelés : Findus sur le haut de la vague en 2020, 22/01/2021 Alors que le marché du surgelé a très bien performé en 2020 (+13,1 %), Findus, le leader du marché, a bien tiré son épingle du jeu. L’entreprise a gagné 0,3 point de part de marché à 10,1 % et plus de 500 000 foyers sur le second semestre 2020, avec un taux de pénétration de 26,1 %. Si les produits phares de la marque tels que les panés, les poissons natures et les épinards se sont bien vendus, Findus met également en avant le lancement réussi de sa gamme végétale, Green Cuisine qui a séduit plus de 500 000 foyers en 8 mois.  La future brique 100% carton de Tetra Pak L’Usine Nouvelle, Tetra Pak annonce la date de sa brique 100 % carton (et ce n’est pas pour tout de suite), 15/01/2021 Alors qu’une brique Tetra Pak est actuellement composée d’un peu plus de 70% de papier carton issu de forêts labellisées FSC, d’environ 25% de plastique avec une part croissante de végétal, et de près de 5% d'aluminium, le leader de la brique alimentaire travaille sur une brique entièrement en papier-carton. Mais, comme l’annonce l’article, celle-ci appartient à la grande famille des "emballages plastiques à usage unique" que la France veut supprimer d'ici à 2040. Pour faire face à la transition écologique et à l'adaptation à l'évolution de la législation, le groupe suédois a investi 180 millions d'euros en 2019 et 2020 (sur un budget R&D annuel de 500 millions d'euros). Ainsi, selon Chakib Kara, directeur général de Tetra Pak France et Benelux, en 2030, la brique sera "renouvelable, recyclable et zéro carbone".  Intérêt croissant pour le vin bio Les Echos, Le vin bio, l'exception d'un marché mondial en récession, 24/01/2021 Alors que la demande en vin conventionnel est orientée à la baisse depuis quelques années, celle du vin bio se porte bien. Selon l’article, 5 pays dans le monde (Italie, France, Espagne, Etats-Unis et Allemagne) consomment à eux seuls plus de la moitié du vin bio. Par ailleurs, selon une étude de Millesime Bio, la France devrait devenir le premier consommateur de vin bio en 2021 avec une bouteille sur cinq du total de vin bio consommé dans le monde. Au niveau de la production, le vignoble bio est passé de 9 % du total du vignoble en 2013 à 16 % en 2020, selon Nicolas Richarme, président du salon du vin bio de Montpellier.  Si les conditions de production du vin bio sont plus compliquées, le vin bio se vend 30 % plus cher au consommateur que le vin conventionnel. L'essentiel de l'offre bio en France se fait sous appellation et une bouteille sur deux est vendue en direct.  Le légendaire mille-feuille Europe 1, Le mille-feuille, ce gâteau qui cartonne depuis le 17e siècle (et porte mal son nom), 23/01/2021 Un article sur un des classiques de la pâtisserie française. On y apprend que les premières traces de ce gâteau remontent au 17e siècle, dans l'un des ouvrage du cuisinier français François Pierre de la Varenne (1618 - 1678). Dans cette recette originelle, la crème est aromatisée au kirch et au rhum. Il a commencé à connaître le succès en 1867 grâce à la pâtisserie d'Adolphe Seugnot, rue du Bac à Paris. Enfin, son nom provient de son montage particulier comprenant 3 étages et un nombre élevé de feuillets de pâte entre chaque couche de crème. Mais, comme le précise l’article, il n'y a pas mille feuilles mais 729 très précisément.  Découvrez l’émission Eat’s Business https://businessofbouffe.com/podcast-eats-business Pour vous abonner à la newsletter Eat’s Business https://businessofbouffe.com/revue-de-presse-eats-business-newsletter Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
2/2/202138 minutes, 47 seconds
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The Good Bouffe #6 | Découvrir un bun 100% vegan issu de l'économie circulaire | Alain Coumont et Julien Jacquet - Le Pain Quotidien et PermaFungi

Aujourd’hui, nous explorons de nouveaux territoires avec ce premier épisode à l’étranger. Nous sommes à Bruxelles, en compagnie d'Alain Coumont, le fondateur du Pain Quotidien, la plus célèbre enseigne belge de boulangerie-restauration, qui a transformé l’univers traditionnel de la boulangerie en un lieu de convivialité. A nos côtés, nous avons aussi Julien Jacquet, cofondateur de PermaFungi, une coopérative qui recycle le marc de café pour cultiver des pleurotes bio.Ensemble, nous revenons sur le parcours d’Alain Coumont. Pourtant déterminé, étant jeune, à ne pas travailler dans la restauration, son admiration pour le chef 3 étoiles Michel Guérard le pousse à intégrer une école hôtelière. Plus tard, alors à la tête d’un restaurant bruxellois, il s’improvise boulanger, à défaut de pouvoir se fournir en bon pain au levain, à proximité. Nous évoquons alors les débuts du Pain Quotidien, cette petite boulangerie, proposant alors seulement deux sortes de pain, où bientôt tout Bruxelles se bouscule pour manger à la fameuse table commune. Puis, Alain et Julien se remémorent avec nous leur rencontre, qui a donné naissance à une offre gourmande et engagée. Si les pleurotes de PermaFungi sont servis à la table du Pain Quotidien depuis plusieurs années, ils sont aujourd’hui à la base d’un tout nouveau produit : le Bun 100% Vegan à découvrir, dès à présent, dans les boulangeries-restaurants du Pain Quotidien. Julien nous emmène donc à la découverte des pleurotes de PermaFungi, qui sont le fruit d’une économie circulaire. Ces pleurotes poussent grâce aux résidus de café bio, récupérés en partie au Pain Quotidien, servant de substrat de culture. Les champignons sont ensuite cuisinés puis dégustés dans les boulangeries-restaurants du Pain Quotidien, et la boucle est bouclée.« La vision, au départ, c’était de contribuer à la résilience urbaine » Pour voir l'interview en vidéo :Alain Coumont :  https://youtu.be/thNM0ltkxjsJulien Jacquet : https://youtu.be/aeMm8ZxzDSkPour contacter Alain Coumont et Julien Jacquet :Alain Coumont : https://www.instagram.com/alaincoumont/Julien Jacquet : https://www.linkedin.com/in/julien-jacquet/Plus d'informations sur The Good Bouffe :https://thegoodbouffe.com/Plus d'informations sur Le Pain Quotidien et PermaFungi :Le Pain Quotidien : https://www.lepainquotidien.com/PermaFungi : https://www.permafungi.be/ Pour écouter les épisodes précédents :https://businessofbouffe.com  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
1/31/20211 hour, 26 minutes, 17 seconds
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À Côté D'La Plaque #16 | Stéphanie Le Quellec – Cheffe entrepreneure émérite, maman poule et grande excessive de la belle vie

Elle vient d’ouvrir MAM, un lieu de vie très proche d'elle « c’est ma cuisine de cœur, de maman, d’épouse, de famille… je fais presque venir les gens dans ma maison et je joue à la marchande, j’adore ! ». Vraie besogneuse, la plus grande fierté de Stéphanie Le Quellec, c'est d’avoir réussi à faire coïncider sa vie de femme - 17 ans de mariage, sa vie de maman - 3 enfants merveilleux, et sa vie de cheffe entrepreneure – 2 incroyables ouvertures en deux ans. Son caractère, son éducation d’ailleurs, c’est de ne rien lâcher, et de tirer du positif des sales situations : « le virus finalement, ça a accéléré l’ouverture de MAM, il n’y a pas de fatalité, que des opportunités pour rebondir et inscrire des nouvelles choses dans nos vies ». Ses qualités préférées ? La gentillesse et l’honnêteté : « je suis très instinctive, en 5 minutes je sais si ça va le faire ou pas avec quelqu’un ». Ce qu’on ignore d’elle ? Que sous son côté un peu dure et insubmersible, brute et sanguine, c’est une hypersensible et une grande émotive : « je suis une excessive de la vie moi, je mange, je bois avec excès, je suis heureuse et triste avec excès ! ». Le romantisme ? « Oui, je suis fleur bleue, j’ai ce petit côté gentiment désuet ». Si elle s’aime ? En tout cas, elle est fière de la vie qu’elle s’est créée, avec son mari, une vie dans laquelle elle n’a rien eu à sacrifier. « Pour le reste, je ne suis pas nombriliste, je ne me pose pas pour faire des points sur ma vie ou pour m’analyser, je regarde plutôt les autres et j’avance ». « Je suis une excessive de la vie moi, je fais tout avec excès, manger, boire, être heureuse, être triste, tout !  ». Pour suivre Stéphanie Le Quellec :https://www.instagram.com/steflequellec/ Pour en savoir plus sur La Scène et MAM :https://www.la-scene.paris/ Pour découvrir l'origine du podcast de Raphaële Marchal :À Côté D’La Plaque #0 | Raphaële Marchal – Présentation de son nouveau podcast Pour découvrir les émissions À Côté D'La Plaque :https://businessofbouffe.com/podcast-a-cote-dla-plaque Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
1/28/202118 minutes, 49 seconds
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Eat's Business #3 | Glace pour chien, l'étrange palmarès du Guide Michelin et nouilles écoresponsables

Dans ce nouvel épisode de Eat's Business, la revue de presse du Business de la Bouffe, Olivier Frey et Daniel Coutinho reviennent sur la nouvelle gamme de glaces pour chien de Ben et Jerry's, sur la polémique du palmarès du Guide Michelin 2021 ainsi que sur l'initiative des nouilles élaborées à partir des drêches de brasserie.Dans cet épisode, sont aussi évoqués, la fermeture des restaurants et les initiatives de vente à emporter, le succès de Grand Frais, Intermarché qui change ses recettes pour être mieux noté sur Nutriscore et Yuka, la diminution des investissements dans la filière viande et la consommation d'insectes dans l'Union Européenne. Restaurants fermés tout l'hiverLe Point, Les restaurants devraient rester fermés jusqu’à Pâques, 20/01/2021On commence cette newsletter par une mauvaise nouvelle pour tout le monde. D'après les informations du Point, restaurants, bistrots et brasseries devraient rester fermés au moins jusqu'à Pâques. L'hypothèse de réouverture la plus optimiste serait fixée à la date du mardi 6 avril.Une pensée pour tous les restaurateurs, patrons de bars, serveurs, apprentis mais également pour les agriculteurs qui les fournissent. Qu’est ce que cette attente va être longue… Initiatives des restaurateurs pendant la criseLe Parisien, Vente à emporter, traiteur… comment le Covid-19 a obligé les restaurateurs à se réinventer, 17/01/2021Fermés depuis bientôt 3 mois et sans perspective de réouverture prochaine, de nombreux restaurateurs n’ont pas baissé les bras pour autant et font preuve d’inventivité pour continuer d’avoir un peu d’activité, mais surtout pour maintenir le lien avec leurs clients. Selon Food Service Vision, environ un tiers des restaurateurs ont choisi de continuer à travailler.L’article nous présente quelques idées. A Dardilly un restaurateur a aménagé sa véranda en cave à vin. Une brasserie parisienne a mis en place de nouveaux menus vendus en boîte, avec des dates de péremption plus longues. Dans le centre de Lyon, des cuistots se relaient au sein de La Caravane des chefs, un food-truck commun qui leur permet de se faire connaître. Toujours à Lyon, le chef Joseph Viola, a transformé dès le mois d'avril ses restaurants en épicerie.Et comme le précise l’article, “pour ces « résistants », le bon usage de la communication et des réseaux sociaux est déterminant”. Le défi de la vente à emporter face aux déchets plastiquesWall Street Journal, Take the Guilt Out of Takeout, 14/01/2021Comme partout dans le monde, le marché de la restauration livrée à domicile a explosé aux Etats-Unis en 2020. Il est passé de 31 milliards de $ en 2019 à 44 milliards en 2020 (+42%) et les prévisions tablent sur 77 milliards de $ en 2024. Le Wall Street Journal propose un focus sur une initiative intéressante, qui est en phase avec la sensibilisation croissante des consommateurs au problème des déchets, en particulier des plastiques.Fin 2019, Adam Farbiarz et deux partenaires ont, en effet, lancé DeliverZero, une plateforme en ligne qui permet aux clients de commander auprès de restaurants qui proposent des conteneurs réutilisables, puis de les rendre au livreur lors de leur prochaine commande. Le réseau a commencé avec seulement cinq restaurants, tous situés dans le quartier de Brooklyn. Un an plus tard, l'entreprise comptait 120 restaurants dans tout New York. Ce modèle attire l'attention jusqu’en Europe et DeliverZero a déjà concédé sa technologie sous licence à une startup d'Amsterdam.Au Canada, la startup Suppli s'intègre aux principales plateformes en ligne. Par exemple, les clients commandent via le site web d'un restaurant ou Uber Eats et paient une redevance de 99 cents pour les conteneurs en acier inoxydable de Suppli. Après utilisation, ils demandent un ramassage ou un retour des conteneurs sur un site de dépôt pour les nettoyer et les rendre aux restaurants. Suppli travaille actuellement avec cinq restaurants, et la fondatrice prévoit de s'étendre dans toute la ville d'ici trois ans. Toutefois, l'idée d'emballages réutilisables pour les restaurants n'est pas nouvelle. À Mumbai, les dabbawalas, qui pourrait se traduire par "celui qui porte une boîte", livrent des repas chauds et récupèrent les récipients depuis la fin du 19e siècle. L'étrange palmarès du Guide Michelin 2021Le Figaro, L’étrange palmarès du Michelin 2021, 18/01/2021Le palmarès du guide Michelin a été dévoilé ce lundi et Le Figaro le juge, à juste titre, sévère. Il mentionne d’ailleurs ironiquement l’exploit du guide qui, alors que les restaurants n'ont été ouverts que six mois au mieux en 2020, indique que ses inspecteurs ont réussi à  « faire autant de repas qu'en 2019 ». Si le guide rouge a couronné Alexandre Mazzia d’une troisième étoile et a distingué deux nouveaux 2-étoiles, il a également rétrogradé un certains nombre de restaurants ce qui, en période de crise sanitaire et alors que les restaurants sont tous fermés depuis fin octobre, n’est évidemment pas très élégant.Mais surtout, l’article s’interroge ouvertement sur “la différence de traitements”. Ainsi, les rétrogradations n’ont visé que des restaurants 1-étoile, ce qui laisse à penser qu’il “ne fallait pas chagriner les influents maréchaux de la  « France gastronomique combative »”.En complément de cet article, on peut ajouter également, et comme Stéphane Méjanès le faisait remarquer sur Twitter, que ce cru 2021 ne compte que 5 cheffes (1x2*, 4x1* dont 2 la partageant avec un homme). Bref, dans ce domaine aussi le guide a encore du boulot. Le succès de Grand FraisCapital, Grand Frais, le géant qui se fait passer pour le petit épicier du coin, Janvier 2021Dans son numéro du mois de janvier, le magazine Capital, consacre un long article à Grand Frais, l’enseigne spécialiste des produits frais dont les origines remontent à 1992.Avec 250 magasins à fin 2020, un chiffre d’affaires d’environ 2,5 milliards d’euros et une croissance de 15% par an depuis 5 ans, le groupe attire les convoitises (nous en parlions d’ailleurs la semaine dernière). D’après Kantar, Grand Frais est “de loin, l’enseigne préférée des Français”.Et comme le rappelle son président, l’enseigne ne manque pas d’ambition et compte ouvrir 23 magasins en 2021, voire même plus si elle arrive à mettre la main sur des emplacements “d’enseignes laminées par la crise”.La force de Grand Frais repose, selon l’article, sur plusieurs facteurs : le “désamour envers les grands distributeurs”, le foisonnement de l’offre (350 références en fruits et légumes, soit le double d’un hypermarché moyen), la qualité des produits ou encore la fraîcheur (la plupart des produits sont cueillis ou pêchés la veille). L’enseigne s’est également lancée dans le e-commerce avec le site mon-marche.fr, qui propose la livraison en 1h jusqu’à 22h 7j/7 dans quelques arrondissements parisiens. Intermarché : des recettes modifiées pour de meilleurs notes sur Nutriscore et YukaBusiness Insider, Intermarché a modifié la recette de 900 produits pour avoir de meilleurs résultats au Nutri-Score et sur Yuka, 18/01/2021En septembre 2019, Intermarché avait annoncé vouloir modifier 900 recettes de ses produits commercialisés en marque de distributeur. L’objectif affiché à l’époque était d’améliorer la composition de ses recettes et de bannir 140 additifs controversés. Mais l'objectif sous-jacent était en fait d'optimiser le Nutri-Score de ses produits pour obtenir des notes A, B ou C et d'améliorer la note de ses produits sur Yuka afin d'obtenir un résultat supérieur ou égal à 50.Le distributeur a fait le point cette semaine et affirme dans un communiqué de presse que "plus de 900 recettes ont déjà été reformulées permettant d'optimiser significativement la qualité nutritionnelle et la composition des produits concernés".Intermarché s’est donné comme prochain objectif de supprimer le nitrite de sodium et le carbonate de sodium de tous ses produits MDD d'ici 2025. Le groupe souhaite également améliorer 1 000 recettes de produits supplémentaires en 2021 et plus de 6 500 d'ici 2025. Glace pour chienLe Monde, Une glace pour chien signée Ben & Jerry’s, 13/01/2021La marque de glace bien connue a annoncé le 11 janvier dernier qu’elle allait lancer une gamme de crèmes glacées à destination des chiens. Si l’annonce peut faire sourire, cela traduit également l’attrait croissant des multinationales pour la petfood et Ben & Jerry’s est, rappelons le, une filiale d’Unilever.Le marché petfood est un marché très lucratif qui pèse environ 75 milliards d’euros selon  Euromonitor. Et on ne le sait pas forcément, mais il est dominé par deux acteurs bien connus de l’agroalimentaire, à savoir le suisse Nestlé, qui possède notamment la marque Purina et de l’américain Mars, qui possède les marques Royal Canin et Pedigree.Par ailleurs, la pandémie de Covid-19 et les périodes de confinement qui ont émaillé l’année 2020 ont poussé de nombreux ménages à prendre un animal de compagnie. Résultat : selon Nestlé, sur les neuf premiers mois de 2020, les croquettes pour chien et chat ont été le segment le plus dynamique de son portefeuille. D’autant que le phénomène d’« humanisation de l’animal », qui consiste à projeter son comportement alimentaire sur son chat ou son chien, a entraîné le succès des produits bio sans allergènes ou des produits de snacking. Nouilles en drêches de brasseurs recycléesLes Echos, Seine-Saint-Denis : des nouilles écoresponsables produites avec les déchets des brasseurs de bière, 14/01/2021Focus sur une initiative intéressante : Ramen tes drèches, une entreprise spécialisée dans ce que l’on pourrait appeler l’upcycling alimentaire. L’entreprise produit en effet des nouilles à partir des drêches de brasseries. Dans les faits, l’entreprise récupère 2,5 tonnes de restes d'orge et de malt auprès de brasseries artisanales parisiennes tous les mois qu’elle transforme en farine pour ensuite en faire des nouilles.Comme l’explique la fondatrice Sabrina Michée, habituellement « les drêches, lorsqu'elles sont valorisées, sont transportées vers des usines de méthanisation ou destinées à l'alimentation du bétail… Des sites souvent éloignés des villes ». L’entreprise a déjà recruté trois salariés et a vu ses points de ventes (épiceries fines, spécialisées et magasins bio principalement) passer de 4 en 2018 à plus de 80 aujourd'hui en Ile-de-France. Filière viande de moins en moins attractiveFinancial Times, Big Meat: facing up to the demands for sustainability, 17/01/2021Alors que les effets du réchauffement climatique s'accentuent, les militants et les investisseurs mettent la pression sur les grands acteurs de l’industrie de la viande, qui pèse pas moins de 1 400 milliards de dollars par an. Mais comme l’explique un gestionnaire d’actifs, "l'évaluation des entreprises du secteur est réduite en raison du fait que la viande est une source de dommages environnementaux et qu'elle est fortement touchée par le changement climatique".Comme l’explique l’article, si l'homme mange des animaux depuis des milliers d'années, en moins de deux décennies, le spectre des dommages environnementaux a braqué les projecteurs sur une industrie au sein de laquelle les participants étaient mal préparés à ces attaques. Cette focalisation sur l’impact environnemental de l’industrie de l’élevage a véritablement commencé en 2006, avec la publication d'un rapport de la FAO, qui avait estimé que les émissions de GES produites par l'industrie de la viande étaient plus importantes que celles de l'ensemble du secteur des transports (pour se raviser par la suite face aux critiques sur le mode de calcul utilisé).Et, comme l’affirme l’article, à l'heure où de nombreux gouvernements s'engagent à réduire leurs émissions à zéro d'ici 2050 et où les États-Unis sont sur le point de rejoindre l'accord de Paris sur le climat, la pression ne fera qu'augmenter, selon les experts environnementaux. Or le problème est que la plupart des plus grandes entreprises de viande ont été lentes à réagir. Selon l'enquête annuelle de Fairr sur les 60 plus grandes entreprises de protéines cotées en bourse, 3 sur 4 n'ont pas déclaré ou mis en place des objectifs de réduction fixés selon les directives scientifiques pour les émissions. Pire, plus d'un tiers d'entre elles ont déclaré avoir augmenté leurs émissions. Toutefois, l'enquête montre des signes positifs, avec quelques grandes entreprises du secteur qui s'attaquent désormais aux risques climatiques. Des insectes dans les assiettes de l'UEFinancial Times, Insects creep towards EU plates as mealworms deemed safe to eat, 13/01/2021Bien qu'environ 2 milliards de personnes dans plus de 130 pays mangent déjà des insectes, selon l'ONU, ceux-ci ne sont que très peu consommés en Occident. Mais la situation pourrait peut être évoluer. L'Agence européenne de sécurité des aliments vient, en effet, de juger que le ver de farine jaune était sans danger pour la consommation humaine.Si les larves d'insectes sont déjà utilisées en Europe dans l’alimentation animale, cette décision pourrait bien stimuler les investissements dans la production d’insectes à destination de l’alimentation humaine. Selon les analystes, l'annonce de l'EFSA stimulera la création de nouvelles entreprises dans le secteur des insectes, comme Ynsect en France, Protix aux Pays-Bas et AgriProtein en Afrique du Sud, et incitera de nouvelles entreprises à se lancer sur ce marché ainsi que de nouveaux investissements. Les analystes de Barclays ont estimé que le marché des protéines d'insectes pourrait représenter environ 8 milliards de dollars dans le monde d'ici 2030, contre moins d'un milliard de dollars aujourd'hui.Comme l’explique Mario Mazzocchi, professeur à l'université de Bologne, “il y a des avantages environnementaux et économiques évidents si vous remplacez les sources traditionnelles de protéines animales par celles qui nécessitent moins d'aliments, produisent moins de déchets et entraînent moins d'émissions de gaz à effet de serre”. Reste évidemment l’enjeu de l’acceptabilité des consommateurs. Découvrez l’émission Eat’s Businesshttps://businessofbouffe.com/podcast-eats-business Pour vous abonner à la newsletter Eat’s Businesshttps://businessofbouffe.com/revue-de-presse-eats-business-newsletter  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
1/26/202136 minutes, 29 seconds
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Business of Bouffe #33 | Patrizio Miceli et Christian de Waldner - Italians do it better | L’histoire d’une jeune marque qui bouscule le marché avec des produits italiens de qualité artisanale et fabriqués en quantité industrielle

Aujourd’hui, nous sommes avec Patrizio Miceli et Christian de Waldner, les co-fondateurs des marques Al Dente la Salsa et Italians do it better, qui commercialisent des sauces et pâtes italiennes haut de gamme.Ensemble, nous revenons sur le parcours et le profil complémentaire de nos invités. Patrizio nous dévoile sa passion, héritée de sa mère, pour la cuisine italienne et plus particulièrement pour les sauces. Avec nous, il se remémore la création de son agence Al Dente, et les débuts de sa marque de sauces tomates du même nom, vendue en épiceries fines. Patrizio et Christian nous partagent ensuite l’histoire de leur rencontre et celle de la création d’Italians do it better. Avec cette marque commercialisée en grande distribution, nos deux invités se sont donné une mission, celle de démocratiser le bon goût de la cuisine italienne. Leur promesse ? Proposer des produits de qualité artisanale à échelle industrielle. Leur ambition ? Devenir les leaders des sauces premium, en France puis à l’étranger. Afin de devenir la référence des produits italiens de qualité, Patrizio et Christian ont fait appel à l’expertise d’acteurs incontournables du business de la Bouffe. Dernièrement, nos invités ont pénétré le marché du bio avec une troisième marque, qu’on évoque ensemble aujourd’hui : Il Biologico Italiano, distribuée exclusivement dans les magasins spécialisés.« Le consommateur peut tout comprendre si c'est bien expliqué. » Pour regarder la vidéo dans son intégralité :https://youtu.be/kx-k7pG2F7Q Les bons plans de Patrizio Miceli et Christian de Waldner :Eating at Hotel Il Pellicano  de Juergen Teller, livre de photographie culinaireL'empire de l'or rouge : Enquête mondiale sur la tomate d'industrie de Jean-Baptiste Mallet, livreDéguster un plat de pâtes avec Patrizio Miceli et Christian de Waldner dans leurs locaux (contactez-les en précisant que vous avez écouté le podcast de Business of Bouffe) Pour contacter nos invités :Patrizio Miceli, https://www.linkedin.com/in/christiandewaldner/Christian de Waldner, https://www.linkedin.com/in/patrizio-miceli/ Plus d'informations sur Italians do it better, Al Dente la Salsa :Italians do it better, https://www.italiansdoitbetter.info/Al Dente la Salsa, https://www.aldentelasalsa.com/ Pour découvrir les épisodes Business of Bouffe :https://businessofbouffe.com/le-podcast-food-business  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
1/24/20211 hour, 54 minutes, 34 seconds
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Plat du Jour #6 | Kelly Frank et Aris Christodoulou - Siga | Créer un indice évaluant le niveau de transformation des aliments pour améliorer la qualité dans les assiettes

Aujourd’hui, nous sommes avec Kelly Frank et Aris Chistodoulou, fondateurs de Siga, une application mobile qui aide les consommateurs à évaluer et mieux choisir leurs produits alimentaires.Ensemble, nous revenons, tout d’abord, sur les origines du projet et la mission que se sont donnés nos deux invités : faciliter l’accès à une alimentation plus saine et moins transformée. Ensuite, nous détaillons le fonctionnement de l’indice Siga, le système de notation de l’application, qui se propose de classer les aliments selon leur degré de transformation. Ils nous expliquent alors en détail ce que sont les produits ultra-transformés ainsi que les risques liés à leur consommation. Véritables militants pour une alimentation de qualité, Kelly et Aris reviennent sur la règle des 3V (Vrai, Végétal, Varié), au fondement d’un régime alimentaire préventif préconisé par la science. Puis, nous évoquons les Siga’stuces, vidéos diffusées sur Youtube où Kelly analyse le taux de transformation de produits alimentaires appartenant à une même catégorie. Enfin, côté business, nous parlons du service aux entreprises développé par Siga pour accompagner les industriels de l’agro-alimentaire à proposer des produits plus sains et moins transformés. « Plus on vient purifier, dégrader, dénaturer des ingrédients, plus leur potentiel santé diminue . » Pour contacter nos invités :Kelly Frank, https://www.linkedin.com/in/kelly-frank/Aris Christodoulou, https://www.linkedin.com/in/aris-christodoulou/ Pour en savoir plus sur Siga :https://siga.care/ Pour écouter les épisodes Business of Bouffe :https://businessofbouffe.com/tous-les-episodes-podcast  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
1/21/202147 minutes, 49 seconds
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Eat's Business #2 | Carrefour ciblé pour un rachat, des galettes bretonnes chinoises et la folie des industriels pour le végan

Dans ce deuxième épisode de Eat's Business, la revue de presse du Business de la Bouffe, Olivier Frey et Daniel Coutinho reviennent sur la convoitise de Couche-Tard pour le rachat de Carrefour SA, sur le paradoxe des galettes bretonnes chinoises ainsi que sur la folie des industriels pour le végan.Dans cet épisode, sont aussi évoqués 2MX Organic, la Special Purpose Acquisition Company du trio Zouari-Niel-Pigasse, le futur rapprochement entre les groupes InVivo et Soufflet, la framboise française, la tendance de la cantine connectée avec Popchef, Lenôtre et ses nouvelles recettes pour traverser la crise sanitaire, la nouvelle version de Groupon en Chine, la victoire du camembert normand, un documentaire sur les bouchers, la cuisine française et la plateforme nationale fraisetlocal.fr. Rachat de Carrefour SA par Couche-Tard ?La Presse, Couche-Tard en discussion pour acquérir la chaîne française Carrefour, 12/01/2021C’est une des grosses infos de la semaine : le groupe canadien Couche-Tard a confirmé avoir initié des « discussions exploratoires » avec Carrefour.Couche-Tard compte plus de 14 200 supérettes dans son réseau à travers le monde, dont 9200 en Amérique du Nord. En Europe, son réseau de vente au détail de 2700 magasins s’étend en Scandinavie, en Irlande, en Pologne, dans les pays baltes et en Russie. En vertu de contrats de licence, Couche-Tard exploite plus de 2200 magasins dans 15 autres pays et territoires (Hong Kong, Mexique, Vietnam, etc.).Il faut dire que le groupe canadien pèse plus du double de Carrefour : sa capitalisation boursière est d’environ 29,7 milliards d’euros contre 12,6 milliards d’euros pour Carrefour. Le trio Zouari-Niel-PigasseLes Echos, Quelle sera la première cible du trio Zouari-Niel-Pigasse dans l'alimentation ?, 09/01/2021Le trio s'est associé fin 2020 et a lancé 2MX, un « SPAC » (Special Purpose Acquisition Company) qui a levé 300 millions d’euros et vise une grosse acquisition en 2021.La future cible cochera au moins deux cases selon Les Echos : celle de l'alimentaire et celle du durable. Selon le journal, 2MX a un budget de 1,5 milliards à 2 milliards d'euros pour cette première acquisition et pourrait donc s’offrir :tout le groupe Casino dont la capitalisation boursière est inférieure à trois milliards, ou l'une de ses pépites, du type Naturalia ou Monoprixun spécialiste du bio, dont la plupart sont en difficulté face à la montée en puissance des distributeurs généralistes. Si Bio C Bon a déposé le bilan et a été repris par Carrefour, La Vie Claire pourrait être une cible.enfin, d’après un certain nombre d’observateurs, une cible tient la corde : le spécialiste des produits frais Grand Frais, qui appartient en partie à des fonds d’investissement.  Rapprochement InVivo-SouffletL’Usine Nouvelle, Trois clefs pour comprendre le rapprochement entre InVivo et Soufflet, 13/01/2021C’est un coup de tonnerre dans le monde agricole et agroalimentaire française qui a eu lieu ce mercredi 13 janvier. L’union de coopératives agricoles InVivo a annoncé être entrée en négociations exclusives pour acquérir le groupe familial Soufflet, qui cherchait un repreneur depuis plus de deux ans.Avec un chiffre d’affaires de 4,866 milliards d'euros pour l'exercice 2018/2019, Soufflet, est un groupe céréalier spécialisé dans la meunerie et le malt. Le groupe possède notamment 27 malteries dans le monde et produit 2 280 000 tonnes de malt. Il est également présent dans la boulangerie industrielle avec Neuhauser et la marque Baguépi.Avec cette acquisition, InVivo se renforcerait donc à l’international grâce à l’activité négoce de Soufflet, mais le groupe diversifierait également ses activités avec l’ajout de nouvelles filières comme la meunerie, le malt et la boulangerie industrielle. L’ensemble InVivo/Soufflet pèserait ainsi 10 milliards d'euros de chiffre d’affaires et deviendrait ainsi le deuxième groupe agricole européen derrière l'allemand BayWa. Le nouvel ensemble serait présent dans plus de 30 pays, avec plus de 90 sites industriels, dont 59 en France. Il compterait 12 500 salariés dont 10 000 en France. Végan industrielLes Echos, Le végan, nouvelle folie des industriels, 11/01/2021Un article complet sur le mouvement végan, qui a été lancé en 1944 en Grande-Bretagne par Donald Watson et ses conséquences sur certains marchés, notamment agroalimentaires.Car le véganisme est une tendance de consommation que les industriels ne peuvent plus ignorer. Ainsi, selon les prévisions de Barclays, les ventes mondiales de produits à base de protéines végétales augmenteraient de 16% par an et, en 2027, ce marché pèsera 30 milliards d'euros.Et tous les gros acteurs de l’agroalimentaire s’y intéressent. Unilever, qui a racheté The Vegetarian Butcher, a par exemple annoncé qu’il visait 1 milliard d’euros de revenus d’ici 5 à 7 ans grâce à cette nouvelle offre.Du côté des startups spécialisées dans les protéines végétales, les capitaux affluent également. Selon Meticulous Market Research, 750 millions de dollars ont été levés dans ce secteur en 2019.En France, si les ventes de produits végans progressent vite (+11% en 2019, selon Xerfi), le marché reste encore modeste en valeur absolue (environ 400 millions d'euros). Toutefois, selon Guillaume Gachet, directeur marketing de Herta Le bon Végétal, « Le marché français a un gros potentiel et devrait connaître une croissance à deux chiffres dans les années à venir ». Framboise françaiseOuest France, La framboise française en quête d’un rebond, 08/01/2021Les ventes de framboises fraîches sont en croissance depuis une quinzaine d’années dans l’hexagone : entre 2015 et 2019, les achats ont augmenté de 9,4% en volume (+ 10,8% en valeur), selon une étude du Centre technique interprofessionnel des fruits et légumes (CTIFL). Mais en 2019, seulement 13% des framboises commercialisées étaient d’origine France, contre 31% dix ans plus tôt. La production française a, en effet, été divisée par deux en 15-20 ans, passant de plus de 8 000 tonnes à environ 4 000 tonnes. La France importe ainsi plus de 22 000 tonnes de framboises fraîches par an et s’approvisionne principalement en Espagne, au Portugal et au Maroc. Galettes bretonnes chinoisesOuest France, Galettes bretonnes : pourquoi vous mangez souvent chinois sans le savoir, 07/01/2021La Bretagne fait face à une situation pour le moins paradoxale : alors qu’elle a longtemps été une grosse productrice de blé noir, elle est contrainte depuis quelques années d’en importer 70% de Chine et dans une moindre mesure, des pays de l’Est (la Pologne en tête).La région possède pourtant une IGP «  blé noir breton  » et 1 700 producteurs et 9 des 30 meuniers bretons produisent du blé noir et de la farine IGP, selon un cahier des charges qui prévoit notamment une culture sans produits phytosanitaires. En 2020, la Bretagne a produit 2 400 tonnes de farine de sarrasin IGP et 300 à 400 tonnes de farine de blé non IGP. Mais cela suffit à peine à couvrir 20 à 25% des besoins de la région estimés entre 25 000 et 30 000 tonnes par an.Pourquoi une telle situation ? Comme souvent c’est une question de prix et de rémunération des producteurs. Le blé noir IGP (conventionnel) se négocie en effet à 840€ la tonne (le producteur ne perçoit que 700€) et le bio à 1 000€ quand les blés noirs chinois ou polonais se négocient entre 250 et 400€ la tonne.Autre problème : le flou de la réglementation française, qui n’oblige pas à donner l’origine du produit et certains industriels importent donc du blé noir et se contentent de mettre une Bigoudène, un drapeau breton ou un Triskell sur leur emballage. Cantine connectéeZdNet, Faire entrer la cantine connectée sur son lieu de travail, une tendance de demain ?, 08/01/2021Est ce que la cafétéria va être remplacée par des frigos connectés disposés dans les espaces communs des entreprises? Zdnet fait le point avec l’une des entreprises leaders de ce secteur : Popchef. Initialement positionnée sur la livraison de repas chez les particuliers sur Paris, Popchef a pivoté fin 2017 à cause de la forte concurrence dans ce secteur pour s’orienter vers la restauration collective d’entreprise.Son offre est centrée sur un modèle de cantine digitale « flexible » et « modulaire », qui s'adapte plutôt aux PME qu'aux grands groupes, chaque frigo connecté pouvant contenir 50 repas. Chaque matin, le frigo connecté est rempli avec les plats du jour. Popchef met également en avant la qualité et la provenance des produits, ainsi que l'équilibre des repas, élaborés avec un nutritionniste.Avec le développement du télétravail, Popchef a également mis en place une offre de livraison suite à des demandes de ses clients. Comme le précise François de Fitte, le cofondateur, « nous livrons en début de semaine des plats pour tous les jours télétravaillés de la semaine. Ce sont les mêmes repas que sur site, mais ils sont conditionnés sous vide. » Lenôtre face à la crise sanitaireLes Echos, Les recettes de Lenôtre pour traverser la crise sanitaire, 12/01/2021Lenôtre, qui appartient au groupe Sodexo, s’en est plutôt bien sorti en 2020. Si évidemment son activité traiteur a plongé en 2020 (-77% sur l’année), Lenôtre a pu compter sur ses activités connexes pour limiter la casse. Ses boutiques (11 en France et 7 en franchise au Japon, en Chine, en Arabie Saoudite, au Koweit et en Allemagne) et son école de cuisine, ont, en effet, mieux traversé la crise sanitaire. Comme l’explique Olivier Voarick, le directeur général, « Notre école a été freinée par le premier confinement mais va afficher au final le même chiffre d'affaires qu'avant le Covid. Quant à nos boutiques, elles ont bien résisté avec un recul de 8% sur l'exercice 2019-2020 terminé fin août et même une hausse de 2% de septembre à fin décembre 2020 par rapport à la même période de 2019 ».Lenôtre s’est également appuyé sur la forte croissance du e-commerce, qui est passé de 2 à 10% du chiffre d'affaires entre mars et décembre. Pour y arriver, l’entreprise a notamment passé des accords avec les marketplaces de livraison Deliveroo et Epicery, et octroyé une licence pour ses plateaux-repas à Popchef. Comme pour beaucoup, c’est la configuration même de l’entreprise qui a changé. Pré-Covid, l’activité traiteur représentait 55% du chiffre d'affaires Lenôtre contre 35% pour les boutiques et 10% pour l'école et le restaurant Pré Catelan. Désormais les boutiques et l'école pèsent plus de 60%. Version chinoise de GrouponInkstone News, Remember Groupon? A new version is making waves in China, 12/01/2021Voilà un phénomène qui est en train de prendre de plus en plus d’ampleur en Chine : les achats alimentaires groupés.Comme partout dans le monde, la pandémie de Covid a fait grimper la proportion d’achats alimentaires en ligne à des sommets en Chine. Mais, à cette croissance du e-commerce, s’est greffé en parallèle le développement des achats groupés communautaires.Le principe est simple : en quelques clics sur leur téléphone portable, les consommateurs peuvent commander des produits d'épicerie via des plateformes technologiques, qui les localisent pour ensuite regrouper et coordonner les commandes. Cela génère des achats en gros pour les principaux fournisseurs de produits alimentaires qui peuvent alors proposer des remises importantes, ce qui permet d'éviter les intermédiaires et les détaillants traditionnels. Les nouveaux acteurs de ce marché en pleine expansion se nomment Didi Chuxing, Meituan et Pinduoduo.Mais à la différence d’un simple grossiste, il y a ici un aspect communautaire qui fait toute la différence. En effet, les résidents d’un quartier se regroupent et désignent un représentant pour acheter les articles au nom de la communauté. Tout cela s’organise généralement via un groupe sur WeChat. Les commandes de chaque groupe sont ensuite livrées en vrac aux points de collecte pour que le représentant de la communauté puisse les récupérer, avant que les membres de la communauté ne les collectent. Ce système permet ainsi de réduire les frais de livraison du dernier kilomètre.Comme le rapporte un analyste, “l'achat groupé communautaire complète le commerce électronique traditionnel, qui livre les consommateurs individuels à partir d'un même entrepôt. Il améliore l'expérience d'achat, car les détaillants sont plus proches du consommateur, et il permet d'économiser sur les coûts logistiques car les chefs de groupe sont responsables de la livraison aux consommateurs individuels”. Victoire du camembert normandFrance 2, Alimentation : la victoire du camembert normand, 07/01/2021Alors que depuis le 1er janvier, il est interdit de mentionner "fabriqué en Normandie" sur les camemberts, France 2 a rendu visite à une fromagerie qui fabrique le traditionnel camembert de Normandie. Le métier de boucherFrance 2, Emission Infrarouge sur le thème “Une vraie boucherie”, 12/01/2021Un documentaire consacré au quotidien d’un métier qui est de plus en plus décrié.La viande est aujourd'hui devenue une matière sensible. Ceux qui la travaillent et la mettent en vitrine subissent parfois le rejet du public. Réchauffement climatique, maltraitance animale : les bouchers doivent se réinventer. Patrons ou apprentis, hommes ou femmes se racontent derrière le billot, à l'école, ou devant la clientèle.Le replay est disponible jusqu’au 11.03.21. Cuisine françaiseFrance 24, Cuisine française : aux origines de la gastronomie, 12/01/2021L’émission "C'est en France" revient cette semaine sur l'histoire du "gaster nomos", soit "l’art de régler l’estomac", dont les ingrédients principaux ont toujours été le pouvoir, et une certaine influence étrangère. Entre l'art de la diplomatie et le besoin de transmission de notre héritage, la gastronomie est bien plus que de la simple cuisine. Découvrez l’émission Eat’s Businesshttps://businessofbouffe.com/podcast-eats-business Pour vous abonner à la newsletter Eat’s Businesshttps://businessofbouffe.com/revue-de-presse-eats-business-newsletter  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
1/19/202134 minutes
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À Côté D'La Plaque #15 | Pierre Gagnaire – Cuisinier inouï, grand nostalgique de l’existence et sublime joueur du verbe

« J’aime pas le mot romantique, c’est gnan-gnan, mais je suis nostalgique, et la nostalgie ça aide à vivre, c’est un matelas cotonneux qui apporte un peu de douceur… mais pas trop non plus, sinon on sombre ». Pour Pierre Gagnaire, respecter, c’est l’essence de tout : « respecter ça veut dire écouter, comprendre et faire attention aux gestes et aux paroles, ça évite l’autorité débile ». La vie lui a donné l’opportunité de vivre des situations qui l’ont poussé à prendre des décisions douloureuses et radicales, et l’ont défait d’attitudes et de raisonnements qui l’empêchaient de comprendre qui il pouvait être : « on ne sait jamais qui on est, gamin, on est manipulé par l’école, ses parents, la religion… s’approprier sa vie c’est un apprentissage qui va jusqu’à la mort ». Il a horreur de l’incivisme, et aussi des petits flacons sous la douche dans les hôtels : « c’est écrit trop petit, et bordel de Dieu sans lunettes je sais jamais qui est le shampoing et qui est le gel douche !! ». Pour Pierre Gagnaire, tout le monde aime qu’on l’aime : « l’animal que nous sommes a besoin d’amour, d’affection et de reconnaissance, ce serait mentir de dire le contraire ». En allant chercher son petit-fils à l’école, il s’est retrouvé plongé dans un sentiment d’extrême abandon « ça sentait la craie, et tout ce que j’ai senti enfant… voir ces mômes rire et se rentrer dedans c’est à pleurer ». Son meilleur échec, c’est sa faillite à St-Etienne : « ça m’a cloué sur place et à la fois c’était la chance de ma vie ». Pour lui, on dit tous des conneries, « moi j’en ai dit et j’en dis, mais c’est ça aussi la vie ! ». Il ne craint pas la mort mais la déchéance physique et la souffrance, « si Dieu existait il n’y aurait pas ça ». Le gueuleton idéal ? « Il n’existe pas, moi j’adore manger une patate avec du pain, tout dépend de l’état des lieux et de nous-même, je garde un souvenir magnifique d’un rösti sur l’autoroute en Suisse, ça ne s’explique pas ».Pour suivre Pierre Gagnaire :https://www.instagram.com/pierregagnaire/Pour en savoir plus sur Pierre Gagnaire et ses restaurants :https://pierregagnaire.com/Pour découvrir l'origine du podcast de Raphaële Marchal :À Côté D’La Plaque #0 | Raphaële Marchal – Présentation de son nouveau podcastPour découvrir les émissions À Côté D'La Plaque :https://businessofbouffe.com/podcast-a-cote-dla-plaque Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
1/14/202121 minutes, 52 seconds
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Eat's Business #1 | Vins et spiritueux sans alcool, pain au chocolat vs chocolatine et l'intelligence artificielle appliquée à la gastronomie

Dans ce premier épisode de Eat’s Business, la revue de presse du Business de la Bouffe, Olivier Frey et Daniel Coutinho reviennent sur le succès fou des vins et spiritueux sans alcool, sur les origines du débat sémantique entre pain au chocolat et chocolatine, ainsi que sur le nouveau projet de Sony AI pour implémenter l’intelligence artificielle dans la gastronomie. Vins et spiritueux sans alcoolEurope 1, “C’est un nouveau marché qui s’ouvre” : le succès fou des boissons alcoolisées… sans alcool, 31/12/2020Si le “Dry January”, ce défi qui consiste à se passer d’alcool pendant un mois, est de plus en plus populaire, la baisse de la consommation d’alcool est également devenue une véritable tendance de fond.Et pour répondre à cette tendance, une nouvelle catégorie de produits a vu le jour. Les Anglo-saxons l’appellent “NoLo” (pour “no and low alcohol”). Il s’agit des bières, vins et spiritueux sans alcool ou à faible teneur en alcool.Quelques chiffres pour se rendre compte de l’ampleur de ce phénomène en France : les bières sans alcool représentent 8% des ventes de bières en France et en 2020, la catégorie a connu une croissance de 15% dans un contexte très morose pour la bière.Dans les vins sans alcool, la startup Le Petit Béret propose pas moins de 19 références de vins rosés, blancs, rouges ou pétillants. Selon Fathi Benni, le PDG de l’entreprise, le chiffre d’affaires augmente d’environ 80% chaque année. Champagne BioFrance Bleu, Champagne biologique : quand des grandes maisons de champagne s’y mettent aussi en 2021, 03/01/2021En 2020, seulement 3,5% des surfaces de l’appellation Champagne (soit environ 1100 hectares) étaient cultivées en bio et 2% des surfaces étaient en conversion. Mais l’annonce en novembre dernier de Vranken-Pommery de la conversion de 175 hectares de son vignoble (soit environ 60%) en bio pourrait bien avoir un effet d’entraînement sur toute la filière champenoise. Le chef de caves de Vranken-Pommery précise d’ailleurs que “l’arrêt des herbicides a été enclenché il y a une dizaine d’années, avec un arrêt total déjà effectif en 2020”.Du côté de la maison Roederer, ce sont déjà 116 hectares (sur 240) qui seront certifiés bio pour la vendange 2021. Mais une telle conversion a un prix, comme l’explique le chef de caves de la maison : le parc de tracteurs a doublé en 20 ans et le travail du sol a entraîné une hausse du nombre d’heures de travail de 20 à 30%. Alimentation en 2030Les Echos, Ce que nous mangerons en 2030, 05/01/2021L’article revient sur une récente note de Céline Laisney, fondatrice du cabinet de veille et de prospective AlimAvenir sur l’alimentation à horizon 2030.Parmi les prévisions de Céline Laisney, un apport en protéines qui sera toujours plus diversifié, avec notamment une percée des produits à base de lupin, de chanvre, ou encore de céréales moins connues comme le teff ou le kernza et, dans une moindre mesure, des plantes sauvages et des algues.Selon elle, les faux steaks tels que ceux de Beyond Meats seront fabriqués avec moins d’ingrédients et d’additifs. Par ailleurs, davantage de substituts de viande seront produits à partir de mycoprotéines.Toutefois, certaines tendances mises en avant depuis des années ne verront probablement pas le jour d’ici 2030 : c’est le cas notamment des insectes, qui ne devraient pas trouver leur place en tant qu’aliment dans les repas quotidiens occidentaux, ou encore des imprimantes alimentaires 3D. BiocoopCapital, Bio : les recettes de Biocoop pour faire face à la concurrence de la grande distribution, 28/12/2020Le marché du bio a doublé en 5 ans pour atteindre 12 milliards d’euros. La grande distribution représente désormais 52% des ventes en bio.Biocoop, une coopérative de consommateurs créée en 1986, a réalisé un chiffre d’affaires de 1,4 milliard d’euros en 2019. Grâce à environ 70 ouvertures de magasins par an, Biocoop maintient sa part de marché à environ 13%.Mais le problème de Biocoop face à la concurrence de la grande distribution est le suivant : comment intégrer les techniques du commerce de masse sans renier ses engagements envers une consommation durable? Pour y répondre, Biocoop a nommé en septembre 2019 Eric Bourgeois, ancien de chez Carrefour, au poste de DG avec pour mission d’améliorer l’efficacité opérationnelle de la coopérative. Pain au chocolat vs ChocolatineRTL, Pain au chocolat ou chocolatine ? Les origines du débat, 03/01/2021Pour commencer l’année, RTL, nous propose la genèse d’un vieux débat qui agite jusqu’aux plus hautes sphères de notre gastronomie.On y apprend notamment que les origines du pain au chocolat/de la chocolatine remonteraient aux alentours de 1830, lorsqu’un boulanger autrichien du nom de Auguste Zang aurait importé en France les premières viennoiseries. Parmi celles-ci se trouvait un “Schokoladencroissant”, que l’on pourrait traduire littéralement par “croissant au chocolat”.Selon certains, c’est la sonorité de “Schokoladen” qui aurait donné le mot “chocolatine”. Mais pour d’autre, le “pain au chocolat” viendrait du goûter des enfants, qui auraient remplacé leur morceau de pain avec une barre de chocolat par la viennoiserie. Enfin, certains émettent l’hypothèse que c’est la chanson “Le Petit Pain au Chocolat” de Joe Dassin qui serait à l’origine de la généralisation du terme “pain au chocolat”.  Sbrinz, ce fromage suisse méconnuVoici, C’est quoi le Sbrinz, ce fromage suisse dont tout le monde parle ?, 21/12/2020Une fois n’est pas coutume, je vous propose cet article de Voici qui nous présente un fromage suisse qui cartonne : le sbrinz.Il s’agit d’un fromage au lait de vache brune, certifié AOP et produit par seulement 26 fromageries d’alpage habilitées. Au goût, il a une saveur salée et corsée, qui évolue selon la durée de l’affinage (18 à 36 mois). Il se consomme un peu à la manière du parmesan : soit râpé, soit en copeaux ou alors en le brisant entre les doigts. L’année où l’ecommerce a changé à jamaisVox, The year shopping changed forever, 29/12/2020Une rétrospective très complète de l’année particulière qu’a vécu le commerce de détail aux Etats-Unis en 2020. Comme le résume l’article : “nous nous en souviendrons comme l’année où les achats en ligne ont cessé d’être l’avenir du commerce de détail et ont été propulsés dans le présent”.Et cette accélération des achats en ligne en 2020 aura de profondes conséquences sur la façon dont des millions d’Américains travaillent, dont le pouvoir des entreprises est concentré et dont les communautés locales vont se reconstruire suite au déclin des malls et des chaînes de grands magasins qu’ils avaient l’habitude de fréquenter.Quelques chiffres pour se rendre compte du chamboulement qui a eu lieu en 2020 :Fin 2019, environ 13 % des achats au détail (hors ventes de voitures et d’essence) avaient étaient effectués en ligne, selon Mastercard. Les achats en ligne ont augmenté de plus de 30 % en 2020 (pour atteindre environ 20% du total des achats au détail).Amazon a été le grand gagnant : ses ventes ont augmenté d’environ 39 % aux Etats-Unis en 2020 et Amazon représente désormais 39 % (!!!) de tout le commerce en ligne aux États-Unis, selon eMarketerShopify, qui vend des solutions de commerce électronique aux petits et moyens commerces, a vu ses revenus augmenter de près de 100 % d’une année sur l’autre au cours des neuf premiers mois de 2020.Le chiffre d’affaires d’Etsy a augmenté de plus de 100 % au cours des neuf premiers mois de 2020. L’intelligence artificielle appliquée à la gastronomieZdnet, Sony AI launches new project dedicated to gastronomy research, 16/12/2020Sony AI, la branche de recherche sur l’apprentissage machine et l’intelligence artificielle du groupe japonais, a lancé un nouveau projet, consacré à la recherche et au développement en gastronomie.Le “gastronomy flagship project” se concentrera sur trois domaines clés :une application à base d’algorithmes d’IA pour la création de nouvelles recettes : Sony AI utilisera plusieurs sources de données (recettes, données sur les ingrédients, comme le goût, l’arôme, la saveur, la structure moléculaire et les nutriments) pour développer cette appli.un robot pour aider les chefs en cuisine : Sony AI envisage de fabriquer un robot doté de capteurs et d’algorithmes d’IA afin qu’il puisse aider les chefs tout au long du processus de cuisson, de la préparation à la mise en place.une initiative de co-création communautaire : elle s’appuiera sur des partenariats avec la communauté mondiale des chefs cuisiniers, des universités, des instituts de recherche et des entreprises. L’essor du végétarisme au BrésilNew York Times, Brazil Is Famous for Its Meat. But Vegetarianism Is Soaring, 29/12/2020En 6 ans, le nombre de végétariens a doublé au pays de la viande et l’industrie des protéines végétales y est en plein essor. L’engouement est tel que le pays est devenu un centre d’innovation pour les produits à base de protéines végétales et les startups brésiliennes spécialisées dans les protéines végétales ont connu une forte demande. Comme le précise le co-fondateur de The New Butcher, “nous sommes en train de vivre une révolution”.Parmi les raisons de cette percée des protéines végétales au Brésil, celles liées à des préoccupations sanitaires arrivent en tête : l’obésité, le diabète et les maladies cardiovasculaires y ont augmenté ces dernières années. Viennent ensuite la déforestation en Amazonie, liée pour partie à l’expansion de l’industrie de la viande, ainsi que la montée en puissance des mouvements de défense des animaux.En réponse, les entreprises du secteur de la viande ont commencé à s’adapter et proposent désormais des produits à base de protéines végétales. JBS, la plus grande entreprise de transformation de la viande au monde, a lancé une gamme de produits à base de plantes ayant la même texture et le même goût que la viande sous sa marque Seara. Marcos Leta, fondateur de Fazenda Futuro, devenue en 2019 la première start-up brésilienne à vendre des substituts de viande à base de plantes dans les épiceries du pays, a étudié la chaîne d’approvisionnement de l’industrie de la viande du pays et ses modèles d’exportation. Il est persuadé que le Brésil a le potentiel pour devenir un grand exportateur de produits alimentaires à base de plantes. Gaspillage alimentaire en ChineThe Guardian, China to bring in law against food waste with fines for promoting overeating, 23/12/2020Nous en parlions il y a quelques mois mais cette fois-ci le président chinois Xi Jinping a décidé de combattre le gaspillage alimentaire en proposant une loi.D’après le projet de loi, les établissements de restauration incitant les consommateurs à “commander des repas excessifs et à provoquer un gaspillage évident” seront passibles d’une amende allant jusqu’à 10 000 yuans (soit environ 1250 euros). La loi permettrait également aux restaurants de faire payer aux clients des quantités excessives de restes.Cette future loi fait déjà grincer des dents sur les réseaux sociaux chinois, certains la qualifiant d’exagérée et arguant que plutôt que de punir les cas de gaspillage alimentaire il aurait mieux valu réglementer la taille des portions proposées dans les restaurants. Découvrez l’émission Eat’s Businesshttps://businessofbouffe.com/podcast-eats-businessPour vous abonner à la newsletter Eat’s Businesshttps://businessofbouffe.com/revue-de-presse-eats-business-newsletter Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
1/12/202136 minutes, 17 seconds
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Business of Bouffe #32 | Steve et Jonathan Dolfi - À la Mère de Famille, Stohrer | L’histoire d’une famille d'entrepreneurs gardiens du savoir-faire sucré français

Aujourd’hui, nous sommes avec Steve et Jonathan Dolfi, deux des quatre frères et sœurs à la tête des chocolateries et confiseries À la Mère de Famille et des pâtisseries Stohrer. Ensemble, nous revenons sur l’histoire de l’entreprise familiale : des débuts du père, Étienne Dolfi, dans la confiserie jusqu’aux rachats successifs d’institutions en région et à Paris. Steve et Jonathan nous expliquent leur vision, ainsi que leur attachement à la longue histoire des établissements qu’ils reprennent et font évoluer dans le respect de leurs deux siècles et demi de tradition. En effet, c’est en 1730 et 1761 que sont fondées respectivement la maison Stohrer et À la Mère de Famille, doyennes parisiennes de la pâtisserie et de la confiserie. La modernisation de ces maisons passe par le choix des produits, par l’amélioration des process et des recettes, par le développement du digital et pourquoi pas par un éventuel développement à l’étranger… Tant d’enjeux que nous racontent Steve et Jonathan dans ce nouvel épisode de Business of Bouffe.Les bons plans de Steve et Jonathan Dolfi :Les paniers d'Alain, recevoir les paniers de légumes du Chef Alain PassardJaïs, restaurant parisienCuisine, restaurant parisienPour contacter nos invités :Steve Adjadj, https://www.linkedin.com/in/steve-adjadj-637518120Jonathan Dolfi, https://www.linkedin.com/in/jonathan-dolfi-2608b218Plus d'informations sur À la Mère de Famille et Stohrer:À la Mère de Famille, https://www.lameredefamille.com/Stohrer, https://stohrer.fr/Pour découvrir les épisodes Business of Bouffe :https://businessofbouffe.com/le-podcast-food-business Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
1/10/20212 hours, 16 minutes, 49 seconds
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Sur le Champ #3 | Une ferme laitière gourmande | Arnaud & Hélène Follet - Aux Glaces Follet

Ambre et Camille sont à Saint Vaast Dieppedale, en Normandie. Une région qui a sa propre race de vaches, la Normande, la race fétiche du couple Follet, qui a décidé d’en élever pour leur lait. Et ils en font des merveilles ! Cela fait bientôt 3 semaines que nous vivons au rythme d’Arnaud et Hélène Follet à la découverte d’une ferme laitière bien gourmande qui risque d’en faire craquer plus d’un... Arnaud a repris la ferme familiale transmise depuis 3 générations, il cultive betterave, lin, maïs, colza, blé (et on en passe !) sur 130 hectares de terres super fertiles ! Une partie de la nourriture produite sur la ferme sert à nourrir son troupeau : ses 60 vaches laitières, mais pas que... Arnaud élève aussi des taurillons et des veaux de lait, sa ferme compte en tout 250 bêtes.Et il y a 10 ans déjà, Hélène a installé son labo de transformation sur la ferme. Elle confectionne des glaces, des yaourts et des crèmes dessert à partir du lait et de la crème de la ferme. Comme vous pouvez vous en douter, tout a été testé et approuvé par l'équipe Sur le Champ ! La moitié de la production du labo est vendue au magasin de la ferme, véritable concrétisation de ce projet de réappropriation de la filière laitière dans son ensemble.Ces trois semaines d'immersion nous ont plongé dans le rythme très exigeant du métier de polyculteur-éleveur. Travailler avec le vivant et avec les saisons implique beaucoup de sacrifices, de réveils très matinaux, et de passion. C'est un véritable engagement, qui demeure trop peu valorisé au vu du prix du lait aujourd'hui. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
1/7/202136 minutes, 8 seconds
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Eat's Business #0 | La revue de presse du Business de la Bouffe avec Olivier Frey et Daniel Coutinho

Aujourd’hui, nous avons le plaisir de vous présenter la nouvelle émission « Eat's Business » animée par Olivier Frey et Daniel Coutinho à écouter chaque mardi sur Business of Bouffe, le media 100% dédié aux coulisses de la bouffe. Eat’s Business est la revue de presse 100% dédiée à l’actualité du secteur de la bouffe, de la terre à l'assiette, à la fois nationale et internationale. Lancée par Olivier Frey, consultant, formateur et conférencier expert du secteur agroalimentaire au sens large, en juin 2020, cette newsletter présente des articles, des vidéos ou encore des études et est envoyée de façon hebdomadaire aux abonnés. Repérée dès sa sortie par Daniel Coutinho, fondateur de Business of Bouffe, Eat’s Business a très vite fait partie de ses newsletters favorites. Malheureusement, le manque de temps ne lui permettait pas de la lire chaque semaine. Il eut alors une idée : décliner la newsletter au format audio ! Ainsi, chaque semaine dans l’émission Eat’s Business, Olivier et Daniel vous présentent une sélection d’articles de presse qui traitent des actualités et tendances du moment dans la Bouffe, dans un format court et dynamique.Dans ce tout premier épisode, et pour la première fois depuis l’histoire du media, Philibert Chambre, associé de Daniel Coutinho, se place dans la position d’interviewer et interroge les deux animateurs au sujet de cette nouvelle émission. Olivier et Daniel nous raconteront l’histoire de cette newsletter, celle de leur rencontre puis celle de cette association entre deux hommes passionnés par la bouffe. Vous retrouverez également tous les détails sur cette nouvelle émission (fréquence, type de contenu…) qui sera officiellement lancée le mardi 12 janvier prochain, tout cela ponctué de bonne humeur et des remarques taquines de Philibert... Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
1/5/202115 minutes
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À Côté D'La Plaque #14 | Yann Couvreur - Chef pâtissier entrepreneur, à la tête de ses boutiques éponymes

Avant même d’avoir bu son deuxième café, il se lance sur 2020, la mort du respect, des mimes et même… une grosse annonce de type breaking news. Ce dernier podcast de l’année est à l’image de Yann : il part dans tous les sens, et pourtant il nous touche, avec ses réponses vives et fraîches. Ce que l’on ignore de lui, c'est qu’il est profondément sympa. « Physiquement c’est compliqué, j’aime pas ma tronche j’aime pas ma voix j’aime pas mon allure, mais j’essaie d’être un mec bien, sur qui on peut compter, et je suis assez fier de ça, même si c’est pas toujours humble à dire ». Depuis quelques temps, il assume : « je mène une entreprise de 80 salariés et j’ai un rôle à jouer donc j’y vais à fond, j’arrête de penser égoïstement à si ma gueule va plaire ou pas ». Il veut que les choses aillent vite, stresse beaucoup et en même temps, il en redemande : « J’ai cette faculté à me mettre dans la merde, j’aime bien m’en refoutre toujours un bol de plus sur la tronche, pour aller plus loin dans les projets ». Son image ? « Je me cache derrière des renards et des gâteaux mais je n’ai aucune idée de ce que les gens pensent de moi ». Ses soirées foot ont changé « Avant on mangeait des pizzas devant les matchs, maintenant on mange des sushis ». Il aime la moto et le calme, il vient d’ailleurs d’acquérir une maison de campagne, pour s’échapper de « ce Paris qui a changé, où le respect est mort ». Il est sensible mais n’a pas la larmiche facile comme il dit. « Je manque un peu de douceur et de romantisme, c’est d’ailleurs le principal reproche que je me prends dans la tronche par ma compagne… Mais parfois j’ai des petits éclats ! ». S’il a peur ? « Oui, de faire un mauvais choix. Je suis pas Google moi, un mauvais choix et c’est la banqueroute… Donc c’est un sac à dos bien lourd à porter ».  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
12/31/202030 minutes, 47 seconds
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[Rediff] Coquillages #3 | Loïc Maine - Mytiliculteur | L’histoire d’un producteur de moules de Bouchot qui défend son terroir et son savoir-faire

Pour la période des fêtes de fin d'année, nous avons décidé de rediffuser les trois épisodes de notre série coproduite avec le comité national de la conchyliculture. L’occasion d’en apprendre plus sur la filière coquillage et de mettre en avant ces professionnels passionnés par leurs produits ! Pour ce dernier épisode, nous étions avec Loïc Maine, producteur de moules de bouchot en Normandie et président du groupement des mytiliculteurs sur bouchot.Ensemble, nous revenons sur les spécificités de la moule de bouchot, élevée sur des pieux en bois en pleine mer et appréciée pour sa chair fondante et savoureuse. Son mode d’élevage, qui date du XIIIème siècle, vient d’être récompensé par le label européen “Spécialité Traditionnelle Garantie”. Dans cette période de crise, Loïc insiste sur l’importance de consommer des moules françaises afin de soutenir la filière et protéger son savoir-faire unique.  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
12/27/202041 minutes, 45 seconds
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[Rediff] Coquillages #2 | Bruno Gauvain - MOF Poissonnier Écailler | L’histoire d’un Meilleur Ouvrier de France expert en coquillages

Pour la période des fêtes de fin d'année, nous avons décidé de rediffuser les trois épisodes de notre série coproduite avec le comité national de la conchyliculture. L’occasion d’en apprendre plus sur la filière coquillage et de mettre en avant ces professionnels passionnés par leurs produits ! Dans ce deuxième épisode, nous étions avec Bruno Gauvain, Meilleur Ouvrier de France poissonnier écailler et expert en coquillages. Ensemble, nous revenons sur son parcours : de l’ouverture de sa poissonnerie à Paris à sa collaboration récente avec la maison Gillardeau, en passant par l’obtention du titre de Meilleur Ouvrier de France. Nous profitons de son expertise pour lui poser toutes les questions possibles sur les différents coquillages : conditions de production, terroirs, conseils de dégustation, etc. Nous évoquons également la situation de la filière conchylicole et la nécessité de la soutenir en cette période difficile.  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
12/24/202037 minutes, 58 seconds
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[Rediff] Coquillages #1 | Baptiste Raimbaud - Ostréiculteur | L’histoire d’un ostréiculteur passionné par son métier et son merroir

Pour la période des fêtes de fin d'année, nous avons décidé de rediffuser les trois épisodes de notre série coproduite avec le comité national de la conchyliculture. L’occasion d’en apprendre plus sur la filière coquillage et de mettre en avant ces professionnels passionnés par leurs produits ! Dans ce premier épisode, nous étions avec Baptiste Raimbaud, un jeune ostréiculteur en baie de Bourgneuf, en Vendée, juste en face de l’Ile de Noirmoutier. Ensemble, nous parlons de la production des huîtres : du captage à l'affinage, en passant par l'élevage. Nous découvrons l'importance du terroir, ou plutôt du "merroir" (comme le disent les ostréiculteurs) sur la qualité et le goût des huîtres. Puis, nous évoquons les différents enjeux de son développement et l'impact de la crise actuelle sur son activité.  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
12/21/202045 minutes, 33 seconds
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À Côté De La Plaque #13 | Angèle Ferreux-Maeght – Fondatrice de la Guinguette d’Angèle, meuf en or, dévoreuse de beaux moments, distributrice de rires bien gras.

Pour être toujours de bonne humeur, elle se raccroche à ce qu’il y a de beau : un chant d’oiseau, un petit vent automnal, un morceau de fromage… « Il y a toujours quelque-chose ! ». La plus belle qualité du monde selon Angèle ? L’humour ! « Bon après j’ai des amis pas drôles du tout mais très intelligents… Ça compense ». On ignore beaucoup de choses d’Angèle : elle sait très bien imiter Donald (le vrai, pas l’autre), les prouts la font vraiment beaucoup rire, et elle adore les vidéos de bébés qui tombent. Elle ne supporte ni la méchanceté ni la supériorité, et pleure devant les pubs pour la SPA. Être maman ? « C’est complètement perché comme truc ! Et en même temps, on apprend tellement sur nous-même : la patience, la valeur des choses, les vraies priorités… Et puis les regarder péter dans l’eau, c’est génial ». Être un homme ? « Pour rien au monde je changerai, sauf peut-être pour une journée, juste histoire de voir ce que ça fait d’avoir un zizi ». Voilà qui nous rappelle un épisode avec Delphine Plisson... Si elle s’aime ? « J’ai des miroirs partout donc je me vois à poil tout le temps c’est un enfer, j’aime pas toujours ce que je vois, mais au lieu de me dire que je vais me calmer sur la pitance, je m’envoie des pots de pâte à tartiner ». Mais elle ajoute « On ne peut pas aimer les autres sans s’aimer un peu et je me rends compte que je suis capable d’aimer donc…». Elle pense à l’avion : il faut mettre son masque à oxygène avant d’aider les autres, pour elle, l’amour, c’est pareil. Une peur ? Perdre le goût, ou être trahie. Si elle est romantique ? Malgré toutes ses tentatives pour ne pas l’être, ayant grandi avec des mecs elle a toujours lutté contre ce truc tout rose et tout fleur bleue, mais aujourd’hui elle adore, et réalise surtout que le romantisme n’a pas de genre. « J’offre des fleurs à mon mec, je mets des bougies par terre et on fait un pique-nique en tailleurs dans le salon, si ça c’est pas romantique… ». Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
12/17/202027 minutes, 2 seconds
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Business of Bouffe #31 | Stéphane Layani - Marché de Rungis | L’histoire du plus grand marché de produits frais au monde

Aujourd’hui, nous sommes avec Stéphane Layani, le président directeur général du marché international de Rungis.Ensemble, nous évoquons l’histoire du plus grand marché de produits frais au monde, de ses origines au coeur de Paris jusqu’à son installation à Rungis. De la qualité des produits en passant par le développement des circuits courts et de la filière biologique, Stéphane Layani nous explique la mission et les valeurs de son institution. À la tête de la Société d’Économie Mixte du Marché de Rungis (SEMMARIS) depuis 2012, il est en charge de la gestion et de l'exploitation du marché et revient avec nous sur le fonctionnement de cette gigantesque machine qui nourrit 18 millions de personnes. Chaque jour, les 1 200 entreprises, présentes sur les 234 hectares du marché, échangent près d’un million de références de produits, pour un chiffre d’affaires annuel de 10 milliards d’euros. Et malgré ces chiffres vertigineux, Stéphane nous raconte que le marché continue de se développer et de se moderniser pour s’adapter aux nouveaux enjeux du Business de la Bouffe. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
12/13/20201 hour, 46 minutes, 2 seconds
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À Côté D'La Plaque #12 | Christophe Michalak - Géant de la pâtisserie et de l’entrepreneuriat, grand fonceur et sacré bouffeur de vie.

Christophe est un fonceur, il se prend la vie en pleine face et consume les jolies choses de l’existence à toute vitesse pour en vivre autant que possible. Grand sensible bien caché, il s’accroche à ce qu’il reste de la bienveillance : « savoir prendre soin des autres c’est rare et c’est la plus belle qualité du monde ». Grand gourmand, il nous raconte ses diètes et ses craquages : « quand je fais quelque-chose de bien, je me récompense avec un petit cadeau… je coupe un pain au chocolat en deux, pour avoir une barre de chocolat dans chaque moitié et je les trempe, comme des mouillettes, dans un chocolat chaud bien dense ». Celui-là sait vivre, ça c’est certain. Rien ne l’agace plus que les gens qui se plaignent dans le vide ! « Quand on a un souci, on le règle et on avance ». Il faut dire que Christophe a toujours un dossier d’avance, et que tout est millimétré, pour ne pas perdre une miette de la vie, à tel point que ça devient obsessionnel : « j’ai du mal à flâner, quand ma femme me propose de se balader au marché, je me mets en mode mission : toi le fromage, moi les légumes, et on se retrouve au poisson, alors qu’on était juste là pour kiffer main dans la main… ». Son bonheur aujourd’hui, c’est de s’investir à fond dans ses passions, le tennis, le cinéma, la littérature… « approfondir les sujets, se documenter, c’est une chance incroyable ». Plutôt que de s’aimer, il aime sa vie : « j’en ai mangé, des lames de rasoir, mais aujourd’hui je suis un homme heureux ». S’il est romantique ? « Grave ! J’ai une femme géniale et j’en prends soin, parce qu’il faut l’entretenir, ce bonheur ». S’il est féministe ? « Je le suis profondément, j’irais pas le revendiquer avec une pancarte, mais il va falloir qu’on se lègue et qu’on lutte pour changer les choses ». S’il est religieux ? « Pas du tout, chacun sa came » : en CE1, Christophe priait Dieu pour que son prof de maths ne l’interroge jamais. Il l’interrogeait à chaque fois, et depuis ce jour, il a compris que s’il y avait une personne sur qui il pouvait compter dans ce monde, c’était lui-même, et lui-même seul. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
12/3/202034 minutes, 18 seconds
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Business of Bouffe #30 | Eric Kayser - Artisan Boulanger | L’histoire d’un boulanger et entrepreneur à succès qui a créé un groupe international de 300 boulangeries artisanales

Aujourd’hui, nous sommes avec Éric Kayser, boulanger-entrepreneur connu et reconnu dans le monde. Ensemble, nous revenons sur son parcours et l’histoire de la Maison Kayser. Nous évoquons les origines du projet, ses débuts en tant que boulanger mais aussi en tant qu'entrepreneur avec l’invention du fermentolevain. Du choix des matières premières à la fabrication artisanale de ses produits, en passant par la transmission de son savoir-faire et la formation de ses équipes, Éric Kayser nous parle de sa vision du métier de boulanger. Un métier qui ne l’a jamais empêché de voyager puisqu’il décide très rapidement de s'implanter à l'étranger. Désormais à la tête de plus de 300 boutiques à travers le monde, nous revenons sur ce développement exceptionnel, sans oublier ses challenges et futurs projets... Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
11/29/20201 hour, 40 minutes, 47 seconds
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Sur le Champ #2 | Le couple au four et au moulin | Stéphane & Stéphanie Moalic - Ferme de Saint They

Sur le Champ : le podcast qui donne la parole aux agriculteurs par Camille Fournier et Ambre Germain. Stéphane est paysan et Meunier, il est la 7ème génération de sa famille installée à la ferme de Saint-They. Sur 40 hectares de parcelles, il cultive ses céréales en conduite biologique : du blé, du sarrasin, du seigle, et de l’épeautre. Le tout semé avec ses propres graines ou des graines achetées localement.Ses céréales, il les transforme sur place à la meunerie, travail minutieux pour obtenir des farines biologiques, de douze types différents. Il fournit des crêpiers, des boulangers, des pizzaïolos, mais aussi Pierre Hermé ! Et depuis peu, sa femme Stéphanie a rejoint le navire : elle a quitté la blouse d’aide-soignante pour adopter le tablier de boulangère. Elle a repris la boulangerie de Pouldavid avec le projet ambitieux de développer une gamme de pains bio élaborée avec la farine de son mari. Un couple d’agriculteurs et artisans qui vit à mille à l’heure, et qui cherche à faire des liens : entre les agriculteurs et les citadins, entre la santé et l’environnement, et entre terre et mer... Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
11/26/202036 minutes, 45 seconds
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À Côté D'La Plaque #11 | Anne-Sophie Pic - Cheffe au destin hors du commun, elle est brillante, coquète et pleine de contradictions. Elle aime Bridget Jones et Auto-Moto.

Cette couche-tard / lève-tôt par obligation ne se livre que très peu. De sa vie privée, on sait qu’elle a un mari et un fils, c’est à peu près tout et c’est très bien comme ça. Pourtant, derrière l’immense cheffe et entrepreneure qu’elle est, au destin absolument hors du commun, il y a une femme qu’il est si bon de connaître. Ce qui touche le plus Anne-Sophie, c’est le talent des autres : « j’ai travaillé à m’entourer de gens qui m’inspirent et qui m’émeuvent, ceux qui réussissent à mettre des mots sur les émotions et la délicatesse de la vie ». Elle est hypocondriaque, comme son père l’était, et craint très fort de perdre le goût et l’odorat, mais très vite elle nuance : « en même temps, je me tiens droite face à mon destin, et je suis sûre que si ça m’arrivait j’en ferais une expérience ». Anne-Sophie la battante, celle qui transforme ses (rares) échecs en forces, qui lutte avec poigne et courage contre « son côté soupe au lait », mais qui embrasse avec délectation ses contradictions. Parce que si Anne-Sophie partage sans rougir sa passion pour les carrosseries, la mécanique, les belles voitures et Auto-Moto, c’est aussi une dingue de mode, et surtout une grande romantique. « J’adore Bridget Jones, je l’ai vu 10 fois et je trouve ça terrible. Moi je suis très fleur bleue, je suis mariée depuis 28 ans mais ce n’est pas pour ça que le romantisme se fane ». Elle aime être influençable, être contredite pour avancer toujours plus loin, un exercice auquel elle se heurte au quotidien. Sur son rapport à elle-même, la question est répondue sans détour : elle s’aime, c’est surtout pour aimer les autres.  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
11/19/202025 minutes, 20 seconds
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Business of Bouffe #29 | Perrine Bismuth et Laurent Plantier - FrenchFood Capital | L’histoire d’un fonds d’investissement spécialisé dans le business de la bouffe

Aujourd'hui, nous sommes avec Perrine Bismuth et Laurent Plantier, deux des fondateurs de FrenchFood Capital, le 1er fonds d’investissement français spécialisé dans « le business de la bouffe ».Ensemble, nous revenons sur l’histoire et le développement de French Food Capital. Nous évoquons les origines du projet, le fonctionnement du fonds d'investissement ou encore ses critères de sélection. Au-delà de l’apport financier, Perrine et Laurent nous expliquent comment ils s’impliquent auprès des entrepreneurs et leur apportent un précieux support opérationnel.  Nous revenons également sur les principaux investissements de French Food Capital  : Les boulangeries Thierry Max, Les 2 Marmottes, Terroirs d'Avenir ou encore La Piadina. Nous parlons enfin de leurs prochains investissements et de l’avenir du business de la bouffe. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
11/15/20201 hour, 58 minutes, 14 seconds
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Business of Bouffe Hors-Série | Les questions de nos auditeurs : bilan de la 1ère année du podcast et présentation de The Bouffe, la nouvelle identité de notre agence.

Il y a quelques jours, Business of Bouffe a fêté ses 1 an ! L’occasion pour nous de faire un 1er bilan de cette incroyable aventure. Pour cela, on s’est dit que ce serait sympa de vous donner la parole et que vous partagiez avec nous toutes les questions que vous rêvez de nous poser.Vous avez été très nombreux à participer sur Instagram et Linkedin. Nous avons reçu beaucoup de questions sur le podcast mais aussi sur notre activité à côté du podcast : nos missions de conseils, nos clients, nos projets…  Et cela tombe bien car on vient justement de clarifier les choses et de donner une nouvelle identité à notre agence : The Bouffe.Dans cet épisode très spécial, nous revenons donc sur cette folle année du podcast Business of Bouffe ainsi que sur nos actualités et projets. Pour porter vos questions et la voix de nos auditeurs, nous avons la chance d’être avec l’une de nos plus fidèles auditrices : Heloïse Soriano.  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
11/13/202056 minutes, 47 seconds
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À Côté D'La Plaque #10 | Jacques Genin – Fondeur en chocolat, sensible et insolent, romantique et grand enfant.

Lorsqu’on propose à Jacques de parler d’autre chose que de pâtisserie, il s’exclame « oh oui, on a besoin de débrancher, sinon on meurt ». Dans cet épisode, il reviendra sur les sacrifices que sa carrière lui a demandés, sur sa relation fraîchement professionnelle avec sa fille Jade, en ajoutant « elle va au-delà d’une relation père-fille, c’est beaucoup plus simple et élégant entre nous ». Il abordera sa pudeur, une pudeur qu’il protège et qu’il nourrit, tant il accorde de l’importance à ce que l’on ignore tout de lui. Il parlera aussi de ce qui l’agace dans la vie, de l’importance de faire concorder actes et paroles, et de sa reconnaissance envers la vie, qui selon lui, l’a particulièrement gâté. Il nous fera partager ses larmes, son amour pour l’amour et pour la naïveté, son côté « tout feu tout flamme », et son goût du risque. Il reviendra sur son impulsivité, et sur l’importance de l’insolence. Il nous confiera aussi qu’il aurait aimé être une femme. Il dévoilera sa passion pour Camille Claudel, Stéphane Zweig, Milan Kundera et Marguerite Yourcenar, et sa hantise de ressembler aux autres : « quand tu vénères les autres au point de les copier, ta vie est vide, tu n’as rien construit ». Il essaiera de savoir s’il s’aime : « certains jours je me déteste et je m’engueule, d’autre je me trouve génial, ça dépend du moment ». Il nous donnera, enfin, son remède « anti-blues » … Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
11/5/202034 minutes, 7 seconds
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1er anniversaire de Business of Bouffe | Surprise - Nos invités prennent la parole pour célébrer notre 1ère bougie !

Le podcast Business of Bouffe souffle sa première bougie ! Je suis Marjorie et je termine mon stage en tant que Podcast & Community Manager au  sein de Business of Bouffe. Daniel et Philibert ont lancé leur podcast il y a tout juste 1 an. Donc, pour l'occasion, j'ai pensé qu'il serait sympa de leur réserver un petite surprise en créant un podcast avec toutes les personnes qui ont déjà participé à l’émission et qui souhaitent leur laisser un bref message d’encouragement. J'ai donc pris l'initiative de contacter en secret tous les anciens invités et... nombre d'entre eux ont accepté de jouer le jeu, avec enthousiasme ! Dans ce court audio, voici donc quelques acteurs de la bouffe qui on tenu à remercier Daniel et Philibert pour le partage de ces rencontres inspirantes  et à les féliciter pour le chemin parcouru.  Donc voilà, encore bravo messieurs ! En attendant, je suis très  contente  d'avoir travaillé à vos côtés et d'avoir découvert votre univers, et j'en profite pour envoyer tout mon soutien aux acteurs de la bouffe dans ce contexte difficile.   Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
11/4/202012 minutes, 56 seconds
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Business of Bouffe #28 | Christian Regouby - Collège Culinaire de France | L'histoire de 25 chefs étoilés qui souhaitent fédérer les restaurateurs et les producteurs autour du bien-manger

Aujourd’hui, nous sommes avec Christian Regouby, le délégué général au Collège Culinaire de France, un collectif indépendant et militant de restaurants & producteurs artisans de qualité.  Ensemble, nous revenons sur l’histoire du collège Culinaire de France. Nous évoquons la vision des 25 chefs fondateurs, entre autres, Alain Ducasse, Joël Robuchon, Alain Dutournier, Gilles Goujon, Anne-Sophie Pic, etc. Christian nous détaille les actions du collège, notamment la création des appellations “restaurant de qualité et “producteur artisan de qualité ». Nous parlons également de l’organisation, du financement et des développements de l’association. Enfin, nous en profitons pour aborder avec Christian la situation difficile des producteurs et restaurateurs en France depuis le début de la crise sanitaire.  « Pour nous, un producteur est au même niveau qu’un chef, une personne de salle ou un client. »Pour contacter notre invité : https://www.linkedin.com/in/regouby-christianPlus d’informations sur le Collège Culinaire de France : https://college-culinaire-de-france.fr/Pour découvrir les épisodes de l’émission Business of Bouffe: https://businessofbouffe.com/le-podcast-food-business Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
11/1/20201 hour, 23 minutes, 38 seconds
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Sur le Champ #1 | L'élevage durable de bovins et de cervidés | François Becquet - Ferme de Villaine

Sur le Champ : le podcast qui donne la parole aux agriculteurs par Camille Fournier et Ambre Germain. François, 29 ans, a repris cette ferme de Baugé en Anjou de 92 ha en 2018. Il élève 80 génisses et une centaine de cervidés. Passionné d’élevage et d’agronomie, François dénote dans le paysage Baugeois. Il pratique l’agriculture de conservation des sols sur ses parcelles de méteil, luzerne, blé et maïs entre autres. François prend grand soin quotidiennement de ce qu’il appelle son « troisième cheptel » : ses nombreux vers de terre qui travaillent sans relâche son sol très riche. Au cours de cette épisode, nous parlons élevage, bovins, cervidés, pratiques agricoles, vie du sol… Et plus encore, François nous fait part de son quotidien, ses projets, ses convictions. Nous parcourons la ferme : sa production, la transformation à la ferme et la vente en direct. Comme il aime dire : «  chez nous c’est 100% local » ! François nous fait part de son amour pour son métier : « j’adore la polyvalence et du coup je trouve que c’est un métier où on ne s’ennuie jamais ! » ! Enfin, nous revenons sur les moments partagés au cours de ces trois semaines, très denses, riches en rencontres et fortes en apprentissage ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
10/29/202057 minutes, 10 seconds
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Sur le Champ #0 | Camille Fournier et Ambre Germain - Sur le Champ | Faire le tour de France pour partir à la rencontre des agriculteurs

Aujourd'hui, nous avons le plaisir de vous présenter la nouvelle émission "Sur le Champ" qui sera diffusée sur Business of Bouffe et animée par Camille Fournier et Ambre Germain, deux étudiantes d'HEC Paris.Il y a quelques semaines maintenant, nous avons découvert le projet d'Ambre et Camille, qui,  dans le cadre de leur projet de fin d'études, ont décidé de sillonner les routes de France pendant un an pour partir à la rencontre des agriculteurs innovants et découvrir les métiers de l'agriculture.  Suite à cela, nous avons eu l'idée de leur proposer de créer un podcast ensemble afin qu'elles puissent partager au plus grand nombre leurs rencontres inspirantes. Dans cet épisode de présentation, Ambre et Camille évoquent le déroulement de leur tour de France, leurs objectifs et le financement d'un tel projet. En plus du podcast, elles nous expliquent également leur ambition de créer une émission qui sera diffusée sur CultivonsNous.TV,  la chaîne qui traite des sujets liés à l'alimentation, du champ à l'assiette, créée par Edouard Bergeon et Guillaume Canet. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
10/27/202015 minutes, 49 seconds
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The Good Bouffe #5 | Découvrir la richesse de l'univers du thé | Pierre Lebrun - Le Parti du Thé

Nous sommes aujourd’hui avec Pierre Lebrun, expert en thés et fondateur de la marque Le Parti du Thé. Depuis plus de 15 ans, il sélectionne ses thés directement auprès des meilleurs producteurs du monde entier. Cliquez ici pour découvrir l'offre qu'il a imaginée pour nos auditeurs.Ensemble, nous revenons sur la fascinante histoire du thé et la manière dont Pierre la sublime à travers son activité. Nous évoquons la volonté du fondateur de démocratiser et de faire connaître la richesse exceptionnelle de ce produit en faisant le choix de travailler en direct avec des producteurs du monde entier. Cela permet en effet de garantir un sourcing de qualité et de favoriser des relations sincères et transparentes. De l’arbre à la tasse, nous parlons de toutes les étapes de fabrication : récolte, séchage ou encore fermentation, nous comprenons ainsi les typicités de chaque thé. Pierre Lebrun nous présente enfin l'offre qu'il a imaginée pour nos auditeurs : 3 coffrets en vrac Découverte et Grands Crus aux saveurs uniques de la marque Le Parti du Thé. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
10/25/20201 hour, 27 minutes, 47 seconds
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À Côté D'La Plaque #9 | Jean-François Piège – Chef propriétaire de cinq restaurants | Il jongle, au quotidien, entre travail, courage et timidité.

Dans cet épisode, Jean-François Piège nous en dit long sur lui. Il nous parle du courage et de la vaillance : celle de ne pas avoir peur de travailler. Une qualité qui le touche en plein cœur, et qui habite la majorité des gens qui l’entourent. Il croit fort en la chance, et s’amuse de l’une de ses meilleures contradictions : faire de la télévision, en étant très timide ! Il nous raconte son plus bel échec professionnel, le blanc-manger : « à force de rater la version de ma grand-mère, qui était impossible à reproduire selon ce qu’elle m’avait dit, je m’en suis affranchi et j’ai fait la mienne ». Il n’a pas peur de pleurer, au contraire, il les adore, ces larmes de joie, comme la naissance de sa fille, le 15 juin dernier, jour de la réouverture de son restaurant ! Il fuit une peur qui le hante : celle de ne plus travailler, et de ne plus avoir de quoi s’exprimer. Il nous raconte sa passion, pour le moins encombrante, celle de chiner, de collectionner, et… d’accumuler un peu trop. Il s’avoue influençable, change d’avis s’il le faut, et parfois, il s’aime, même s’il trouve cette question très dangereuse. Il voit l’égo comme un moteur, et à la question « êtes-vous romantique ? », il nous invite à nous rapprocher de sa femme, Elodie Piège. Il se passionne pour le vin, il nourrit un respect inouï pour ceux qui le font, et il le dit sans rougir « j’aime cette petite ivresse qu’amène le vin, nécessaire pour décupler le plaisir ». Faire plaisir, dit-il, c’est son métier, et il ajoute : « chacun le trouve où il veut, même si c’est dans un canard au sang trop cuit »…   Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
10/22/202022 minutes, 38 seconds
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Plat du Jour #5 | Stephanie Le Quellec - MAM | Ouvrir une nouvelle maison pour proposer une cuisine familiale à emporter et s'adapter à la nouvelle demande des consommateurs

Aujourd'hui, nous sommes avec Stéphanie Le Quellec, la cheffe 2 étoiles propriétaire du restaurant La Scène à Paris. Dans cet épisode, elle nous dévoile son nouveau projet « MAM » qui ouvrira en décembre prochain. Ensemble nous revenons tout d'abord sur l'actualité de la cheffe ainsi que sur sa réaction face à la crise actuelle. Puis, Stéphanie nous présente MAM : son nouveau projet de restauration 100% à emporter. Elle nous explique qu'avec MAM elle souhaite se réinventer et proposer au plus grand nombre une cuisine familiale, accessible et réconfortante. Puis, nous parlons entrepreneuriat et business (chose rare avec un Chef !) : financement, organisation logistique, e-commerce, acquisition digitale, … La cheffe se livre en toute transparence sur ses objectifs avec MAM et sa vision pour la suite.  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
10/20/202033 minutes, 4 seconds
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Business of Bouffe #27 | Pierre-Yves Buisson - Thermomix | L’histoire d’un robot culinaire intelligent qui devient leader sur le marché grâce à la vente à domicile

Aujourd’hui, nous sommes avec Pierre-Yves Buisson, le directeur général de Vorwerk France, le fabricant du robot culinaire Thermomix.Ensemble, nous revenons sur l'activité du groupe et l'histoire de la marque Thermomix. Nous évoquons  les fonctionnalités innovantes du robot, l'évolution du marché des robots culinaires intelligents ou encore le modèle de vente à domicile. Pierre-Yves nous explique les raisons d'un marketing de réseau et la force de ce mode de distribution sur lequel Thermomix a construit sa notoriété. Il nous parle également de l'impact de la crise sur l'activité et des moyens déployés pour s'y adapter. Enfin, Pierre-Yves revient sur les enjeux pour Thermomix dans les années à venir et nous fait part de son espoir quant au potentiel du marché. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
10/18/20201 hour, 17 minutes, 58 seconds
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Plat du Jour #4 | Gilles Piquet-Pellorce - Groupe Zouari | Être candidat à la reprise de Bio c' Bon et proposer une 3ème voie entre la bio de la grande distribution et la bio militante

Aujourd'hui, nous sommes avec Gilles Piquet-Pellorce, ancien directeur général de Biocoop et représentant du groupe Zouari pour le projet de reprise de Bio c' Bon, le réseau de distribution bio récemment placé en redressement judiciaire.    Ensemble, nous revenons en détail sur son projet : la conservation de l’emploi, la reprise des actifs, ainsi que les grands axes de la restructuration. Nous évoquons également le financement d'un tel projet, et l’implication de Soraya et Moez Zouari. Gilles nous partage enfin sa vision du marché de la distribution des produits bio en France et nous explique, selon lui, les principales différences entre son offre et celles de Biocoop et Carrefour.  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
10/13/202040 minutes, 42 seconds
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À Côté D'La Plaque #8 | Christophe Saintagne – Chef propriétaire de Papillon | Un homme exigeant, pudique, et excessivement drôle

Après des dizaines d’années, Christophe réalise quelque-chose de fondamental : « je pensais être du soir, mais je me suis rendu compte que j’étais plus productif le matin ! ». Jamais trop tard pour être soi. De lui, on ne sait pas grand-chose, pudeur normande oblige : « on ignore tout de moi ! Je suis très discret sur ma vie privée, mais si les gens sont observateurs, juste en venant chez Papillon, ils en sauront beaucoup ». Christophe est fan de Rock & Roll, il joue de la guitare, de la basse, et même du piano. Il a horreur des choses faites à moitié : « ça veut dire que tu ne te respectes pas toi-même si tu t’arrêtes au milieu, mes parents m’ont élevé dans le respect du travail bien fait, et m’ont appris qu’on devenait vraiment quelqu’un le jour où on maîtrisait son métier ». Il écrit, beaucoup, pour se débarrasser de ses angoisses : « je suis intérieur, par exemple si j’ai mal au dos ou au genou, ça n’a rien à voir avec le physique, c’est lié à des peurs ». Il aurait énormément aimé être une femme, « le côté viril des hommes m’emmerde, ils se sont approprié la cuisine alors qu’elle appartient à ceux qui la font ». Il se considère autant féministe que masculiniste, simplement parce qu’il ne supporte pas qu’on soit toujours dans l’opposition. L’harmonie, c’est la clef. Sa valeur première, c’est la fidélité. « Je fais des efforts pour ressembler à ce que je veux être, et moralement, ce que je suis me convient », répond-il à « tu t’aimes ? ». Il est romantique, tout en étant pudique, et assume son côté vieux jeu. « Je suis né vieux moi ! ». Il devient un peu religieux, avec le temps, et grâce à son épouse Laura, il aime l’agneau de pré salé et le cidre, et il aime par-dessus tout, dissocier la table des grandes conversations. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
10/8/202023 minutes, 22 seconds
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Business of Bouffe #26 | Charles Znaty - Pierre Hermé Paris | L'histoire d'un entrepreneur passionné par le design qui s'est associé au meilleur pâtissier du monde pour créer une marque de pâtisserie de renommée internationale

Aujourd'hui, nous sommes avec Charles Znaty, co-fondateur et ancien président de Pierre Hermé Paris, la référence mondiale de la « haute-pâtisserie ».  Ensemble, nous revenons sur son parcours ainsi que sur sa collaboration hors du commun avec le meilleur pâtissier du monde. Nous évoquons ainsi leur rencontre, leur vision commune, leur complémentarité, mais surtout leur créativité obsessionnelle qui constitue l’un des piliers de la marque Pierre Hermé Paris. Charles nous raconte ensuite les différentes étapes du développement de l’entreprise, de l’ouverture de la première boutique au Japon au développement international. Enfin, il nous en dit plus sur le rapprochement du groupe avec l’Occitane et son départ l’an dernier de Pierre Hermé Paris, avant de nous confier ses projets personnels pour l’avenir. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
10/4/20201 hour, 54 minutes, 37 seconds
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Plat du Jour #3 | Pierrick De Ronne - Biocoop | Être candidat à la reprise d’un réseau de distribution spécialisé dans la bio pour contribuer au projet sociétal de la transition écologique

Aujourd'hui, nous sommes avec Pierrick de Ronne, le président de l'enseigne Biocoop qui s'est récemment portée candidate à la reprise de Bio c' Bon, le réseau de distribution spécialisé dans la bio placé en redressement judiciaire.  Ensemble, nous revenons sur la construction du projet de reprise du groupe Bio c' Bon. Nous évoquons la part des magasins à reprendre, la conservation de l'emploi ou encore le financement d'un tel projet. Pierrick nous explique qu'au-delà de la reprise, il s'agit d'un véritable enjeu sociétal porté par l'engagement et les valeurs fortes de Biocoop. Il nous parle également de la différence de son projet par rapport aux autres candidats et évoque la décision du Tribunal de Commerce attendue le 16 octobre prochain.    Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
10/1/202030 minutes, 42 seconds
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À Côté D'La Plaque #7 | Chloé Charles – Cuisinière et Gourmande Libre | Cheffe itinérante, rêveuse et romantique, passionnée de grues.

Elle aime garder son jardin secret et en même temps, quand on lui pose des questions, elle a beaucoup de mal à ne pas y répondre. Chloé Charles est une romantique comme on n’en fait plus : « je fais tout pour que ma vie ressemble à un film d’amour à l’eau de rose débile, genre j’écris des mots à la craie sur les trottoirs, j’attends les gens avec des panneaux dans les halls de gare, je débarque avec un bouquet de fleurs en plein service devant tout le monde... c’est débile mais j’adore ça ». Elle déteste qu’on lui dise qu’il n’y a pas de solution, depuis toute petite elle considère que tout est possible, et qu’échouer une fois ne veut pas dire qu’on ne réussira pas la suivante. « Franchement, à part démonter un meuble Ikea, je ne vois pas ce qui pourrait être impossible ». Elle pleure devant les victoires sportives à la télé, et pour cause, son père aurait dû participer aux JO de Moscou en 1980, et n’y est pas allé à cause de la guerre froide. Elle a peur du noir et des serial killers, et elle a une passion complètement habitée pour les grues, sa femme Gaëlle lui a même offert une photo de grue d’un mètre sur un mètre. C’est une gaffeuse hors pair, ce qui lui donne finalement un charme fou, et elle sait s’affirmer. À la question quel est ton gueuleton idéal, Chloé déroule : « déjà, y’a un barbecue, du vin, et des copains, une bonne viande, des concombres et du yaourt à la ciboulette. Un bon pain, des rillettes et du saucisson pour l’apéro, et un Saint-Félicien à manger à la cuillère, et puis des fruits. C’est de 14h à 19h, et y’a un gâteau pour ceux qui aiment les desserts, mais pas trop ». À vos casques ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
9/24/202029 minutes, 25 seconds
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Business of Bouffe #25 | Martin Ohannessian - Le Petit Ballon | L'histoire d'un entrepreneur qui veut rendre les vins plus accessibles et crée le 1er site de vente de vins par abonnement en France.

Aujourd'hui, nous sommes avec Martin Ohannessian, co-fondateur du Petit Ballon, leader de la box de vins par abonnement en France.Ensemble, nous revenons sur l'histoire ainsi que sur le développement du Petit Ballon. Nous parlons des origines du projet en évoquant notamment la participation de Jean-Michel Deluc, ex Chef sommelier du Ritz, avec qui Martin a fondé Le Petit Ballon. L'entrepreneur nous parle de la sélection minutieuse des vignerons, de leur stratégie d’activation omnicanale, mais aussi de leur rapprochement avec Veepee (ex-Vente Privée). Pour rendre les vins plus accessibles et plus faciles à apprécier, Martin nous explique comment ils ont révolutionné les codes du secteur et revu la classification des vins selon des profils oenologiques simples. Martin nous fait également part de sa vision pour la suite et des enjeux pour le e-commerce du vin. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
9/20/20201 hour, 41 minutes, 36 seconds
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Plat du Jour #2 | Ariane Delmas et Leeroyd Levi - Resto.Paris | Créer la première plateforme de livraison éthique de repas pour revaloriser l'humain dans la restauration

Aujourd'hui, nous sommes avec Ariane Delmas, la co-fondatrice du restaurant Les Marmites Volantes, et Leeroyd Levi, le fondateur de la plateforme de cyclo-logistique Olvo. Ils sont à l'initiative de Resto.Paris, la nouvelle plateforme de livraison éthique de repas lancée il y a quelques jours par Ecotable, Coopcycle et Olvo.Ensemble, nous revenons sur la création et les ambitions de Resto.Paris. Nous évoquons leur volonté de soutenir les restaurants engagés, leur organisation logistique et leur modèle économique. Ariane et Leeroyd nous expliquent également le rôle des différentes entités prenant part au projet. Ils nous parlent enfin de leur vision de la suite et des enjeux sur le marché de la livraison dans la restauration. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
9/18/202037 minutes, 21 seconds
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À Côté De La Plaque #6 | Glenn Viel – L’Oustau de Baumanière | Chef triplement étoilé, il aime la pêche et le pâté.

Glenn est un rêveur, il se questionne sans arrêt sur notre place au sein de la galaxie, peut passer des heures à regarder un papillon, et hésite encore sur la vie après la mort : « mais s’il y en a une, j’espère juste qu’il y a de la place, parce qu’on risque d’être nombreux ! ». À 40 ans, il se prend une troisième étoile et 2 mois de confinement, et remet tout en questionnement, à commencer par l’incivisme des gens : « on devrait mettre 1000€ d’amande à ceux qui jettent des papiers par terre, et s’ils ne peuvent pas payer, une semaine de travaux d’intérêts généraux, pour comprendre ce qu’ils ramassent ». Il dort peu, 5 heures par nuit, « si je dors plus je suis mou et j’ai mal à la tête », et il est persuadé d’être ennuyeux. Il adore la pêche, et encore plus le pâté lapin-cochon, il a une théorie complètement brillante sur le riz au lait de nos grand-mères, qui n’était finalement pas le meilleur du monde, mais avait surtout l’avantage d’être rare, et de casser une routine… Et il est heureux : « je suis bien sur Terre et je compte y rester encore petit peu ». Dans cet épisode, il dresse un parallèle poignant entre un plat, et nous : « la beauté, c’est éphémère, alors que le goût, le fond, ça reste ». Il revient sur sa dyslexie, son rapport à la religion, sa passion pour la pêche et les gueuletons tous simples, et son besoin presque vital de créer des souvenirs aux autres : « je veux qu’on dise, rappelle-toi, il y a 20 ans chez Glenn, c’était magique, le babyfoot, la piscine, le cinéma en extérieur et le popcorn… ». Il se trouve plutôt beau garçon, « il faut savoir que je suis aussi costaud que gentil », et à la question est-ce que t’es romantique, il éclate de rire, marque une pause, et répond « je suis un poétique ». Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
9/10/202044 minutes, 38 seconds
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Plat du Jour #1 | Romain Raimbault - Omnivore | Maintenir et organiser un festival dédié à la cuisine jeune et engagée en s'adaptant à la crise

Aujourd'hui, nous avons le plaisir de vous présenter « Plat du Jour », notre nouveau podcast qui parle des actualités du business de la bouffe.Pour ce premier épisode, nous sommes avec Romain Raimbault, le directeur d'Omnivore,  le premier festival  « Food » dédié à la  cuisine jeune et engageante qui aura lieu du 12 au 15 septembre 2020 au Parc Floral de Paris. Après la première édition du festival en 2006 au Havre, Omnivore a rapidement posé ses valises dans des villes du monde entier : Paris, Moscou, New York, San Francisco, Montréal, Sydney, Shanghai, Istanbul, Londres...Ensemble, nous revenons sur les origines du projet ainsi que sur les actualités de l'édition 2020 du festival, intitulée « Cuisine grandeur nature ». Nous évoquons l'ambition d'Omnivore de sublimer la  nouvelle cuisine  qui a un rôle essentiel dans la transformation de la société, l'organisation  quelque peu spéciale du festival face au contexte sanitaire ainsi que le modèle économique de l'événement qui réunira des milliers de personnes. Romain Raimbault nous explique également qu'au delà de l'intention de questionner les pratiques liées à l'alimentation, se trouve une véritable volonté d'apporter un soutien à la profession de restaurateur très affectée par la crise.   Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
9/8/202034 minutes, 41 seconds
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Business of Bouffe #24 | Olivier Bon et Romée de Goriainoff - Experimental Group | L'histoire de trois amis d'enfance qui, après le succès de leurs bars à cocktail, construisent un réseau international de boutique-hotels

Aujourd'hui nous sommes avec Olivier Bon et Romée de Goriainoff, deux des fondateurs de l'Experimental Group qui ont révolutionné le business des bars à cocktails à Paris. Depuis quelques années, ils s’attaquent plus globalement au business de l’hospitality. Leur groupe compte aujourd’hui 15 établissements : bars à cocktails, caves à vins, restaurants, boutique-hôtels, répartis à Paris, Londres, New York, Ibiza, Minorque, Venise et Verbier.    En cette rentrée 2020, nous revenons ensemble sur la réaction du groupe face à la crise, mais aussi sur leur histoire et leur développement en France et à l'étranger. Nous évoquons en détails leurs différentes activités : le bar à cocktails, la restauration et l'hôtellerie. Nous parlons de leurs financements, du sourcing de leurs produits et de leur vision globale qui nous permet de comprendre leur ADN, déjà bien ancrée à l'international. Les deux entrepreneurs nous font également part de leurs projets et des enjeux pour la suite. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
9/6/20201 hour, 48 minutes, 2 seconds
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[Rediff] Business of Bouffe #11 | Célia Rennesson – Réseau Vrac | L’histoire d’une entrepreneure qui voulait monter une épicerie et a fini par créer une association pour le développement de la vente en vrac

Pour ce replay, nous sommes aujourd’hui avec Célia Rennesson, co-fondatrice et directrice générale de Réseau Vrac, l’association interprofessionnelle pour le développement de la vente en vrac.Dans cet épisode, nous revenons sur son parcours, et notamment l’aventure Réseau Vrac. Nous parlons de l’émergence du vrac, des bénéfices pour les consommateurs et l’environnement, mais également des freins et des perspectives de ce marché. Nous nous intéressons particulièrement aux actions de l’association, à l’accompagnement des porteurs des projets, ainsi qu’aux initiatives auprès de la filière et du gouvernement. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
8/30/20201 hour, 21 minutes, 7 seconds
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À Côté D'La Plaque #5 | Stéphane Jégo – L'Ami Jean | Chef propriétaire, dingue de cuisine, et encore plus dingue de la vie.

Sa réputation de chef gueulard au sang chaud lui colle à la peau alors que le Jégo a d’la bonté à revendre : « on ignore trop de moi que je ne suis pas aussi cinglé que j’en ai l’air ! Je suis un très grand sensible en fait ». Ce père de deux filles au cœur gros comme lui s’amuse de ce décalage entre son image, et lui-même : « quand les gens me voient dans la vraie vie ils sont tellement surpris que je sois gentil, c’est drôle… ». À l’idée d’aborder d’autres sujets que la cuisine, il ne cache pas sa joie : « j’adore ce métier mais quand je peux m’en extirper je suis ravi ! ». Alors dans cet épisode, on va parler de ce qui l’émeut, de ce qui l’angoisse, de son burn-out physique, de sa vision de la religion et de l’impact qu’ont eu sur lui l’hypnose et la méditation. On parlera aussi de sa générosité, de son amour pour l’art, de sa féminité, et bien sûr, de sa passion pour la pétanque : « avec ma fille Laurine, on fait fondre le sable sous nos pieds quand on arrive sur le terrain ! ». On parlera aussi de ce qui le fait pleurer, de ce qui le fait rire, et de son rapport à lui-même : « je m’aime suffisamment pour ne pas me faire mal à moi-même. J’ai appris à m’aimer mieux ». On remettra aussi les pendules à l’heure : « je ne suis pas un écorché vif, je n’ai pas eu de problèmes dans ma jeunesse, j’ai une famille extraordinaire, tout va bien ». On parlera, enfin, de son manque d’aisance en société et de sa tendance à s’extirper par la petite porte, de son amour pour Arrantzaleak, à Ciboure, et – on garde le plus beau pour la fin, de son romantisme. « J’ai un romantisme à couper au couteau. Je crois que c’estun fil de barbelé, mon romantisme, je le fais subir à ma chérie plus qu’autre chose ».  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
8/27/202029 minutes, 17 seconds
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[Rediff] Business of Bouffe #10 | Claude Gruffat – Biocoop | L’histoire d’un fils d’agriculteur qui veut changer l’agriculture par une consommation consciente et engagée

Pour ce replay, nous sommes avec Claude Gruffat. Il est l'un des pionniers de l'agriculture biologique en France : il a notamment dirigé le réseau  Biocoop pendant 15 ans. Nous avons ainsi décidé de vous partager une nouvelle fois cet échange dans lequel nous parlons de consommation consciente et engagée.Dans cet épisode nous revenons sur son parcours, et notamment sa présidence du réseau Biocoop (2004-2019). Nous parlons de la situation précaire des agriculteurs, de l’émergence de la Bio, de l’origine de Biocoop et son développement. Nous nous intéressons aux engagements de Biocoop, son cahier des charges, sa gouvernance et les résultats de cette aventure coopérative hors du commun. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
8/23/20201 hour, 45 minutes, 58 seconds
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[Rediff] Business of Bouffe #8 | Alexandre Drouard & Samuel Nahon – Terroirs d’Avenir | L’histoire de 2 entrepreneurs qui bousculent la distribution des produits agricoles de qualité

Pour ce replay, nous sommes avec Alexandre Drouard et Samuel Nahon, fondateurs de Terroirs d’Avenir. Depuis 2008, ils distribuent auprès des chefs et des particuliers des produits de grande qualité, issus de l’agriculture paysanne et de la pêche artisanale. Leur vision prometteuse de la distribution des produits agricoles nous a beaucoup inspiré, nous avons ainsi décidé de vous en refaire part. Dans cet épisode nous revenons sur le parcours d’Alexandre Drouard et Samuel Nahon et notamment l’aventure Terroirs d’Avenir. Nous parlons agriculture paysanne, slow-food, production artisanale, gastronomie mais également distribution B2B et B2C, logistique, retail et financement.  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
8/16/20201 hour, 7 minutes, 20 seconds
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À Côté D'La Plaque #4 | Delphine Plisson – La Maison Plisson | Chef d’entreprise, grande gueule, excellente vivante

Delphine présente Plisson, toute entière : elle préfère l’action au commentaire, elle a été hôtesse de l’air pendant 5 ans, et elle a horreur des pinailleurs et des peine-à-jouir, des gens qui ne savent ni savourer ni vivre. Elle se lève archi tôt depuis toujours : « je peux éradiquer beaucoup de problèmes avant 7h du matin, en revanche après 22h je ne sers plus à rien ». Elle pleure dans la fausse vie (les films et les livres) comme elle rit dans la vraie, elle est impatiente et ne s’ennuie jamais. Elle a la passion très ponctuelle - va faire 60 heures de yoga en une semaine ou cuisiner la même chose en boucle, et puis ça lui passe. Elle a horreur de tout ce qui est définitif, du mot raisonnable et des yaourts à la framboise. Elle aime vieillir « c’est un super concept, je recommande » et elle vit très bien avec elle-même « quand je suis seule, je suis en très bonne compagnie ». Elle se défend d’être romantique, préfère qu’on la sache guerrière et garçonne, mais la vérité c’est qu’elle aime l’amour, « j’aime aimer, être aimer, séduire, être séduite, j’aime ce qui rassure et qui adoucit la vie ». Elle a l’angoisse des forets. Elle aime l’eau des olives, les croûtes de fromage et la peau du saucisson. Elle vit très, très fort.  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
8/13/202026 minutes, 36 seconds
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[Rediff] Business of Bouffe #7 | Emmanuel Rubin - Le Figaro | L’histoire d’un journaliste énigmatique qui aime profondément les restaurants et la gastronomie

Pour ce replay, nous sommes aujourd’hui avec Emmanuel Rubin, journaliste gastronomique du Figaro, co-fondateur du Fooding, éditeur délégué aux éditions Jalou et chroniqueur sur BFM Business.  C'était un plaisir d'échanger avec ce critique à la grille de lecture plus instinctive que rationnelle, passionné par les restaurants et la gastronomie.Dans cet épisode, nous revenons sur le parcours d'Emmanuel Rubin. Critique gastronomique réputé du Figaro, à la plume mordante mais respectée, il nous fait part de sa vision du métier de journaliste gastronomique et de l'évolution de la restauration en France ces 20 dernières années. Nous revenons également sur la création du Fooding (dont il a été co-fondateur) et le rapprochement récent du Fooding avec le guide Michelin. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
8/9/20201 hour, 40 minutes, 10 seconds
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[Rediff] Business of Bouffe #3 | Christophe Audouin - Les 2 Vaches (Danone) | L’histoire d’un projet intrapreneurial engagé qui fait bouger un grand groupe

Pour ce replay, nous sommes avec Christophe Audouin, le directeur général de Les 2 Vaches, filiale bio du Groupe Danone. Cétait un plaisir de découvrir les visions et la raison d'être de l'entreprise qui nous a beaucoup inspiré.Dans ce podcast passionnant, nous parlons : intrapreneuriat, relation startup et corporate (Danone), agriculture biologique, engagement pour une alimentation plus responsable, certification B. Corp et nous évoquons les nouveaux enjeux sociétaux : l’accompagnement des éleveurs, le bien-être animal, l’alternative aux produits laitiers... Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
8/2/20201 hour, 33 minutes, 32 seconds
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À Côté D'La Plaque #3 | Julien Duboué – BOULOM et A. Noste | Chef, entrepreneur, père de famille : la grande conciliation

Le podcast qui parle de tout, sauf de bouffe, par Raphaële Marchal.20 ans après l’ouverture de son premier restaurant à Paris, il se définit encore comme le « petit landais qui arrive à la capitale » ! Julien a grandi dans une famille très sud-ouest, où l’on évitait de parler sentiments, c’était plutôt « parle rugby et avance sans jamais se plaindre ». Il a lutté toute sa vie contre sa timidité, et encore l’année dernière, il arrivait rouge écarlate à la caisse des magasins à l’idée d’échanger quelques mots avec un inconnu ! Dans cet épisode, il nous parle de sa capacité phénoménale à cerner les gens en un temps record, et du temps qu’il lui faut pour être en confiance : « je trouve que les amitiés sont plus fortes quand on a pris notre temps ». Il nous parle aussi de sa sensibilité bien cachée, de son rapport aux larmes, de sa vision du féminisme, de son unique phobie, de sa rancune parfois, et de ses deux grandes passions : la pétanque, et le pain grillé à la ventrèche et au ketchup. Enfin, il nous parle de sa relation au « je t’aime », de sa grande famille, et de son romantisme : « je ne peux pas dire que je sois très romantique mais j’ai fait plein de choses qui le sont sans avoir à regarder sur internet ce qui se fait ! ». Tout sur Julien Duboué, sauf sur le chef, c’est tout de suite dans vos oreilles.  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
7/30/202028 minutes, 40 seconds
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The Good Bouffe #4 | Découvrir la fabrication et la diversité de la bière craft | Remy Maurin, Guillaume Roy et Jacques Ferté - Gallia

Nous sommes aujourd’hui chez Gallia Paris. A nos côtés, Guillaume Roy et Jacques Ferté, les fondateurs de la marque de bières crafts, ainsi que le chef brasseur Remy Maurin.Ensemble, nous revenons sur l'histoire authentique de la marque de bières parisienne datant des années 1900. Nous évoquons étape par étape le processus de fabrication d’une bière craft Gallia témoignant d'un savoir-faire brassicole exceptionnel : sélection des malts, assemblage, concassage, brassage, fermentation, maturation, filtration, conditionnement, nous comprenons l'importance accordée à chaque étape pour la réalisation d'une bonne bière craft. Les spécialistes nous expliquent également les différentes typicités et styles de bière et nous font part de leurs conseils pour une dégustation optimale. Les 3 entrepreneurs nous présentent enfin l'offre qu'ils ont imaginée pour nos auditeurs : Une sélection unique de 10 bières craft extra-savoureuses de la brasserie Gallia.   Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
7/25/20201 hour, 31 minutes, 23 seconds
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Fait Maison Bloopers | Le bêtisier et les coulisses de nos enregistrements à distance

C'est la fin de cette première saison Fait Maison. Nous souhaitons bien entendu ne pas avoir à refaire une saison 2, même si ces échanges avec nos invités ont été très instructifs. Nous espérons que leurs expériences ont permis d'inspirer d'autres acteurs de la bouffe et nous souhaitons aujourd'hui beaucoup de courage et de force à  ceux qui continuent de s'adapter à cette crise sanitaire.Ainsi, pour marquer la fin de cette première saison (pendant laquelle nous avons parfois bien rigolé), nous vous avons sélectionné les erreurs, les imprévus, les moments drôles lors des enregistrements à distance au sein d'un seul et même podcast. Car oui, l'erreur est humaine, et nous tenions à vous les partager car elles vous feront certainement sourir ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
7/22/20206 minutes, 35 seconds
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[Rediff] Business of Bouffe #1 | Nicolas Bergerault - Atelier des Chefs | L’histoire d’un passionné de cuisine qui veut démocratiser la formation des particuliers et des professionnels

La Rencontre avec Nicolas Bergerault :Nicolas nous a généreusement reçu dans son atelier du 15e arrondissement à Paris. Nous avons pu tester le fameux cours « pause dej’ » et préparer ensemble un pavé de bœuf au beurre de curry, écrasée de pommes de terre au lait de coco : 30 min de préparation amusante, suivies d’une dégustation exaltante en table d’hôtes, le tout à l’heure du déjeuner. En bref, on a testé un cours de cuisine efficace et pratique, mais surtout on a passé un excellent moment ! Dans cet épisode, enregistré juste après cette immersion décontractée, nous revenons sur le parcours de Nicolas, et notamment l’aventure de L’Atelier de Chefs. Pourquoi la bouffe ?Nicolas est évidemment un passionné. Il cuisine depuis son plus jeune âge. Après ses études (HEC) et un début de carrière chez l’Oréal, il se rapproche doucement de sa passion puisque il intègre Nestlé Restauration en France, Dubaï puis Toronto. À Dubaï, en 2000, il gagne même un célèbre concours de cuisine local. Nicolas Bergerault, avant d’être le co-fondateur de L’Atelier des Chefs, a donc été « Super Cook 2000 » ! Vous découvrirez dans le podcast que cette anecdote a d’ailleurs joué un rôle important dans le développement international de L’Atelier des Chefs.  Parlons Business !Dès le départ, lorsque qu’il créé en 2004, avec son frère François, le 1e atelier dans le 8e arrondissement à Paris, leur rêve était « de remettre les français aux fourneaux ». 15 ans plus tard, l’Atelier des chefs est devenu une référence dans l’univers des cours de cuisine. Et pourtant rien n’a été facile. À l’amorçage, les 2 frères, rejoint par un 3e associé, le Chef Jean-Sébastien Bompoil du Ritz, ont eu beaucoup de mal à convaincre et trouver les financements. Le dossier ne « rentrait pas dans les cases » à l’ époque. Mais les clients ont tranché : l’ouverture du 1e Atelier des Chefs connaît un succès rapide !Le positionnement est clair et porteur. Nicolas le dit lui-même, il s’agit de « cours de cuisine de tous les jours, pour tous les gens, dans la vraie vie ». La demande est là. Les consommateurs n’ont jamais eu autant envie de réapprendre à cuisiner. Le succès des émissions TV dédiées à la cuisine le montre bien.Vous découvrirez dans le podcast comment l’équipe a développé le concept, offline et online, ouvert d’autres ateliers en propre ou en franchise à Paris, en province et à l’étranger, surmonté les difficultés, les erreurs parfois… et capitalisé sur ses forces. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
7/19/20201 hour, 6 minutes, 13 seconds
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À Côté D'La Plaque #2 | Céline Pham – Cheffe à demeure | Une cheffe inouïe, qui a fait de ses coups durs une véritable force

Celine Pham puise, depuis toujours, dans les souvenirs de goûts en famille pour écrire sa cuisine, elle a d’ailleurs nommé sa boîte « Phamily », et il faut dire que chez les Pham, manger, c’est sérieux ! « Je ne ressors pas de chez ma mère sans une dizaine de doggy bags… » s’amuse-t-elle. Mais puisqu’on n’est pas là pour parler de bouffe, Céline s’est livrée sur d’autres sujets, et il faut dire qu’elle en a, cette grande passionnée qui lutte au quotidien contre sa timidité, des choses à dire. Sur sa timidité, d’ailleurs : « certains pensent que je suis très à l’aise avec mon image mais je suis une vraie introvertie, la gêne peut me paralyser », mais aussi sur l’amour de soi, le sport à l’extrême, la mode et sa lubie 100% gluten. Elle nous parle aussi du machisme, du racisme, des agressions sexuelles dont elle a été victime, et du féminisme. Elle nous révèle sa passion secrète (enfin presque secrète) pour le Scrabble (dont elle a l’application sur son téléphone – NDLR), et pour le Backgammon, et se livre sur ses croyances, non pas religieuses, mais rituelles : « au Vietnam, on a une belle tradition de famille à laquelle je tiens beaucoup, tous les ans on appelle les ancêtres, on leur dresse une belle table avec leur plat ou leur bière préférée, et on dîne avec eux. Je crois beaucoup à ça, à l’idée que la vie ne s’arrête pas après la mort ». Bref, Céline Pham, mais sans sa tenue de cheffe, c’est à écouter tout de suite, sur Business of Bouffe.  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
7/16/202032 minutes, 31 seconds
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The Good Bouffe #3 | Découvrir le terroir Savoyard avec un chef 3 étoiles passionné de montagne | Emmanuel Renaut - Flocons de Sel

Aujourd'hui, nous sommes avec Emmanuel Renaut, le chef 3 étoiles du Flocons de Sel à Megève en Haute-Savoie. Passionné de montagne, il nous dévoile l'expérience qu'il a imaginée pour nos auditeurs.Ensemble,  nous revenons sur son histoire, son parcours et sur sa relation fusionnelle avec le terroir Savoyard. Nous évoquons ses débuts en tant que second de Marc Veyrat à l'Auberge de l'Eridan et  sa passion pour la cuisine du terroir qui lui a valu le titre de Meilleur Ouvrier de France en 2004 ainsi que l'obtention de sa troisième étoile en 2012. Nous parlons également de son restaurant le "Flocons de Sel" au sein duquel il partage une cuisine locale et créative reflétant les produits de son terroir : les poissons sauvages du lac Léman, les plantes d'alpages, les fromages de Savoie, les champignons de montagne ou encore les vins de Savoie... Le chef Emmanuel Renaut nous présente enfin l'expérience qu'il a imaginée pour nos auditeurs :  un séjour sur-mesure à Megève  en immersion dans son univers montagnard ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
7/11/20201 hour, 21 minutes, 10 seconds
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Fait Maison #45 | Hadrien Gonzales - Le Parisien | Raconter des histoires et sensibiliser aux enjeux de la bouffe grâce à des vidéos engageantes et un format innovant

Aujourd'hui, nous sommes avec Hadrien Gonzales, journaliste pour Le Parisien, connu pour sa série de vidéos "Food Checking" ou encore ses vidéos de Nicolas Alary du restaurant Holybelly et celle avec Antonin Bonnet, chef propriétaire du restaurant Quinsou à Paris.Ensemble, nous revenons sur son parcours et sur ses actualités. Nous évoquons son envie d'avoir de l'impact grâce notamment au format vidéo, qui lui permet d'adapter le journalisme d'investigation à la nouvelle consommation digitale. Hadrien nous partage les résultats de ses vidéos et nous explique, selon lui, les raisons de leur succès. Nous en apprenons également davantage sur ses ambitions.  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
7/8/202036 minutes, 32 seconds
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Business of Bouffe #23 | Stéphane Comar et Christophe Eberhart - Ethiquable | L'histoire de 3 entrepreneurs qui ont créé une coopérative pour soutenir un commerce équitable et durable

Aujourd'hui nous sommes avec Stéphane Comar et Christophe Eberhart, deux des fondateurs de la coopérative Ethiquable, un acteur majeur dans la vente de produits bio issus du commerce équitable en France.Ensemble, nous revenons sur l'histoire et les actualités de l'entreprise engagée. Nous évoquons la naissance d'Ethiquable, le fonctionnement d'une société coopérative et participative ainsi que leur relation avec les petits producteurs du Sud. Fervents défenseurs du commerce équitable, Stéphane et Christophe nous expliquent l'importance d'un modèle coopératif et durable stimulé par une ambition collective. Les deux entrepreneurs nous partagent également leur vision concernant les enjeux du monde agricole de demain. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
7/5/20202 hours, 2 minutes, 49 seconds
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A Côté D'La Plaque #1 | Guillaume Sanchez - Neso | Un chef qui s'est construit sur son éternel décalage avec son époque

Aujourd'hui je suis avec Guillaume Sanchez, chef propriétaire du restaurant Neso, pour qu'il me parle de lui, des leçons fondamentales que son père lui a transmises, et de son éternel décalage avec son époque, dont il a fait une force. Ensemble, nous parlons de comment il a transformé ses défauts en qualités, de son rapport à lui-même, et de pourquoi il est important de s'aimer quand on fait ce métier.  On parle aussi de ses peurs, de son étanchéité totale face aux tentatives d'influence de son entourage, de ses choix, qui l'ont coupé de la vie réelle, et de sa perte totale de goût et d'odorat, pendant un an. On aborde son rapport au féminisme, au romantisme, au dépassement, à l'impatience, et on revient sur sa plus grande peur : le vide. Pas le vertige, mais l'absence d'action.  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
7/2/202024 minutes, 10 seconds
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The Good Bouffe #2 | Découvrir la cave exceptionnelle de La Tour d'Argent | David Rigdway et Julien Touitou - Chefs Sommeliers de La Tour d’Argent

Aujourd'hui nous sommes avec David Ridgway et Julien Touitou, les chefs sommeliers de la prestigieuse Tour d'Argent. Nous sommes en effet dans la cave d’un des plus anciens et célèbres restaurants de Paris, considérée comme étant “la plus belle cave du monde ”.  Les deux chefs sommeliers nous présentent leur sélection inédite de vins d'exception.Ensemble, nous revenons sur l'histoire fascinante de la cave de la Tour d'Argent. Nous évoquons ses singularités : conditions parfaites de stockage, capacité hors-norme, organisation méticuleuse, ainsi que les spécificités des différents vins d'exception qu'elle conserve soigneusement. David et Julien nous partagent également leurs responsabilités en tant que chefs sommeliers à la Tour d'Argent et reviennent sur la transmission de ce patrimoine chargé d'histoire. Ils nous présentent enfin la sélection inédite qu'ils ont imaginée pour nos auditeurs : 6 flacons d'exception issus de la réserve de la Tour d'Argent. Les premiers acquéreurs de cette offre auront le privilège d'être accueillis pour une visite privée de la cave en compagnie des deux chefs sommeliers. Pour découvrir l'offre : https://thegoodbouffe.com/products/vin-sommelier-cave-tour-d-argent Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
6/27/20201 hour, 11 minutes, 40 seconds
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Fait Maison #44 | Thierry Chiesa - Priméal (groupe Ekibio) | Gérer la hausse de la demande des produits bio pendant et après le confinement

Aujourd'hui nous sommes avec Thierry Chiesa, le directeur général d’Ekibio, un groupe incontournable dans la production et la transformation de produits bio en France, auquel appartiennent notamment les marques Priméal, Bisson  ou encore Le Pain de Fleurs.Ensemble, nous revenons sur les actualités du groupe et l'impact de la crise sur son activité. Nous évoquons la mise en place d'une nouvelle organisation face à ce contexte inédit, l'évolution du chiffre d'affaires pendant et après le confinement ainsi que  l'explosion de la demande des produits bio. Thierry nous fait également part des axes de développement du groupe sur les enjeux écologiques et de sa vision pour la reprise.  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
6/23/202035 minutes, 43 seconds
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Business of Bouffe #22 | Arnaud Montebourg et David Wesmaël - Glaces La Mémère | Développer un nouveau modèle économique afin d'assurer une juste rémunération pour les agriculteurs

Aujourd'hui nous sommes avec Arnaud Montebourg, ancien ministre de l'Economie et David Wesmaël, Meilleur Ouvrier de France et champion du monde de Pâtisserie. Un casting hors du commun qui vient de lancer une nouvelle marque équitable de glaces artisanales 100% bio : La Mémère.Dans cet épisode exceptionnel, nous revenons ensemble sur le lancement de La Mémère ainsi que sur la mission du projet. Avant cela, nous évoquons le marché de la glace en France et la rupture qu'ils souhaitent y apporter. Arnaud et David nous expliquent en détail leur nouveau modèle économique ayant pour objectif d'assurer une juste rémunération des agriculteurs. Les deux entrepreneurs nous font également part de leur vision sur les enjeux du monde agricole de demain. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
6/21/20201 hour, 21 minutes, 57 seconds
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À Côté D'La Plaque #0 | Raphaële Marchal - Présentation de son nouveau podcast diffusé sur Business of Bouffe

Aujourd'hui nous avons le plaisir de vous présenter la nouvelle émission "À Côté D'La Plaque" qui sera diffusée sur Business of Bouffe  et animée par la journaliste culinaire et créatrice du blog En Rang d'Oignons, Raphaële Marchal.Il y a quelques semaines maintenant, nous avons eu la chance d'enregistrer un épisode avec Raphaële dans lequel nous avions évoqué ses futurs projets.  A l'occasion, nous lui avions proposé de créer un podcast ensemble. La journaliste  n'a pas caché son enthousiasme à ce sujet et lance donc aujourd'hui  "À Côté D'La Plaque", le podcast où on parle de tout, sauf de « bouffe ».Partie du constat que les personnalités de la  bouffe sont des gens passionnants mais qui ont aussi des avis intéressants sur d'autres choses, Raphaële nous présente son idée et son approche dans cet épisode #0. Elle nous explique également le fonctionnement du podcast, la fréquence des épisodes  et nous parle des invités qu'elle recevra très prochainement.      Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
6/18/202028 minutes, 48 seconds
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Fait Maison #43 | Adrien Cachot et Paul Pairet - Top Chef | Participer à la plus populaire des émissions culinaires pour relever un nouveau challenge et gagner en notoriété

Aujourd'hui nous sommes avec  Adrien Cachot, finaliste de l'édition Top Chef 2020, et Paul Pairet, membre du jury et chef 3 étoiles à Shanghai.Dans cet épisode spécial, nous revenons  sur le duo emblématique de l'émission, formé par Adrien et Paul. Les deux chefs nous parlent de leur relation au sein de l'aventure Top Chef et se livrent sur leurs vécus en tant que candidat et membre du jury. Adrien et Paul nous expliquent comment la notoriété acquise grâce à l'émission va leur permettre de s'élever et de concrétiser leurs futurs projets. Nous évoquons également l'impact de l'émission sur leurs activités respectives  et leur vision pour la reprise. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
6/16/202035 minutes, 45 seconds
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The Good Bouffe #1 | Découvrir l’univers du café de spécialité | David Flynn, Mihaela Iordache, Ludovic Gossart - Cafés Belleville

Aujourd'hui nous sommes avec David Flynn, Mihaela Iordache et Ludovic Gossart de Cafés Belleville. Ils nous présentent leur offre exceptionnelle : une formation inédite au café de spécialité.Ensemble, nous revenons sur les grandes étapes de la fabrication et de la préparation d’un bon café et sur le parcours sur-mesure qu'ils ont conçu pour former nos auditeurs au café de spécialité.  Pour les amateurs, cette formation permet de comprendre les caractéristiques d’un bon café, les principales différences entre les assemblages et les grandes origines ainsi que le processus de torréfaction. Pour les experts, ce parcours est l’occasion  d'aller encore plus loin dans la préparation et la dégustation du café, de s'exercer aux typicités de goût des grandes origines, ainsi que d’expérimenter la torréfaction chez soi à partir de café vert.Cette offre est disponible pendant deux semaines en quantités limitées (75 places disponibles) !https://thegoodbouffe.com/products/formation-cafe-specialite-brulerie-belleville Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
6/13/20201 hour, 8 minutes, 34 seconds
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The Good Bouffe #0 | Daniel Coutinho et Philibert Chambre | Présentation du nouveau concept

Nous sommes Daniel et Philibert, co-fondateurs de Business of Bouffe. Selon nous, il est important de bien comprendre les choses pour les apprécier à leur juste valeur. C'est pourquoi aujourd'hui, nous lançons  « The Good Bouffe » : https://thegoodbouffe.com/À travers ce concept, notre mission est de valoriser les produits de qualité et les savoir-faire exceptionnels dans l'univers de la bonne Bouffe. Ainsi, toutes les deux semaines, The Good Bouffe met en lumière un acteur de la Bouffe qui propose à nos auditeurs une offre exclusive pendant une durée limitée. Cette offre est accompagnée d’un épisode spécial du podcast Business of Bouffe. Pour chaque vente, The Good Bouffe reverse 10% de ses bénéfices à une initiative solidaire choisie par notre invité. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
6/11/20205 minutes, 1 second
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Fait Maison #42 | Christophe Desgens - Chronofresh | S'organiser pour faire face à la hausse des livraisons de produits frais depuis le confinement

Aujourd'hui nous sommes avec Christophe Desgens, le président de Chronofresh, la filiale de la Poste et de Chronopost, qui depuis 2015 est devenue un acteur incontournable de la livraison sous température dirigée en FranceEnsemble, nous revenons sur l'impact de la crise sur son activité. Lors de nos podcasts avec Frichti, Pourdebon.com ou encore Poiscaille, nous avions déjà évoqué les services de Chronofresh et la hausse exceptionnelle de la demande pendant le confinement. Christophe évoque avec nous la situation aujourd'hui, quelques semaines après le confinement. Nous cherchons à savoir si l'explosion du e-commerce alimentaire sera un phénomène durable, ou simplement un épisode ponctuel en réaction à la crise sanitaire. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
6/9/202040 minutes
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Fait Maison #41 | Capucine Frerejean et Juliette Fossorier - The Cali Sisters | Ouvrir un restaurant en plein confinement

Aujourd'hui nous sommes avec Capucine Frerejean et Juliette Fossorier, les fondatrices du restaurant californien The Cali Sisters dont l'ouverture, initialement prévue pour le 17 mars, a été bouleversée par l'annonce  brutale de la fermeture des commerces.Ensemble, nous parlons du lancement de leur activité en plein confinement et de l'impact de la crise sur leur nouvelle entreprise. Capucine et Juliette nous expliquent la nécessité de se repenser  et nous révèlent comment elles sont finalement parvenues à faire vivre une expérience aux consommateurs par la vente à emporter, cela sans même avoir développé de notoriété. Les deux soeurs nous partagent les leçons qu'elles tirent de cette période difficile ainsi que leur vision de l'après-crise. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
6/4/202031 minutes, 15 seconds
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Fait Maison #40 | Dimitri Farber - Tiller | Observer l'évolution du marché de la restauration en temps réel grâce à ses caisses enregistreuses connectées

Aujourd'hui nous sommes avec Dimitri Farber, co-fondateur de Tiller, l'entreprise qui a bouleversé le marché de la caisse enregistreuse traditionnelle pour les commerçants et les restaurateurs.Ensemble, nous parlons de l'impact de la crise sur son activité. Puis, grâce aux milliers de caisses connectées installées chez ses clients restaurateurs, Dimitri partage avec nous, en toute transparence, des données concrètes sur l'impact de la crise sur le marché de la restauration : % de réouverture des restaurants, poids de la livraison et du click&collect sur le chiffre d'affaires, etc... Dimitri évoque enfin sa vision de la restauration de demain. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
6/2/202030 minutes, 14 seconds
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Fait Maison #39 | Louis Jacquot - Les Cuistots Migrateurs | Développer des nouveaux débouchés pour continuer à créer de l’emploi pour les refugiés

Nous sommes aujourd'hui avec Louis Jacquot, le fondateur des Cuistots Migrateurs, une entreprise sociale et solidaire dont la mission est de changer le regard des français sur les réfugiés grâce à la bouffe.Ensemble, nous revenons sur le concept de son entreprise à mission : un service traiteur qui embauche des réfugiés  et s'appuie sur leur savoir-faire pour faire émerger de nouvelles cuisines du monde. Nous parlons des conséquences de la crise  sur son activité et de la nécessité de se réinventer. Louis ne manque pas d'ambition pour accroitre son impact social. En effet, en plus de sa détermination à maintenir et à trouver de nouveaux débouchés malgré le contexte difficile, le fondateur nous fait part de son projet d'école de cuisine pour les réfugiés et nous explique sa vision de l'après-crise. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
5/29/202027 minutes, 53 seconds
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Fait Maison #38 | Stéphane Manigold - Restaurateur | Faire reconnaître ses droits auprès de son assureur et redonner de l’espoir à toute la filière restauration

Aujourd'hui nous sommes avec Stéphane Manigold, le propriétaire de la Maison Rostang, Substance, Contraste et le Bistrot d'à Côté Flaubert à Paris. Il vient de remporter son bras de fer face à AXA pour obtenir une indemnisation de ses pertes d'exploitation.Ensemble, nous revenons sur le combat qu'il a mené depuis plus de 2 mois pour faire reconnaître ses droits. Stéphane nous explique en détails les différentes phases de son conflit avec AXA : les premières discussions stériles, les désaccords, ses investigations pour monter un dossier solide, le rôle des médias, le soutien des restaurateurs... jusqu'à la condamnation d'AXA le 22 mai dernier. Avec cette victoire, Stéphane Manigold a  su redonner de l'espoir à toute la filière restauration, très affaiblie par la crise sanitaire actuelle.  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
5/27/202055 minutes, 19 seconds
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Fait Maison #37 | Guillaume Roy et Jacques Ferté - Gallia | Se lancer dans la vente de bières direct consommateurs en 3 jours et inventer un nouveau canal de distribution

Nous sommes aujourd’hui avec Guillaume Roy et Jacques Ferté, les fondateurs de Gallia Paris, la marque de bières crafts qui s'est récemment associée à Heineken.Ensemble, nous revenons sur les actualités de la marque et l'impact de la crise sur leur activité. Nous évoquons notamment leur changement de position vis-à-vis du e-commerce. Guillaume et Jacques, stimulés par l'idée d'innover et d'inventer de nouveaux modes de consommation, considèrent cette crise comme une  nouvelle aventure entrepreneuriale. Nous parlons également de leur relation avec leur actionnaire Heineken, puis les fondateurs partagent avec nous leur vision de l'après-crise et insistent sur l'importance du "consommer local".  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
5/25/202035 minutes, 14 seconds
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Fait Maison #36 | Raphaële Marchal @enrangdoignons - Journaliste Culinaire | Célébrer son indépendance professionnelle et prendre le temps de se réinventer

Nous sommes aujourd’hui avec Raphaële Marchal, créatrice du blog  En Rang d'Oignons et journaliste gastronomique indépendante. Elle écrit notamment pour les magazines Elle et Fou de Pâtisserie et anime une chronique culinaire sur C8.Ensemble, nous parlons de ses actualités et notamment de l’impact de la crise sur son activité. Nous évoquons son statut d'indépendante, sa présence en ligne en tant que journaliste culinaire ou encore sa vision des restaurants de demain. Raphaële nous raconte en toute transparence comment elle fait face à ce contexte inédit et comment son statut d'indépendante lui permet de se réinventer. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
5/22/202031 minutes, 30 seconds
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Fait Maison #35 | Alain Milliat - Jus Alain Milliat | Trouver de nouveaux équilibres lorsque 75% de l'activité est à l'arrêt

Nous sommes aujourd’hui avec Alain Milliat, le créateur des jus Alain Milliat, une référence dans les jus de fruits gastronomiques.Ensemble, nous parlons des actualités de son entreprise et notamment de l’impact de la crise sur son activité. Nous évoquons l'intérêt des nouveaux canaux de distribution, l'explosion du e-commerce ainsi que les conséquences sur son développement à l'international. Le contexte inédit pousse en effet l'entreprise à faire preuve d'agilité afin de trouver de nouveaux équilibres. Peu convaincu de la radicalisation des consommateurs et des offres dans le monde d'après, Alain nous partage également sa vision pour l'avenir et les leçons qu'il tire de cette crise.   Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
5/20/202029 minutes, 8 seconds
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Fait Maison #34 | Pierrick de Ronne - Biocoop | S'appuyer sur la résilience du modèle coopératif pour sortir plus fort de la crise

Nous sommes aujourd’hui avec Pierrick De Ronne, le président de Biocoop, le 1er réseau de magasins bio en France.Ensemble, nous parlons des actualités du groupe et notamment l’impact de la crise sur son activité. Nous évoquons l’évolution de la demande des consommateurs, le boom du e-commerce, ainsi que la situation des producteurs bio en France. La résilience du modèle coopératif de Biocoop, qui réunit des représentants des producteurs, des magasins et des consommateurs, a été un véritable atout pour traverser cette période difficile. Pierrick partage également avec nous sa vision du monde d’après et les leçons qu’il tire de cette crise inédite. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
5/18/202030 minutes, 24 seconds
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Coquillages #3 | Loïc Maine - Mytiliculteur | L’histoire d’un producteur de moules de Bouchot qui défend son terroir et son savoir-faire

Nous sommes aujourd’hui avec Loïc Maine, producteur de moules de bouchot en Normandie et président du groupement des mytiliculteurs sur bouchot.Ensemble, nous revenons sur les spécificités de la moule de bouchot, élevée sur des pieux en bois en pleine mer et appréciée pour sa chair fondante et savoureuse. Son mode d’élevage, qui date du XIIIème siècle, vient d’être récompensé par le label européen “Spécialité Traditionnelle Garantie”. Dans cette période de crise, Loïc insiste sur l’importance de consommer des moules françaises afin de soutenir la filière et protéger son savoir-faire unique. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
5/15/202041 minutes, 19 seconds
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Coquillages #2 | Bruno Gauvain - MOF Poissonnier Écailler | L’histoire d’un Meilleur Ouvrier de France expert en coquillages

Nous sommes aujourd’hui avec Bruno Gauvain, Meilleur Ouvrier de France poissonnier écailler et expert en coquillages. Ensemble, nous revenons sur son parcours : de l’ouverture de sa poissonnerie à Paris à sa collaboration récente avec la maison Gillardeau, en passant par l’obtention du titre de Meilleur Ouvrier de France. Nous profitons de son expertise pour lui poser toutes les questions possibles sur les différents coquillages : conditions de production, terroirs, conseils de dégustation, etc. Nous évoquons également la situation de la filière conchylicole et la nécessité de la soutenir en cette période difficile. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
5/13/202037 minutes, 32 seconds
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Coquillages #1 | Baptiste Raimbaud - Ostréiculteur | L’histoire d’un ostréiculteur passionné par son métier et son merroir

Nous sommes aujourd'hui avec Baptiste Raimbaud, un jeune ostréiculteur en baie de Bourgneuf, en Vendée, juste en face de l’Ile de Noirmoutier. Ensemble, nous parlons de la production des huîtres : du captage à l'affinage, en passant par l'élevage. Nous découvrons l'importance du terroir, ou plutôt du "merroir" (comme le disent les ostréiculteurs) sur la qualité et le goût des huîtres. Puis, nous évoquons les différents enjeux de son développement et l'impact de la crise actuelle sur son activité. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
5/11/202045 minutes, 8 seconds
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Fait Maison #33 | Tigrane Seydoux - Big Mamma | Se battre pour se maintenir en vie et garder son âme

Nous sommes aujourd’hui avec Tigrane Seydoux, le co-fondateur de Big Mamma, le groupe qui a réinventé le modèle de la trattoria italienne à Paris, Lille, Lyon et désormais Londres. Ensemble, nous parlons de la crise inédite que traverse la restauration, de ses plans pour la réouverture et de sa vision de l’après-crise. Il nous explique pourquoi le groupe vient de mettre en place un service de click&collect, qui au-delà de relancer un minimum d’activité, permet de rallumer la flamme des équipes et garder l’âme des restaurants. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
5/8/202042 minutes, 55 seconds
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Fait Maison #32 | Julia Bijaoui et Quentin Vacher - Frichti | Pivoter en quelques jours et créer un supermarché digital disponible dans toute la France

Nous sommes aujourd’hui avec Julia Bijaoui et Quentin Vacher, les fondateurs de Frichti, la pépite Foodtech de préparation et livraison de repas.Face à cette crise inédite, ils ont du repenser rapidement leur organisation pour s’adapter à la baisse des livraisons de repas et répondre à l’explosion de la demande de livraisons en produits frais. Dans cet épisode, Quentin et Julia nous racontent comment ils ont pivoté en quelques jours pour créer un supermarché digital disponible dans toute la France. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
5/6/202034 minutes, 2 seconds
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Fait Maison #31 | Pierre Hermé et Christophe Michalak - Chefs Pâtissiers | Développer des nouveaux axes de travail pour la pâtisserie de demain

Nous sommes aujourd’hui avec Pierre Hermé et Christophe Michalak, deux des plus grands pâtissiers français ! Avant d’aborder l’impact de la crise actuelle sur leurs activités, nous revenons sur leur histoire commune et particulièrement les années où ils ont collaboré ensemble chez Fauchon. Nous profitons de la chance des les avoir tous les deux pour les faire réagir sur les dernières tendances et évoquer leur vision de la pâtisserie de demain.  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
5/4/202033 minutes, 15 seconds
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Fait Maison #30 | Pierre Lebrun - Le Parti du Thé | S'adapter au confinement et continuer de vendre du thé de qualité sur Internet

Nous sommes aujourd’hui avec Pierre Lebrun, le fondateur du Parti du Thé, la marque parisienne de thés de spécialité. Pierre est un expert en sourcing de thés de qualité. Depuis 15 ans il passe son temps à dénicher les meilleurs thés japonais, chinois et indiens. Ensemble nous revenons sur l’impact de la crise sur son activité : la fermeture partielle de ses boutiques et le développement du e-commerce. Nous parlons également avec lui de la filière et de la situation des producteurs de thés. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
5/1/202027 minutes, 45 seconds
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Fait Maison #29 | Laetitia Schurtz-Luthringer - 750g, Académie du Goût | Faire évoluer rapidement son contenu éditorial afin d’aider les français à cuisiner pendant le confinement

Nous sommes avec Laetitia Schurtz-Luthringer, directrice des contenus Food chez Webedia, en charge notamment des sites de recettes 750g (8 millions de visiteurs par mois !) et l’Académie du Goût. Ensemble, nous revenons sur l’évolution du trafic sur ses sites depuis le début du confinement. Laetitia nous explique également comment, avec ses équipes, elle a dû repenser du jour au lendemain toute la ligne éditoriale afin de répondre aux demandes des français en quête d’inspiration pour cuisiner à la maison. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/29/202037 minutes, 4 seconds
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Fait Maison #28 | Delphine Plisson - Maison Plisson | Lancer une épicerie en ligne en 48h et transformer cette crise en opportunité

Nous sommes avec Delphine Plisson, la fondatrice des Maisons Plisson à Paris. Plus que des épiceries, ses boutiques sont des « lieux de vie dédiés au bien-manger », à la fois marchés de producteurs et tables d’hôtes. Ensemble, nous revenons sur l’impact de la crise sur son activité. Pour s’adapter aux nouveaux usages des parisiens pendant le confinement, Delphine et ses équipes ont lancé un e-shop en un temps record (1 000 produits référencés en 48h : belle prouesse !). Après les démarrages compliqués, la Maison Plisson livre déjà près de 800 commandes / semaine… de quoi transformer cette crise inédite en opportunité. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/27/202029 minutes, 56 seconds
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Fait Maison #27 | Eric Kayser - Artisan Boulanger | Piloter en pleine crise un groupe de 300 boulangeries dans plus de 30 pays

Nous sommes avec Eric Kayser, le célèbre boulanger Français, connu désormais dans le monde entier. Il a ouvert sa première boulangerie à Paris en 1996 et aujourd’hui la Maison Kayser compte plus de 300 boulangeries (en franchise et en propre) réparties dans plus de 30 pays différents. Ensemble, nous revenons sur l’impact de la crise sur l’activité de ses boulangeries. Eric partage avec nous sa vision internationale de la situation et nous explique comment, avec l’aide de ses équipes, il s’est organisé pour s’adapter à des réactions parfois très différentes dans chaque région du monde. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/24/202025 minutes, 24 seconds
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Fait Maison #26 | Charles Guirriec - Poiscaille | Arrêter puis relancer son activité pour soutenir la pêche durable grâce au circuit court

Nous sommes avec Charles Guirriec, le fondateur de Poiscaille, le circuit court de la mer, qui rapproche les artisans pêcheurs et les consommateurs. Après avoir dû fermer son activité au début du confinement, Charles nous raconte comment il a pu relancer Poiscaille afin de soutenir les petits pêcheurs en difficulté, qui avaient perdu une part importante de leurs débouchés avec la fermeture des restaurants et des marchés. Selon Charles, cette crise est une opportunité unique de faire découvrir les vertus des circuits couts à un public plus large.  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/22/202034 minutes, 44 seconds
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Fait Maison #25 | Anthony Bourbon - Feed | Lancer une nouvelle identité de marque pendant le confinement

Nous sommes avec Anthony Bourbon, le fondateur et CEO de Feed, la startup leader sur le marché de la Smart Food en Europe. Le sujet est très clivant, mais ne laisse pas indifférent. La marque, qui propose des repas “pratiques” sous forme de barres, de boissons ou de préparations, connaît un très grand succès depuis plusieurs années. Ensemble, nous revenons sur l’impact de la crise sur l’activité de Feed et sur le changement (temporaire ?) des habitudes alimentaires des français. Nous évoquons également la nouvelle plateforme de marque que les équipes Feed ont décidé de lancer il y a quelques semaines malgré les difficultés du confinement. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/20/202030 minutes, 6 seconds
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Fait Maison #24 (ENGLISH) | Massimo Bottura and Family - Osteria Francescana | Keep the positive vibe and think about the future

So our guest today is not one guest, but a whole family. The family of a very famous italian chef ! He holds 3 Michelin stars with his restaurant Osteria Francescana which is considered by many as the best restaurant in the world. He is also behind the non-profit organisation Food For Soul.This initiative in Paris is called Refettorio Paris and was launched in March 2018 in the crypts of the Madeleine church. This restaurant offers meals to the homeless and refugees while fighting against food waste.We are today with Massimo, Lara, Charlie and Alexa Bottura.In this episode the Bottura family shares with us how they are facing the crisis with optimism and thinking about the future. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/17/202038 minutes, 11 seconds
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Fait Maison #23 | Loïc Tanguy - Les Grappes | Privilégier les circuits courts pour protéger les vignerons récoltants de la crise

Nous sommes aujourd’hui avec Loïc Tanguy, le fondateur et CEO de "Les Grappes", la plateforme d'achat de vins en direct des vignerons récoltants, pour les particuliers et les professionnels. Ensemble, nous revenons sur l'impact de la crise : arrêt brutal de l'activité B2B et croissance de l'activité B2C. Nous évoquons en particulier la situation très difficile des petits vignerons qui ont dû fermer du jour au lendemain leurs principaux canaux de distribution : vente au caveau, restauration et export. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/16/202023 minutes, 38 seconds
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Fait Maison #22 | Antonin Bonnet - Quinsou, La Boucherie Grégoire | Valoriser les producteurs de qualité avant, pendant et après la crise

Nous sommes aujourd’hui avec Antonin Bonnet, le chef passionné et engagé du restaurant étoilé Quinsou à Paris dans le 6ème arrondissement. L’année dernière, il a repris (juste à côté de son restaurant) la boucherie Grégoire. Ensemble, nous revenons sur l'impact de la crise sur son activité : la fermeture de son restaurant d'une part, mais également la nouvelle organisation de la Boucherie Grégoire. Plus qu'un commerce de proximité, la boucherie est devenue un "centre de vie" où, au-delà de la viande, les résidents du quartier peuvent désormais s’approvisionner en bons produits paysans. Antonin met un point d'honneur à leur proposer une alternative aux supermarchés, les seuls "survivants" à cette crise. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/15/202029 minutes, 12 seconds
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Fait Maison #21 | Romain Roy - Greenweez | Freiner la demande pour répondre au mieux au boom du e-commerce alimentaire

Nous sommes aujourd’hui avec Romain Roy, le fondateur et CEO de Greenweez, le 1er site de vente en ligne de produits bio en France. Fondée en 2008, puis rachetée par Carrefour en 2016, cette plateforme connaît une forte croissance depuis plusieurs années. Avec le confinement, la demande de livraison de produits bio a explosé. Romain nous annonce que les volumes de ventes actuels sont 5 à 7 fois supérieurs aux volumes historiques. Le site est même dans l’obligation de freiner cette demande, en limitant par exemple les paniers de commandes, afin de servir au mieux le plus grand nombre de clients. Nous évoquons ensemble l’après-crise et l’espoir que celle-ci modifie durablement les habitudes des consommateurs. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/14/202026 minutes, 40 seconds
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Fait Maison #20 | Olivier Bon - Experimental Group | Fermer tous ses établissements dans 6 pays différents et en l’espace de 2 semaines

Nous sommes aujourd’hui avec Olivier Bon, co-fondateur de l’Experimental Group. Avec ses associés, Romée de Goriainof, Pierre-Charles Cros et Xavier Padovani, il a créé en seulement quelques années un groupe de référence dans le monde du cocktail, de la restauration et de l’hôtellerie de luxe. Il compte aujourd’hui plusieurs établissements en vogue à Paris, Londres, New York, Ibiza, Minorque, Venise et Verbier. Le groupe a été très fortement touché par la crise : en seulement 2 semaines, tous ses établissements (bars, restaurants et même les hôtels) ont du fermer leur portes. Olivier reste optimiste pour la pérennité de son entreprise, mais il s’inquiète pour la saison d’été à Ibiza ou encore à Venise, où l’Experimental Group vient d’inaugurer son dernier hôtel : Il Palazzo Experimental. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/13/202027 minutes, 5 seconds
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Lucky Day | Daniel Coutinho et Philibert Chambre - Business of Bouffe | L’histoire d’un brésilien et d’un savoyard qui lancent un podcast pour faire connaître leur activité de conseil

En février dernier nous étions les invités du super podcast Lucky Day. L'occasion pour nous de revenir sur la naissance de Business of Bouffe, notre activité de conseil, et de discuter des dernières tendances dans la bouffe ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/12/20201 hour, 58 seconds
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Fait Maison #19 | Juan Arbelaez - Plantxa, Yaya, Vida | Positiver le confinement et continuer de partager sa passion pour la cuisine

Dans cet épisode, nous sommes avec Juan Arbelaez, le plus célèbre des chefs Colombiens à Paris. À seulement 31 ans, il dirige déjà plusieurs restaurants à succès : Plantxa, Vida, Yaya… Il nous raconte comment il traverse cette crise inédite, heureusement épaulé par ses associés, Pierre-Julien et Grégory Chantzios, les fondateurs de la marque Kalios. Ensemble, nous revenons sur son confinement et sa façon positive (et très communicative !) de voir les choses. Il continue évidement de cuisiner et profite du temps disponible pour partager des recettes simples et originales sur ses réseaux sociaux (et à la TV !) afin d’inciter chacun à se remettre aux fourneaux. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/10/202026 minutes, 3 seconds
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Fait Maison #18 | Frédéric Chambeau - Fouquet Chocolatier | Aborder son énième crise depuis 1852, et cette fois-ci juste avant Pâques

Dans cet épisode, nous sommes avec Frédéric Chambeau, le directeur de la Maison Fouquet, artisan chocolatier depuis 1852. Il est la 5ème génération en charge de cette institution du chocolat à Paris. Frédéric est également le président de la confédération des chocolatiers et confiseurs de France. Ensemble, nous revenons sur la situation délicate des artisans chocolatiers en pleine crise sanitaire à quelques jours de Pâques. Quant à la Maison Fouquet, Frédéric nous rappelle qu’en plus de 150 ans d’histoire, elle a déjà traversé des crises majeures. Il essaie donc d’aborder cette période avec optimisme. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/9/202027 minutes, 10 seconds
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Fait Maison #17 | Pascal Beillevaire - Fromagerie Beillevaire | Modifier rapidement son modèle de production et distribution de produits laitiers en période de crise

Dans cet épisode, nous sommes avec Pascal Beillevaire, le fondateur et dirigeant de la fromagerie Beillevaire. En quarante ans, il a créé un modèle unique regroupant toute la filière laitière, du producteur au consommateur. Ensemble, nous revenons sur l’impact de cette crise inédite sur son activité, notamment suite à la fermeture des restaurants, puis des marchés. Soucieux de maintenir des débouchés pour ses producteurs, Pascal nous raconte comment il a pu s’appuyer sur son réseau de boutiques en propre et sur la vente en ligne, via des plateformes comme Frichti ou PourdeBon. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/8/202032 minutes, 50 seconds
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Fait Maison #16 | Sandra Mielenhausen et Nicolas Rozier-Chabert - PLAQ Chocolat | Survivre à la crise et fêter son premier Pâques

Dans cet épisode, nous sommes avec Sandra Mielenhausen et Nicolas Rozier-Chabert, les fondateurs de PLAQ, la nouvelle manufacture de chocolat “Bean to Bar” située au cœur de Paris. Ils se sont lancés à l’automne dernier et connaissent déjà un réel succès, mais la crise sanitaire actuelle vient malheureusement de marquer un coup d’arrêt à cette belle dynamique. Pour conjurer le sort, ils viennent de lancer en express un e-shop afin de permettre aux amoureux du cacao de s’approvisionner pour Pâques, tout en respectant le confinement. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/7/202027 minutes, 6 seconds
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Fait Maison #15 | Edouard Morhange - Epicery | Soutenir les petits commerçants et répondre à la forte demande de livraison de produits frais

Nous sommes avec Edouard Mohrange, fondateur et CEO d’Epicery. Alors, pour ceux qui ne connaissent pas, Epicery est un service de livraison de produits frais issus des commerçants de quartier : primeurs, bouchers, poissonniers, boulangers… On a eu la chance d’enregistrer un épisode avec Edouard en novembre dernier (https://businessofbouffe.com/podcast/edouard-morhange-epicery). J’invite évidemment nos auditeurs à l’écouter (si ce n’est pas déjà fait) pour découvrir en détail son parcours, ainsi que l’aventure passionnante d’Epicery, et notamment le rapprochement avec le groupe Monoprix.Ensemble, nous revenons sur la très forte croissance qu’a connu Epicery depuis le début de la crise, tout d’abord en raison de l’explosion de la demande de livraison de produits frais, mais aussi du besoin vital des commerçants de maintenir leur activité grâce au digital. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/6/202017 minutes, 16 seconds
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Fait Maison #14 | Alexis Vaillant - Alterfood | Affronter la crise quand on est une PME et qu'on ne fournit pas de produits de première nécessité

Dans cet épisode, nous sommes avec Alexis Vaillant, fondateur et CEO d’Alterfood. Depuis 2009, la jeune PME en forte croissance développe et distribue des marques alimentaires naturelles & bio (Bionade, Infusion, Tensaï, Marcel Bio…). La crise a très fortement impacté leur activité, d’abord avec la fermeture des cafés, bars et restaurants, puis avec la baisse des commandes de la grande distribution, souhaitant privilégier les produits de 1ère nécessité. Alexis nous explique comment les équipes d’Alterfood se sont mobilisées pour lancer un e-shop en un temps record afin de maintenir un minimum d’activité. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/3/202034 minutes, 1 second
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Fait Maison #13 | Amandine Chaignot - Pouliche | Transformer son restaurant en marché de producteurs

Dans cet épisode, nous sommes avec Amandine Chaignot. Jeune cheffe au parcours impressionnant (Plaza Athénée, Ritz, Le Meurice et Le Crillon), Amandine vient d’ouvrir son propre restaurant : Pouliche, dans le 10ème arrondissement de Paris. Suite à la fermeture des restaurants, préoccupée par la détresse de ses producteurs, elle a eu l’idée (géniale !) de transformer son restaurant en marché de produits frais. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/2/202029 minutes, 39 seconds
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Fait Maison #12 | Julien Perret - BCHEF | Fédérer les restaurateurs face aux bailleurs institutionnels

Dans cet épisode, nous sommes avec Julien Perret, fondateur de la chaîne de restauration rapide Bchef, qui compte déjà plus de 50 restaurants en France. Ensemble, nous revenons sur l’initiative qu’il vient de lancer pour fédérer les restaurateurs dans une action collective de conciliation et faire entendre leur voix auprès des bailleurs institutionnels. Ils ne veulent pas être les seuls à assumer les conséquences financières de la fermetures des restaurants.Si vous êtes restaurateur et intéressé par cette démarche, vous pouvez contacter : Stéphane Ingold, cabinet d’avocat Gouache, 01 45 74 75 92, 4 rue Dufrénoy 75116 Paris. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
4/1/202024 minutes, 59 seconds
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Fait Maison #11 | Benoît Castel - Pâtissier Boulanger | Maintenir une activité minimum et rassurer les gens en période de crise

Dans cet épisode, nous sommes avec Benoît Castel. Ancien chef pâtissier de la Grande Épicerie de Paris, Benoît dirige désormais 4 “Pâtisseries-Boulangeries” réputées à Paris. Au-delà de la vente à emporter, ses boutiques sont des lieux de vie où les fidèles aiment petit-déjeuner, déjeuner ou bruncher. Il a donc été très fortement impacté par la crise. Il nous raconte comment il a du s’adapter en maintenant une activité minimum, notamment autour de la vente du pain “un produit rassurant en période de crise” (comme il aime le rappeler). Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/31/202023 minutes, 9 seconds
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Fait Maison #10 | Hervé Marro - Ecotable | Animer une communauté de restaurateurs engagés pour venir en aide aux soignants

Dans cet entretien avec Hervé Marro, président de l’association Ecotable, nous parlons de l’initiative “Restaurons les soignants durablement" une initiative des membres de la communauté Ecotable qui se sont organisés pour préparer des repas aux soignants.  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/30/202025 minutes, 10 seconds
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Business of Bouffe #21 | Fanny Giansetto et Victor Mercier - Ecotable et FIEF | L'histoire d'une maître de conférences spécialisée sur les enjeux climatiques et d'un chef engagé qui militent pour une restauration durable et responsable

Pour ce dernier épisode enregistré avant le confinement, nous étions dans le restaurant FIEF du jeune chef engagé Victor Mercier, qui s’approvisionne uniquement de produits faits en France. Nous étions avec Victor et Fanny Giansetto, fondatrice d’Ecotable, un label qui identifie et valorise les restaurants éco-responsables. La rencontre avec Fanny Giansetto d’Ecotable et le chef Victor Mercier chez FIEF :Docteur en droit et maître de conférences spécialisée dans les enjeux climatiques, Fanny Giansetto a créé le label Ecotable lorsqu’elle a pris conscience que les acteurs de la restauration étaient en retard dans leur démarche durable et responsable. En parallèle, le chef Victor Mercier, finaliste de l’édition 2018 de l’émission Top Chef, a ouvert à Paris un restaurant engagé où il travaille exclusivement avec des producteurs français afin de limiter son impact carbone. Il était donc tout naturel pour lui de se rapprocher du label Ecotable. L’épisode en bref :Dans cet épisode, Fanny Giansetto nous explique l’origine du projet Ecotable et le fonctionnement du 1er label responsable dans la restauration. Victor Mercier nous raconte son parcours avant l’ouverture de son 1er restaurant : FIEF. Ensemble, nous parlons du respect des saisons, du sourcing local, de l’agriculture urbaine, de la gestion des déchets, du bien-être animal… Ainsi nous faisons le tour des différentes facettes de l’engagement responsable dans la restauration. Et, comme le dit si bien Fanny :« Être écolo aujourd’hui n’est pas une seule chose. Ce sont différentes sensibilités. » Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/29/20201 hour, 38 minutes, 47 seconds
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Fait Maison #9 | Ezéchiel Zérah - L'Express | Repenser la critique gastronomique pendant et après le confinement

Nous parlons de critique gastronomique en période de crise avec Ezéchiel Zérah, responsable des pages gastronomie de L’Express, des cahiers styles L’Express diX et du web. Ezechiel a récemment remplacé un certain François-Regis Gaudry… Ezéchiel nous raconte comment il repense la critique gastronomique pendant et après le confinement. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/28/202023 minutes, 21 seconds
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Fait Maison #8 | Nicolas Machard - Pourdebon.com | Faire face du jour au lendemain à une croissance de 1 100%

Dans cet épisode, nous sommes avec Nicolas Machard, directeur général de Pourdebon.com, la place de marché en ligne qui connecte directement les consommateurs et les producteurs. Ensemble, nous revenons sur la très forte croissance de son activité depuis le début de la crise. D’un côté, les producteurs cherchent des nouveaux débouchés depuis la fermeture des restaurants. De l’autre côté, les consommateurs n’ont jamais autant plébiscité la livraison. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/27/202023 minutes, 45 seconds
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Fait Maison #7 | Fabien Sauleman - Poulehouse | Répondre à l'explosion de la demande pour un produit de 1ère nécessité en période de crise

Dans cet épisode, nous sommes avec Fabien Sauleman, co-fondateur de Poulehouse, la jeune marque à succès qui commercialise des “œufs qui ne tuent pas la poule”. Après les annulations d’événements en cascade, Fabien nous explique que la crise a surtout engendré une très forte augmentation de la demande, les œufs étant un produit de 1ère nécessité et une protéine animale facile à conserver. Cela étant, Fabien a du revoir une partie de son organisation pour honorer ces commandes et faire face aux difficultés dans les centres de conditionnement. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/26/202024 minutes, 45 seconds
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Fait Maison #6 | Antoine Bresson - Monoprix et Peligourmet | Réagir à la forte demande, avec moins d'effectifs et des risques sanitaires

Dans cet épisode, nous sommes avec Antoine Bresson, franchisé multi-enseigne et expert de la grande distribution. Il gère notamment 8 magasins Monoprix et Système U en région parisienne. Il est également propriétaire de la start-up circuit-court Peligourmet. Ensemble, nous revenons sur la forte croissance du chiffre d’affaires des magasins depuis le début de la crise. Nous parlons aussi des ruptures sur les produits de 1ère nécessité, de la mise en place des mesures sanitaires et du boom du e-commerce et de la livraison. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/25/202024 minutes, 52 seconds
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Fait Maison #5 | Samuel Nahon - Terroirs d'Avenir | Réinventer un modèle de distribution de produits frais en quelques jours

Dans cet épisode, Samuel Nahon, co-fondateur de Terroirs d’Avenir, nous raconte comment leur activité de négoce, qui fournit les meilleures tables parisiennes, s’est arrêtée du jour au lendemain. Heureusement, ils ont réussi à basculer une partie des produits frais et des salariés sur leur activité de détail. La vente en boutique a cependant du être repensée complétement afin de respecter les gestes barrières. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/24/202027 minutes, 22 seconds
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Fait Maison #4 | Nicolas Alary - Holybelly | Sauver 1 tonne de nourriture grâce à sa réactivité et l'engagement de sa communauté

Dans cet entretien avec Nicolas Alary, co-fondateur des restaurants Holybelly, il nous raconte comment ils ont fait pour sauver 1 tonne de nourriture grâce à leur réactivité et l'engagement de leur communauté. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/22/202025 minutes, 23 seconds
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Fait Maison #3 | Stéphane Jégo - L'Ami Jean | Décréter l’état de catastrophe naturelle sanitaire afin que les assurances indemnisent les commerces français

Dans ce entretien avec Stéphane Jégo, chef et propriétaire du restaurant L'Ami Jean, nous explique pourquoi on doit décréter l’état de catastrophe naturelle sanitaire afin que les assurances indemnisent les commerces français. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/21/202022 minutes, 48 seconds
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Fait Maison #2 | Nicolas Bergerault - Atelier des Chefs | S’adapter à la crise et développer les cours de cuisine en ligne

Un entretien avec Nicolas Bergerault d'Atelier des Chefs, qui nous raconte comme il s'adapte à la nouvelle réalité du confinement. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/19/202020 minutes, 46 seconds
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Fait Maison #1 | Romain Saurat - Traiteur Crior | Arrêter son activité et mettre ses salariés au chômage technique

Fait Maison #1 | Romain Saurat - Traiteur Crior | Arrêt d'activité et chômage collectifEntretien de Romain Saurat, propriétaire de Traiteur Crior, qui nous raconte son expérience au début de la crise sanitaire du COVID-19. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/19/202025 minutes, 4 seconds
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Business of Bouffe #20 | Clarisse Ferreres-Frechon – Melchior | L’histoire d’une jeune attachée de presse qui a créé en 10 ans une agence de communication incontournable dans l’univers de la gastronomie

Aujourd’hui nous nous trouvons chez Melchior, l’agence ouverte par Clarisse Ferreres-Frechon qui a soufflé ses dix bougies l’année dernière. Il est 09:30 et la journée est déjà bien entamée pour notre invitée, adepte du miracle morning. Nous sommes attablés autour d’un panier de viennoiseries, le casque sur les oreilles, face à la femme qui maîtrise chaque ficelle des relations publics. La rencontre avec Clarisse Ferreres-Frechon chez Melchior :Figure de proue du secteur, Clarisse Ferreres-Frechon a fait ses classes au service communication du Bristol. C’est la révélation, elle s’y sent comme un poisson dans l’eau. Elle monte sa société quand elle est encore étudiante, conseillant des chefs en premier lieu, puis les restaurants et hôtels. Elle élargit par la suite son activité au lifestyle de manière globale. Le nom Melchior, roi mage qui apporte la fortune -au sens de chance- est inspiré pour cette agence devenue incontournable dans la gastronomie.  L’épisode en bref :Dans cet épisode, Clarisse Ferreres-Frechon défend deux sujets qui nous tiennent à cœur : le format podcast et la dédiabolisation du mot bouffe. Les valeurs de la fondatrice constituent le socle de l’agence Melchior, et elle met l’intuitu personæ au premier plan. En veille constante, l’entrepreneure autodidacte scrute le marché et nous en donne les tendances actuelles et futures. Entrez dans l’univers bouillonnant de l’influence. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/15/20201 hour, 18 minutes, 32 seconds
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Business of Bouffe #19 | Julia Bijaoui & Quentin Vacher – Frichti | L’histoire d’un couple utilisant la data pour livrer des plats ultra-frais en 20 minutes sans gaspillage

Aujourd’hui nous sommes dans les bureaux de Frichti, rue Charlot, quelques semaines avant le déménagement imposé par l’agrandissement de l’équipe. L’agenda des fondateurs est bien rempli, et un tournage prend fin à notre arrivée, pendant que Quentin Vacher est en rendez-vous téléphonique et Julia Bijaoui arrive au bout d’une interview. Les deux bourreaux de travail nous accordent un peu de leur temps en cette fin d’après-midi, pour une plongée au cœur de l’activité palpitante de Frichti. La rencontre avec Julia Bijaoui et Quentin Vacher chez Frichti :Entrepreneurs dans l’âme, ils ont chacun une première expérience à leur compte précédant leur association. Julia Bijaoui et Quentin Vacher ont mis en route leur projet commun il y a bientôt cinq ans, avec l’ambition de concilier bon, pratique, et abordable au dîner. Novatrice et inattendue, Frichti fait toujours couler beaucoup d’encre aujourd’hui. Nous avons eu l’occasion d’étudier en détails les rouages de cette pépite tech. L’épisode en bref :Dans cet épisode, nous commençons par évoquer un mal partagé par un grand nombre de personnes, celui de bien manger au quotidien. Quand ils eurent trouvé le remède, il ne fallu que trois mois à Julia Bijaoui et Quentin Vacher pour mettre en marche la machine. A l’occasion de notre podcast, ils décortiquent le fonctionnement de Frichti et présentent les trois piliers porteurs du modèle. Nous analysons ainsi la partie conception des recettes et production ; celle relative à la logistique et l’algorithme -une prouesse dans le secteur- et enfin la livraison en flux tendu. « On est en train de créer une nouvelle catégorie qui s’appelle le frais at scale. » Les bons plans de Julia Bijaoui et Quentin Vacher :Le restaurant : Sōma – Cuisine japonaise (Paris 3)Le livre : Il est où, le bonheur – François Ruffin (2019) Nous avons aussi parlé de :L’épisode avec Beena Paradin Migotto et Yannick Migotto, dirigeants de la marque BeendiL’épisode avec Christophe Michalak et sa femme Delphine, à la tête des pâtisseries éponymes Pour contacter Julia Bijaoui :https://www.linkedin.com/in/juliabijaoui/Pour contacter Quentin Vacher:https://www.linkedin.com/in/quentin-vacher Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/8/20201 hour, 47 minutes, 39 seconds
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Business of Bouffe #18 | Beena Paradin Migotto & Yannick Migotto - Beendi | L’histoire de deux directeurs de la stratégie passionnés de cuisine qui se lancent dans l'entrepreneuriat avec une offre de prêt-à-cuisiner végétal

Aujourd’hui nous rencontrons le couple formé par Beena Paradin Migotto et Yannick Migotto, à la tête de la marque de prêt-à-cuisiner Beendi. Les recettes végétales sont inspirées des cultures méditerranéennes et indiennes. La mission est simple, faire de l’alimentation un acte heureux. Nous parlons de leur philosophie, qui s’applique tant au sourcing des ingrédients, qu’à la quête d’un packaging responsable. La rencontre avec Beena Paradin Migotto et Yannick Migotto chez Beendi :Les partenaires ont tous deux hérité leur amour pour la cuisine de leur famille. Beena Paradin poursuivait toutefois une brillante carrière au sein du groupe PPR quand paraît son premier livre de recettes indiennes. Renouer avec ses origines est un déclic pour la femme d’affaires, qui va multiplier les projets culinaires. Le public découvre Beendi en 2013, et Yannick Migotto rejoint l’aventure trois ans plus tard. L’épisode en bref :Dans cet épisode, Beena Paradin et Yannick Migotto s’attachent à nous expliquer le fondement de leur démarche, qui s’appuie sur un cahier des charges résumé en deux mots : bien fait. Nous partons en voyage à la recherche de producteurs dans les provinces reculées indiennes et faisons escale sous le soleil de l’Italie en commentant le séchage doux des légumes. Le duo d’entrepreneurs prône la libération de l’entreprise et une gestion transverse des projets. Il investit autant d’efforts dans la réduction de l’empreinte écologique des contenants, et nous apprenons que le vrac représente déjà plus de la moitié de leur chiffre d’affaires !  « Le rôle d'entrepreneur c'est de réapprendre beaucoup de choses. » Le bon plan de Beena Paradin Migotto et Yannick Migotto :Le restaurant : PiQUE NiQUE - Cuisine contemporaine (Paris 1) Nous avons aussi parlé de :L’épisode avec Christophe et Delphine Michalak, à la tête de la pâtisserie éponymeL’épisode avec Célia Rennesson, co-fondatrice de « Réseau Vrac »L’épisode avec Fabien Sauleman et Sébastien Neusch, cofondateurs de PoulehouseOlivier Roellinger, le chef avec qui Beena cocrée des mélanges d’épicesAnticancer, un livre du docteur David Servan-SchreiberLa marque Good Goût fondée par Julia Perroux et Mikaël AubertinThe game changers, un film documentaire sur la nutritionL’entreprise Citéo qui œuvre pour l’économie circulaire Pour contacter Beena Paradin Migotto :https://www.linkedin.com/in/beenaparadin/ Pour contacter Yannick Migotto :https://www.linkedin.com/in/yannickmigotto/ Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3/1/20201 hour, 25 minutes, 15 seconds
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Salon de l'Agriculture 2020 | #6 | Flexitarisme et Filière Viande | Marc Pagès - Interbev & Jean-Pierre Bonnet - Éleveur Label Rouge

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2/27/202030 minutes, 57 seconds
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Salon de l'Agriculture 2020 | #5 | Jeunes Pousses | Alexandra Thomas - Les Gaïardes & Quentin Chansolme - L'Arrangé Français

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2/26/202020 minutes, 33 seconds
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Salon de l'Agriculture 2020 | #4 | Agripositive | Denis Beauchamp - FranceAgriTwittos & Etienne Fourmont - Agri Youtubeurre

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2/26/202021 minutes, 16 seconds
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Salon de l'Agriculture 2020 | #3 | Blockchain | Patrick Larrère - Les Fermes Larrère & Stefano Volpi - Connecting Food

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2/25/202023 minutes, 25 seconds
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Salon de l'Agriculture 2020 | #2 | Circuit Court | Charles Guirriec - Poiscaille & Stephane Darguesse - A Deux Pas d’Ici

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2/25/202031 minutes, 18 seconds
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Salon de l'Agriculture 2020 | #1 | Agriculture Urbaine | Guillaume Fourdinier - Agricool & Paul Rousselin - Cueillette Urbaine

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2/24/202021 minutes, 12 seconds
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Business of Bouffe #17 | Thibault Lamarque - Castalie | L’histoire d’un entrepreneur engagé qui veut lutter contre la folie du plastique

Aujourd’hui nous sommes accueillis par Thibault Lamarque dans les locaux de Castalie, à la périphérie de Paris. La société, pionnière dans la micro-filtration de l'eau, est désormais bien implantée sur les territoires français, suisses et belges. La conversation part de l'étude de marché initialement menée, et dévie rapidement sur les enjeux sanitaires, écologiques et économiques du marché de l'eau. La rencontre avec Thibault Lamarque :Les fontaines fleurissent dans les bureaux des grands groupes comme dans ceux des startups. Leur créateur Thibault Lamarque s’est récemment illustré par ses prises de position dans la presse. Sa première tribune "Nous fonçons droit sur un iceberg de plastique !" a été publiée par Le Parisien en juin dernier. Il en coécrit une deuxième en novembre intitulée "Mettons fin à la folie des bouteilles plastique", qui rassemble personnalités, sociétés et ONG engagées. Cela a certainement participé à l’adoption par le Parlement du projet de loi anti-gaspillage qui s'attaque au matériau polluant. L’épisode en bref :Dans cet épisode, Thibault Lamarque raconte ce qui l'a poussé à lancer Castalie en 2011. La surconsommation de plastique était à l’époque moins médiatisée, mais l'entrepreneur y a toujours été sensible. L'arrivée de sa startup bouscule les acteurs historiques en présence, que nous évoquons, avant de faire un point sur les différents procédés de traitement de l’eau et sur le fonctionnement des machines. Réservé aux professionnels, le modèle basé sur l'abonnement séduit et les levées de fonds se multiplient.« Avoir une mission claire, ça simplifie beaucoup de choses. » Les bons plans de Thibault Lamarque :Le livre : Mission in a bottle – Seth Goldman et Barry Nalebuff (Crown Business)Le restaurant : La Marine - Cuisine gastronomique (Noirmoutier-en-l'Île)Le restaurant : SaQuaNa - Cuisine gastronomique (Honfleur)Le restaurant : David Toutain - Cuisine gastronomique (Paris 7e) Nous avons aussi parlé de :L'épisode avec Christophe Duhamel, cofondateur du site MarmitonL’épisode avec Christophe Audouin, propriétaire des yaourts bios «Les 2 Vaches»L'épisode avec Claude Gruffat, ancien président de BiocoopL'épisode avec Emmanuel Rubin, critique gastronomique du Figaro Pour contacter Thibault Lamarque :https://www.linkedin.com/in/thibault-lamarque/ Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
2/22/20201 hour, 19 minutes, 56 seconds
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Business of Bouffe #16 | Florian Breton - Miimosa | L’histoire d’un petit-fils de viticulteur qui veut soutenir la transition agricole grâce au financement participatif

Aujourd’hui nous sommes dans les bureaux de Miimosa avec l’heureux fondateur Florian Breton. Sa plateforme de financement participatif est la première qui est intégralement mise au profit des secteurs agricole et alimentaire. En déroulant le fil des projets et étapes de développement du site, nous traitons des enjeux de l’agriculture pour nourrir le monde de demain. La rencontre avec Florian Breton :Inviter l’homme à l’origine de Miimosa était une évidence, tant pour son soutien indéfectible aux acteurs de la filière que pour son ambition de les placer sur le devant de la scène. Plusieurs de nos précédents invités ont d’ailleurs profité dudit site pour lancer un projet. Retour sur l’entreprise florissante de Florian Breton, un petit-fils de maraîcher qui rend hommage à ses racines. L’épisode en bref :Dans cet épisode, nous partons du triple constat qui a mené à la création de Miimosa en 2015. De l’idée de départ à la confirmation de son succès, Florian Breton nous parle des premiers projets et des levées de fonds successives qu’il a réalisées. Il nous fait profiter de sa grande visibilité sur la santé du monde agricole et le rôle grandissant des innovations technologiques, ainsi que de ses espoirs pour la suite. Nous parlons des différentes options qui s’offrent au porteur de projet : celle, historique, du don avec contrepartie, mais aussi l’arrivée récente du prêt cofinancé par des industriels.« Aujourd'hui les agriculteurs sont des serial entrepreneurs multi-casquettes. » Le bon plan de Florian BretonLa recette : Les boules de Picoulat – Cuisine catalane (source Marmiton) Nous avons aussi parlé de :L’épisode avec Fabien Sauleman et Sébastien Neusch, cofondateurs de PoulehouseL’épisode avec Christophe Audouin, propriétaire des yaourts bios «Les 2 Vaches»Ludovic Marty, le porteur d’un des projets coups de cœur de notre invitéLa Ruche qui dit Oui, réseau de vente en direct des producteursLes Grappes, achat sur internet de vin en direct du vignobleL’asso La ferme digitale qui met le numérique au service de l’agricultureBluebees, site de financement participatif dédié à l’agriculture biologiqueTerroir mon amour, une communauté de producteurs et chefs français Pour contacter Florian Breton :https://www.linkedin.com/in/florianbreton/ Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
2/15/20201 hour, 35 minutes, 1 second
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Business of Bouffe #15 | Christophe Michalak (avec la participation de Delphine Michalak) - Pâtisserie Michalak | L’histoire d’un Champion du Monde de Pâtisserie qui réussit sans céder à la folie des grandeurs et fait le pari du "small is beautiful"

Aujourd’hui nous retrouvons le chef pâtissier Christophe Michalak, rejoint pendant l’enregistrement par sa femme Delphine. En déroulant presque trente ans de carrière, il nous fait découvrir l’évolution de la pâtisserie, et l’héritage laissé par les cadors du milieu, ouvrant la marche à une nouvelle génération. La rencontre avec Christophe Michalak :Chef, auteur, animateur télé, formateur, producteur, la liste est longue pour qualifier le pâtissier. Devenu l’un des plus médiatisés de cette décennie, il s’était fait un point d’honneur à sortir son métier de l’ombre. Il compte désormais plus d’un demi-million d'abonnés sur Instagram et Facebook, et possède quatre boutiques à Paris ainsi que deux franchises au Japon. L’épisode en bref :Dans cet épisode, Christophe Michalak nous raconte ses débuts dans la pâtisserie, et la succession d’événements le menant à signer la carte sucrée du Plaza Athénée pendant 15 ans. Multipliant les projets et les apparitions en parallèle, il finit par se lancer dans l’entrepreneuriat. Il mise sur la croissance interne et finance son projet en indépendant, épaulé par sa femme. Ils travaillent ensemble à faire grandir la marque tout en veillant à ce qu’elle conserve une taille humaine. Le chef livre sa vision de la pâtisserie et donne son avis clivant sur les critiques gastronomiques. Il évoque enfin les ambitions qu’il partage avec son épouse pour la suite, en phase avec sa vie de famille. « La seule façon d’évoluer, de franchir un cap, c’était de devenir entrepreneur, et ça me faisait très peur ! » Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
2/8/20201 hour, 53 minutes, 56 seconds
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Business of Bouffe #14 | Fabien Sauleman et Sébastien Neusch - Poulehouse | L’histoire d’un trio qui se lance dans l’exploitation éthique des poules pondeuses, et révolutionne le marché en proposant un modèle rentable

Aujourd’hui nous rencontrons Fabien Sauleman et Sébastien Neusch, à la tête du projet Poulehouse avec Elodie Pellegrain, la troisième associée. En découle une discussion enrichissante et particulièrement d’actualité, sur le bien-être animal et sa compatibilité avec un système de production viable. La rencontre avec Fabien Sauleman et Sébastien Neusch :Poulehouse commence à faire parler d’elle. Cette startup de deux ans et demi distribue déjà ses œufs sur l’ensemble du territoire, et est soutenue par les géants de la distribution tant en grandes surfaces qu’en bio ! Née d’une prise de conscience collective, c’est avec plaisir que nous donnons aujourd’hui la parole à deux des fondateurs. L’épisode en synthèse :Dans cet épisode, nous commençons par donner quelques informations qui encadreront la conversation, et remettent le concept de l’œuf qui ne tue pas la poule en perspective. Fabien Sauleman et Sébastien Neusch reviennent sur leurs expériences respectives dans l’entreprenariat avant d’entrer dans le vif du sujet : ni plus ni moins que la création d’un nouveau segment de marché. Nous parlons de leur mode de développement, de ses avantages et difficultés, et de leurs chiffres impressionnants. Ils nous donnent aussi leur petite astuce pour vendre un concept disruptif aux acheteurs en magasins. « On se conçoit comme un segment de marché et pour l'instant, on est les seuls à l'occuper. » Les bons plans de Fabien Sauleman et Sébastien Neusch :Le restaurant : 39V – Cuisine néo-traditionnelle (Paris 8e)Les livres de l’éthologue Frans de Waal Au-delà de Poulehouse, nous avons aussi parlé de :L’épisode avec Claude Gruffat, ancien président de BiocoopLa bibliothèque en ligne YouboxxKisskissbankbank, le site de financement participatifMiimosa, le site de financement dédié à l’agriculture et à l’alimentationLa compagnie allemande SeleggtL’agence de publicité Brand Station Pour contacter Fabien Sauleman :https://www.linkedin.com/in/fabiensauleman/ Pour contacter Sébastien Neusch :https://www.linkedin.com/in/sebastienneusch/ Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
2/1/20201 hour, 20 minutes, 41 seconds
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Business of Bouffe #13 | Christophe Duhamel - Marmiton | L’histoire d’un ingénieur qui a partagé son amour de la cuisine avec des millions de Français et a construit le site de recettes n°1 dans l’Hexagone

Aujourd’hui nous discutons avec Christophe Duhamel, l’un des co-fondateurs du site Marmiton. A l’occasion de ce podcast, il retrace son parcours et les enseignements qu’il en a tiré. La rencontre avec Christophe Duhamel :Marmiton est le site de cuisine préféré des Français. Recensant plus de 70 000 recettes, la plateforme a su se développer pour devenir une marque qui parle à tout un chacun. L’idée a germé dans la tête de Christophe Duhamel il y a plus de vingt ans, et il est aujourd’hui prêt à naviguer vers de nouveaux horizons. L’épisode en bref :Dans cet épisode, nous revenons sur la création de Marmiton peu de temps avant l’explosion de la bulle internet. Christophe Duhamel explique l’approche communautaire du site et le modèle vertueux qui en découle. Il nous donne ses conseils pour réussir un projet à 8 mains, et revient sur les années où il avait la double casquette salarié/chef d’entreprise. Nous parlons bien-sûr des différents rachats et de l’évolution multi-supports de la marque, mais aussi d’une des clés du succès de Marmiton : le SEO. Enfin, l’entrepreneur nous dévoile comment il voit évoluer le marché et quels sont les enjeux de demain.« Si une marque a une promesse qui est claire et forte, ça marche ! Si en plus elle tient cette promesse, ça marche longtemps. » Les bons plans de Christophe Duhamel :Le restaurant : Chinaski – Cuisine d’auteur (Paris 5e)Le restaurant : Les deux cigales – Cuisine traditionnelle (Paris 6e)Le restaurant : My Noodles – Cuisine chinoise (Paris 6e)Le livre : Introduction à la pensée complexe – Edgar Morin (Seuil)Le livre : Sapiens : une brève histoire de l’humanité – Yuval Noah Harari (Albin Michel) Nous avons aussi parlé de :L’entreprise Alternative Digitale d’Anne-Laure Vincent, co-fondatrice de Marmiton.Son cabinet Caféine Conseil, qui accompagne les entreprises dans le digital.Son livre « Rien n’est interdit – Guide pratique du mieux manger » paru en 2018.Son site Tentationnel qui propose à la vente des produits d’épicerie fine.L’École Internationale de Marketing du Luxe, où il donne des cours.L’équipe Péligourmet, qui livre en direct des producteurs.L’épisode avec Mercotte, présentatrice de l’émission « Le Meilleur Patissier ».L’épisode avec Célia Rennesson, co-fondatrice de « Réseau Vrac ». Pour contacter Christophe Duhamel :https://www.linkedin.com/in/christopheduhamel/ Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
1/25/20201 hour, 45 minutes, 47 seconds
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Business of Bouffe #12 | Dikom Bakang-Tonjé & Bakang Bakang-Tonjé – Dear Muesli | L’histoire de 3 jeunes entrepreneurs passionnés de muesli qui construisent une communauté engagée sur Instagram avec peu de budget et beaucoup d’authenticité

Nous sommes aujourd’hui avec Dikom Bakang-Tonjé et Bakang Bakang-Tonjé, les « Muesli Boys » et co-fondateurs de Dear Muesli. Malheureusement, le 3ème co-fondateur, Sylvain Leba, n’a pas pu être avec nous. La rencontre avec Dikom et Bakang :Nous suivions le développement de Dear Muesli depuis plusieurs années grâce notamment à leur forte présence sur Instagram. On souhaitait mieux comprendre leur parcours et leur stratégie de communication qui leur ont permis de créer une communauté forte et engagée derrière la marque. L’épisode en bref :Dans cet épisode nous revenons sur leur parcours, et notamment l’origine de Dear Muesli. Nous parlons de leurs produits : d’authentiques mueslis inspirés par les recettes de leur mère, mais également de la construction de leur marque sur Instagram. Nous nous intéressons à leur stratégie de distribution, au financement de leur croissance et aux difficultés liées à leur 1ère levée de fonds. Nous évoquons aussi leur dernière actualité : le lancement d’un podcast dédié à la créativité.« L’objectif d’une bonne marque est de faire en sorte que ses clients passent le plus de temps possible avec elle ! » Les bons plans de Dikom Bakang-Tonjé et Bakang Bakang-Tonjé :Le restaurant : Baba Zulu – Soul Food (Paris 10e)Le restaurant : Waly Fay – Cuisine Africaine (Paris 11e)Le restaurant : Petit Bao – Cuisine Chinoise (Paris 2e)Le restaurant : Season – Restaurant / Bar à jus (Paris 3e) Nous avons aussi parlé de :De l’épisode avec Paul-Henri Masson, co-fondateur du « Chocolat des Français ».De l’épisode avec Célia Rennesson, co-fondatrice de « Réseau Vrac ».De l’épisode avec Olivier Birade, fondateur de la marque « Les Nouveaux Formagers »De Glossier, la marque de cosmétique américaine. Pour contacter Dikom Bakang-Tonjé et Bakang Bakang-Tonjé :https://www.linkedin.com/in/dikom-bakang-tonjéhttps://www.linkedin.com/in/bakang-bakang-tonjé Plus d’infos sur Dear Muesli et les Muesli Boys :https://www.instagram.com/dearmuesli/https://www.instagram.com/muesliboys/ Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
1/18/20201 hour, 55 minutes, 36 seconds
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Business of Bouffe #11 | Célia Rennesson – Réseau Vrac | L’histoire d’une entrepreneure qui voulait monter une épicerie et a fini par créer une association pour le développement de la vente en vrac

Nous sommes aujourd’hui avec Célia Rennesson, co-fondatrice et directrice générale de Réseau Vrac, l’association interprofessionnelle pour le développement de la vente en vrac. La rencontre avec Célia Rennesson :Nous suivons le développement de la vente en vrac avec énormément d’intérêt depuis quelques années. Nous avions hâte de rencontrer Célia pour mieux comprendre l’origine de Réseau Vrac et les prochaines étapes dans le développement de ce mode de distribution. C’est chose faite ! Nous avons passé plus d’une heure à discuter avec Célia dans leur locaux du 10e arrondissement de Paris.Dans cet épisode, nous revenons sur son parcours, et notamment l’aventure Réseau Vrac. Nous parlons de l’émergence du vrac, des bénéfices pour les consommateurs et l’environnement, mais également des freins et des perspectives de ce marché. Nous nous intéressons particulièrement aux actions de l’association, à l’accompagnement des porteurs des projets, ainsi qu’aux initiatives auprès de la filière et du gouvernement. Pourquoi la bouffe ?Célia le reconnait : elle a toujours aimé la bouffe et elle s’intéresse depuis longtemps aux modes de production et de distribution des produits alimentaires. En 2013, elle prend conscience de l’impact des emballages et nourrit l’idée de créer sa propre épicerie fine en vrac.« On jette 30kg par an de nourriture dont 7kg des produits préemballés. »En approfondissant le sujet, avec une amie et associée, elles découvrent qu’il est très difficile de se lancer dans le vrac.« Pendant nos recherches, nous nous sommes confrontés au vide ! »Au-delà des difficultés rencontrées pour amorcer le projet, elle se rend finalement compte qu’elle n’est pas forcement faite pour ouvrir une épicerie et « ne veut pas s’enfermer dans une boutique ».En 2016, Célia est contactée par Zero Waste France. L’un de ses membres, Didier Onraita, également fondateur du réseau d’épiceries en vrac Day by Day, lui propose de co-créer une association pour promouvoir la vente de produits en vrac. C’est la naissance de l’association Réseau Vrac. Parlons Business !Pour Célia Rennesson, les bénéfices du vrac sont multiples. Tout d’abord, le vrac permet de réduire le gaspillage alimentaire (en consommant la juste quantité dont on a besoin). Il permet évidemment de réduire les déchets d’emballage. Selon Célia, le vrac permet également de découvrir de nouveaux produits et de créer davantage de liens avec les commerçants. Selon Célia, le principal frein au développement du vrac est le niveau de l’offre : il n’y a pas encore assez d’épiceries vrac en France. Par ailleurs, certains produits sont encore interdits à la vente en vrac, comme les produits sous appellation d’origine, l’huile d’olive (bizarrement !) ou encore les compléments alimentaires. Mais la bonne nouvelle est qu’un projet de loi « anti-gaspillage pour une économie circulaire » est à l’étude afin de favoriser l’utilisation du vrac. Réseau Vrac a d’ailleurs participé activement à la rédaction de cette loi en déposant plusieurs amendements, en collaboration avec le Sénateur Guillaume Gontard. L’association Réseau Vrac est également à l’origine du Salon Professionnel du Vrac. Il fêtera sa 3e édition les 25 et 26 mai prochains. C’est une initiative unique en France et dans le monde. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
1/11/20201 hour, 21 minutes, 7 seconds
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Business of Bouffe #10 | Claude Gruffat – Biocoop | L’histoire d’un fils d’agriculteur qui veut changer l’agriculture par une consommation consciente et engagée

Nous sommes aujourd’hui avec Claude Gruffat. Pionnier de l’agriculture biologique en France, il a notamment dirigé le réseau Biocoop entre 2004 et 2019. Sous sa présidence, l’enseigne est devenue n°1 du secteur. La rencontre avec Claude Gruffat :Philibert connait Claude depuis plusieurs années. Ce dernier avait notamment suivi avec beaucoup d’intérêt le développement de la « Maison de Savoie » à Paris, l’épicerie 100% direct producteurs créée par Philibert en 2015. Nous nous sommes retrouvés tous les trois chez Claude Gruffat, dans le 14e arrondissement de Paris. Dans cet épisode nous revenons sur son parcours, et notamment sa présidence du réseau Biocoop. Nous parlons de la situation précaire des agriculteurs, de l’émergence de la Bio, de l’origine de Biocoop et son développement. Nous nous intéressons aux engagements de Biocoop, son cahier des charges, sa gouvernance et les résultats de cette aventure coopérative hors du commun.Parlons Business !En 1993, pour avoir davantage d’impact et rendre les produits Bio plus accessibles, Claude Gruffat décide d’ouvrir un magasin Bio à Blois. Un an plus tard, il rejoint le réseau Biocoop et s’implique rapidement dans la gestion de la coopérative jusqu’à en devenir président en 2004.Fondé en 1986 à Annecy, Biocoop est une coopérative engagée qui réunit différents sociétaires : propriétaires des magasins, producteurs, salariés et consommateurs. Son organisation interne est très originale car chaque sociétaire a un droit de vote et participe activement à la vie de la coopérative.Au début, la demande pour les produits issus de l’agriculture biologique n’était pas celle que l’on connaît aujourd’hui. Les 1ers clients étaient des militants, initiés et convaincus par les bénéfices de ce mode de production. Selon Claude Gruffat, au-delà du label Bio, il est très important de comprendre toutes les dimensions derrière le produit, comme le bien-être animal, le bien-être paysan, la distance entre la filière de production et les consommateurs, l’impact carbone, etc. Il s’agit ici de la grande différence entre le bio et la Bio.L’utilisation du plastique est par exemple un sujet très important. Sous la présidence de Claude Gruffat, Biocoop a été précurseur en arrêtant la vente de bouteilles d’eau en plastique dès 2017. Il s’agit pourtant du produit le plus vendu en magasin (en volume), mais l’engagement de Biocoop l’a emporté et Claude a réussi à convaincre ses sociétaires. Le cahier des charges Biocoop est très strict, aussi bien pour référencer un nouveau producteur que pour intégrer un nouveau sociétaire, propriétaire de magasin. Claude nous raconte que Biocoop a exclu une centaine de magasins depuis sa création. La même rigidité s’applique aux candidats qui souhaitent ouvrir des nouveaux magasins : ils sont 1 500 candidats chaque année, pour seulement quelques dizaines d’élus.Concernant la logistique, Biocoop compte 4 entrepôts en France pour couvrir la totalité du territoire. Tous les magasins se fournissent auprès de ces entrepôts, mais aussi directement auprès de producteurs locaux, qui respectent le cahier des charges Biocoop. Par ailleurs, la coopérative possède sa propre flotte de véhicules et de camions, ce qui avec le temps lui a permis de réduire considérablement les coûts logistiques.Sur le plan personnel, la prochaine étape pour Claude Gruffat est le parlement européen. Il a en effet été élu au printemps dernier député européen sur la liste Europe Ecologie Les Verts (EELV). Il siègera après le Brexit. Il compte prolonger désormais son combat sur le terrain politique (et cela fera sûrement l’objet d’un prochain podcast !).  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
1/4/20201 hour, 45 minutes, 58 seconds
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Business of Bouffe #9 | Olivier Birade – Les Nouveaux Fromagers | L’histoire d’une box par abonnement qui pivote vers la grande distribution

Nous sommes aujourd’hui avec Olivier Birade, fondateur de la box « Les Nouveaux Fromagers », la première marque de fromages née sur Internet. La rencontre avec Olivier BiradeAvant l’enregistrement, Olivier nous a proposé de découvrir sa box de fromages du mois de novembre 2019. Dans une ambiance détendue, nous avons dégusté une sélection de 4 fromages, ainsi qu’un verre de la cuvée « Rue de la Soif » de Brendan Tracey. Dans cet épisode, nous revenons sur la création de la 1ère box de fromages par abonnement « Les Nouveaux fromages », le sourcing, le financement, l'acquisition digitale des 1ers clients... mais nous évoquons aussi les limites du modèle 100% online et abordons le pivot stratégique de la marque vers la grande distribution. Parlons Business !L'idée de départ est de créer une box de fromages par abonnement. Le concept est original et fait rapidement le buzz à l'époque. Le business model est très intéressant car il nécessite peu d'investissements à l'amorçage. Le succès est immédiat : Olivier nous raconte qu'il vendait près de 1 500 boxes par mois à la fin de la première année.Lors de la 1ère cette année, il est sélectionné dans le programme 101 Projets, organisé par Xavier Niel, Marc Simoncini et Jacques-Antoine Granjon. Il bénéficie ainsi d'un financement complémentaire de 25 000€. Concernant le sourcing, Olivier a suivi une formation de fromager à l'IFOPCA. Dans ce cadre, il a rencontré Yves Cremer, un spécialiste des fromages fermiers à Rungis. Ce dernier, séduit par le concept des « Nouveaux Fromagers », l'a pris sous son aile et lui a ouvert son carnet d'adresses.Mais Olivier Birade se rend vite compte que le modèle économique de la box par abonnement a ses limites : les coûts d'acquisition clients et les coûts logistiques sont très élevés. Il prend ainsi conscience que l’avenir de la société n’est pas dans la box. Dans le même temps, il est approché par Franprix qui cherche une innovation pour la catégorie fromage. Olivier y voit tout de suite une opportunité pour se lancer dans la grande distribution, un marché plus gros et avec plus de potentiel de croissance.Vous découvrirez dans le podcast comment la box « Les Nouveaux Fromagers » est devenue une marque qui réalise aujourd'hui l'essentiel de son chiffre d'affaires en grande distribution. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
12/28/20191 hour, 7 minutes, 40 seconds
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Business of Bouffe #8 | Alexandre Drouard & Samuel Nahon – Terroirs d’Avenir | L’histoire de 2 entrepreneurs qui bousculent la distribution des produits agricoles de qualité

Dans cet épisode nous revenons sur le parcours d’Alexandre Drouard et Samuel Nahon et notamment l’aventure Terroirs d’Avenir. Nous parlons agriculture paysanne, slow-food, production artisanale, gastronomie mais également distribution B2B et B2C, logistique, retail et financement. Pourquoi la bouffe ?Alexandre est tombé dans la « bouffe » très jeune. Son père est un passionné de cuisine et historien de l’alimentation. C’est d’ailleurs ce dernier qui l’incite à s’intéresser au Mouvement Slow Food, qui défend l’agriculture paysanne et la biodiversité. Alexandre en devient très vite adhérent avec son ami du lycée et d’école de commerce : Samuel Nahon. Ils y rencontrent des producteurs qui travaillent différemment et redécouvrent le vrai goût des produits agricoles.Alexandre et Samuel s’étonnent que ce type d’agriculture manque de débouchés alors que, de l’autre côté de la chaîne, les consommateurs, notamment en ville, sont de plus en plus nombreux à rechercher le vrai goût du terroir. Ils vont y remédier. L’idée de Terroirs d’Avenir est née ! Parlons Business !Pour démarrer, Alexandre et Samuel décident de lancer leur activité en distribuant une sélection de produits issus de l’agriculture paysanne auprès des professionnels de la restauration. Bien qu’ils rêvent de proposer ces produits directement aux consommateurs, ils font le choix du B2B dans un 1er temps car ce modèle nécessite moins de financement pour l’amorçage.Au début, ils frappent à la porte des restaurants directement et sont plutôt bien accueillis. Ils reconnaissent avoir eu la confiance des chefs très rapidement car ils proposaient des produits de très grande qualité. Concernant leur offre, tous leurs produits sont issus de l’agriculture paysanne et de la pêche durable. Il s’agit de produits respectueux de l’environnement et qui ont du goût. Leur sélection se positionne au-delà des labels (comme le bio) qu’ils trouvent parfois trop simplistes. Alexandre et Samuel ne sont pas dans une logique locavore. Il est même, selon eux, irréaliste de manger local à Paris car le terroir d’Île de France n’est pas adapté par exemple à l’élevage. En 2013, ils se lancent dans la vente au détail avec l’ouverture d’une première boutique rue du Nil dans le 2ème arrondissement à Paris. A l’époque, il n’y avait rien dans cette rue, à part le restaurant Frenchie du Chef Grégory Marchand. Les loyers sont tellement bas qu’ils font même l’acquisition de trois locaux commerciaux dans la même rue afin d’ouvrir : un primeur, une boucherie-charcuterie et une poissonnerie. Les 1ers clients sont ravis de découvrir des produits qu’ils ne trouvent pas ailleurs. Grâce au bouche à oreille, les boutiques de la rue du Nil connaissent rapidement un grand succès !La réussite du modèle B2C (boutique) leur permet d’ouvrir en 5 ans des boutiques dans 3 autres quartiers à Paris et à Montreuil.Concernant l’organisation, la logistique est la dimension la plus complexe à appréhender. Terroirs d’Avenir dispose d’un entrepôt en région parisienne et travaille avec un acteur externe pour les ramasses chez les producteurs. En revanche, la livraison est intégrée à 100% (Terroirs d’Avenir possède ses propres équipes et véhicules) afin de garantir une très grande fraicheur, aussi bien aux clients B2B (restaurants) que B2C (boutiques).  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
12/21/20191 hour, 7 minutes, 20 seconds
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Business of Bouffe #7 | Emmanuel Rubin - Le Figaro | L’histoire d’un journaliste énigmatique qui aime profondément les restaurants et la gastronomie

Nous sommes aujourd’hui avec Emmanuel Rubin, critique gastronomique du Figaro, co-fondateur du Fooding, éditeur délégué aux éditions Jalou et chroniqueur sur BFM Business. La rencontre avec Emmanuel Rubin :Philibert connait Emmanuel Rubin depuis plusieurs années. Emmanuel avait fait une chronique très enthousiaste sur la « Maison de Savoie », l'épicerie direct producteurs créée par Philibert en 2015. Nous nous sommes retrouvés tous les trois chez Emmanuel dans le centre de Paris.Dans cet épisode, nous revenons sur le parcours d'Emmanuel Rubin. Critique gastronomique réputé du Figaro, à la plume mordante mais respectée, il nous fait part de sa vision du métier de journaliste gastronomique et de l'évolution de la restauration en France ces 20 dernières années. Nous revenons également sur la création du Fooding (dont il a été co-fondateur) et le rapprochement récent du Fooding avec le guide Michelin. Pourquoi la bouffe ?Emmanuel est un « enfant de la casserole ». Ses parents étaient restaurateurs. Il a d'ailleurs longtemps voulu embrasser ce métier jusqu'à ce qu'un professeur l'en détourne et l'oriente vers une formation littéraire. Mais, il n'oubliera jamais sa passion pour la gastronomie. Devenir critique gastronomique est une affaire compliquée : à la fin des années 80, il n’y avait que très peu des places. Selon Emmanuel, les critiques gastronomiques étaient « les ringards de la presse ». Emmanuel a eu la chance de rentrer très tôt au Figaro, notamment au Figaroscope, créé par l'illustre journaliste François Simon. Grâce à sa connaissance de la gastronomie scandinave notamment, il séduit le rédacteur en chef et trouve sa place dans l'équipe. Mais la critique gastronomique commencera un peu plus tard...Parlons Business !Emmanuel Rubin a une passion pour les restaurants, plus que pour la gastronomie. Selon lui, les critiques gastronomiques en France s’intéressent plus à l’assiette qu’au restaurant. Et cela lui pose un problème. Il pense, qu’avant tout, la critique gastronomique doit parler du restaurant. Emmanuel Rubin a une grille de lecture pour juger un restaurant, mais elle est plus instinctive que rationnelle. Son jugement ne s’arrête pas à l’assiette et il observe tout ce qui l'entoure. Emmanuel visite 6 restaurants par semaine, toujours accompagné, et paye systématiquement ses additions. Nous avons aussi évoqué Le Fooding, « un bureau » dédié à la gastronomie, créé par Emmanuel Rubin et Alexandre Cammas. Dans les années 90, les 2 amis observaient avec curiosité l’évolution de la gastronomie, et notaient l'absence d'un média dédié à la « nouvelle cuisine ». Ainsi, en parallèle de leurs activités principales, ils ont décidé en 2000 de créer Le Fooding (l’origine du nom provient de la fusion : food + feeling), avec une forte dimension évènementielle. Même s’il en était très attaché, Emmanuel finit par quitter Le Fooding. Il est resté actionnaire et a pu bénéficier en 2017 de la vente du Fooding au guide Michelin. La critique gastronomique ne représente que 20% de son activité : il consacre l'essentiel de son temps aux éditions Jalou. Cependant, nous lui faisons remarquer qu'il porte de nombreuses casquettes : journaliste, éditeur, animateur radio et TV, consultant, entrepreneur. Au-delà du journalisme, il s’est récemment lancé dans le conseil, avec la création de la société Achab Conseil, en association avec Xavier Barbagelata, professionnel de la publicité et de la photographie. Il nous confirme d'ailleurs que cette activité n'entrera jamais en conflit avec son métier de journaliste car il s’interdit d’écrire sur l'un de ses clients. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
12/14/20191 hour, 40 minutes, 10 seconds
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Business of Bouffe #6 | David Flynn & Thomas Lehoux – Cafés Belleville | L’histoire de 2 baristas qui deviennent entrepreneurs pour partager leur passion pour le café de spécialité

Nous sommes aujourd’hui avec David Flynn et Thomas Lehoux, les fondateurs de Cafés Belleville à Paris.La rencontre avec David Flynn et Thomas Lehoux :Daniel connait David et Thomas depuis quelques années. Il a participé à l’augmentation de capital de Cafés Belleville en 2018. Nous nous sommes retrouvés tous les quatre dans leur nouveau QG du 19e arrondissement de Paris.Dans cet épisode, enregistré dans une ambiance détendue, nous revenons sur le parcours de David Flynn et Thomas Lehoux, et sur l’aventure « Cafés Belleville ». Nous parlons café de spécialité, retail, restauration, financement, rachat de sociétés, mais surtout nous revenons sur les échecs et les réussites qui font de Cafés Belleville une belle histoire entrepreneuriale. Pourquoi la bouffe ?Thomas a démarré sa carrière dans la restauration en France et à l’étranger. C’est en Australie qu’il découvre le monde du café. De son côté, David vit encore aux États-Unis lorsqu’il accepte un 1er job chez Starbucks, puis rejoint l’un des meilleurs cafés de spécialité du monde ! Par la suite, David et Thomas créent chacun de leur coté leur propre coffee shop : David crée Le Télescope et Thomas crée Ten Belles. Ces expériences leur font prendre conscience d’une opportunité : il n’existe pas de bon café torréfié à Paris. Ainsi, il décident de créer leur propre société de torréfaction : Belleville Brûlerie. Pour la torréfaction, ils s’appuient sur les conseils avisés d’une amie américaine de David, experte dans le domaine. David nous confie son secret : Parlons Business !David et Thomas installent leur torréfaction artisanale rue Pradier (Paris 19ème) dans un petit fonds de commerce trouvé sur Le Bon Coin. Ils vendent l’essentiel de leur production à des clients professionnels (B2B) et progressivement s’adressent aux particuliers (B2C) en ouvrant leurs portes au public tous les samedis matin. Les cafés de la Brûlerie Belleville plaisent et le retour des 1ers clients est très positif. David et Thomas vont vite être victimes de leur succès. Pour financer la croissance, ils ont besoin d’argent et font rentrer Jeff Marois au capital, un ancien client qui devient investisseur, puis associé.L’envie de se rapprocher des consommateurs et de montrer la voie aux restaurateurs les pousse à ouvrir un bistro : La Fontaine de Belleville, où ils proposent leur café de spécialité, mais aussi une offre de restauration classique de qualité. C’est un nouveau métier, mais ils veulent faire de La Fontaine de Belleville, une vitrine afin de démocratiser le café de spécialité et montrer qu’il a sa place dans la restauration. En 2018, ils s’installent dans leur nouveau QG et ouvrent un 2ème coffee shop : « Le 50 ». Puis, une opportunité se présente : ils rachètent l’un de leurs clients : les cafés Cuillier, une petite chaîne de 4 cafés parisiens créés par le groupe Lafayette. Cette acquisition va se montrer plus compliquée que prévu.Nous avons également évoqué le sujet complexe de l’agriculture biologique dans le café. Vous découvrirez dans le podcast comment les Cafés Belleville ont décidé de s’engager dans une démarche responsable en abordant le sujet du bio différemment, au delà des labels et de la certification. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
12/7/20191 hour, 44 minutes, 19 seconds
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Business of Bouffe #5 | Mercotte – Le Meilleur Pâtissier | L’histoire d’une influenceuse culinaire multimédia qui a fait sa vie à l’envers

Nous sommes aujourd’hui avec Mercotte, fondatrice du blog « La Cuisine de Mercotte » et jury de l’émission « Le Meilleur Pâtissier » sur M6 avec Cyril Lignac. Nous avons eu la chance de l’intercepter, entre deux rendez-vous, à la sortie de la Gare de Lyon. La rencontre avec Mercotte :Philibert connait Mercotte depuis de nombreuses années : ils sont tous les deux savoyards et amoureux de leur terroir. Mercotte était d’ailleurs l’une des premières ambassadrices de la Maison de Savoie à Paris.Dans cet épisode, nous revenons sur le parcours hors du commun de Mercotte : mère de 4 enfants, co-pilote de rallye, championne de bridge, blogueuse culinaire, animatrice radio puis star de la télévision ! Sans vraiment le vouloir, on le verra, elle est aujourd’hui une influenceuse de 1er ordre et anime une communauté de plusieurs centaines de milliers de personnes… de quoi rendre jaloux les plus grandes marques ! Pourquoi la bouffe ?Elle le reconnaît : elle ne savait pas faire cuire un œuf quand elle s’est mariée. Elle se met à la cuisine plus tard, influencée par son grand frère, qui, passionné de gastronomie, aime recevoir à la maison.Chose très surprenante, avant la cuisine, Mercotte a fait du rallye automobile avec son mari. Elle était co-pilote. Elle devient par la suite championne de bridge, puis arbitre, avant de finalement se tourner vers la gastronomie et organiser des stages de cuisine à la maison avec ses amis. Tout s’accélère en 2005 lors de stages à l’école Valrhona, où elle découvre l’univers de la pâtisserie. Parlons Business !Ce n’est finalement qu’à l’âge de 63 ans que Mercotte lance son blog : « La cuisine de Mercotte ». À l’époque, elle fréquentait des forums sur internet dédiés à la cuisine. C’est précisément dans ces forums que des internautes lui ont suggéré de lancer un blog. Comme Mercotte ne fait rien à moitié, elle lance son blog toute seule, du jour au lendemain, et apprend sur le tas.Même si elle aime dire qu’il est très facile de créer un blog, elle reconnait que cela prend du temps : préparer les recettes, les photographier, écrire les articles, etc… C’est d’ailleurs pour cela qu’elle se lève très tôt, à 4 heures du matin ! Sa ligne éditoriale est la pédagogie : elle sélectionne les recettes de ses chefs préférés, les décortique et les retravaille pour les rendre plus accessibles. Elle ne se voit pas comme une entrepreneure, elle fait tout cela par passion et pour le plaisir.Avec la notoriété acquise grâce au blog, Mercotte a l’idée de publier des livres pour partager sa vision de la cuisine et de la pâtisserie : « 30 desserts créatifs pour toutes les occasions » (2007), son best seller : « Solutions macarons » (2008) et « Solution organisation » (2010). Depuis 2009, Mercotte est également chroniqueuse à la radio et co-anime l’émission « l’Assiette Savoyarde » sur France Bleu Pays de Savoie. Finalement, en 2012, elle est invitée par BBC France pour présenter « Le Meilleur Pâtissier ». La chaîne cherche à l’époque une femme, d’un certain âge, amateure éclairée de pâtisserie. Mercotte coche toutes les cases ! L’émission est un énorme succès et se dirige aujourd’hui vers sa 9e saison. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
11/30/20191 hour, 1 minute, 47 seconds
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Business of Bouffe #4 | Paul-Henri Masson - Le Chocolat des Français | L’histoire de la création d’une marque forte qui allie art et gourmandise

Nous sommes aujourd’hui avec Paul-Henri Masson, cofondateur du Chocolat des Français.La Rencontre avec Paul-Henri Masson :Nous connaissons Paul-Henri depuis plusieurs années et avions suivi avec beaucoup d’intérêt le succès de l’aventure entrepreneuriale qu’il partage avec ses 2 associés : Matthieu Escande et Vincent Muraire. Avant d’enregistrer ce podcast, nous avions rendez-vous avec Paul-Henri au 39 avenue de l’Opéra (Paris 2e). Il brûlait d’envie de nous faire découvrir sa dernière création, et pas des moindres : leur première boutique en propre. L’emplacement est prestigieux et le lieu est à l’image de la marque : pop et colorée.Pourquoi la bouffe ?Pour Paul-Henri : « La bouffe c’est la vie. Il n’y a rien de plus passionnant » .Diplômé d’une école d’art à Bruxelles, il commence sa carrière en tant que directeur artistique en agence de communication. Mais sa passion pour la « bouffe » le rattrape rapidement. Avec Matthieu Escande, un ami rencontré en école d’art (et son témoin de mariage !), ils rêvent de créer leur propre produit, de le façonner et de le distribuer, en s’appuyant sur une communication originale et marrante.Passionnés tous les deux par le chocolat, comme de nombreux gourmands, mais légèrement éclairés sur le sujet, ils s’intéressent et analysent ce marché. Ils décident alors de créer une marque française de chocolat artisanal, avec un 3ème associé, Vincent Muraire, diplômé d’HEC, gourmand et esthète comme ses compères. Ils constatent ensemble que le monde du chocolat artisanal manque de créativité, de sourire et de légèreté. Ils veulent changer les choses !Vous découvrirez dans le podcast comment les 3 associés ont joué de leur talents artistiques et business pour lancer et tester leur concept, créer et commercialiser leurs premiers produits et étendre leur distribution à plus de 300 points de vente en mois d’un an ! Parlons Business !En 5 ans, Paul-Henri Masson et ses 2 associés ont mis en place une organisation efficace et vertueuse. La production est externalisée auprès d’une sélection pointue de chocolateries artisanales. Cela permet aux équipes de se concentrer sur leurs forces : la marque et la distribution. La marque « Chocolat des Français » est aujourd’hui une marque attractive et désirable. Dès sa création, les fondateurs ont voulu construire et installer une marque forte. A l’instar de Mariage Frère, Ladurée ou Fauchon, ils voulaient que leur marque inspire, fasse rêver et rayonne parmi les marques ambassadeurs de la France.Néanmoins Paul-Henri se défend d’avoir fait du marketing (ce n’est pourtant pas un gros mot !). Pour Paul-Henri Masson, leur succès s’explique par le fait d’avoir créé des produits clivants. Certaines personnes n’aiment pas leurs produits. En revanche, ceux qui les aiment, les adorent et en deviennent rapidement fans et ambassadeurs. C’est le principe de la niche !Vous découvrirez dans le podcast comment la force de la marque leur a permis de toucher de nombreux clients B2B (concept-store et épicerie fine) et leur a ouvert une large distribution en France et à l’étranger, sans même avoir recours à une force de vente lourde et coûteuse. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
11/23/20191 hour, 35 minutes, 56 seconds
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Business of Bouffe #3 | Christophe Audouin - Les 2 Vaches (Danone) | L’histoire d’un projet intrapreneurial engagé qui fait bouger un grand groupe

Nous sommes aujourd’hui avec Christophe Audouin, directeur général des « Prés Rient Bio », propriétaire des marques « Les 2 Vaches » et « Faire Bien » (groupe Danone). La Rencontre avec Christophe Audouin :Nous suivions Christophe depuis longtemps sur les réseaux sociaux, LinkedIn notamment. Son engagement pour une alimentation plus responsable nous a toujours particulièrement marqué. Nous étions curieux de connaître les dessous de la marque « Les 2 Vaches » et souhaitions comprendre l’origine de ce projet très singulier d’intrapreneuriat au sein du groupe Danone. Bref, nous rêvions de le rencontrer. Et, grâce à « Business of Bouffe », c’est chose faite ! Dans cet épisode, enregistré dans les bureaux de Danone à Saint-Ouen, nous revenons sur le parcours de Christophe, et notamment sur l’aventure « Les 2 Vaches  ».Parlons Business !Le projet des 2 Vaches s’inspire de l’aventure Stonyflied Farm, le n°3 des vendeurs de yaourts aux US, qui a la particularité de vendre uniquement des yaourts biologiques ! Christophe nous apprend, que dans les années 2000, chose surprenante, le marché bio est beaucoup plus mature aux US qu’en France !Stonyfield Farm a été créée dans les années 1980 par Gary Hirshberg, un enseignant agricole engagé et visionnaire qui voulait contribuer modestement à changer le modèle agroalimentaire et apporter des solutions concrètes pour régler la crise sociale et environnementale.En 2001, Danone rachète Stonyfield, et Frank Riboud, le PDG de l’époque, veut installer un modèle équivalent en Europe, s’inspirant des méthodes et de l’engagement indiscutable de Gary Hirshberg. Pour cela, tout doit être abordé différemment. Il se s’agit pas de lancer une nouvelle marque. Il faut travailler plus en profondeur et s’organiser différemment, comme une entreprise dans l’entreprise. C’est ainsi que « Les 2 Vaches » naissent chez Danone, comme un projet intrapreneurial à part, avec une raison d’être et un engagement très fort. Pour changer les choses et avoir de l’impact, cette organisation doit être agile et autonome, tout en s’assurant du soutient permanent du groupe car le rapport au temps, à la finance et aux retours sur investissement doivent être différent.Vous découvrirez dans le podcast comment Stonyfield France, devenu « Les Prés Rient Bio » a réussi à s’organiser pour créer des marques réellement engagées « Les 2 Vaches » puis « Faire Bien » qui accompagnent et soutiennent les éleveurs bio.Vous découvrirez également que l’engagement des Prés Rient Bio s’étend aujourd’hui au-delà de la filière d’approvisionnement. La société a d’ailleurs récemment été certifiée B. Corp et a ajouté dans ses statuts sociaux sa raison d’être, à savoir : « Contribuer à résoudre la crise sociale et environnementale, et inspirer les autres »Cette raison d’être, qui a été voté par le seul et unique actionnaire : Danone, joue un rôle très important dans les grands arbitrages stratégiques et permet régulièrement de dépasser les critères économiques pour prendre des décisions responsables et durables. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
11/16/20191 hour, 33 minutes, 32 seconds
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Business of Bouffe #2 | Edouard Morhange - Epicery | L’histoire d'une start-up qui soutient les petits commerçants et se marie avec un grand groupe

Nous sommes aujourd’hui avec Edouard Morhange, co-fondateur d’Epicery La Rencontre avec Edouard Morhange :Nous connaissons Edouard depuis les débuts d’Epicery. La Maison de Savoie (l’épicerie 100% direct producteurs créée par Philibert) faisait partie des tout premiers commerçants référencés. Depuis, nous avons suivi avec beaucoup d’intérêt les développements de la jeune pousse FoodTech dont la noble ambition est de soutenir les petits commerces de centre-ville et de faciliter l’accès aux produits frais et de qualité pour les citadins débordés !Dans cet épisode, enregistré dans les bureaux d’Epicery en plein cœur du 9e arrondissement de Paris, nous revenons sur le parcours d’Edouard Morhange, et notamment sur l’aventure Epicery. Pourquoi la bouffe ?Edouard Morhange est un père de famille comblé (4 fois papa). Depuis la naissance de son 1er enfant, comme beaucoup de parents, il a pris conscience de l’importance de l’alimentation. Il s’est alors souvenu de la cuisine de ses parents et de ses grands-parents. Il nous parle notamment avec une sincère émotion du poulet à l’estragon de sa grand mère ! Il cuisine aujourd’hui tous les jours et se dit passionné par la bonne « bouffe » (ça tombe bien !).Cela étant, Edouard n’a pas tout de suite travaillé dans l’univers Food. Vous découvrirez dans le podcast qu’Edouard est un serial entrepreneur : avant Epicery, il a créé 4 start-ups dans des domaines très différents et qui n’ont rien à voir avec la Food : le cinéma (Monsieur Cinéma), le speed-dating (7minutes.com), le marketing (Nouveau Jour) et la librairie digitale pour enfants (Storyplayr).En 2011, en pleine quête de sens, il devient membre du mouvement Slow Food et intègre la Fondation Jamie Oliver dont il devient ambassadeur en France. Il milite pour réduire la consommation de produits transformés et pour sensibiliser les gens à la nécessité de revenir à une alimentation à base de produits frais. Ses convictions sont, vous le verrez, les fondamentaux du projet Epicery. Parlons Business !Epicery naît de la rencontre en 2016 de 3 profils judicieusement complémentaires : Elsa Hermal (jeune entrepreneuse passionnée par la Food) et ses 2 mentors : Edouard Morhange (serial entrepreneur, ambassadeur du Slow Food) et Marc Ménasé (serial entrepreneur, expert en market-place). Très rapidement, les 3 complices souhaitent développer une plateforme de livraison de produits frais issus des petits commerces de centre-ville, prenant ainsi le contre-pied du développement des plateformes de livraison de produits cuisinés/transformés (Deliveroo, Uber Eats, Just Eat…).Les 3 fondateurs vont donc tester leur modèle auprès des parties prenantes. Du côté des commerçants, les premiers retours sont très encourageants. Ces derniers, voyant les usages évolués, sentent qu’il est temps de s’ouvrir au e-commerce et de se faire accompagner. Du côté des consommateurs, le besoin est bien réel : Paris est une ville où il est difficile de circuler, les gens travaillent tard et les commerçants ferment plus tôt. Epicery va changer cela !Vous découvrirez dans le podcast comment les fondateurs ont lancé leur « prouf of concept » et réussi l’exploit de lever 700k€, dès l’amorçage, soit avant même le démarrage de l’activité, auprès d’investisseurs de renom comme Xavier Niel (Free), Jean-David Blanc (Allociné), Benjamin Chemla (Stuart) et Michaël Benabou (Ventes Privée). Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
11/9/20191 hour, 35 minutes, 1 second
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Business of Bouffe #1 | Nicolas Bergerault - Atelier des Chefs | L’histoire d’un passionné de cuisine qui veut démocratiser la formation des particuliers et des professionnels

La Rencontre avec Nicolas Bergerault :Nicolas nous a généreusement reçu dans son atelier du 15e arrondissement à Paris. Nous avons pu tester le fameux cours « pause dej’ » et préparer ensemble un pavé de bœuf au beurre de curry, écrasée de pommes de terre au lait de coco : 30 min de préparation amusante, suivies d’une dégustation exaltante en table d’hôtes, le tout à l’heure du déjeuner. En bref, on a testé un cours de cuisine efficace et pratique, mais surtout on a passé un excellent moment ! Dans cet épisode, enregistré juste après cette immersion décontractée, nous revenons sur le parcours de Nicolas, et notamment l’aventure de L’Atelier de Chefs. Pourquoi la bouffe ?Nicolas est évidemment un passionné. Il cuisine depuis son plus jeune âge. Après ses études (HEC) et un début de carrière chez l’Oréal, il se rapproche doucement de sa passion puisque il intègre Nestlé Restauration en France, Dubaï puis Toronto. À Dubaï, en 2000, il gagne même un célèbre concours de cuisine local. Nicolas Bergerault, avant d’être le co-fondateur de L’Atelier des Chefs, a donc été « Super Cook 2000 » ! Vous découvrirez dans le podcast que cette anecdote a d’ailleurs joué un rôle important dans le développement international de L’Atelier des Chefs.  Parlons Business !Dès le départ, lorsque qu’il créé en 2004, avec son frère François, le 1e atelier dans le 8e arrondissement à Paris, leur rêve était « de remettre les français aux fourneaux ». 15 ans plus tard, l’Atelier des chefs est devenu une référence dans l’univers des cours de cuisine. Et pourtant rien n’a été facile. À l’amorçage, les 2 frères, rejoint par un 3e associé, le Chef Jean-Sébastien Bompoil du Ritz, ont eu beaucoup de mal à convaincre et trouver les financements. Le dossier ne « rentrait pas dans les cases » à l’ époque. Mais les clients ont tranché : l’ouverture du 1e Atelier des Chefs connaît un succès rapide !Le positionnement est clair et porteur. Nicolas le dit lui-même, il s’agit de « cours de cuisine de tous les jours, pour tous les gens, dans la vraie vie ». La demande est là. Les consommateurs n’ont jamais eu autant envie de réapprendre à cuisiner. Le succès des émissions TV dédiées à la cuisine le montre bien.Vous découvrirez dans le podcast comment l’équipe a développé le concept, offline et online, ouvert d’autres ateliers en propre ou en franchise à Paris, en province et à l’étranger, surmonté les difficultés, les erreurs parfois… et capitalisé sur ses forces. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
10/29/20191 hour, 6 minutes, 13 seconds