Jean-Louis Gaillard est l’un des pasteurs de l’Église Évangélique Missionnaire de Chaville, Nanterre et Bihorel en France www.assemblee-chretienne.fr/. Il travaille depuis plus de 30 ans avec la mission CTMI de l'Île Maurice www.ctmi.org . Depuis 2008, il anime des programmes sur des radios télévisions chrétiennes francophones du monde entier. Il a écrit 5 livres de ces petites histoires. Actuellement, il met à la disposition de tous 60 de ses histoires en téléchargement gratuit. L’histoire se compose de 3 à 7 tableaux, une image les illustre au recto, le texte correspondant se situe au verso. Nous sommes en train de réaliser des bandes dessinées de ces histoires afin de les mettre dans les salles d'attente : des églises, cabinets médicaux, etc. Retrouvez-le sur le site www.365histoires.com ou sur YouTube.
La Grand-Mère Et Le Fils Du Pasteur (11-387)
Chaque dimanche après-midi, le pasteur et son fils de 11 ans sortaient dans la ville pour distribuer des brochures d’évangélisation. Mais nous étions en hiver et, ce jour là, Il faisait très froid et il pleuvait beaucoup.
L'enfant qui était déjà habillé dit:
- Papa, je suis prêt
Et son père lui demanda :
- Prêt à quoi mon fils ?
- Papa, il est temps de rassembler nos brochures et de sortir
Son père lui répondit :
- Rémy, il pleut et il fait très froid dehors !
Le garçon surprit alors son papa et lui demanda :
- Mais papa, les gens ne vont-ils pas en enfer même les jours de pluie ?
Son père lui répondit :
- Rémy, le temps ne le permet pas !
Le garçon demanda alors :
- Papa, est-ce que je peux y aller seul ? S'il te plaît !
Son père hésita un moment, puis lui dit :
- D’accord, tu peux y aller. Voici les brochures. Sois prudent.
- Merci, papa !
Et Rémy sortit sous la pluie
Ce garçon de 11 ans, alla dans les rues faire du porte à porte, pour distribuer des feuillets à tous ceux qu'il voyait. Après deux heures de marche sous cette intense pluie, il était trempé, mais il ne lui restait qu'une toute dernière brochure. Il s'arrêta au coin de la rue, cherchant à qui il pourrait remettre le feuillet, mais les rues étaient totalement désertes. Il se tourna alors vers la première maison qu'il vit et se permit de sonner. Il sonna, sonna, mais personne ne répondit. Il sonna encore,encore, et toujours personne, aucune réponse. Enfin, Rémy décida de partir, mais quelque chose l'en empêcha. Encore une fois, il se tourna vers la porte et se mit à sonner et àfrapper fort à la porte. Soudain, Il entendit quelque chose qui remuait, là-haut sur le balcon. Il sonna de nouveau et cette fois, la porte s'ouvrit lentement... Debout à la porte, il y avait une vieille dame avec un regard très triste. Elle demanda doucement
- Qu'est-ce que je peux faire pour toi, mon enfant ?
Avec des yeux et un sourire radieux, le petit garçon lui dit :
- Madame, je suis désolé de vous avoir dérangée, mais je veux juste vous dire que vraiment Jésus vous aime et je suis venu ici pour vous donner mon tout dernier livret, qui vous dira tout sur Jésus et son grand amour pour vous !
Et puis, il lui remit son tout dernier feuillet et s'en retourna pour partir. Elle l'appela et lui dit :
- Merci, mon garçon ! Et que Dieu te bénisse ! (A suivre)
1/24/2024 • 8 minutes, 37 seconds
J'ai vu la victoire ! Edmond Rostand 10-367
De santé précaire, Edmond Rostand ne put s'engager dans l'armée française en 1914. Il se dévoua au chevet des blessés hospitalisés près de chez lui. La veille de l'Armistice arriva.
Le poète était grippé, mais rien ne put le retenir. Il voulut aller à Paris où il arriva le 11 novembre 1918, au matin.
Malgré l'avis de son entourage, il insista pour passer la journée au milieu de la foule en délire.
Le soir, il s'alita, atteint par la terrible épidémie de grippe espagnole qui provoqua tant de décès. Avant de s'éteindre, au début de décembre, il murmura à sa femme :
—Ne pleure pas... j'ai vu la victoire.
D'autres ont salué la victoire de loin sans pouvoir la voir, tel ce soldat français qui périt sur le front au matin même où l'Armistice fut signé.
Pour notre part, même si nous n'avons pas vu de nos yeux la victoire remportée par Jésus sur la croix, victoire sur le péché et sur la mort, nous pouvons cependant affirmer avec l'apôtre Jean, par le moyen des yeux de la foi :
« Car la vie a été manifestée, nous l'avons vue et nous en rendons témoignage… » 1 Jean 1 : 2.
Cependant, nous avons expérimenté sa victoire dans nos vies et l'avons vue à l'œuvre en beaucoup de croyants.
Quand la vraie foi est exercée, la victoire en Jésus est manifestée.
1/24/2024 • 2 minutes, 26 seconds
La Foi d'un Enfant Handicapé !( 25-918)
Qu’y a -t- il de plus touchant que la foi toute simple d’un enfant ?
Johanne vient d’avoir ses sept ans. Elle semble tellement charmante et heureuse de vivre cette jolie petite fille brune au teint clair !
Mais à l’instant on peut déceler, imperceptible, une ombre passer dans ses yeux noirs et pétillants lorsqu’un groupe d’enfants insouciants la dépasse en courant.
Oui, Johanne, c’est seulement en rêve qu’elle court ! Sa démarche est si disgracieuse, affublée de ses grosses chaussures orthopédiques d’où émergent deux petites jambes frêles. En effet Johanne est née avec les pieds bots.
Lors d’une promenade avec sa maman, la jeune infirme est attirée par une joyeuse et puissante clameur qui semble provenir de la grande tente qu'elles avaient déjà repérée la veille sur la place du Marché.
-'Tu crois qu’on peut y aller aussi Maman ?'
-‘Mais oui ma Chérie, pourquoi pas ...’
Elles entrèrent et se mêlant à la foule, elles entendirent un prédicateur appeler les gens à la conversion.
Il expliquait que le Seigneur est toujours le même aujourd’hui comme hier, qu’il désirait perpétuer son ministère de miséricorde pour les malades.
Puis le serviteur de Dieu annonce qu’il allait prier pour les malades et leur imposer les mains selon l’enseignement de Jésus, lui demandant de les guérir.
Plusieurs s’avançaient pour la prière.
-‘Maman, si nous y allions … ‘ dit Johanne
-‘Mais non, ce n’est pas pour toi ‘ répondit sa mère.
Et les yeux pleins de larmes, elle sortit avec la petite infirme.
-‘Maman, tu ne crois pas que Jésus puisse me guérir ?’demanda Johanne à sa mère le long du chemin.
- 'Mais si ma Chérie ‘
Alors pourquoi m’as- tu- dit que ce n’était pas pour moi ?
'Johanne ', reprit la mère, à la fois gênée et émue par tant de foi,
-'Voudrais-tu que nous y retournions demain ?’
-‘Oh oui Maman ! Mais alors il faudra demander au Pasteur de prier pour que Jésus me guérisse, n’est-ce pas Maman ?’
-'Oui ma chérie !’
-‘ Mais alors il faut qu’on aille vite acheter des souliers comme les autres petites filles pour quand je serai guérie.
Allons-y tout de suite avant que les magasins soient fermés !’
Entrant dans la boutique la mère de Johanne après avoir fait signe au vendeur, lui demanda une paire de chaussures qui puissent aller à la fillette.
-‘j’aimerais des souliers blancs !’
Le soir, elle s’endormit en serrant ses souliers blancs sur son cœur …
Le lendemain, quand l’homme de Dieu, après avoir rappelé les promesses de l’Evangile, invita les malades à s’approcher pour la prière, Johanne s’avança au bras de sa mère.
-‘Qu’est-ce que tu as dans ce paquet ? demanda -t-il à la fillette.
-‘J'ai deux jolis souliers que je vais mettre tout de suite quand Jésus m’aura guérie, répondit-elle ‘
Emu aux larmes par une foi si simple et si confiante, l’homme posa ses mains sur la tête de l’enfant et fit cette courte prière :
-‘ Seigneur Jésus, exauce la vraie foi de cette enfant ! ‘
La fillette s’assit et défit ses chaussures orthopédiques.
Ses petits pieds étaient toujours tout tordus.
Elle prit un premier soulier blanc, fit le geste de l’enfiler et c’est alors, qu’en un instant, devant trois mille personnes, le miracle s’accomplit :
Ses pieds se redressèrent !
Et tout de suite, chaussée de ses beaux souliers blancs tout neufs, Johanne, rayonnante, se mit à marcher avec grâce, on aurait dit une petite princesse !
6/27/2023 • 6 minutes, 9 seconds
Une leçon bien donnée !
Dans un village du Liban, une missionnaire regroupait chaque soir quelques enfants pour leur apprendre à lire et elle en profitait pour leur parler du Seigneur Jésus.
Parmi ses auditeurs, il y avait aussi un vieillard, à la fois aveugle et sourd.
— Vous devriez le renvoyer, lui dit une amie, il ne fait que marmonner sans arrêt. Il gêne vos leçons et vous ne pouvez atteindre son âme, captive comme dans une prison au-dedans de lui.
— Ce serait dommage, répondit la missionnaire, car l’enfant qui l’amène sera alors renvoyé aussi.
Le vieillard continua à venir régulièrement sous la conduite de son petit-fils, si bien qu’un jour, la missionnaire eut une idée. Elle prit la main du vieil infirme et y traça avec un doigt les caractères arabes qui désignent le nom de Dieu. Il comprit vite ce premier mot : « Dieu » et ne cessa de le répéter.
Le lendemain, notre amie continua : « Dieu a tant aimé », puis, le troisième jour : « Dieu a tant aimé le monde », et ainsi de suite jusqu’à ce que le vieillard ait appris le verset tout entier.
Dès lors, on le vit chaque jour, assis près du marché, répétant à haute voix à qui voulait l’entendre les mots de la parole de Dieu qui avaient apporté la paix et la joie dans son cœur.
Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en Lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle, Jean 3 : 16.
6/30/2022 • 2 minutes, 31 seconds
L'homme au serpent
O mort, où est ton aiguillon ? L’aiguillon de la mort, c’est le péché, c’est la loi. Mais grâces soient rendues à Dieu, qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ ! 1 Corinthiens 15 : 55-57.
Comment serions-nous face à une telle situation ?
Un individu sur la place du village avait attiré une foule de curieux. Autour de son cou était enroulé un serpent d’une espèce très venimeuse et l’animal bien qu’agacé ne parvenait pas à frapper le charmeur. La plupart des spectateurs étaient figés de peur. Face au danger, à la mort, sommes-nous comme ce public effrayé ou comme ce charmeur de serpent sur de lui ? Il s’avéra qu’au milieu de ces spectateurs l’on s’écria :« Ce serpent n’a plus de dard ! ». Et c’était vrai, le dard et le venin avaient été enlevés et le reptile était parfaitement inoffensif.
Dans 1 Corinthiens 15 : 56, Paul explique : Pourquoi avons-nous peur de la mort ? Parce qu’elle a une aiguillon terrible : l’aiguillon de la mort, c’est le péché.
Hébreux 9 : 27 nous dit aussi : Il est réservé aux hommes de mourir une fois, et après cela vient le jugement,
Voilà bien ce qui la rend si redoutable pour celui qui va rencontrer Dieu.
Mais alors, comment extirper cette aiguillon ? Autrement dit, comment expier le péché ? Ce que nous ne pouvons pas faire, Dieu l’a fait. Christ est mort pour nos péchés. Il les a pris sur Lui, à son compte, comme si c’étaient les siens et il a subi de la part de Dieu le jugement que nous méritions.
Christ est mort pour nous, Romains 5 : 8. Est-ce à dire que tous les hommes seront sauvés ? Hélas non !
Il a plu à Dieu de sauver ceux qui croient,1 Corinthiens 1 : 21.
La question que nous nous permettons de vous poser est celle-ci : est-ce que vous en faites partie ?
Prière pour aujourd’hui :
Seigneur, je désire croire en toi pour que le péché soit enlevé de moi. Je ne veux plus avoir peur de mourir mais je veux avoir cette assurance et cette joie que je te verrais au jour que tu as fixé d’avance.
6/10/2022 • 2 minutes, 53 seconds
Ce que vis la jeune chinoise !
A Pékin, près de Notre poste missionnaire, nous avions notre voisine, une dame veuve qui vivait avec ses trois filles.
La plus jeune qui avait 17ans environ était atteinte de tuberculose pulmonaire. On entendait dans le silence à travers la porte, la respiration courte de ses poumons rongés de maladie comparable au froissement de papier de soie.
Dans ses derniers moments, sa mère et ses sœurs se tenaient à son chevet et pleuraient. Tout semblait fini.
Pendant quelques instants, la mère au cœur brisé donna libre cours à sa douleur.
Et soudain, la mourante ouvrit les yeux et s’écria avec un visage resplendissant de joie et de paix : je suis revenu pour vous dire que j'ai vu le ciel. Oh c’est merveilleux, c’est merveilleux, j'ai vu le seigneur Jésus, et elle mourut. Plus tard, en faisant allusion à ces moments, la mère nous disant, je ne pouvais plus prier mais seulement louer Dieu. Plusieurs fois, des chrétiens chinois qui avaient été témoins de la mort de parents ou d'amis chrétiens, nous ont dit qu'il leur semblait avoir un avant goût de quelque chose de merveilleux juste avant de franchir le seuil. L’Évangile de Jean au chapitre 14 verset 2 nous dit : il y’a plusieurs demeures dans la maison de mon père, si cela n’était pas je vous l'aurai dit. Je vais vous préparer une place.
12/29/2021 • 2 minutes, 28 seconds
Dieu accomplit ses promesses !
Pendant six ans, Adoniram Judson, le célèbre missionnaire baptiste qui défricha la Birmanie, travailla avec zèle et patience sans obtenir une seule conversion.
Quelqu'un lui ayant demandé quelle preuve il avait que le succès couronnerait ses efforts, il répondit :
« Le succès me sera donné parce que je crois en Dieu, qui accomplit ses promesses. »
Trente et un ans plus tard, il y avait en Birmanie soixante-dix églises avec sept mille membres.
« II y a un Dieu qui accomplit ses promesses, aimait-il à répéter. C'est ce Dieu tout-puissant qui a honoré sa foi. Il honorera aussi la nôtre si nous nous fondons sur cette parole de la Bible » :
« Retenons fermement la profession de notre espérance, car celui qui a fait la promesse est fidèle. » Hébreux 10 : 23.
11/2/2021 • 1 minute, 51 seconds
La vraie richesse Yvan le Terrible (11-409)
Au cours du XVIe siècle, Yvan dit le terrible était tsar de toutes les Russies. Il avait l’habitude de s’habiller en mendiant et de se mêler au peuple pour en connaître la vie. Un jour, il parla avec une femme âgée et pauvre. Il en vient à lui parler de Jésus-Christ et lui offrit une Bible en disant : « Tu y trouveras des trésors inépuisables ».
Un mois plus tard, Yvan retrouva la vieille femme. Il était en somptueux vêtements, suivi de ses ministres. La femme reconnut alors le tsar. « Comment, lui dit-il, tu es toujours aussi pauvre, et qu’as-tu fait de la Bible que je t’ai donnée ? »
9/3/2021 • 2 minutes, 13 seconds
Les grottes de Qumran (11-408)
En 1947, un jeune berger arabe, gardant son troupeau dans la région de la mer Morte, cherche une chèvre égarée. Dans les falaises proches de Qumran, il découvre l’entrée d’une grotte. Avec beaucoup d’hésitation, il entre en rampant et trouve une grande quantité de cruches d’argile contenant chacune un rouleau de parchemin.
Aux premiers siècles, on avait ainsi caché de précieux parchemins pour les protéger des pillards et des faits de guerre ...
9/3/2021 • 2 minutes, 31 seconds
Mary Jones et sa Bible (11-407)
Connaissez-vous l’histoire de Mary Jones ? Cette petite fille avait attendu pendant des années qu’une école s’ouvrît dans un village voisin, à 6km de son domicile. Elle s’y rendait tous les jours (pieds nus !) et apprit à lire dans une Bible. Mais comment obtenir une telle Bible ? Son prix était exorbitant pour une petite fille de huit ans, ainsi que pour ses parents. Pendant six années, elle fit toutes sortes de travaux (raccommodages, couture, garde des vaches...) pour gagner un peu d’argent. Lorsqu’elle économisa le prix de la Bible, elle se rendit, toujours pieds nus, à Bala, à 40km de là, où habitait le pasteur Charles.
Mais voilà : il n’y avait plus de Bibles en gallois et l’éditeur londonien avait décidé de ne plus en imprimer ...
9/3/2021 • 5 minutes, 36 seconds
Crayons de couleur (11-405)
Dans un hôpital, une petite fille atteinte de scarlatine se trouvait à l’isolement. Ses parents ne pouvaient la voir qu’à travers une vitre. Mais l’enfant avait trouvé un moyen de communication. Elle faisait coller par sa garde-malade un billet sur sa vitre. Un matin, le père qui passait chaque jour en se rendant au bureau trouva le billet suivant :
« Papa, s’il te plaît, apporte-moi une boîte de crayons de couleur. »
Le lendemain à son arrivée, il trouva un nouveau billet :
« Merci beaucoup papa pour la belle boîte de crayons ! » ...
9/3/2021 • 2 minutes
Eloge au printemps (07-230)
Par un bel après-midi de printemps, nous nous promenions, Sidonie, Marc, Piff (notre caniche) et moi-même dans le parc des Cascades jouxtant notre demeure. La nature semblait revivre après cet hiver qui n'en finissait pas ; des crocus de toutes couleurs jaillissaient, çà et là, de la pelouse encore recouverte de quelques feuilles d'automne égarées par le vent.
Près du lac, où les truites se régalaient goulûment du pain que les promeneurs leur jetaient (sous le regard courroucé du Cygne), étaient assises, sur un banc de pierre, une jeune fille et probablement sa mère, profitant de ce paisible spectacle.
Sidonie et Marc se poursuivaient sur le toboggan accompagné des aboiements de Piff qui participait, à sa manière, à leur joyeuse turbulence ; quand, soudain, du banc où était assise une jeune fille trisomique, s'éleva un chant ; plus qu'un chant, cela me faisait penser à un cantique dont chaque mot, martelé de sa voix grave, demeurait incompréhensible.
La jeune fille s'était levée, cueillant les crocus, tout en continuant de chanter et tournoyant sur elle-même, comme voulant offrir une danse sacrée à l'Eternel, nullement gênée par le regard réprobateur de certains promeneurs. Elle s'offrait à la nature, réveillée par ces premiers rayons de soleil, sous l'œil médusé des enfants : le spectacle était incroyablement fascinant et bouleversant.
Des larmes se mirent à jaillir de mes yeux, émus de tant de beauté. Le cœur plein de tristesse, je me demandai si Dieu, un jour, me permettrait de connaître cette joie immense de pouvoir le louer de tout mon être avec autant de liberté et de simplicité que cette adolescente.
8/25/2021 • 3 minutes, 2 seconds
Dieu m'a dit ! (07-229)
On entend très souvent des « Chrétiens » dire « Dieu m'a dit… »
Un jour, un homme marié alla voir ses amis chrétiens pour leur annoncer que Dieu lui avait dit de quitter sa femme et d'épouser sa secrétaire ; l'homme semblait tellement convaincu que ses amis lui conseillèrent d'aller parler avec son pasteur.
Le pasteur le reçut dans son bureau et écouta son histoire, puis le pasteur lui dit : « Allons prier ! ».
Au bout de deux minutes, le révérend enleva sa chaussure, la prit et se mit à frapper son visiteur. Tout de suite, l'homme cria :
— Mais que faites-vous !
Le pasteur répondit :
— Le Seigneur m'a dit de prendre ma chaussure et de vous frapper !
L'autre répondit, c'est impossible, le Seigneur ne peut pas vous avoir dit cela ! La réponse du pasteur fusa.
— Eh bien, de même que le Seigneur n'a pas pu me dire cela, le Seigneur ne vous a pas dit non plus, qu'il fallait divorcer et épouser votre secrétaire !
L'homme partit tout penaud.
Il est remarquable de voir que dans la Parole de Dieu, lorsque Dieu parle à un homme, il parle aussi à d'autres ; par exemple, lorsque l'ange a annoncé à Marie qu'elle serait la mère du Seigneur Jésus, l'ange est parti aussi l'annoncer à Joseph ainsi qu'à sa cousine Elizabeth et à son mari Zacharie.
8/25/2021 • 3 minutes
La chaîne et la grâce (25-917)
Dans un haut quartier de la ville d’Alger, qui domine le port, et qu’on nomme la Kasbah, on peut encore voir l’ancien palais du Dey, transformé aujourd’hui en musée.
Au pied de l’édifice s’ouvre une salle qui donne sur la rue et qui servait auparavant de tribunal. Au fond se tenaient les juges.
A leur gauche, on trouvait une porte de prison, noire, qui s’ouvrait sur la geôle où le prévenu attendait le jugement.
Au-dessus, des juges pendaient une corde qui permettait, lorsque l’accusé était condamné, de procéder sans délai à son exécution.
On devine l’angoisse des délinquants lorsque la sentence de mort était prononcée à leur encontre. Quelques instants seulement les séparaient de la pendaison. Une seule chance de salut s’offrait au coupable.
A la porte cochère de la salle était suspendue en demi-cercle une chaîne qui subsiste encore aujourd’hui et que l’on aperçoit de la rue. La coutume voulait que le condamné pût tenter une dernière chance d'éviter l'exécution. S’échappant au travers de la foule qui remplissait la salle, s’il pouvait atteindre la porte et toucher de sa main la chaîne de la grâce, il était sauvé.
Les malheureux purent-ils en profiter souvent ? La foule s’ouvrait-elle avec compassion devant eux ? Ou au contraire, resserrait-elle les rangs pour permettre aux juges d'accomplir leur sentence ? Je l’ignore.
Ce que nous savons, c’est que nos fautes accumulées nous ont valu une sentence de condamnation.
Mais une chance de salut subsiste toujours. Jésus, le fils de Dieu est monté sur la croix. Quiconque tourne vers Lui les regards et met en Lui sa confiance, touche la chaîne du salut.
Tous les pécheurs que leur conscience accuse, sont invités par le juge même à recourir à la grâce, et ce, sans tarder.
8/25/2021 • 3 minutes, 36 seconds
La flambeau d'Alexandre Le Grang
L’histoire raconte qu’Alexandre le Grand, chaque fois qu’il mettait le siège devant une ville ennemie, faisait fixer, devant les portes de la cité, un énorme flambeau allumé. Cela signifiait que toute personne qui sortirait vers lui, de jour ou de nuit, tant que le flambeau brûlerait, aurait la vie sauve. Mais, une fois le flambeau éteint, tous ceux qui seraient restés à l’intérieur de la ville seraient, sans miséricorde, frappés par l’épée.
Le monde n’est pas en état de siège ; cependant beaucoup de gens, même parmi ceux qui rejettent la parole prophétique de la Bible, ont le pressentiment que les choses ne peuvent pas continuer ainsi et ils sont saisis d’angoisse.
Le déséquilibre de l’économie mondiale, la consommation effrénée des ressources naturelles, les perpétuels risques de guerre dans tel ou tel point chaud du globe, les menaces qui pèsent sur l’écologie de la planète, sans parler de la dérive morale de la société, sont autant de sujets d’inquiétude pour tous ceux qui veulent bien regarder les choses en face.
Dans la Bible, Dieu a décrit cette ambiance, et en a annoncé l’issue :
La terre chancelle, elle chancelle comme un homme ivre, elle vacille comme une cabane. Son péché pèse sur elle, elle tombe et ne se relève plus, Esaïe 24 : 20.
Mais le « flambeau » brûle encore. Aujourd’hui, c’est encore le temps de la grâce durant lequel Dieu sauve tous ceux qui se confient en Lui.
Au temps favorable, je t’ai exaucé, au jour du salut, je t’ai secouru. Voici maintenant le temps favorable, voici maintenant le jour du salut, 2 Corinthiens 6. 2.
Et maintenant, pourquoi tardes-tu ? Actes 22. 16.
8/25/2021 • 2 minutes, 26 seconds
10-357 Des moineaux effrayés.
Par un soir d’hiver glacial, l’homme entendit un bruit irrégulier martelait la double porte de la cuisine.
Il se rendit à la fenêtre et observa des petits moineaux grelottants qui connaissant la chaleur qui habitait de l’autre côté de la fenêtre s’entêtaient désespérément d’entrer par la vitre.
Touché, le fermier s’habilla chaudement, se fraya un chemin en traînant les pieds, à travers la neige fraîchement tombée et ouvrit la porte de la grange.
Il alluma la lumière, jeta du foin dans un coin et traça sur le sol un sentier à l’aide de petits biscuits salés afin d’y attirer les petits moineaux.
Mais effrayés par la présence du fermier, les oiseaux s’étaient envolés dans diverses directions et demeuraient cachés dans la nuit.
Il essaya différentes techniques - encercler les oiseaux afin de les faire entrer dans la grange, lancer des miettes dans leur direction, se retirer dans sa maison et observer si les moineaux ne se dirigeraient pas d’eux-mêmes vers leur demeure temporaire.
Effrayés par cette énorme créature temporaire, les oiseaux ne parvenaient pas à comprendre que le fermier désirait les aider. Finalement, le fermier entra dans sa maison et surveilla les oiseaux, condamnés à rester à l’extérieur derrière la fenêtre.
Soudain une idée le frappa comme un éclair éblouissant dans un ciel tout bleu. Si seulement je pouvais me transformer en un oiseau et devenir l’un d’eux pour un court moment je ne les effraierai pas autant. Je pourrais leur montrer le chemin vers la chaleur et la sécurité. Au même instant il comprit qu’il venait de vraiment saisir le principe de l’incarnation. Un homme qui devient un oiseau, mais qu’est ce que comparer à Dieu qui s’est fait homme.
L’idée d’un être souverain aussi grand que l’univers qu’Il a créé, qui accepte d’être confiné aux limitations du corps humain, a toujours été et demeure difficile à croire pour certaines personnes
8/25/2021 • 3 minutes, 24 seconds
Le milliardaire et la femme de ménage !
Alors, cette histoire se passe actuellement dans les escaliers d’une tour de la place de la Défense à Paris. Il y avait un certain milliardaire dont les bureaux se trouvaient au huitième étage d'une immense tour de ce quartier d’affaires. Ce grand PDG avait l’habitude de se rendre à son bureau, en prenant l'ascenseur. Par contre, quand il quittait son bureau, il descendait par les escaliers, histoire de faire de l’exercice. C'était un homme hautain qui avait connu la pauvreté auparavant et qui s'était élevé dans le monde par sa propre force et sa grande énergie. Il paie son loyer régulièrement le premier jour du mois, et s’occupe pleinement de son travail. Et il ne s’arrête pas au fait qu’il y ait des êtres humains qui travaillent dans les ascenseurs ou qui nettoient les fenêtres suspendues à des hauteurs vertigineuses au-dessus du trottoir. Il ne se souvient d’aucun d’eux au moment des étrennes pour leur remettre un pourboire. Non il ne pense qu’à lui ! Mais dans cette tour, il y a une femme qui nettoyait les escaliers ainsi que les étages. Il est passé à côté d’elle souvent, mais il ne l’a jamais vue jusque récemment, car sa tête était dans les nuages, il pensait davantage à sa fortune, et la femme de ménage se trouvaient à mi-chemin dans les escaliers, car elle avait commencé en haut et elle avait donné un premier coup de chiffon sur la toute première marche dans une flaque d’eau , il y avait aussi là, un gros pain de savon et le milliardaire mis le pied dessus, le pied qu’il avait posé sur le savon s’envolant vers le soleil levant et l’autre pied entreprit une expédition toute propre vers le soleil couchant et le milliardaire tomba assis sur la première marche. Il tomba par terre et ne resta pas là ! Comme, il avait eu l’intention de descendre, il descendit donc, mais pas de la manière qu’il avait d’abord conçue, et en descendant il frappa chaque marche, un son se faisait entendre comme s’il s’était agi d’un tambour. Et la femme de ménage se rangea poliment de côté pour le laisser passer ! En se relevant, l’homme se demanda s’il devait courir dans le bureau du gestionnaire de l’immeuble pour demander qu’on renvoie la femme de ménage, mais il se dit que si on lui demandait la raison, cela déclencherait une certaine hilarité parmi les autres habitants de l’immeuble, il décida donc de garder le silence ! Mais depuis ce jour, il remarque la femme de ménage et il passe à côté d’elle avec respect et circonspection ! La saluant à chaque occasion. Car personne, malgré sa puissance, ne peut se permettre d’ignorer ses semblables, car une très humble femme de ménage et un pain de savon jaune bien ordinaire peuvent détourner l’attention d’un grand homme de ses rêves ou de ses difficultés professionnelles avec une rapidité surprenante. Par conséquent, considérez ces choses et ne pensez pas que vous êtes plus grand que le plus humble parmi les enfants de Dieu de peur que par accident, vous ne tombiez de votre piédestal et que vos blessures ne vous fassent souffrir un peu plus du fait que vous pourriez croire que la femme de ménage sourit dans ses bulles de savon ! Qu’elle commence sa journée de travail d’une humeur plutôt joyeuse en repensant au plaisir que vous lui avez procuré, car les temps sont difficiles et celui qui fait sourire une femme de ménage n’a pas vécu en vain ! Nous vous encourageons à faire de même et d’avoir toujours une parole gentille eu égard à tous ceux qui travaillent autour de vous comme le dit si bien, le proverbe 25 et au verset 11 :
_ "Comme des pommes d’or sur des ciselures d’argent, ainsi est une parole dite à propos."
Et encore comme a dit Jésus : _"Qu’il n’en soit pas de même pour vous. Mais que le plus grand parmi vous soit comme le plus petit, et celui qui gouverne comme celui qui sert." Luc 22 : 26
8/24/2021 • 6 minutes, 26 seconds
262. Élève De Liszt
Une jeune fille, peu fortunée, nourrissait sa mère et ses frères et sœurs en donnant des leçons de piano. Un jour, poussée par la misère, et afin de se donner quelque prestige, elle fit mettre dans les journaux l’annonce d’un concert en se donnant comme élève de Liszt. Or, ce n’était pas vrai.
Par une coïncidence étrange, le jour même du concert, Liszt arrive dans cette ville. Sans rien savoir, il descend dans l’Hôtel où se donne le concert.
Hors d’elle-même, la jeune fille bouleversée se décide à aller trouver le maître pour tout avouer. Le grand artiste se montra plein de bonté envers la jeune fille dont les yeux étaient remplis de larmes.
- Pauvre enfant, pauvre enfant, lui dit-il, je vous pardonne !
Le célèbre compositeur demanda alors à la jeune pianiste de se mettre au piano. Il écouta, la rendit attentive à quelques fautes, l’engagea à nuancer certains passages du morceau, puis il ajouta : « Vous pouvez dire maintenant que vous êtes mon élève, et je vous prie de mettre au programme que Franz Liszt jouera le dernier morceau ».
Combien de chrétiens ne sont disciples de Christ que de nom ! Oh toi qui portes le nom de chrétien, es-tu vraiment à l’école de Christ ? Va, dis-lui tout. Il te pardonnera et mettra son nom dans le programme de ta vie.
8/24/2021 • 2 minutes, 26 seconds
L'horloge et l'inspecteur
Voilà plus de cinquante ans, un inspecteur de la Poste arrivait inopinément dans un bureau. Et interrogeait les employés : - Est- ce que vous prenez bien l'heure exacte à la radio chaque jour ?
- A vrai dire, j'ai tellement de travail que je la règle plutôt sur l'horloge de la mairie, juste en face. Une horloge toute neuve ! Monsieur l'inspecteur. - Cela ne veut pas dire qu'elle soit exacte parce qu'elle est neuve ! Il est de toute importance d'avoir l'heure juste dans un bureau de poste. Réglez donc votre pendule sur la radio ! L'employé promit qu'il le ferait tout en pensant que l'inspecteur était bien maniaque. À la sortie l'inspecteur jette un regard sur l'horloge de la mairie qui a une bonne apparence dans son aspect de nouveautés. Il aperçoit le concierge devant la porte et l'interpellent : - Vous avez donc une nouvelle horloge à la mairie. - Est-ce qu'elle est bien exacte, au moins ? - Oh ! elle marche à merveille - Mais comment donc, le savez-vous, mon ami ?
- Eh bien, je la règle d'après le bureau de poste, car je vois bien qu'elle ne varie pas. Vous savez les postiers, ils ont toujours l'heure exacte. Ainsi chacun était persuadé d'avoir l'heure juste en se fiant aux voisins d'en face ! Mais c'était évidemment une garantie bien précaire N'en n'est-il pas aussi pareillement des chrétiens qui s'efforcent de régler leur conduite sur celle de leurs frères et sœurs dans la foi ? Ces derniers pour leur part utilisent la même façon de faire. En effet, il existe une norme infaillible : Un guide sûr et éprouvé pour nous conduire dans l'obéissance qui glorifie Dieu. Il s'agit de la Bible que nous devions lire et puiser chaque jour, elle nous révèle Jésus ! Lui seul a pu dire dans l’Évangile de Jean au chapitre 14 verset 6 "Je suis le chemin, la vérité et la vie"
8/24/2021 • 3 minutes, 20 seconds
Le jardin mal tenu
— Je trouve que Dieu est injuste, estimait un cultivateur. Pourquoi ne donne-t-il pas aux hommes tous les moyens d’être heureux ? Bien des choses devraient changer…
— Je suis d’accord avec vous, répondit un estivant en vacances dans le village. Par exemple, regardez ce pauvre jardin plein de mauvaises herbes ; tout est sec ; la nature l’a plutôt malmené, ce jardin !
— On voit que vous ne connaissez pas son propriétaire : un paresseux, un ivrogne qui laisse tout aller chez lui.
— Peut-être, mais il ne commande ni au soleil, ni à la pluie, ce n’est pas lui qui fait pousser ses légumes.
— Pas d’accord avec vous, reprit le premier, c’est tout à fait sa faute. Le jardin d’à côté reçoit les mêmes pluies, le même soleil et voyez comme il est bien entretenu…
— Eh bien, mon cher, conclut l’étranger, il en est de même du monde. A qui la faute si au point de vue moral, il est à l’état sauvage ? A Dieu dont la belle création répondait exactement aux besoins de sa créature ? Ou à l’homme qui gâche stupidement ces ressources et a transformé cette terre en une véritable jungle ! L’homme pollue, dévaste et perpétue l’injustice sociale. Et tout cela sans fruits pour Dieu. Mais, il viendra un moment, où Dieu retirera aux descendants d’Adam l’administration de la terre et la confiera à Christ, le roi de l’univers. Alors, seulement règneront l’ordre, la paix et la justice dont l’homme ne peut jouir tant qu’il n’obéit pas à Dieu ».
Le Dieu vivant, qui a fait le ciel, la terre, la mer, et tout ce qui s’y trouve. Ce Dieu, dans les âges passés, a laissé toutes les nations suivre leurs propres voies, quoiqu’il n’ait cessé de rendre témoignage, Actes 14 : 15-17.
8/24/2021 • 2 minutes, 48 seconds
Il méprisait les lettres de sa mère !
Voilà bien des années, en Chine, un jeune homme qui avait vécu uniquement pour les plaisirs de ce monde, mourut sur un bateau qui voguait sur le fleuve Yang-Tsê Kiang, le plus long fleuve d’Asie, 5500 kms. Sa mort n’avait été que le reflet de sa vie.
Les autorités trouvèrent parmi ses papiers un volumineux paquet de lettres qu’il n’avait jamais été ouvertes. C’était des lettres de sa mère. Le paquet fut retourné à celle qui en avait été l’auteur, conformément au règlement consulaire, et cette femme eut ainsi en même temps la douleur d’apprendre la mort de son fils et le chagrin de constater que les lettres qu’elle lui avait envoyées n’avaient jamais été lues.
Quel fils indigne ! s’écria -t-elle, et à juste titre, mais combien de personnes méprisent également la Parole de Dieu, la Bible, la lettre que Dieu a envoyée aux hommes dans son immense amour. S’ils la possèdent, ils ne la lisent pas ; s’ils ne la possèdent pas, ils ne cherchent nullement à s’en procurer une et à la lire, alors que cela leur serait si facile de le faire.
Jésus déclare : Heureux plutôt, ceux qui écoutent la Parole de Dieu et qui la gardent ! C’est dans Évangile de Luc chapitre 11 verset 28
Lisez-vous cette parole que Dieu, vous a adressé. Cette parle ou Dieu a envoyé son fils sur la terre pour nous transmettre cette parole de vie et nous donner la vie. Vous perdez beaucoup de ne pas la lire. Je vous encourage à la lire ! Que Dieu vous bénisse !
8/24/2021 • 2 minutes, 9 seconds
Témoignage Stal Gamin miraculé du COVID 19
Témoignage du pasteur Stal Gamin miraculé du COVID 19
8/24/2021 • 6 minutes, 40 seconds
Impatience ou confiance ?
Il vaut mieux être patient que fort, nous dit le livre des Proverbes. Une jolie petite fleur bleue avait poussé au bord du chemin. Cette fleur transpirait beaucoup sous les ardents rayons du soleil. Elle n’appréciait pas du tout cette chaleur torride ; aussi se mit elle à souhaiter ardemment que le vent se lève pour la rafraîchir.
— Sois patiente et accepte ce que Dieu t’envoie. Ne pense pas qu’il t’abandonne. Comme il est ton créateur et qu’il t’aime, il te donne ce qui est le meilleur pour toi.
La sueur coulait le long des feuilles de la petite plante. Soudain, une brise douce et légère se leva et se mit à la caresser. Pendant quelques instants, la fleur se sentit bien ; elle était heureuse. Mais son sourire disparut bien vite : comme ce courant d’air dessèche mes feuilles ! Pourquoi n’a-t-il pas amené la pluie avec lui ?
La pluie arriva, les gouttes ruisselaient sur elle. La fleur gémit à nouveau : je n’en peux plus ! Pourquoi le soleil ne brille-t-il pas ? L’auteur d’un aussi sale temps n’est qu’un tyran ! À coup sûr, mes rhumatismes vont me reprendre !
Au bord du chemin, notre petite fleur se lamentait jour et nuit. Par temps de pluie ou de brouillard, elle n’était jamais heureuse ; elle n’avait jamais la patience d’attendre qu’au soleil succède la pluie, à la pluie le vent, au vent à nouveau le soleil. Finalement, elle sombra dans une profonde mélancolie.
Ne sommes-nous pas comme cette fleur ? Nous trouvons toujours matière à nous plaindre. Dans le mot patience, il y a l’idée de souffrir. Or nous vivons dans un monde qui recherche la jouissance et esquive la souffrance ; nous poursuivons le plaisir et rejetons toute contrainte.
Jacques est pourtant clair :
Mes frères, considérez comme un sujet de joie complète les diverses épreuves que vous pouvez rencontrer, sachant que la mise à l’épreuve de votre foi produit la patience. Mais il faut que la patience accomplisse une œuvre parfaite, afin que vous soyez parfaits et accomplis, et qu’il ne vous manque rien.
Ne voulez-vous pas déposer vos fardeaux, vos soucis sur le Dieu vivant et vrai ? Il sait ce qui est le meilleur pour nous.
Réjouissez-vous en espérance. Soyez patients dans l’affliction. Persévérez dans la prière, Romains 12 : 12.
8/24/2021 • 3 minutes, 47 seconds
Utiliser la puissance de Dieu
Le célèbre compositeur Franz Joseph Haydn était interrogé par un éminent musicien intrigué de savoir comment il pouvait retrouver si rapidement sa force intérieure après une période d’efforts intenses. Il répondit : « Quand je me sens fatigué après avoir créé une composition, je me retire pour prier. Ce simple remède ne m’a jamais fait défaut ».
Les croyants qui parlent à Dieu quand ils ont besoin de se ressourcer, se branchent sur la réserve de toute force : le Tout-Puissant lui-même.
Christ nous a donné le plus bel exemple de la façon de résister par la prière aux pressions de la vie. L’Evangile de Marc nous apprend qu’après une épuisante journée où il avait enseigné, guéri, chassé des démons, Jésus ne dormit que très peu. Avant le lever du soleil, il se retira dans un endroit à l’écart pour s’adresser à son Père et renouveler sa vigueur spirituelle. Si le Fils de Dieu trouvait nécessaire de préparer son cœur au début d’une autre fatigante journée, combien plus, avons-nous besoin, nous autres, faibles humains, de prendre le temps de prier avant d’affronter nos responsabilités !
Celui qui se rend compte des complexités et des exigences de la vie ne devrait jamais rien entreprendre sans demander au Seigneur de la diriger. Nous pouvons avoir confiance que
Ceux qui se confient en l’Eternel renouvelleront leurs forces, Esaïe 40 : 31.
S’étant levé sur le matin, longtemps avant le jour, il sortit et s’en alla dans un lieu désert, où il pria, Marc 1 : 35.
8/24/2021 • 2 minutes, 54 seconds
Une déclaration d’amour peut-elle être un piège ?
J’étais parti de Belfort en train, et pour la première fois en tenue militaire. Je me trouvai déjà en Allemagne pour atteindre bientôt Coblence où l’on m’attendait à la caserne de mon futur bataillon médical. À un arrêt, une belle jeune fille allemande monta dans le train et trouva place dans notre compartiment, où se trouvaient déjà plusieurs militaires. Comme elle parlait bien le français, elle nous précisa qu’elle prenait ce train régulièrement, pour aller à son lieu de travail, quelques gares plus loin.
Sa destination arrivante, elle se leva et, avant de nous quitter, elle serra la main à chacun de nous. En serrant ma main, elle y laissa incognito un petit papier plié plusieurs fois, où elle avait écrit : « Je t’aime de tout mon cœur », accompagné bien sûr de tous les renseignements pour la retrouver.
Mais cette déclaration d’amour, elle ne l’avait pas écrite dans le train, en face de moi, en succombant à quelque charme éventuel de ma part. Cette déclaration piège, était déjà prête d’avance dans son sac à main, pour jeter son grappin, à la bonne occasion, sur l’homme de son choix. Bien sûr. Dieu merci, je n’ai pas donné suite à ses avances, sinon j’aurais peut-être fini, comme ce jeune homme dont parle la Bible :
Elle le séduisit à force de paroles, elle l’entraîna par ses lèvres doucereuses. Il se mit tout à coup à la suivre, comme le bœuf qui va à la boucherie, Proverbes 7 : 21-27.
8/24/2021 • 2 minutes, 26 seconds
Le mensonge puni
Le roi de Prusse, Frédéric-Guillaume (1798-1861) s’arrêta un jour dans un relais de poste. Remarquant un Nouveau Testament sur le comptoir, il demanda au maître de poste s’il le lisait régulièrement.
— Oui, Sire, chaque jour.
— Très bien ! Et où en êtes-vous maintenant ?
— A l’évangile de Matthieu.
— Bien ! Continuez à lire sans vous presser, mais faites-le soigneusement tous les jours. A celui qui cherche le salut de son âme, le Seigneur ne manque pas de lui répondre. Il peut aussi, s’il le juge opportun, lui octroyer des bénédictions terrestres.
Là-dessus, profitant d’une courte absence de l’hôte, le roi déposa secrètement plusieurs billets de banque à la fin de l’évangile de Matthieu.
A son retour de voyage, Frédéric-Guillaume s’arrêta de nouveau chez le maître de poste et lui demanda où il en était arrivé de sa lecture.
— A l’évangile de Luc, Sire.
— Eh bien, voyons ce qu’il en est. Prêtez-moi votre Nouveau Testament.
Les billets de banque se trouvaient encore à la place où le monarque les avait placés.
— Le mensonge, dit le roi au bonhomme qui rougissait de honte, est un grave péché. Et il reprit l’argent qu’il fit distribuer aux pauvres du village.
Celui qui méprise et néglige la Parole de Dieu perd bien plus que tout l’or et l’argent que cette terre peut lui offrir ; il perd l’occasion de connaître Jésus qui seul est :
Le chemin, la vérité et la vie, Jean 14 : 6.
Les lèvres fausses sont en horreur à l’Eternel, Proverbes 12 : 22.
Eloigne de moi la fausseté et la parole mensongère, Proverbes 30 : 8.
Ne mentez pas les uns aux autres, vous étant dépouillés du vieil homme et de ses œuvres. Colossiens, 3 : 9.
8/24/2021 • 3 minutes, 6 seconds
Laisser faire Dieu !
À Florence, plusieurs sculpteurs taillaient en vain un immense bloc de marbre. Frappé à coups de ciseaux et de marteaux, il n’avait plus aucune forme jusqu’à ce que l’on fasse appel à Michel-Ange pour qu’il en tire quelque chose de beau. Il fit construire une cabane autour du bloc de marbre et travailla pendant dix-huit mois à l’abri des curieux.
Enfin, il invita ses concitoyens à venir voir son œuvre. De la masse informe, maltraitée par les autres sculpteurs, émergeait la statue du jeune David, le berger-roi d’Israël, qui est maintenant l’une des gloires de Florence.
Sur le plan spirituel, le Christ peut s’emparer des vies que le péché a saccagées et les transformer à son image. Voulez-vous le laisser faire son œuvre en vous ?
Mes enfants pour qui j’éprouve de nouveau les douleurs de l’enfantement, jusqu’à ce que Christ soit formé en vous, Galates 4 : 19.
8/24/2021 • 1 minute, 57 seconds
Lettre d'un Papa à son fils ainé, David.
À notre fils David,
David, je me souviens de toi lorsque tu étais enfant. Tu parlais du Seigneur Jésus à tout le monde et c'était une joie pour tes parents ! Tu t'adressais aussi bien aux prêtres du village qu'à l'homme qui venait sortir les poubelles de notre immeuble. Puis tu as grandi et je me rappelle tes premiers cours de philosophie en classe de 1re qui ont amené un trouble certain à ta vie spirituelle. Tu découvrais un autre mode de pensée que celui que tu avais connu.
Puis l'année suivante, alors que tu aurais dû être en classe, je te rencontre d'une façon impromptue dans la rue, et je te demande ce que tu fais là ? Et tu me racontes que tu n'as pas classe et que tu vas faire une course ! Je trouve cela tellement surprenant que j'appelle la direction du Lycée qui me confirme que tu ne vas plus à l'école depuis plusieurs jours. Tu m'expliques alors que tu as 18 ans, que tu es majeur, et que c'est toi qui signes maintenant tes bulletins d'absence ! Je suis abasourdi, mais je reste calme et je me rappelle que je te dis :" pas de problème c'est ton choix David, mais maintenant ne vis pas dans le mensonge, et va travailler !"
Quelques jours après, tu rencontres un journaliste spécialiste en codage informatique qui te prend sous son aile et tu apprends à écrire des programmes informatiques. Mais cette année-là également, tu me déclares ne plus vouloir aller à l'église et mener ta vie comme tu l'entends. C'est alors que commence une descente aux enfers dans la drogue qui nous angoisse, car ta maman et moi te voyons quitter nos relations parentales, pour vivre la nuit dans un monde que nous ne connaissons pas. Mais là, je te laisse raconter.
Par ailleurs, je vois nombre de choses entassées dans la cave, des vélos, des chaînes hi-fi, etc. Et je réalise que pour dealer, tu te procures des choses qui ne t'appartiennent pas. Je tente de parler avec toi, mais tu me donnes des explications extravagantes qui ne me rassurent pas.
Alors, durant plusieurs années, ta mère et moi, prions pour toi chaque jour et attendons chaque soir que tu rentres à la maison, debout derrière la fenêtre, jusqu'à ton retour à une heure avancée de la nuit. Durant cette période, nous sommes secoués par cette situation : alors que je suis pasteur, j'ai un fils qui vit la nuit, qui doit fumer des substances illicites.
Sachant que la Parole de Dieu nous dit que "le pasteur doit tenir ses enfants dans la soumission et dans l'ordre." Que dois-je faire ? :
- Démissionner de ma fonction de pasteur ou mettre notre fils à la porte de la maison ?
Le Seigneur me parle alors et me dit : "Ne démissionne pas et ne mettez pas votre fils dehors, car vous allez le perdre, mais supportez cette épreuve et attendez-vous à moi, car j'agirai en mon temps."
Ce temps a été pénible à vivre, mais il a été l'occasion pour le Seigneur, de nous montrer notre loi, nos principes rigides et notre orgueil, que Lui seul pouvait traiter.
Nous avons appris à prendre notre croix ; pas la théorie d'une prédication, mais une réalité dans notre vie de tous les jours.
Cela a été une période difficile, mais nécessaire pour notre maturité spirituelle. Nous sommes heureux d'avoir traversée ce chemin afin de mieux connaître le Seigneur et de pouvoir grandir avec Lui. Nous apprenons toujours à travers les épreuves, rarement quand tout va bien !
Et en définitive, ces moments difficiles ont fortifié notre couple et ont approfondi notre relation avec notre Seigneur Jésus.
Nous en sommes reconnaissants et nous pouvons aider ceux qui traversent les mêmes situations à regarder au Seigneur en comptant sur Sa grâce.
Mon fils, Ta maman et moi, nous t'aimons et nous voulons continuer à servir le Seigneur.
Papa & Maman
8/24/2021 • 4 minutes, 2 seconds
Croire au progrès !
Le monde va à sa perte ! Le monde va de mal en pis !
Nos parents croyaient pour la plupart que leurs enfants seraient plus heureux et plus prospères qu’eux. Le progrès des sciences et des techniques permettrait une plus grande maîtrise de la nature. La prospérité future ferait oublier les souffrances du passé…
La conquête des énergies (vapeur, électricité, nucléaire) et les succès de la médecine ont fait naître en occident un grand orgueil et des espoirs démesurés. La recherche d’un monde meilleur a nourri les ambitions les plus nobles et les plus folles. La foi dans le progrès, chez les nations qui ont délaissé le christianisme, est devenue une sorte de religion laïque : demain, on fêterait l’extinction de la pauvreté, demain le progrès souverain conduirait à une planète illuminée par la Justice et la Liberté… Mais depuis une trentaine d’années, c’est la désillusion croissante. Et les parents se demandent avec inquiétude dans quel monde vont vivre leurs enfants !
Dieu a donné pour vocation à l’homme de gérer la terre… non pas égoïstement, mais pour Dieu et avec Lui. Nous pouvons profiter avec reconnaissance des progrès matériels, mais sobrement et en cherchant d’abord ce qui plaît au Seigneur.
La Bible nous montre que l’état moral du monde ira en empirant et que Dieu devra ôter le mal de la terre par de terribles jugements avant d’instaurer une ère de justice et de paix. Mais maintenant encore, le salut est offert à chacun. Non pas un salut lié à la prospérité matérielle, mais le bonheur de se savoir pardonné et aimé, d’avoir la paix avec Dieu par la foi en Jésus-Christ, et l’espérance d’être toujours avec lui au ciel.
Et croyez-moi
Le jour du Seigneur vient comme un voleur dans la nuit. Quand ils diront : « Paix et sureté », alors une subite destruction viendra sur eux, 1 Thessaloniciens 5 : 2,3.
Et encore
Car je connais les projets que j'ai formés sur vous, dit l'Éternel, projets de paix et non de malheur, afin de vous donner un avenir et de l'espérance., Jérémie 29 : 11.
8/24/2021 • 3 minutes, 20 seconds
Le départ de son mari, le compagnon de sa vie.
La vielle dame de 93 ans tremble un peu en racontant cette page précieuse de sa très longue vie. Il était cardiaque, ce jour-là rien de spécial ne s’était passé mais le soir il lui dit :
- Le Seigneur m'a dit : je viendrai te chercher cette nuit.
Elle était sous le coup. On partira ensemble tu le sais bien, et elle le regardait. Il était dans son bon sens pensait elle. Cela doit être vrai.
- Chérie nous avons passé 67 années de bonheur ensemble. Nous allons rendre grâce à Dieu, le remercier parce que ce n'est pas le lot de tout le monde tu sais, nous allons lire un psaume et après nous prierons.
Et c'est ce qu'ils firent. Puis, ils allèrent se coucher. Vers 4h du matin, voici ce qu'il lui dit :
- Je te remercie d’avoir été une compagne aussi admirable pour moi. Pardonne-moi si je t'ai peut-être peiné sans le savoir.
Elle dans un souffle :
- Toi aussi tu as été un mari merveilleux pour moi, merci.
Et il s'est endormit pour toujours. La vieille dame aux mains qui tremblent, à la pensée forte ajoute :
- Et je restai la avec ces beaux souvenirs en entendant qu’un jour prochain, le Seigneur vienne me chercher à mon tour et que nous soyons réunis à nouveau dans le royaume de notre Père Céleste.
8/24/2021 • 2 minutes, 15 seconds
Monde moderne !
Alexis Carrel (1873–1944), le célèbre chirurgien et physiologiste qui ouvrit la voie aux opérations à cœur ouvert, a écrit :
« On dirait que la vie moderne s’est engagée dans une impasse. L’intelligence, dans son développement égoïste, isolée du domaine spirituel, est une monstruosité. Sur l’arbre de la science, l’homme moderne a cueilli, pour la seconde fois, le fruit défendu. La difficulté vient de ce qu’il connaît les lois de la mécanique, de la physique, de la chimie ; mais qu’il ne se connaît pas lui-même. Il a donc créé un paradis qui ne lui convient pas, un monde dur, géométrique, technique ».
Ces réflexions sont plus que jamais actuelles : l’homme, qui a cru pouvoir se passer de Dieu, s’aperçoit qu’en lui-même subsiste un vide immense que rien ne peut combler. Il a voulu se libérer et il est tombé dans de nouvelles servitudes. La technique, le confort, les facilités, l’argent, les plaisirs, voilà ce qui l’enchaîne. On n’écarte pas Dieu de son chemin sans en subir les plus grands dommages.
Mais ce Dieu, dont on ne veut pas, est toujours là et il attend le pécheur repentant. Il faut que chacun reconnaisse sa culpabilité personnelle et la valeur du sacrifice de Jésus. On ne vient à Dieu qu’en passant par la croix.
Si donc le Fils vous affranchit, vous serez réellement libres, Jean 8 : 36.
Christ est mort pour tous, afin que ceux qui vivent ne vivent plus pour eux-mêmes, mais pour celui qui pour eux est mort et a été ressuscité, 2 Corinthiens 5 : 15.
8/24/2021 • 2 minutes, 53 seconds
Astronome mais déserteur
William Herschel, Hanovrien vivant en Angleterre au XVIIIème siècle, musicien de renom, fut aussi un célèbre astronome qui construisit un télescope par le moyen duquel il découvrit la planète Uranus. Quand le roi d’Angleterre, George III, qui s’intéressait aux questions scientifiques, l’apprit, l’astronome reçut l’ordre de se présenter au château de Windsor. Il s’y rendit avec son télescope.
Cependant, Herschel traînait derrière lui une grave faute qu’il croyait ignorée : il avait autrefois servi dans la garde royale, puis avait déserté. C’était, à l’époque, un crime passible de mort.
L’astronome fut introduit en présence du roi ; une foule nombreuse était réunie dans les salons du château. Le roi le salua brièvement : « Monsieur, avant que nous ne parlions d’astronomie, nous avons une petite affaire à liquider ».
Et il tendit à Herschel une lettre cachetée du sceau royal. A son extrême stupéfaction, le savant y trouva, écrite de la main du roi, une déclaration par laquelle il recevait plein pardon pour la faute qu’il avait commise. Aux yeux de la loi, il n’était plus coupable. Le roi l’acquittait. Son cas se trouvait définitivement réglé.
Les hommes portent le fardeau de leurs péchés. Du point de vue de la loi divine, ils sont condamnés. Mais le Fils de Dieu en a subi le châtiment et Dieu acquitte entièrement celui qui le croit simplement.
Il n’y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ, qui marchent, non selon la chair, mais selon l’esprit, Romains 8 : 1.
8/24/2021 • 2 minutes, 39 seconds
Choisir sa propre voie
Ayant survécu à 3 sombres années passées à Auschwitz et et dans d’autres prisons nazies, le Dr Victor Frank a écrit ses observations sur la vie dans les camps de Hitler. Nous avons vécu dans les camps de concentration, nous pouvons nous rappeler les hommes qui réconfortaient les autres dans les baraquements, donnant leur dernier morceau de pain. Ils sont peu nombreux, mais ils attestent clairement qu’on peut tout enlever à un homme sauf une chose : la dernière des libertés humaines. Choisir son attitude dans n’importe quelle circonstance, choisir sa propre voie
8/24/2021 • 1 minute, 27 seconds
L'Eglise peuple sans frontière
Sans Frontières, cette seule expression soulève un élan d’espoir parmi les hommes. On parle de « Médecins sans frontières », de « Jeunes sans frontières », de « Voyages sans frontières ». Combien aimerait-on un monde qui ne serait qu’une seule communauté fraternelle d’êtres humains, paisibles et sans rivalité ! Mais les frontières existent… Elles existent parce que le mal existe, parce que les peuples s’envient et s’opposent. Chacun cherche à se protéger et à protéger ses richesses. C’est vrai sur le plan des individus, comme sur celui des nations.
Pourtant, il existe une grande communauté sans frontières. C’est l’Eglise, qui est constituée de l’ensemble de ceux que le Seigneur a sauvés. Quelles que soient notre race, notre nation, notre âge, notre instruction, notre situation sociale, si nous avons cru Dieu qui a donné son Fils pour nous, nous faisons partie de l’Eglise. Nous formons un seul ensemble spirituel :
« Nous avons tous, en effet, été baptisés dans un seul Esprit, pour former un seul corps… » 1 Corinthiens 12 : 13.
Quelle joie profonde de contempler avec le regard de la foi tous les chrétiens unis à Christ ! Cette unité fondamentale de l’Eglise est, hélas, aujourd’hui invisible, mais un jour, il y aura au ciel des hommes rachetés,
« …de toute tribu, de toute langue, de tout peuple, et de toute nation ; » Apocalypse 5 : 9.
Déjà maintenant, que nos pensées et notre amour s’étendent à tous les enfants de Dieu sans distinction !
A ceux qui ont été sanctifiés en Jésus-Christ, appelés à être saints, et à tous ceux qui invoquent en quelque lieu que ce soit le nom de notre Seigneur Jésus-Christ, leur Seigneur et le nôtre,
« que la grâce et la paix vous soient données de la part de Dieu notre Père et du Seigneur Jésus-Christ ! »
1 Corinthiens 1 :3.
« …car tous, vous êtes un en Jésus-Christ. » Galates 3 : 28.
8/24/2021 • 2 minutes, 31 seconds
Il est vivant
Il est vivant
Le docteur Dale, pasteur anglais, préparait une prédication de Pâques. Soudain, la pensée du Christ ressuscité s'imposa à son esprit comme jamais auparavant :
— Christ est vivant ! s'écria-t-il à plusieurs reprises. Vivant, aussi réellement que je vis moi-même !
Et il se mit à arpenter son bureau en répétant :
— Christ est vivant ! Alors, répéta-t-il, la phrase que je lançai dans l'air me revint comme transfigurée de l'éclat d'une gloire radieuse :Oui, Christ est vivant ! C'était pour moi une nouvelle découverte. Je me dis alors, il faut que mes paroissiens le sachent. Je prêcherai et repêcherai Christ vivant jusqu'à ce qu'ils croient en lui comme je crois en lui à cette heure. Cette certitude ne nous fait-elle pas bondir de joie : II est vivant !
Et, parce qu'il vit, « …Il peut sauver parfaitement ceux qui s'approchent de Dieu par lui, étant toujours vivant pour intercéder en leur faveur. » Hébreux 7 : 25.
8/24/2021 • 2 minutes, 3 seconds
Il avait l'air d'un juste ! Maxime Gorki
II avait l'air d'un juste
Maxime Gorki, le célèbre écrivain russe a écrit :
« Quand j'allais en Sibérie par étapes, voici ce qu'un forçat m'a raconté.
C’était un voleur et il avait avec lui toute une bande : cinq personnes. L'un d’eux déclara un jour :
—Cessons de voler, mes amis. De toute façon, ça ne mène à rien. On n'est pas heureux !
À cause de cela, ils l'étranglèrent un jour qu'il s'était endormi, après une de leurs beuveries. Le forçat faisait grand éloge de sa victime :
—J'en ai tué trois autres après sans regret. Mais celui-là, je le regrette ; c'était un bon camarade, intelligent, gai, une âme pure...
—Alors, pourquoi l'avez-vous tué ? Vous craigniez qu'il vous dénonce ?
Le forçat fut froissé.
— Non, ni pour de l'argent ni pour rien au monde, il ne nous aurait dénoncés. Mais comme ami, ce n'était plus ça. Nous sommes tous des pécheurs, et lui, il avait l'air d'un juste ; ça n'allait plus !
N'est-ce pas là ce qui explique en partie la mort de Jésus ? On l'a arrêté, condamné à mort et crucifié parce qu’« il avait l'air d'un juste ». Mieux encore, il était le seul juste, le seul qui n'ait jamais commis de péché.
« Christ aussi a souffert une fois pour les péchés ; lui, juste, pour des injustes, » 1 Pierre 3 : 18.
8/24/2021 • 2 minutes, 9 seconds
Donne-moi un Fils (du Général Douglas MacArthur)
Donne-moi un Fils (du Général Douglas MacArthur)
Donne-moi un fils Seigneur ! qui sera assez fort pour savoir quand il est faible et assez brave pour se faire face quand il aura peur. Un fils qui sera fier et inflexible dans une honnête défaite et humble et doux dans la victoire.
Donne-moi un fils dont les désirs ne se substitueront pas à ta volonté. Un fils qui te connaîtra et pour qui te connaître est la pierre angulaire de la connaissance. Conduis-le, je te prie, non dans le sentier de la facilité du confort mais sous le stress et l’aiguillon des difficultés des défis.
Ici apprend lui à tenir bon dans la tempête. Ici apprends lui à avoir de la compassion pour ceux qui tombent. Donne-moi un fils dont le cœur sera pur, dont les objectifs seront élevés. Un fils qui apprendra à rire sans jamais oublier comment pleurer. Un fils qui tendra vers l’avenir sans jamais oublier le passé.
Et une fois que toutes ses choses seront siennes, ajoute je te prie assez de sens de l’humour pour qu’il puisse toujours être sérieux sans jamais se prendre trop au sérieux. Donne-lui de l’humilité afin qu’il se rappelle toujours la simplicité de la véritable grandeur. Un esprit ouvert à la véritable sagesse. La douceur de la véritable force alors moi son père j’oserais chuchoter :
« Je n’ai pas vécu en vain »
8/24/2021 • 2 minutes, 25 seconds
El millonario y la empleada de limpieza
Esta historia acontece en las escaleras de una torre en la Plaza de la Defensa, en París. Había un cierto multimillonario cuya oficina estaba en el octavo piso de una enorme torre en esta zona comercial. Este gran empresario solía ir caminando a su oficina, y cuando llegaba al edificio, tomaba el ascensor. Sin embargo, cuando salía de su lugar de trabajo, bajaba por las escaleras, con el fin de hacer ejercicio.
Era un hombre altivo que había conocido la pobreza y que se había educado por sus propios medios y que pudo salir adelante gracias a su gran fuerza de voluntad. Él paga el alquiler con regularidad el primer día de cada mes y se ocupa de su trabajo. Sin embargo, no se interesa ni siquiera en saludar a las otras personas que trabajan en los ascensores o limpiando las ventanas en aquellas alturas vertiginosas. Tampoco ayuda con una moneda a quienes lo necesitan. Solo piensa en sí mismo. Sin embargo en esta torre hay una mujer que limpia los pisos y las escaleras. Y él pasaba a menudo junto a ella, y siempre la ignoraba, hasta un día en que tenía la cabeza por las nubes, pensando en su fortuna, y la señora de la limpieza estaba en el medio de las escaleras pasando el trapo. Y en el primer escalón había un charco, y también una gran barra de jabón y el multimillonario la pisó. Inmediatamente resbaló y aunque intentó recuperar el equilibrio, sus pies comenzaron a resbalar en diferentes direcciones y terminó bajando por las escaleras como lo hacía habitualmente, pero de una manera que no imaginaba. Los golpes sonaban como un tambor. La señora de la limpieza estaba debajo y se hizo a un lado para dejarlo pasar después de que este se pusiera nuevamente en pie. El empresario pensó en ir a la oficina del consorcio para pedir que despidan a esta mujer, pero desistió porque temía que cuando contase el motivo, los demás terminen burlándose de él y que eso lo desprestigie; y finalmente, en silencio se marchó.
Pero a partir de ese día, él comenzó a prestar más atención a esa señora, saludándola y caminando con precaución, cada vez que pasaba por el pasillo y por las escaleras. Porque ninguna persona, más allá de su poder, debe darse el lujo de ignorar a sus semejantes; porque una humilde empleada de limpieza y un jabón común y corriente, pueden terminar distrayendo a un gran hombre rápidamente.
Por lo tanto, considera estas cosas y no creas que eres más importante que los demás entre los hijos de Dios, no sea que por "accidente" caigas de tu pedestal y que aquellos a quienes menosprecias, terminen riéndose de ti.
Empiece su día con alegría y transmita su felicidad a otros. Porque aquel que regala una sonrisa a otras personas, no habrá vivido en vano. Tenga siempre una palabra de ánimo para quienes trabajan a su alrededor, como dice Proverbios 25:11: "Manzana de oro con figuras de plata, es la palabra dicha como conviene".
Y como Jesús dijo en Lucas 22:26: "mas no así vosotros, sino sea el mayor entre vosotros como el más joven, y el que dirige, como el que sirve".
Hasta pronto
8/13/2021 • 5 minutes, 13 seconds
Los efectos de la generosidad
Hola, esta historia se titula: Los efectos impensados de la generosidad.
Un joven que quería estudiar medicina, vendía revistas temprano en la mañana para juntar algo de dinero y poder así pagar su educación.
Un día, en la entrada de un edificio se encontró con una mujer que le dijo: "perdón, no tengo dinero para comprar una revista, pero te ves muy cansado, ven a mi casa a tomar algo para que te sientas mejor. El joven entró a la casa de esta mujer y ella le ofreció un poco de agua. Mientras el joven tomaba, le trajo un vaso de leche y luego, otro más.
El joven estaba renovado. Luego de aquel momento le agradeció por su amabilidad y retomó su arduo trabajo.
Diez años más tarde, esta mujer se enfermó. Tenía un tumor en el cerebro. Su médico de cabecera le dijo que solo había un especialista en Estados Unidos que podía ayudarla a salir de esta enfermedad. Su clínica estaba en Nueva York. Pero también él le advirtió, que habría un problema, ella no podría pagarlo. Aunque también le dijo que él hará todo lo posible para que ella sea aceptada.
Sorprendentemente, la mujer fue aceptada y se programó una cita rápidamente para la cirugía. El médico de cabecera estaba asombrado por la respuesta de la clínica. Cuando la señora llegó a este sanatorio, fue alojada en la mejor habitación y tuvo la mejor atención. La cirugía salió bien y llegó el momento en que le iban a dar de alta.
El día en que ella debía quitar la clínica, el cirujano entró en su habitación. La mujer se asustó mucho porque había visto la factura por aquella intervención. Ella era pobre y la verdad era que no tenía el dinero para pagar aquel precio. El médico se sentó a su lado y le explicó en qué consistía aquel costo. La factura era de 25 mil dólares. La mujer empezó a llorar y le dijo: "Nunca podré pagar por esto, porque no tengo dinero".
El médico la calmó y le pidió que mirara más de cerca la factura. Entonces, la mujer leyó la frase que estaba escrita al final de la cuenta: "Todo fue pagado con aquel vaso de agua y con dos vasos de leche".
#365Historias #JeanLouisGaillard
8/6/2021 • 2 minutes, 58 seconds
José prueba a sus hermanos y se les revela
José prueba a sus hermanos antes de revelarse a ellos, como encontramos en Génesis 44 y 45. Él necesita comprobar si el corazón de ellos ha cambiado desde aquel día en que, animados por los celos, lo vendieron a los ismaelitas.
Para comprender completamente la historia, es necesario comprender el propósito de la vida de José. Él ya los había perdonado por lo que le habían hecho, porque había entendido que había un plan de Dios detrás, pero necesitaba saber cómo eran ellos en aquel momento. Habían pasado veintidós años desde que lo vendieron; pero ¿seguían siendo como en aquel entonces? ¿Cómo podía José saberlo?
Y así decide "poner en riesgo" la vida de Benjamín, para descubrirlo. Y es así que el primer ministro de Egipto, decide poner su copa en el costal de su hermano más pequeño, para inculparlo y ver la actitud de sus otros hermanos hacia él.
Pero, suponiendo que no hubiera nada objetable en los medios que utilizó José para lograr su objetivo, ¿se puede decir lo mismo de las palabras que puso en boca de su mayordomo y que él mismo repitió, incluso cuando volvió a ver a sus hermanos? ¿Era correcto que él fingiera ser un adivino (Gn 44:15)? ¿Especialmente para decir que adivinó por su corte? ¡Pobre de mí! Hay pocos hombres que hayan sido más santos que José; sin embargo, está seguro de que no estaba absolutamente libre de pecado.
Benjamín es ahora el favorito de su padre, y en Egipto, aunque es el más joven, es objeto de extraordinarios honores.
Una historia contundente que nos muestra que es necesario morir a nosotros mismos y revestirnos del nuevo hombre, que debe hacernos parecer cada vez más al Señor Jesús.
Este es el quinto episodio de esta serie.
¡Qué lo disfrutes!
Su hermano,
Jean-Louis Gaillard
#JeanLouisGaillard #365Historias #Biblia
Para ver los episodios anteriores:
Episodio 1: https://youtu.be/AADoJ1kpBYM
Episodio 2: https://youtu.be/BsKAiypOUyU
Episodio 3: https://youtu.be/MwepY3rnjpk
Episodio 4: https://youtu.be/039Hb4IsvPs
Visite nuestro blog, donde además encontrará la transcripción de cada mensaje: https://jlgaillard.fr/es/
8/1/2021 • 43 minutes, 5 seconds
Los hermanos de José vienen por alimentos a Egipto
Génesis capítulos 42 y 43
Los hermanos de José en Egipto.
La necesidad de traer a Benjamín, el hermano pequeño de la familia de José (hijo del mismo padre y de la misma madre Raquel) Intriga y sorpresa en estos capítulos.
La obra de arrepentimiento comienza a realizarse en los corazones de los hermanos de José, después de pasar un tiempo en prisión. Sigua conmigo esta maravillosa aventura de la familia de Jacob y de sus doce hijos...
Para ver los episodios anteriores:
Episodio 1: https://youtu.be/AADoJ1kpBYM
Episodio 2: https://youtu.be/BsKAiypOUyU
Episodio 3: https://youtu.be/MwepY3rnjpk
Visite nuestro blog, donde además encontrará la transcripción de cada mensaje: https://jlgaillard.fr/es/
#JeanLouisGaillard #365Historias #José #Biblia
7/25/2021 • 29 minutes, 44 seconds
El tiempo de Dios para llegar al faraón
Éxodo 41: el Señor revela su plan para José y Él acomoda todas las cosas. El mayordomo se acuerda después de un largo tiempo de aquel que le había ayudado a comprender aquel sueño. El plan perfecto de Dios está en marcha. Un estudio apasionante que te animará, el tercer episodio en la vida de José.
#JeanLouisGaillard #365Historias #José #Biblia
7/16/2021 • 29 minutes, 17 seconds
Esperar el tiempo de Dios
Segundo episodio sobre la vida de José.
La muy enriquecedora historia de José que nos recuerda cómo el Señor Jesús guía nuestros pasos y cuáles son las actitudes del corazón que debemos mostrar.
Trataremos:
Las etapas de su vida.
El llamado
Persecuciones
Procesos
Formación
Y su destino...
Estoy haciendo una serie sobre la vida de José que se asemeja en cierto grado a la vida de nuestro Salvador y Señor Jesucristo y por lo tanto, también a nuestro andar cristiano.
7/5/2021 • 20 minutes, 35 seconds
Savoir calculer !
Sous le titre « Savoir calculer le prix d’un deuil », un hebdomadaire écrivait : « Les familles doivent être averties : si elles n’y prennent pas garde, les frais d’obsèques peuvent dévorer un petit héritage ». Et l’auteur de l’article mentionnait le coût d’un service funèbre : prix d’une concession au cimetière, prix du cercueil, prix du service des pompes funèbres et des formalités à accomplir.
C’est vrai, mais est-ce là la chose importante ? Une vieille chrétienne, quand elle apprenait la mort d’une personne inconvertie, répétait souvent : « Ce ne sont pas ceux qui restent qui sont à plaindre, ils auront peut-être encore l’occasion de se convertir, mais c’est celui qui quitte ce monde avec ses péchés. Il est entré dans l’éternité, loin de Dieu ».
La mort nous introduit, en effet, dans l’irrévocable. L’esprit de celui qui meurt avec ses péchés s’en va loin de Dieu et quand son corps ressuscitera, ce sera pour comparaître devant le Juge dont il a méprisé le pardon. Car, avant d’être le Juge, Jésus est le Sauveur. C’est Lui qui, aujourd’hui encore, s’approche de vous : il vous demande de reconnaître votre culpabilité aux yeux de Dieu et de croire à son sacrifice rédempteur.
Heureux celui qui meurt dans la foi ! Son âme s’en va près de Jésus et son corps attend dans la poussière le jour de la résurrection.
Cherchez l’Eternel, pendant qu’il se trouve ; invoquez-le, tandis qu’il est près, Esaïe 55 : 6.
Voici, c’est maintenant le temps favorable ; voici, c’est maintenant le jour du salut, 2 Corinthiens 6 : 2.
7/1/2021 • 2 minutes, 42 seconds
El llamado y la perseverancia - Jean-Louis Gaillard
La muy enriquecedora historia de la vida de José nos recuerda cómo el Señor Jesús guía nuestros pasos y cuáles son las actitudes del corazón que debemos demostrarle.
Las etapas de la vida.
El llamado
Persecuciones
La perseverancia
El discipulado
Y el destino...
Estoy haciendo una serie sobre la vida de José que se asemeja en cierto grado a la vida de nuestro Salvador y Señor Jesucristo y, por lo tanto, también a nuestro andar cristiano.
6/25/2021 • 28 minutes, 24 seconds
Leonardo Da Vinci y Verrocchio
El viejo maestro Andrea Verrocchio, uno de los pintores más famosos de su tiempo de Toscana, Italia, estaba muy enfermo. Un día, el artista mando a llamar a un joven que estaba en su taller, sosteniendo su paleta. “Hijo”, dijo su madre, “al maestro le gustaría verte. Date prisa y ve ahora mismo."
El joven dejó su pincel y fue rápidamente a ver a Verrocchio.
"Leonardo", dijo el maestro. "Este lienzo que he empezado a pintar, tú sabes el del altar de San Juan, ¿podrías terminarlo por mí?". El estudiante lo miró sorprendido.
“Maestro, lo siento mucho, pero no puedo. Lo estropearía con solo tocarlo".
El viejo pintor sonrió. “No, hijo mío, haz tu mejor esfuerzo. Hazlo por mí. ¡Tengo que terminarlo y sé que puedes hacerlo!"
Esa noche, en el ático, en una casa de Florencia, el joven oró: "Dios", dijo, arrodillándose, "por favor ayúdame, por el bien de mi maestro, ¡Ayúdame a dar lo mejor!"
Una vez que el lienzo estuvo terminado, fue a mostrárselo al viejo Verrocchio. "Hice lo mejor que pude, Andrea, para ti."
El anciano comenzó a llorar: "Mi hijo, mi querido hijo, ¡es bueno, es muy bueno! Ya no necesito volver a pintar. Florencia estará orgullosa de ti un día, Leonardo da Vinci".
En cada uno de nosotros hay dones y talentos, que nuestro Maestro conoce perfectamente. Y que quiere que usemos para Su gloria.
¿Qué estás haciendo con esas habilidades únicas que tienes? ¿Qué estás haciendo con tu salud, con tu vida?
¡Que Dios te ayude a encontrarte a ti mismo!
6/23/2021 • 2 minutes, 35 seconds
Dios nunca se equivoca
Un rey que no creía en la bondad de Dios tenía un esclavo que en todas las circunstancias le decía: -Mi rey, no se desanime, porque todo lo que Dios hace es perfecto, ¡Él no se equivoca!
Un día, en el camino, mientras iban a cazar, un animal salvaje atacó al rey. Su siervo mató al animal, pero no pudo evitar que su señor perdiese un dedo.
El servidor dijo: -Mi rey, a pesar de todo lo ocurrido, solo puedo decirle que Dios es bueno y que Él sabe el porqué de todas las cosas. Lo que Dios hace es perfecto. ¡Él nunca se equivoca!
Indignado por la respuesta, el rey ordenó el arresto de su esclavo.
Un día, mientras iba de caza, el rey fue capturado por hombres salvajes que hacían sacrificios humanos. Mientras los nativos se preparaban para sacrificarlo, notaron que le faltaba uno de los dedos de la mano, y por ese motivo lo liberaron. Según ellos, no podían ofrecer a los dioses a alguien que estaba incompleto.
Cuando regresó al palacio, pidió inmediatamente la liberación de su servidor, a quien recibió con mucho afecto. -Dios fue muy bueno conmigo. Casi me matan unos salvajes, pero como me faltaba un dedo, me dejaron en libertad. Sin embargo, tengo una pregunta para ti: si Dios es tan bueno, ¿por qué permitió que te metiese en la cárcel?
-Mi rey, si yo hubiese ido con usted a esta cacería, hubiera sido sacrificado en su lugar, porque yo tengo todos los dedos. Por eso le digo de nuevo: todo lo que Dios hace es perfecto. ¡Él nunca se equivoca!
A menudo nos quejamos de la vida y de aquellas cosas aparentemente malas que nos pasan, olvidando que nada viene como fruto del azar y que todo tiene un propósito.
#365Historias #JeanLouisGaillard
6/14/2021 • 3 minutes, 3 seconds
Claves para un matrimonio feliz
El Señor Jesús quiere también transformar nuestro matrimonio
Si hay una etapa importante en nuestra vida después de la conversión, es el matrimonio. De hecho, este es el momento más importante de nuestra vida en el que nos uniremos con otra persona. Esta noche me gustaría animarles a los hombres que se han casado con una mujer y que hoy no se sienten muy cómodos en su vida matrimonial y en su vida cotidiana.
Recordamos nuestra vida temprana cuando estábamos comprometidos, estábamos muy emocionados por la vida que nos esperaba porque estábamos seguros de haber encontrado una perla rara de gran valor.
El problema no venía de ella, sino de nosotros, porque teníamos una alta estima de nosotros mismos; de hecho, habíamos vivido nuestra vida de solteros como hombres perfectos, agradables, llenos de vida y de esperanza. Como alguien que tenía todas las cualidades para edificar un futuro matrimonio.
Pero desde el primer día de nuestra unión con nuestra esposa, notamos que algo andaba mal y nos tomó un tiempo darnos cuenta de que éramos nosotros mismos; sin embargo, era conveniente y fácil de acusarnos mutuamente sin reconocer nuestras responsabilidades de manera individual y personal.
Pero la realidad se reveló en los primeros meses, no habíamos terminado nuestra adolescencia y estábamos más interesados en salir a charlar con nuestros amigos, que en afrontar la situación en casa. Sin embargo, en ese momento, ya conocíamos al Señor y lo que había logrado por nosotros en la cruz para perdonar nuestros pecados y darnos una nueva vida. Esto es cierto, pero era poco lo que conocíamos de Él hasta ese momento.
Ya los primeros conflictos llegaron rápidamente, sobre todo cuando mi esposa quería visitar a sus padres, sus propios amigos, el estilo de los muebles que debíamos comprar, etc. Los temas eran variados y numerosos. Cada pequeño detalle se convirtió rápidamente en una disputa entre nosotros.
De hecho, vimos que los dos todavía éramos adolescentes y no habíamos terminado de crecer para ser un hombre y una mujer. Si bien pensábamos que éramos adultos e incluso por qué no también "maestros", porque en ese momento nuestro orgullo no tenía límites. Eramos tan orgullosos de nosotros mismos y estábamos totalmente ciegos.
Diferentes puntos tratados:
1° Ver la verdad sobre nosotros
2° El anuncio del Evangelio
3° El caminar por la fe
4° Mis preguntas:
1° ¿Quién puede quitarme este orgullo y esta pretensión?
2° ¿Cómo tener la victoria sobre mi carne?
¡La respuesta de Dios a través de su Palabra!
Se avecinan cambios...
El texto completo aparecerá en nuestro sitio: www.jlgaillard.fr
Reanudación del culto en nuestras iglesias de Chaville (92)- Nanterre (92) y Rouen (76), al registrarse, escriba a: secretariat@eglisedechaville.net ¡Hasta pronto! Jean-Louis Gaillard
6/7/2021 • 24 minutes, 59 seconds
La alumna de Franz Liszt
Una niña, no muy afortunada, mantenía a su madre y a sus hermanos con el dinero que le ingresaba dando lecciones de piano.
Por una extraña coincidencia, el mismo día del show, Liszt estaba de visita en esta ciudad; y sin saberlo, llegó al hotel donde se estaba dando el concierto.
Cuando la joven notó la presencia del artista, decidió acercársele y confesarle todo.
El compositor se mostró conmovido hacia la joven cuyos ojos se llenaron de lágrimas.
- Pobre niña, pobre niña, dijo, ¡claro que te perdono!
Liszt le pidió entonces a la joven artista que tocara el piano. Entonces la escuchó con atención y le corrigió algunos errores que estaba cometiendo, y la animó a tocar con más fuerza algunos de los pasajes de la composición; y al final le dijo: «ahora puede decir que eres mi alumna, y te pido que pongas el programa que Franz Liszt interpretará la última pieza» .
¡Cuántos cristianos dicen ser discípulos de Cristo sin realmente serlo!
Tú que te defines como cristiano: ¿formas parte de la escuela de Cristo?
Acércate a Él y confiésale todo. Él te perdonará y pondrá su nombre en el «programa» de tu vida.
#365Historias #JeanLouisGaillard
5/28/2021 • 2 minutes, 11 seconds
La importancia de las raíces
En esta historia trataremos un tema muy importante: nuestro fundamento en Cristo. ¿Estamos realmente fundados en la Biblia o le damos importancia solamente a nuestro exterior? La respuesta en esta historia.
365 Historias - La importancia de las raíces (185)
#365Historias #JeanLouisGaillard
5/21/2021 • 2 minutes, 55 seconds
3° La formation aux ministères. (° Partie)
Bonjour aux pasteurs et frères et sœurs qui nous suivent : Aujourd’hui, dernier jour de la partie en audio où je souhaite vous partager : La formation aux ministères
1°. Comment étaient formés les premiers serviteurs chrétiens ?
2°. Impératif primordial : Être formé au pied de Jésus.
3°. Formation de caractère et de cœur.
4°. L’École Biblique ?
5/17/2021 • 16 minutes, 4 seconds
Les cinq ministères d'autorités différents.
Les cinq ministères d'autorités différents. by Jean-Louis Gaillard
5/17/2021 • 14 minutes, 41 seconds
Le Ministère
Bonjour mes chers collègues-serviteurs de Dieu et les frères et sœurs qui nous écoutent,
Je parlerais de ce sujet en 3 sections : 1 Jour aujourd’hui le 12-05-2021 " Le Ministère et les ministères " Avec témoignage personnel
1° chose: "L’appel" au ministère être réellement appelé ou pour être pasteur pour ma part en mars 1974 Actes 17 : 30-31 2°. De quel ministère avons-nous ? Il y en a 5 ministères d’autorités ...
5/12/2021 • 15 minutes, 5 seconds
Le message qui a tout changé !
Bonjour, mes amis, aujourd’hui, c'est ma joie de vous partager cette vidéo qui s'appelle : " Le message qui a tout changé ! " Aujourd’hui, je veux encourager les pasteurs et tous les chrétiens : les frères et les sœurs à ne pas hésiter à renverser leurs habitudes, surtout s’ils se sentent prisonniers d'un système religieux, qu’il constate qu'il n’avance plus dans leur vie spirituelle et qu’ils constatent aussi que l’église fait du surplace.
L’église doit avancer dans la bonne direction, sinon elle se perd dans des tas de fausses directions. Notre seul critère : c’est la conformité à la Parole de DIEU. Trop d’églises marchent dans de faux évangiles qui les paralysent et les conduisent dans l’erreur, les éloignant de la vie de l’Esprit, conduisant les chrétiens à rétrograder.
Quand on est pasteur, ce n’est pas uniquement de notre personne dont nous devons nous occuper, mais surtout du peuple que Dieu nous a confié et pour lequel le Seigneur Jésus nous demandera des comptes.
Retrouvez la totalité du texte sur : https://jlgaillard.fr/le-message-qui-a-tout-change/
En vidéo : https://youtu.be/tvkOO9R-ajo
5/8/2021 • 20 minutes, 56 seconds
El mensaje que cambió todo
Hola amigos, es una alegría compartir con ustedes este video que se titula: "¡El mensaje que cambió todo!"
Hoy quiero animar a los pastores y a todos los cristianos, mis hermanos y hermanas a que no duden en hacer un cambio de rumbo, especialmente si se sienten atrapados en un mundo de religiosidad, y si se da cuenta de que ya no avanza en su vida espiritual; y si siente que también está estancado en la iglesia donde se congrega.
La iglesia debe marchar en la dirección correcta. De lo contrario, termina perdiéndose en otras direcciones equivocadas. Nuestro único criterio debe ser el de marchar conforme a la Palabra de Dios.
Demasiadas iglesias caminan en evangelios falsos que las paralizan y que las llevan a equivocarse, alejándolas de la vida del Espíritu, llevando a los fieles por caminos errantes.
Cuando eres pastor, no solo tienes que cuidar de quién eres; también debes velar por el pueblo que Dios te ha confiado y por el cual el Señor Jesús nos hará responsables.
En conclusión, no quiero decirte que soy mejor que los demás; claro que no. Es solo la gracia de Dios la que me ha revelado su Evangelio, solo Su gracia. Y quiero animarlos pastores, hermanos, hermanas a cuestionarse a sí mismos, y a comprender que no es la progresión numérica lo que cuenta a los ojos del Señor, si no que es la progresión de la revelación del Espíritu de Dios en nuestros corazones lo que da frutos para la gloria de Dios, y que esto ocurre primero en nuestra vida personal como pastores. Porque antes de tratar con la oveja que Dios te ha confiado, deberás como pastor morir a tí mismo y servir al Señor Jesús en espíritu y para Su gloria.
5/6/2021 • 20 minutes, 56 seconds
9 claves para que un siervo de Dios sea feliz
Creemos y estamos convencidos de que cada día el Espíritu del Señor nos habla, nos anima, nos muestra el camino en el servicio de Dios; y habla a nuestro corazón y nos desafía y desafía, pero es muy importante detenernos y examinarnos a nosotros mismos. Qué gracia que al escuchar la Palabra de Dios, el Espíritu del Señor nos ilumina, nos anima, pero al mismo tiempo nos desafía, para que podamos enderezar o corregir lo necesario. Y estoy convencido de que incluso los siervos de Dios a menudo, o de vez en cuando, necesitan ser enderezados. Porque a menudo puede suceder que partamos en una dirección, que nos aleja de la verdad, especialmente al escuchar a ciertos predicadores de moda, que estemos en un estado en el que no podemos discernir si realmente se basa en la Biblia o no. Esto nos lleva irremediablemente a alejarnos de la doctrina pura y santa. Pero confiemos en el Espíritu del Señor para que nos muestre e ilumine para permanecer en el camino correcto.
Cuántas veces he estado agradecido al equipo de ancianos locales con los que trabajo así como al equipo apostólico con el que colaboramos desde hace más de 33 años. ¡Cuántas veces no vi, no entendí que había dado un paso en la dirección equivocada al caminar en todo lo que pensaba que era correcto y claro!
Mi deseo hoy es hablarles sobre el gozo: el gozo del ministerio, el gozo en el servicio de Dios.
Creo que nosotros, los siervos de Dios y todos los que predicamos el evangelio, debemos sentir gozo en nuestro corazón cuando servimos al Señor a pesar de todas las circunstancias, favorables o desfavorables. Como Pablo en prisión durante sus epístolas como la de los Filipenses, apodada "la Epístola al gozo". Sin embargo, está en prisión, seguramente en Roma, custodiado por soldados romanos. Escribió a esta querida iglesia de Felipe, el fundamento que puso con sus compañeros de trabajo: Timoteo, Silas y Lucas, siguiendo una visión recibida en Troas (Hechos 16:9-40 durante su segundo viaje misionero).
Sin embargo, debido a sus circunstancias humanamente desfavorables, Pablo ve esta prueba como una bendición.
La pregunta que se puede hacer es: "¿Qué es lo que hace feliz al Ministerio?".
Lo primero: el gozo de la salvación en Cristo.
La segunda cosa: la alegría de leer su Palabra es que está viva y nos habla directamente.
La tercera cosa: la unción de Dios en nuestra vida, es decir, el ministerio del Espíritu Santo a través de nosotros.
La cuarta cosa: lo que alegra el corazón del siervo de Dios es cuando ve a los cristianos crecer y transformarse.
La quinta cosa: la unidad de corazón por la obra del Espíritu Santo.
La sexta cosa: es ver el poder del evangelio obrando en los corazones.
La séptima cosa: es cuando nos identificamos con Cristo.
La octava cosa: la alegría de tener una visión clara para lograr.
Y lo noveno: el gozo y la esperanza que siguen al arrepentimiento.
Encuentra todo el texto en mi sitio web https://jlgaillard.fr/
Importante: 6-7 de mayo de 2021 Conferencia por Internet para pastores y líderes de iglesias con el equipo de CTMI y el pastor Miky Hardy. La conferencia se traducirá a 13 idiomas.
Información e inscripción en: https://build-conference.com/fr/
4/28/2021 • 30 minutes, 58 seconds
Donne gloire à ton Dieu Éric Liddell 4° partie et fin
La foule était en délire. Soudain une voix annonça qu’Éric Liddell avait battu le nouveau record des 400 mètres : 47,6 secondes. Les hurlements de la foule étaient tellement forts, qu’ils avaient sans doute ébranlé Paris et les cris de joie avaient certainement traversé la Manche et étaient parvenus en Grande Bretagne.Sir Philip Christison avait cru que c’était ses cornemuses et ses tambours qui avaient poussé Liddell, âgé de 22 ans, vers la victoire.
Mais Éric savait à qui il devait sa victoire. Quelques heures avant la course, le Seigneur Lui-même l’avait encouragé. Le masseur de l’équipe britannique avait glissé un petit mot dans le creux de sa main alors qu’il quittait l’hôtel pour se rendre au stade. Ce masseur avait appris à connaître Éric, et il l’admirait. Il avait vu les fruits de sa relation avec le Seigneur et il admirait cet homme paisible en toutes circonstances.
Quand il eut un moment, quelques temps avant la course, Éric déplia le papier que le masseur lui avait glissé. Il lut : « Dans l’Ancien Testament, il est écrit que le Seigneur honore celui qui l’honore, je te souhaite bonne chance ! » Le Seigneur Lui-même lui promettait Son appui !
Et comme à son habitude, Jésus avait fait au-delà de tout ce qu’on pouvait imaginer et penser !
Dieu avait honoré Eric Liddell parce qu’Éric avait cherché à donner Gloire à son Dieu en toutes circonstances. Il avait accompli la devise des Jeux Olympiques-Citius, Althius,Fortius. Plus rapide, plus haut, plus fort.
Après les Jeux, au lieu de céder à la tentation de la gloire, Éric repartit en Chine comme professeur et missionnaire. En 1932, il était ordonné pasteur et se marie en 1933.
Il voyage souvent en bicyclette, bravant aussi bien les Seigneurs de guerre chinois que les Japonais dans leur conquête de la Chine. Sa décision de s’occuper des communautés isolées, le forçant à laisser son épouse et ses enfants à l’arrière, était le résultat de la prière insistante. " Reddition complète" décrivait son attitude spirituelle. En mars de 1943, Liddell, est interné dans un camp japonais. Les prisonniers décident de s’organiser. Éric enseigne les maths et le sport aux enfants. Il sort chaque matin pour étudier sa Bible et est très apprécié dans le camp.
Mais sa santé se détériore rapidement. Une tumeur de cerveau ravage son corps avec des maux de tête graves. Peu de temps après son quarante-troisième anniversaire le 21 février 1945, Liddell s'effondre. Ses derniers mots, prononcés à une infirmière du camp, sont, "C’est la reddition complète."
4/26/2021 • 2 minutes, 59 seconds
Donne gloire à ton Dieu Éric Liddell 3° partie
Même si les résultats semblaient désastreux, pour Éric Liddell ce fut un succès. L’Ecosse n’avait jamais gagné une médaille de bronze pour le 200 mètres, et l’Angleterre n’avait jamais réussi à faire mieux qu’une troisième place.
Le jeudi eut lieu les épreuves de qualification pour le 400 mètres. Éric ne fit pas de prouesses, bien qu’il réussît à améliorer son temps à chaque épreuve préliminaire. Lors des demi-finales, il améliora encore son temps mais il ne termina pas premier.
La veille, Imbach, athlète suisse, avait battu le record mondial du 400 mètres en 48 secondes seulement.
Le jour de la finale, sur la ligne de départ, il y avait deux américains, un canadien et deux britanniques : Guy Butler et Éric Liddell. Bien que la tension fût à son comble, Éric ne changea pas ses habitudes, il serra la main de chaque finaliste et leur souhaita bonne chance. Le Comité Olympique trouvait cela bien étrange. Que des concurrents et adversaires puissent se souhaiter bonne chance c’était étonnant ! L’enjeu était de taille, c’était ni plus ni moins la médaille Olympique, gloire pour le pays et renommée pour l’athlète ! Comment est-ce que cet athlète trouvait le moyen de féliciter et d’encourager ses adversaires alors qu’il était sous une telle pression ?
Bien sûr, ils ne pouvaient pas comprendre ce qui animait Éric. Éric était animé par le Seigneur, et il ne voulait pas céder à cet esprit de compétition. Au contraire il voulait porter le cœur du Seigneur et aimer et respecter ses adversaires.
Éric était maintenant sur la ligne de départ. Il s’échauffait avec les autres athlètes. Tout à coup, un bruit de tonnerre éclata dans le stade. C’étaient les cornemuses et les tambours du Queen’s Cameron Highlanders qui se mirent à jouer un air bien connu des Ecossais. Sir Philipp Christison, responsable de l’équipe britannique avait ressenti que les supporters britanniques étaient un peu découragés. Il pensait sans doute que cette musique énergique leur redonnerait du courage. Et qui sait peut-être qu’Éric Liddell, aussi, serait stimulé ! Peut-être que cette musique réveillerait sa fibre écossaise et que la cornemuse lui donnerait un coup de fouet, une poussée d’adrénaline qui le ferait remporter la victoire !
Mais ce n’était pas le son des cornemuses et des tambours qui donnerait la victoire à Éric !
Soudain, le silence remplit le stade jusqu’à ce que le coup de pistolet vienne le rompre. Éric s’élança. Dès le début il distança ses concurrents de trois mètres. Il n’avait aucune élégance quand il courait. Il ressemblait à un mauvais nageur qui se noie et qui se débat pour reprendre son souffle. Il lançait ses bras dans toutes les directions !
Le stade retint son souffle, tout le monde savait qu’il ne pouvait maintenir ce rythme. La foule était fascinée. Tout-à-coup contre toute attente, Fitch, coureur américain dépassa Butler et s’approcha dangereusement d’Éric ! Éric monta en puissance ! Il s’approcha de la ligne d’arrivée. Il avait rejeté sa tête en arrière et il fixait le ciel. La foule en délire arborait des petits drapeaux britanniques. Soudain dans un tonnerre d’applaudissement la foule acclama Éric Liddell.
Il venait de remporter la victoire ! Après ces quelques secondes qui paraissaient interminables, Éric Liddell avait gagné la médaille d’or ! Le 400 mètres n’était pas son point fort. Il avait accepté de courir le 400 mètres puisqu’il n’avait pas pu courir le 100 mètres. Là encore il s’en était remis au Seigneur. Et le Seigneur l’avait honoré ! Éric avait devancé Fitch de 5 mètres au moins, Butler courait pour remporter la médaille de bronze, en dépit d’une blessure.
4/26/2021 • 4 minutes, 58 seconds
Donne gloire à ton Dieu Éric Liddell 2 ° partie
La France sortait d’une guerre atroce, elle était en train de se reconstruire, et les parisiens voulaient rattraper le temps perdu et vivre à cent à l’heure.
La pression montait, les moqueries aussi. Le Prince de Galles lui-même essayait de raisonner Éric Liddell. « Mais Dieu ne peut pas être contre le fait que vous courriez le dimanche, de toute façon vous vous devez d’obéir à votre Prince ».
Éric avait répliqué que, bien qu’il reconnût et respectât son prince et souverain, il se devait d’obéir au Roi des Rois.
Le prince de Galles ne pouvait plus rien répondre. Éric n’était pas bien vu pour d’autres raisons, il refusait de participer aux festivités organisées pour les athlètes. Il préférait rester dans sa chambre à lire la Bible et à chercher le Seigneur. Cela aussi le Prince de Galles le lui avait reproché. Mais rien ne pouvait ébranler la détermination de l’athlète : Dieu d’abord.
Voyant que rien ne pouvait le faire changer d'avis, Harold Abrahams fut désigné pour courir le 100 mètres. C’était le seul espoir pour l’Angleterre de gagner une médaille. Abrahams était un étudiant de l’Université de Cambridge. Il était de confession israélite. Pour lui le sabbat c’était le samedi, donc courir le dimanche ne lui posait aucun problème. Éric respectait cela. Il rendit visite à Abrahams avant la course et lui souhaita bonne chance.
Le dimanche, Abrahams se plaça sur la ligne de départ des préliminaires des 100 mètres. Pendant ce temps Éric prêchait dans l’Eglise Ecossaise, Scott Kirk, à l’autre bout de Paris.
Harold se qualifia lors des deux épreuves préliminaires. Le lendemain il était prêt pour la finale. Éric Liddell était dans les gradins et l’encourageait. Abrahams remporta les 100 mètres en 10,6 secondes sous un tonnerre d’applaudissements. Jamais un européen n’avait gagné une médaille d’or pour les cent mètres. Il faudrait attendre 56 ans pour qu’un européen réussisse à nouveau cet exploit. Éric partageait la joie d’Abrahams, même s’il avait peut-être ressenti un petit pincement au cœur puisque le 100 mètres était SA course.
Mais en même temps il ressentait la joie du Seigneur, parce qu’il avait obéi. Le Seigneur le récompensait en lui faisant ressentir Son approbation. Se sentir approuvé par le Seigneur valait toutes les médailles d’or du monde. C’est pour cela qu’il avait pu partager pleinement la joie d’Abrahams. Cette attitude étonnait beaucoup. Éric était sous les feux des projecteurs. Il était observé par tout le monde. S’il avait montré le moindre signe de faiblesse, ou de déception ou d’envie, ni la presse, ni le public ne l’auraient raté. Il était chrétien, et à cause de cela on ne lui passait rien. Peut-être qu’au fond certains étaient confrontés par son attitude ?
Le mardi avait lieu les épreuves éliminatoires du 200 mètres. Harold Abrahams et Éric Liddell se qualifièrent tous deux pour la finale qui avait lieu le mercredi.
Il faisait très chaud ce mercredi de juillet sur le stade de la Courneuve. Le stade était bondé. Tout le monde voulait voir ce phénomène qui avait bravé la sacro-sainte loi olympique et l’autorité de son Prince pour obéir au Roi des Rois et se soumettre à cette loi supérieure qu’est la Loi de Dieu. Éric avait chaud. Il s’agenouilla sur la ligne de départ à côté de quatre américains et d’Harold Abrahams.
Dans son cœur, il priait. Il était en paix. Ce qui comptait ce n’était pas qu’il gagne mais que Dieu soit glorifié. Il voulait donner gloire à son Dieu.
Le signal donné, les athlètes s’élancèrent. Abrahams et Liddell prirent un bon départ mais ils furent vite devancés par deux américains qui finirent respectivement premier et deuxième. Éric termina troisième et Abrahams sixième et dernier.
4/26/2021 • 5 minutes, 22 seconds
Neuf sources de Joie pour un serviteur de Dieu
Nous croyons et sommes persuadés que chaque jour, l’Esprit du Seigneur nous parle, nous encourage, nous montre le chemin dans le service de Dieu. Et cela parle à nos cœurs et nous remet en cause et nous défie, mais c’est très important de s’arrêter et de s’examiner. Quelle grâce qu’en écoutant la Parole de Dieu, l’Esprit du Seigneur nous éclaire, nous encourage, mais nous remet en cause en même temps, afin que nous puissions redresser ou corriger ce qui est nécessaire. Et je suis persuadé que même les serviteurs de Dieu ont souvent besoin, ou de temps à autre, d’être redressés. Car il peut souvent arriver que l’on se lance dans une direction, qui nous éloigne de la vérité surtout en écoutant certains prédicateurs à la mode, qu’on soit dans un état ou l’on est incapable de discerner si c’est vraiment fondé Bibliquement ou pas. Et cela nous conduit irrémédiablement à nous éloigner de la pure et Sainte doctrine. Mais faisons confiance à l’Esprit du Seigneur pour nous montrer et nous éclairer à rester sur le bon chemin.
Que de fois, j’ai été reconnaissant envers l’équipe d‘anciens locaux avec qui je travaille ainsi qu’avec l’équipe apostolique avec qui nous collaborions depuis plus de 33 ans.
Que de fois, je ne voyais pas, je ne comprenais pas que j’étais entré dans une fausse direction en marchant dans tout ce que je pensais être bon et claire.
Mon désir aujourd’hui, est de vous parler de la joie. La joie du ministère, La joie dans le service de Dieu.
Je crois que nous, les serviteurs de Dieu et tous ceux qui prêchent l’Évangile, nous devons ressentir dans nos cœurs une joie quand nous servons le Seigneur malgré toutes les circonstances favorables ou non. Tél que Paul en prison lors de ses épîtres comme celle aux Philippiens, surnommée « l’Épître à la joie ». Pourtant il est en prison, très certainement à Rome, gardé par des soldats Romains. Il écrit à cette chère Église de Philippe dont il a posé le fondement avec ses compagnons d’œuvres : Timothée, Silas et Luc, suite à un vison reçu à Troas (Actes 16 : 9-40 lors de son second voyage missionnaire).
Pourtant à travers ses circonstances défavorables humainement, Paul voit cette épreuve comme une bénédiction !
La question que l’on peut se poser est : « qu’est-ce qui fait la joie du Ministère ? ».
La première chose : La joie du salut en Christ.
La deuxième chose : C’est la joie de lire sa Parole est que celle-ci est vivante et nous parle directement.
La troisième chose : L’onction de Dieu dans notre vie, c’est-à-dire : le ministère du Saint-Esprit à travers nous.
La quatrième chose : qui amène la joie dans le cœur du serviteur de Dieu, c’est quand il voit les chrétiens grandir et être transformés.
La cinquième chose : L’unité de cœur par l’œuvre du Saint-Esprit.
La sixième chose : C’est de voir la puissance de l’Évangile à l’œuvre dans les cœurs.
La septième chose : C’est quand nous nous identifions nous-mêmes à Christ.
La huitième chose : la joie d’avoir une vision claire à accomplir.
Et la neuvième chose : la joie et l’espérance qui suivent la repentance.
Retrouvez la totalité du texte sur mon site https://jlgaillard.fr/
Important : du 6 et 7 mai 2021 Conférence des pasteurs et des responsables d’église par Internet avec l’équipe CTMI et le pasteur Miky HARDY. La conférence sera traduite en 13 langues !
Renseignement et informations sur : https://build-conference.com/fr/
4/24/2021 • 29 minutes
Sanidad del alma - ¿Es bíblica? - Jean-Louis Gaillard
En primer lugar, definimos lo que se denomina «La sanidad de alma»:
¿Esta doctrina es bíblica?
Veamos lo que nos dice la Palabra de Dios:
En esto se basa la «sanidad del alma» o también llamada «autoayuda»
¿Cuál es la sana doctrina del mensaje del Evangelio?
¿Esta técnica existía antes?
Veamos lo que dice el Nuevo Testamento.
¿Hay frutos de esta técnica de la sanidad del alma?
¿Por qué en la década de 1980 hubo tal entusiasmo por estas falsas enseñanzas en el ambiente cristiano?
La verdadera pregunta: ¿he realmente experimentado un nuevo nacimiento?
Otro detalle importante.
Todo el texto está disponible en https://jlgaillard.fr/es/
Enlace para inscribirse en nuestra próxima conferencia "Construir su pueblo, y su Iglesia " del 6 y 7 de mayo de 2021: https://jlgaillard.fr/es/conferencia-para-lideres-batir-2021/
4/14/2021 • 22 minutes, 33 seconds
La cure d’âme est-elle biblique ? Jean-Louis Gaillard
Au préalable, définissons ce qu’on a appelé « La cure d’âme »
Cette doctrine est-elle biblique ?
Regardons ce que nous dit la Parole de Dieu :
Voilà sur quoi est fondé « la cure d’âme » ou encore appelée « relation d’aide » ?
Qu'est ce que la La saine doctrine est le message de l’Évangile ?
Cette technique existait-elle auparavant ?
Regardons ce qu’en dit la Nouvelle Alliance
Y a-t-il des fruits de cette technique de la cure d’âme ?
Pourquoi à cette époque, y a-t-il eu un tel engouement pour ces faux enseignements dans le milieu chrétien ?
La véritable question : c’est vraiment cette nouvelle naissance
Une autre chose importante
La totalité du texte se trouve sur mon site : www.jlgaillard.fr
Lien pour s'inscrire à notre prochaine conférence "Bâtir son peuple, et son Eglise " du 6 & 7 mai 2021 :
www.build-conference.com
4/10/2021 • 22 minutes, 33 seconds
Pedid y se os dará ¿es tan así?
Hola amigos, hoy me gustaría hablarles de una de las muchas doctrinas falsas que ha confundido a millones de cristianos sinceros y ha hecho que se desanimen al interpretar la palabra de Dios de una manera que no es la correcta. Esto los llevó a hacer de Dios su siervo y a ponerse en lugar de Dios. Esto representa una inversión total de los roles de cada uno.
Durante el avivamiento carismático que tuvo lugar entre 1960 y 1990, los estos movimientos propagaron el mensaje: “¡Pide y recibirás!", como parte del versículo de 1 Juan 16:24 "Pide, y recibirás, para que su gozo sea perfecto".
Si bien este versículo forma parte del evangelio de Juan, está también sacado de contexto y se convierte en un pretexto para justificar la falsa doctrina y servir a la carne humana.
Recordemos siempre que Dios reina y que no es un Dios que dispensa gracias para alimentar nuestra carne con sus deseos carnales y emocionales.
Lo que Dios quiere es tener una relación personal con cada uno de nosotros para que experimentemos el amor a través de su hijo, el Señor Jesucristo.
Pero esta falsa doctrina que se apoderó del mundo decía que podemos tener lo que querramos. Todo lo que se necesitaba era seguir seis puntos:
El primero: desear una cosa.
El segundo: pedirlo a Dios con fe.
El tercero: Visualizar la petición, su forma, su color, etc.
El cuarto: reclamar esto a Dios.
El quinto: declarar por fe que lo has recibido.
El sexto: "está hecho, lo recibiste"
Pero en realidad no lo tienes, así que lo esperas; luego confiesas que lo vas a recibir, y si dices que no lo recibiste, es porque te falta fe.
Si creemos que es una oración con llaves mágicas que nos abrirá la caja fuerte de Dios y derramará su bendición sobre cada uno de nosotros, es realmente un engaño.
Este movimiento carismático había comenzado bien, pero pastores sin escrúpulos comenzaron a tergiversar la Palabra de Dios en un intento de atraer a grandes multitudes con falsas doctrinas como la teoría de la prosperidad, abogando por la salud y la comodidad; fe en el interés de la carne, el desarrollo personal, bienestar, sanidad asegurada a cambio de ofrendas económicas, etc.
Muchas de estas supuestas revelaciones no provienen de la Palabra de Dios, sino de movimientos con bases ocultas o psicológicas como “El Nuevo Pensamiento” definido por Phineas Quimby (1802-1866) filósofo, hipnotizador y espiritista. Luego, pastores evangélicos de renombre mundial tomaron estas teorías y las aplicaron a la fe cristiana.
Sus fuentes fueron y siguen siendo basadas en la sabiduría humana, las técnicas humanas, exaltando la gloria de la inteligencia humana, sin mencionar el "pensamiento positivo", el humanismo, la masonería y "la nueva era"; entre otros.
Entonces veremos la verdad bíblica como Jesús nos la enseñó: ¿cómo orar? ¿Debemos hacer nuestra voluntad o la de Dios?
¿Estamos llamados a ganar o a perder nuestras vidas? ¿Y con respecto a nuestros planes? ¿Cómo hacer para cumplir el plan de Dios? Compartiremos muchas cosas que le mostrarán el plan de Dios para cada uno de nosotros.
No dudes en comentar y hacer tus preguntas.
#JeanLouisGaillard #365historias
3/26/2021 • 13 minutes, 25 seconds
Pentecôte
On demandait à des étudiants :
—Pour vous, qu'est donc la Pentecôte ?'
—C'est le week-end le plus meurtrier de l'année, répondit l'un d'eux, après un silence pesant.
La même question fut posée à des enfants d'une école du dimanche du Midi où est dispensé un enseignement biblique à leur niveau : qu'est-ce donc que la Pentecôte ?
Ignorance ? Timidité ? Enfin, un garçon hasarda cette réponse :
—La Pentecôte, dit-il en détachant bien les deux syllabes, lapente-côte ? Eh bien, ça monte et ça descend !
Évidemment, il ne pensait qu'à une côte qui peut être une montée ou une descente selon le sens dans lequel on s'y engage. Mais n'y a-t-il pas quelque chose de juste dans cette réponse ? Le jour de la première Pentecôte, les apôtres et d'autres croyants réunis à Jérusalem dans la Chambre Haute, en tout cent vingt personnes, firent monter vers Dieu des prières et des louanges, et le Seigneur fit descendre sur eux la puissance du Saint-Esprit, le baptême du feu divin pour qu'ils annoncent avec efficacité et vigueur l'Evangile de Jésus-Christ.
Paul Claudel a noté dans son journal : le jour de la Pentecôte, le Saint-Esprit a allumé les apôtres.
La Bible dit : Ils furent tous remplis du Saint-Esprit et ils commencèrent à parler en d'autres langues selon que l'Esprit leur donnait de s'exprimer, Actes 2 : 41.
Interrogeons-nous : que représente la Pentecôte pour moi ?
3/25/2021 • 2 minutes, 32 seconds
¿Cuál es el verdadero lugar de la mujer?
Continuando mi video de la semana pasada: el lugar de la mujer en la Biblia voy a responder a todas tus preguntas.
¿Cuál debería ser el verdadero lugar de la mujer en la iglesia hoy?
¿Existe la igualdad espiritual entre hombres y mujeres?
¿Cuál es el orden de autoridad establecido por Dios?
¿Puede una mujer predicar en la iglesia?
¿Debería ella quedarse en su casa y ocuparse exclusivamente de su hogar?
¿Qué se le permite hacer en la iglesia?
1. ¿Existe la igualdad espiritual entre hombres y mujeres?
"Ya no hay judío ni griego; no hay esclavo ni libre; no hay varón ni mujer; porque todos vosotros sois uno en Cristo Jesús". Gálatas 3:28
En la Epístola de Pablo a los Gálatas en el capítulo 3, se trata de la unidad de los cristianos en la salvación obtenida por la fe en Jesucristo.
Hombres y mujeres comparten:
- Los mismos mandamientos
- Las mismas promesas
- Las mismas bendiciones
- Los mismos recursos espirituales
- Las mismas responsabilidades espirituales
2. ¿Cuál es el orden de autoridad establecido por Dios?
Recordemos siempre 1 Corintios 11:3: “Pero quiero que sepáis que Cristo es la cabeza de todo varón, y el varón es la cabeza de la mujer, y Dios la cabeza de Cristo".
3. Las diferencias entre hombres y mujeres en la iglesia.
Hoy vemos en este mundo que hay un reclamo permanente y un cuestionamiento de esta diferencia.
El caso de las viudas...
4. Entonces, ¿puede una mujer predicar en la iglesia?
5. ¿Debería quedarse en su casa y ocuparse exclusivamente de su hogar?
6. ¿Qué puede hacer en su casa, en su ciudad, en la iglesia local?
A) En su casa
B) Fuera de su casa
C) En la iglesia local
¡Conclusión a descubrir!
El texto completo está disponible en www.jlgaillard.fr
Consulte también mis 365 Historias: https://www.youtube.com/watch?v=mQl9s0mg5WY&list=PLCtD-kUYlJnMyk4gsU06yryJzGS1wm8Gq
Posdata: Mucho se dice acerca de Débora en el Antiguo Testamento (Jueces 4:4). Débora era una jueza, pero la gente la consideraba una "profetisa" debido a la fuerza divina y la sabiduría que la caracterizaban, y por eso ella había ganado el respeto de la gente; quienes la escogieron como juez. Los jueces ordinarios parecen haber faltado (#De 16:18) Lappidoth ("antorchas") era el nombre de su esposo. También hay que decir que en ese momento los hombres habían abandonado. Seguramente ella profetizó a las personas que acudieron a pedirle consejo. Tenga en cuenta también que esto estaba sucediendo en Israel en A.T. y que no se puede justificar en el tiempo de gracia, en la actual Iglesia del Señor. Saludos, J-L Gaillard
3/16/2021 • 22 minutes, 40 seconds
La place de la femme dans l'église aujourd'hui
Suite à ma vidéo de la semaine dernière : la place de la femme dans la Bible
et mes réponses à toutes vos questions.
Les questions :
Que devrait-être la vraie place de la femme dans l’église d’aujourd’hui ?
L’égalité spirituelle entre les hommes et les femmes ?
L’ordre d’autorité établi par Dieu ?
Est-ce qu’une femme peut prêcher dans l’église aujourd’hui ?
Doit-elle rester dans sa maison et s’occuper exclusivement de son foyer ?
Qu’a-t-elle le droit de faire dans l’église ?
1°) Les égalités spirituelles entre les hommes et les femmes
« Il n’y a plus ni Juif ni Grec, ni esclave ni libre, ni homme ni femme, car tous sont un en Jésus-Christ. » Galates 3 :28
Dans l’Épître de Paul aux Galates au chapitre 3, il est question est l’unité des chrétiens vis-à-vis du salut obtenu par la foi en Jésus-Christ.
Les hommes et les femmes partagent :
-- Les mêmes commandements
-- Les mêmes promesses
-- Les mêmes bénédictions
-- Les mêmes ressources spirituelles
-- Les mêmes responsabilités spirituelles
2. L’ordre d’autorité établi par Dieu ?
Rappellerons-nous toujours 1 Corinthiens 11 : 3 « Je veux cependant que vous sachiez que Christ est le chef de tout homme, que l’homme est le chef de la femme, et que Dieu est le chef de Christ. »
3° Les différences entre femmes et hommes dans l’église.
Aujourd’hui, nous voyons dans ce monde où il y a une revendication permanente et une remise en cause de cette différence.
Le cas des veuves
4. Alors, est-ce qu’une femme peut prêcher dans l’église aujourd’hui ?
5. Doit-elle rester dans sa maison et s’occuper exclusivement de son foyer ?
6. Que peut-elle faire dans sa maison, dans sa ville dans l’église locale ?
A) Dans sa maison
B) À l’extérieur de sa maison
C) Dans l’église locale
Conclusion à découvrir !
L'intégralité du texte est disponible sur www.jlgaillard.fr
Regardez aussi mes 365Histoires sur https://www.youtube.com/user/lepit007
Post-scriptum : Beaucoup me parle de Déborah dans L'Ancienne Alliance (Juges 4: 4) Deborah était juge mais le peuple la considérait comme "prophétesse" à cause de la force et la sagesse divines dont elle était remplie lui avaient valu la vénération du peuple qui l’avait établie comme son arbitre. Les juges ordinaires paraissent avoir fait défaut (#De 16:18) Lappidoth (« flambeaux ») était le nom de son mari. Il faut dire aussi qu'à cette époque les hommes avaient démissionné. Surement qu'elle donnait des prophéties aux personnes qui venaient lui demander conseil. Remarquons aussi que cela se passait en Israël dans l'A.T et ne peut pas justifier dans le temps de la grâce, dans l'église du Seigneur actuel. Salutations fraternelles. J-L Gaillard
3/13/2021 • 22 minutes, 40 seconds
El papel de las mujeres en la iglesia
Esta es una pregunta que surge a menudo y quiero tomarme el tiempo para responderla. Éste es un tema que me es muy consultado y que es también controvertido, incluso en las iglesias, y que suscita muchas opiniones diferentes sobre el rol que debe tener la mujer en la iglesia, en la familia y hasta en la comunidad.
También vemos muchos movimientos que se levantan por la igualdad entre las mujeres, entre otros. Pero, ¿qué nos dice la Biblia sobre esto? Pero, veamos:
1° El lugar de la mujer en la historia bíblica del Antiguo Testamento.
2° A la luz de Jesús; cómo Jesús considera a las mujeres; para poder sentar las bases.
3° ¿Cuál es el lugar de la mujer hoy? ¿Debería predicar? ¿Es ella igual a los hombres, en todos los niveles? ¿Puede una mujer dirigir una iglesia?
Tan pronto como miramos la historia de la mujer a través de los tiempos, vemos que a menudo ha sido rechazada por los hombres. Tratada como inferior, le debía una sumisión total al hombre.
Podemos resumir de la siguiente manera el papel de la mujer en el Antiguo Testamento:
Las mujeres son muy importantes con la condición de que se queden en casa haciendo las tareas del hogar, la cocina, la costura, que dejen a los hombres solos y que transmitan la vida y los valores.
En el Antiguo Testamento, salvo en algunos casos, siempre fue degradada y con demasiada frecuencia excluida de todas las decisiones. Su única libertad era para aceptar o rechazar el avance de uno de sus pretendientes a la etapa del matrimonio.
Por supuesto, algunas han vivido plenamente desde su lugar la fe y en plenitud, confiando en Dios; y se las recuerda como ejemplo de fe y de perseverancia en Hebreos 11.
Y a la llegada del mesías Jesús de Nazaret:
• Jesús apoyó a las mujeres.
Jesús les hizo saber a las mujeres que eran inteligentes e intrínsecamente dignas del amor y del cuidado de Dios. Ni una sola vez en los cuatro Evangelios ha degradado a una mujer. La mayoría de los hombres, en algún momento de sus vidas, han menospreciado a las mujeres. Pero Jesús nunca lo hizo. Desde los primeros días de su vida, hasta que ascendió al cielo, Jesús tuvo estima por las mujeres y las apoyó.
Sí, Jesús fue sensible a sus necesidades:
Jesús era sensible a las desventajas sociales y religiosas que enfrentaban las mujeres y alivió estas cargas. Fue compasivo y afectuoso.
En otra ocasión, Jesús resucitó al hijo de la viuda de Naín (Lucas 7:11-17). La posición de las viudas en la cultura del Medio Oriente es dura, si no tienen hombres que las protejan. Mientras Jesús observaba la procesión de entierro, vio a los pocos portadores del ataúd y a esta mujer solitaria caminando detrás. Se dio cuenta de que no había otro hombre en su familia que se ocupara de esta mujer. Por compasión de esta pobre mujer, Jesús se acercó, tocó al joven y lo devolvió a la vida.
Aún más marcado, vemos en el Evangelio de Lucas a Jesús oponiéndose a los prejuicios y abusos de la religión organizada contra las mujeres. En esta parte del mundo, tal comportamiento puede ser peligroso.
Debemos honrar a todas las mujeres con el mismo amor y respeto que Jesús les mostró. Veamos Lucas 13: 10-17.
El texto completo está disponible en https://jlgaillard.fr/es/
#mujer #iglesia #365Historias #JeanLouisGaillard
3/9/2021 • 20 minutes, 4 seconds
¿Cómo elegir tu pareja?
Nueva serie de videos sobre la familia cristiana que publicaremos mensualmente:
1er. tema: La elección del cónyuge
2do. tema: El rol del marido
3er. tema: El rol de la esposa
4to. tema: Los niños
5to. tema: las finanzas en la pareja.
Y otros temas más...
En este video hablo sobre "La elección del cónyuge":
¡Hablemos primero sobre el celibato, que es una excelente manera de servir al Señor!
La felicidad no viene del matrimonio, la felicidad viene de nuestra relación con Dios ya sea que estemos casados o no; y esto no debe olvidarse, porque muchos creen que la felicidad viene en el matrimonio. ¡No saben lo que están diciendo!
Pero volvamos a nuestro tema del día: la elección del cónyuge.
¿Cómo sé que no me equivoco?
Los 5 consejos básicos antes de comprometerse.
¿Los 7 puntos para asegurarme de que estoy haciendo la voluntad de Dios?
Las preguntas que me hago:
¿Qué hacer con las señales que he recibido?
¿Sexualidad?
Mi testimonio como padre y pastor.
El testimonio de mi hija.
Conclusión.
Encuentra todo el texto en esta dirección: https://jlgaillard.fr/es/
3/3/2021 • 20 minutes, 31 seconds
Somos lo que comemos
En esta historia, el pastor Jean-Louis Gaillard nos habla de la importancia de alimentar nuestro espíritu correctamente, con la buena comida. Somos lo que comemos es el tema de este video.
365 Historias - Los dos perros (140)
#JeanLouisGaillard #365Historias #365Histoires
2/22/2021 • 2 minutes, 52 seconds
Ayudar a los demás
A través de este video, el pastor Jean-Louis Gaillard relata la historia de un dibujo de una mano y del significado de una gran acción.
#365Historias #JeanLouisGaillard
Una mano dibujada (176)
2/14/2021 • 1 minute, 41 seconds
¿Qué esperanza hay para los cristianos en este año 2021?
Resumen:
Esta es la pregunta que mas me hacen actualmente muchos cristianos golpeados por la crisis de la COVID 19 y por diferentes injusticias ocurridas en sus iglesias. Vale destacar que hice varios videos sobre ambos temas.
Escuchamos en todas partes que los jóvenes están desanimados, y que los adultos y los niños que se ven privados de relaciones sociales a causa de este virus de la Covid; que los dueños de pequeñas empresas están al borde del suicidio, etc.
En este mundo del desánimo, nuestra verdadera esperanza está en Jesucristo. Él es el único que puede y quiere ayudarnos.
¿Qué solución para el cristiano sincero en 2021?
• Primero tenemos que poner las cosas en perspectiva, nuestra situación es mucho menos terrible que la de nuestros padres o abuelos al final de la guerra, y sin embargo salieron de ella, y vivieron los "gloriosos 30"
• ¡El Señor Jesucristo no ha cambiado y reina en su trono de gloria!
Levántate cada mañana dando gloria a Dios porque Él reina
• Pasemos tiempo en oración sincera con todo nuestro corazón (Santiago 5:16)
• De la nada Dios puede hacer cosas nuevas.
Recuerde los primeros versículos del Génesis, "la tierra estaba desordenada y vacía". Dios pudo crear el mundo que conocemos. Por supuesto, este mundo fue diseñado para que el hombre floreciera en la comunión de su creador, pero el hombre lo ha pervertido y continúa destruyéndolo cada vez más.
Tenemos ejemplos en la Palabra de Dios donde todo parecía perdido, pero cuando el hombre regresa a su Creador, entonces todo se vuelve posible.
Ejemplo: El regreso de David en 1 Samuel 30 1-4.
• ¿Qué esperanza para el cristiano sincero en 2021?
1 ° Hagamos como David y volvamos al Señor con todo nuestro corazón
2 ° Tomemos decisiones draconianas
3 ° Cambiemos nuestra forma de vida; volvamos a la fuente que es la Palabra de Dios, Josué 1: 8-9 + 10 puntos importantes
Si quieres más aclaraciones, mira nuestros videos: https://www.youtube.com/watch?v=6t7a_...
https://www.youtube.com/watch?v=xjo6W...
"¿Entonces creo que tienes una pregunta candente?"
Y si ninguna iglesia en mi área cumple con todos estos criterios, ¿qué debo hacer?
Conclusión: ¡Ponga la palabra de Dios primero y aplíquela! Solo ella es la verdad desde la fundación del universo y mucho más allá de 2021.
Si desea encontrar este texto completo, vaya a www.jlgaillard.fr
Listas de videos que responderán a sus preguntas:
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Lista de sitios para asesorar en francés:
https://ctmi.org/fr
www.acmir.re
ECOI TV https://www.youtube.com/c/ECOITV
www.assemblee-chretienne.fr
Para las hermanas: Malaïka la revista de mujeres africanas
Lista de sitios para asesorar en inglés:
Zimbabwe: Selbourne Park Christian Church - YouTube
https://ctmi.org
Iglesia del Evangelio de Gracia de Sudáfrica - YouTube
Inglaterra: (1) Iglesia cristiana de Bournemouth - YouTube
EE.UU .: (1) Grace Fellowship Church - Sarasota, FL - YouTube
Encuéntrame en el sitio web de mi pastor: www.jlgaillard.fr en francés y español. Hasta pronto.
2/8/2021 • 11 minutes, 14 seconds
Les anciens : qualifications & rôles (32)
Comme pour les synagogues, les communautés chrétiennes ont nommé des anciens dans chaque église locale. Il y a bien écrit “des” anciens, ce terme est au pluriel et c'est ainsi dans chaque ville.
Chaque église est dirigée par une équipe d’anciens qui doit gérer les problèmes rencontrés dans les diverses situations de la vie de l'assemblée.
Sujets traités :
L'ordre d'autorité ?
Rôle des sœurs ?
Pourquoi plusieurs anciens ?
Exemple, du règlement d'un problème dans le livre des actes.
Qualifications des anciens :
a) Qualifications spirituelles
b) Qualifications personnelles
c) Qualifications familiales
d) Qualifications sociales
e) Qualifications propres au ministère
Le rôle des anciens auprès des brebis
L’importance et le rôle du Conseil des Anciens
Conclusion
Titre des vidéos à venir :
Le rôle des diacres, et de chacun des 5 ministères
Éduquer ses enfants dans la soumission et le respect des parents
Marchez dans le bon Esprit de l’Évangile
Retrouvez tout le texte en Français sur www.jlgaillard.fr
Video doblado al español aquí: https://www.youtube.com/watch?v=X6cdDNIOlOw
2/5/2021 • 17 minutes, 10 seconds
Les coulisses de l'Evangile de la prospérité (64)
Vous avez tous entendu parler de Benny Hinn, le grand prédicateur du « Message de la Prospérité ».
Et bien en 2018, il a publié une vidéo où il se repend de tout ce qu’il avait prêché sur la prospérité.
Bien sûr, nous ne voulons pas juger l’homme, ni le sérieux de sa repentance, car c’est Dieu seul qui juge.
Retrouvez tout le texte sur mon site : www.jlgaillard.fr
C’est vrai qu’une vraie repentance devrait produire des fruits à l’exemple de Zachée qui rencontre Jésus alors qu’il était monté dans un arbre. C’est dans l’évangile de Luc 19 versets 5-8
« Lorsque Jésus fut arrivé à cet endroit, il leva les yeux et lui dit : Zachée, hâte-toi de descendre ; car il faut que je demeure aujourd’hui dans ta maison. Zachée se hâta de descendre, et le reçut avec joie. Voyant cela, tous murmuraient, et disaient : Il est allé loger chez un homme pécheur. Mais Zachée, se tenant devant le Seigneur, lui dit : Voici, Seigneur, je donne aux pauvres la moitié de mes biens, et, si j’ai fait tort de quelque chose à quelqu’un, je lui rends le quadruple. »
Pour Zachée on peut voir les fruits de sa repentance sans équivoque
Un livre en français vient de sortir le 15 décembre 2020 aux éditions « Ourania » écrit par le pasteur Costi W . Hinn, le neveu du Pasteur Benny Hinn.
Le titre est : « Les coulisses de l’évangile de la prospérité »
Tout ce que je vais partager est tiré de ce livre :
Car tout y est déballé : des pièges et de la façon de procéder, jusqu’au moment où ce neveu termine en racontant comment il a retrouvé le vrai chemin du service de Dieu.
Le mot « prospère » est bien biblique et se trouve dans 3 Jean 1 : 1 Mais l’évangile de la prospérité c’est vraiment autre chose.
C’est un faux évangile qui a pour but de faire croire aux personnes qu’elles vont être guéries à la condition de donner leur plus grosse offrande. C’est une manipulation de prédicateur n’ayant aucun scrupule à voler l’argent des chrétiens en échange d’une soi-disant guérison qui n’arrivent que trop rarement et quand cette guérison n’arrive pas, c’est de la faute de la personne qui n’a pas assez de foi !
2/5/2021 • 17 minutes, 6 seconds
Les excés de la louange et de l'adoration moderne (62)
En préambule, je voudrais dire que je suis pleinement convaincue d’utiliser des instruments de musique les plus variés, la sono et tout ce qui est nécessaire pour louer Dieu. Ce dont, je veux parler, ce sont ces excès en tous genres et là je suis vraiment opposé. Mais regardons d’abord ce qui plait au Seigneur. Pour cela ouvrons le livre de la Genèse au chapitre 4 versets 3 à 5 : « Au bout de quelque temps, Caïn fit à l’Eternel une offrande des fruits de la terre ; et Abel, de son côté, en fit une des premiers-nés de son troupeau et de leur graisse. L’Eternel porta un regard favorable sur Abel et sur son offrande ; mais il ne porta pas un regard favorable sur Caïn et sur son offrande ». Selon ce passage, les deux premiers adorateurs de la Bible, Caïn et Abel, furent jugés par Dieu sur la base de leur état spirituel plutôt que sur leur sacrifice. En effet, le regard de Dieu se porta tout d’abord sur leur personne, puis sur leur offrande. Il n’est donc pas exagéré d’affirmer que Dieu est plus sensible à notre état spirituel qu’à ce que nous Lui offrons. Il en est sûrement de même de notre adoration. Caïn n’a pas accepté que Dieu l’examine de cette manière et finit par tuer son frère. Et vous qu’allez-vous faire de cette vérité ? Ce qui intéresse notre Dieu est davantage notre état spirituel plutôt que sur leur sacrifice.
Certains chants finissent par être produits, non pour purement glorifier le Nom du Seigneur, mais pour satisfaire, autant la gloire des artistes que l’appât du gain. La ressemblance entre églises et les boites de nuit : Les spots de toutes couleurs roses, bleu, fuchsias semblables à ceux utilisées dans les boites de nuit, l'ambiance, des fumées artificielles, l'ambiance … Les résultats : L’on assiste alors, malheureusement pas à un réveil spirituel, mais à un retour de la chair qui introduit avec elle tout ce qui fait sa nature, c’est-à-dire le péché. L'origine du combat entre la chair et l'Esprit de Dieu. La chute de Satan qui avait un ministère d’adoration proche du trône de Dieu Ézéchiel 28 12-17 mais il s’est corrompu par son orgueil, (Ézéchiel 28 : 17) dès que l’iniquité a été trouvée en lui, il a été déchu avec 1/3 des anges, emmenant avec lui un mélange très nocif sur la terre. Les trois éléments qui compose la musique : la mélodie, l’harmonie et le rythme. Ces paramètres sont indissociables et influent sur trois aspects chez son auditeur : l’âme, l’esprit et le corps. Deux exemple : 1° le RAP qui est né dans le Bronx aux Etats Unis a été inventé dans l’objectif de se révolter et utilise une technique que l’on appelle “scander” pour défendre une idée mais nous voyons bien que l’écoute de ce genre de musique amène son auditeur à la violence et fait naître en lui cette rébellion. 2° Par exemple, quand le jeune David jouait de la musique pour Saül, (1 Samuel 16 : 23) cela calmait l’âme de Saul et on voit qu’une musique saine et bienfaisant y contribue, soulage, et apaise émotionnellement une personne agitée, parce que cette musique était produite par un homme qui avait le cœur selon Dieu et qui était animé de l’Esprit de Dieu. Ce qui démontre que tout dépend de l’Esprit qui habite le musicien. 3° Certains chanteurs actuels reconnaissent qu’ils ont fait un pacte avec le diable en lui vendant leur âme en échange de son aide pour créer des musiques qui influenceront des millions de personnes, et qu’en échange, ils puissent gagner beaucoup d’argent. En conclusion : on doit faire attention, à ce que notre louange soit spirituelle et non pas charnelle. Que celle-ci soit pour glorifier notre Dieu et lui dire notre amour et notre reconnaissance pour l’œuvre du Seigneur Jésus-Christ et du Saint Esprit. Le texte est complet sur le site www.jlgaillard.fr
2/5/2021 • 13 minutes, 57 seconds
Résolution du chrétien en 2021 (63)
Exposé des résolutions, puis hélas on ne peut les tenir
Pourquoi ? Comment faire ? Puis : Ecoutez ma conclusion
Tout est détaillé sur mon site www.jlgaillard.fr
2/5/2021 • 11 minutes, 6 seconds
Doit-t-on être négatif sur tout ce qui se passe aujourd'hui dans nos église ? (65)
Voici quelques extraits de ma vidéo !
Mon but n’est pas de parler de choses négatives, ni de critiquer pour critiquer mais d’avertir comme le faisait les prophètes de l’Ancien Testament, les apôtres dans le Nouveau Testament et tous les serviteurs qui ont à cœur de voir cette église glorieuse se lever pour représenter Christ.
L’apôtre Paul dit dans l’épître aux Colossiens 1 : 29
« C’est à quoi je travaille, en combattant avec sa force, qui agit puissamment en moi ! »
Je vous rassure, je ne suis pas grognon, mais plutôt dans la joie de servir le Seigneur par ces moyens audiovisuels mais souvent, je suis dans une sainte colère quand je vois l’église du Seigneur aller dans de nombreuses fausses directions, alors mon désir est de dénoncer cela car l’Evangile est équilibré et nous, nous devons absolument garder l’équilibre face à tous les excès actuels. Bien sûr, chacun peut avoir des opinions différentes et je veux respecter les opinions différentes de chacun : par exemple si vous voulez fêter Noël, c’est votre choix et votre liberté, moi j’ai voulu vous interpeller face à la Parole de Dieu afin que chacun se forge une opinion. Car c’est trop triste de voir les chrétiens marcher comme le monde sans se rendre compte du piège qui est devant eux !
Mon but est de dénoncer les excès de certains qui deviennent des pièges pour les chrétiens non affermis. Surtout, je suis convaincu que cela va aller en s’empirant !
Je pressens que ce qui se prépare en Amérique va venir bientôt déferler sur la France et sur tous les continents à travers les mouvements chrétiens libéraux dit New Age : La remise en cause de l’inspiration de la Parole de Dieu !
L’importance de garder l’équilibre du vrai évangile et de laisser de côté les conclusions tirées de nos expériences personnelles qui conduisent à de fausses doctrines. Mon cœur est d’avertir et de partager mes expériences car depuis que je connais le Seigneur il y a 50 ans, J’ai vu tant de catastrophes, de faillites…
Aujourd’hui, il y a en Amérique des mouvements dit libéraux avec à leurs têtes des hommes qui ont étudié la Bible, la théologie dans les plus grandes universités mais qui sont partis tellement loin qu’ils ne croient plus à l’inspiration de la Parole de Dieu.
C’est pourquoi Jésus a prédit dans Luc 18 :8
« Mais, quand le Fils de l’homme viendra, trouvera-t-il la foi sur la terre ? »
J’ai souvent des questions comme celle-ci, dites-nous le nom et l’adresse de ces églises tellement mondaines afin que nous les fuyions ?
• Il y a deux problèmes, les chrétiens sont devenus paresseux, ils veulent des réponses tout compris au lieu d’exercer le discernement.
• Et de vérifier dans les écritures que ce qu'ils voient et entendent est conforme à la Parole de Dieu ou pas, comme les chrétiens de Bérée dans Actes 17 :11
Il est donc temps que les chrétiens se réveillent et cherchent la vérité dans la Parole de Dieu car autrement ils tomberont dans d’autres travers.
• La solution de Dieu, la repentance. Qui dans sa vie n’a jamais fait d’erreur ? A eu des moments de faiblesse croyant faire bien, et s’apercevant de son erreur est revenu en arrière et a compris que par ses excès, le Seigneur lui demande de se repentir et de reprendre le bon chemin ?
Moi, cela m’est arrivé plein de fois et m’arrivera sûrement encore ! Dieu, me rejette-il pour cela ? Non, tant que je reconnais et me repends, il me pardonne et efface mes erreurs.
Donc, s’il le fait pour moi, il le fait pour toi aussi et d’ailleurs. C’est comme cela que nos erreurs peuvent tourner à la gloire de Dieu car on en comprend la leçon.
Bien fraternellement.
Votre pasteur : Jean-Louis Gaillard
Si vous voulez me poser des questions écrivez-moi à : contact@365histoires.com
Texte complet sur mon site www.jlgaillard.fr
2/5/2021 • 16 minutes, 22 seconds
Quels sont les 10 caractéristiques bibliques d’un bon serviteur de Dieu ? (66)
Bonjour, pourquoi l’église va si mal ? Pourquoi, il y a tant de dérives dans les églises évangéliques ?
Je suis étonné de voir qu’il y a une course au nombre d’ouvertures d’églises, que les Unions d’églises ne recherchent qu’une chose, avoir de plus en plus d’églises associées et qu’importe la qualité de ces églises. Recherche du nombre au lieu du sérieux de ces églises.
La santé des églises est directement proportionnelle à la santé spirituelle des serviteurs de Dieu. Alors, quelles sont les caractéristiques d’un bon serviteur de Dieu ?
Vingt critères se trouvent dans 1°Épître de Paul à Timothée 3 des versets 1 à 7, puis trois autres critères rajoutés à la liste par Paul dans sa lettre à Tite chapitre 1 verset 9 Mais commençons par définir ce qu’est un ancien tantôt appelé « évêque » ou en grec « épiskopos ». Celui qui occupe une fonction pastorale.
Qu’est-ce qu’un ancien ? C’est un serviteur.
Regardons à son appel : Dans la 1re lettre de Paul à Timothée chapitre 3. Verset 1, nous dit : " Cette parole est certaine : Si quelqu’un aspire à la charge d’évêque, il désire une œuvre excellente ".
Plus la charge était excellente (grec « belle ou bonne »), élevée et sainte, plus il était nécessaire d’en écarter tous ceux qui agiraient avec de mauvais motifs, et d’insister sur les qualités requises des vrais serviteurs au sein des églises locales.
1° Critère: L’appel, cela commence par une aspiration = désirer fortement et durablement, être demandeur. Il y a la part de l’homme puis l’appel de Dieu qui se ressent dans la prière et la communion avec notre Seigneur Jésus-Christ !
Ce n’est pas pareil que d’être animé d'une envie de carrière publique, souhaitant devenir un personnage public ! Car c’est un piège, on ne devient pas pasteur pour être en vue auprès des autres ou pour rendre service aux autres.
Non c’est un appel de Dieu ! Qui doit être confirmé par la communauté locale.
C’est malheureusement tout à fait préjudiciable que certains pasteurs soient nommés par des Fédérations et imposés à l’église locale.
Un autre aspect : On ne s’auto proclame pas « Pasteur ». C’est la pire des choses, car c’est prendre un fardeau que Dieu ne nous donne pas et que nous porterons avec nos forces jusqu’à l'épuisement, en fatiguant les brebis de l’église du Seigneur.
Alors qu'est-ce qui qualifie ou disqualifie un vrai serviteur ? Il est dit qu’un évêque ou un ancien doit avoir des caractéristiques morales et personnelles bien définies (1re épître de Paul à Timothée chapitre 3 versets 1 à 7) : Voyons ces 10 premiers critères accompagnés de témoignage et de retour de mise en pratique au niveau personnel, familiale et de l'église locale...
Le texte paraîtra complet sur notre site www.jlgaillard.fr ou directement à cette adresse :
https://jlgaillard.fr/les-10-criteres-dun-bon-serviteur-de-dieu-bonjour-pourquoi-leglise-va-si/
Merci de m’avoir suivi et cherchons les vrais bergers selon le cœur de Dieu.
Nous partagerons les autres critères prochainement. À bientôt donc.
Texte complet sur mon site www.jlgaillard.fr
2/5/2021 • 13 minutes, 5 seconds
Quelles solutions pour le chrétien sincère en 2021 ? (40)
C’est la principale question qui m’est posée actuellement par de nombreux chrétiens déroutés par la crise du COVID 19 (1) et de la situation de l’état de l’église aujourd’hui (2). Nous entendons partout que les jeunes sont découragés, alors que dire des adultes et des enfants qui sont privés de relation à cause de ce Covid 19 (3 & 4). Que les patrons de petites entreprises sont au bord du suicide, etc.
Dans cet univers de découragement, notre véritable espoir est en Jésus-Christ ! Lui seul peut et veut nous aider.
Quelle solution pour le chrétien sincère en 2021 ?
• D’abord il faut relativiser, notre situation est beaucoup moins catastrophique que celle de nos parents ou grands-parents à la sortie de la guerre, et pourtant, ils en sont sortis ils ont même connu les « 30 glorieuses »
• Le Seigneur Jésus-Christ n’a pas changé et règne dans son ciel de Gloire !
Levons-nous chaque matin en rendant gloire à Dieu car il règne
• Passons du temps dans la prière sincèrement de tous nos cœurs Jacques 5 :16
• C’est toujours à partir de rien que Dieu peut faire des choses nouvelles.
Rappelons-nous les premiers versets de la Genèse, le monde était informe et vide (Tohu Bohu) Dieu a pu créer le monde que nous connaissons. Bien sûr ce monde a été conçu pour que l’homme s’épanouisse dans la communion de son créateur, mais hélas, l’homme l’a perverti et il continue de le détruire de plus en plus.
Nous avons des exemples dans la Parole de Dieu où tout semblait perdu, mais quand l’homme revient à son créateur, tout devient alors possible.
Exemple : Le retour de David dans 1 Samuel 30 1-4. Lorsque David arriva le troisième jour à Tsiklag avec ses gens, les Amalécites avaient fait une invasion dans le midi ainsi qu'à Tsiklag...
Quelle solution pour le chrétien sincère en 2021 ?
1°) Faisons comme David et revenons à l’Éternel de tout notre cœur
2°) Prenons des décisions draconiennes
3°) changeons de façon de vivre, oui, revenons à la source qui est la Parole de Dieu, Josué 1 :8-9 + 10 points importants
Si vous voulez plus d’éclaircissement, regardez notre vidéo sur :
11 Critères pour vous assurer que vous êtes dans une bonne église ? (18)https://youtu.be/iYKVyTIGeFA
Texte complet sur mon site www.jlgaillard.fr
2/5/2021 • 11 minutes, 14 seconds
Entendre la voix de Dieu 2° Partie et fin
Les magasins étaient fermés et la plupart des maisons était sans lumière comme si les gens étaient déjà au lit. De nouveau, il ressentit quelque chose : « Va donner le lait aux personnes dans la maison de l'autre côté de la rue ».
Le jeune homme regarda la maison. Elle était sombre et il semblait que les gens étaient absents ou bien qu'ils dormaient déjà. Il commença à ouvrir sa portière, puis se rassit au fond de son siège de voiture. « Seigneur, c'est du délire. Ces gens dorment et si je les réveille, ils vont être furieux contre moi et j'aurai l'air stupide »
Mais il sentit de nouveau qu'il devait aller donner le lait. Il ouvrit finalement sa portière. « D'accord Seigneur, si c'est toi, j'irai à leur porte et leur donnerai le lait. Si tu veux que j'aie l'air d'un fou, d'accord. Je veux être obéissant. J'imagine que cela comptera pour quelque chose, mais s'ils ne répondent pas tout de suite, je me sauve ! »
Il traversa la rue et sonna à la porte. Il pouvait entendre du bruit à l'intérieur. La voix d'un homme cria, « Qui est-ce ? Qu'est-ce que vous voulez ? » Alors la porte s'ouvrit avant que le jeune homme n'ait pu s'en aller. L'homme se tenait là debout en jeans et tee-shirt. Il avait l'air d'être tout juste sorti du lit. Il avait un regard étrange et ne semblait pas très heureux de voir un étranger se tenir sur son seuil. « Que voulez-vous ? »
Le jeune homme brandit le litre de lait : « Voilà, je vous ai apporté ceci ». L'homme prit le lait et se précipita au fond du couloir parlant très fort en espagnol. Alors, apparut une femme qui portait le lait vers la cuisine. L'homme la suivait portant un bébé. Le bébé pleurait. L'homme versait des larmes. Il commença à parler tout en pleurant : « Nous étions juste en train de prier. Nous avons eu de grosses factures ce mois-ci et nous avons manqué d'argent. Nous n'avions plus de lait pour notre bébé. J'étais juste en train de prier et je demandais à Dieu de me montrer comment obtenir du lait »
Son épouse dans la cuisine cria : « Je lui ai demandé d'envoyer un ange avec du lait. Êtes-vous un ange ? » Le jeune homme prit alors son porte-monnaie et retira tout l'argent qu'il avait sur lui et le mit dans la main de l'homme. Il fit demi-tour et marcha vers sa voiture très ému. Il venait d’avoir la preuve que Dieu exauçait encore les prières.
2/2/2021 • 3 minutes, 33 seconds
Adrien et le Père Noël (2° Partie et fin)
Le 25 décembre, Adrien entra triomphalement dans la chambre de ses parents. « Le Père Noël existe et il m’a répondu. ». Il brandit les 750 euros et raconta son histoire, les lettres et les réponses. « Maintenant on peut célébrer Noël. Ne serait-ce que pour remercier le Père Noël. » Il avait déjà oublié qu’il avait demandé les 500 euros pour ses sœurs. Les parents ne dirent rien, mais ils étaient consternés. Ils avaient essayé de détourner leur enfant de l’attrait du monde mais l’appel du monde était plus fort que tout. Le père dit simplement : « Donne-moi cet argent ». Adrien jubilait à l’intérieur. « Je suis sûr qu’il va acheter une dinde et des cadeaux, tant pis si on célèbre Noël demain le 26 ».
La journée se passa normalement. On ne parla de rien. A table, le père rendit grâce comme d’habitude. Le lendemain, Adrien était encore en vacances. Son papa rentra plus tôt. Il dit à Adrien : « Viens Adrien on va sortir ». Adrien ne pouvait plus attendre. « On va faire les courses, c’est sûr ». Il prit la main de son père et ils partirent. Adrien était très surpris que le père n’aille pas vers les magasins mais vers le bureau de poste. « Tiens, je ne savais pas qu’il y avait un magasin dans ce coin ». Le père entra dans le bureau de poste et il se contenta de montrer un bureau sur la porte duquel était écrit : « Bureau du Père Noël ».
Il frappa à la porte. On cria : « Entrez » et là Adrien vit une centaine d’employés qui répondaient à des centaines de lettres. Il fut très choqué. Le père s’approcha de l’un d’entre eux. Il avait à la main la soi-disant réponse du Père Noël et les 750 euros. Il dit :
« Mesdames, Messieurs, je crois que cet argent vous appartient. Je suis venu vous le rapporter parce que je ne veux pas que mon fils croie à ces mensonges ».
Adrien et son père sortirent du bureau de poste. Ils marchèrent en silence. Après des minutes qui semblèrent interminables, le papa prit la parole :
« Tu vois Adrien, plutôt que de monter toute cette mise en scène, tu aurais dû nous parler. Nous aurions pu prier ensemble. Tu vois le but de Jésus ce n’est pas de te frustrer et de t’empêcher d’être heureux, bien au contraire. Mais pas de cette façon. Ce que le monde t’offre est un leurre, non seulement le Père Noël est un mensonge mais tous ces biens matériels n’ont jamais rendu quelqu’un heureux. Si tu creusais un peu sous la surface, tu verrais que beaucoup de tes amis qui se vantent ainsi, ne sont pas si heureux que cela ».
Adrien ne savait que répondre. Il savait que son père avait raison mais il était en colère. En colère contre Jésus. Au bout de quelques minutes, son père s’assit sur un banc, il prit Adrien dans ses bras, et il pria : « Seigneur montre à Adrien que toutes ces choses n’ont aucune réalité et révèle-lui ce qui se passe réellement dans le cœur de ses amis »
Adrien avait envie de pleurer.
A la rentrée, le premier jour de l’école, Cyrille, un de ses amis qui s’était le plus moqué de lui, s’approcha d’Adrien et lui dit : « Tu sais les fêtes ont été un cauchemar. Mes parents se sont disputés tout le temps, je crois qu’ils vont se séparer. Pendant le repas de Noël, mon père a beaucoup bu et il a été odieux avec nous tous. Je vais te dire un secret, je déteste Noël, j’ai toujours détesté. Je n’aime pas les cadeaux que je reçois ; en effet, qu’est-ce que j’en ai à faire qu’un vieux bonhomme que je ne connais pas me fasse des cadeaux. D’ailleurs je ne crois pas au Père Noël. Je préférerais mille fois que mes parents m’avouent que ce sont eux qui font les cadeaux. Mais ce que j’aimerais par-dessus tout c’est qu’ils cessent de se disputer et qu’ils me disent qu’ils m’aiment. C’est toi qui a raison. J’aime l’atmosphère de ta maison. Tes parents ont l’air de s’aimer et c’est le plus beau trésor. Chez toi, il y a la paix. Ta maman est vive et généreuse et ton papa est tranquille et tellement présent, on sent tellement l’amour chez toi. Ça, ça vaut tous les trésors de la terre ».
2/2/2021 • 6 minutes, 50 seconds
Características de un buen siervo de Dios
Hola, ¿por qué la iglesia está tan mal? ¿Por qué hay tantos abusos en las iglesias evangélicas?
Me sorprende ver que hay una carrera por el número de aperturas de iglesias, que los sindicatos de iglesias solo buscan una cosa, tener más y más iglesias asociadas y no importa cuán buenas sean estas iglesias. Busque el número en lugar de la seriedad de estas iglesias.
La salud de las iglesias es directamente proporcional a la salud espiritual de los siervos de Dios. Veamos, ¿cuáles son las características de un buen siervo de Dios?
Veinte criterios se encuentran en 1° Epístola de Pablo a Timoteo 3 de los versículos 1 al 7, luego otros tres criterios agregados a la lista por Pablo en su carta a Tito capítulo 1 versículo 9 Pero comencemos por definir cómo se llama a veces a un anciano "Obispo ”o en griego “épiskopos”. El que ocupa una función pastoral.
¿Qué es un anciano? Es un servidor.
1/29/2021 • 13 minutes, 5 seconds
“Dios, la avaricia y el Evangelio (de la prosperidad)” - Jean-Louis Gaillard
Hola amigos, hoy quiero hablarles sobre "¡Detrás de las escenas del evangelio de la prosperidad!"
Todos habéis oído hablar de Benny Hinn, el gran predicador del "Mensaje de Prosperidad".
Bueno, en 2018 publicó un video en el que se arrepintió de todo lo que dijo sobre la prosperidad.
Por supuesto, no voy a juzgar a este hombre, ni ponerme a evaluar sobre la seriedad de su arrepentimiento, porque es solo Dios quien juzga.
Es cierto que el verdadero arrepentimiento debe dar frutos como lo hizo en la vida de Zaqueo
que se encuentra con Jesús mientras trepaba a un árbol. Está en el Evangelio de Lucas 19 versículos 5-8.
(...)
1/23/2021 • 17 minutes, 2 seconds
¿Deberíamos ser negativos sobre todo lo que está sucediendo en nuestras iglesias hoy?
¡Aquí hay algunos extractos de mi video!
Hola, ¿deberíamos ver de una manera negativa algunas de las cosas que están sucediendo en nuestras iglesias hoy?
Mi objetivo no es hablar de cosas negativas, ni de criticar por criticar sino de advertir como hicieron los profetas del Antiguo Testamento, y los apóstoles en el Nuevo Testamento y todos los siervos que se preocupan por ver a esta gloriosa iglesia levantarse para representar a Cristo.
El apóstol Pablo dice en la carta a los Colosenses 1:29: "Para esto también trabajo, luchando según la fuerza de él, la cual actúa poderosamente en mí".
Les aseguro que no estoy de mal humor, sino con el gozo de servir al Señor, por estos medios audiovisuales pero a menudo, tengo un enojo santo cuando veo que la iglesia del Señor va en direcciones incorrectas, Y mi deseo es denunciar esto porque el Evangelio es equilibrado y tenemos que mantener el equilibrio ante todos los excesos actuales.
Por supuesto, todos tenemos opiniones diferentes y quiero respetar las opiniones de todos: por ejemplo, si quieres celebrar la Navidad, es tu elección y tienes libertad de hacerlo, Solamente quería desafiarte frente a la Palabra de Dios para que cada uno pueda formarse una opinión al respecto. ¡Porque es demasiado triste ver a los cristianos andar como el mundo sin darse cuenta de lo engañoso que esto puede volverse!
Pero la Palabra de Dios nos anima a no jugar a los falsos evangelios porque destruyen a miles de cristianos.
El falso evangelio siempre te llevará a una catástrofe material y espiritual en un mayor o menor plazo.
Lamentablemente, no todos los siervos de Dios son honestos, y con demasiada frecuencia se encuentran personas interesadas en las finanzas en lugar de estar motivados en realizar la obra de Dios de manera desinteresada. Usan maneras extrañas para recibir el dinero que los cristianos ofrendan para la obra de Dios.
1 Timoteo 4:1-2, dice: "Pero el Espíritu dice claramente que en los postreros tiempos algunos apostatarán de la fe, escuchando a espíritus engañadores y a doctrinas de demonios; por la hipocresía de mentirosos que, teniendo cauterizada la conciencia..".
En un futuro cercano, me gustaría hacer un video para responder sus preguntas, incluso preguntas personales: sobre mi ministerio, matrimonio, mi vida familiar, etc. Seguro que tienes preguntas que no nos atrevemos a hacerle a un pastor, pero intentaré responderlas lo mejor que pueda. Te invito a que me envíes tus dudas y estaré encantado de responderte por video.
Entiendo que a algunas personas no les gustan mis videos pero seamos amables y fraternos, porque pronto nos encontramos con el Señor. Comprenderá fácilmente que no guardo comentarios adjuntos a un enlace de video.
Muy fraternalmente.
Su pastor: Jean-Louis Gaillard
#JeanLouisGaillard #365Historias #365histoires
Si quieres hacerme preguntas escríbeme a: contact@365histoires.com
1/18/2021 • 16 minutes, 18 seconds
04 L'ennemi Insoupçonné 2° Partie et fin.
L'instrument divin pour détruire mon ennemi numéro un.
Dieu m’a fait grâce, depuis l’âge de 22 ans, d’identifier mon plus dangereux ennemi : il porte le nom de « péché ». Pour détruire son pouvoir, Jésus le Fils de Dieu a dû quitter l’environnement saint du ciel et s’entourer de pécheurs, qui allaient réclamer Sa mort. Cette mort, de Celui qui n’avait jamais commis de péché, fut l’instrument divin pour détruire mon ennemi numéro un. En acceptant Jésus dans ma vie, en croyant en Lui de tout mon cœur, le pouvoir de destruction et de condamnation du péché fut anéanti en moi par le pardon et la purification.
Nous sommes pécheurs signifie que nous sommes péché.
Le péché est l’ennemi que peu de gens soupçonne. C’est le pire ennemi, car le plus sournois et le plus destructeur. Il envoie des âmes là où personne ne voudrait se rendre et dont personne ne veut entendre parler. Pourtant, la majorité de l’humanité y va aveuglément, séduite par la tromperie du péché. Car, ce dernier sait se faire oublier par la pratique même de la religion, en noyant notre conscience dans les bonnes œuvres sociales ou religieuses, et que la Parole de Dieu appelle "œuvres mortes" c'est-à-dire qui n'ont aucun pouvoir de nous donner la vie et de nous changer. On ne se débarrasse donc pas aussi facilement du péché. Ce n’est pas une seconde nature que l’on peut assujettir, c’est notre nature première et primitive, indomptable et immuable. Nous sommes pécheurs signifie que nous sommes péché. L'être humain est entièrement corrompu, corps, âme, esprit, selon la description faite par David et utilisée plus tard par l'apôtre Paul:
Romains 3 :10-12 Il n'y a point de juste, pas même un seul; Nul n'est intelligent, nul ne cherche Dieu; tous sont égarés, tous sont pervertis. Il n'en est aucun qui fasse le bien, Pas même un seul.
Jésus est devenu péché pour nous
Pour nous libérer de cette horrible condition, Jésus a dû devenir péché à notre place.
2 Corinthiens 5.21. Celui qui n'a point connu le péché, Il l'a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en Lui justice de Dieu.
Il n’a pas été condamné à une peine quelconque, mais à une peine de mort sanglante, car seule la mort et le sang versé pouvaient éteindre son feu. À la croix, le péché a cessé de vivre. Ce miracle est pour tous ceux qui mettent leur foi en Jésus-Christ. Puisse Dieu vous convaincre que c’est là, le seul moyen de salut pour vaincre cet ennemi redoutable !
@Seryjocelyn
1/12/2021 • 3 minutes, 24 seconds
.L'ennemi Insoupçonné 1° Partie
On a dit de Staline que son plus grand ennemi fut ce vaisseau sanguin qui éclata à l’arrière de sa tête. Serait-il possible que ce vaisseau témoin de chacune de ses pensées meurtrières n’ait pu supporter le poids de sa conscience, accablée par tous ses crimes ? En effet, Staline avait passé la majeure partie de sa vie à éliminer ses adversaires et même des millions d’innocents, par crainte pour sa personne et par désir de gouverner sans risque de concurrence possible. Vous pouvez vous imaginer le cynisme de celui qui prononça ces paroles : « Un mort est une tragédie, un million de morts est une statistique. »
Nous travaillons pratiquement tous à vaincre nos éventuels futurs ennemis
Mes amis, nous travaillons pratiquement tous à vaincre nos éventuels futurs ennemis qui menacent notre existence. Ainsi, nous nous consacrons au sport pour vaincre la fatigue, à la diététique pour amenuiser les effets du vieillissement. Certains pratiquent les arts martiaux pour se défendre, d’autres le yoga pour faire le plein de zen, afin de combattre cet ennemi moderne qu’est le stress. En définitive, on est tous au combat contre un ennemi quelconque. Mais, sommes-nous prêts à nous défendre contre celui qui nous frappera subitement et mortellement ? Personne ne connaît réellement le défaut de sa propre cuirasse. Nous sommes tous, un petit peu comme un pauvre Staline et croyons qu’en combattant sur tous les fronts, nous garantissons notre sécurité. Nous avons même acquis l’art d’une manière experte et habile, de refouler, quelque part à l’arrière de notre crâne, ce que notre conscience nous reproche clairement à l’avant et qui assombrit notre regard.
L'ennemi qui peut nous tuer est celui qui vit en nous
Ce fut le cas de cet ignoble dictateur de Staline qui a même fait exécuter un bon nombre de médecins lors d’un complot que l’on a appelé le complot des blouses blanches. Ce faisant, il élimina, peut-être du même coup, celui qui avait la science pour le guérir. C’est comme cela que nous ignorons souvent que l’ennemi qui peut nous tuer est celui qui vit en nous, et que celui que nous suspectons et que nous cherchons à détruire, est celui qui peut nous sauver. Telle fut d’ailleurs l’œuvre machiavélique des Juifs au temps de Jésus. Ils portèrent la main sur leur Messie et, sans le comprendre, firent de Lui non seulement leur Sauveur, mais aussi Celui du monde entier.
@Seryjocelyn
1/11/2021 • 2 minutes, 57 seconds
Metas 2021: ¿Cómo planificar el año?
Nos encontramos en este primer mes del año para establecer nuestros objetivos como cristianos para el 2021. Y se lo digo directamente: ¡Solo hay una decisión importante que tomar! Pero eso lo veremos durante el video.
Espero que se encuentre bien, que haya comenzado el año con buena salud, y que el Señor le guíe en este 2021.
En este nuevo año, los cristianos en Jesucristo, nacidos de nuevo, solo podemos dar gracias al Señor por su protección durante el año que pasó. Y seguimos orando por este nuevo año que comienza. Creemos por la fe que este será un año para su gloria; que podamos conocer aún más al Señor Jesús y sobre todo ser como él.
Muchas veces establecemos objetivos que no alcanzamos. Generalmente nos establecemos metas al final del año que se va, para realizar en el año entrante. Y esta tradición de establecerse objetivos es mundial y sorprendente. Cada pueblo, cada cultura, cada comunidad tiene una forma especial de comenzar el nuevo año, y una manera particular de trazarse nuevas metas a alcanzar.
Estas son algunas de las tradiciones más simples y sorprendentes: algunas pueden robarnos una sonrisa, como las de India y Japón; donde se da la bienvenida al año pintando la casa y haciendo una gran limpieza con la esperanza de tener una vida mejor.
#metas #2021 #JeanLouisGaillard
1/10/2021 • 11 minutes, 6 seconds
Surmonte Le Mal Par Le Bien de Jocelyn Sery
Romains 12.21 : Ne te laisse pas vaincre par le mal, mais surmonte le mal par le bien.
Il y a plus grand mal et plus pernicieux que la maladie qui atteint le corps, et c’est celle qui ronge l’âme du chrétien comme un cancer. Je veux parler de l’amertume. C’est de la gangrène intérieure qui peut vous dévorer les émotions, en vous privant de paix et de joie de vivre, pour en finir avec votre foi. Une plaie négligée dès le début, peut aboutir à une infection purulente, et même déclencher une septicémie qui menace directement la vie, en empoisonnant le sang. Ne pas pardonner dès l’offense agit de la même manière.
Un danger mortel guette ceux qui refusent absolument de pardonner. Celui qui ne pardonne pas volontairement, en confessant froidement « jamais je ne lui pardonnerai », celui-là se met-il dans une posture favorable, pour continuer sa course en toute sécurité ? Le prochain virage ne risque-t-il pas de lui être fatal, alors qu’aveuglé par les ténèbres, il aura besoin de tout son discernement pour prendre des décisions cruciales.
Certains chrétiens blessés croient même que Dieu comprend leur amertume, et qu’Il est de leur côté, au vu de ce qu’ils ont souffert. Pour que cela soit vrai, il faudrait que le Père renie l’œuvre de la croix de Son Fils. Or c’est par elle que nous sommes sauvés, après que Jésus ait souffert injustement pour nous. Sa réponse au mal fut sans équivoque, et Il l’exprima par cette prière : « Père, pardonne-leur, car ils ne savent ce qu’ils font ». Luc 23.43.
Ainsi, le pardon fait partie intégrante du chemin de la croix que nous devons emprunter pour suivre Jésus. Il est insensé de penser autrement. Alors pourquoi tant de défaites à ce niveau ? Pourquoi tant de chrétiens sont-ils infectés par l’amertume ? Il est possible qu’ils auraient dû faire un mille de plus pour en extraire les racines. Le relâche verbal du pardon n’a pas été suffisante, et la douleur a vite rattrapé la confession. Le mal cherche toujours à faire son nid profondément dans notre âme. Il ne faut jamais tarder à l’en déloger, quoi qu’il nous en coûte. C’est alors que ces paroles du Docteur Paul nous révèlent un excellent remède. Lisez attentivement cette prescription détaillée, et au cas où vous seriez affecté par cette grave pathologie, pratiquez ses recommandations :
Romains 12.20–21 : « Mais si ton ennemi a faim, donne-lui à manger ; s’il a soif, donne-lui à boire ; car en agissant ainsi, tu amasseras des charbons ardents sur sa tête. 21 Ne te laisse pas vaincre par le mal, mais surmonte le mal par le bien ».
Si cette attitude est recommandée face à notre ennemi, ne croyez-vous pas qu’elle l’est encore plus, face à tous nos bien-aimés ?
Appliquons-nous donc à pratiquer le bien envers notre prochain, en commençant par le bénir. N’empirons pas notre état, en trempant notre langue dans le poison de l’amertume, en proférant de mauvaises paroles à son encontre. Trempons là plutôt dans la Parole du Seigneur et bénissons-le. Elle deviendra ainsi une puissante épée de l’Esprit pour vaincre le mal. N’ayez aucun doute, la guérison germera progressivement.
@seryjocelin
1/6/2021 • 4 minutes, 15 seconds
¿Cómo dejar de preocuparse?
A través de esta nueva historia, el pastor Jean-Louis Gaillard nos enseña acerca de la manera en que podemos dejar nuestras preocupaciones y el peso de las cargas de todos los días en las manos de Dios, quien está ahí para ayudarnos a dejar esos "pequeños paquetes negros".
365 Historias
(166)
1/2/2021 • 4 minutes, 22 seconds
05. Le Cimetière du Passé Jocelyn Sery
Le passé est un cimetière dans lequel devraient être enterrées toutes les offenses qui nous ont été faites. Il ne serait pas normal de voir des morts s’y balader la nuit, et même le jour. C’est pourtant ce qu’il se passe lorsque nous ne pardonnons pas. Les blessures, tels des cercueils mal scellés, laissent échapper des fantômes qui reviennent nous hanter, et nous priver de notre précieux sommeil. Paul nous dit en Romains 3.13 que notre gosier est parfois comme un sépulcre ouvert, d’où s’échappent des paroles de rancune et de malédiction. Combien de chrétiens n’ont pas fait le deuil des offenses dont ils ont été victimes! En Jésus-Christ, il existe pourtant une grâce assez puissante pour pardonner et oublier.
De même que le pardon en Christ a fait mourir tous nos péchés, et que leur souvenir est effacé autant de notre conscience que de la mémoire de Dieu, ainsi la même grâce nous appartient d’oublier le mal que l’on nous fait. Nous rendons grâces à Dieu, de ce que la mort de Christ a ouvert pour chacun de nous un cimetière, dont l’espace infini permet d’y enterrer tous nos péchés et toutes nos offenses. Chaque repentance sincère prononce une condamnation à mort sur chaque péché confessé, et la sentence étant exécutée, le mort ne revivra plus. Chaque pardon que nous accordons de tout notre coeur à notre prochain, agit comme un fossoyeur qui garde secrètement caché le lieu où se trouve la tombe. L’on ne pourra plus jamais y retourner. Ainsi, Dieu ne veut pas qu’on vive avec les morts. Sous l’Ancien Testament, les cadavres étaient vus comme impurs, et celui qui en touchait un devenait lui-même impur pendant sept jours. ( Nombres 19.11). C’est pourquoi, les doctrines qui incitent à fouiller dans le passé, souillent les chrétiens. Il en est ainsi de la cure d’âme, véritable hérésie montrant que la solution à certains problèmes se trouve cachée dans le passé.
Pardonner et se repentir, c’est laisser le fossoyeur de la mort de Christ agir en nous. Il s’occupe de tout et efficacement. Préservons la puissance de notre mémoire pour toutes les bonnes choses que Dieu nous accorde, de manière à toujours célébrer la bonté de Dieu. Sinon, nous célébrerions les œuvres du malin par des plaintes adressées les uns contre les autres. N’oublions pas d’être bons et parfaits comme notre Père céleste l’est. L’apôtre Paul nous a ainsi exhorté en Colossiens 3.12–13 : « Ainsi donc, comme des élus de Dieu, saints et bien-aimés, revêtez-vous de sentiments de compassion, de bonté, d’humilité, de douceur, de patience. Supportez-vous les uns les autres, et, si l’un a sujet de se plaindre de l’autre, pardonnez-vous réciproquement. De même que Christ vous a pardonné, pardonnez-vous aussi ».
@Seryjocelyn
12/29/2020 • 3 minutes, 45 seconds
Una historia de amor
Esta historia representa el amor de Dios por cada persona al enviar a Su Hijo Jesús a dar su vida por el perdón de nuestros pecados.
12/26/2020 • 4 minutes, 22 seconds
Si Tu Veux Aimer La Vie
Dieu est l’auteur de la vie, et le chrétien qui veut aimer sa vie doit absolument veiller sur la façon dont il utilise sa langue. C’est l’enseignement de Pierre dans sa première épître :
« Si quelqu’un, en effet, veut aimer la vie
Et voir des jours heureux,
Qu’il préserve sa langue du mal
Et ses lèvres des paroles trompeuses »,
1Pierre 3.10
N’est-ce pas incroyable que le bonheur dépende dans une grande mesure, de ce petit organe ? Dieu l’a doté du pouvoir de produire soit la mort, soit la vie. C’est la déclaration de Proverbes 18.21 :
« La mort et la vie sont au pouvoir de la langue ;
Quiconque l’aime en mangera les fruits ».
BÉNIR OU MAUDIRE ?
C’est pourquoi bénir et maudire ont des conséquences indéniables même si elles sont immensurables. Celui donc qui choisit d’aimer la vie doit bénir et ne jamais maudire. Or, la médisance n’est-elle pas le commencement de la malédiction ? Oui, cela commence malheureusement souvent par parler en mal de son prochain, et par le juger. Puis cela peut déraper en lui souhaitant le malheur. L’apôtre Pierre nous l’enseigne dans le verset suivant : « Ne rendez point mal pour mal, ou injure pour injure ; bénissez, au contraire, car c’est à cela que vous avez été appelés, afin d’hériter la bénédiction ». 1Pierre 3.9.
LE TRIOMPHE PAR LA CROIX
Ainsi donc, en bénissant les autres, et encore plus lorsqu’ils nous font du tort, Dieu nous accorde Sa bénédiction. Pourquoi ? Tout simplement parce que notre vie est associée à celle de Christ dans Sa mort et Sa résurrection. De même qu’à la croix, le Seigneur répondit à ceux qui Le crucifiaient injustement en ne leur souhaitant aucun mal, mais en leur pardonnant, de même nous héritons la bénédiction en Christ, lorsque nous suivons Ses traces en bénissant nos ennemis. C’est ici ce que la puissance de la croix de Christ accomplit en notre faveur, en tournant le mal que l’on nous fait en bénédiction. Toutefois, il nous faut veiller à bénir, et non à répondre mal pour mal et injure pour injure. En effet, celui qui est sous la bénédiction divine, ne peut qu’apprécier la vie avec bonheur et à sa juste valeur, c’est-à-dire comme un don de Dieu. Sans cela, nous ne trouverions aucune joie à exister ni à servir le Seigneur et la dépression ne se coucherait jamais trop loin de la porte de notre âme.
Chaque souffrance infligée par les autres est l’occasion d’hériter la bénédiction de Dieu, à condition toutefois de les bénir en retour, sinon elles pourraient davantage nous en éloigner. Or Dieu nous a appelés à hériter de Lui.
Alors n’oubliez pas l’enseignement de l’apôtre Pierre :
Si vous voulez aimer la vie
Et voir des jours heureux,
Préservez votre langue du mal
Et vos lèvres des paroles trompeuses
Texte de Jocelyn Sery @seryjocelyn
12/23/2020 • 3 minutes, 34 seconds
Jérémie Et Elie
Jérémie 12.5 : « Si tu cours avec des piétons et qu’ils te fatiguent,
Comment pourras-tu lutter avec des chevaux ? »
Aujourd’hui, Dieu nous fait courir avec des piétons pour nous préparer à une course plus défiante, la course avec les chevaux.
Ces piétons nous rappellent les situations de la vie courante quotidienne, tandis que les chevaux sont un défi d’un cran plus haut.
L’on est alors dépassé par les évènements, et il nous faut galoper pour être à la hauteur.
Ainsi, Dieu exhorte Jérémie à ne pas céder au découragement lorsqu’il est confronté aux piétons, car il lui serait alors impossible d’affronter les chevaux.
Je connais un seul homme qui a littéralement remporté la course avec des chevaux, c’est Élie le prophète. La performance est rapportée en 1Rois 18.45–46 : « Achab monta sur son char et partit pour Jizréel. 46 La main du Seigneur fut sur Elie, qui passa une ceinture à ses reins et courut devant Achab jusqu’à l’entrée de Jizréel ».
Élie battit ce record sans aucun entraînement ; ce fut un miracle de Dieu.
Il en est de même du chrétien qui ceint ses reins de la vérité de l’évangile : il expérimente le miracle de courir beaucoup plus vite que n’importe quel croyant confortablement installé dans le char de la vie mondaine ou de celui de la religion.
À ce sujet, les Galates retournant à la circoncision, Paul leur demande :
« Vous couriez bien : qui vous a arrêtés pour vous empêcher d’obéir à la vérité ? » Galates 5.7.
La course chrétienne est un miracle, mais celui qui abandonne la vérité, se prendra les pieds dans sa robe de justice, et chutera inévitablement. Ainsi, la ceinture est indispensable pour courir jusqu’au bout sans trébucher.
De l’autre côté, le Seigneur voulait former en Jérémie de l’endurance pour accomplir sa mission. Il devait profiter des défis à relever avec les piétons, afin d’être prêt à affronter l’épreuve des chevaux dans son ministère.
Ces deux prophètes illustrent deux vérités complémentaires de la vie chrétienne :
Élie représente l’aspect miraculeux de la course chrétienne, alors qu’il est saisi par l’Esprit du Seigneur.
Tandis que Jérémie est un puissant encouragement à s’exercer quotidiennement à la piété, et à laisser Dieu nous façonner pour muscler notre maturité.
La course de Jérémie est une formation permanente pour augmenter progressivement en force, tandis que celle d’Élie est le produit pur de la manifestation inattendue du Saint-Esprit alors que nous marchons dans la vérité.
Les deux sont d’une valeur irremplaçable pour ceux qui veulent servir Dieu.
Texte écris par Jocelyn Sery @seryjocelin
12/20/2020 • 3 minutes, 23 seconds
SAUVÉS PAR LA PRÉDICATION DE LA CROIX !
1Corinthiens 1.18 : « Car la prédication de la croix est une folie pour ceux qui périssent ; mais pour nous qui sommes sauvés elle est une puissance de Dieu ».
S’il y a bien une prédication qui devrait être considérée de la plus haute importance pour un chrétien et pour une église, c’est bien celle de la croix. Celle-ci est une puissance de Dieu pour sauver ceux qui sont sauvés.
Notez bien que Paul affirme qu’elle est une puissance de Dieu pour nous qui sommes sauvés. Plus en avant, en 1 Corinthiens 1.21, Paul demeure sur les mêmes affirmations en disant :
« Car puisque le monde, avec sa sagesse, n’a point connu Dieu, il a plu à Dieu dans sa sagesse de sauver les croyants par la folie de la prédication ».
Ici l’apôtre parle de sauver les croyants. N’est-ce pas étrange puisque les croyants sont déjà sauvés ?
En fait, cela nous montre que si nous sommes déjà sauvés par la grâce, par le moyen de la foi, l’œuvre de notre salut ne fait que commencer à notre nouvelle naissance.
La prédication de la croix tient ensuite le rôle principal de cette œuvre, elle nous garantit l’achèvement de la sanctification et celle de notre course. Nous n’aimons pas conjuguer le verbe sauver au futur ; nous ne le faisons qu’au passé et au présent. Pourtant les Écritures le font bien à notre place. Regardez par exemple ce verset :
1 Timothée 4.16 : Veille sur toi-même et sur ton enseignement ; persévère dans ces choses, car, en agissant ainsi, tu te sauveras toi-même, et tu sauveras ceux qui t’écoutent.
Ce n’est ici qu’un verset parmi tant d’autres. Ils nous rappellent que rien n’est joué, ni gagné, et que tant que nous demeurons dans la chair, exposés aux tentations, nous devons être vigilants.
Veillons donc sur nous-mêmes, avec une vigilance accrue, car les temps sont mauvais.
Accueillons, les cœurs grands ouverts le message de la croix. C’est une puissance de Dieu pour nous sauver, nous les croyants. C’est grâce à cette prédication que l’apôtre Pierre dit en 1 Pierre 1.5 :
« à vous qui, par la puissance de Dieu, êtes gardés par la foi pour le salut prêt à être révélé dans les derniers temps ! »
Cette prédication est la puissance de Dieu agissant en nous, et nous préparant pour notre rendez-vous céleste, lorsque nous irons à la rencontre du Seigneur sur les nuées, au jour de l’enlèvement et de la résurrection des morts.
Texte de Jocelyn Sery à retrouver sur les réseaux sociaux à @seryjocelyn
12/17/2020 • 3 minutes, 3 seconds
Navidad a la luz del Evangelio
Hola amigos,
Después de unos meses de ausencia, debido a una actividad abrumadora, vuelvo para compartir con ustedes un tema que me gusta mucho: "Nuestra libertad en Jesucristo".
Parece que esta época del año, en la que estamos ahora, es el tiempo favorito de muchos. El año pasado publiqué un video al que muchos reaccionaron y cuyo titular decía: "¿Deberían los cristianos celebrar la Navidad?" Pero, esta vez, vuelvo a esta época precisa del año para intentar traer un poco más de luz sobre este tema de la navidad...
¡Que el Señor Jesús nos ilumine! ¡Busquemos verdaderamente hacer Su voluntad para nuestra vida! Fraternalmente en Jesucristo. Su pastor Jean-Louis Gaillard.
12/15/2020 • 11 minutes, 40 seconds
DE QUEL CÔTÉ ES-TU ?
DE QUEL CÔTÉ ES-TU ? Jocelyn Sery 4-12-2020
Quelle différence entre un chrétien légaliste et un chrétien selon le coeur de Dieu ?
Le chrétien légaliste a un comportement tellement spirituel qu’il oublie qu’il est aussi humain, tandis que le chrétien selon le coeur de Dieu peut être parfaitement humain sans devenir charnel.
Le premier s’élève avec orgueil, le deuxième s’abaisse avec humilité.
L’un se place au-dessus de son prochain et l’autre se met à la place de son prochain.
L’un est fier de sa force, et l’autre est brisé par sa faiblesse.
L’un ne tolère aucune faiblesse alors que l’autre ne s’appuie pas sur sa force.
Car la faiblesse du premier est sa force tandis que la force du second est sa faiblesse.
L’un prend la place du juge, et l’autre se met à la place de celui qui est jugé.
L’un exige réparation, et l’autre se satisfait de la repentance.
L’un ne peut supporter des reproches, tandis que l’autre se rassasie d’opprobre.
L’un demande un procès et l’autre oublie les offenses.
L’un veut prouver qu’il a raison et l’autre se dit qu’il a aussi ses torts.
L’un réclame justice et l’autre demande miséricorde.
L’un scrute les défauts de son prochain, l’autre voit les siens.
L’un cherche la paille dans l’œil des autres, et l’autre n’ose le faire à cause de la poutre dans le sien.
L’un pointe du doigt, l’autre frappe sur sa poitrine.
L’un étale sa connaissance tandis que l’autre la retient.
L’un croit qu’il connaît tout, l’autre ne connaît que la croix.
L’un parle de ses richesses, l’autre reconnaît sa misère.
L’un se croit arrivé, l’autre se demande s’il a vraiment commencé.
Alors toi, es-tu l’un ou bien l’autre ?
Peut-être es-tu tout simplement de temps à autre l’un,
Et de temps en temps, l’autre.
Sois sincère, car Dieu résiste aux orgueilleux,
mais Il fait grâce aux humbles.
Jocelyn Sery
12/14/2020 • 2 minutes, 47 seconds
Misericordia Inexplicable (180)
Una historia que nos hará pensar en el amor de Dios que todo perdona, a causa de su gran amor y misericordia por cada uno de nosotros. Una nueva historia del pastor Jean-Louis Gaillard.
(180)
12/12/2020 • 4 minutes, 19 seconds
El Hombre Y La Serpiente - 365 Historias (133)
En esta nueva historia del pastor Jean-Louis Gaillard, abordamos el tema del pecado y de la manera en que podemos ser libres de lo que nos ata espiritualmente.
12/6/2020 • 3 minutes, 9 seconds
El Señor es mi pastor
Es de noche, muy tarde y el pastor continúa trabajando en su oficina.
De repente suena el teléfono.
¿Quién puede ser a esta hora? Se preguntó. « Hola, ¿quién habla? Sí, yo soy el pastor.
Ah, es usted, el periodista...
No, no. No es molestia. Sé porqué me llamas. Es por el título de la predicación de mañana… Es un honor ser parte de sus columnas.
Sí, pastor. No me llamó en todo el día y como tengo que terminar la edición del periódico para enviarla a imprenta, pensé en llamarlo. ¿Podría decirme el tema de este domingo?
Claro, es simple. Hablaré del Salmo 23.
« El Señor es mi pastor »
(143)
11/28/2020 • 2 minutes, 4 seconds
La experiencia de un ateo - 365 Historias
"Ateo o perezoso" es una historia que le hará reflexionar. Forma parte del proyecto del pastor Jean-Louis Gaillard titulado "365 Historias".
11/21/2020 • 1 minute, 49 seconds
Luttes
Un homme se promenait sur un petit chemin quand il aperçut un cocon fixé à une branche sur le bord du chemin. Passionné de papillons, il décida de le ramener chez lui. Pour cela, il l'enveloppa avec précaution dans son mouchoir. Il le mit ensuite dans un bocal sous le regard amusé de sa femme et fit des trous sur le couvercle. Il le plaça bien en vue pour pouvoir observer l'évolution. Régulièrement, il examinait le cocon dans son enveloppe. Celui-ci bougeait et à certain moment, se mettait à trembler tellement il était actif.
Quand les tremblements devinrent de plus en plus forts, l'homme se dit :
— Je vais l'aider un peu, sinon il va mourir d'épuisement à trembler ainsi.
Il prit donc des petits ciseaux bien pointus et coupa délicatement et superficiellement sur le côté du cocon. Très vite une aile sortit, l'autre suivit immédiatement. Enfin les efforts si intenses pouvaient s'arrêter !
Le papillon marchait sur le bord du bocal. L'homme attendait le moment où il allait le voir voler mais rien ne se produisit. Les jours passaient et le papillon ne volait toujours pas ! Il demanda conseil à un ami professeur de sciences, en lui expliquant tout ce qu'il avait fait. Et tout de suite ce professeur lui répondit :
— Il ne volera jamais. C'est la lutte et la souffrance qui lui donnent la force et le préparent à voler.
La même chose se produit si on veut aider un poussin à sortir de sa coquille. La lutte et les efforts que fait le poussin à l'intérieur de sa coquille le fortifient et le préparent à sortir par lui-même. Il est très important qu'il arrive au point où il peut briser lui-même sa coquille. Et selon les scientifiques, les efforts qu'il fait sont énormes, on pourrait dire avec humour « surhumains ». Malheur à celui qui voudrait l'aider en cassant la coquille avant l'heure... le poussin mourrait avant même de sortir !
Le Seigneur a fait dans la création beaucoup de choses qui sont des modèles pour nous dans notre vie spirituelle. Voyez l'exemple du cocon et du poussin, c'est pareil pour nous les humains. Les luttes et les souffrances de la vie sont là pour fortifier notre foi.
11/13/2020 • 3 minutes, 41 seconds
70 ans de Vie et Lumière en MP3
L'histoire passionnante du réveil parmi le peuple des voyageurs Tziganes, en France et à travers le monde.
Thème : 70eme anniversaire de vie et lumière
Pasteur et enseignant : Charles Welty ( Tarzan )
Mouvement : Vie et lumière
9/5/2020 • 38 minutes, 41 seconds
"Le rompí la pata" - 365 Historias (43)
Una emotiva historia.
8/22/2020 • 2 minutes, 23 seconds
El perdón del hijo pródigo - 365 Historias (42)
Basado en una historia real.
8/22/2020 • 3 minutes, 9 seconds
El hombre y la silla - 365 Historias (44)
Una historia atrapante.
8/21/2020 • 2 minutes, 50 seconds
Prohibido pescar desde el balcón - 365 Historias (45)
Una historia interesante.
8/20/2020 • 3 minutes, 8 seconds
Sus últimas palabras - 365 Historias (46)
Una emotiva historia.
8/19/2020 • 1 minute, 43 seconds
Un sueño - 365 Historias (48)
Una historia atrapante.
8/18/2020 • 6 minutes, 38 seconds
Examen de honestidad - 365 Historias (47)
Un gran mensaje.
8/17/2020 • 2 minutes, 7 seconds
Escuchar la voz de Dios - 365 Historias (52)
Una historia que nos dejará una gran enseñanza.
8/16/2020 • 5 minutes, 41 seconds
Un viento salvador - 365 Historias (65)
Una emocionante historia.
8/15/2020 • 3 minutes, 43 seconds
Responda: sí o no - 365 Historias (75)
Una historia impactante.
8/14/2020 • 1 minute, 40 seconds
Compartamos el Evangelio siempre - 365 Historias (66)
Una historia emotiva acerca de John Wesley.
8/14/2020 • 1 minute, 58 seconds
L'Éternel fit souffler sur la mer
Emmené par le courant, l’énorme voilier dérivait peu à peu vers un dangereux récif. Le commandant à bord fit de son mieux pour empêcher le bateau d’échouer, mais hélas le vent faisait défaut.
Les rochers devenaient de plus en plus distincts au fur et à mesure que le navire les approchait. Alors le capitaine, angoissé, annonça aux passagers que la catastrophe serait inévitable.
— J’ai fait tout ce que j’ai pu, leur dit-il.
Mais sa confession fut saluée d’un « non, il y a encore une chose à faire ! »
Cette parole venait d’un missionnaire accompagné de trois autres. Tous étaient en route pour la Chine.
— Nous pouvons encore prier, dit-il. Demandons tout de suite à Dieu de faire lever le vent.
Aussitôt dit, aussitôt fait. De la part de ces quatre chrétiens une fervente prière monta au Seigneur qui soudain, fit souffler un vent fort. Le voilier fut sauvé.
Le missionnaire en question était Hudson Taylor. Quelques années plus tard, il apporta l’Evangile à l’intérieur de la Chine où la Bible était encore inconnue. Il y posa les bases d’une église fidèle jusqu’à aujourd’hui et il fonda l’Union Missionnaire d’Outre-mer, qui aujourd’hui encore, propage la Parole de Dieu dans les pays orientaux.
Quand devant le danger, nous sommes désespérés, il y a encore quelque chose à faire : nous pouvons prier celui qui est le Seigneur de toute la terre. Il est toujours capable de nous secourir.
8/14/2020 • 2 minutes, 28 seconds
"Toma tu dinero" - 365 Historias (123)
Una historia con una gran enseñanza.
8/13/2020 • 2 minutes, 39 seconds
Esperar en Dios - 365 Historias (124)
Una historia con un gran mensaje.
8/12/2020 • 2 minutes, 32 seconds
El coraje de dar testimonio - 365 Historias (125)
Una historia entre una estudiante y su maestro.
8/11/2020 • 3 minutes, 44 seconds
¡Cuánto pesa el pecado! - 365 Historias (126)
Un testimonio edificante.
8/10/2020 • 2 minutes, 52 seconds
Quiero Ser Su Amigo - 365 Historias (127)
Cuando la gracia de Dios se manifiesta en nuestras vidas...
8/9/2020 • 2 minutes, 18 seconds
Limpiemos nuestra fuente - 365 Historias (128)
No dejemos que nuestra fuente se contamine.
8/8/2020 • 3 minutes
Questions-Réponses. Trois pasteurs répondent à vos questions !
Questions :
1- Un chrétien peut-il jouer aux jeux d'argent, de hasard ? - 1:01
2- Un chrétien peut-il porter des bijoux et des perles précieuses ? - 3:57
3- Comment être baptisé du Saint-Esprit ? Le baptême du Saint-Esprit est-il toujours accompagné du parler en langue ? - 6:10
4- Pour certains péchés, faut-il les confesser aux autres pour être libéré ? - 9:16
5- Sachant que nous sommes le temple du Saint-Esprit et soumis à l'autorité de Jésus-Christ, Satan peut-il mettre des questions dans notre tête ? Et peut-il y répondre en nous faisant croire que c’est Dieu qui nous parle ? - 13:49
6- Dans mon travail, presque tout le monde est malhonnête. Je reste intègre mais je vois ce que mes collègues font. Dois-je les dénoncer ? Suis-je coupable si je ne dis rien ? Que dois-je faire ? - 17:05
7- Quand Jésus a été tenté, a-t-il été emmené physiquement dans le désert, sur le haut du temple, sur une haute montagne, … ou bien Satan lui a-t-il parlé en esprit ? - 20:42
8- Le sujet de l’argent est de plus en plus dans la bouche des pasteurs. Des promesses de richesse sont prêchées dans mon église si je donne mon argent. J’ai un cœur pour donner mais il semble que ça n’est jamais assez, et je culpabilise car je ne gagne pas beaucoup d'argent. Vais-je être privé de bénédiction si je n’obéis pas au pasteur ? (question de la semaine dernière) - 24:10
9- Pourriez-vous m’expliquer ce verset de jean 16.8 : « le Saint-Esprit convaincra le monde en ce qui concerne le péché, la justice et le jugement » ? Quels sont ces 3 choses exactement ? - 30:38
10- Est-ce biblique de donner un nom ou d’accrocher un logo sur une assemblée du corps de Christ ? - 32:55
11- Est-ce biblique d’avoir une école de disciples qui forme au ministère d'autorité de prophète ? - 34:31
12- Est-ce biblique que le pasteur choisisse l'équipe avec qui il travaille, les établisse comme il veut, et exclut qui il veut ? - 38:55
13- Je suis une femme pasteur. Je vous ai entendu parler que le ministère est réservé aux hommes. Pourtant, je sers le Seigneur de tout mon cœur et je sens que c’est ma place. Dans l’histoire, des femmes comme Catherine Kulman ont été utilisées par Dieu et beaucoup de miracles se sont produits par son ministère. Pourquoi donc devrais-je quitter mon ministère ? - 43:57
14- Un mari peut-il dire à sa femme d’être soumise ? Certains hommes profitent de leur position et ne réalisent pas qu'ils le font de manière légaliste.- 47:41
15- Dans Matthieu 9.8 il est écrit "Quand la foule vit cela, elle fut émerveillée et célébra la gloire de Dieu, qui a donné un tel pouvoir aux hommes". Est-ce que Dieu a donné ce pouvoir à l’homme en général (hommes et femmes) ou juste aux hommes ? - 50:27
16- Avant de me marier, faut-il que j’en parle parler aux avec les anciens et avec parents de la fille ? - 51:19
17- Puis-je avoir des relations avec elle avant le mariage ? - 53:30
18- La Bible dit : « Éprouvez les esprits ». Mais comment fait-on exactement ? - 56:04
19- Dans la fin des temps, y aura-t-il des hommes qui marcheront dans la puissance d'Eli ? - 59:40
8/8/2020 • 1 hour, 3 minutes, 45 seconds
Felix Mendelssohn Y El Organista - 365 Historias (129)
Un encuentro entre dos músicos.
8/7/2020 • 4 minutes, 41 seconds
El Origen Del Naufragio - 365 Historias (130)
La verdad siempre sale a la luz.
8/6/2020 • 2 minutes, 25 seconds
Bajo la sombra de tus alas - 365 Historias (35)
Una impactante historia acerca de un hombre que confió en Dios.
8/5/2020 • 2 minutes, 57 seconds
La subasta - 365 Historias (41)
Una historia emocionante.
8/4/2020 • 4 minutes, 6 seconds
La viejita y el hijo del pastor - 365 Historias (33)
Un emotivo relato.
8/4/2020 • 6 minutes, 25 seconds
¿Rico o pobre? - 365 Historias (39)
Una historia con un profundo mensaje.
8/3/2020 • 3 minutes, 55 seconds
Tout cela est-à toi ?
Carl était un homme très, très riche. Il possédait de grandes propriétés. Un de ses passe-temps favoris était de monter à cheval se promener pour se pavaner à travers sa vallée, regarder tout ce qu’il possédait et se féliciter de sa grande richesse.
La vie d’un homme ne dépend pas de ses biens...
Un jour, Carl monta sur une colline. Au loin il aperçut un de ses commis fermiers, un vieil homme prénommé Hans. Il alla à sa rencontre.
Hans lui demanda à qui appartenait ce château, bien visible avec ses tours, en haut de la colline.
― À moi, répondit le Seigneur.
Puis, pour étonner davantage encore le paysan, il ajouta : "Vois-tu cette vaste forêt, ce beau lac, ces prés, ces champs… ? Tout cela m’appartient, c’est à moi !"
L’homme le regarda longuement puis, il lui montra le ciel : "Et cela, est-ce à toi ?"
Si nous n’avons regardé jusqu’alors qu’aux choses matérielles qui n'existent que pour un temps limité ici-bas, laissons-nous interpeller par la question si sérieuse du paysan : "Et cela, est-ce à toi ?"
Jésus a dit que la vie d’un homme ne dépend pas de ses biens, même s’il est dans l’abondance.
Ce n’est pas l’héritage terrestre qui importe, mais l’héritage céleste, héritage qui n'est pas constitué de propriétés et comptes en banque, mais qui découle de notre foi en Jésus-Christ.
Pour nous, notre cité est dans les cieux… Philippiens 3.20
Une prière pour aujourd'hui
Seigneur ma vraie richesse, c'est toi ! Je ne regrette rien de ce que je ne possède pas. Que je puisse toujours me réjouir en toi et être reconnaissant(e) que tu m’as appelé(e) à te suivre pour l'éternité. Amen.
8/2/2020 • 2 minutes, 53 seconds
¿Cómo quién? - 365 Historias (40)
Una historia que nos enseña a quién debemos imitar.
8/2/2020 • 3 minutes, 23 seconds
Oro acumulado durante muchos años - 365 Historias (38)
Una historia impresionante.
8/1/2020 • 3 minutes
Escondido debajo de la cama - 365 Historias (37)
Una historia que nos deja una fuerte enseñanza.
7/31/2020 • 2 minutes, 32 seconds
El pequeño aprendiz marinero - 365 Historias (36)
Un relato atrapante.
7/30/2020 • 4 minutes, 8 seconds
Bajo la sombra de sus alas - 365 Historias (35)
Una historia emotiva que nos muestra el amor de Dios.
7/29/2020 • 2 minutes, 57 seconds
Témoignage de Stal J-F Miraculé du COVID 19 !
Notre frère a attrapé le COVID 19 le 27 mars 2020, il a été 22 jours dans le coma où il est passé plusieurs fois près de la mort, mais les frères priaient pour lui et Jésus l'a guéri et la redonner aux siens. Exactement comme l’Apôtre Pierre dans Actes 12 : 1-11 Gloire au Seigneur !
Notre frère vit dans la région Parisienne dans une caravane, il fait partie des gens du voyage et il prêche l’Évangile comme pasteur !
Écoutez-le !
7/29/2020 • 6 minutes, 40 seconds
La puerta marcada con sangre - 365 Historias (32)
¿Esta historia te resulta familiar?
El pueblo de Dios fue salvado por la marca de sangre en las puertas de las casas, evitando que el espíritu de muerte los tocara, esto lo podemos leer en Exodo 11:1-10, pero tambien lo vemos hoy en día, como una sangre nos cuida de la muerte, la sagre de Jesús que fue derramada nosotros en la cruz, nos limpia y nos protege del mal que nos acecha.
7/28/2020 • 2 minutes, 22 seconds
Asombrosas riquezas en reserva - 365 Historias (31)
Una poderosa historia con una gran enseñanza.
7/27/2020 • 3 minutes, 52 seconds
Él cambió las cervezas por muebles - 365 Historias (30)
Una nueva historia con un mensaje poderoso.
7/26/2020 • 1 minute, 40 seconds
Ne crains pas !
J’allais subir une grave intervention chirurgicale, et, pour me donner du courage, je me mis à chercher dans la Bible tous les « ne crains pas ». J’étais ainsi occupée lorsque le chirurgien passa et s’arrêta près de mon lit.
— Que lisez-vous là ?
— La Bible, docteur.
Et je lui montrai le verset 5 du 1er chapitre du livre de Josué :
Je serai avec toi ; je ne te laisserai point et je ne t’abandonnerai point.
— Ah ! dit-il, vous cherchez à vous encourager ; n’ayez pas peur, tout ira bien.
— Je n’ai pas vraiment peur, repris-je, mais j’ai besoin de la confiance que me donne mon Père céleste.
— Bien, dit-il, vous avez probablement raison. J’aimerais bien avoir encore la foi simple que j’avais autrefois. Courage, dit-il encore en s’en allant, ce ne sera pas aussi mauvais que vous le croyez.
L’infirmière me raconta ensuite que, pendant l’opération, sous l’influence de l’anesthésie, j’avais chanté le cantique « Reste avec moi, Seigneur » ; et tout le personnel en avait été très impressionné, plus particulièrement, le chirurgien.
Quelle ne fut pas ma surprise et ma joie lorsque, quelques jours plus tard, il s’approcha de mon lit en murmurant : « Tout va très bien, petite madame ! Il faut que je vous le dise : j’ai retrouvé ma foi en Dieu et dans la Bible ».
Ne crains rien, car je te rachète, je t’appelle par ton nom : tu es à moi ! Si tu traverses les eaux, je serai avec toi ; Et les fleuves, ne te submergeront point ; Si tu marches dans le feu, tu ne te brûleras pas, et la flamme ne t’embrasera pas, Esaïe 43 : 1-2.
7/26/2020 • 2 minutes, 44 seconds
Rescatado por el gran ingeniero - 365 Historias (29)
Una nueva historia con una gran enseñanza.
7/25/2020 • 2 minutes, 27 seconds
El hombre depresivo - 365 Historias (28)
Una historia con una poderosa enseñanza.
7/24/2020 • 1 minute, 37 seconds
La foi d'une mère (2 partie et fin )
Une autre fois, elle se trouva dans l’incapacité de payer la scolarité de ses enfants. Par ailleurs, son mari lui faisait des reproches en la rendant responsable de cette situation. Il lui disait que le déshonneur d’être endettés était la conséquence de son entêtement, ce qui rendait encore plus pénibles ces soucis financiers. Néanmoins, elle proclamait avec une confiance invariable que le Seigneur allait bientôt intervenir et les libérer.
La réponse de son mari était : « Nous verrons, nous verrons plus tard, le temps nous le montrera ! » Au milieu de ces circonstances très éprouvantes, alors qu’un jour, son mari était à son bureau absorbé dans ses méditations, le facteur apporta trois lettres, postées des différentes villes où les garçons étaient à l’école. Ces lettres disaient qu’à moins que les dettes ne fussent promptement payées, les garçons seraient renvoyés ! Leur père lut ces lettres avec un énervement grandissant, et les jetant par-dessus la table devant sa femme qui rentrait dans la pièce, il s’écria : « Tiens, regarde-moi cela ! et paie donc tes dettes avec ta foi ! Moi, je n’ai pas d’argent, et je ne sais où en trouver ! » Se saisissant des lettres, ma mère jeta rapidement un coup d’œil dessus, avec un visage grave, mais elle répondit fermement à son mari : « Tout va bien, la cause est entendue, car Celui qui a dit l’or et l’argent m’appartiennent, va trouver facilement une solution pour nous. Après avoir dit cela, elle sortit hâtivement de la pièce. »
Notre père pensa immédiatement qu’elle allait, comme elle l’avait déjà fait, voir un ami qui nous avait aidés auparavant ; mais il se trompait car, cette fois-ci, ses pas la conduisirent dans une autre direction.
Nous avions, à la cure, une petite pièce tout en haut, fermée par une porte-trappe. Derrière cette porte, elle savait qu’elle pouvait se mettre à genoux et commencer à s’entretenir avec Celui en qui elle pourrait trouver la force d’élever ses enfants. Elle étala devant Lui les fameuses lettres, et Lui parla des moqueries de son mari. Elle Lui rappela aussi comment sa vie avait été rachetée des portes de l’enfer et de la mort, afin de sauver et élever ses enfants. Elle déclara ensuite qu’elle ne pouvait pas croire qu’Il l’avait abandonnée dans ces circonstances ; elle ne pouvait se résoudre à croire que Dieu, pour la première fois, se détournerait d’elle.
Pendant ce temps son mari l’attendait au pied des escaliers. La nuit vint, et elle n’apparaissait toujours pas ! Sa fille aînée, dont le prénom était Béate, monta les marches quatre à quatre et l’appela, mais sa mère lui répondit : Quand je serai prête, je descendrai ! » Les heures passèrent ainsi, et bientôt en bas des escaliers, son mari, les enfants, tous commençaient à s’effrayer, n’osant pas toutefois la déranger davantage encore. A la fin, la porte s’ouvrit, et elle sortit, le visage resplendissant d’une merveilleuse lumière ; la plus petite de ses filles pensa que quelque chose d’extraordinaire était arrivé ; courant se jeter dans les bras de sa mère, elle s’écria :
— Maman, que s’est-t-il passé ? Est-ce que les anges ont apporté l’argent ?
— Non, mon enfant, répondit sa mère avec un sourire, mais maintenant, je suis absolument certaine que la fin de notre souci d’argent est proche...
7/24/2020 • 7 minutes, 56 seconds
Salvados por sangre - 365 Historias (27)
1 Pedro 1: 18 y 19
"Sabiendo que fuisteis rescatados de vuestra vana manera de vivir, la cual recibisteis de vuestros padres, no con cosas corruptibles, como oro o plata, sino con la sangre preciosa de Cristo, como de un cordero sin mancha y sin contaminación"
Fuimos salvados por la sangre de un hombre que nos amo, fuimos salvos por la sangre de Dios hecho hombre, nuestro Señor Jesús, limpio nuestras iniquidades y nos dio entrada al Padre, no esperes mas y ve a sus pies, ¡Él espera que abras tu corazón!
7/23/2020 • 2 minutes, 16 seconds
La ropa sucia por la ventana - 365 Historias (28)
No podemos juzgar a los demas por sus errores, nosotros somos iguales, cometemos errores pero Dios con su amor nos limpia y nos purifica para poder estar delante de Él!
7/22/2020 • 2 minutes, 57 seconds
Don Roth - 365 Historias (30)
2 Corintios 9:7
"Cada uno debe dar según lo que haya decidido en su corazón, no de mala gana ni por obligación, porque Dios ama al que da con alegría."
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7/21/2020 • 2 minutes, 17 seconds
Ser fiel en lo poco - 365 Historias (31)
Lucas 16:10
"El que es fiel en lo muy poco, es fiel también en lo mucho; y el que es injusto en lo muy poco, también es injusto en lo mucho."
¡Dios te bendiga!
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7/20/2020 • 6 minutes, 16 seconds
No mate al perro - 365 Historias (22)
Una noche, unos ladrones buscaban la manera de entrar en la casa de un hombre que trataba de dormir. El perro de la casa amarrado en el patio comenzó a ladrar. El amo le ordenaba al perro que se callara, pero no había nada que hacer, finalmente sacó su rifle y mató a su perro. Así, a veces Dios nos habla pero nosotros no queremos escuchar...
7/19/2020 • 2 minutes, 6 seconds
Une réponse judicieuse
Au plein milieu de la guerre, lors de la création d’une des œuvres dramatiques de Paul Claudel à la Comédie Française en 1943, un critique littéraire demanda à l’auteur :
— Comment pouvez-vous croire en Dieu, quand vous voyez les guerres qui ravagent la terre ?
— Comment pouvez-vous supporter ces guerres, répliqua Claudel, si vous ne croyez pas en Dieu ?
Sa réponse ne manquait pas d’à-propos. Nous connaissons tant de personnes qui se disent croyantes mais qui, dès que survient un événement qui les déconcerte (et il n’en manque pas dans ce monde ni dans nos propres vies), s’écrient : « S’il y avait un Dieu, il ne permettrait pas cela… »
Notre planète est ravagée par le péché, et les événements iront en empirant, la Bible le dit. Mais le Seigneur a le pouvoir de nous secourir au sein de la tourmente, et de nous donner de supporter ce qui, sans son aide, nous serait insupportable.
Car, du fait qu’il a souffert lui-même lorsqu’il fut tenté, Jésus peut secourir ceux qui sont tentés, Hébreux 4 : 14-16.
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7/17/2020 • 2 minutes, 43 seconds
Vers une société nouvelle ?
Le progrès technique a mis en place de formidables moyens de manipulation des masses. On a ouvert ainsi la voie, sans s’en rendre compte, à tous les débordements irrationnels : drogue, musique liée à l’occultisme, philosophies païennes, mépris de la famille et de la vie, violence. Ce n’est pas seulement un glissement incontrôlé, c’est une évolution organisée sous la conduite du diable, et visant particulièrement la jeunesse. Le but est de façonner des hommes nouveaux, affranchis des vieilles contraintes jugées insupportables.
On veut fonder une société nouvelle dont le dieu soit l’homme. Le mouvement quelquefois appelé « Nouvel Age » porte ce caractère.
Dieu a créé l’univers pour déployer magnifiquement sa gloire et son amour ; la créature a profané sa gloire et son amour. Eh bien, le péché ne triomphera pas, il est puni de mort ; le monde ne prospérera pas, il sera détruit ; et la majesté de Dieu brillera de tout son éclat. Mais les hommes, ces créatures que Dieu ne cesse pas d’aimer… ?
Il veut les arracher au péché et au monde. Il a formé et réalisé un plan digne de Lui. L’outrage fait à Dieu par le péché trouve son châtiment dans la mort du Fils de Dieu. Et l’homme pécheur, s’il se reconnaît tel et croit en Jésus-Christ, trouve la paix avec Dieu.
Tout est parfaitement juste, et Dieu peut exprimer son amour librement envers le croyant.
Dieu a tant aimé le monde, qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui, ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle, Jean 3 : 16.
7/16/2020 • 2 minutes, 49 seconds
Savoir s’arrêter !
Un soir, une maman rentrait du travail en retard, fatiguée et irritée. Elle trouva son fils de 7 ans qui l'attendait à la porte. Ce dernier lui dit :
— Maman, je peux te poser une question ?
— Oui, bien sûr, répondit-elle.
— Maman, combien gagnes-tu pour une heure de travail ?
La femme se mit en colère. Elle répondit avec impatience.
— Mais, ça ne te regarde pas Pourquoi me poses-tu cette question ?
— Maman, ne te fâche pas, je veux juste savoir. S’il te plaît dis-moi, combien gagnes-tu pour une heure de travail ?
— Tu veux savoir, répondit-elle brutalement, je gagne 15 euros pour une heure de travail.
— Oh merci maman !
Le petit garçon baissa la tête et demanda doucement en tremblant un peu.
— Maman, s'il te plaît, tu peux me passer 15 euros ?
La mère se mit réellement en colère, elle cria :
— C’est pour ça, la seule raison pour laquelle tu m'as posé cette question c’était pour me demander de l’argent pour acheter des jouets stupides ou des bonbons qui te font mal aux dents. Je travaille dur, moi, tu crois que c’est pour que tu ailles gaspiller bêtement mon argent, hurla-t-elle. Tu ne te rends pas compte ! De toute façon tu ne te rends compte de rien.
Le petit garçon baissa la tête et rentra dans sa chambre. Il ferma doucement la porte. « Maman est fatiguée par sa grosse journée, pensa-t-il. Sans doute que sa chef lui a encore dit des horreurs, pauvre maman ».
La femme s'assit. Elle bouillonnait de rage.
— Il exagère, mon petit garçon. Ils n’ont jamais assez, on leur donne un doigt, ils veulent le bras. Il ne se rend pas compte du prix que je paie pour que monsieur puisse avoir ce dont il a besoin. On leur apprend quoi à l’église des enfants. Il faudra que j’en parle à sa monitrice. Il faut faire une étude sure : « L’amour de l’argent est la racine de tous les maux ».
Après environ une heure, la femme s'était calmée. Elle se demandait s’il avait peut-être besoin d’acheter quelque chose pour l’école. C’est vrai, il ne me demande pas souvent de l'argent. Elle alla à la porte de la chambre du petit garçon et elle ouvrit la porte.
— Tu dors ?
— Non maman.
— J'ai pensé… J'ai peut-être été trop dure avec toi tout à l'heure, dit la femme. J’ai eu une mauvaise journée et je me suis agacée bêtement. Voici les 15 euros que tu m'avais demandé. Fais ce que tu veux.
Le petit garçon se redressa en souriant et cria :
— Oh, merci Maman ! Puis, soulevant son oreiller, il sortit des pièces de monnaie.
La femme vit que le garçon avait déjà de l'argent et elle se fâcha de nouveau.
— Pourquoi voulais-tu de l'argent, puisque tu en avais encore, murmura-t-elle les dents serrées pour contenir sa rage.
Le petit garçon compta lentement son argent, leva les beaux yeux bruns vers sa mère.
— Parce que je n'en n’avais pas assez, mais maintenant, oui, j’ai suffisamment. J’ai 15 euros, plus les 15 euros que tu me donnes, ça fait 30 euros. Donc, ça fait deux heures de ton temps. Je voudrais dîner avec toi demain et il me faut au moins deux heures pour te raconter tout ce que je veux te raconter.
La mère fût écrasée de chagrin. Elle serra son petit garçon jusqu’à l’étouffer et le supplia de lui pardonner.
Parents, souvenez-vous, le temps passe, un jour il sera trop tard, votre enfant va grandir et ce chagrin de n’avoir jamais passé du temps avec sa maman ou son papa va rester au fond de son cœur et créer un vide profond.
Et vous un jour quand il sera grand, vous regretterez toute votre vie de n’avoir pas passé une heure avec lui. L’amour vaut plus que l’or et l’argent. Rappelez-vous que demain il sera trop tard.
7/15/2020 • 4 minutes, 19 seconds
Aimer ou périr
Yvonne posa sa tête sur mon bureau et sanglota. Après un moment, elle laissa échapper :
— Je ne voulais pas le taquiner en disant quelque chose sur ma belle-mère. Mais, bassement, Mike répliqua par quelque chose sur ma mère. Alors, je l’ai giflé dans les règles, comme il le méritait. Mais lui, il m’a frappée d’un coup de poing en pleine figure. Regardez mon œil au beurre noir ! Je m’en vais. Je vais prendre les deux enfants et retourner chez ma mère. J’aime Mike, mais je ne peux pas accepter cela.
Alors, tandis qu’Yvonne tenait une poche à glace sur son œil gauche et me regardait de l’autre, je lui donnai un petit conseil matrimonial, tardif, assurément. Je terminai ma leçon par des paroles comme celles-ci :
— Yvonne, dans tout mariage, il surgit forcément des situations où l’un des partenaires doit céder par estime et par amour pour l’autre. Ne vous tourmentez pas si vous découvrez que c’est vous qui devez céder la plupart du temps. J’ai des nouvelles étranges, mais bonnes à apporter : quand vous cédez à Mike, vous perdez votre vie de la seule et unique façon qui permette de trouver vie et bonheur valable. Le secret du bonheur en mariage, c’est que chaque conjoint fasse de petits sacrifices, de bon cœur et joyeusement.
— Vous dites que je dois prouver mon amour pour Mike. Est-ce le genre d’amour qui est patient et plein de bonté ?
Le seul amour qui tiendra le coup dans les mises à l’épreuve journalières est celui que Dieu décrit et donne à ceux qui marchent à la lumière de ses commandements.
La charité est patiente, elle est pleine de bonté ; la charité n’est point envieuse ; elle ne se vante pas, elle ne s’enfle pas d’orgueil, elle ne fait rien de malhonnête, elle ne cherche point son intérêt, elle ne s’irrite point, elle ne soupçonne point le mal […] Elle excuse tout, elle croit tout, elle espère tout, elle supporte tout. La charité ne périt jamais. 1 Corinthiens 13 : 4.
L’amour est une nécessité fondamentale, pas seulement pour obtenir le maximum de satisfaction dans la vie sexuelle, mais dans la vie tout simplement. Le docteur Smilez Blanton, dans son livre récent intitulé : « Aime ou péris », dit : « Pendant plus de quarante ans, j’ai été assis dans mon bureau à écouter des gens de tout âge et de toutes catégories me parler de leurs espoirs et de leurs craintes. Jetant un coup d’œil en arrière sur toutes ces années bien remplies, il y a une vérité qui émerge clairement dans mon esprit : le besoin absolument général d’amour. On ne peut vivre sans amour. On doit l’avoir ou bien l’on périt ».
Pourquoi ne souffrez-vous pas plutôt quelque injustice ? 1 Corinthiens 6 : 1-9.
7/14/2020 • 4 minutes, 37 seconds
Avancer dans l’obscurité
Un chrétien eut un rêve. On était à la veille d’une nouvelle année. Or, elle s’annonçait mal pour lui.
Il prévoyait de nombreuses difficultés, et ne voyant pas du tout son chemin, il se sentait angoissé.
Dans son rêve, il vit un ange qui se tenait à l’entrée de l’année nouvelle. Il lui adressa cette supplication :
— Donne-moi une lumière pour entrer dans cette nouvelle année, afin que je ne marche plus dans les ténèbres et que je puisse voir mon chemin.
Alors il entendit distinctement l’ange lui dire :
— Tu dois t’avancer dans l’obscurité, mais en mettant ta main dans celle de Dieu. Cela vaudra mieux pour toi qu’une lumière et te gardera plus sûrement.
La vraie Foi permet au chrétien d’aller de l’avant, même quand l’obscurité est profonde, car il peut mettre sa main dans celle de Dieu qui le conduit en toute sécurité.
Ne crains rien, car je suis avec toi. Ne promène pas des regards inquiets, car je suis ton Dieu, je te fortifie. Je viens à ton secours. Je te soutiens de ma droite triomphante, Esaïe 41 : 10-14.
7/13/2020 • 2 minutes, 41 seconds
Dos enfermos en un cuarto - 365 Historias (18)
Dos hombres enfermos, se encontraban en el mismo cuarto de un hospital. Uno de ellos debía sentarse sobre su cama durante una hora todas las tardes para evacuar el líquido de sus pulmones. Su cama estaba cerca de la única ventana del cuarto. El otro hombre tenía que pasar el día entero acostado sobre su espalda lejos de la ventana. Hablaban juntos durante horas. Cada tarde, cuando el hombre de la cama que se encontraba cerca de la ventana podía sentarse, le describía a su compañero de cuarto todo lo que podía ver afuera. Para el hombre que estaba en la otra cama, era como si su mundo cambiara de color y se alegraba por todas las actividades y colores del mundo exterior. Sin embargo el hombre era ciego y afuera solo había un muro gris. Con Cristo podemos ver las cosas de diferente manera.
7/11/2020 • 3 minutes, 37 seconds
El perdón y el amor de un padre - 365 Historias (19)
Una conmovedora historia entre un padre y su hijo.
7/10/2020 • 2 minutes, 46 seconds
Avoir raison, et quand même demander pardon !
Voilà une attitude que seul le véritable amour inspirera. Prenons un exemple concret de tous les jours. Supposez que le mari ait raison et que la femme ait tort. Qu’elle sera l’attitude du mari dans une telle situation ? Va-t-il profiter de cet avantage pour justifier sa position et attendre que la femme fasse le premier pas ? Dans de telles circonstances, le mari doit se rappeler qu’il a pu, lui aussi, faire de la peine à sa femme, peut-être sans s’en rendre compte. Seul un esprit d’humilité et de pardon peut rétablir la situation.
Avec tact et compassion, il pourra aborder son épouse en lui disant : « Chérie, si j’ai fait quelque chose qui t’a fait de la peine, je t’en demande sincèrement pardon ».
Que se passera-t-il alors ? Un tel comportement, dépourvu de toute condamnation, touchera profondément son cœur.
En général l’épouse réagira de la manière suivante : « Non, non, non, ce n’est pas toi qui dois me demander pardon, c’est moi ». Et c’est ainsi, par l’exemple du mari, que la paix se rétablira dans le foyer.
Oh ! Si tous les couples agissaient ainsi chaque jour, on verrait des merveilles dans les relations entre époux !
Si ton frère a quelque chose contre toi, va d’abord te réconcilier avec ton frère, Matthieu 5 : 23-26.
7/10/2020 • 3 minutes, 33 seconds
Las consecuencias del fundamento equivocado - 365 Historias (20)
Esta historia nos muestra lo importante que es fundar nuestras vidas no solamente basándonos en las apariencias; sino sobre todo, en los fundamentos de nuestras vidas.
7/9/2020 • 3 minutes, 51 seconds
Augmentons notre connaissance de la Parole !
Le grand missionnaire-médecin au Labrador qu’a été W. Grenfell a écrit son témoignage en ces termes : « Pour moi, la mémorisation de l’Écriture Sainte m’a été d’un immense secours lors de doutes, d’anxiétés, de chagrins, des vicissitudes innombrables et des problèmes de la vie.
J’y crois suffisamment pour avoir passé de longues et nombreuses heures à meubler ma mémoire des passages que je ne pouvais ni négliger, ni rester incapable de comprendre !
Quand je me trouvais en face de la mort sur une banquise, dans le Grand Nord, j’ai découvert que ces textes bibliques me donnaient tout ce dont j’avais besoin.
Ils demeuraient auprès de moi comme les plus fidèles des amis. Je recommande de toute mon âme à tout le monde de consacrer un peu de temps chaque jour afin de s’assurer l’immense profit que cette mémorisation des versets de la Bible offre et garantit. »
Employez l’Écriture comme une épée et comme le faisait César Malan, de Genève. Une fois, lors d’un voyage à Paris, il se mit à converser avec un homme qui discuta du christianisme. Chaque argument reçut une réponse au moyen d’un texte biblique, C. M. ne se risquant même pas à l’expliquer ou à l’appliquer. Toutes les fois que le contradicteur essayait d’échapper par un autre argument, le Dr Malan répondait par un autre verset de la Bible.
À la fin, l’homme exaspéré répondit :
— Ne comprenez-vous pas que je ne crois pas à votre Bible et qu’il est inutile de me la réciter ?
La seule réponse que donna C. Malan fut :
— Si vous ne croyez pas en Moi, vous mourrez dans vos péchés.
Quelques années plus tard, le Dr. Malan reçut une lettre dont il ne connaissait pas l’écriture et qui était un témoignage. La voici : « Vous avez pris l’épée de l’esprit, qui m’a poignardé de part en part ; chaque fois que j’essayais de parer les coups en vous obligeant d’employer vos mains et non l’acier divin, vous me donniez un autre coup de poignard. Vous m’avez fait sentir que je ne vous combattais pas vous, mais Dieu. »
Tandis que C. M. lisait cette lettre, il réalisa qu’elle venait de son compagnon de voyage de Paris, des années auparavant. L’épée de l’Esprit avait fait son œuvre.
La Parole de Dieu est vivante et efficace, plus tranchante qu’une épée, Hébreux 4 : 12-13.
7/9/2020 • 4 minutes, 11 seconds
La Biblia y los lentes - 365 Historias (21)
¿Tienes una biblia? ¿La estas leyendo? la biblia es la escritura sagrada que Dios donde encontramos historias, susesos, consejos, promesas, etc... El dia de hoy nuestra historia habla de la biblia y como no la usamos.
7/8/2020 • 3 minutes, 49 seconds
Aide-toi et le ciel t’aidera !
Né à Saigon au Vietnam, j’avais trois ans quand ma famille a fui le Vietnam pour se réfugier en France. On m’avait appris : « Aide-toi et le ciel t’aidera ! », et qu’il fallait s’en sortir tout seul. Et tout semblait bien aller jusqu’au jour où ma grande sœur a fait une grave dépression. Toute la famille en a été très affectée. Pour l’aider, mes parents ont fait venir des guérisseurs, des médiums et des spirites. Puis, nous nous sommes tournés vers le bouddhisme, vers le catholicisme, vers Lourdes et Marie, afin de guérir ma sœur. Dans cette période, mes parents avaient rencontré un pasteur. Je savais seulement qu’il priait pour ma famille et pour ma sœur.
J’étais devenu athée. Je ne comptais que sur moi. Mon succès dans les études me rassurait. Mais quel grand vide intérieur !
Parti aux États-Unis, j’y ai retrouvé mon autre sœur. Elle avait fait une tentative de suicide. Alors j’ai sombré à mon tour. Là, j’ai réalisé que je ne pouvais pas m’en sortir seul. Ma vie n’avait pas de sens, vide d’amour véritable. Alors, je me suis souvenu de ce pasteur. Il était retourné à Washington : je suis allé le voir. Il m’a parlé de mon état de pécheur, expliqué que Jésus était mort pour moi, que j’étais sur une mauvaise route. Je devais compter sur Jésus pour ma vie, et pour cela lui demander pardon pour tout le mal dont je m’étais rendu coupable. Je le fis à l’instant même.
Depuis, je suis réconcilié avec Dieu. Christ a rempli ce vide en moi de Sa présence. Ma vie a un nouveau sens.
Tu disais en ton cœur : Moi, moi et rien que moi, Esaïe 47 : 4-10.
7/8/2020 • 3 minutes, 14 seconds
24 CD 24 Jésus dans la maison de Zachée
24 CD 24 Jésus dans la maison de Zachée by Jean-Louis Gaillard
7/7/2020 • 3 minutes, 1 second
Nuestro acceso al padre - 365 Historias (17)
A través de esta historia podemos entender lo que significa ser hijos del Padre. Seamos conscientes del gran amor de Dios hacia nosotros.
7/7/2020 • 2 minutes, 43 seconds
Puissance de la Parole de Dieu !
Lors d’une réunion de témoignages, un homme se leva, tenant à la main un Nouveau Testament.
— Mon histoire n’est pas ordinaire, dit-il. J’étais pickpocket. Je vis un jour un homme ayant dans la poche arrière de son pantalon une forme bien rebondie. Une bourse bien garnie, pensais-je, et aussitôt elle passa dans ma poche.
— Mais arrivé chez moi, je regardai : c’était un livre. De dépit, je le jetai dans un coin, mais par la suite, par simple curiosité, je l’ouvris et en commençai la lecture. En peu de jours, je découvris en Christ mon Sauveur et mon Maître.
Après avoir entendu ce témoignage, un colporteur de la Société Biblique qui était présent fut très intéressé et à l’issue du service, il demanda à voir le Nouveau Testament en question.
— C’était bien celui qu’il avait porté sur lui pendant des années et qu’il avait considéré comme perdu !
Cela prouve le pouvoir de la Parole de Dieu pour transformer les vies d’hommes. Qu’a-t-elle fait dans votre vie ?
L’Évangile : c’est une puissance de Dieu pour le salut de quiconque qui croit, Romains 1 : 16.
7/7/2020 • 2 minutes, 26 seconds
El clavadista - 365 Historias (16)
La perseverancia de este deportista lo animará y también le enseñará algo más.
7/6/2020 • 5 minutes, 9 seconds
Le porte-bonheur du vieux soldat !
Au temps des pionniers aux États-Unis, un vieux soldat traverse un village. Il frappe à la porte d’une maison pour demander du pain. L’homme qui lui ouvre remarque qu’il porte un étui en cuir pendu à son cou.
— Qu’as-tu là, mon ami ?
— Un porte-bonheur qui m’a été donné quand j’ai quitté l’armée.
— Fais-moi voir ça…
Il l’ouvre et en sort un papier tout froissé qu’il ne sait pas lire. Il le tend à son interlocuteur qui n’en revient pas.
— Eh bien, c’est ton certificat de libération de l’armée fédérale, signé du général George Washington lui-même ! Il te donne droit à une pension à vie !
Consterné, le vieux soldat réalise qu’il a, pendant près de 30 ans, porté sur lui la promesse d’une rente qui auraient couvert tous ses besoins… s’il l’avait réclamée ! Il n’aurait pas été un pauvre, obligé de mendier pour subvenir à ses besoins.
Histoire incroyable, mais vraie, qui ressemble à celle de beaucoup de chrétiens. Dieu nous a fait des promesses ; Il met ses richesses spirituelles à notre disposition et nous nous contentons d’une vie médiocre, pendant que les provisions de Dieu resteraient inutilisées ! N’oublions pas que Dieu a mis ses ressources (sa Parole, sa paix, sa joie, la vie de famille,) à notre portée grâce à l’œuvre de Jésus-Christ.
Emparons-nous chaque jour des promesses de la Parole de Dieu pour soutenir et fortifier notre foi.
Dieu peut vous combler de toutes sortes de grâce,2 Corinthiens 9 : 8.
7/5/2020 • 3 minutes, 4 seconds
No pase por otro lado - 365 Historias (15)
Una historia que nos muestra la importancia de algunos momentos puntuales en nuestras vidas; en especial, aquellos que no comprendemos.
7/5/2020 • 2 minutes, 9 seconds
Saber detenerse - 365 Historias (14)
Algunas veces es necesario parar y reflexionar sobre ciertos temas con respecto a nuestros hijos.
7/4/2020 • 4 minutes, 29 seconds
En urgencia - 365 Historias (13)
En medio de una situación difícil, como en una emergencia, muchos podemos perder la calma y encontrarnos en una profunda desesperación; pero Dios tiene todo bajo control. Pero hay algo más...
7/3/2020 • 2 minutes, 55 seconds
Le rempart de neige !
En janvier 1814, à l’approche de l’armée russe, la population des duchés de Schleswig-Holstein en Allemagne vécut dans la terreur. Les troupes ennemies faisaient de grands ravages sur leur passage. Une femme qui aimait Dieu pria instamment que sa maison soit épargnée et, avant d’aller se coucher, elle chanta le cantique de Luther : C’est un rempart que notre Dieu, une retraite sûre, notre délivrance en tout lieu, notre invincible armure. Son fils avait entendu la prière et se récria :
— Maman, il ne faut pas demander l’impossible !
— Pour Dieu, toutes choses sont possibles (Matthieu 19 : 26), répondit-elle.
La nuit vint. Ils s’endormirent. Sur le matin, un grand tapage les réveilla. Les soldats étaient entrés dans la ville, ils pénétraient dans toutes les maisons et les pillaient. Mais personne n’entra chez eux ! Peu à peu, les bruits diminuèrent, l’ennemi s’éloigna. Comment leur maison avait-elle été épargnée ? Une neige épaisse était tombée la nuit et, poussée par le vent du Nord, elle s’était entassée devant la porte, la cachant entièrement. Dieu leur avait envoyé un rempart de neige ! Quelle reconnaissance monta dans leur cœur, vers :
Celui qui campe autour de ceux qui le craignent et les arrache aux dangers ! Psaumes 34 : 8.
L’Eternel est bon, il est un refuge au jour de la détresse ; Il connaît ceux qui se confient en Lui, Nahum 1 : 7.
Il a nous donné le salut pour murailles et pour rempart […] ; tu assures la paix, la paix, parce qu’il se confie en Toi, Esaïe 26 : 1-3.
7/3/2020 • 3 minutes, 6 seconds
Historia de amor de un papá y de su hija - 365 Historias (11)
Historia de amor de un papá y de su hija - 365 Historias (11) by Jean-Louis Gaillard
7/2/2020 • 5 minutes, 47 seconds
Papá al volante - 365 Historias (12)
Muchas veces no conocemos el camino, pero si nuestro padre está al volante; podemos ir tranquilos.
7/2/2020 • 3 minutes, 22 seconds
Quand l’ennemi attaque !
On dit que le héron cendré possède un singulier mode de défense.
Quand il est attaqué par un aigle ou par un faucon, il se tient simplement immobile et ferme, se contentant de faire face à son ennemi et utilisant son bec comme une épée, une épée sur laquelle son ennemi va s’empaler, poussé par sa propre force.
La méthode du chrétien est similaire. Nous avons l’épée de l’Esprit. Quand vous êtes attaqués, tenez ferme, déployez la Parole, mettez-la en avant.
Plus férocement l’ennemi attaquera, plus sûrement il se transpercera lui-même par elle.
Prenez aussi l’épée de l’Esprit, qui est la Parole de Dieu, Ephésiens 6 : 13 et 17
7/1/2020 • 2 minutes, 5 seconds
Un vaso de agua - 365 Historias (10)
Un momento difícil nos enseña muchas cosas. En esta historia conocerá la experiencia de alguien que moría de sed.
6/30/2020 • 6 minutes, 6 seconds
Décider sans connaître !
— Qui a empaillé ce hibou ? demande un client en attendant son tour chez le coiffeur.
Ne recevant pas de réponse :
— Comment peut-on faire un travail si mauvais ! Vraiment, M. Boniface, je ne donnerai pas un centime pour un oiseau pareil. J’ai visité bien des musées, mais celui qui a empaillé cet animal-là est un maladroit. Le coiffeur continue tranquillement son travail. Nouvelle attaque :
— J’ai étudié les oiseaux de nuit et je peux vous affirmer qu’un hibou peut s’asseoir sans s’appuyer de la sorte. Et puis, les ongles n’ont jamais été si arqués. Perché habituellement sur des branches dénudées, il n’a jamais les pattes aussi droites, ni le cou aussi tordu. C’est impossible, vous ne me la ferez pas !
M. Boniface continue de coiffer sans broncher.
— Mais enfin, regardez ses yeux ! Des boutons de verre ! Ils ne sont pas même de la couleur voulue ! Descendez donc cette horreur et faites-la rempailler, M. Boniface !
À ce moment précis, le hibou remue, se dresse, perce de son regard le jeune intrus…
Cela vous fait rire peut-être ? Mais que penser de ceux qui critiquent la Bible sans l’avoir lue ? Que penser de ceux qui se moquent de Jésus-Christ, ou qui veulent Le représenter en images ou en imagination ? Aucun homme ne s’est approché sincèrement de Dieu sans se rendre compte de son erreur et sans voir Sa Parole s’illuminer à son cœur.
Méprisé et abandonné des hommes […], nous l’avons dédaigné, Esaïe 53 : 1-7 et 10.
6/29/2020 • 4 minutes, 33 seconds
¡Múdese! - 365 Historias (09)
Una emocionante experiencia de una mujer que quiso superar la difícil situación que atravesaba.
6/29/2020 • 4 minutes, 10 seconds
J’ai vendu ce que je possédais de plus précieux !
Mon père était alcoolique et dépensait tous ses revenus pour boire. Nous habitions un quartier pauvre de Belfast. À l’École secondaire, j’avais reçu un Nouveau Testament de la part des Gédéons. Je ne l’avais pas lu. Je me suis lancé à la recherche de plaisirs et de sensations, essayant tout ce que le monde peut offrir. Mais je n’y ai trouvé aucune satisfaction. Je ressentais de plus en plus de vide dans mon existence et je menais une vie agitée. C’est à ce moment-là que je me suis souvenu du Nouveau Testament reçu à l’école. Je l’ai retrouvé. En feuilletant les pages d’introduction, je lus : « Secours en cas de besoin » suivi d’une série de versets bibliques.
Au cours de la lecture des textes proposés, l’amour de Christ m’atteignit et je reçus le salut en l’acceptant comme Sauveur personnel.
Je me devais de vous écrire pour vous dire tout ce que ce Nouveau Testament m’a apporté et signifié pour moi. Je joins à ma lettre un petit don, pour vous assister dans l’aide que vous pourrez apporter à d’autres.
Note : Un membre de l’Association des Gédéons est allé voir ce jeune homme pour le remercier. Lorsqu’il lui demanda d’où il avait pris cet argent pour faire le don, le jeune homme répondit qu’il n’avait pas d’argent, donnant tout à sa mère pour la nourriture, mais qu’il avait vendu ce qu’il avait de plus précieux : sa collection de CD.
Il l’avait fait pour que d’autres garçons et filles puissent apprendre à connaître Jésus-Christ.
Pour l’amour de Christ, je me suis dépouillé de tout, Philippiens 3 : 8-9.
6/28/2020 • 3 minutes, 41 seconds
La venganza del cristiano - 365 Historias (08)
Descubra esta conmovedora historia de una víctima del nazismo.
6/28/2020 • 3 minutes, 4 seconds
Todo ha sido pagado, sin embargo... a duras penas - 365 Historias (06)
Una dura historia acerca del capricho de un joven que le hará pensar.
6/27/2020 • 3 minutes, 41 seconds
Las manos - 365 Historias (05)
Cada cosa tiene un valor diferente, dependiendo de las manos que la posee. Una historia para pensar.
6/26/2020 • 2 minutes, 20 seconds
Boussole inutilisée !
Trois jeunes ont décidé de faire en barque la traversée de l’estuaire.
— Prenez la boussole, leur dit leur père.
— Inutile, répond l’aîné. Nous connaissons la direction !
Cependant, sur un nouvel ordre de son père, il obéit. Peu après le départ, la barque est en plein brouillard. Son jeune pilote ne s’inquiète pas de la boussole, il est bien trop sûr de lui. La traversée s’avère cependant plus longue que prévu. Enfin, il aperçoit confusément des arbres, une maison, et il aborde… pour se rendre compte qu’il est revenu exactement au point de départ. Que faire ? Tout confus, les trois jeunes repartent, mais cette fois, en consultant la boussole. Si on dérive, on rectifie aussitôt.
L’expérience a servi. Maintenant la barque va dans la direction voulue. Plus le brouillard est épais, plus le pilote se fie à ce qu’elle indique. Bientôt, enfin, ils sont sur l’autre rive.
Notre boussole, c’est la Bible, la Parole de Dieu. Vouloir s’en passer est présomptueux. Rien n’est plus utile que de la posséder. Mais la posséder sans vouloir s’en servir ne peut mener qu’à la dérive. Dieu, qui est notre Père, nous recommande de nous en munir et de l’utiliser dans la traversée de notre vie.
De même, avoir une lampe de poche pour effectuer un parcours de nuit ne suffit pas. Encore faut-il l’allumer et ne pas détourner nos regards des indications qu’elle donne. Procurez-vous donc la Bible, si vous n’en possédez pas. Mais surtout, lisez-la jour après jour et laissez-vous instruire par ce qu’elle révèle et enseigne. C’est vital (au sens absolu) pour vous !
Ta parole est une lampe à mes pieds, et une lumière sur mon sentier, Psaumes 119 : 105.
6/26/2020 • 3 minutes, 6 seconds
Iván y los lobos - 365 Historias (04)
Una historia impactante acerca de la experiencia de este joven en medio del bosque.
6/25/2020 • 3 minutes, 24 seconds
Parfaitement réglé
Pendant la Révolution française, le dimanche fut aboli en France. Au lieu d’un jour de repos sur sept on institua le décadi : un jour de repos sur dix. « Nous ne pouvons pas détruire le Christianisme si nous ne détruisons pas auparavant le dimanche chrétien », avait dit Voltaire.
L’expérience se révéla désastreuse, pour les hommes comme pour les bêtes. Les chevaux, après neuf jours de travail sans interruption, s’effondraient dans les rues sous la charge excessive.
Si extraordinaire est cette harmonie bienfaisante de un jour sur sept, qu’un écrivain de l’époque a pu dire que nous serions coupables de malhonnêteté intellectuelle, en disant que c’est Moïse qui, par hasard, a institué cette ordonnance, en dehors de l’intervention divine. Diminuez la semaine d’un seul jour, la semaine est trop courte pour un jour de repos. Augmentez-la d’un seul jour, le travail est trop grand pour être poursuivi sans repos.
Tu travailleras six jours, mais le septième jour est le jour du repos, Exode 20 : 1-17.
6/24/2020 • 2 minutes, 6 seconds
El robo de mis tablas - 365 Historias (03)
Un impactante testimonio de lo que ocurrió en medio de un robo.
6/24/2020 • 3 minutes, 26 seconds
La permanence de la littérature !
Il y a quelques années sévissait à Téhéran, en Iran, une crise du papier. Au cours de cette crise, un jeune musulman du nom de Nassi était allé au marché pour acheter du fromage. Le vendeur, qui n’avait pas de papier spécial pour envelopper le fromage, l’a emballé dans une feuille de papier imprimée, ce qui a excité la curiosité de Nassi. Arrivé chez lui, il a sorti avec soin le fromage et s’est mis à dérouler la feuille qui avait été salie.
Nassi s’est mis à lire la feuille. Il l’a montrée à son père, qui a soupçonné avec raison qu’il s’agissait d’une page provenant d’une Bible, le livre des chrétiens. Il a mis son fils en garde contre la lecture de cette page ou de toute autre page semblable. Mais le jeune homme était complètement captivé par le message sur lequel il était tombé par hasard.
Le jour suivant, Nassi est retourné au marché et est allé voir le même marchand. Aussi discrètement que possible, il s’est renseigné sur la mystérieuse page et on lui a répondu que, s’il achetait quelque chose d’autre, il aurait davantage de « papier d’emballage » à lire. Aussi le jeune homme a-t-il acheté des figues, qui ont été aussitôt enveloppées dans une page imprimée.
Le jour suivant, il est retourné et a acheté des dattes. Puis il a acheté encore du fromage et, ainsi de suite, pendant plusieurs jours, jusqu’à ce qu’il ait en sa possession toute une collection de pages de la Bible qu’il a tenues cachées de son père. Les pages, naturellement, ne se suivaient pas et n’offraient que des informations fragmentées. C’était très frustrant pour Nassi. Il s’est donc mis à la recherche d’une Bible entière et a fini par en trouver une en langue farsi. En quelques semaines, il est venu au Seigneur et a accepté Christ comme son Seigneur et son Sauveur.
Oh ! La puissance de la page imprimée ! Oh ! La faim de ce monde !
L’efficacité de la Parole de Dieu écrite et de la littérature évangélique est indéniable.
Recevez avec douceur la parole, qui peut sauver vos âmes, Jacques 1 : 21
6/24/2020 • 3 minutes, 41 seconds
Louis Pasteur - 365 Historias (01)
Una interesante anécdota entre un estudiante y Louis Pasteur.
6/23/2020 • 2 minutes, 15 seconds
La crainte devint confiance !
Un homme hésitait à traverser le Mississippi à l’heure du crépuscule au temps de la conquête de l’Ouest américain. Le fleuve était gelé, mais notre homme, ne sachant quelle était l’épaisseur de la glace, s’y engagea cependant. Il rampa de manière à répartir son poids sur la glace et avança ainsi péniblement.
Il était arrivé au milieu du fleuve lorsqu’il se rendit compte qu’un chariot rempli de charbon attelé à quatre chevaux le traversait aisément. Il comprit alors que si la glace pouvait supporter un tel poids, il n’avait aucune crainte à se mettre debout et à franchir à pied la distance qui le séparait encore de l’autre rive. Il était maintenant plein de confiance.
Ne vivons donc plus dans la crainte, d’autant plus que la Bible nous dit : Confie-toi en l’Éternel de tout ton cœur et ne t’appuie pas sur ta sagesse. Reconnais-le dans toutes tes voies et il aplanira tes sentiers, Proverbes 3 : 5-6.
Tous ceux qui se sont fondés sur la parole de Dieu et qui ont expérimenté la solidité de ses promesses nous encouragent à mettre toute notre confiance en notre Seigneur.
Avec lui, nous avons un appui solide, et nous pouvons lui faire confiance pour toute la traversée de notre vie.
6/22/2020 • 2 minutes, 25 seconds
LES PETITS PAQUETS NOIRS !
Tellement de choses, de pensées peuvent accabler l'âme de l'homme : la perte d'un travail, les soucis de la vie, une situation familiale difficile et tant d'autres choses encore, l'empêchant de goûter à la paix de Dieu. Seigneur, je t'en prie, aide-moi à garder les yeux fixés sur toi.
Un serviteur de Dieu raconte à ce sujet comment sa mère, chrétienne, mais d'une nature trop sensible, se faisait du souci pour tout et pour rien. Il essayait de la convaincre que se tourmenter était aussi un péché. Mais, peine perdue, elle souffrait, même à l'avance, de maux qui n'arrivaient jamais.
Un matin, au petit-déjeuner, elle parut le visage rayonnant. Son fils lui en ayant demandé la raison, elle lui raconta le rêve qu'elle avait fait.
Une grande foule, dont elle faisait partie, marchait sur une longue et grande route. Chaque personne avait l'air las, soucieux et presque toutes portaient un petit paquet enveloppé de noir paraissant fort lourd. La dame remarqua aussi de nombreux individus, au visage repoussant, qui circulaient sans bruit parmi les voyageurs, et dont la tâche consistait à déposer à terre ces paquets noirs, pour qu'ils soient ensuite ramassés par ces derniers, déjà si las, pourtant. Elle-même, comme les autres, était chargée d'un tel fardeau.
Tout à coup, levant les yeux, elle aperçut un homme au visage lumineux qui se penchait tendrement, vers l'un ou l'autre des voyageurs, pour le consoler. Lorsqu'il s'approcha d'elle, elle reconnut le Sauveur et le regarda avec angoisse.
- Je suis si lasse, Seigneur, dit-elle.
Il sourit tristement et dit : "Pourtant, ce n'est pas moi qui t'ai donné ce fardeau, mais bien l'Ennemi, ton ennemi. Jette ce paquet loin de toi et refuse d'en toucher un autre, même du bout des doigts. Ton chemin deviendra plus facile et tu marcheras comme si tu étais portée."
Puis il lui toucha la main et une paix ineffable inonda le cœur de la chrétienne quand elle lâcha le misérable paquet noir. Comme elle s'apprêtait à se jeter aux pieds du Sauveur bien-aimé pour l'adorer, elle se réveilla, ayant enfin compris la leçon.
Depuis cette nuit mémorable, délivrée de ses soucis par la foi en celui qui tient notre vie passée, présente et à venir entre ses mains puissantes - seulement si nous le laissons faire-, cette chrétienne devint la personne la plus confiante et heureuse de toutes.
Vous sentez-vous également chargé d'un lourd fardeau ? Il ne vient pas de Dieu. Levez donc les yeux vers Jésus. Savoir que Jésus, votre Sauveur, tient entre ses mains votre passé, votre présent et votre futur suffit pour que vous vous réveilliez chaque matin dans une paix immense. Nous pouvons prier si vous le souhaitez Seigneur, je t'en prie, aide-moi à garder les yeux fixés sur toi. Que mes difficultés ne remettent pas en cause ma foi en toi, car tu es le bon berger et tu prends soin de moi.
6/21/2020 • 3 minutes, 46 seconds
Et si vous y puisiez aussi ?
En visitant l’île de Trinidad, nous sommes arrivés à un endroit appelé « Pitch Lake », une des merveilles du monde. C’est un volcan éteint dont le cratère mesure à peu près un demi-kilomètre.
Toute la zone du cratère est remplie d’asphalte durci sur lequel on peut marcher jusqu’au centre du puits, où deux équipes d’ouvriers travaillent incessamment à l’extraction de l’asphalte. Ils remplissent inlassablement des wagonnets de ces gros blocs noirs, pesant de 50 à 100 kg chacun, d’où ils sont dirigés vers la raffinerie construite au bord du cratère.
Ces ouvriers nous expliquent que pour extraire l’asphalte, ils n’avaient creusé qu’à une profondeur de deux ou trois mètres et qu’au bout de soixante-douze heures, le trou serait comblé, toute trace d’excavation ayant disparu ! Et ce travail se poursuit, ajoutèrent-ils, depuis soixante-trois ans, expédiant de pleins cargos d’asphalte dans toutes les parties du monde. Cependant, « Pitch Lake » contient toujours autant d’asphalte qu’avant de commencer les travaux. Bien que des milliers de bateaux en aient été remplis, la provision n’a jamais diminué…
Tandis que nous étions là contemplant cette merveille de la création de Dieu, nous avons médité ensemble sur cette autre source inépuisable qu’est la grâce divine. Celui qui aime à se nommer « le Dieu de toute grâce » possède une provision inépuisable. Ses enfants dans le monde entier peuvent jouir de cette grâce en abondance -autant qu’ils sont capables de s’en approprier-et pourtant, la source n’en est jamais tarie.
C’est pour cette raison que nous avons à cœur de faire parvenir la bonne nouvelle du salut à tous les hommes. Il n’y a aucune distinction de races pour le Seigneur. C’est pour tous les hommes qu’Il a bien voulu mourir, afin que tous puissent être sauvés.
Si les fleuves de ce monde peuvent tarir, le fleuve du salut, lui, coule toujours à travers tous les continents du monde et ne sera jamais épuisé.
Si quelqu’un a soif, qu’il vienne à moi, Jean 7 : 37 et 38.
6/19/2020 • 3 minutes, 33 seconds
Les valeurs de la vie
L’histoire de Rick Husband est belle et exemplaire quoique difficile.
Rick Husband est né le 12 juillet 1957. Après des études scientifiques, il est entré dans l’Armée de l’air. Rapidement, il entre dans l’école des pilotes d’essai. En 1994, il entre à la Nasa, et en 1998, il fait son premier vol. Le 16 janvier 2003, il embarque à bord de la navette Columbia pour ne plus revenir. Le 2 février 2003, la navette Columbia s’est désintégrée au-dessus du Texas. Il en était le commandant de bord.
Il était marié avec Evelyne et il avait deux enfants. Il avait donné sa vie au Seigneur, et tout le monde autour de lui le savait. Avant que la navette ne décolle le 16 janvier, il avait réuni tout l’équipage et il avait prié avec eux, et pour eux. Le personnel était impressionné de voir un commandant de bord prier avec son équipage. Ils n’avaient jamais vu cela !
Deux minutes avant le décollage, l’un des membres du centre de contrôle avait dit :
— Temps parfait pour décoller.
Rick répondit :
— Le Seigneur nous a donné une belle journée.
Avant de partir, il avait enregistré 34 petits messages en vidéo. Cela devait remplacer les petits moments de culte qu’il avait l’habitude d’avoir avec chacun de ses enfants. Il devait être absent 17 jours. Un enregistrement pour chacun d'eux et pour chaque jour d'absence… Il ne voulait pas que ses enfants ratent ce petit moment avec leur papa.
Il avait même enregistré une vidéo pour son église à Houston. Il y déclarait : « Réussir ma vie d’astronaute ne sert à rien, si j’ai sacrifié ma vie de famille ou si je vis une vie qui n’est pas digne du Seigneur. Si je rate ma vie avec le Seigneur, je le regretterai amèrement. Je réalise que la chose la plus importante dans ma vie, c’est d’essayer de vivre ma vie comme Dieu me le demande. C’est d’essayer d’être un bon mari pour Evelyne et un bon père pour mes enfants ».
Dans une lettre pour son pasteur, il lui avait demandé de prendre soin de sa famille et il avait conclu en disant : « Parlez-leur de Jésus. Il est tout pour moi, et je veux qu’Il devienne tout pour eux ».
Il est clair qu’il avait donné sa vie à Christ. Cela se voyait non seulement dans ses paroles mais aussi dans sa vie. Dieu l’a conduit à devenir astronaute. Pour lui c’était sa façon de servir Son Seigneur. Le Seigneur l’a repris en pleine gloire. On peut ne pas trop comprendre pourquoi. Mais Paul avait écrit qu’il voulait glorifier le Seigneur soit par sa vie, soit par sa mort. Rick Husband a glorifié Jésus, par sa vie, et il a glorifié le Seigneur par sa mort. Qui sait ce qui va en sortir. Jésus a dit :
Si le grain de blé ne meurt, il ne peut porter beaucoup de fruit.
Cette vie a certainement porté beaucoup de fruits.
6/17/2020 • 4 minutes, 15 seconds
Moi, je ne suppose jamais rien
Aux États-Unis, vers 1850, une dame toujours soucieuse et triste parlait à sa servante noire qui, elle, était toujours sereine et enjouée :
— C’est bien d’être joyeuse. Il me semble pourtant que la question de votre avenir devrait atténuer un peu votre joie. Supposons que vous tombiez malade, supposons que vos employeurs déménagent et que personne ne vous donne du travail… supposons que…
— Moi je ne suppose jamais rien, Madame, s’écria la servante.
Le Seigneur est mon berger. Moi, je ne manquerai de rien.
Tous ces « supposons » vous rendent si triste. Vous devriez les laisser là et avoir confiance dans le Seigneur. Et dire que cette patronne se disait croyante. Mais c’était sa servante qui avait la vraie foi.
Fondés sur les promesses de la Bible et sur l’œuvre accomplie par Jésus-Christ en leur faveur, les chrétiens véritables peuvent dire :
Je sais […], j’ai l’assurance […], je suis persuadé […]. J’ai la certitude […] Romains 8 : 38.
6/15/2020 • 2 minutes, 43 seconds
Qui était près de vous ?
Lorsque le pasteur Arnold Bovet commença l’œuvre de la Croix Bleue, à Berne, il eut beaucoup à souffrir de ses ennemis. Il n’est pas d’avanie, d’insultes qu’il n’ait eu à essuyer. À la première réunion, ce furent des cris, du bruit, des moqueries sans fin. On en vint même aux brutalités. Un pauvre ivrogne avait pris une bouteille de schnaps qu’il jeta violemment à travers la fenêtre contre le pasteur, pendant qu’il parlait. La bouteille passa près de la tête d’Arnold Bovet et s’écrasa contre le mur. La réunion fut interrompue.
Le pasteur retournait à la maison et l’ivrogne le suivait, pour lui faire un mauvais coup.
Quelques années plus tard, un homme entrait dans le cabinet de travail d’Arnold Bovet. Il appartenait à la Croix Bleue :
— Monsieur le pasteur, je dois vous demander quelque chose. Qui était près de vous dans cette terrible soirée, lorsque vous retourniez à la maison ?
— Personne n’était auprès de moi.
— Pourtant, monsieur, il y avait un homme fort à côté de vous.
— Non, vous vous trompez. Je suis certain d’avoir été complètement seul ce soir-là.
— Pardon, monsieur le pasteur. J’allais derrière vous avec l’intention de vous tuer, lorsque je vis à côté de vous un homme plus fort que moi. Mon plan était déjoué.
Bovet se tut. Il pensait au Psaume 34.
L’ange de l’Eternel campe autour de ceux qui le craignent
« Auparavant j’avais une foi intellectuelle, dit-il. Il ne m’était jamais venu à l’esprit que la foi pouvait être vivante et concrète ».
6/14/2020 • 2 minutes, 56 seconds
Une Bible jetée par la fenêtre…
Deux voyageurs dans un train traversant la Géorgie semblaient avoir une conversation animée. L’un des hommes découvrit que son interlocuteur était un pasteur. Le ton se durcit. Le pasteur sortit sa bible de sa valise et en lut quelques fragments. Inutile. Chacun resta sur ses positions et un silence glacial s’installa dans le compartiment.
Un moment après, comme le pasteur revenait des toilettes, l’autre refermait la fenêtre. La bible avait disparu. Les deux hommes se regardèrent sans rien se dire.
Quelques mois plus tard, le pasteur reçut la visite d’un inconnu.
— Je voudrais être baptisé, demanda celui-ci.
— À quelle Église appartenez-vous ?
— À aucune. J’ai lu la Bible ; elle m’a montré que j’étais un pécheur, j’ai appris à connaître le Dieu Sauveur.
Méfiant, le pasteur l’interrogea :
— Comment avez-vous obtenu une Bible dans ce pays ?
— Je suis entrepreneur et je devais inspecter un bâtiment près de la ligne de chemin de fer. Un train passa et tout à coup un objet tomba à mes pieds. C’était une bible.
— Avez-vous cette bible avec vous ?
— Bien sûr, la voici.
Le pasteur prit le livre dans ses mains et reconnut sa Bible.
C’était il y a huit ans. Aujourd’hui, profitant de la liberté de culte qui existe à nouveau dans les pays de l’Est, une assemblée de chrétiens s’est formée dans le village du nouveau converti.
Vous avez été régénérés par la parole vivante et permanente de Dieu,1 Pierre 1 : 23
Nouvelle vidéo sur ma chaîne de pasteur : " Les anciens : qualifications & rôles"
A cette adresse : https://youtu.be/oDh1FMmyICU
6/12/2020 • 3 minutes, 13 seconds
24 CD 05 Mal en point
Mal en point
Se fondant sur les études statistiques, un organisme spécialisé annonçait récemment qu’à la fin du siècle, les dépenses de santé dépasseraient celles de nourriture. Cette « surconsommation » impressionnante, largement due aux tranquillisants, ne traduit-elle pas, en particulier, le mal-être et les angoisses de l’homme de cette fin de siècle et son besoin d’être rassuré ?
On appelle, au chevet de cet homme mal en point, les grands « docteurs ». Ils s’épuisent en diagnostics contradictoires ! Il n’y a qu’un remède qui soit à la mesure de ce mal pernicieux : c’est Dieu seul qui peut l’administrer. Lui peut libérer l’être humain de l’anxiété que le stress de la vie moderne n’a fait qu’aggraver.
Vous êtes nombreux à vous débattre au milieu de tous ces problèmes dont le moindre n’est pas l’inquiétude pour l’avenir. Jésus vous attend et vous invite.
Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et moi, je vous donnerai du repos […] vous trouverez le repos de vos âmes, Matthieu 11 : 28–29.
Rien de plus simple que de s’adresser à Lui par la prière, pas une prière toute faite, mais celle qui vient de votre cœur. Lisez la Bible, la parole même de Dieu, et vous y trouverez ce qui vous manque : non seulement la paix et le vrai bonheur, mais aussi, Celui qui seul peut répondre à vos besoins les plus profonds, Jésus-Christ, le Sauveur.
C’est Dieu qui guérit ceux qui ont le cœur brisé, et qui bande leurs plaies, Psaumes 147 : 3.
Ce ne sont pas ceux qui se portent bien qui ont besoin de médecin, mais les malades.
Je ne suis pas venu appeler à la repentance des justes, mais des pécheurs. Luc 5 : 31.
6/11/2020 • 3 minutes, 7 seconds
La fleur rare
Un botaniste amateur consacrait sa fortune et ses talents à la culture des orchidées. Ses serres étaient pleines de plantes étranges et précieuses, provenant des pays les plus éloignés et sur lesquelles il veillait avec un soin jaloux.
Il voulait mieux encore : créer une fleur nouvelle, magnifique, étonnante de forme et de couleurs. Mais ni ses efforts persévérants ni sa science n’avaient abouti.
Un soir où il devait s’absenter, il appela le gardien de ses trésors pour lui recommander d’user d’une vigilance particulière et d’avoir soin de fermer portes et fenêtres car un orage menaçait dans le lointain. Le gardien promit et le maître s’en alla, confiant. Or, le gardien fut infidèle à sa parole. L’orage survint, le vent souffla en tempête, s’engouffra dans les serres aux fenêtres mal closes, en arracha les vitres par où pénétrèrent des trombes d’eau et d’énormes grêlons.
Le désastre fut affreux. Dans les serres brisées, inondées, les orchidées gisaient, lamentables, mélangées à des débris de verre.
À son retour, le maître furieux, désespéré de ce malheur, se montra inconsolable.
Cependant, il finit par rassembler tant bien que mal les restes mutilés de ses collections et tenta de reconstituer ses serres.
Une année, deux années s’écoulèrent. Quelques orchidées se mirent à fleurir, péniblement, pauvrement. Où était leur gloire d’autrefois ?
Mais, ô surprise ! Un jour, on vit poindre le bouton d’une fleur inconnue qui, bientôt, s’ouvrit toute grande, merveilleuse, inédite. C’était la fleur tant cherchée, tant rêvée : sa création était due à l’orage dévastateur !
Cette découverte consola le botaniste de son long chagrin et, pour rappeler l’origine de la fleur rare, il l’appela : « l’orchidée-ouragan ».
Lorsque nos plans sont brisés, nos efforts anéantis, notre santé compromise, rappelons-nous que ces heures de détresse et d’obscurité peuvent faire éclore la fleur rare, le bonheur vainement cherché et que nous n’espérions plus, la joie d’essence supérieure qui absorbe peines et amertumes.
Émergeant de ses misères, un poète donnait ce sage conseil : « Dépouille devant tous l’orgueil qui te dévore, cœur gonflé d’amertume et qui t’es cru fermer ; aime et tu renaîtras, fais-toi fleur pour éclore. »
Il rendra son désert semblable à un Éden, Esaïe 51 : 3.
6/10/2020 • 4 minutes, 6 seconds
La parabole du fil de fer
Près de ma maison, il y a un arbre. Lorsqu’il était petit, il portait une étiquette avec son nom, fixée par un mince fil de fer.
L’arbre grandit : l’emplacement était bon, le sol bien travaillé. Chacun admirait sa belle croissance. Un jour il tomba malade, s’arrêta de pousser, les feuilles pâlirent. Nous nous demandions ce qu’il avait et nous avons découvert que le fil de fer s’était incrusté dans l’écorce empêchant l’afflux de la sève… Après l’avoir retiré, l’arbre reprit vie.
Que de fils dans la vie des chrétiens, en fer ou peut-être en or ou en argent, ce peuvent être aussi des désirs charnels, nos raisonnements, nos plans ! Ce que la Bible appelle toute hauteur qui s’élève contre la connaissance de Christ ! Nous les connaissons tous et le voisin les découvre avant nous, avant que nous en ressentions les effets néfastes…
Arrière de nous, tous ces « fils de fer » qui arrêtent la vie ! Le chrétien, nous dit la Bible dans le Psaume 1,
Il est comme un arbre planté près d’un courant d’eau, Qui donne son fruit en sa saison, Et dont le feuillage ne se flétrit point : Tout ce qu’il fait lui réussit.
6/9/2020 • 2 minutes, 16 seconds
Cuando Dios Da Una Orden Hasta El Diablo Obedece - 365 Historias (59) Español
Cuando la palabra de Dios sale de su boca, toda su creacion oye la voz de Dios y obedece, hasta aquellos cuya gracia fue quitada, son obedientes y sirven a los hijos del Rey de reyes.
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6/8/2020 • 2 minutes
Crash dans la rivière !
Un jour, au pied des Andes, quatre hommes assez corpulents avaient pris place avec leur pilote dans un Piper Tri-Pacer, au cours d’un vol au-dessus de la jungle. Le poids de ces hommes créa une surcharge par rapport à la puissance des moteurs.
En fin de vol, le Piper décrocha au-dessus de la montagne, tomba au milieu d’un fleuve de la jungle plein de remous et s’enfonça.
Les hommes se dégagèrent rapidement et se mirent à nager avec frénésie vers la berge éloignée d’une cinquantaine de mètres. Mais le courant était beaucoup trop fort. Avant qu’ils n'aient pu parcourir dix mètres, ils avaient été entraînés sur 400 mètres. La mort semblait imminente.
Complètement épuisé, le premier abandonna. Mais tandis que son corps perdait toute son énergie et que ses jambes s’enfonçaient, ses pieds touchèrent le lit du fleuve. Quelles ne furent pas sa satisfaction et sa joie de constater que ce fleuve qui les entraînait vers la mort était profond de moins d’un mètre ! Il se mit debout et cria à ses compagnons, qui luttaient toujours, d’arrêter de nager et de mettre les pieds par terre. Le visage marqué par l’effort, mais le cœur plein de joie, les quatre hommes pataugèrent en toute tranquillité vers la rive.
Que de fois avons-nous, nous aussi, fait des efforts inutiles, nous fatiguant à vouloir nager dans des eaux peu profondes alors que nous aurions dû nous abandonner à Dieu avec confiance.
Ne crains rien, car je suis avec toi, Esaïe 41 : 10-14
6/7/2020 • 2 minutes, 47 seconds
El Coraje De Dar Testimonio - 365 Historias (125) Español
El dar testimonio a veces puede ser complicado o da temor, pero con nuestro testimonio podemos glorificar el nombre de nuestro Dios, porque damos a conocer el poder de su amor y gloria, hable con el mundo sobre como Dios cambio su vida para bien, ¡sin temor porque Él esta con usted a donde vaya!
Isaias 55:6
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6/7/2020 • 3 minutes, 44 seconds
Felix Mendelssohn y El Organista - 365 Historias (129) Español
Una historia inspiradora que nos relata la experiencia de este famoso compositor en una iglesia.
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6/6/2020 • 4 minutes, 41 seconds
La Anciana Que Viaja - 365 Historias (139) Español
Dios nos da a escoger dos caminos, en nuestras manos esta cual tomar, debemos ser sabios en todo tiempo, a veces, el camino facil resulta perjudicar nuestras vidas. ¡Dios te bendiga!
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6/5/2020 • 5 minutes, 53 seconds
Quand le fardeau devient un pont !
Paul était en vacances dans les Pyrénées. Un jour qu’il gravissait un chemin dans la montagne, il observa quelque chose d’étrange. Une fourmi traînait derrière elle un long fétu de paille, trois fois plus long qu’elle. Il s’arrêta et se mit à l’observer. La fourmi arriva sur une fente du rocher qui vu sa taille était pour elle un véritable précipice.
Elle essaya plusieurs fois de traverser avec son chargement. Cela semblait impossible, elle risquait de tomber dans le « précipice », elle et son chargement. Elle s’arrêta quelques instants comme pour réfléchir. Puis elle saisit une extrémité du fétu et le poussa devant elle au-dessus de la fente, puis elle s’en servit comme d’un pont pour passer de l’autre côté. Ensuite elle tira la paille derrière elle et reprit son chemin avec son chargement. Elle et son fétu étaient sains et saufs.
Quelle leçon peut-on en tirer ? Au lieu d’aborder un fardeau comme une montagne infranchissable, pourquoi ne pas « l’utiliser » comme un pont pour traverser les situations difficiles. Que ce pont devienne pour vous et pour moi, un pont qui nous aide à grandir, et à fortifier notre foi. Portons-le avec persévérance.
Car mon joug est doux, et mon fardeau est léger, Matthieu 11 : 30.
6/4/2020 • 2 minutes, 20 seconds
Una Biblia Sobre Las Vías Del Tren - 365 Historias (144) Español
La historia de hoy nos enseña que la Palabra de Dios nunca regresa vacia!
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6/4/2020 • 2 minutes, 8 seconds
La puissance de la croix !
Pendant longtemps, les missionnaires moraves envoyés au Groenland avaient évangélisé les Esquimaux sans constater une seule conversion.
Enfin, en 1738, un groupe d’Esquimaux vint à passer près de la cabane de quatre missionnaires, et, poussés par la curiosité, quelques-uns y pénétrèrent. Les quatre amis étaient précisément occupés à traduire les évangiles, ce qui intrigua beaucoup les visiteurs. Alors, un des missionnaires eut l’idée de lire à haute voix le récit de la « Passion du Christ ». Il supplia ensuite ses auditeurs de se tourner vers Jésus, dont le sang avait été versé pour le rachat de leurs âmes.
Quelques-uns des visiteurs s’esquivèrent, mais l’un d’eux, nommé Kajarnak, dit avec émotion : « Expliquez-moi cela encore une fois. Moi aussi, je voudrais être sauvé ! » Les larmes aux yeux, les missionnaires recommencèrent à parler des souffrances et de la mort du Sauveur.
En 1739, Kajarnak se fit baptiser avec sa famille, malgré les menaces de mort des membres de sa tribu. En dépit de tout, il demeura ferme, et sa conversion finit par ébranler ses compatriotes. De tous côtés arrivaient maintenant des Esquimaux pour entendre parler du Christ crucifié. Et c’est la prédication de la croix qui a toujours fait sur eux l’impression la plus profonde. Malgré les efforts des sorciers, le nombre des convertis s’accrut, au point de former toute une assemblée autour du poste missionnaire.
Car l’amour de Christ nous presse, 2 Corinthiens 5 : 14.
Nous prêchons Christ crucifié […] mais puissance de Dieu et sagesse de Dieu, 1 Corinthiens 1 : 23-24.
6/4/2020 • 2 minutes, 56 seconds
Dios Es Fiel - 365 Historias (147) Español
Dios Es Fiel - 365 Historias (147) Español by Jean-Louis Gaillard
6/3/2020 • 6 minutes, 24 seconds
Faut-il vraiment écouter ses parents ?
L’entrée du terrier des rats musqués se trouve généralement en dessous du niveau de l’eau. Le rat musqué plonge donc sous l’eau pour rentrer chez lui, et remonte dans son terrier creusé dans la terre des berges. Un jour, je trouvai une entrée prometteuse, car j’estimai que ce terrier devait abriter toute une famille. Ne pouvant placer le piège habituel, je fixai solidement à l’entrée une nasse de ma fabrication (rouleau de grillage fermé d’un côté et portant de l’autre une entrée en forme de cône), le rat musqué entra par le cône dans la nasse et n’arriva plus à en ressortir. La famille était donc enfermée dans son terrier et le piège mortel les attendait à la sortie. Mais cette fois, je ne capturai que deux jeunes membres de la famille.
On peut imaginer les choses ainsi : papa et maman rats musqués, sages et expérimentés, firent comprendre solennellement à chacun qu’il ne fallait sortir à aucun prix. Mais avec le temps, perdant patience, sûrs d’eux-mêmes, bravant le danger, deux de leurs enfants sortirent dans la nasse… pour y perdre la vie.
Pourquoi donc ces « jeunes » n’ont-ils pas écouté la voix de la sagesse, selon qu’il est écrit :
Ecoute, mon fils, l’instruction de ton père, et ne rejette pas l’enseignement de ta mère, verset tiré de l’un des plus beaux Proverbes à savoir, 1 : 33.
6/3/2020 • 2 minutes, 29 seconds
Tato, Un Hombre De Gran Corazón - 365 Historias (151) Español
Esta es la historia de Tato, un hombre que daba alegremente de corazón a las personas que necesitaban, tomando el ejemplo de Dios, la historia de Tato, el suegro de nuestro pastor, fue un hombre que dió ejemplo de vivir una vida confiando en que Dios los iba a sustentar, a veces nos preocupamos porque nos falta comida o dinero, pero Dios nos dice en Mateo 6:26 “Mirad las aves del cielo, que no siembran, ni siegan, ni recogen en graneros; y, sin embargo, vuestro Padre celestial las alimenta. ¿No valéis vosotros mucho más que ellas?”, nuestro Padre celestial nos sustenta y nos guarda en todo tiempo...
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6/2/2020 • 6 minutes, 24 seconds
Les conséquences d’une mauvaise fondation !
L’histoire se passe au Canada. Un promoteur se lance dans la construction d’un nouveau quartier dans la banlieue de Toronto. C’est un faubourg élégant et les maisons sont chères. Elles coûtent l’équivalent de 200 000 à 3 500 000 euros. A grand renfort de publicité, le promoteur réussit à vendre les lots rapidement. Les maisons sont terminées avant l’été. Les nouveaux propriétaires sont ravis. Il fait beau, les jardins sont magnifiques, les maisons sont confortables, claires. Tout l’été, les propriétaires profitent du beau temps. Ce sont des barbecues, des après-midis au bord de la piscine. La belle vie !
Mais l’automne et l’hiver arrivent. Tout le monde sait qu’au Canada, à partir de fin octobre commence les saisons difficiles, la pluie et la neige. Les hivers sont très rigoureux. La neige et la pluie s’abattent sur ces belles maisons. Brutalement, l'une d’elles s’écroule dans un trou. Quelques jours après, une autre, puis encore une. En un rien de temps presque toutes les maisons s’écroulent dans des trous et celles qui restent s’affaissent, et d’autres tiennent à peine debout.
Devant l’étendue du désastre, le promoteur est obligé d’avouer que ce quartier avait été construit sur une décharge d’ordures. Parce qu’il était pressé de construire, et de vendre, il n’avait pas pris le temps de renforcer cette décharge, en apportant le bon remblai. Il n’avait pas construit sur de bonnes fondations. Il s’était juste contenté de tasser les ordures et de construire dessus.
Est-ce que cela vous parle ? Notre vie chrétienne aussi doit être construite sur une bonne fondation. Jésus nous rappelle que notre maison doit être construite sur du roc. Cette fondation nous dit l’Apôtre Paul :
C’est Jésus, mort pour nous à la Croix et ressuscité le troisième jour. Il ajoute « J’ai posé ce fondement comme un sage architecte. Mais que chacun prenne garde à la manière dont il bâtit dessus, 1 Corinthiens 3 : 10.
Si notre vie chrétienne n’est pas construite sur ce bon fondement, nous nous écroulerons. L’image est forte. L’Apôtre dit aussi qu’il considère tout ce qu’il a été avant sa conversion « comme de la boue ou des vieilles ordures ». Si nous nous obstinons à vouloir construire notre vie chrétienne sur les valeurs de notre passé ou sur notre ancienne manière de vivre, nous construisons notre vie sur des choses vaines, mortes et sans valeur et qui à la moindre tempête s’écrouleront.
Si nous voulons tenir fermes lors des hivers rigoureux où la pluie, la glace, et les vents, fondent sur nous, construisons notre vie sur la mort et la résurrection de Jésus. Laissons cette mort travailler nos cœurs pour nous délivrer de toute cette « boue du passé ». Laissons Jésus affermir et guérir nos cœurs afin que nous tenions fermes dans la tempête.
6/1/2020 • 4 minutes, 20 seconds
Los Pequeños Paquetes Negros - 365 Historias (166) Español
1 Pedro 5:7 "Echando toda vuestra ansiedad sobre Él, porque Él tiene cuidado de vosotros."
Tantas cosas pueden preocuparnos, hasta el punto de olvidarnos del mismo Jesús y desviar nuestra mirada de Él, por el simple hecho de estar atribulados por una carga que no nos pertenece ya que Jesús no nos la dió...
¿Siente usted, igualmente el peso de esa carga?
Levante su mirada al cielo y mira a tu Creador, porque Él nos cuida y vela por nosotros.
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6/1/2020 • 4 minutes, 22 seconds
La puissance du pardon !
C’était l’hiver. Un hiver bien rigoureux, un homme qui vivait seul fit une crise cardiaque. Il avait eu la force d’appeler les secours. Il fut admis d’urgence à l’hôpital.
Dans un souffle, il demanda à l’infirmière d’appeler sa fille. « C’est ma seule famille » murmura-t-il.
L'infirmière téléphona à la fille. La fille éclata en sanglot : « ce n’est pas possible, ce n’est pas possible, gardez-le en vie, je vous en supplie ! Il faut que je le voie avant qu’il ne meure. L’année dernière, on s’était disputé violemment. Je suis partie en claquant la porte et je lui ai crié : « je te hais ». Mais aujourd’hui, je réalise que ce n’est pas vrai : je ne le hais pas, je ne le hais pas…. Je ne le hais pas… ». Elle sanglota de plus belle. « Je voulais aller le revoir, reprit la fille, pour lui demander pardon, j’arrive tout de suite, dites-lui de m’attendre ! »
Malheureusement, le père eut un nouvel arrêt cardiaque. On tenta de le ranimer. L’infirmière priait : « ne permet pas qu’il parte avant que sa fille arrive ».
Malgré tous leurs efforts, l'équipe médicale, ne parvint pas à le ranimer.
Entre temps la fille arriva, hors d’elle-même. Le médecin la prit à part devant la porte de la chambre.
— Je suis désolé, dit-il. La fille éclata en sanglot ; entre deux hoquets elle cria :
— Je ne l’ai jamais haï ! Je l’aimais, laissez-moi le voir une dernière fois.
L’infirmière la fit rentrer dans la chambre. La fille se jeta sur le corps de son papa. Il était là inerte, mais avec un beau sourire sur le visage. Il était parti avec son Sauveur. L’infirmière tourna la tête pour cacher ses propres larmes.
Soudain, elle remarqua que le père tenait un morceau de papier. Elle ouvrit doucement la main pour prendre le papier. Et elle lut :
— Ma fille chérie, je te pardonne, je sais que tu ne me hais pas, et moi je t’aime, et je prie que tu me pardonnes aussi. Je pars retrouver mon Sauveur, le Seigneur Jésus, qui nous a tout pardonné à la Croix. Nous nous retrouverons avec Lui pour toujours. Persévère dans ta communion avec le Seigneur. Sache que je t’aime. Ton Papa.
5/31/2020 • 3 minutes, 18 seconds
Los Dos Hermanos - 365 Historias (171) Español
La historia de hoy habla de dos hermanos, el mayor en el camino del mundo y el menor en el camino del evangelio, un día el hermano mayor cometio un delito, y fue hacia donde estaba su hermano menor y le pidio ayuda, y para librarlo del mal su hermano menor se sacrifico por él siendo inocente... Así mismo hizo Jesús con nosotros, nos libro de nuestros pecados muriendo en una cruz, siendo nosotros no merecedores de tal acto de amor.
¡Cristo de ama, ve a sus pies, Él espera por ti para limpiar tu corazón y tu vida!
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5/31/2020 • 4 minutes, 25 seconds
La Importancia De La Integridad - 365 Historias (173) Español
Esta historia nos enseña una valiosa lección, que sin importar la ocación o la circunstancia, debemos mantenernos integros, porque nuestro testimonio habla de nuestra vida como cristianos y como Jesús actua en nosotros, debemos ser sabios en todo tiempo y escuchar la voz de Dios.
¡Nuestra vida es la biblia que leen a diario las personas en nuestro entorno!
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5/30/2020 • 3 minutes, 6 seconds
Le pardon et l'amour d'un père
Cela se passait en Espagne. Pedro avait un fils adolescent avec qui les rapports étaient difficiles. Tous les jours, ce n’était que cris et insultes. Paco, le fils, reprochait à son père de ne pas le comprendre et Pedro reprochait à son fils d’être rebelle.
Ce dernier, à bout, se sauva de la maison. Le père paniqué chercha partout son fils rebelle. Il courut chez tous les amis de celui-ci. Le soir, il allait dans les bars où aurait pu être son garçon. Il alla même à la maison où Paco se retrouvait avec ses amis pour faire de la musique. Mais Paco n’était pas là.
Finalement à bout d’idée, et ne sachant que faire, il fit paraître une annonce dans le journal populaire de Madrid. L’annonce disait : « Paco, je te pardonne de tout mon cœur, reviens à la maison, je t’aime et tu me manques terriblement. Retrouve-moi demain à midi devant le bureau du journal sur la grande place. Ton père qui t’aime et qui ne peut vivre sans toi ».
Le lendemain, à midi, le père se précipita devant le bureau du journal. Il fut très étonné de voir 800 « Paco » qui attendaient. Chacun avait pensé que c’était à lui qu’était adressé le message du père. Et chacun était venu rechercher l’amour et le pardon de leur père.
Et vous ? Savez-vous que le Père Céleste vous adresse un appel :
Reviens et je te pardonnerai dit-Il à travers les prophètes de l’Ancien Testament. Et la plus grande preuve qu’Il nous donne de Son Amour et de Son Pardon, c’est qu’Il a donné son Fils Unique afin que quiconque croit en Lui ne périsse pas mais qu’il ait la vie éternelle.
Et vous, avez-vous entendu ce cri qu’Il vous adresse à travers chaque page de la Parole de Dieu, la Bible ? Avez-vous vu Sa Main tendue vers vous, nuit et jour ? Qu’allez-vous répondre ? Attrapez cette main, entendez cet appel et rentrez dans la maison du Père. Il vous a préparé un banquet et des vêtements de fête, comme lorsque le fils prodigue est revenu. Luc 15 : 11-32. Revenez ! Il vous appelle.
5/30/2020 • 3 minutes, 33 seconds
Una Mano Dibujada - 365 Historias (176) Español
La historia de hoy tiene una enseñanza muy poderosa, nuestro Padre celestial nos exorta a ayudarnos los unos a los otros, a estar atentos, no solo de nuestros hermanos, sino de cada persona en este mundo que necesita una palabra de aliento y animos, y en otras ocaciones una mano...
Mateo 22: 36-40
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5/29/2020 • 1 minute, 41 seconds
Qu’est-ce qui est le plus important ?
Cela se passait lors d’un grand festival de musique. Le violoniste le plus connu du monde devait se produire lors d’un concert exceptionnel. Il devait jouer sur un violon extrêmement précieux, un authentique stradivarius qui datait du XVIIIème siècle, de l’époque même du célèbre luthier. On disait même que ce violon avait appartenu au maître luthier en personne.
Le soir du concert, la salle était comble. Les spectateurs venaient des quatre coins de l’Europe. Certaines personnes avaient réservé leur place depuis des mois.
Le violoniste parut. Il était magnifique dans son costume noir. Tout le monde regardait son violon. Le silence se fit rapidement. Le musicien commença à jouer. Il jouait avec passion. Les yeux fermés, il faisait courir son archet sur les cordes. Beethoven, Mozart, le répertoire était magnifique, puissant.
Le public était enthousiaste, tour à tour en larmes ou transporté de joie. L’émotion était à son comble.
Soudain, le musicien s’arrêta. Le public retint son souffle… Qu’allait-il se passer ?
Dans un geste absurde, il saisit son violon, le jeta à terre, le piétina.
Le public était interloqué. Des protestations commencèrent à fuser dans la salle. L’atmosphère devint électrique, au bord de l’explosion.
L’organisateur de la soirée pénétra sur la scène. Avec calme il prit la parole et dit : « Ne vous inquiétez pas, ce violon n’a aucune valeur. Notre virtuose a voulu démontrer, que l’instrument n’a pas d’importance. C’est le virtuose qui est important. C’est lui qui peut tirer de son instrument ces sons, qui vous font pleurer et qui vous transportent de joie ».
Le violoniste revint sur scène. On lui tendit un nouveau violon. Le virtuose se mit à jouer. Les mêmes émotions parcoururent la salle.
Le violon était le vrai, l’authentique Stradivarius du XVIIIème siècle.
Et nous ? Nous ne sommes que des instruments entre les mains du Seigneur.
C’est Lui qui, tel ce virtuose, arrive à tirer de nous des sons ineffables. Il nous utilise comme Il veut. Faisons-Lui confiance parce que ce qu’Il fait de nos vies est parfait. Ne regardons pas à nos imperfections. Dieu sait ce qu’Il peut faire de nos vies.
Nos capacités, nos dons ne l’impressionnent pas. Il sait Lui, ce qu’Il veut faire. L’artiste, c’est Lui !
5/28/2020 • 3 minutes, 50 seconds
Misericordia Inexplicable - 365 Historias (180) Español
¿Puede Dios perdonarnos y limpiar nuestros pecados?
Esta pregunta nos las hacemos muchas personas, la misericordia de Dios es tan grande que nos perdona sin siquiera flaquear, nos ama tanto que perdona nuestras ofensas, sin siquiera merecerlo, la misericordia de nuestro amado Padre celestial es inexplicable, es extraña, pero su misericordia nos alcanzo y nos cubrio, haciendonos parte con Él y con su Hijo...
¡Dios te ama, Cristo te ama, y estan esperando a que des el primer paso para limpiar tu corazón!
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5/28/2020 • 4 minutes, 19 seconds
Un sac de pommes de terre !
Un professeur d’Institut Biblique devait apporter un enseignement sur le thème du pardon. « Pour le prochain cours », dit-il à ses étudiants, chacun de vous apportera un sac de pommes de terre ! Au jour J, chaque étudiant est invité à inscrire sur chacune des pommes de terre de son sac le nom d’une personne à qui il refuse de pardonner ! » Et l’enseignement pratique se poursuit : « Pendant le mois qui vient, ordonne le professeur, partout où vous irez, vous porterez votre sac de pommes de terre sur le dos, chacun le sien ! »
Un fardeau qui parut bien vite insupportable à l’ensemble des étudiants ! Et chacun de se rendre compte du poids spirituel de la rancœur qu’il portait en lui. Sans parler du degré d’énergie qu’il gaspillait en transportant son fardeau et du danger qu’il courait à laisser ce fardeau à un mauvais endroit… Puis, à mesure que les pommes de terre commençaient à pourrir, chacun comprit qu’il devait se débarrasser du sac au plus vite !
Écoutez ces paroles : Si vous pardonnez aux autres le mal qu’ils vous ont fait, votre Père qui est au ciel vous pardonnera aussi. Mais si vous ne pardonnez pas, votre Père ne vous pardonnera pas non plus le mal que vous avez fait, Matthieu 6 : 14-15.
Tel est le prix à payer quand on refuse de pardonner ! Le pardon n’est pas seulement un don que vous faites aux autres, c’est aussi -et surtout- un cadeau que vous vous faites à vous-même, car, en refusant de pardonner, un boulet s’attache à votre cœur : le bonheur et la bénédiction s’enfuient loin de vous. Qu’allez-vous donc faire du fardeau de fautes que vous refusez de pardonner ? Aimeriez-vous vraiment que Dieu vous pardonne avec le même enthousiasme que vous mettez à pardonner aux autres ?
Si cette idée vous gêne un peu, agissez dès aujourd’hui, avant le coucher du soleil.
C’est ainsi que mon Père céleste vous traitera, si chacun de vous ne pardonne à son frère de tout son cœur, Matthieu 18 : 21-35.
5/27/2020 • 3 minutes, 39 seconds
Escuchar La Voz De Dios - 365 Historias (52) Español
Una noche, un joven asistió a una reunión bíblica sobre lo importante que es escuchar la voz de Dios y obedecerla. Al término de la dicha reunión, el joven no podía dejar de preguntarse si verdaderamente Dios seguía hablándole a la gente.
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5/27/2020 • 5 minutes, 41 seconds
C’est la planche qui compte !
Voici une réflexion frappante faite par l’un des successeurs de Georges Müller dans la direction des orphelinats de Bristol à propos de « petite foi » et « grande foi ». Un jour que M. Allan, fondateur de la Mission parmi les Indiens de Bolivie, était venu visiter l’œuvre en compagnie de son épouse, celle-ci, à la vue des 5 immenses bâtiments, s’écria :
— M. Burton ! Il doit falloir une dose de foi peu ordinaire pour faire marcher tout cela !
— Madame, fut la réponse, une petite foi basée sur une planche solide me maintient au-dessus des flots, une grande foi basée sur une planche vermoulue me ferait faire naufrage.
Que votre foi soit fondée sur la puissance de Dieu, 1 Corinthiens 2 : 2 et 5.
5/27/2020 • 2 minutes, 9 seconds
De Regreso A Casa - 365 Historias (204) Español
Muchos cristianos han abandonado su casa espiritual por cualquier motivo, y la mayoria no vuelve por temor a que Dios no los reciba, en la historia de hoy veremos un caso parecido, un hombre que se fue de su hogar y al momento de regresar a casa se sentia inseguro por no ser recibido en la misma...
¡Dios nos ama y espera por sus hijos en su casa, nos recibira con amor y con los brazos abiertos, recibira a los que nunca han estado en su casa y a los que se han marchado, Dios nos espera de brazos abiertos y con su amor infinito!
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5/26/2020 • 6 minutes, 22 seconds
La parabole de l’horloge !
Une petite horloge réparée se mit à broyer du noir : « Voilà, dit-elle de sa mince voix métallique, je suis toute petite et pourtant, celui qui m’a faite m’a donné une tâche incroyable ! Il me condamne à faire 3 600 tic-tacs par heure, 86 400 par jour et 31 536 000 par an. Rien que d’y penser je suis à demi-morte ».
L’horloger qui rentrait, entendit la fin de ce discours, et, tout en la remontant, lui dit doucement :
— Tu as assez de force pour un seul tic-tac à la fois. Je ne t’en demande pas davantage.
Il y a longtemps de cela et l’horloge marche toujours. Dieu ne nous demande pas plus : accomplir maintenant le devoir de l’heure présente.
Ce qui paralyse tant d’être généreux, qui voudraient être magnifiques, c’est que tous ces êtres généreux voudraient faire, sans tarder, de grands bonds en avant. Peut-être, cela leur sera-t-il donné un jour. Mais, en attendant, qu’ils apprennent à commencer par de petits pas. Et surtout à continuer.
Voilà, n’est-ce pas, un bon moyen, le vrai moyen de faire la volonté de Dieu. Et d’être paisibles et heureux.
Ne vous inquiétez donc pas du lendemain ; car le lendemain aura soin de lui-même. À chaque jour suffit sa peine, Matthieu 6 : 34
5/25/2020 • 2 minutes, 34 seconds
Le bâtisseur ! (Une histoire vraie librement inspirée de la vie de George Cadbury).
Cette histoire s’adresse à tous et surtout à ceux qui aiment le chocolat. Qui n’a pas goûté ces merveilleuses tablettes de chocolat au lait, fourrées aux noisettes et aux raisins ?
L’homme qui a créé cette usine de chocolat était un homme qui aimait gagner. Aucune montagne n’était trop élevée pour lui. Mais ce qui était important pour lui, c’est que ce qu’il construisait soit durable. Ce n’était pas l’homme des châteaux de carte qui s’effondrent dès le moindre souffle de vent.
Sa première construction fut un château de sable. Un après-midi d’été, le soleil tapait fort sur cette plage du petit village de Blackpool. De nos jours Blackpool est une grande ville, mais à l’époque ce n’était qu’un petit village. Les « bâtisseurs professionnels » de châteaux de sable savent qu’il faut être nombreux pour construire un édifice imposant. Aussi le petit George invita-t-il toute sa famille à l’aider, dans la construction de sa première œuvre. Tout le monde s’était mis à l’œuvre. Les jeunes frères et sœurs, cherchèrent partout sur la plage les meilleurs matériaux de construction –les galets lisses et plats, l’argile le plus malléable, les coquillages entiers et de belles couleurs. Pendant que les uns cherchaient, lui et ses grands frères construisaient. Ils travaillèrent tout l’après-midi, sculptant, collant les coquillages, fignolant les créneaux, réfléchissant à la manière la plus efficace de construire un pont levis. A la fin de l’après-midi, l’œuvre, au fait le chef d’œuvre, fut achevé.
Mais est-ce qu’il tiendrait jusqu’au lendemain ? Le lendemain, la famille se précipita et le petit Georges vit que le château fort était toujours là, fier, et résistant aux vagues. La famille entière, s’était unie pour apporter un soin particulier à la construction de ce petit bijou.
Cela, fut une grande leçon pour Georges.
Quand il eut vingt-deux ans, son frère Richard prit la direction de l’usine familiale. Ils fabriquaient une confiserie bon marché, qui ressemblait au chocolat. A l’époque, c’était une minuscule usine, la plus petite du pays. Malgré tous ses efforts, au bout de trois ans, l’entreprise perdit tant d’argent, qu’ils étaient à deux doigts de fermer. L’entreprise était au bord de la faillite.
Alors Georges et son frère décidèrent de cesser la production de ce mélange bon marché. Comme pour le château fort, ils décidèrent de partir à la recherche d’ingrédients excellents. Leur devise devint « totalement pure ». Bien sûr que le chocolat allait être plus cher mais en contrepartie, il allait être excellent.
Leur effort paya. Beaucoup se mirent à acheter ce chocolat. Ils eurent tant de succès qu’ils ne pouvaient même plus honorer leur commande. Bientôt Georges fut à la tête d’une des plus grosses usines de chocolat du pays.
Pourtant, il ne fit pas fortune. Savez-vous pourquoi ? Son argent servit pour construire autre chose. Selon sa manière d’agir, il y travailla dur à la recherche de matière première d’excellente qualité. Mais là, ce n’était pas des choses matérielles, comme du cacao et du chocolat. Il s’agissait des choses spirituelles, telles qu’une foi pure, un amour pur et de l’espérance. George aimait Jésus, et son plus grand désir était d’annoncer l’évangile et d’emmener les gens à mener une vie sainte.
Et enfin la troisième et, la plus importante aux yeux de Georges Cadbury, est éternelle : c’est le Royaume de Dieu sur terre. C’est à cette construction qu’il consacra toute sa force, c’est celle qui était la plus chère à ses yeux
5/25/2020 • 6 minutes, 10 seconds
Dans quel type d'église un chrétien devrait se retrouver ?
J'ai été souvent sollicité pour aller dans une Méga-Church, et j'y suis allé, et j'ai vu beaucoup de choses étranges. J'ai été ancien dans l'une des grandes églises de Paris durant 10 années, et je vous raconte ...
Références des anciens qui dirigeaient l'église de Jérusalem : Actes 11 : 30 Actes 15 : 2, 6, 23 Actes 21 :18
Je vous montre ce qu'est "un ancien" dans une église locale, et comment cela devrait fonctionner ainsi que la gouvernance collégiale des anciens et les cinq ministères...
5/23/2020 • 14 minutes, 39 seconds
Il est interdit de pêcher depuis les balcons !
Etonnante non, cette petite phrase ! Avez-vous déjà vu une pancarte de ce genre sur la façade d’un grand hôtel ? Imaginez un bel hôtel 1900 avec vue sur la mer. Certaines chambres donnent carrément sur la mer et non pas sur la plage, mais sur la mer même ! Un grand hôtel qui a un grand restaurant, avec des grandes baies vitrées et qui donnent sur la mer. Les touristes aisés viennent y déguster du homard ou des soles meunières. Mais toutes les baies vitrées de cette salle à manger sont brisées. Pourquoi ?
Les touristes un peu farfelus essayaient de pêcher depuis les terrasses de leur chambre. Bien sûr, les lignes étant trop courtes et les plombs très lourds, se fracassaient contre les baies vitrées. Ces immenses baies vitrées coûtent très cher. Plus de 3 000 euros chacune ! Imaginez le budget « vitres cassées » de cet hôtel. Les propriétaires avaient tout essayé : des panneaux, des menaces de sanction, obligation de rembourser les fenêtres. Rien n’y faisait. Plus on interdisait, plus on menaçait, plus les touristes étaient rebelles et trouvaient mille manières de faire comme ils leur plaisaient, c’est-à-dire d’envoyer leur ligne pour pêcher depuis leur balcon. C’était même devenu un jeu.
En fin de compte, le propriétaire de l’hôtel, épuisé par cette lutte incessante, enleva les panneaux, les menaces, les sanctions. « Tant pis, se dit-il. Ça fera partie des pertes et profits. On va augmenter l’assurance ». Curieusement les problèmes cessèrent.
Avez-vous compris la leçon ? Plus on interdit, plus on a envie de faire la chose qu’on nous interdit. La loi fait ressortir la nature pécheresse en nous. C’est la loi qui a révélé le péché. Plus on nous dit que c’est mal, plus on a envie de faire les choses. Le péché nous conduit à la mort. Mais la loi n’est pas la solution.
Mais où est la solution ? me demanderez-vous. Comme l’apôtre Paul on peut crier :
Mais qui me délivrera de ce corps de mort, malgré mes bonnes résolutions, les lois que je m’impose, la discipline de fer. Non je n’y arrive pas.
La solution c’est comme le dit l’apôtre Paul :
Grâces soient rendues à Dieu par Jésus-Christ, notre Seigneur, qui nous délivre de la loi du péché et de la mort. La solution c’est Jésus, reconnaître que l’on est incapable de nous en sortir par nous-mêmes, reconnaître qu’Il a payé pour moi. Reconnaître que j’ai besoin de Lui.
Venez à Lui vous tous qui êtes fatigués et chargés (par le poids du péché et de la mort) et Il vous donnera du repos. Jésus est la réponse ! Il peut et veut nous rendre LIBRE ! L’accepteriez-vous ?
5/22/2020 • 3 minutes, 56 seconds
Communications
Le monde actuel dispose d’un réseau très complexe de moyens de communications : radio, TV, téléphone, télex, fax, Internet, Réseaux sociaux ... le tout retransmis par satellites.
Les évènements et les nouvelles se transmettent d’un bout du monde à l’autre au moment même où ils se déroulent. C’est ainsi que les hommes et ceux qui les dirigent diffusent leurs raisonnements, proposent leurs critères et imposent leurs choix.
Nos contemporains s’expriment en fonction et dans les termes de ce qu’ils ont entendu et vu, par ce qu’on appelle « les media ».
Qu’en est-il de nous chrétiens ? Nos références sont-elles basées sur telles ou telles sources d’information, du reste si souvent contradictoires, sinon mensongères ?
Soyons plutôt à l’écoute d’une autre voix, la seule qui mérite d’être écoutée et crue. La Bible nous fait entendre la voix divine, et le Saint-Esprit qui habite en nous, nous montre que Dieu conserve la haute main sur les événements qui bouleversent le monde. Sa Parole permet au chrétien de situer l’actualité dans la perspective de l’éternité. Les hommes pensent faire leur volonté et parvenir à leurs fins, mais Dieu tient tout dans sa main et soyons assurés qu’Il aura le dernier mot pour sa gloire et pour le bonheur des siens.
Ecoutez ma voix, soyez attentifs, écoutez ma parole. Esaïe 28 : 23.
Terre, terre, terre, écoute la parole de l’Eternel, Jérémie 22 : 29.
Bienheureux sont ceux qui écoutent la Parole de Dieu, Luc 11 : 28.
5/20/2020 • 2 minutes, 33 seconds
La grâce !
On se souvient de la vague de froid sibérien qui déferla sur la vallée du Rhône dans les premières semaines de janvier 1940 ; on ne reconnaissait plus l’Ardèche, tant la température était inaccoutumée ! Bientôt cependant le blizzard et la neige firent place à une lourde et tiède humidité : le sec Vivarais ruisselait maintenant de pluie et collait de boue ; le brouillard d’Angleterre nous ensevelissait vivants. J’eus à sortir un soir, à grand péril, tant le brouillard opaque rendait la circulation dangereuse pour les automobilistes. Il fallait longer le Rhône ; traverser un bourg et pénétrer dans le parc de l’hôpital municipal par une allée carrossable, laquelle était surélevée par rapport aux pelouses marécageuses.
Je manquai le virage, glissai sur le talus herbeux et m’embourbai. Que faire ? Le réservoir d’essence avait pris une telle inclinaison que le carburant n’alimentait plus le moteur. J’essayai de pousser la voiture : impossible ! J’allai chercher au bourg un bidon d’essence : le moteur tournait maintenant, mais en vain ; car les roues patinaient et la voiture s’embourbait de plus en plus. Il me fallut alors chercher le garagiste lui-même qui, malgré le brouillard et la nuit, consentit à venir dépanner la voiture avec chaîne, corde et auto. Ce fut peine perdue ! Après une heure de manœuvres inutiles, l’homme plia sa corde et alla se coucher. Quant à moi, j’en fus à me demander ce qu’il convenait de faire ! Faire quelque chose ? Mais il n’y avait plus rien à faire ! On dit que la nuit porte conseil. Soit ! Je décidai de rentrer chez moi par mes propres moyens. La voiture fut laissée là et, bientôt, je m’abandonnai au sommeil. On verrait bien demain !
À sept heures, le lendemain matin, coup de téléphone ! C’était l’hôpital municipal :
—Allô, allô ! Monsieur le pasteur ? — Oui.
— Votre voiture est dépannée.
— Mais qui a fait cela ?
—Au petit jour, le camion de la voirie est allé la chercher.
Tout heureux, je partis pour prendre livraison de mon bien et récompenser l’auteur du dépannage. Comme je sortais mon portefeuille :
—Non, dit le chauffeur, laissez cela.
— Mais, combien vous dois-je ?
— Rien du tout, c’est gratuit !
Parabole ! Vivant loin de Dieu, nous connaissons nous aussi la congélation sibérienne de notre vie profonde qui, bientôt, se dissout dans le brouillard le plus terne, la tristesse la plus morne et la boue du péché. Tous nos feux s’éteignent : toutes nos lumières ne suffisent plus à éviter l’accident. Alors, ça y est : nous voilà embourbés dans une situation impossible, totalement immobilisés dans la nuit ! Que faire ? D’abord, nous mettons tout en œuvre pour nous sortir de là selon nos propres forces : nous poussons au maximum toutes les ressources du moteur de notre volonté.
Souvent aussi, nous faisons appel aux possibilités (également humaines) d’autrui. Mais hélas, nous faisons l’amère expérience que nous n’avons pas à lutter seulement « contre la chair et le sang », comme dit l’apôtre Paul, mais bien contre des puissances surhumaines qui agissent obscurément en nous et nous enchaînent. Que faire alors ?....
Bonne écoute !
5/19/2020 • 6 minutes, 15 seconds
Trois croix !
Sur la croix centrale, on a cloué celui qu’on désigne comme le plus coupable. Or, cet homme est précisément le seul juste. Lui, qui n’a jamais commis le moindre péché donne sa vie pour expier les péchés des autres, les miens et les vôtres. Il aurait pu se soustraire à cet horrible supplice et remonter vers son Dieu.
Il ne l’a pas fait parce qu’il voulait sauver des coupables, subir la punition que vous et moi nous méritions.
Deuxième croix : voici un homme qui se tourne vers Jésus. Il reconnaît sa culpabilité et la sainteté de celui qui n’a rien fait de mal. Il l’appelle Seigneur et reconnaît sa dignité, Luc 23 : 40-42.
Mais, ce condamné est un malfaiteur. Qu’importe ! Le salut est pour tous. Il est pour : quiconque croit, Jean 3. 16. Alors, Jésus lui dit :
— Aujourd’hui, tu seras avec moi dans le paradis !
Sur la troisième croix, un autre condamné est crucifié. Il injurie le Seigneur et se moque de lui :
N’es-tu pas le Christ, toi ? Sauve-toi toi-même et nous aussi, Luc 23 : 39. Incrédule, il meurt loin de Dieu alors que le Sauveur était là, tout près de lui.
Jésus s’approche de vous. Il vous offre son salut. Vous n’avez qu’à tendre la main, la main de la foi.
Jésus sortit portant sa croix et s’en alla au lieu appelé lieu du crâne, qui se nomme en hébreu Golgotha. C’est là qu’il fut crucifié, et deux autres avec lui, un de chaque côté, et Jésus au milieu, Jean 19 : 17-18.
5/18/2020 • 2 minutes, 57 seconds
Que vos enfants soient fiers de vous !
Les parents sont la fierté de leurs enfants, Proverbes 17 : 6.
Vous qui êtes parents, rappelez-vous que votre intégrité (ou votre manque d’intégrité) aura des conséquences irrémédiables non seulement sur votre vie mais aussi sur la vie de vos enfants.
Il y a bien des années, grandissait en Allemagne un jeune garçon juif qui admirait beaucoup son père. Ce dernier avait bâti la vie de sa famille autour de sa religion et de sa foi. Chaque semaine, il les emmenait tous à la synagogue. Lorsque le garçon eut dix ans, la famille fut forcée de déménager et d’aller vivre dans une autre ville, dépourvue de synagogue. Tous les gens importants de la ville allaient à l’église Luthérienne, la seule église de cette ville. Soudain, le père du garçon déclara qu’ils allaient tous devenir Luthériens, ajoutant que ce serait excellent « pour leurs affaires ». Le garçon en fut profondément marqué. Il en voulut à son père et plus tard décida de quitter l’Allemagne pour continuer ses études en Angleterre. Il se mit à passer ses journées au British Museum, réfléchissant et formulant ses idées dans un livre où il décrivait un nouvel ordre social et imaginait un nouveau concept politique qui allait entraîner plus tard misère et souffrances pour des millions d’êtres humains. Sa philosophie allait devenir la base de réflexion de la moitié des gouvernements de notre planète. Ce garçon s’appelait Karl Marx, le père du communisme. L’histoire de notre époque a été affectée à jamais par un père qui « vendit » ses principes pour un bénéfice temporaire.
Vous qui êtes parents, vivez une vie intègre devant vos enfants et vous n’aurez rien à craindre ! Faites que votre vie soit un livre ouvert dans lequel vos enfants pourront lire sans arrière-pensée. Etablissez un système de valeurs capables de régir chaque aspect de votre vie. Bien sûr, vous êtes humains tous les deux, père et mère et parfois, vous vous débattrez dans des situations qui exigent que vous fassiez un choix entre ce que vous voulez faire et ce que vous devez faire. Mais marchez avec Dieu, la main dans la main, défendez votre intégrité coûte que coûte et vous découvrirez que vous êtes capables, chaque fois, de faire le bon choix !
5/17/2020 • 3 minutes, 39 seconds
Non, jamais seul !
Il y avait un couple athée qui avait un enfant. Le couple n'avait jamais dit quoi que ce soit à leur fille au sujet du Seigneur Jésus. Une nuit, quand la petite fille avait 5 ans, les parents se battirent entre eux et le papa tira une balle de revolver sur la maman, juste devant l'enfant. Puis, le père retourna l’arme contre lui et se suicida. La petite fille regardait tout cela. Elle fut ensuite envoyée dans un foyer d'accueil. La mère adoptive était chrétienne et amena l'enfant à l'église. Le premier jour à l'école du dimanche, la mère adoptive dit au professeur que la fillette n'avait jamais entendu parler de Jésus et lui demanda d’avoir de la patience avec elle.
L'enseignant montra une image de Jésus et demanda : « Est-ce que quelqu'un sait qui c'est ? » La petite fille prit la parole : « Je sais, c'est l'homme qui se tenait près de moi, la nuit où mes parents sont morts. »
Le SEIGNEUR protège les immigrés, il soutient l’orphelin et la veuve, mais déroute les pas des méchants, Psaumes 146 : 9.
5/15/2020 • 2 minutes, 9 seconds
Parabole : la tapisserie
Cette tapisserie encore en chantier, c’est ma vie ; tendue sur un cadre rigide, ses fils de chaîne solidement amarrés, elle s’élabore au jour le jour.
L’artisan travaille sans relâche et son modèle est, dit-on, de toute beauté. Pourtant, il échappe à mon regard, défie ma curiosité. Pire encore, je ne distingue pas, dans l’enchevêtrement des fils et dans la diversité des couleurs, de ligne directrice ni d’indice sûr qui me permette d’anticiper l’œuvre achevée : des brins de laine pendent çà et là, des nœuds jaillissent, disgracieux, certains motifs paraissent s’interrompre. En outre, pourquoi avoir mis cette teinte sombre, juste à cet endroit ?
Et puis, non ! Qui suis-je pour contester ? N’ai-je pas décidé, une fois pour toutes, de remettre la trame de ma vie au souverain Tisserand et de lui faire confiance ? Comment ai-je pu oublier : ce qui heurte mon regard et paraît décevoir mon attente, ce n’est que l’ENVERS de l’ouvrage. De l’autre côté, l’Artiste, dans son chantier de lumière, sait à quoi il travaille et il veillera à me conformer au Modèle.
L’argile dit-elle à celui qui la façonne : que fais-tu ? Isaïe 45 : 9.
5/14/2020 • 2 minutes, 24 seconds
Un mal irréparable !
Un homme pieux s’en allait mourir, lorsqu’il vit son voisin Jean entrer dans sa chambre d’un air triste et humilié et lui dire :
—Je viens d’apprendre à l’instant que tu es bien mal et je ne puis te laisser partir ainsi. Il y a quelque chose qui me tourmente ; tu sais ce que c’est : je me suis toujours laissé aller à dire des méchancetés contre toi. Je ne le faisais pas dans une mauvaise intention mais j’y prenais un malin plaisir, parce que tu étais chrétien ; je sais que tu en as souffert et que même cela t’a fait du tort. Maintenant, je le regrette de tout mon cœur. Peux-tu me pardonner ?
Le malade l’écouta avec émotion et répondit :
—Oui, Jean, je te pardonne volontiers. Il est vrai que bien des fois tu m’as profondément blessé et que tu m’as fait manquer des occasions de travail ; mais c’est passé maintenant. Je suis heureux que tu aies reconnu ton tort et, encore une fois, tout est pardonné. J’ai cependant un désir à t’exprimer.
—Lequel ? dit Jean. Je suis prêt à tout !
—Alors, je désire que tu prennes mon oreiller de plume et que tu ailles le vider du haut du clocher de l’église.
Les assistants se regardèrent avec étonnement, et la femme du mourant lui demanda si c’était bien cela qu’il voulait dire. Il fit un signe de tête si sérieux qu’il n’y avait pas à s’y méprendre.
Aussi Jean alla-t-il s’acquitter de sa singulière commission ; il monta sur le clocher du village, secoua soigneusement l’oreiller et vit les innombrables petites plumes emportées par le vent se répandre de tous côtés. Puis il rapporta le sac vide au moribond.
—Bien, lui dit celui-ci ; maintenant, encore quelque chose et je serai content ! Prends cette taie et va ramasser toutes les plumes qui y étaient jusqu’à ce qu’elle soit remplie.
Jean regarda le mourant d’un air interrogateur. Mais, au bout d’un instant, il comprit et baissa les yeux. Puis, tristement, il regarda de nouveau son ami, qui lui dit encore :
—Tu vois, Jean : c’est la même chose avec la médisance :
Les paroles sont vite prononcées et elles se répandent au loin. Et puis, quand on veut réparer le mal qu’on a fait, ce n’est plus possible, c’est trop tard ! Je pars sans aucune amertume contre toi, puisque tu regrettes de t’être laissé aller, mais le tort que tu m’as fait n’est plus réparable. Que Dieu te garde à l’avenir ! Et maintenant, adieu !
Je crains à mon arrivée […] de trouver des médisances, des calomnies, 2 Corinthiens 12 : 20.
5/13/2020 • 3 minutes, 50 seconds
Un cœur plein d’amertume !
Une dame d’un certain âge avait non seulement le cœur brisé mais déjà infecté, plein d’amertume, dévoré même par la jalousie. Elle ne pouvait plus sortir de ce cercle infernal. Elle prit rendez-vous avec le docteur Tournier de Genève. Je le cite :
« Je me mets tout simplement à lui parler de Jésus-Christ, du pardon, de la sérénité qu’on trouve dans l’abandon. Elle me regarde avec un étonnement grandissant. Bientôt, elle se met à pleurer et puis à prier pour apporter tous ses mauvais sentiments à Dieu et lui demander de la libérer. Elle me quitte, toute douce et souriante. J’étais encore plus ému qu’elle… »
Tant que je me suis tu, mes os se consumaient, Je gémissais toute la journée ;
Car nuit et jour ta main pesait sur moi, Ma vigueur n’était plus que sécheresse, comme celle de l’été. (Pause.)
Je t’ai fait connaître mon péché, Je n’ai pas couvert ma faute ; J’ai dit : Je confesserai mes transgressions à l’Éternel ! Et toi, tu as enlevé la faute de mon péché, Psaumes 32 : 3-5.
Si nous avouons nos fautes, nous pouvons nous fier à Dieu : il nous purifiera, 1 Jean 1 : 9.
5/12/2020 • 2 minutes, 16 seconds
Comment ai-je succombé à la tentation ?
Après plusieurs mois d’instruction concernant les diverses fonctions d’infirmier militaire, les cours se terminaient par un grand examen général où les meilleurs étaient récompensés en se voyant attribuer des grades militaires. Le jour des épreuves, nous étions tous dans le même endroit, avec un seul chef surveillant militaire. Il nous posait les questions et nous devions répondre par écrit. Mais quelque chose d’inattendu et d’anormal se produisit sous mes yeux.
Beaucoup de mes camarades se mirent à tricher ; ils sortaient de leurs sacs cahiers et livres et répondaient ainsi aux questions posées, sans que notre surveillant ne réagisse.
J’étais outré ; j’avais bien révisé mes cours, mais concernant une question posée, il y avait un petit détail qui m’échappait. Devant cette marée de tricherie, je me laissai entraîner pour répondre à ce détail et, ouvrant quelques secondes mon cahier, je volai le détail dont j’avais besoin. C’était si peu par rapport aux autres. Mais peu ou beaucoup, j’avais triché moi aussi et ce n’était pas du tout dans mes habitudes.
Alors, ma conscience, qui n’était pas « élastique » (Dieu merci), me tourmenta avec raison, jusqu’à ce que j’aille trouver notre chef, pour lui avouer ma faute. Sa surprise (et son étonnement) fut telle qu’il en resta un moment muet comme une carpe, tandis que le repentant retrouvait la paix qui vaut plus que tout. L’apôtre Paul ne disait-il pas lui-même :
Ce qui fait notre gloire, c’est ce témoignage de notre conscience,
2 Corinthiens 1 :1 2.
Celui qui cache ses transgressions ne prospère point, mais celui qui les évoque et les délaisse obtient miséricorde, Proverbes 28 : 9-13.
5/10/2020 • 2 minutes, 46 seconds
Conscience du Peau-Rouge !
« Oui, je sais ce que c’est que la conscience », disait un Peau-Rouge. « C’est une petite chose en forme de triangle au-dedans d’ici ; ça s’arrête quand je fais bien, mais quand je fais mal, ça tourne et les coins me font mal. Si je continue à mal faire, les coins s’usent et ça ne me fait plus mal. »
Dieu a doté chaque être humain d’une conscience, cette connaissance intérieure que chacun a de ce qui est bien et de ce qui est mal et qui le pousse à porter un jugement de valeur sur ses propres actes.
Nous sommes malheureusement dans un temps où la conscience est comme étouffée. Souvent on ne veut plus l’écouter.
5/8/2020 • 2 minutes, 49 seconds
Michel Faraday
Michel Faraday, celui qu’on a appelé « le père de l’électricité », est né en 1791. Fils d’un petit forgeron de Londres, il parvint à faire des études scientifiques grâce à une persévérance extraordinaire, servie par une haute intelligence. Il se distingua surtout dans le domaine de l’électromagnétisme et il ouvrit le chemin à la production du courant électrique.
Mais Faraday possédait quelque chose de beaucoup plus précieux que la célébrité : il connaissait le Seigneur Jésus comme son Sauveur et ne manquait pas une occasion de lui rendre témoignage. La parole de Dieu était sa grande référence.
« Le plan du salut, disait-il, est si simple que chacun peut le comprendre. L’amour que nous avons pour le Seigneur est la réponse à celui que Lui-même a montré envers nous sur la croix ».
Un de ses biographes a dit de lui : « Son devoir avait toujours comme base la révélation de la volonté de Dieu dans sa Parole écrite. Arrivé au sommet de sa renommée mondiale, ce savant ne cessa de prêcher l’évangile ; la dernière fois qu’il le fit en public, ce fut en Ecosse, et on a dit de lui à cette occasion que :
Son visage rayonnait comme celui d’un ange ».
Ce grand savant termina sa vie en 1867. Il avait l’habitude de dire que de toutes les découvertes qu’il avait faites, il n’y en avait pas de plus grande que celle de l’Evangile.
L’électricité ne profite que pour cette vie, disait-il, mais le salut de Dieu garde sa valeur pour l’éternité.
Car je n’ai pas eu la pensée de savoir parmi vous autre chose que Jésus-Christ, et Jésus-Christ crucifié […] Que votre foi fût fondée, non sur la sagesse des hommes, mais sur la puissance de Dieu, 1 Corinthiens 2 : 2, 5.
5/6/2020 • 3 minutes, 6 seconds
La nuit du destin !
En 1991, pendant le ramadan, un jeune musulman de l’île Kalimantan en Indonésie (ex Bornéo) eut un rêve qui le perturba. Il rêva qu’il était assis sur une chaise, et ses bras y étaient attachés par des cordes. Un homme, qu’il reconnut comme étant Jésus, vint vers lui. Jésus toucha les cordes et elles tombèrent de ses bras. Jésus lui dit :
— Cherche la potence.
— Quelle potence ? demanda-t-il
Mais Jésus répéta simplement :
— Cherche la potence.
Le jeune homme se réveilla de son rêve, se demandant qu’elle pouvait en être la signification, mais au bout de quelques jours, il l’oublia, et sa vie continua.
Deux ans plus tard, durant le ramadan en 1993, il eut un autre rêve. Cette fois, Jésus vint vers lui en lui disant :
— Je t’avais dit de chercher la potence. Pourquoi n’as-tu pas fait ce que j’ai dit ?
Le jeune homme répondit :
— Où est la potence, et comment puis-je la trouver ?
Jésus lui indiqua une colline très éloignée et dit :
— Va, cherche la potence.
Dans son rêve, il courut dans la direction que Jésus lui avait indiquée. Il lui sembla parcourir des kilomètres au milieu des épines et de la jungle épaisse. Epuisé, il finit par arriver à une clairière, et là, devant lui, une croix était dressée. C’était la potence que Jésus lui avait demandé de chercher !
Le jour suivant, le jeune homme alla voir le chef de la mosquée et lui raconta ses étranges rêves. Il demanda à l’imam s’il connaissait la signification de la croix. L’imam répondit :
—Cherche la vérité.
— Le Jésus des chrétiens est-il la vérité ? demanda-t-il.
Mais l’imam répéta simplement :
— Cherche la vérité.
La nuit suivante, le jeune homme rêva à nouveau, et cette fois, il vit un cimetière chrétien -parce que devant toutes les tombes, il y avait une croix. Alors qu’il regardait les tombes, celles-ci s’ouvrirent tout à coup, et ceux qui étaient enterrés s’élevèrent vers le ciel où Jésus les attendait. Il cria à Jésus qu’il n’était pas prêt parce qu’il n’avait pas encore la croix ! Il se réveilla de son rêve très perturbé. Il connaissait une petite église près de son village et alla y trouver le pasteur. Le jeune homme demanda si le pasteur pouvait l’aider à comprendre ses rêves. Le pasteur lui donna une Bible et l’ouvrit à Jean 14 : 6. Jésus lui dit : Je suis le chemin, la vérité et la vie.
Ce jeune homme commença à venir à l’église durant plusieurs semaines avant de donner enfin sa vie au Seigneur Jésus. « Le chemin, répondit Jésus, c’est moi (parce que) Je suis la vérité et la vie. Personne ne parviendra jusqu’au Père sans passer par moi ».
5/6/2020 • 3 minutes, 50 seconds
Une tasse de thé !
Mme C. était désireuse de trouver le salut. Un évangéliste étant de passage dans sa localité, elle le pria de la visiter car elle désirait le questionner et réclamer son aide.
Tout en lui servant une tasse de thé, elle lui dit comment elle priait avec insistance depuis longtemps pour recevoir le salut, mais sans résultat. Pour toute réponse, le serviteur de Dieu s’écria :
— Oh ! Madame, j’ai terriblement soif ; voudriez-vous avoir l’obligeance de m’offrir une tasse de thé ?
Stupéfaction de l’hôtesse, répondant aussitôt :
— Mais, Monsieur, vous êtes servi ? La tasse est là, devant vous. Il vous suffit de la prendre !
L’entretien se poursuivit, la dame revenant sans cesse à ses problèmes, l’évangéliste l’interrompant encore une ou deux fois pour réclamer une tasse de thé, tandis que celle qui lui avait été servie refroidissait devant lui.
Finalement, Mme C. comprit : ce salut qu’elle réclamait à grands cris, il était déjà à sa disposition, il lui suffisait de s’en emparer ! Ce qu’elle fit sans attendre…
Oui, notre salut a été parfaitement accompli par Jésus-Christ à la croix. Il est, depuis lors, offert à tous. Comment le recevoir ? C’est très simple : il suffit de reconnaître son état de péché, son incapacité à « se sauver soi-même », et d’accepter dans la reconnaissance le grand salut que Dieu donne à ceux qui se repentent et croient.
5/5/2020 • 2 minutes, 24 seconds
Albums de photos
Aimez-vous regarder vos anciens albums de photos ? L’autre jour, j’en ai feuilleté plusieurs ; cela m’a rappelé beaucoup de bons moments passés en famille, des paysages de mon enfance, tant de visages aimés…
En général, nous aimons conserver un souvenir photographique des meilleurs instants de la vie, mais personne n’aurait l’idée de se faire prendre en photo quand ce n’est pas à son avantage et de garder trace de ses mauvais moments : une colère par exemple. Aimeriez-vous qu’un album remette sous vos yeux tous les péchés que vous avez commis ? Vous ne le regarderiez pas souvent et encore moins le montreriez-vous à d’autres. Eh bien, Dieu enregistre nos vies tout entières. Il connaît toutes nos actions, nos paroles et même nos pensées. Il se souvient de chaque détail et jugera chaque vie humaine.
Heureusement, tout notre passé coupable peut être effacé. Ces fautes que nous avons oubliées, mais qui chargent notre conscience, comme celles dont le souvenir nous afflige longtemps après, peuvent être complètement ôtées. Dieu ne se souviendra plus d’aucune d’elles.
Comment est-ce possible ? Par le sang de Christ. Nous étions condamnés, mais le Fils de Dieu est mort sur la croix à la place de ceux qui se confient en Lui. Sa vie offerte a répondu à la justice et à la sainteté de Dieu.
Il a fait la paix par le sang de sa Croix, Colossiens 1. 20. Maintenant, Dieu pardonne et reçoit tous ceux qui viennent à Lui par Jésus.
J’ai effacé… comme une nuée, tes péchés, Esaïe 44 : 22.
Le sang de Jésus-Christ, son Fils, nous purifie de tout péché, 1 Jean 1 : 7.
5/3/2020 • 3 minutes, 1 second
Pour moi, j’espérerai toujours !
Henri avait 6 ans. Ses parents étaient des chrétiens fidèles et convaincus. Ils avaient tout naturellement enseigné les grandes vérités de la Bible à leur petit garçon. Henri était assidu à l’école et il avait beaucoup de bons camarades. Il menait donc une vie d’enfant plutôt harmonieuse et jouissait du privilège de grandir dans une famille heureuse et unie.
Mais soudainement cette vie de famille gaie et paisible fut changée en drame. Le petit Henri fut atteint d’une maladie grave qui pouvait mettre ses jours en danger. Après un assez long séjour à l’hôpital, les médecins n’osaient toujours pas se prononcer sur l’issue de cette terrible épreuve. Bien entendu, les parents d’Henri priaient avec ferveur pour la guérison de leur petit garçon bien-aimé. Leurs amis chrétiens partageaient leur inquiétude et se joignirent à eux pour demander à Dieu une intervention de sa toute-puissance.
Un jour lorsque le petit Henri, toujours dans son lit d’hôpital, parlait au téléphone avec son meilleur camarade de jeu, il dit : « Tu sais, je crois que je vais bientôt rentrer à la maison chez papa et maman. En tout cas, je l’espère bien. Mais si jamais je ne rentre pas chez eux, je rentrerai à la maison de Dieu. »
Quelques jours plus tard, le petit Henri s’éteignit paisiblement dans son lit d’hôpital, laissant ses parents et ses camarades dans une immense tristesse et avec la question lourde et pesante : pourquoi ? Oui, pourquoi Henri devait-il mourir si jeune ? Pourquoi Dieu ne l’avait-il pas guéri ?
Ici-bas, il y aura toujours des questions qui resteront sans réponse. Parfois, nous avons peut-être un élément de réponse. Dans d’autres cas, tout semble inexplicable, incompréhensible et totalement dénué de sens. Pourtant, les paroles que le petit Henri adressa à son meilleur camarade au téléphone expriment bien la nature de l’espérance du chrétien. En effet, Henri avait d’abord un espoir humain et tout à fait légitime. C’était de pouvoir bientôt rentrer chez son papa et sa maman. Mais malgré son jeune âge, il avait compris la gravité de la situation. C’est pour cela qu’il ajouta que si jamais cet espoir ne se réalisait pas, il avait une autre espérance. « Alors je rentrerai à la maison de Dieu », disait-il.
C’est le psalmiste dans la Bible qui dit : Pour moi, j’espérerai toujours. Comment pouvait-il dire une chose pareille ? Il savait très bien que certains de nos espoirs terrestres ne se réaliseraient pas. Il savait que toutes nos attentes ne seraient pas comblées. Il connaissait probablement le témoignage de Job qui disait : J’attendais le bonheur, mais le malheur est arrivé ; j’espérais la lumière, mais les ténèbres sont venues. Pourtant, le psalmiste pouvait dire qu’il espérerait toujours car, exactement comme le petit Henri, il avait une autre espérance qui allait au-delà de toutes les attentes terrestres.
Savez-vous que dans la Bible, Jésus-Christ est appelé « notre espérance » ? En mettant votre confiance et votre espoir en Lui comme Sauveur et Seigneur, vous ne serez jamais totalement sans espérance. Vous aurez vous aussi cette autre espérance qui ne dépend plus des circonstances d’ici-bas. Et malgré les questions qui resteront sans réponse, vous pourrez dire vous aussi :
Pour moi, j’espérerai toujours ! Psaumes 71 : 14
5/2/2020 • 4 minutes, 39 seconds
Il s’aperçut que l’eau le portait !
Un visiteur se promenait sur un endroit escarpé du rivage de la mer Morte, quand il perdit l’équilibre et glissa dans l’eau. Il ne savait pas nager et, pour ne pas s’enfoncer et se noyer, il se mit à se débattre dans tous les sens et de toutes ses forces. Mais il finit par s’épuiser et vit qu’il n’y avait rien à faire. C’est alors qu’il s’aperçut que l’eau le portait : en effet, les minéraux et le sel contenus dans la mer lui confèrent une densité telle, qu’en restant calme, sans bouger, il découvrit qu’il flottait.
Spirituellement, il en est de même pour nous ; cessons de gesticuler et de nous débattre dans de stériles efforts et abandonnons-nous avec confiance en Dieu qui nous aime et qui soutient toutes choses.
Ne t’ai-je pas dit que si tu crois, tu verras la gloire de Dieu ?
Jean 11 : 40
5/1/2020 • 1 minute, 58 seconds
La burette d’huile
On raconte l’histoire d’un homme à cheveux blancs qui, où qu’il aille, portait toujours avec lui une petite burette d’huile. S’il passait par une porte quelconque dont les gonds grinçaient, il en mettait quelques gouttes. Si l’on avait de la peine à ouvrir un portail de fer, il huilait la serrure. Et c’est ainsi qu’il avançait dans son voyage terrestre, mettant partout un peu de douceur et facilitant la vie à ceux qui venaient après lui.
Dans ce monde, bien des vies grincent… et c’est avec beaucoup de peine qu’elles avancent, jour après jour. Il semble que tout y aille de travers. Oh, elles ont besoin de quelques gouttes de joie, de bonté, de douceur. Avez-vous toujours avec vous votre burette d’huile ? Dès le matin, vous apprêtez-vous à en verser un peu dans la vie de la personne avec laquelle vous vivez ? Un seul acte d’amour peut adoucir pour elle la journée entière : l’huile de l’encouragement, pour un cœur lassé, peut-être…
Nous touchons certaines vies une fois seulement dans notre voyage ici-bas, et puis notre route s’éloigne de la leur, pour ne plus jamais les rencontrer. Que de vies ont été encouragées, bénies, sauvées d’une catastrophe même, par quelques gouttes d’huile de l’amour : une parole douce, un sourire, une poignée de main, aplanissant ainsi le chemin pour l’arrivée du Sauveur dans des cœurs endurcis et fermés.
Un mot aimable est comme un rayon de soleil sur un cœur triste.
Par amour fraternel, soyez pleins d’affection les uns pour les autres ; par honneur, usez de prévenances réciproques, Romains 12 : 9.
4/30/2020 • 2 minutes, 44 seconds
Rêve
Un jeune homme entre en rêve dans un magasin. Derrière le comptoir se tient un ange. Le jeune homme lui demande :
—Que vendez-vous ?
L’ange lui répond :
— Tout ce que vous désirez.
Alors, le jeune homme commence à énumérer :
— Si vous vendez tout ce que je désire, alors j’aimerais bien : la fin de la guerre dans le monde, la fin des bidonvilles en Amérique latine, l’intégration dans la société de tous les marginaux, du travail pour tous les chômeurs, plus d’amour et de vie communautaire dans l’Eglise…
L’ange lui coupe la parole :
— Excusez-moi, Monsieur, vous m’avez mal compris, ici nous ne vendons pas de fruits, nous ne vendons que les graines.
Dans l’Evangile de Jean, chapitre 12 : 24, notre vie spirituelle est comparée à une graine ou un grain de blé :
En vérité, en vérité, je vous le dis, si le grain de blé qui est tombé en terre ne meurt, il reste seul ; mais, s’il meurt, il porte beaucoup de fruit. Celui qui aime sa vie la perdra, et celui qui hait sa vie dans ce monde la conservera pour la vie éternelle.
Beaucoup de gens cherchent les fruits sans passer par la mort et nous devons déjà commencer par mourir à nous même, c’est-à-dire renoncer à nos plans et à notre volonté pour chercher le plan et la volonté de Dieu. Les hommes veulent toujours avoir des fruits mais ils n’acceptent pas d’avoir le rôle de la graine qui doit mourir. Or, nous devons mourir à nous-mêmes exactement comme a fait Jésus, qui a renoncé à faire ses plans pour faire la volonté de son père céleste. L’exemple de Jésus l’a démontré toute sa vie, mais il y a un exemple bien spécifique dans ce passage. Nous retrouvons Jésus en agonie, la crucifixion vient, il est dans le jardin de Gethsémané, Matthieu 26 : 38 – 39.
Il leur dit alors : Mon âme est triste jusqu’à la mort ; restez ici, et veillez avec moi.
Puis, ayant fait quelques pas en avant, il se jeta sur sa face, et pria ainsi : Mon Père, s’il est possible, que cette coupe s’éloigne de moi ! Toutefois, non pas ce que je veux, mais ce que tu veux.
Et là, nous aurons des fruits…
4/29/2020 • 3 minutes, 1 second
À qui s’adresser
Un noble Irlandais, religieux, employait à son service un cultivateur chrétien. Celui-ci avait emprunté à ce maître une importante somme d’argent qu’il était incapable de lui rendre. Le paysan s’adressa tour à tour à un employé subalterne, puis à un responsable plus important pour obtenir un dégrèvement. Mais en vain. Prenant son courage à deux mains, le chrétien présenta directement sa requête à son maître, en lui exposant, sans détour, sa situation critique. Son honnêteté et sa façon très naturelle de parler touchèrent le cœur du noble qui lui remit entièrement sa dette.
En repartant, son maître l’accompagna à travers le vestibule aux murs garnis de peintures de saints et de martyrs :
— Sais-tu ce que représentent ces tableaux, questionna le noble.
— Non.
— Ce sont des images de saints que je prie d’intercéder en ma faveur auprès de Dieu pour le pardon de mes péchés.
— Mais pourquoi ne vous adressez-vous pas directement au Seigneur de la Création ?
— Ce serait trop osé. Il vaut mieux avoir des intermédiaires, comme ces saints, entre Dieu et les hommes.
— Eh bien, moi, je ne le pense pas. Monseigneur, et je veux vous le prouver. Je me suis d’abord adressé, dans mon besoin, à vos employés pour qu’ils interviennent pour moi auprès de vous. Mais rien n’y fit. Ensuite j’ai présenté ma requête à un de vos employés supérieurs. Mais aussi en vain. Finalement, je me suis tourné directement vers vous et vous m’avez remis toutes mes dettes.
Cet humble chrétien avait bien compris l’enseignement des Écritures :
Il y a un seul Dieu et un seul médiateur entre Dieu et les hommes, Jésus-Christ.
La Bible condamne le culte des anges et l’apôtre Pierre lui-même refuse énergiquement l’adoration que l’officier romain Corneille voulait lui rendre : Lève-toi, moi aussi je suis un homme.
Jésus nous connaîtrait-il moins intimement qu’un ange ou un Saint ?
Car nous n’avons pas un souverain sacrificateur qui ne puisse compatir à nos faiblesses ; au contraire, il a été tenté comme nous en toutes choses, sans commettre de péché. Approchons-nous donc avec assurance du trône de la grâce, afin d’obtenir miséricorde et de trouver grâce, pour être secourus dans nos besoins, Hébreux 4 : 15-16.
Il y a un seul Dieu, et aussi un seul médiateur entre Dieu et les hommes : Jésus-Christ, 1 Timothée 2 : 5-6.
4/28/2020 • 3 minutes, 54 seconds
Vous me chercherez
Charles Finney naquit en 1792 dans le Connecticut (États-Unis).
Son éducation religieuse fut négligée à tel point qu’il n’eut connaissance des vérités évangéliques qu’à l’âge de 26 ans, quand il commença ses études de droit. Et encore, ces vérités lui furent présentées par une église qui n’avait plus de vie !
Finney désirait passionnément connaître la Vérité. Il assistait aux réunions de prière, mais il ne tarda pas à constater avec surprise que les prières n’étaient pas exaucées, et que même, on ne s’attendait pas à ce qu’elles le soient ! Si bien que lorsqu’on lui demanda s’il désirait que l’on prie pour lui, il répondit : « Non, car je ne vois pas que vos prières soient exaucées ».
Dès cet instant, il ne voulut plus d’autre guide que la Parole de Dieu, qu’il étudiait avec ardeur.
L’intelligence de ce jeune avocat avait saisi la vérité, mais son cœur n’était point encore gagné, lorsqu’un dimanche d’automne 1821, il prit la ferme résolution de donner son cœur à Dieu.
Après une lutte intense, dans un bois où il s’était caché avec soin, son orgueil lui fut révélé ; il l’abandonna alors avec force et détermination. « Je ne quitterai pas ce lieu, se dit-il, quand même tous les hommes du monde et tous les diables de l’enfer s’assembleraient pour me regarder ! Eh quoi ? Un pécheur dégradé, comme je le suis, aurait-il honte d’être surpris par un autre pécheur, implorant à genoux la miséricorde de son Dieu ? Non, non ! Ce serait un trop grand péché ! »
Son cœur se brise, toutes ses résistances cèdent, et cette Parole de l’Écriture lui revient à l’esprit :
Vous me chercherez et vous me trouverez si vous me cherchez de tout votre cœur, je me laisserai trouver par vous dit l’Eternel, Jérémie 29 : 13.
4/27/2020 • 3 minutes, 6 seconds
Courage moral Le vrai courage
Me promenant un soir sur la plage, je rencontrai un soldat avec lequel j’engageais une conversation.
— Il est une chose, lui dis-je, qui m’étonne chez le soldat.
— Quoi donc. Monsieur ?
— Il est brave et parfois téméraire, et pour lui le terme le plus injurieux est celui de lâche. Il y a des soldats qui se feraient tuer à la bouche d’un canon, et qui, cependant, n’oseraient pas le soir s’agenouiller dans leur caserne pour demander la protection de Dieu.
Le soldat resta pensif, et, après un moment de silence répondit :
— C’est vrai. Monsieur. Mais cela me rappelle ce qui s’est passé il y a quelques semaines dans ma compagnie. Un jeune camarade, le premier soir qu’il se trouvait dans notre chambrée, s’agenouilla devant son lit avant de se coucher. Il n’eut pas plus tôt commencé sa prière qu’il se fit un vacarme terrible autour de lui. On lui lança à la tête des képis, des ceinturons, toutes sortes de projectiles, mais rien ne put l’interrompre ni le faire bouger. Le soir suivant, le moment venu, on cria de tous côtés : « Encore, encore ! » Mais tout cela ne l’empêcha pas de se mettre à genoux comme d’habitude et de faire sa prière.
Cette scène se répéta plusieurs jours, mais à la fin les autres soldats, voyant que le jeune homme tenait ferme, se mirent à le respecter, et plusieurs, même, suivirent son exemple.
J’honorerai ceux qui m’honorent a dit Dieu,1 Samuel 2 : 30.
Résistez au Diable, et il s’enfuira loin de vous, Jacques 4 : 7.
Je n’ai point honte de l’Évangile, C’est la puissance de Dieu pour quiconque croit, Romains 1 : 16.
4/25/2020 • 2 minutes, 56 seconds
Ce n’était pas la bonne prière
Un enfant terrible ne se calmait que le soir, au moment de faire sa prière. Un soir, un ami de ses malheureux parents, venu à la maison, l’interrogea :
— Sans doute pries-tu Dieu de te rendre plus sage ?
— Non, répondit l’enfant. Je lui demande de rendre maman plus patiente.
Au fond, ce n’était qu’un enfant. Mais nous, qui sommes adultes, sommes-nous vraiment plus raisonnables que lui lorsque nous demandons à Dieu de transformer ceux qui nous posent des problèmes au lieu de Le prier de changer notre cœur ? Nous voudrions que les autres nous supportent tels que nous sommes. Nous ne manifestons aucun signe de repentir ni de désir d’être transformés par la puissance de l’Esprit de Dieu. Notre prière ne peut pas être alors agréable à Dieu.
Nous devrions lui dire, avec sincérité, comme le fît David :
Les sacrifices qui sont agréables à Dieu, c’est un esprit brisé : O Dieu ! Tu ne dédaignes pas un cœur brisé et contrit, Psaumes 51 : 19.
D’où viennent les luttes, et d’où viennent les querelles parmi vous ? N’est-ce pas de vos passions qui combattent dans vos membres ?
Vous convoitez, et vous ne possédez pas ; vous êtes meurtriers et envieux, et vous ne pouvez pas obtenir ; vous avez des querelles et des luttes, et vous ne possédez pas, parce que vous ne demandez pas.
Vous demandez, et vous ne recevez pas, parce que vous demandez mal, dans le but de satisfaire vos passions, Jacques 4 : 1-3
4/24/2020 • 2 minutes, 42 seconds
Admirer sans comprendre
Le Dr. W.L. Wilson allait un jour annoncer l’évangile dans un collège américain quand il fut abordé par un étudiant qui lui demanda s’il était le prédicateur attendu.
— Oui, et j’ai pour vous un message du plus grand intérêt.
— Je ne crois rien de vos fariboles, répondit le jeune homme ; je ne crois que ce que je peux comprendre !
Wilson monta sur l’estrade et commença de cette manière : « Vous avez parmi vous un sympathique jeune homme qui vient de me dire qu’il ne croit que ce qu’il comprend. Je vais lui demander s’il peut nous expliquer comment il se fait qu’une vache noire mange de l’herbe verte, donne du lait blanc avec lequel on fait du beurre jaune ».
Après cette entrée en matière qui fit sourire l’auditoire, le prédicateur puisa d’autres exemples dans la nature : transformation de la chenille en un splendide papillon. Quelle extraordinaire mutation s’est opérée à l’abri du cocon ! Le Créateur lui-même en a minutieusement réglé les détails.
Belle image de la transformation que Dieu veut produire dans un être humain. Il s’en saisit, lui donne des mobiles célestes, d’autres affections, une énergie renouvelée et un caractère éternel. Ce miracle se renouvelle, toujours aussi étonnant, lors de chaque conversion.
Combien sont insondables la puissance et la sagesse de Dieu déployées dans la création ! Mais plus incompréhensible et plus admirable encore est son amour pour sa créature déchue.
Où étais-tu quand je fondais la terre ? Dis-le, si tu as de l’intelligence, Job 38 : 4.
Job répondit à l’Eternel et dit : voici, je suis trop peu de chose ; que te répliquerais-je ? Je mets la main sur ma bouche, Job 39 : 36-37.
4/23/2020 • 3 minutes, 11 seconds
Portable
Aujourd’hui, la mode est au téléphone portable. Tout le monde se balade avec son portable. Ainsi, on peut être en contact avec ses correspondants à tout instant. Privilège ? Chaîne ? Entrave à la liberté ? Les avis sont partagés !
Mon propos n’est pas d’apporter une réponse et de trancher dans le vif de cette importante question, mais simplement d’introduire un fait divers qui, d’après ce qu’on m’a raconté, se serait passé quelque part en Afrique.
Au volant de sa voiture, une femme se fait arrêter par la police pour un contrôle de routine. Elle sort de son véhicule, pose son téléphone portable sur le siège à côté du sien et se dirige vers le chef de poste, laissant le deuxième policier à côté de sa voiture. Les formalités accomplies, avant de reprendre sa place au volant, elle s’aperçoit que son portable a disparu.
—Monsieur le policier, j’ai laissé mon portable dans la voiture sur le siège et il a disparu. Avez-vous vu quelqu’un dans les parages ? L’avez-vous pris vous-même pour le mettre en lieu sûr et éviter qu’on ne me le vol ?
—Non, madame, répondit le policier. Je n’ai vu personne et je n’ai pas touché à votre téléphone.
—Mais enfin, il n’y avait que vous ici ! Les téléphones n’ont pas de jambes pour se sauver…
—Vous voulez m’accuser ! Vous me prenez pour un voleur, réplique le policier en commençant à s’échauffer.
Juste à ce moment-là arrive une autre voiture. Au volant, un homme qui connaît bien la dame.
Apprenant les détails de l’incident, il a une idée lumineuse : il sort son propre portable de sa poche avec lequel il fait le numéro du portable de la dame.
Surprise : la poche du policier se met à sonner !
Je ne connais pas la suite : je la laisse à votre imagination. Une chose est certaine : il est préférable d’avoir une existence droite, correcte et transparente pour éviter la honte, l’humiliation et le mépris. De quoi me souvenir de cette parole :
Il n’y a rien de caché qui ne se découvre un jour.
Et cette autre interpellation :
Ton péché te trouvera. Ce sont vos péchés qui vous cachent sa face, Esaïe 59 : 2.
Nouvelle vidéo du pasteur Jean-Louis Gaillard : Avec tant de progrès, pourquoi notre monde est-il si malade ? https://youtu.be/_dz4O3cVkUs
4/22/2020 • 3 minutes, 6 seconds
Entrez d’abord !
Je suis à la gare et je dois donner un coup de téléphone, je trouve enfin une cabine, mais elle n’est pas éclairée. Du dehors, je cherche en vain l’interrupteur. Que faire ?
Soudain, un monsieur s’approche et me dit aimablement :« Entrez d’abord ! La lumière se fera ensuite ». J’obéis et, en effet, la cabine s’éclaire et je peux donner mon coup de fil.
Ainsi, bien des gens voudraient « obtenir de la lumière » sur les problèmes de la foi. Mais ils veulent d’abord tout voir et tout comprendre pour croire ensuite. Et ils font fausse route ; ils agissent à l’envers. Nous devons entrer premièrement dans le monde caché de la foi et ensuite non seulement nous « verrons » (nous comprendrons le pourquoi), mais nous serons encore les témoins d’authentiques miracles !
C’est ainsi que nous devons agir : en misant le tout sur la carte de la foi.
Heureux ceux qui n’ont pas vu, et qui ont cru, Jean 20 : 29.
4/21/2020 • 2 minutes, 23 seconds
Le pardon
Une jeune fille, accompagnée de sa mère âgée, passait quelques semaines de vacances en Autriche. Pour payer les frais de l’hôtel, elle devait donner des leçons de piano. Hélas, le petit nombre de ses élèves ne lui permettait plus de trouver les sommes nécessaires.
Pour avoir plus de leçons, elle avait pensé donner un récital de piano. Un salon de l’hôtel étant mis à disposition, elle prépara une affiche sur laquelle elle inscrivit les morceaux qu’elle se proposait de jouer. Craignant que peu de personnes ne fussent attirées par le nom d’une modeste inconnue, elle le fit suivre de cette mention : « Elève de Liszt ». En fait ce n’était pas vrai. Elle avait écrit ces mots en espérant ainsi attirer plus de monde.
Or, le grand compositeur, à cette époque au sommet de sa renommée, descendit à l’hôtel le jour même où devait avoir lieu le récital. Il lut l’affiche.
Bouleversée à la pensée que son mensonge allait être découvert, la jeune fille, confuse et en larmes, avoua sa faute à l’artiste. Celui-ci sans s’émouvoir, répondit avec une grande bonté :
— J’aimerai beaucoup, mademoiselle, vous entendre jouer un des morceaux de votre programme.
Émue et tremblante, mais encouragée par le ton bienveillant du grand compositeur, la jeune fille se mit au piano. De temps en temps, Liszt lui donnait un conseil, corrigeait la position de ses mains, lui disait comment faire pour donner plus d’émotion à son morceau. Lorsqu’elle eut terminé :
— Eh bien, mademoiselle, vous pouvez, sans aucune hésitation, écrire que vous êtes élève de Liszt. Et vous pourrez ajouter sur votre affiche que le dernier morceau sera joué par Liszt lui-même.
Quelle leçon de délicatesse et d’humilité nous donne ce grand musicien ! La supériorité des maîtres écrase souvent ceux qui demandent, ils ne savent ni rassurer, ni consoler, ni encourager.
Mais un vrai maître est celui qui sait se mettre au niveau de son élève. C’est un acte d’amour que de se mettre au niveau des petits, de pardonner leurs erreurs. Ici le grand musicien nous a donné une vraie leçon.
Il a manifesté envers cette petite un vrai cœur de père, qui ne condamne pas, qui, non seulement, pardonne mais qui aide le plus faible à rester sur le chemin. Il a su s’humilier pour se mettre au niveau de cette petite jeune fille.
Dieu agit ainsi avec nous. Il se met à notre niveau, Il nous pardonne nos bêtises, et Il nous apprend à marcher droitement et l’erreur ou le péché devient un tremplin pour la victoire. Liszt a non seulement corrigé la petite jeune fille, mais l’a aussi aidée en jouant le dernier morceau.
Dieu, non seulement corrige nos bêtises, mais Il prend le relai et joue le dernier morceau ; celui de la victoire que nous chanterons avec lui pour l’éternité dans son ciel de gloire !
Et j’entendis la voix d’anges nombreux autour du trône, des animaux et des anciens. Leur nombre était myriades de myriades et milliers de milliers. Ils proclamaient d’une voix forte : Il est digne, l’agneau immolé, de recevoir puissance, richesse, sagesse, force, honneur, gloire et louange. Et toute créature au ciel, sur terre, sous terre et sur mer, tous les êtres qui s’y trouvent, je les entendis proclamer : A celui qui siège sur le trône et à l’agneau, louange, honneur, gloire et pouvoir pour les siècles des siècles, Apocalypse 5 : 11-13.
Le pardon se trouve auprès de Toi, afin qu’on te craigne, Psaumes 130.
4/20/2020 • 3 minutes, 29 seconds
La force de l’exemple
Le vendeur de téléphones portables était à bout d’arguments. Il n’arrivait pas à convaincre son interlocuteur sur les diverses possibilités de ce smartphone, dernier cri. L’homme en face ne semblait pas du tout intéressé. Il avait beau donner les arguments les plus séduisants, cela n’intéressait absolument pas le client potentiel. Finalement à bout d’argument, le vendeur tira ledit smartphone de sa poche, le montra au client et lui dit : « J’ai le même, et je l’utilise tout le temps ».
Le visage du client se dérida. Il sourit. Et il acheta l’appareil tout de suite.
L’exemple est le meilleur argument, n’est-ce pas vrai ? Quand quelqu’un vit ce qu’il dit, cela nous convainc bien plus que tous les discours. Et au contraire lorsque nous surprenons quelqu’un qui vit le contraire de ce qu’il dit, cela nous déçoit terriblement. C’est la même chose pour l’Evangile. Si nous annonçons que Jésus-Christ donne la paix et la joie du cœur, et que notre expression, et notre vie en général, disent exactement le contraire, cela n’attirera pas beaucoup de monde. Si nous faisons de merveilleux discours sur la confiance en Dieu et que dès la moindre difficulté, notre visage se ferme et que nous paniquons, nous ne convaincrons pas grand monde. Si nous parlons du péché en disant que c’est mal et que quelqu’un nous surprend en train de faire le mal, cela desservira plutôt la cause de l’Evangile. Combien de fois n’avons-nous pas entendu des personnes dire : « s’il était chrétien, il ne ferait pas ça, ou il ne dirait pas, ou il ne réagirait pas comme ça ».
Si nous connaissons réellement Jésus, ne soyons pas juste des chrétiens du dimanche. Le dimanche nous portons notre masque de sainteté et à partir du lundi, nous jurons, nous paniquons, nous sommes contrariés pour un oui ou un non.
Notre témoignage n’a plus aucune valeur. Contrairement à ce que nous croyons, ceux qui nous entourent, nous voient vivre. Alors donnons le bon exemple. Laissons Christ vivre sa vie en nous. Et nos paroles auront du poids. Parce que ceux qui nous entourent, de plus en plus, verront Christ.
Nos voisins et nos collègues de travail ne liront sans doute jamais la Bible, mais en nous voyons vivre, ils pourront être interpellés. Paul n’a-t-il pas dit que nous sommes une lettre ouverte, le sceau de son apostolat ? Dieu n’a-t-il pas dit qu’Il écrirait sa Loi dans nos cœurs ? Alors par notre style de vie, soyons cette lettre ouverte. Malgré nos faiblesses et nos manquements, que ceux qui nous entourent voient Christ briller à travers nous. Alors ils seront interpellés, peut-être même nous poseront-ils des questions
Que cet évangile soit lisible dans notre vie et que cela attire ceux qui sont encore loin du Sauveur. Seigneur, que chaque jour, je sois cette lettre ouverte, qui parle de ton amour, de ton humilité. Que ma vie t’honore, et que par ma vie, Tu puisses attirer à toi, tous ceux que tu as appelés Enseigne-moi à vivre en ton honneur, où que je sois. Jusqu’au bout du chemin, par ton pouvoir divin, que je reste dans ta main, Ô mon Sauveur !
4/17/2020 • 4 minutes, 12 seconds
Dieu regarde le cœur
Il y avait une fois un petit garçon qui était berger. Un dimanche matin, alors qu’il était dans les champs avec son troupeau, il entendit le son des cloches qui rappelait aux villageois qu’il était temps de se rendre à l’église.
Bientôt notre berger distingue entre les arbres, des groupes de deux ou trois personnes qui se dirigeaient vers la maison de Dieu et lui vint alors un ardent besoin de prier Dieu qu’Il le rende bon, sage et heureux. Mais comment prier ?
Personne ne lui avait jamais appris et il n’était pas entré de sa vie dans une église ! Il réfléchit un instant, puis s’agenouilla dans l’herbe à l’endroit même où il se tenait ; il joignit les mains comme il l’avait vu faire sur les gravures naïves qui nourrissaient son imagination et commença à réciter l’alphabet : A, B, C, D, etc.
À ce moment un monsieur qui se rendait à l’église passa de l’autre côté de la haie et l’entendit distinctement réciter tout l’alphabet. Il écouta, puis appela doucement l’enfant :
— Que fais-tu donc, mon petit ami ?
L’enfant leva les yeux :
— Pardon, Monsieur, je dis ma prière.
— Pourquoi alors répètes-tu l’alphabet ?
— Oh, reprit l’enfant, je ne sais pas prier, mais je désire tant demander à Dieu de prendre soin de moi, de me bénir et de m’aider, alors j’ai pensé que si je lui disais tout ce que je savais, il saurait bien mettre les lettres ensemble et comprendre ce que je veux dire.
— Et il le fera, sois en sûr, mon garçon !
En disant ces mots, l’étranger s’assit à côté de l’enfant et il lui apprit comment, tout simplement, chacun peut parler au Seigneur, lui demander pardon pour ses péchés, le recevoir comme son Sauveur personnel, lui confier sa vie lui demander son aide pour toutes choses et le remercier pour tous ses soins.
Il fait toute chose bonne en son temps ; même il a mis dans leur cœur la pensée de l’éternité, bien que l’homme ne puisse pas saisir l’œuvre que Dieu fait, du commencement jusqu’à la fin, Ecclésiaste 3 : 11.
4/17/2020 • 3 minutes, 18 seconds
Savoir pardonner
Un jour en Afrique, l’armée du salut organisa une réunion. La femme d’un chef zoulou y fut invitée. Elle entendit l’Evangile, et elle fut bouleversée. A la fin de la réunion, elle répondit à l’appel, et elle expérimenta une conversion radicale.
En rentrant chez elle, elle ne pouvait s’empêcher de parler de son expérience et de l’amour de Jésus. Son mari entra dans une terrible colère. Il lui interdit d’y retourner.
Mais la femme avait trop faim de la Parole et elle brava l’interdiction de son mari. Ce jour-là, l’homme en colère alla à sa rencontre et dès qu’il la vit sur le chemin, il l’attrapa par les cheveux et la frappa sauvagement. Elle tomba sur le bord du chemin, à moitié inanimée. Et lui, retourna chez lui.
Le chef curieux de voir ce qu’était devenue sa femme, retourna sur ses pas. Elle n’était pas à l’endroit où il l’avait laissée. Il la trouva allongée sous un buisson, le visage tuméfié, les yeux au beurre noir.
Il se pencha sur elle, l’attrapa par les cheveux, ce qui lui arracha un cri de douleur.
Il lui murmura à l’oreille avec un sourire hideux :
— Il est où ton Jésus, qu’est-ce qu’Il fait pour toi ? Il est où ton Dieu d’amour, montre-le-moi ? Appelle-le.
La pauvre femme, brisée par la douleur, le regarda à travers ses yeux tuméfiés :
— Il est là, Il me demande de te pardonner ! Par mes propres forces, je ne peux pas, mais Il remplit mon cœur d’amour pour toi et il m’aide à te pardonner !
4/16/2020 • 2 minutes, 46 seconds
Une prière enfantine
Alors que sa maman revenait de clinique, sa fillette lui demanda :
— Maman, tu es guérie maintenant ?
— Disons que je le suis à moitié, ma chérie.
Le soir. Jeannette faisait sa prière :
— Et puis. Seigneur, guéris l’autre moitié de maman.
C’est là une prière enfantine, pleine de naïveté, mais aussi pleine d’une confiance qui est agréable à Dieu. Nous, adultes, nous sommes souvent si compliqués dans les requêtes que nous lui adressons.
Que notre foi soit simple, sans détour ni vains verbiages ! Ce ne sont pas nos belles phrases qui toucheront le cœur de Dieu, mais notre confiance sereine
Le prophète le guérirait de sa lèpre, 2 Rois 5 : 2.
4/15/2020 • 2 minutes, 44 seconds
Un caïd redouté
Dans les années 1990, Manuel s’était forgé une réputation terrible, d’être un homme dur et violent, sans aucune pitié, surtout quand il s’agissait de chrétiens. C’était un chasseur de chrétiens redoutable. Il vivait dans la région de San Juan Chamula, au Chiapas. Chamula est en réalité gouverné par des chefs tribaux, les caciques, qui fonctionnent sur un mode mafieux. Manuel était leur chef, il avait tout pouvoir, et il usait largement de ce privilège.
Il se souvient :« Nous ne voulions aucun chrétien à Chamula, on les poussait à partir sous la menace ».
En effet, lorsque les gens se convertissaient, ils ne participaient plus aux rituels traditionnels. Lors de ces rituels, les gens s'enivraient des jours durant. On leur vendait un alcool artisanal trés cher , de mauvaise qualité, qui s’appelait le posh. Pour l’acheter, ils devaient y laisser une grande partie de leurs maigres ressources. De toute façon, ils n’avaient pas le choix ; sinon ils risquaient leur peau. C’était une grande source de revenus pour les caciques. Quand ils devenaient chrétiens, les pauvres gens ne voulaient plus participer à ces orgies. Donc nous voyions filer une importante source de revenus. Cela nous rendait furieux. « La rage me rendait redoutable. Les gens avaient peur de moi. Je pouvais faire ce que je voulais. Le gouvernement avait trop peur de Chamula, et il n’y avait pratiquement pas de policiers, ni de service d’ordre. Le peu qui était là avait, soit peur de nous, soit était corrompu, parce qu’on pouvait aisément les acheter. Nous régnions en maître ».
La vie semblait facile pour Manuel et sa famille. Il avait épousé Guadalupe, avec qui il avait eu 8 enfants. Il n’avait eu que des filles et un seul fils. Et vous savez combien, dans la culture latine, un fils est important. Malheureusement celui-ci était gravement malade.
« Guadelupe ne faisait que pleurer, dit-il. Je ne savais quoi faire. J'avais donné 5 000 pesos à un sorcier pour qu'il le soigne. Sans succès. Il n'y avait plus d'espoir ».
Un jour il entendit parler d’un jeune pasteur chrétien qui avait prié pour la guérison d'un jeune garçon, et celui-ci avait été guéri. Mais faire appeler un pasteur évangélique quand on est un parrain du haut banditisme à Chamula, c'était absolument inimaginable. On imagine son état de désespoir pour faire appel à un pasteur chrétien, lui qui toute sa vie avait craché sur les chrétiens. Le couple attendait un miracle.
« Je me souviens, la première chose que le pasteur nous a dite était que si nous voulions réellement la guérison, il fallait chercher Dieu et être remplis de l'amour de Jésus...Au point où nous en étions, nous n’avons pas hésité, nous avons prié, nous avons donné notre vie au Seigneur Jésus et nous sommes devenus chrétiens ».
Plusieurs personnes vinrent prier pour son fils, et il fut guéri ! Maintenant, ses amis d’hier parmi les caciques devinrent alors, du jour au lendemain, ses pires ennemis. Sa tête fut mise à prix. Impossible pour lui d'aller cultiver ses terres, il finit par perdre tous ses biens. Au cours d'une tentative d'assassinat, il a compté 86 impacts de balle sur les murs de sa maison. « Si je vis, c'est au nom de Jésus, si je meurs, c'est au nom de Jésus. Le Seigneur me protège, moi et ma famille ».
Manuel et sa famille ont intégré l'église évangélique de Alas de Aguila, une église dans la banlieue de San Cristobal de las Casas. Il anime également un groupe d'hommes qui se rencontrent chez lui pour des études bibliques. Il aimerait pouvoir un jour créer une église dans la région de Chamula. « Manuel est le Saul de Tarse de Chamula », nous dit son pasteur. Rien n'est impossible au Seigneur !
Seulement, conduisez-vous d’une manière digne de évangile de Christ, Phi 1 : 27
Ma Parole et ma prédication ne reposaient pas sur les discours persuasifs de la sagesse, mais sur une démonstration d’Esprit et de Puissance. 1 Cor 2 : 4.
4/14/2020 • 5 minutes, 39 seconds
Le costume du Dimanche
Tous les étés nous partions en vacances chez mes grands-parents. Le dimanche, nous allions au culte, vêtus de nos plus beaux habits. Au retour, avant de passer à table, il fallait « se changer ». La semaine, on remettait nos habits « de tous les jours ».
Cela me parle. Est-ce que nous ne faisons pas la même chose spirituellement ? Le dimanche, nous portons « le costume du dimanche ». Nous mettons notre face du dimanche, notre sourire du dimanche. Pendant la louange, nous fermons nos yeux d'un air très inspiré. Nous sommes remplis de bonté et de grâce. Nous avons un beau langage bien spirituel. Et la semaine, nous remettons notre habit de tous les jours. Dans notre bouche, plus de louange mais nous ne sommes jamais contents. La prière ? Non je n'ai plus le temps. La lecture de la Bible ? Vite on lit la « pensée du jour » dans la « Manne du matin ». Les cantiques ? Dans la voiture, nous préférons écouter les nouvelles qui sont bien déprimantes souvent. Ainsi nous commençons la journée accablée. Où est-il le chrétien qui veut honorer son Dieu ? Où est-il le chrétien, qui, le dimanche, chante : « prends ma vie, change-moi, fais de moi un instrument d'adoration, que ma vie te loue et te glorifie » ?
Dans 2 Timothée 3 : 5, Paul met en garde les chrétiens :
N’ayez pas l’apparence de la piété tout en reniant ce qui en fait la force. Nous nous trompons nous-mêmes. Nous vivons un leurre. Nous croyons mériter un certificat de bonne conduite, mais sommes-nous sûrs que cela plaît au Seigneur ? Ne faisons pas partie de ceux à qui le Seigneur dira :
Vous m'appelez Seigneur, Seigneur, mais je ne vous connais pas. Attention on ne trompe pas Dieu. Le Seigneur connaît nos cœurs. Il dit dans le prophète Esaïe :
Ce peuple m'adore du bout des lèvres mais son cœur est loin de moi. Le Seigneur prend plaisir à un cœur contrit et à un esprit brisé, qui tous les jours, à chaque instant dépend de son Dieu. Ne soyons pas de ceux qui prétendent connaître Dieu, mais qui le renient par leurs œuvres, Tite 1 : 16.
Gardons tous les jours « nos habits du dimanche », sans hypocrisie, mais avec humilité. Que le monde ne nous souille pas. Nous sommes dans le monde mais pas du monde. Que le contact avec le monde ne vienne pas salir notre « robe de justice ».
Je bénirai l’Eternel en tout temps ; sa louange sera continuellement dans ma bouche, Psaumes 34 : 1
Profitons de cette période de confinement pour casser nos habitudes et de nous approchez avec un cœur ouvert au Seigneur Jésus !
4/12/2020 • 3 minutes, 57 seconds
Moody et le billet anonyme
Un jour, le grand Evangéliste Moody devait donner une conférence dans une grande ville. Lorsqu’il entra dans la salle, des milliers de personnes l’attendaient, prêtes à l’entendre. Alors qu’il montait sur l’estrade, un homme s’approcha et lui remit un billet soigneusement plié.
Moody, pensant qu’il s’agissait d’une annonce, le remit dans sa poche pour le lire au moment opportun. Il sortit sa Bible et ses notes.
Avant de commencer, il déplia le papier et lut. Il n’y avait qu’un seul mot : « idiot ».
Moody ne fut pas du tout impressionné. Il reprit ses notes et avant de commencer, il s’adressa à la foule.
« Souvent, dans ma vie, j’avais reçu des mots et des lettres, et parfois, pour des raisons personnelles, l’expéditeur ne signait pas. Sans doute était-ce un oubli ? Aujourd’hui, il m’est arrivé une drôle d’aventure. Un homme s’est approché de moi et m’a remis une lettre avec un seul mot : « idiot ». Cela ne m’était jamais arrivé. Pour la première fois de ma vie, je reçois une lettre signée mais sans contenu. Celui qui a écrit a oublié d’écrire ce qu’il voulait dire ».
Cette histoire nous prouve que l’on peut être un grand homme de Dieu et être en même temps rempli d’humour.
D'autre part, nous venons de sortir, une nouvelle vidéo sur ma chaîne : "Jean-Louis Gaillard" https://www.youtube.com/jeanlouisgail... en tant que pasteur elle s'appelle :"Qu’est-ce que le coronavirus nous apprend sur notre pays ?" https://youtu.be/HVRROHdn3co Le thème est : Le droit à la vie face à l'avortement. N'hésitez à la regarder et de vous abonner à la chaîne Merci !
4/11/2020 • 2 minutes, 26 seconds
L’avion sans pilote
Jésus dit : Voici, je me tiens à la porte, et je frappe. Si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai chez lui, je souperai avec lui, et lui avec moi, Apocalypse 3 : 20.
Jésus frappe à ma porte.
Mon ami Georges était confortablement assis sur un siège dans le petit avion, ATR (petit avion à hélices) qui devait l’emmener à Tours. L’avion était prêt à décoller du petit aérodrome de campagne. Le personnel de bord venait de fermer la porte et se préparait au décollage. Du hublot on pouvait voir la pluie qui tombait à verse. Soudain, Georges vit un homme courir, emmitouflé dans un imperméable. Il monta le petit escalier qui mène à l’avion, et il frappa frénétiquement à la porte. Une hôtesse de l’air, montra son poignet et essaya de lui faire comprendre qu’il est trop tard. L’homme frappa de plus belle. Voyant que l’hôtesse de l’air ne comprenait pas, il sortit sa carte officielle de la compagnie aérienne. Finalement l’hôtesse ouvrit la porte, et au grand étonnement de tous, on découvrit que l’homme qui pénétrait dans l’avion était... le pilote.
Cette histoire paraît saugrenue. Quel est cet équipage qui ne connaît pas son pilote ? Pourtant elle démontre l’état de notre société, où les hommes s’embarquent dans la vie à côté de personnes qu’ils ne connaissent pas. Ils ne se préoccupent même pas de savoir si quelqu’un va piloter l’avion. Cela ne semble même pas les déranger. Et quand le pilote se présente à la porte, personne ne le connaît ou ne le reconnaît.
Le Pilote est pourtant là, Lui qui nous connaît parfaitement puisque c’est Lui qui nous a créés. Il connaît exactement, le « plan de vol » qui nous mènera à bon port et nous rendra heureux et accompli malgré les difficultés de la vie.
Qui est ce pilote qui frappe à la porte de ton cœur et qui veut prendre ta vie en main. Il sait tout de toi. Il dit :
Car je connais les projets que j’ai formés sur toi, projets de paix et non de malheur, afin de te donner un avenir et une espérance, Jérémie 29 :11.
N’est-ce pas là, un merveilleux plan de vol ? Il est à la porte de ton cœur, de ta vie et Il frappe. Peut-être es-tu malade. Peut-être que tu viens d’avoir un accident. Peut-être vis-tu un drame que tu ne comprends pas. C’est Lui qui frappe, et qui essaye d’attirer ton attention. Ne fais pas semblant de ne pas le voir. Peut-être aussi que tu es tombé par hasard, sur un texte biblique, ou sur ce feuillet ? Ne fais pas la sourde oreille. Ouvre la porte !
Ouvre-lui ton cœur. Invite Jésus-Christ à entrer ! Il désire, comme ce pilote, te conduire dans la vie sur le chemin de la paix. Il souhaite « souper avec toi », avoir une relation de confiance avec toi. Parce que Lui, Il est Dieu, Lui seul a des solutions aux situations que tu ne comprends pas. Lui seul peut guérir ton cœur brisé. Il te dit : « Ne cherche pas à comprendre, accepte mon amour, ouvre la porte et je te conduirai ». Dis-lui simplement : « Seigneur Jésus, je t’ouvre la porte, prends ma vie, conduis-moi. Comme lorsque je suis dans un avion, je ne sais pas trop comment fait le pilote, mais je lui fais confiance. De même Seigneur, je ne sais pas comment tu vas faire mais prends ma vie, je te fais confiance ».
4/10/2020 • 4 minutes, 38 seconds
Jésus sait comment je me sens ! Joni
Jésus prend nos faiblesses au sérieux. Luther traduit :
« Le Saint-Esprit vient au secours de notre faiblesse. » Le Saint-Esprit s’intéresse à nos faiblesses et s’en occupe.
Voyez Joni Eareckson. C’était une jolie athlète, heureuse de vivre. Un livre et un film retracent sa vie. Sa tête heurta un rocher lors d’un plongeon dans un lac et ce qui entraîna, pour elle, une paralysie totale de la nuque aux pieds. D’un seul coup, elle était devenue infirme. Elle voulut mettre fin à ses jours car l’existence était devenue un enfer pour elle.
Après trois années de vie douloureuse et sans espoir, elle vécut un émouvant retour à Christ. Cindy, sa meilleure amie, était à son chevet et cherchait désespérément une parole qui l’encouragerait. Tout à coup, la lumière se fit dans son esprit : « Joni, Jésus sait comment tu te sens. Tu n’es pas la seule à être paralysée. Lui aussi a été paralysé
-Il a été cloué sur la croix. Les coups ont endommagé sa colonne vertébrale. Comme il aurait aimé pouvoir bouger ! Pourtant, c’était impossible. Joni, il sait comment tu te sens. »
Ces mots touchèrent le cœur de la jeune fille infirme. Christ avait fait l’expérience de la paralysie dans son propre corps. Le Fils de Dieu connaissait la détresse et la paralysie, parce qu’il les avait vécues. Nous disons sans cesse que Jésus est mort pour nos péchés. C’est l’essentiel et c’est juste.
Mais il est aussi allé à la croix et a pris sur lui nos faiblesses, nos douleurs, nos blessures morales.
Ne sommes-nous pas convaincus que le chapitre Esaïe 53 du prophète Ésaïe annonce le sacrifice du Christ à la croix ? Et que dit le verset Esaïe 53 : 4 ?
En vérité, il a pris sur lui les maladies qui nous étaient destinées et il a porté les douleurs que nous avions méritées.
4/9/2020 • 3 minutes, 6 seconds
Conversion d’un tueur à gages
Un missionnaire chrétien en Colombie était très actif. Il évangélisait et son activité portait beaucoup de fruits. Cela déplut. Ses opposants décidèrent d’engager un tueur à gages pour l’exécuter.
Cinq fois, il essaya d’assassiner l’homme de Dieu. Mais à chaque fois, il échouait. « Je n’ai jamais vu ça, dit-il. Cinq échecs, c’est incroyable. Moi qui ne rate jamais mes coups. Ils sont protégés par Dieu. J’ai intérêt à me méfier ».
Finalement il prévint ses commanditaires qu’il arrêtait ce travail. Il leur rendit l’argent.
Aujourd’hui il sert le Seigneur. Comme Saul de Tarse, sur le chemin de Damas, il a été arrêté en chemin par le Seigneur Jésus dont il persécutait les serviteurs (Actes 9 : 4). Il s’est tourné vers Dieu pour avoir la vie éternelle. Maintenant, ceux qu’il persécutait sont devenus ses frères, et il répand avec eux la bonne nouvelle du salut.
Et vous ? Vous ne persécutez pas les chrétiens ; vous les respectez même, et peut-être même, vous les admirez. Cela ne vous sauve pas. Vous êtes même certainement baptisé ? Peut-être même que vous allez à l’église tous les dimanches ? Cela ne vous sauve pas davantage.
Dieu veut vous rencontrer personnellement. Il a donné son Fils unique sur la Croix. Quand Jésus est mort, le rideau du Temple s’est déchiré parce que Dieu veut que rien ne le sépare de la relation avec les hommes. Mais pour cela, il vous faut reconnaître votre besoin de Lui : confessez vos péchés, reconnaissez votre besoin de Lui et croyez à l’efficacité absolue du sacrifice de Christ pour vous mettre à l’abri du jugement de Dieu et vous permettre de vivre une vie pure sur cette terre et une vie éternelle dans la félicité.
Moi qui auparavant étais un blasphémateur, un persécuteur, un homme violent. Mais j’ai obtenu miséricorde, parce que j’agissais par ignorance, 1 Timothée 1 : 13
Celui qui autrefois nous persécutait, annonce maintenant la foi qu’il détruisait jadis, Galates 1 : 23.
4/8/2020 • 3 minutes, 12 seconds
Une voix venue du ciel
L’évangéliste Spurgeon, invité à prêcher au « Palais de cristal » de Londres, voulut s’assurer que sa voix serait assez forte pour cette immense salle. Il décida d’y faire un essai et s’y rendit la veille avec un ami qui s’assit au dernier rang. Du haut de l’estrade, Spurgeon prononça à voix forte cette citation de l’Ecriture :
Cette parole est certaine et entièrement digne d’être reçue, que le Christ est venu dans le monde pour sauver les pécheurs, 1 Timothée 1 : 15.
Il répéta le même verset, cette fois sans forcer la voix. L’ami lui fit signe que l’acoustique était bonne et il rentra chez lui rassurée.
Vingt-cinq ans plus tard, un homme très malade demandait à voir un pasteur. Ce fut Spurgeon.
—Etes-vous prêt à affronter la mort ? demanda l’évangéliste.
— Oui, Dieu merci répondit le mourant.
— Racontez-moi comment vous avez trouvé le salut de votre âme ?
— D’une manière extraordinaire : en tant que plombier, j’eus une réparation à faire, il y a vingt-cinq ans, sous la coupole du palais de cristal. En ce temps-là, je vivais sans Dieu. Tout à coup, j’entendis à deux reprises une voix comme venant du ciel :
Cette parole est certaine que le Christ-Jésus est venu dans le monde pour sauver des pécheurs. Ces mots atteignirent ma conscience et mon cœur avec une force telle que le jour même, je me tournai vers le Seigneur Jésus.
Ainsi sera ma parole qui sort de ma bouche : elle ne reviendra pas à moi sans effet, mais accomplira ce pour quoi je l’ai envoyée, Esaïe 55 : 11
4/7/2020 • 2 minutes, 49 seconds
L’enfant handicapé
Alfred, un jeune garçon, devenait peu à peu mentalement malade. On disait de lui que, malheureusement, il devenait idiot, c’est-à-dire de plus en plus dépourvu d’intelligence et de bon sens. C’était très dur pour ses parents et lui-même s’en rendait compte. Un jour, son père l’entendit prier. Alfred disait :
—Seigneur, Tu sais pourquoi Tu m’as donné cela ; mais je veux me confier en Toi jusqu’au bout.
Savez-vous ce qu’est devenu Alfred ? Un médecin spécialiste très renommé (quelle bonne nouvelle !)
Il m’a oint pour amener une bonne nouvelle aux pauvres, Luc 4 : 18
Ceux qui se confient en l’Éternel Sont comme la montagne de Sion, qui ne chancelle pas, Elle subsiste à toujours, Psaumes 125 : 1.
4/5/2020 • 1 minute, 53 seconds
La langue, poison mortel
Un chrétien âgé visitait un jeune homme qui était en prison pour avoir volé son patron. Le visiteur dit au prisonnier :
—Il me semble que je vous ai déjà vu ?
—Certes, il y a dix ans, et vous êtes, en grande partie, responsable de ma présence ici !
—Comment ? Ce n’est pas possible ! Je ne me rappelle pas vous avoir fait le moindre mal !
—Oh, sans mauvaise intention, certes ! Mais une fois, mon père et moi avions assisté à une réunion d’évangélisation où nous vous avions rencontré. Or le message m’avait fort impressionné. J’étais sous une profonde conviction de péché. J’étais bien résolu à aller dès le lendemain trouver l’évangéliste et à lui ouvrir mon cœur. Mais je vous ai entendu ridiculiser le prédicateur, vous moquer de sa prononciation et de ses fautes de français. Et alors mes bonnes résolutions me quittèrent. Je n’allai point voir l’évangéliste, je ne voulus même pas retourner l’entendre.
Depuis ce jour, je n’ai plus pensé à mon salut. J’ai suivi de mauvaises compagnies qui m’ont amené ici.
Les mauvaises compagnies corrompent les bonnes mœurs, 1 Corinthiens 15 :32-34
4/3/2020 • 2 minutes, 33 seconds
Une lutte et non un jeu
Il y a quelques années, on pouvait voir dans un cirque un serpent de dix mètres de long s’enrouler autour du corps de son dompteur. Cet homme avait eu ce serpent tout petit ; il l’avait apprivoisé et dressé et tous les soirs depuis vingt ans, il jouait avec son élève qui lui obéissait de point en point, au grand émerveillement des spectateurs. Lorsque, sur un signe, le serpent l’entourait de ses anneaux et le dominait de la tête, c’était un tonnerre d’applaudissements ! Lentement alors, le serpent se détachait et regagnait son gîte.
Mais un soir, on entendit un craquement épouvantable, suivi d’un cri perçant : le dompteur venait d’être écrasé par le reptile. Pendant vingt ans, il avait joué avec le serpent, maintenant, le serpent se jouait de lui.
Il n’en est pas autrement de ceux qui jouent avec le péché. Longtemps il paraît inoffensif : un jour vient où il sort vainqueur de ce que l’on pensait n’être qu’un jeu, mais qui ne doit jamais cesser d’être une lutte.
"Joueras-tu avec lui comme avec un oiseau ? "Job 41 : 5.
Genèse 4 : 6-7 " L’Éternel dit à Caïn : Pourquoi es-tu irrité, et pourquoi ton visage est-il abattu ? Si tu agis bien tu relèveras la tête, mais si tu n’agis pas bien, le péché est tapi à ta porte, et ses désirs (se portent) vers toi : mais toi, domine sur lui."
4/3/2020 • 2 minutes, 33 seconds
Mort pour moi
Dans l’histoire sanglante de la Terreur, un incident brille d’un éclat incomparable. Le jeune Thibaud, on ne sait sous quelle accusation, avait été arrêté, jugé et condamné à mort. Dans ces temps troublés, la justice était expéditive. La veille de l’exécution, le père, par une faveur très rare, obtint l’autorisation de visiter le jeune homme, qu’il trouva au bord du désespoir. Il fit de son mieux pour le consoler, et le jeune Thibaud finit par s’endormir, tandis que le père, oublié là par le gardien, passait la nuit à ses côtés.
Bien avant l’aube, la clé grinça dans la serrure, l’appel du gardien retentit « Thibaud ! » Et le père, qui avait répondu « Présent ! » fut emmené vers le lieu du supplice. Quelques minutes plus tard, le couperet de la guillotine faisait rouler sa tête aux pieds du bourreau.
Quand le jeune Thibaud s’éveilla, tout étonné de trouver la porte de sa cellule ouverte, il se rendit au bureau où on lui signifia qu’il était libre, puisque le nommé « Thibaud » avait été exécuté au petit jour.
Comme l’amour de ce père, se sacrifiant pour son enfant, nous touche ! Cher lecteur, l’amour de Jésus, mourant à votre place sur la croix, ne vous toucherait-il pas ? L’apôtre dit :
Il s’est livré lui-même pour moi.
Nous étions perdus, loin de Dieu, mais Christ a pris sur Lui tout le poids de notre jugement, et désormais nos sommes libres, graciés, sauvés. Le croyez-vous ?
Il s’est livré lui-même à la mort, il a été mis au nombre des malfaiteurs, Esaïe 53 : 1-12.
4/2/2020 • 2 minutes, 49 seconds
Expérience d’éducation
En 1946 paraissait aux Etats-Unis un manuel d’éducation : « Comment soigner et éduquer votre enfant. » Il pouvait se résumer ainsi : « Toute civilisation étant en répression ou mutilation de l’instinct sexuel, il faut supprimer l’éducation répressive du bébé et de l’enfant. » Ce qui a amené à tout laisser faire. Des millions de parents, américains d’abord, puis européens, l’ont cru.
Or, en 1974, le docteur Spock, l’auteur du manuel en question, a avoué : « Je me suis trompé. »
C’est que, entre les deux dates, il était devenu père et grand-père. Mais néanmoins, le mal était fait, et c’est ainsi que l’on s’est acheminé vers la société permissive que l’on connaît aujourd’hui.
Le docteur Spock a donné ensuite ce conseil aux parents qui venaient le consulter :
« Donnez à vos porcs et à vos enfants tout ce qu’ils désirent. C’est ainsi que vous aurez de bons porcs… et de mauvais enfants. »
En France, il y a presque 50 ans, Françoise Dolto, une psychanalyste, reprenait la théorie du Dr Spock sur l’éducation des enfants. Mon petit frère venait de naître et ma maman qui ne supportait plus l’éducation autoritaire dans laquelle elle et mon père nous avaient élevés, décida de se fier aux théories modernes de ces spécialistes à la mode. Ce fut une véritable catastrophe et 50 ans plus tard, on peut voir de nos yeux les méfaits de la théorie de l’enfant Roi.
A 10 ans, mon petit frère a mis le feu à la maison qui a été consumée presque totalement. A12 ans, il ramenait une copine à la maison pour passer la nuit, à 13 ans, il aimait l’herbe et il la fumait. Toute sa vie il a été rebelle et insoumis, les pauvres parents ont pleuré toutes les larmes de leur corps.
La Bible ne manque pas de donner de sages conseils en ce qui concerne l’éducation des enfants, entre autres, dans le livre des Proverbes situé dans l'Ancien Testament, juste après le livre des Psaumes. Cet ouvrage, essentiellement l'œuvre du roi Salomon, est une suite de développements pédagogiques ou de brèves sentences, dont l'objet est d'enseigner la "Sagesse", mais la sagesse selon Dieu et non selon les hommes. Un exemple :
Instruis l’enfant selon la voie qu’il doit suivre ; et quand il sera vieux, il ne s’en détournera pas.
Je vous propose de lire Proverbes 22 du verset 1 au 10.
3/31/2020 • 2 minutes, 54 seconds
Sage réponse
Un professeur vivait dans un pays du sud-est de l’Europe où un régime athée chercha à imposer l’incrédulité et à étouffer le témoignage des chrétiens. Il distribuait avec zèle, Bibles et littérature chrétienne. Chaque occasion lui était bonne pour parler de Jésus son Sauveur et de la nécessité pour chacun de recevoir par la foi le sacrifice de Christ pour devenir un enfant de Dieu.
Un jour, il fut arrêté et interrogé par la police secrète de ce pays. A chaque question posée, il répondit par une parole de la Bible. Exaspéré, le colonel qui l’interrogeait décida de lui faire dire quelque chose contre le président athée du pays, afin d’avoir une accusation valable à produire contre ce croyant :
— J’ai compris, lui dit le colonel, vous croyez dans la Bible. Très bien. Dans la Bible :Il est dit que Dieu est vrai et que tout homme est menteur (Romains 3 : 4). Alors que dites-vous : le président est-il ou non un menteur ?
— J’ai un petit garçon de sept ans. Quand on lui pose une question à laquelle il ne peut pas répondre, il dit : je ne sais pas, demandez à mon père. Eh bien, je vous donne la même réponse : demandez à mon Père. Le colonel baissa la tête et laissa partir le croyant.
Cette sage réponse contient une leçon très utile pour nous chrétiens. Quand, en raison de nos esprits limités, nous ne savons pas répondre aux questions qu’on nous pose, laissons notre Dieu répondre pour nous.
Quand on vous emmènera pour vous livrer, ne vous inquiétez pas d’avance de ce que vous aurez à dire, mais dites ce qui vous sera donné à l’heure même ; car ce n’est pas vous qui parlerez, mais l’Esprit-Saint, Marc 13 : 11
3/31/2020 • 3 minutes, 15 seconds
Voir au-delà de l’horizon
Quelle est notre attitude à l’égard du mal ? Comment réagissons-nous au mal qui nous est fait ?
Le mal est une réalité quotidienne dans nos pensées, nos paroles et nos actes. Voici une conséquence inattendue d’un acte perpétré contre Brengle, un officier de l’Armée du Salut qui avait tenu une réunion d’évangélisation.
Un homme ivre lui lança une tuile qui l’atteignit en pleine tête. Gravement blessé, il fut longtemps entre la vie et la mort. Dix-huit mois après l’incident, il était encore en incapacité de travail.
Pendant cette période, il écrivit des articles qui furent assemblés par la suite dans le livre Vers la sainteté. Cet ouvrage eut un rayonnement insoupçonné. Il connut plusieurs rééditions et fut traduit en plusieurs langues.
La femme de l’officier de l’Armée du Salut prit la tuile jetée contre son mari et écrivit dessus :
Vous avez voulu faire du mal, Dieu a voulu en faire du bien !
En présentant son ouvrage, il souriait et disait : « Remerciez Dieu aussi pour cette tuile. Si elle n’avait pas été lancée, ce livre n’aurait jamais paru. »
La détresse pousse les uns à prier, les autres à jurer.
Heureux ceux qui supportent l’épreuve !
Pour les matérialistes, de telles paroles sont incompréhensibles ; ce ne sont que des dictons dénués de sens. Les chrétiens, eux, comptent sur l’intervention de Dieu dans les situations les plus incroyables. Le Dieu vivant a la puissance de redresser ce qui est courbé, de faire jaillir la bénédiction des situations les plus tragiques et négatives. En général, nous ne nous en apercevons qu’après coup. Lorsque le malheur, la tristesse et la maladie viennent frapper à notre porte, nous sommes découragés. Nous nous cabrons et nous nous révoltons.
Ce n’est que par la foi que nous pouvons affirmer : Dieu a voulu en faire sortir du bien.
Je vivrai et je raconterai les œuvres de l’Éternel,
Psaumes 118 : 17.
3/28/2020 • 3 minutes, 10 seconds
Le serpent
Un certain soir, fatigué à l’excès, je me couchai et m’endormis profondément, raconte un fonctionnaire anglais en Inde, mais mon sommeil fut troublé par une impression douloureuse. Il me semblait qu’un poids énorme et froid comme de la glace, pressait ma poitrine au point de me suffoquer.
Je me réveillai en sursaut et j’allais sauter du lit lorsque, tout à coup, à la faible clarté d’une lumière dans la nuit, j’aperçus se déroulant sur mon lit, un énorme serpent aux yeux ardents, qui sortait et rentrait sa langue en faisant entendre des sifflements sinistres. Le rapide et brusque mouvement que j’avais fait l’avait éveillé et irrité. Le feu de ses yeux et les mouvements convulsifs de sa langue manifestaient sa rage. À une sorte de gonflement en forme de casque, qui se produisait sur sa tête, je compris qu’il s’agissait du plus redoutable des serpents, le cobra venimeux.
Je restai immobile et le serpent se calma, rentra sa langue, cessa son sifflement, tandis que ses yeux perdaient leur feu ; son casque aussi s’affaiblissait. Une sueur froide me couvrit le corps. Au moindre mouvement de ma part, le serpent me mordrait et il n’existait pas de remède qui sauve de son venin. Réduit à l’immobilité d’un mort, il ne me restait qu’à attendre le jour, espérant alors que ce terrible reptile me laisserait pour se réfugier en quelque obscure retraite.
Le serpent s’endormit. Quant à moi, je souffrais horriblement ; cette absolue immobilité était rendue insupportable par le poids du serpent qui me suffoquait et par l’odeur exécrable qu’il exhalait. Ainsi se passa une heure -elle me parut interminable- et je me demandais comment je sortirais de cette situation angoissante, lorsqu’un hindou entra doucement, tenant entre les dents un poignard. Son corps nu était couvert d’huile, de la tête aux pieds. Il s’approcha de mon coffre, l’examina, il vint ensuite près de mon lit ; la couverture qui le recouvrait excita sa cupidité.
Dans son avidité à s’en emparer, il la saisit des deux mains, sans voir le reptile, qui aussitôt s’élança sur lui et le mordit à la joue. D’un coup de poignard, l’hindou lui trancha la tête, puis comprit sans peine qu’il s’agissait d’un cobra et qu’il était perdu. Dans une résignation muette, il se laissa tomber à terre et attendit la mort.
À mes cris, les gens de la maison accoururent et se jetèrent sur le voleur, qui ne se défendait pas, déjà sous l’effet du venin ; quelques instants plus tard, il était mort.
Dieu m’avait délivré. Son œil avait été sur moi.
David dit encore : Éternelle, qui m’a délivré de la griffe du lion et de la patte de l’ours, me délivrera aussi de la main de ce Philistin. Et Saül dit à David : Va, et que l’Eternel soit avec toi ! 1 Samuel.17 :37.
3/28/2020 • 4 minutes, 42 seconds
La grâce divine
Un jour, j’ai fait une expérience dans le TGV (Train à grande vitesse) qui m’a aidée à toucher du doigt la réalité de la grâce de Dieu. J’avais une réservation pour un train en fin d’après-midi mais je suis arrivé à la gare plus tôt que prévu. Je suis donc monté à bord d’un train en début d’après-midi, sans avoir la réservation correspondante. Le train était bondé et je m’étais installé sur un strapontin dans le couloir d’une voiture de deuxième classe. Après le départ, le contrôleur est venu vérifier mon billet : je lui ai expliqué mon histoire et il m’a, à ma grande consternation, invité à le suivre. Je crois qu’en le suivant, j’ai prononcé intérieurement ce que j’ai cru être ma dernière prière ici-bas ! À ma stupéfaction, il m’a conduit dans une voiture de première classe et m’a souhaité un :« Bon voyage » !
Je me suis retrouvé assis avec des personnes en règle pour avoir acquitté le prix d’un billet de première classe alors que je n’avais qu’un billet de seconde classe, sans la réservation correspondante !
Pour ainsi dire, la grâce, c’est d’être invité à voyager en première classe, alors qu’on ne le mérite pas. J’ai quand même une définition plus théologique de la grâce, basée sur 2 Corinthiens 8 : 9.
La grâce, c’est le ciel (Dieu) qui a donné le meilleur (son Fils Jésus) pour racheter ce que la terre avait de pire (nous, les pécheurs) et avec cela en faire l’Église !
Car vous connaissez la grâce de notre Seigneur Jésus-Christ, qui pour vous s’est fait pauvre, de riche qu’il était, afin que, par sa pauvreté vous fussiez enrichis.
3/26/2020 • 2 minutes, 54 seconds
Je meurs pour toi
Deux frères habitaient ensemble dans une ville d’Orient. L’aîné, homme sérieux, travailleur et croyant, se préservait des souillures du monde. Le cadet, léger et dissipé, se livrait du matin au soir à une vie de débauche et de dissipation. L’aîné avait souvent, mais en vain, exhorté son frère à changer de vie.
Un soir, vers minuit, des coups violents retentirent à la porte d’entrée. Le chrétien se hâta d’ouvrir et se trouva en présence de son frère, pâle, tremblant, les vêtements en désordre et souillés de sang.
—Sauve-moi, cache-moi. J’ai tué un homme et je suis poursuivi.
L’amour est ingénieux. Le frère aîné demanda à son cadet d’ôter ses vêtements qui révélaient sa culpabilité, puis il se revêtit de ces derniers et poussa son frère dans la chambre voisine. Peu de temps après, on entendit les pas précipités des agents de police.
—C’est toi qui as fait le coup ! Inutile de le questionner davantage, reprit le second agent. Regarde ses vêtements, ils répondent pour lui !
Ils lui mirent les menottes et l’emmenèrent. Il fut jeté en prison et l’on procéda sur le champ à son interrogatoire. Aux questions qu’on lui posait, le prévenu se bornait à répondre :
—Je dois payer ce crime de ma vie et le plus tôt sera le mieux.
Le procès fut rapidement conduit et l’assassin présumé, condamné à mort.
Avant de mourir, le noble jeune homme demanda du papier et de l’encre. C’était une lettre à faire porter à son frère après l’exécution. La lettre contenait ces mots : « Demain, revêtu de tes habits, je mourrai pour toi. Mais toi, en souvenir de moi et couvert de mes vêtements, tu devras vivre à l’avenir une vie saine et juste. »
« Je meurs pour toi. » Ces quelques mots bouleversèrent jusqu’au fond de l’âme le cœur du coupable qui s’avoua vaincu.
Il se précipita chez le juge. Le directeur de la prison (qui n’avait point oublié le regard si sérieux du frère aîné), après avoir écouté ses aveux, déclara qu’il n’avait pas le droit de le faire emprisonner. Son frère était mort pour lui. La liberté et la vie lui étaient assurées.
À partir de ce jour, le frère cadet mena une vie nouvelle. On ne le reconnut plus tant il était transformé. C’est en vain que ses camarades de plaisir vinrent le solliciter.
—Avec les vêtements que je porte, je ne puis vous accompagner.
Lecteur, ton Sauveur a donné sa vie pour toi afin que, revêtu de sa justice, tu sois irréprochable et pur, irrépréhensible au milieu d’une génération perverse et corrompue.
Il est mort pour tous, afin que ceux qui vivent ne vivent plus pour eux-mêmes, mais pour celui qui est mort et ressuscité pour eux,
2 Corinthiens 5 :15.
3/25/2020 • 4 minutes, 2 seconds
Comment réagir face aux épreuves
Une jeune femme alla trouver sa mère pour lui dire qu’elle trouvait que les circonstances de sa vie étaient très dures. Elle ne savait pas comment elle allait s’en sortir et elle avait envie de tout abandonner. Elle en avait assez de lutter. Il lui semblait que dès qu’un problème était résolu, un nouveau problème se présentait.
Sa mère la conduisit à la cuisine. Elle remplit trois casseroles d’eau. Dans le premier, elle mit des carottes, dans le second deux œufs, et dans le troisième des grains de café. Elle les laissa sur le feu. L’eau se mit à bouillir. La maman ne disait rien. Vingt minutes plus tard, elle éteignit les feux. Elle pêcha les carottes et les mit dans un bol. Elle sortit les œufs qu’elle plaça dans un bol. Ensuite, elle filtra le café qu’elle plaça dans un bol. Puis elle se tourna vers sa fille et elle lui demanda :
— Qu’est-ce que tu vois ?
— Des carottes, des œufs et du café, répondit-elle.
Elle rapprocha le bol de carottes et elle lui dit de toucher les carottes. La fille les toucha et elle vit qu’elles étaient molles. Puis elle lui demanda de prendre les œufs et de les casser. Après avoir enlevé la coquille, la jeune femme remarqua que l’œuf était dur. Enfin elle lui demanda de goûter le café. La fille savoura l’arôme délicat.
Ensuite la jeune fille demanda :
— Mais, maman, que veut dire tout cela ?
La maman répondit :
— Tu vois ces trois éléments ont fait face exactement à la même adversité, l’eau bouillante, mais chacun a réagi différemment. La carotte est rentrée dans l’eau, elle était forte, dure et implacable. Après avoir été plongée dans l’eau bouillante, elle s’est attendrie et est devenue faible. L’œuf était fragile. Sa coquille fine et fragile protégeait le liquide à l’intérieur. Mais après vingt minutes dans l’eau bouillante, l’intérieur a durci. Le café moulu était unique. D'ailleurs après avoir été plongé dans l’eau bouillante, c’est lui qui a changé l’eau :
— Lequel d'entre eux es-tu, demanda la maman à sa fille. Quand l’adversité frappe à ta porte, quelle est ta réponse ? Es-tu une carotte, qui semble forte et dure mais face à l’adversité, tu fonds, tu ramollis et tu perds ta force ? Es-tu un œuf qui commence avec un cœur liquide mais qui change avec la chaleur ? Est-ce que tu as un cœur malléable mais après la mort d’un bien-aimé ou après la rupture d’une relation émotionnelle, ou une difficulté financière ou après tout autre épreuve, tu t’endurcis et tu te raidis ? Ta coquille est la même mais à l’intérieur tu es amère et dure, avec un esprit raide et dur. Ou est-ce que tu es comme ce grain de café qui, lorsque les choses sont terribles, change l’eau bouillante, c’est-à-dire la circonstance même qui apporte la douleur ? Quand l’eau bout, l’arôme et le parfum sont libérés.
Si je suis comme le grain de café, lorsque les circonstances sont au plus mal, moi je vais mieux et je change les circonstances autour de moi à travers Christ en moi qui me fait lui ressembler.
Lorsque les heures sont les plus sombres et que les épreuves sont les pires, est-ce que tu passes à un autre niveau ? Comment fais-tu face à l’épreuve ?
Les chrétiens sont comme les carottes, les œufs ou les grains de café. Ils ne savent pas comment ils vont réagir jusqu’à ce qu’ils tombent dans l’eau bouillante. Lequel d'entre eux êtes-vous ?
Prière : Seigneur, aide-moi à réaliser que toutes les expériences que tu mets devant moi, chaque personne que tu mets sur mon chemin, sont une préparation parfaite pour ma vie. Et toi seul tu sais comment je vais sortir de cette épreuve.
Je puis tout par celui qui me fortifie, Philippiens 4 :1
3/24/2020 • 4 minutes, 45 seconds
Le voyage
Une petite grand-mère tricotait. Parfois, elle levait sa petite tête et regardait par la fenêtre : son joli jardin était bien fleuri en cette saison. Au-delà du jardin, le Ballon d’Alsace (nom d’un sommet des Vosges). Grand-mère n’avait jamais quitté son petit village. Son petit-fils entra. Maintenant c’était un homme, tout le portrait de son fils.
— Bonjour, mamama (mamie en alsacien), Je viens t’embrasser. Je viens de faire un long voyage.
— C’est vrai, cela fait longtemps que je ne t’ai pas vu.
— Oui mamama, cela fait au moins deux ans.
— C’est gentil de penser à ta vieille mamama.
— Mon petit, (elle l’appelait toujours mon petit même s’il avait 29 ans !)
— J’ai passé un an en Chine, je vais te raconter ce que j’ai vu.
Le petit-fils raconta avec enthousiasme tout ce qu’il avait vu. Shanghai. Les contres forts de l’Himalaya, avec le « toit du monde » (l’Everest) que l’on voit au loin. La grand-mère l’écouta, les yeux rêveurs. Au bout de quelques heures, quand il eut fini son récit, elle dit :
— Merci, j’ai pu vivre avec toi ce beau voyage. J’étais avec toi, sur les routes de montagne, dans les huttes des paysans, sur les grandes autoroutes de Shanghai. C’est bien plus loin que ces montagnes. Mais, tu sais mon chéri, moi aussi je vais partir pour un grand voyage, un très grand voyage…
— Toi, ma mamama ? Toi qui n’as jamais dépassé le fond de jardin. Mais à ton âge, où veux-tu aller ?
— Je vais partir dans un beau pays, incomparable. Il n’y a rien ici qui lui ressemble. Il n’y a ni nuit, ni jours, ni souffrance, ni pleurs, et ni mort. Un pays où règne la vie.
Le petit fils, commençait à comprendre, car il connaissait la foi de sa grand-mère. Foi qu’il ne partageait pas d’ailleurs. Il se rappelait que lorsqu’il était petit, ça l’agaçait quand sa grand-mère parlait de Jésus. Mais là, il sentait que c’était sérieux. Sans doute qu’elle sentait que ce Jésus dont elle parlait tout le temps, allait venir la chercher. Et si elle avait raison ? Perdu dans ses réflexions, le petit fils demanda :
— Que fait-on là-bas ?
— Tous ceux qui ont cru en Jésus, des hommes et des femmes de toutes races, de toutes nations, chantent leur reconnaissance et leur amour pour Jésus. Parce qu’Il nous a sauvés. Tous, nous chanterons sa Gloire. Nous le verrons sur le trône, assis. Il regardera tous ceux qui Lui ont fait confiance, avec amour et bienveillance. Tous verront les marques des blessures dans la paume de sa main et dans son côté. Marques des blessures causées par l’abominable mort sur la Croix. Mort qui nous a rachetés et qui nous a permis d’être là avec Lui.
Le petit-fils la regarda perplexe. Au fond de son cœur, cette question lancinante, revenait comme un refrain : « Et si ce qu’elle dit est vrai, et si un jour je réalise que j’ai vécu toute une vie en passant à côté de l’essentiel ? Quel drame ! De toute façon qu’est-ce que je risque d’essayer, simplement que ce ne soit pas vrai. Et alors ! Je me serai trompé, voilà tout ». Il s’entendit poser la question, comme si c’était quelqu’un d’autre, comme si c’était plus fort que lui qui parlait.
— Tu crois vraiment que ce pays existe ?
— C’est le royaume de Jésus. Il est là-bas, entouré de tous les fils et les filles de Dieu qui ont cru en lui. Bientôt Il va venir me chercher et Il me dira : « Aujourd’hui, tu seras avec moi dans le paradis ». Comme au brigand sur la croix, parce que devant Lui, je ne suis pas plus juste que ce brigand. Peut-être qu’extérieurement j’étais quelqu’un de bien mais Lui seul sait de quelles pensées j’étais animée parfois.
Elle se tourna vers son petit-fils et le regarda longuement. Elle lui dit :
— Tu veux me revoir un jour ?
Un frisson parcourut le corps du jeune homme. Quelle question ? Des larmes lui montèrent aux yeux. Il ne put rien répondre. Elle continua :
— Crois au Seigneur Jésus, non seulement tu seras sauvé du jugement mais en plus, on se retrouvera là-haut dans le Royaume de lumière ...
3/23/2020 • 6 minutes, 57 seconds
Le titre de propriété.
C’était en Chine. Une pauvre veuve se trouvait dans une cour de justice de campagne. Et cette vieille femme, au visage tout ridé, aux habits en haillons, se défendait contre des voisins rusés qui prétendaient que le meilleur de son terrain leur appartenait. La lutte était serrée et le moment arrivait où les adversaires obtiendraient injustement gain de cause.
Alors, la veuve se mit à chercher quelque chose dans ses habits. Vous savez sans doute que les Chinois cachent ce qu’ils ont de plus précieux sous leurs vêtements, à même le corps. Elle chercha un moment, trouva enfin, puis sortit triomphalement un petit papier tout sale : c’était l’acte de propriété établi à son nom. Dès que le juge vit ce chiffon, toute la situation fut renversée ; les Chinois ont un grand respect de « ce qui est écrit ». Cet acte authentique confondait les usurpateurs. Et la veuve retourna dans sa propriété sauvegardée grâce au titre qu’elle avait par bonheur si bien conservé et dont ses adversaires ignoraient l’existence.
Quand l’adversaire des âmes, le diable, destructeur, prince des ténèbres, menteur et père du mensonge, voleur, vient pour « dérober, égorger et détruire », comme Jésus-Christ nous en avertit (Jean10 :10), pouvez-vous montrer l’acte écrit prouvant que vous êtes rachetés, hors de son pouvoir mortel ? Pouvez-vous présenter le titre de propriété établissant que vous êtes enfant de Dieu ? C’est un acte éternel, un document précis mis à votre disposition.
Il importe que vous le possédiez et que, ayant cru au nom du Fils de Dieu, votre Sauveur, vous receviez le nom d’enfant de Dieu (Jean 1: 12).
Ainsi vous pourrez opposer ce texte de la Parole de Dieu -ou d’autres- à celui qui voudrait usurper votre propriété, celle du salut éternel de votre âme, acquise à si grand prix par le sang expiatoire du Seigneur Jésus-Christ.
Je vous ai écrit ces choses, afin que vous sachiez que vous avez la vie éternelle, vous qui croyez au nom du Fils de Dieu, 1 Jean 5 : 13.
3/22/2020 • 3 minutes, 31 seconds
Conversion Charles Studd
Ce fut la logique qui amena Charles Studd (1862-1931), le fondateur de la Croisade Évangélique Mondiale, à accepter le salut.
Un prédicateur, invité pour le week-end par son père, cherchait à lui parler.
Comme j’allais sortir pour jouer au cricket, il réussit à mettre le grappin sur moi, alors que je ne m’y attendais pas et me demanda si j’étais chrétien. Je pensai que pour me débarrasser de lui, le mieux était de lui répondre le plus exactement possible, et je lui avouai :
— Je ne peux pas dire que je sois ce que vous appelez un chrétien. Je crois en Jésus-Christ depuis que je suis haut comme ça. Et naturellement, je crois à l’Église.
Mais il était collant comme la glue, et reprit :
— Écoute ce verset :
Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle.
—Tu crois bien à la mort de Jésus-Christ ?
— Oui.
— Tu crois que c’est pour toi qu’il est mort ?
— Oui.
— Et crois-tu aussi à la fin du verset : « afin d’avoir la vie éternelle » ?
— Cela non, dis-je, je ne le crois pas.
— Alors, voyons, n’es-tu pas illogique, de croire une moitié de verset et de ne pas croire l’autre ?
Je dus en convenir ! Il insista :
— Tu veux rester aussi illogique toute ta vie ?
— Ah ! bien non, pas toujours …
— Voudrais-tu devenir tout de suite conséquent avec toi-même ?
Je me sentais au pied du mur, et je commençais à craindre d’avoir honte de moi-même si je ne me décidais pas à prendre plus sérieusement les choses. Et après mon acquiescement, il dit :
—Ne te rends-tu pas compte que la vie éternelle est une grâce ? Et quand quelqu’un te donne un cadeau à Noël, qu’est-ce que tu fais ?
Je répondis que je le prenais en disant merci.
— Alors, dit-il, pour ce don-là, ne veux-tu pas dire « merci » à Dieu ?
Ce « merci », oui, je le prononçai devant Dieu à genoux. Et à l’heure même et dans cette salle, la joie et la paix entrèrent dans mon cœur. J’appris alors ce que c’était que « naître de nouveau ». La Bible, jusqu’alors si aride, devint tout pour moi.
Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle, Jean 3 : 16.
3/21/2020 • 3 minutes, 39 seconds
La conversion d'un enfant
J’ai eu le privilège d’avoir des parents chrétiens pratiquants ; mais on ne naît pas chrétien, on le devient seulement par la repentance et la foi personnelle en Jésus-Christ, le Sauveur. Je me rappelle très bien que je me trouvais face à un choix capital : accepter ou ne pas accepter mon Sauveur. Recevoir ou ne pas recevoir le Christ vivant, dans ma vie. Mais un jour béni, vers mes 13 ans, poussé par la grâce divine, simplement mais très sérieusement, j’ai écrit une petite lettre à ma chère maman. Je ne me souviens plus des détails mais je me rappelle bien le point central, que je résume ainsi :
« Maintenant, je crois que Jésus-Christ est mon Seigneur et mon Maître et je l’accepte dans ma vie. »
Aujourd’hui encore je ne doute pas que ce fut le point de départ d’une vie nouvelle ; d’autant plus que le Christ désormais en moi commença à me transformer et les changements étaient visibles à la maison et à l’école. Non seulement la conversion d’un enfant est possible mais l’enfant est, par son humilité, sa confiance et sa foi, un exemple à suivre selon le Seigneur lui-même, qui a dit :
Si vous ne vous convertissez et si vous ne devenez pas comme les petits enfants, vous n’entrerez pas dans le royaume des cieux, Matthieu 18 : 3.
3/19/2020 • 2 minutes, 27 seconds
Il aurait pu la dépanner !
Cette histoire authentique a été vécue telle quelle, voici quelques années.
Une dame était assise dans sa voiture, garée le long du trottoir, quand une jeune femme dont la voiture était devant la sienne vint vers elle pour lui demander si elle n’avait pas un marteau à lui prêter. Comme sa réponse était négative, elle s’adressa à un autre automobiliste qui lui en tendit un.
Alors, sans perdre une minute, elle brisa la vitre d’une portière avant de sa voiture et, après être allée rendre le marteau à son propriétaire, elle put enfin se saisir de ses clés. Puis, elle les agita en direction des conducteurs qu’elle avait sollicités, avec un air de triomphe. Enfin, elle se mit à son volant et démarra. Une fois qu’elle fut partie, le propriétaire du marteau s’exclama à qui voulait l’entendre —Si seulement elle m’avait expliqué ce qu’elle voulait, j’aurais pu la dépanner ; je suis serrurier.
Le Fils de l’homme est venu chercher et sauver ce qui était perdu, Luc 19 :10.
3/18/2020 • 2 minutes, 2 seconds
En mémoire de lui.
En 1943, un matin d’été à Auschwitz, à l’appel des détenus, il manque dix hommes. Les représailles sont impitoyables : dix prisonniers, pris au hasard, seront fusillés sous les yeux de leurs camarades.
L’un deux, bouleversé, s’écrie :
— Oh ! Ma femme, mes enfants ! Laissez-moi l’espoir de les revoir un jour !
Silence. Un homme sort du rang. Il s’avance vers le commandant et déclare :
« Je veux mourir à sa place. Moi, je n’ai pas de famille ». C’est un prêtre du nom de Kolbe. Le commandant accepte.
Après la libération, le rescapé n’a pas oublié celui à qui il devait la vie. Il est retourné au camp pour fixer contre le mur des fusillés une plaque à la mémoire du prêtre Kolbe et de son acte héroïque.
Évoquons un sacrifice combien plus grand : celui que la Bible appelle :
L’offrande du corps de Jésus-Christ, faite une fois pour toutes, Hébreux 10 : 10.
Il imposait à notre Sauveur une souffrance que, ni le héros de notre récit, ni aucun homme ne pouvaient connaître : l’abandon de Dieu. Christ s’est substitué à nous pour subir à notre place la terrible condamnation que méritaient nos péchés.
Du sacrifice de Jésus-Christ, il existe même un mémorial, institué par lui-même : le pain et le vin qui, d’une manière silencieuse, rappellent aux chrétiens la mort du Seigneur. Lui-même les invite, pendant le temps de son absence, à perpétuer ce souvenir :
Faites ceci en mémoire de moi, Luc 22 :19.
Personne ne me l’ôte, mais je la donne de moi-même ; j’ai le pouvoir de la donner, et j’ai le pouvoir de la reprendre : tel est l’ordre que j’ai reçu de mon Père, Jean 10 : 18.
3/17/2020 • 2 minutes, 59 seconds
On ne se moque pas de Dieu.
Un vieux paysan des Cévennes, M. Vigne, à qui le Seigneur avait accordé le don de guérison et de puissance du Saint-Esprit, vit un jour venir chez lui, quatre jeunes gens portant sur une civière, un de leurs camarades. Leur but était de « singer » le miracle -décrit dans l’évangile de Marc 2- du paralytique porté par quatre hommes et de jouer un tour à l’homme de Dieu.
Mais celui-ci, inspiré par l’Esprit, demanda au soi-disant malade :
—Est-ce vrai que vous êtes paralysé ?
— Oui, Monsieur, répondit-il, voulant jouer son rôle fidèlement.
—Eh ! Bien, soyez paralysé, répondit le serviteur de Dieu.
Instantanément, le jeune moqueur sentit ses membres se raidir : il était frappé de paralysie ! Par ce miracle (de jugement ?), le Seigneur donna à comprendre à ces impies qu’on ne se moque pas de Dieu !
Puisse ce « fait-divers » authentique donner à réfléchir à ceux qui osent blasphémer le Dieu Tout-Puissant.
Ne vous y trompez pas : on ne se moque pas de Dieu, Galates 6 : 7.
3/16/2020 • 2 minutes, 1 second
Aller où Dieu nous veut.
Lorsque j’eus vingt ans, je fis une merveilleuse expérience. J’avais passé, à douze ans, quelques jours à Strasbourg chez un couple d’un certain âge : ces personnes avaient montré une grande gentillesse à mon égard et j’avais gardé d’eux un excellent souvenir. Puis je les perdis de vue pendant plusieurs années. À mon retour à Strasbourg, je décidai d’aller les voir à l’occasion. Un jour, en marchant dans la rue, je reçus soudain intérieurement l’ordre d’aller au numéro 14 de la rue du Rempart. C’est là qu’habitait le couple. Dans mon esprit, je répondis que je voulais bien y aller mais un autre jour, car je devais alors m’occuper d’affaires plus urgentes, et je continuai ma route. L’ordre devint finalement si insistant, que je m’en retournai et courus en toute hâte au lieu indiqué. Après avoir sonné plusieurs fois, j’entendis dans l’appartement quelqu’un se traîner péniblement vers la porte : c’était la vieille dame. En m’ouvrant, elle me dévisagea et dit :
— Je ne vous connais pas.
Quand je me fis connaître, elle s’écria :
—Comment ? C’est toi ? Tu es envoyé comme un ange du ciel car nous sommes dans une grande détresse. Nous avons crié à Dieu qu’il nous envoie quelqu’un et il t’a envoyé.
Elle me conduisit alors au lit de son mari qui était gravement malade ; elle aussi était malade et ne parvenait plus à se soigner ni à soigner son mari. Or, ils avaient une fille qui était infirmière à Paris : je devais envoyer un télégramme afin qu’elle vienne tout de suite aider ses parents. Après avoir fait le nécessaire, je partis.
Quelques jours plus tard, je dus à nouveau obéir à une contrainte intérieure et, lorsque j’arrivai, ce fut juste à temps pour prier avec le vieil homme mourant. C’était la première fois que je devais prier avec un agonisant. Cet homme put quitter ce monde dans la confiance et dans la paix.
Un ange du Seigneur, s’adressant à Philippe, lui dit : Lève-toi, et va du côté du midi, Actes 8 :26.
3/16/2020 • 3 minutes, 13 seconds
C’est Dieu qui parle Par une révélation de Dieu .
Un pasteur anglais, au cours d’une prédication, précise tout à coup ceci : il y a ici un jeune homme qui a trompé quelqu’un de 3 livres et 18 shillings, il ne retrouvera la paix avec Dieu qu’après avoir restitué cette somme. Quelques jours plus tard, le jeune homme se présente chez le pasteur et lui dit :
— Vous me connaissez ?
— Non ! répond le pasteur.
— Pourtant, dans votre sermon dimanche, vous avez décrit exactement ma faute.
—Je ne sais rien de vous, précise le pasteur, mais c’est Dieu qui m’a fait connaître votre situation.
Souvent en tant que prédicateur nous sommes agressés par des personnes qui, à la fin du culte nous disent : « Mais vous avez raconté ma vie ce matin ! Qui vous en avait parlé avant ? » Je leur réponds :
— Personne, c’est le Saint Esprit qui fait ces choses et nous ne pouvons pas nous y opposer. Remerciez Dieu de vous aimer tellement qu’Il a voulu vous parler ce matin, c’est une preuve de son amour pour vous !
À l’un est donnée par l’Esprit une parole de connaissance,
1 Corinthiens 12 : 8.
3/15/2020 • 2 minutes, 14 seconds
Le vêtement de Dieu
Un grand seigneur incrédule entendait souvent parler d’un de ses paysans fort pauvres mais qui était réputé pour sa grande connaissance de la Bible et pour la sagesse avec laquelle il répondait à toutes sortes de questions.
Le rencontrant un jour, le prince l’accosta :
—Eh bien ! L’ami, j’entends dire que tu connais la Bible d’un bout à l’autre et je voudrais bien apprendre une chose de toi : combien faudrait-il à Dieu de mètres d’étoffe pour se vêtir, puisque les prophètes déclarent qu’il remplit les cieux et la terre ?
Le fermier réfléchit un instant, chapeau bas, puis respectueusement :
—Je crois Excellence, que quatre mètres suffiraient ; cinq en tout cas feraient l’affaire ! »
— Comment ? Que dis-tu ? s’écrie le prince surpris. Tu ne me feras pas croire que tu as vu cela dans la Bible ? »
—Pardonnez-moi Excellence, mais ça y est. Connaissez-vous cette parole de Jésus :
Ce que vous faites à l’un de ces plus petits de mes frères, vous me l’avez fait à moi-même ? Matthieu 25 :40.
Et le roi leur répondra : en vérité, je vous le déclare, chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces plus petits, qui sont mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait !
Enchanté de cette réponse, le prince ordonna que, chaque année, il fût pris sur sa caisse particulière de quoi faire un habit neuf à ce paysan chrétien.
Je suis Jésus que tu persécutes, Actes 9 :5.
3/13/2020 • 2 minutes, 19 seconds
Repos et abandon
Je traitais le sujet de la joie lorsqu’un homme s’approcha de moi :
—Il est facile pour vous de prêcher la joie, mais lorsqu’on est dans le trou noir, eh bien ! On y reste. Si vous étiez à ma place…
— Expliquez-vous, lui dis-je.
— Il y a deux ans de cela, je revenais de mon travail, sifflotant sur ma bicyclette, heureux d’aller retrouver les miens pour le dîner. Je grimpe au deuxième étage, j’introduis la clé dans la serrure, j’ouvre la porte et reste cloué sur place. Mon appartement était entièrement vidé de mes meubles et personne dans la pièce. Ma femme était partie, emmenant mon fils et tout le mobilier avec ! Rien n’aurait pu me laisser supposer ce malheur. Voici maintenant deux ans que je suis sans nouvelle des miens et j’ignore où ils sont. Alors, la joie ! Vous m’avez compris.
— Votre douleur est grande et je la respecte. Ce n’est pas moi qui vous reprocherai de pleurer. Je me garde même de vous demander de changer votre tristesse en joie. C’est impossible. Et d’ailleurs, vous en êtes déjà convaincu.
— J’aime vous l’entendre dire.
— Mon cher ami, vous avez besoin d’un cadeau du ciel. Dieu connaît votre épreuve et considère votre souffrance avec une immense compassion. Pourquoi ne vous accorderait-il pas maintenant Son secours, Sa paix et Sa joie malgré cette douloureuse séparation ? Non pas une joie exubérante de mauvais aloi mais une paix sereine, un vrai don du ciel qui vous redonnerait courage et goût à la vie ?
Ne vous inquiétez de rien ; mais en toute chose faites connaître vos besoins à Dieu par des prières et des supplications, avec des actions de grâces.
Et la paix de Dieu, qui surpasse toute intelligence, gardera vos cœurs et vos pensées en Jésus-Christ, Philippiens 4 :6-7.
3/11/2020 • 2 minutes, 56 seconds
Voir Dieu
L’empereur Trajan demandait un jour à un célèbre docteur juif, Rabbi Josué :
—Où est ton Dieu ?
— Il est partout, répondit le Juif.
— Pourrais-tu me le montrer ? reprit l’empereur.
— Mon Dieu ne peut être vu : nul œil mortel ne pourrait soutenir l’éclat de sa gloire.
Et en prononçant ces mots, le visage du Juif brillait d’une fierté sans pareille.
—Eh, bien, dit Rabbi Josué, si je ne puis vous faire voir mon Dieu, je puis au moins vous montrer un de ses ambassadeurs.
Trajan fit signe qu’il consentait à le voir. Rabbi Josué l’invita à sortir. Il était midi et le soleil brillait de tout son éclat.
—Levez les yeux et regardez, dit le Juif, en désignant le soleil, voici l’un des ambassadeurs de mon Dieu.
— Je ne puis le regarder, dit l’empereur, sa lumière est trop éblouissante.
— Vous ne pouvez regarder en face l’une des créations de Dieu, et vous prétendez voir le Créateur !
L’Éternel dit : Tu ne pourras pas voir ma face, car l’homme ne peut me voir et vivre. Exode 33 :20.
Mes amis, je voudrais vous inviter à regarder une vidéo de la mission que nous venons d'avoir, le mois dernier dans une des Îles des Caraïbes. Le but est de vous faire connaître qu’il existe encore des pays qui accueillent pleinement l’Évangile contrairement à notre vieille Europe !
L’Évangile va de l’avant, ne nous fions pas à ce que nous voyons dans notre pays de France.
Voici la référence de la vidéo : https://youtu.be/9IG1fj0-eGo
Pasteur Jean-Louis Gaillard
3/11/2020 • 2 minutes, 7 seconds
Deux Bibles pour une conversion
Lorsque Caroline et son petit ami (devenu depuis son mari) se sont convertis, ils menaient une existence complètement désorganisée et commençaient à sombrer dans la drogue. L’Évangile changea vraiment tout pour eux, au grand émerveillement de leurs parents, amis et connaissances.
Le papa de Caroline, espagnol vivant en France, se réjouissait de la transformation et en remerciait le Seigneur. Mais en même temps il se sentait un peu dérangé dans sa foi bien traditionnelle. Et lorsque Caroline s’efforçait de lui rendre témoignage, il acceptait mal d’apprendre quoi que ce soit de la part de sa propre fille. Ne sachant plus comment s’adresser à lui, Caroline lui offrit simplement pour Noël deux Bibles : l’une en français, l’autre en espagnol, toutes deux en langage courant et lui recommanda de commencer par le Nouveau Testament.
Lorsqu’au bout de quelques semaines, par affection pour sa fille, également par curiosité, M. Ramirez ouvrit enfin la Bible, il mit son point d’honneur à commencer par la première page. À la lecture de la Genèse, il se posait bien des questions « mais, dit-il, au fur et à mesure que je lisais, les questions semblaient se résoudre d’elles-mêmes. » Il dévora l’Exode, passa sans difficulté le cap du Lévitique et enchaîna un livre après l’autre avec un intérêt grandissant.
Il en était aux prophètes lorsque les vacances le ramenèrent pour un mois dans son Espagne natale. C’est alors que le miracle se produisit. Voici comment il le raconte lui-même :
« Je me revois arpentant les plages d’Espagne. Les larmes me montaient aux yeux tandis que résonnaient dans ma tête ces paroles d’Esaïe :
Ce peuple n’est proche de moi qu’en paroles, c’est du bout des lèvres qu’il m’honore, mais de cœur, il est loin de moi.
Quand j’avais lu ce passage, je m’étais indigné contre le peuple juif qui rejetait le Sauveur. Mais à ce moment-là, je me suis senti repris moi-même et, tout en pleurant, je me suis mis à prier comme jamais je ne l’avais fait. Seigneur, c’est exactement mon portrait. J’ai toujours été chrétien, mais ne je pratiquais que du bout des lèvres. Pardon ! Pardon ! Pardon !
Puis je me suis souvenu aussi de cette autre promesse de Dieu qui parle de jeter dans la mer tous les péchés de ceux qui reviennent à lui et j’ai ajouté : Seigneur, la mer est là, à mes pieds. S’il te plaît, prends mes péchés, fais-en un baluchon et jette-le bien loin. Que mon passé soit oublié. »
Peu de temps après, Mme Ramirez fut également saisie par le Seigneur et c’est sans fausse honte désormais qu’ils se réjouissent avec leur fille des merveilles du Seigneur.
Heureux celui à qui la transgression est remise, à qui le péché est pardonné, Psaumes 32.
3/9/2020 • 4 minutes, 7 seconds
Le sang de Jésus-Christ nous purifie
Luther était malade. Pendant une nuit de fièvre, il crut voir Satan en personne entrer dans sa chambre et se poster au pied de son lit. Il avait en mains un rouleau de papier d’une grandeur prodigieuse qu’il se mit à dérouler avec un sourire de maligne satisfaction sur ses lèvres. Le malade, fixant sur le papier ses yeux étonnés, fut consterné en y lisant l’énumération des péchés de sa jeunesse et de son âge mûr, fautes cachées et fautes manifestées, négligences et transgressions. Tout y était inscrit en caractères aussi noirs que les péchés eux-mêmes l’avaient été et aussi distincts qu’ils devaient l’être, si Dieu les mettait devant la clarté de sa face. Il sentit son cœur défaillir : ce cœur brave et intrépide qui ne faiblissait jamais devant aucun homme s’agita ; cet œil courageux qui regardait en face des princes et des empereurs se troubla en se fixant sur le terrible rouleau. Ses iniquités avaient surpassé sa tête, elles étaient comme un pesant fardeau.
Soudain, une pensée consolante traversa son esprit. Se dressant sur son séant et étendant les bras vers le funeste rouleau, il s’écria avec force : « Tu as oublié une chose, tout cela est vrai, trop vrai mais tu as oublié une chose : le sang de Jésus-Christ nous purifie de tout péché ! » À peine l’eut-il dit que Satan disparut avec son lugubre rouleau.
En Jésus-Christ nous avons la rédemption par son sang, la rémission des péchés, selon la richesse de sa grâce, Éphésiens 1 :7.
Si quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées ; voici : (toutes choses) sont devenues nouvelles.2 Corinthiens 5 :17.
3/8/2020 • 3 minutes, 4 seconds
Choisir de pardonner
Elodie est secrétaire, elle a 25 ans et vit en région parisienne. C’est une jeune femme heureuse et épanouie. Il n’en a pas toujours été ainsi.
À l’âge de 3 ans, son frère a commencé à abuser d’elle. Pendant plus de trois ans, Elodie pleurait souvent, parfois toute la journée. Elle refusait d’aller aux toilettes. Elle se barricadait dans sa chambre ; elle dormait parfois avec un couteau de cuisine sous son oreiller (à 4 ans !). Elle a gardé ce secret pendant 18 ans. Dix-huit longues années de haine et de rancune ! Elle en voulait à mort à ses parents et à son frère.
Un jour, Elodie a tout raconté à Martine, une amie du travail qui l’a écoutée d’une oreille attentive et compatissante. Là Martine lui a appris à s’aimer et à se respecter. Elle lui a parlé d'un homme qui l'avait pardonnée alors qu’elle ne le connaissait pas. Que cet homme avait donné sa vie pour elle.
Un soir, alors qu’elles discutaient autour d’une tasse de café, Martine lui dit : « Si tu veux vraiment t’en sortir Elodie, je ne vois qu’une solution : Pardonne ! » Elodie explose : « Jamais tu n’entends ! Jamais je ne leur pardonnerai ! »
Mais la pensée avait été semée dans son esprit. Les semaines suivantes, Elodie réfléchit aux paroles de Martine. Pardonne, pardonne, pardonne. Ce mot revenait constamment à son esprit. Enfin, un dimanche après-midi, Elodie choisit de pardonner de tout son cœur se rappelant ce que Christ avait fait pour elle alors qu’elle n'avait jamais rien fait pour Lui. Puis elle téléphona à ses parents et à son frère.
Que pensez-vous cher lecteur ? Depuis ce jour-là, elle ne souffre plus. Tout a changé. Elodie éprouve de nouveau de l’affection pour ses parents et pour son frère. Elle revit. Que dis-je ? Elle vit. Enfin !
Si l’un a sujet de se plaindre de l’autre, pardonnez-vous réciproquement. De même que Christ vous a pardonné, pardonnez-vous aussi, Colossiens 3:13.
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3/6/2020 • 3 minutes, 13 seconds
C’est Dieu qui est le maître de toute chose.
Quand Elsa se fit piquer par un scorpion, ce fut pour nous l’occasion d’expérimenter la grâce du Seigneur. Cela arriva à cinq heures de l’après-midi et je réalisai immédiatement que nous n’aurions pas le temps de nous rendre à l’hôpital voisin, distant de plus de 100 km. Nous arriverions trop tard pour administrer une piqûre antipoison à notre chère Elsa.
Il ne me fallut qu’un instant aussi pour me rappeler ma propre douleur lorsque je fus piqué, l’an dernier, également par un scorpion. Une douleur insupportable, à tel point que je m’étais brûlé au premier degré, en trempant ma main dans de l’eau bouillante pour tenter de soulager la douleur. Aussi ma décision fut-elle rapide et résignée : « Rentrons et prions. » Et là, en quelques mots seulement nous avons demandé au Seigneur de guérir Elsa, notre petite fille. J’en avais les larmes aux yeux et la gorge sèche. Vous pouvez imaginer notre reconnaissance lorsque progressivement toute douleur a cessé.
Nous avons un peu mieux compris qu’il fallait nous reposer sur le Seigneur ; et pourtant, la leçon n’était pas complète. Le soir même, je me persuadai que tout était de ma faute, que j’avais laissé dans la cour un tas de bricoles où les scorpions aiment bien se cacher et où les enfants aiment bien jouer. Alors, je décidai de tout nettoyer. Je finis très tard, fatigué et sans avoir rien trouvé ! Le lendemain matin au réveil, Rémi trouva un scorpion pris au piège dans une casserole laissée ouverte sur le réchaud ! C’était comme si Dieu me disait : tu vois, ce n’était pas la peine de remuer toute la maison ! C’est Moi qui suis le Maître de toutes choses. Par la suite, nous avons encore trouvé d’autres scorpions, mais nous avons, chaque fois, été protégés.
Beaucoup de douleurs sont la part du méchant, Mais celui qui se confie en l’Eternel est environné de sa protection. Psaumes 32 :10.
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3/4/2020 • 3 minutes, 21 seconds
La petite fille ne perd pas l’espoir
Durant la guerre de sécession aux Etats-Unis, on raconte l’histoire d’un jeune soldat qui avait déserté pour fuir le cauchemar des champs de bataille. Rattrapé, il avait été jugé par une cour martiale et condamné à mort.
En apprenant la nouvelle, les parents du jeune homme eurent le cœur brisé ; c’était leur seul garçon, même s’ils avaient aussi une petite fille. Cette dernière, connaissait de nom le président Lincoln et sa mansuétude. Elle pensa en elle-même : « Si le président savait combien mon père et ma mère aiment mon frère, il ne le laisserait pas fusiller »
Elle supplia son père d’aller à la capitale pour tenter d’obtenir la grâce du condamné. Désespéré, le père lui répondit : « Ce n’est pas possible, la loi doit suivre son cours. On a déjà refusé plusieurs grâces, et le président a déclaré qu’il n’interviendrait plus, et que les sentences des cours martiales seraient désormais exécutées. » Le père et la mère avaient abandonné tout espoir que leur fils pût être gracié.
Mais pas la petite fille, qui ne perdit pas espoir ; à force de persévérance, elle réussit à convaincre sont père de l’emmener prendre le train, afin d’aller de son village à la capitale.
Debout sur le quai de la gare, la petite fille sentit son cœur battre lorsque le train arriva ; mais ce n’était pas de la peur, plutôt de l’excitation, à l’idée de ce premier grand voyage loin de chez elle, et de sa future rencontre avec le président des Etats-Unis.
Lorsqu’elle arriva devant la Maison-Blanche, les soldats qui en contrôlaient l’accès voulurent l’empêcher de passer ; mais elle raconta les raisons de sa venue. Les soldats, qui avaient aussi connu la terrible réalité des combats, lui ouvrirent le passage.
Le secrétaire particulier du président refusa de l’introduire auprès de celui-ci ; mais une fois de plus, la petite fille raconta l’histoire de son frère qui l’avait poussé à venir de si loin. Le secrétaire en fut touché et il l’introduisit devant le président.
Quand elle entra dans le cabinet du président Lincoln, elle vit là des sénateurs, des généraux, des gouverneurs, des hommes politiques, tous occupés aux grandes affaires du moment.
Impressionnée, l’enfant s’arrêta. Mais le président la vit, debout devant la porte.
« Que puis-je pour toi ?» lui demanda-t-il ; et l’enfant commença à raconter son histoire, dans son simple langage. Au fur et à mesure que la petite fille parlait, des larmes coulèrent sur les joues du grand homme, qui était père lui aussi.
Il fit rapidement expédier un télégramme pour faire venir le condamné.
Quand il fut arrivé, le président le gracia, lui donna trente jours de congé et l’envoya chez lui rejoindre sa sœur et ses parents, pour que toute la famille puisse se réjouir ensemble.
Comme le brigand qui été crucifié en même temps que Jésus et qui oser lui dire :
« Souviens-toi de moi… » Et Jésus répondit aujourd’hui tu seras avec moi dans le paradis !
Évangile de Luc chapitre 23 : verset 39 à 43
3/4/2020 • 3 minutes, 39 seconds
Le grand Luther découragé.
Martin Luther, le grand théologien du XVIe siècle, est passé par des moments de combats redoutables, au sein desquels il se sentait abattu et défait, tant l’adversité était grande.
Un jour son épouse se présenta devant lui revêtue de vêtements de deuil, ce qui ne manqua pas de l’interpeller.
— Qui est mort ? demanda Luther
— Dieu, lui répondit elle
— Dieu ! s’exclama Luther horrifié. Mais comment peux-tu dire une pareille chose ?
Elle lui répondit :
—Je dis seulement ce que tu es en train de vivre.
Luther prit effectivement conscience qu’il était en train de gérer son existence comme si Dieu n’était plus le Vivant qui voulait prendre un tendre soin de son serviteur. Cette prise de conscience transforma son regard sur sa sombre situation et il retrouva les forces nécessaires pour continuer la lutte dans une tout autre perspective.
Notre parcours de croyant peut également être caractérisé par des vallées profondes, ténébreuses, au sein desquelles notre aveuglement est devenu à ce point profond, que nous ne prenons même plus conscience que le Dieu avec lequel nous avons pu faire alliance est réellement présent avec nous dans toutes nos luttes, prêt à nous secourir. Accueillons-le de nouveau comme celui qu’il est vraiment !
Tu as changé mon deuil en allégresse.
Tu as délié mon sac et tu m’as ceint de joie, Psaumes 30 : 11.
3/3/2020 • 2 minutes, 40 seconds
Elle lui avait pardonné !
Dieu exauce parfois différemment de ce que nous avions pensé, mais aucune requête faite avec foi ne demeure vaine.
Sur la côte suédoise, à quelques kilomètres du rivage, s’élève une petite île. Il y a de nombreuses années, une seule cabane y était bâtie ; au moment de notre récit, elle était habitée par une pauvre femme et son petit garçon, âgé alors de douze ans. On était le 24 décembre, 18 heures. La mer, gelée depuis plusieurs semaines, rendait faciles les communications entre l’île et la terre ferme. Mais Noël qui apporte à chacun, même au plus pauvre, un petit rayon d’espoir semblait avoir oublié les habitants de la petite île isolée. La pauvre mère se mourait, et son fils, à genoux près du lit, pleurait amèrement. Tout à coup, la malade se souleva péniblement et s’assit :
—Patrick, dit-elle, il me semble que si j’avais un peu de ce thé que Peterson t’avait donné, cela me ferait du bien !
—Oui, maman. Je vais t’en chercher ; peut-être qu’avec le secours de Dieu, il te rendra un peu de force.
—Merci… Notre Père t’accompagne et te garde de tout malheur ! Passe aussi à la poste, et demande s’il n’y a pas de lettre de Hjalmar. Dieu veuille le ramener !
Hjalmar était le fils aîné de la veuve. Quatre ans auparavant, il avait été entraîné par des mauvais sujets à quitter la maison paternelle et jamais, depuis, il n’avait donné de ses nouvelles ! Mais la mère malade ne cessait d’attendre et de demander à Dieu le retour de ce fils prodigue. Patrick prit son bonnet, attacha ses patins et, après avoir embrassé sa mère, il sortit de la maison.
La nuit était noire et le vent du nord soufflait avec violence ; mais cela n’effraya pas le jeune garçon. N’avait-il pas fait plusieurs fois cette course par un temps aussi sombre ? N’y allait-il pas de la vie de sa mère ? Et Dieu ne le guiderait-il pas ? Il le Lui demanda avec insistance, puis se mit à patiner vigoureusement vers l’ouest.
Après avoir patiné environ une demi-heure, il commença à chercher de tous les côtés les lumières du village où demeurait Peterson, mais aussi loin qu’il pouvait voir, il n’apercevait que la nuit. De nouveau, il éleva son âme à Dieu et se remit à patiner avec plus de confiance.
Au bout d’une autre demi-heure qui parut bien longue à Patrick, il remarqua enfin une lumière partant d’une petite maison. Prenant encore quelques élans, il aborda à sa grande surprise une petite île. Quand il ouvrit la porte de la maisonnette, il aperçut une dizaine d’hommes autour de la table, en train de boire.
—Pardon, dit-il, où est Bannersby ?
—A un mille environ de ce côté (un mille suédois égale 10 kilomètres), répondit un homme, en étendant le bras dans la direction d’où arrivait Patrick.
Celui-ci comprit qu’il s’était avancé vers le nord, s’éloignant ainsi au lieu de se rapprocher de son but, et il éclata en sanglots. — Qu’as-tu ? Lui demandèrent en même temps plusieurs hommes.
—Je me suis perdu ! Mon Dieu ! Que vais-je devenir ?
Et il sanglotait toujours plus fort.
— Où demeures-tu ? Qui est ta mère ?
—Nous demeurons dans une petite île vis-à-vis de Bannersby, et je devais aller chercher des remèdes pour maman qui est mourante.
Quelques-uns des hommes paraissaient émus et ils cherchaient un moyen de l’aider.
— Ecoute, dit l’un d’eux ; nous ne sommes ici que jusqu’à demain soir ; nous retournerons alors sur notre bateau. Reste avec nous cette nuit et demain nous t’accompagnerons.
—Non, non, répondit Patrick, je veux retourner immédiatement. Que deviendrait ma mère si je ne rentrais pas ce soir ? Ô mon Dieu ! Aie pitié de moi ! ...
3/1/2020 • 7 minutes, 52 seconds
Etienne et le canard.
Il était une fois un prince qui vivait seul dans un magnifique château. Il décida un jour d’adopter un garçon de huit ans. Ce fils adoptif s’appelait Etienne.
Un matin, le prince mis sa main derrière le dos d’Etienne et le conduisit sur la terrasse de son château.
Il lui fit découvrir un parc magnifique et un immense bassin dans lequel s’ébattaient de beaux canards. Il pourrait désormais jouer avec tous les animaux qui vivaient dans ce parc. La seule chose que le prince lui recommanda fut de prendre soin des canards qui lui étaient si chers.
Un jour où Etienne jouait avec son arc, il tua l’un des canards en manquant sa cible. Etienne comprit son erreur et tout en pleurs décida d’enterrer le canard sans rien dire à personne. Pris de remords, Etienne ne pouvait plus dormir, revoyant ce pauvre canard qui l’appelait dans ses rêves.
Le cuisinier qui avait tout vu l’obligea à devenir son esclave en lui faisant faire les plus sales corvées. Etienne décida alors de tout avouer au prince en lui demandant pardon. Le bon prince qui aimait le Seigneur Jésus lui dit alors, qu’il savait tout et lui pardonna en lui expliquant que Dieu qui voit tout, connaissait son péché et avait envoyé son Fils, Jésus-Christ pour que ses fautes puissent être pardonnées -car quiconque croit en Lui reçoit par son nom le pardon des péchés. Etienne se confia en Jésus et se mit à genoux pour lui demander pardon. Voici ce que nous dit Jean dans sa première épître, chapitre 1 verset 9 :
Si nous avouons nos fautes, nous pouvons nous fier à Dieu. Il nous pardonnera nos péchés.
2/28/2020 • 2 minutes, 56 seconds
Obéir sans comprendre
Un roi oriental désirait un serviteur fidèle et digne de sa confiance personnelle. Voici ce qu’il fit pour le découvrir :
« Faites publier, dit-il à son secrétaire, que je voudrais un homme pour un seul jour de travail ».
L’avis parut étrange. Un seul jour de travail ! Deux hommes se présentèrent. Le roi les engagea pour une certaine somme et leur expliqua le travail à faire.
« Voici, dit-il, un panier et deux seaux. Approchons-nous de ce puits. Il s’agit d’y puiser de l’eau et de la verser dans ce panier. »
Puis il ajouta en s’éloignant : « Je viendrai ce soir me rendre compte du travail accompli ».
Le maître parti, les deux hommes se mirent à la besogne. Après avoir puisé et versé quelques seaux, l’un des ouvriers dit à l’autre :
—Allons-nous continuer jusqu’au soir un travail pareil ? A vouloir remplir ce panier percé, nous avons l’air de deux fous.
—Il m’importe peu d’être mal jugé. Nous faisons ce qu’on nous a commandé de faire. Faisons-le sans vouloir à tout prix deviner les motifs du patron.
—Tu ne voudrais pas, reprit le premier, non, tu ne voudrais pas que je passe mon temps à une occupation aussi ridicule que celle-ci. Le roi s’est moqué de nous. Je me sens tout honteux. Nous serions pour le reste de nos jours la risée publique, si quelqu’un nous voyait !
Alors, laissant là son seau, il s’en alla. L’autre continua de vider ses seaux d’eau dans le panier toujours vide…
Or, il finit, le soir, par découvrir le sable du fond du puits. Mais qu’aperçut-il là, étincelant entre quelques pierres communes ? Un joyau d’un prix fabuleux.
—Ah, je comprends, dit-il alors, pourquoi je devais verser l’eau dans le panier. Celui-ci devait retenir cette pierre rare, dans le cas où je l’aurais tirée du puits avant qu’il ne soit vide.
Le roi se présenta peu de temps après.
—Je te félicite, lui dit-il, de ton obéissance parfaite. Tu as été fidèle dans l’œuvre étrange que je t’avais donnée à faire. Et quoiqu’elle ait été incompréhensible pour toi, tu as su faire la volonté de ton roi. Dès aujourd’hui, tu as ma confiance, et tu te tiendras toujours à la droite de ton Seigneur, car c’est là la vraie place du serviteur fidèle.
2/27/2020 • 3 minutes, 21 seconds
L’obéissance indispensable à notre salut !
Au cours d’un vol d’essai, un pilote fut frappé de cécité temporaire. Par un message radio, il en avertit immédiatement le contrôleur aérien. Un de ses confrères, dépêché auprès du contrôleur pour assister le pilote en difficulté lui dit : « Suivez mes ordres à la lettre. »
Pour familiariser le pilote aveugle à cette nouvelle situation, son collègue lui fit survoler plusieurs fois la piste pour présentation finale en vue de l’atterrissage. Tous les moyens de sécurité ayant été mis en place à proximité de la piste, le guidage final commença.« Maintenant, descendez sur la finale, bien ! Accentuez la descente, virez légèrement à gauche, bien ! Maintenez le cap. Réduisez la vitesse, sortez les volets, le train, très bien ! »
Ainsi continua le guidage depuis le sol, de "cet avion aveugle", pendant quelques minutes qui paraissaient interminables. A l'approche de la piste pour l'atterrissage, le pilote continua à guider son collègue.
« On approche du sol, nous sommes à 5 mètres, réduisez les gaz et augmentez légèrement l'assiette, très bien ! »
Le pilote exécuta un atterrissage parfait et fut sauvé ; peu après il retrouvait la vue.
Tout ce que Dieu nous demande c’est une obéissance à 100 %.
Abraham obéit […] il partit […] sans savoir où il allait, Hébreux 11 : 1-12.
Retrouvez-moi sur ma chaîne @jeanlouisgaillard8
2/26/2020 • 2 minutes, 36 seconds
Fidèle dans les petites choses
—Eh bien, ma fille, disait une maîtresse de maison à sa jeune bonne, vous me dites que vous venez de vous convertir. Qu’est-ce que ça signifie ?
—Cela veut dire que je crois que le Seigneur Jésus est mort et ressuscité, pour moi. Il m’a sauvée et je lui ai donné ma vie.
—Mais qu’est-ce que cela peut bien me faire ?
—Il faut que je vous le dise franchement, Madame. Avant, quand je balayais le couloir, jamais je n’ôtais le paillasson ; je passais le balai tout autour, seulement. Mais depuis que je suis convertie, je l’ôte à chaque fois et je balaie soigneusement par-dessous. Jésus a recommandé à ses disciples d’être fidèles dans les petites choses pour l’être aussi dans les plus grandes (Luc 16 :10).
Sommes-nous dans le domaine de notre travail comme dans tous les autres domaines de notre vie, une preuve vivante que Jésus-Christ a transformé notre cœur ?
Celui qui est injuste dans les moindres choses l’est aussi dans les grandes.
Alors, chaque jour à travers notre travail, à travers toutes les situations de notre vie nous avons l’occasion d’être une preuve vivante que Jésus-Christ a transformée notre cœur et notre manière de faire les choses.
2/25/2020 • 2 minutes, 14 seconds
Témoignage dans l’étang !
Dans un petit village de Russie, neuf croyants désiraient se faire baptiser. Cela devait se faire en secret. Il y avait un étang près d’une fabrique. L’eau n’était pas trop propre, mais pour les candidats au baptême, c’était sans importance. Il restait cependant un problème : le gardien de nuit.
— Oh ! Nous pouvons prendre le risque, dit l’un d’eux. Le gardien est âgé, il ne voit que des ombres.
Sur le coup de minuit, les croyants apparurent en robe blanche immaculée. Au point du jour, ils avaient tous disparu en silence et regagné leur foyer.
Et le gardien de nuit ? Avait-il remarqué quelque chose ?
Le lendemain matin, il se tenait devant la porte du directeur, les genoux tremblants. Quand le chef du personnel arriva, il demanda aussitôt à lui parler. Les yeux exorbités, les cheveux en bataille, il bégaya : « Cher-camarade… p-plus jamais… Je démissionne… neuf anges… cette nuit il y avait neuf anges dans l’étang ».
2/23/2020 • 2 minutes, 11 seconds
Aux urgences !
Cette histoire se passe dans un hôpital de campagne où le chirurgien venait d’être appelé, pour une opération urgente. Il répondit à l’appel, alla directement au bloc opératoire.
En voyant le médecin arriver, le papa s'écria :
— Pourquoi avez-vous pris tout ce temps pour venir ? Vous ne saviez pas que la vie de mon fils est en danger ? Vous n’avez pas le sens de vos responsabilités ?
Le médecin sourit et dit :
— Je suis désolé, je suis venu le plus rapidement possible après avoir reçu l’appel… Et maintenant, je souhaite que vous vous calmiez afin que je puisse faire mon travail !
— Me calmer ? Si votre propre fils mourait maintenant que feriez-vous, dit le père en colère.
Le médecin sourit encore et répondit :
— Je dirai : De la poussière nous sommes venus et poussière, nous retournerons, béni soit le nom du Seigneur. Les médecins ne peuvent pas prolonger des vies. Allez et prier pour votre fils, nous ferons de notre mieux par la grâce de Dieu.
— C'est facile de donner un conseil quand on n'est pas concerné, murmura le père.
L’opération dura quelques heures après lesquelles le médecin sortit satisfait et content.
— Merci Seigneur ! Votre fils est épargné. Si vous aviez d’autres questions, demandez à l’infirmière !
Une fois le médecin parti, le père dit à l'infirmière :
— Pourquoi est-il si arrogant ? Il ne pouvait pas attendre quelques minutes pour me parler de l’état de mon fils ?
L’infirmière répondit, les larmes dans les yeux :
— Son fils est mort hier dans un accident de voiture, il était à l’enterrement quand nous l'avons appelé pour opérer votre fils. Et maintenant qu’il a épargné la vie de celui-ci, il est reparti pour finir l’enterrement de son propre enfant.
Ne jamais juger personne parce que vous ne savez pas ce que celle-ci peut traverser en ce moment.
2/21/2020 • 3 minutes, 27 seconds
32 La consécration
A l’issue d’un culte dans une église africaine, on passa le panier pour prélever les offrandes. Il s’agissait d’une sorte de grande corbeille, une calebasse, en forme de plat rond, servant à recueillir le manioc.
Assis sur le dernier banc de l’église, se trouvait un petit garçon qui observait d’un air songeur ce panier qui passait de rang en rang. La tristesse le gagna à la pensée qu’il n’avait rien à offrir au Seigneur.
Entre temps, le panier arriva à son niveau et, à la stupeur des fidèles, il s’assit dans le panier en disant :
« La seule chose que je possède, je la donne au Seigneur ».
Je vous exhorte donc, frères, par les compassions du Dieu vivant, à offrir vos corps comme un sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu et qui sera de votre part un culte raisonnable !
2/19/2020 • 1 minute, 57 seconds
Sacrifice ou privilège ?
Deux riches chrétiens, un homme d’affaires et un avocat, entreprirent ensemble de faire le tour du monde. Un jour qu’ils visitaient la Corée, ils aperçurent, au milieu d’une rizière, trois femmes de différents âges, attelées à une charrue en bois, très ancienne, dirigée par un vieillard.
L’avocat, étonné, prit une photo de cet étrange tableau. —Ce doivent être de pauvres gens, dit-il au missionnaire qui leur servait de guide et d’interprète.
— Effectivement, répondit celui-ci très calmement, c’est la famille de Cho Wang. Quand, l'année dernière, un lieu de culte fut construit, ils auraient vivement voulu apporter leur participation, mais ils n’avaient pas d’argent. Ils vendirent alors leur bœuf et donnèrent toute la somme à l’église. C’est pourquoi, ce printemps, ils tirent eux-mêmes leur charrue.
Les deux voyageurs restèrent un moment pensif puis, ému, l’avocat rompit le silence et dit :
— Ce dut être un réel sacrifice !
— Ils ne le considèrent pas ainsi, répondit le missionnaire, ils s’estiment très privilégiés d’avoir eu un bœuf à vendre.
Le missionnaire appela l’une des femmes, c’était la maman, malgré la fatigue que l’on pouvait voir, elle avait un grand sourire provenant d'une joie profonde. On ressentait que Jésus Christ vivait pleinement en elle. Les touristes n’eurent rien à ajouter mais, de retour chez eux, l’avocat montra la photographie à son pasteur et lui conta l’histoire qui l’avait si profondément impressionné.
—J’ai décidé, dit-il, de doubler mes offrandes à l’église, et je désire que vous me donniez quelques travaux de labour à faire. Je n’ai jamais donné à Jésus-Christ quoi que ce soit qui me coûte vraiment. J’ai dû faire le tour du monde pour enfin le réaliser.
Je n’offrirai pas à l’Eternel, mon Dieu, des holocaustes qui ne me coûtent rien. 2 Samuel 24 :24.
2/19/2020 • 2 minutes, 39 seconds
Le panier d’eau
Voilà ce qui arrive quand tu lis la Bible : Il y avait un petit garçon qui vivait avec son grand-père dans une ferme. Chaque matin, le grand-père, chrétien, se levait tôt et prenait un peu de temps pour lire les Écritures. Son petit-fils essayait de l’imiter, mais un jour lui demande : « Grand-père, j’essaie de lire la Bible, mais le peu de fois où j’arrive à y comprendre quelque chose, je l’oublie presque aussitôt. Alors à quoi ça sert ? Autant que je ne la lise plus ! ».
Le grand-père termine tranquillement de mettre le charbon — qu’il tient dans un panier — dans le poêle, puis dit à son petit-fils : « Va au fleuve et apporte-moi de l’eau ».
L’enfant y va, mais bien entendu quand il revient il n’y plus d’eau dans le panier.
Le grand-père ricane et dit : « Ben alors, tu dois être plus rapide. Allez, vas-y, retourne au fleuve et prends de l’eau ».
Naturellement, cette autre tentative échoue elle aussi.
Le petit-fils, qui a perdu son souffle, se dit « c’est impossible », et va chercher un seau. Mais le grand-père insiste : « Je ne t’ai pas demandé un seau d’eau, mais un panier d’eau. Retourne au fleuve ». Le jeune sait qu’il n’y arrivera pas, mais y va quand même pour montrer au vieil homme que c’est inutile. Il a beau être rapide l’eau filtrait des trous du panier.
Il revient du fleuve et rapporte le panier vide à son grand-père, en disant : « Tu vois bien ? ça ne sert à rien ! ». « Tu es sûr ? – dit le grand-père – regarde un peu le panier ».
L’enfant regarde : le panier, qui était tout noir à cause du charbon, est maintenant parfaitement propre ! « Fiston, voilà ce qui arrive quand tu lis la Bible. Tu ne comprends pas tout, ne te souviens pas toujours de ce que tu as lu, mais quand tu la lis, c’est à l’intérieur de toi que ça change. Dieu travaille comme ça dans nos vies, il nous peaufine intérieurement, et peu à peu nous transforme pour que nous puissions lui ressembler ».
2/18/2020 • 3 minutes, 12 seconds
Réflexions devant un tableau !
Un groupe de touristes visitant un musée s’arrêta devant un célèbre triptyque représentant le Jugement dernier. Le guide commente le tableau en précisant : « Les méchants sur la partie gauche sont conduits en enfer… tandis que les justes sont introduits au Paradis… ».
— Les justes ? Alors, je n’ai plus d’espoir, dit l’un des visiteurs à son voisin, et vous ?
— Moi, Monsieur, je ne suis pas méchant.
— Alors vous êtes juste ?
— Oh non, je n’ai pas dit cela, qui peut d’ailleurs dire qu’il a toujours été juste ?
— Vous avez raison, car Dieu déclare lui-même dans la Bible : Il n’y a pas de juste, non pas même un seul, Romains 3 : 10. Or, il n’y a, comme l’illustre ce tableau, que deux catégories : les justes et les méchants. Si vous ne vous considérez pas comme un méchant, vous ne pouvez profiter de l’œuvre du Christ pour devenir juste devant Dieu. Jésus est mort pour des impies, Romains 5 : 6).
La conversation se poursuivit tout au long de la visite, puis les deux touristes échangèrent leurs adresses. Dieu se servit de cet entretien pour réveiller la conscience de celui qui ne s’estimait pas « méchant ». Peu de temps après, un coup de téléphone où perçait l’inquiétude :
— Que dois-je faire pour être sauvé ?
— Rien, sinon croire au Fils de Dieu mort pour les méchants que nous sommes tous. Il a subi le jugement que nous méritions vous et moi.
Mais Dieu, qui est riche en miséricorde, à cause du grand amour dont il nous a aimés, nous qui étions morts par nos offenses, nous a rendus à la vie avec Christ, c’est par grâce que vous êtes sauvés, Ephésiens 2 : 4-5.
2/16/2020 • 2 minutes, 47 seconds
Plus vite au but ?
Au soir de sa vie, un croyant qui avait fidèlement observé le jour du repos affirmait qu’on accomplissait plus de besogne en six jours de travail, suivis d’une journée de halte, qu’en sept jours d’une activité ininterrompue. C’est certainement vrai, et le témoignage suivant vient démontrer cette affirmation.
Au siècle dernier, un pionnier américain des États du sud s’engagea à la tête d’une caravane dans des régions désertiques en direction de la côte ouest (ceci se passait bien avant la construction de la ligne de chemin de fer reliant l’Atlantique au Pacifique).
Au matin du premier dimanche de ce long voyage, raconte-t-il, je laissais paître les chevaux tandis que le personnel se détendait et qu’en famille nous nous consacrions à la louange et à la lecture de la Bible. Or, une partie de la caravane décida de poursuivre la route, afin d’arriver plus vite au but. Ils levèrent le camp sans nous ce dimanche matin, non sans avoir ironisé sur notre façon d’agir. Je ne pus les rejoindre que le jeudi de la semaine suivante, c’est-à-dire dix jours plus tard seulement. Et parce que notre caravane fit halte trois jours après (donc le troisième dimanche), les autres reprirent l’avantage, mais pour peu de temps. Déjà le mardi nous les avions rattrapés. Dès lors, nous eûmes toujours de l’avance sur eux, l’écart se creusant au fil des jours. Nous arrivâmes au terme de notre voyage deux semaines avant eux. Notre personnel ainsi que les montures étaient en excellent état physique, tandis que nos compagnons de départ avaient perdu des chevaux en cours de route, la plupart des hommes étaient littéralement exténués après avoir parcouru 4 à 5 000 km dans des conditions difficiles.
Observe le jour du repos, pour le sanctifier, comme l’Eternel, ton Dieu, te l’a ordonné.
Tu travailleras six jours, et tu feras tout ton ouvrage.
Mais le septième jour est le jour du repos de l’Eternel, ton Dieu : tu ne feras aucun ouvrage, ni toi, ni ton fils, ni ta fille, ni ton serviteur, ni ta servante, ni ton bœuf, ni ton âne, ni aucune de tes bêtes, ni l’étranger qui est dans tes portes, afin que ton serviteur et ta servante se reposent comme toi.
Tu te souviendras que tu as été esclave au pays d’Egypte, et que l’Eternel, ton Dieu, t’en a fait sortir à main forte et à bras étendu : c’est pourquoi l’Eternel, ton Dieu, t’a ordonné d’observer le jour du repos, Deutéronome 5 : 12-15.
2/14/2020 • 2 minutes, 48 seconds
Sagesse humaine et sagesse de Dieu !
Dans un coin perdu des Indes, un missionnaire fut tout surpris de trouver soixante-dix convertis de l’hindouisme qui demandaient le baptême. Parmi eux, un tout jeune homme d’une quinzaine d’années se tenait à l’écart. Le jugeant vraiment trop jeune il lui dit :
« Ecoute, mon garçon, je crains que tu n’aies pas compris ; un retour en arrière de ta part nuirait au témoignage de l’Evangile ; mais je reviens dans six mois, si je te trouve fidèle je pourrai alors t’accepter. »
Alors on vit tout le groupe se lever spontanément et l’un des convertis s’écria au nom de tous :
« Mais Monsieur, c’est lui qui nous a enseigné tout ce que nous savons de Jésus-Christ. »
C’était l’instrument dont Dieu s’était servi pour faire Son œuvre. L’Evangile n’est pas une question d’âge mais de cœur.
2/13/2020 • 1 minute, 49 seconds
Déménagez….
Marie-Céleste vous a envoyé un message, le 20 Avril à 12 : 26.
Objet : Bonjour Pasteur
J’aime beaucoup vous écouter sur Enseignemoi.com et sur d’autres sites. Je suis née de nouveau en 2006 après un divorce, puis, une grande dépression. A cette époque, je voulais mourir. Et là, j’ai rencontré une chrétienne, j’ai suivi l’étude biblique, me suis fait baptiser après 6 ans de doute. Je dois vous dire, que je suis quelqu'un de cartésien, et, ma vie n’a pas été un long fleuve tranquille, je dirais plutôt, un torrent tumultueux ou j’ai dû m’accrocher pour ne pas me noyer.
J’avais espéré que ma vie s’arrangerait, en devenant chrétienne et que DIEU transformerait ma vie,
Cela fait maintenant 6 ANS.
A ce jour, je suis toujours dans la solitude, sans mari, dans un petit appartement, avec une petite voiture, sans travail et avec les aides de l’Etat. J'aime toujours Dieu et sa Parole mais j’ai baissé les bras. L’attente a desséché mes os et ma foi est en berne.
J'ai pourtant prié, supplié, attendu, espéré mais rien que le désert. Je pense que ça vient de moi. Quelque chose qui cloche. Mais quoi ?
Pasteur, MERCI de me répondre si vous avez le temps.
Marie-Céleste Martin
Chère Marie Céleste,
Après avoir lu votre lettre, j’ai un conseil à vous donner : Déménager ! Je vois que Marie-Céleste demeure dans la « Rue des Plaintes ». J’y ai moi-même habité quelque temps, et jamais je ne me suis bien porté. L’air était malsain, la maison était malsaine, l’eau était malsaine, les oiseaux n’y chantaient jamais, et moi-même, j’étais triste et de mauvaise humeur…
Mais, j’ai déménagé, je suis allé habiter « Rue de la Reconnaissance » et depuis lors, je me porte bien, ma famille aussi. L’air y est pur, l’eau y est pure, la maison est saine et exposée au soleil, les oiseaux chantent et je suis heureux du matin au soir.
Eh bien ! Si j’ai un conseil à vous donner, c’est de déménager vous aussi. Il y a beaucoup de maisons à louer dans la « Rue de la Reconnaissance » et, si vous voulez y venir, je suis sûr que y serez transformée, et je serai moi-même très heureux, de vous avoir comme voisine ».
Vous verrez que, même dans un petit appartement de la rue de la Reconnaissance, vous aurez toujours assez de place pour y accueillir diverses personnes, votre vieille voiture sera toujours une grande aide pour tous ceux que vous transporterez avec joie ! Et vous retrouverez rapidement une bonne santé.
Réfléchissons plus souvent aux multiples dons que Dieu nous fait. Plutôt que de nous lamenter sur ce qui nous manque ou sur ce qui ne va pas, efforçons-nous de faire le compte de ses bienfaits ; nous ne pourrons que confirmer :
« Dieu est amour ».
Mon âme, bénis l’Eternel, et n’oublie aucun de ses bienfaits, Psaume de David 103 : 2
En tout et partout j’ai appris à être rassasié et à avoir faim, à être dans l’abondance et à être dans la disette, Philippiens 4 : 12.
Salutations en Jésus-Christ Votre serviteur : Jean-Louis Gaillard
2/12/2020 • 4 minutes, 53 seconds
Notre Père qui est dans les cieux !
Alors que j'étais en train de lire le verset de Jean 16 verset 27 « Car le Père lui-même vous aime. Il vous aime parce que vous m’aimez et que vous croyez que je suis venu de Dieu. »
« Vous savez, me disait Manu, un jeune qui avait grandi dans un foyer désuni, ces versets sont sûrement très beaux, mais ne me disent rien du tout. Je n’ose pas vous raconter ce qu’a été mon père pour ma mère et pour moi ».
Avec la multiplication des divorces et des abandons de famille, beaucoup de jeunes ont grandi comme Manu, frustrés des joies de l’enfance, sans savoir ce que c’est qu’un vrai père.
Savez-vous qu’il y a un Père qui ne vous décevra jamais et qui est prêt à vous accueillir aujourd’hui même ?
Ouvrez-vous à l’amour de Dieu et vous ferez l’expérience qu’Il est :
- Le seul qui soit fidèle ; les hommes changent, Lui reste le même.
-Le seul qui puisse exercer une autorité compétente :
Votre Père sait de quoi vous avez besoin, Matthieu 6 : 8, cela suffit ; Il s’intéresse au moindre détail de notre vie. Son Autorité pleine de douceur rassure et engage à la crainte de Dieu, un respect qui redonne place et dignité à l’homme.
-Le seul qui joint la bonté à la force : vous vous confierez dans sa Toute-puissance, en sachant que vous pouvez compter sur sa compréhension pour tous vos problèmes.
-Le seul toujours à l’écoute des plaintes les plus secrètes et informulées ; chacun de ses enfants est l’objet de son Amour.
Tu as vu que l’Eternel, ton Dieu, t’a porté comme un homme porte son fils, pendant toute la route que vous avez faite jusqu’à votre arrivée en ce lieu, Deutéronome 1 : 31.
2/11/2020 • 3 minutes, 10 seconds
Plus que 2 heures à vivre !
Avoir 17 ans, et n’avoir que deux heures à vivre ! Ma vie se présentait bien, quand tout à coup, la mort posa sa main glacée sur mon front, j’allais mourir… Je voulais vivre : le médecin, debout au pied de mon lit, affirmait d’un ton froid la terrible sentence :
« Je ne peux plus rien faire, pas même prendre du sang pour une analyse, et l’hémorragie continue… Appelez d’urgence ceux qui veulent encore le voir ; ce garçon ne vivra pas plus de deux heures. »
Mon esprit tourbillonnait. Deux heures de vie ! C’était donc mon dernier soir sur cette terre ! Je me tournai faiblement dans mon lit… Quand tout à coup la vision d’un cercueil se présenta à moi : quelle nuit épouvantable !
Epouvanté, je me tournai de l’autre côté du lit, quand une énorme Bible se présenta à moi : elle était ouverte et suspendue au-dessus de mon lit. Une voix me parla comme une voix humaine ne m’avait jamais parlé. « Lester, laquelle de ces deux choses veux-tu choisir ce soir ? »
Oh ! Je comprenais bien ce que voulait dire cette voix. Dieu m’avait souvent appelé, mais j’avais toujours dit non. Mais la mort était couchée dans mon lit ; j’entendais les sanglots contenus de mes parents ; le docteur m’avait fait ses adieux ; par une violente toux, je perdais tout mon sang. Quelle serait ma réponse à Dieu ? Je devais prendre une décision : la Bible ou le cercueil.
Ô Dieu, si tu me relèves de cette maladie, je te promets de choisir la Bible et de la garder ouverte, peu importe où tu m’enverras dans ce vaste monde.
La décision était prise, la paix revint en moi. Le lendemain matin, ma famille fut surprise de me voir encore en vie, et encore plus quand je leur dis que j’avais faim ! Les forces revinrent : trois jours après, je me levai, et marchai dans la chambre. Une semaine plus tard, je fis ma première sortie en auto ; trois semaines plus tard, je parlai en public : mon ministère biblique était commencé.
Depuis ce jour-là, je n’ai jamais cessé de proclamer Sa Parole, j’ai eu le privilège d’apporter la Bible dans plus de soixante pays, et partout j’ai raconté l’histoire du jeune homme que Dieu sauva et guérit, alors que je n’avais plus que deux heures à vivre.
J’en prends aujourd’hui à témoin contre vous le ciel et la terre :
J’ai mis devant toi la vie et la mort, la bénédiction et la malédiction. Choisis la vie, afin que tu vives, toi et ta postérité, Deutéronome. 30 :19.
2/10/2020 • 3 minutes, 29 seconds
L’appel, du commencement à la fin.
L’évangéliste le plus sincère risque quelquefois de bousculer les personnes en les invitant à la conversion et au salut. Le colonel Malan ne courait pas ce danger, car il avait pour principe de ne point terminer ses réunions par un appel à la décision. « Quand l’eau vive du Saint-Esprit est là, les âmes viennent y puiser d’elles-mêmes », avait-il coutume de dire. Ce souci de ne pas faire pression sur les auditeurs réussissait admirablement. Avant même que le Colonel ait fini de parler ou même de chanter, les gens, profondément touchés et remués, s’approchaient du banc de la repentance. Pendant une ‘mission’ à La Chaux-de-Fonds, ils furent plus de soixante à le faire, cent quatre-vingt-dix à Genève, cent quarante à Rorbas, plus de deux cents à Bâle.
Partout où passaient ces messages du ciel, un vent de réveil et de renouveau se levait et faisait sentir ses effets parfois dans tout le village ou la ville.
Il en fut particulièrement ainsi à Rorbas dans le canton de Zurich où un homme sortit du bistrot, traversa la rue, et alla directement se jeter au banc des Pénitents dans la salle de l’Armée du Salut, où le Colonel Malan présidait la réunion.
A une autre occasion où le Colonel avait été invité à tenir des réunions d’évangélisation au temple d’Yverdon, le pasteur, n’étant pas très favorable mais ayant dû céder aux pressions de son conseil presbytéral, vint le jour venu au-devant de la Colonelle, il lui dit d’un air gêné :
— Madame la Colonelle, dans notre temple nous n’avons pas l’habitude des appels à la fin des réunions, ce n’est pas dans nos conceptions, je vous serais donc reconnaissant de ne pas faire d’appel à la fin.
—Vous avez parfaitement raison, lui répondit alors Mme Malan, nous ne ferons pas d’appel à la fin de la réunion, car nos réunions sont un appel du commencement à la fin !
A peine cette réunion mémorable était-elle commencée que l’on vit alors à la stupéfaction générale une dame se lever, s’avancer d’un pas tranquille et décidé jusqu’au pied de la table de communion se mettre, toute émue, à genoux sur la pierre nue, c’était la femme du pasteur… Elle fut bientôt suivie d’une deuxième, c’était la femme du président de la paroisse. Dieu agissait puissamment !
2/6/2020 • 3 minutes, 27 seconds
Depuis combien de temps !
Depuis combien de temps ?
James Hudson Taylor, l’un des premiers missionnaires à aller en Chine, raconta un jour l’histoire de ce jeune converti chinois qui, rempli de joie et de fougue dans sa foi toute neuve, lui posa cette question :
— Depuis combien de temps connaissez-vous cette merveilleuse nouvelle de L’Evangile, la possibilité de redémarrer une vie nouvelle, d’être pardonné de ses péchés ? Depuis combien de temps connaissez-vous cela dans votre pays ?
— Nous la connaissons depuis très longtemps, répondit-il, depuis des centaines d’années.
— Des centaines d’années ? S’exclama cet ancien responsable bouddhiste. Et vous n’êtes jamais venu nous en parler ! Mon père a cherché la vérité, ajouta-t-il avec tristesse, il a cherché longtemps et il est mort sans la trouver. Oh, pourquoi n’êtes-vous pas venu plutôt ?
Comment croiront-ils en celui dont ils n’ont pas entendu parler ? Et comment en entendront-ils parler s’il n’y a personne qui prêche ? Romains 10 : 14.
Allez, faites de toutes les nations des disciples, Matthieu 28 :19.
1/17/2020 • 1 minute, 44 seconds
Le prix du refus !
Dialogue entre deux étudiants :
— Si tu savais combien je suis heureux depuis que j’appartiens au Seigneur !
— Oui, je le vois bien et je voudrais être comme toi ; mais je suis arrêté par la pensée de tout ce qu’il me faudrait laisser pour me convertir. Il en coûte de se donner à Dieu !
— C’est vrai ce que tu dis. Mais, j’ai deux choses à te répondre : d’abord que le Seigneur n’est jamais notre débiteur. Selon sa promesse, il donne le centuple de ce qu’on peut abandonner pour Lui. Ensuite, considère ce qu’il en coûte de rester loin de Lui. Fais le compte, et n’attends pas pour te décider.
On raconte qu’un vaisseau, « The Royal Charter », a coulé le 26 octobre 1859 avec 450 personnes à bord. C’était une nuit d’affreuse tempête. Le capitaine avait envoyé des signaux de détresse. Un transport de troupes était en vue.
— Pour quel prix nous remorquerez-vous ? demanda le capitaine. Nous avons une voie d’eau.
Le transporteur répondit par un prix, mais le capitaine refusa en disant :
— Je courrai ma chance.
Moins de deux heures après, c’était l’épouvantable tragédie, en vue même de la côte.
Ne soyez pas aussi fou que le capitaine du Royal Charter, et si Jésus vous demande, de devenir votre pilote, de lui abandonner votre vie acceptez sans hésiter.
Je vous le dis en vérité, il n’est personne qui, ayant quitté, à cause de la Bonne Nouvelle, sa maison, ou ses frères, ou ses sœurs, ou sa mère, ou son père, ou ses enfants, ou ses terres, ne reçoive au centuple dans ce siècle-ci […] la vie éternelle, Marc 10 : 29-30.
1/15/2020 • 2 minutes, 59 seconds
Tragique solitude !
Sur une colline, dans la grande forêt équatoriale, vivaient dix buffles. Ils étaient connus pour leur amour mutuel : chaque jour, ils paissaient ensemble. Il y avait aussi un lion qui rôdait autour de cette colline, à la recherche de sa proie. Il savait qu’il était capable de tuer les buffles un à un, mais il avait peur d’en attaquer un seul pendant qu’ils étaient ensemble, car leurs cornes puissantes lui inspiraient de la terreur. Alors il pensa : « Si seulement un de ces buffles pouvait s’éloigner du troupeau, je pourrais le tuer et je ferais un bon festin. »
Ainsi, pendant plusieurs mois, il épia le troupeau. Il faisait les cent pas dans la forêt en passant près d’eux, mais il ne put jamais surprendre un buffle isolé. Ils s’aimaient les uns les autres et ils allaient, venaient et paissaient ensemble.
Un matin, un des buffles s’éveilla plus tôt que les autres et se mit à paître. Il fit ainsi plusieurs jours de suite. Finalement, un de ses grands frères l’accusa en disant :
—Pourquoi te lèves-tu plus tôt que nous ? Pour paître l’herbe la plus tendre et la plus savoureuse, n’est-ce pas ?
— Mais, les autres frères, vous vous levez si tard ! Fut sa réponse. Que vous importe si je me lève plus tôt ? L’herbe est pareille !
Les autres buffles maintinrent leur point de vue en affirmant que la nourriture de choix était volée par leur frère. Alors ils décidèrent de se séparer, chacun des buffles choisissant pour son pâturage l’une des collines environnantes. Bientôt, les dix buffles se répandirent sur dix collines.
Quand le lion vit cela, il fut très satisfait. « C’est ce que j’attendais depuis longtemps, » dit-il.
Il se mit en route et découvrit un des buffles, isolé. Il le tua et fit un festin royal. Puis il tua les neuf autres les uns après les autres, jusqu’à ce que le troupeau eût disparu.
N’est-ce pas la stratégie de l’ennemi de nos âmes qui veut nous séparer afin de nous décourager, nous isoler pour mieux nous dévorer ?
1/14/2020 • 3 minutes, 5 seconds
La cause du naufrage
Un navire s’était échoué sur une côte rocheuse. Le pilote avait cru se diriger vers le port, mais son bateau n’avait cessé de se déporter sur des récifs où il avait fini par se briser. L’armateur voulut rejeter la responsabilité du naufrage sur le personnel de bord. Mais, il fut prouvé que le pilote était très habile, le capitaine au-dessus de tout soupçon de négligence ou d’incompétence. Le reste de l’équipage était pareillement sans reproche.
A la fin, on découvrit qu’un passager, voulant introduire en contrebande un certain nombre d’objets d’acier, en avait caché dans sa cabine un poids considérable. La boussole se trouvait précisément au-dessus de cette cabine. L’attraction de l’acier avait fait dévier l’aiguille aimantée et la direction du navire s’en était trouvée faussée, d’où sa perte.
Il en est ainsi des péchés cachés dans nos cœurs. Ils causeront infailliblement le naufrage de notre vie si nous ne laissons pas la Parole de Dieu dans sa pureté, avec son autorité reconnue sans partage, prendre possession de nos cœurs.
Dieu ne veut pas d’un cœur partagé. Il n’admet pas davantage que l’on frelate sa Parole en laissant les pensées humaines s’y mêler et prétendre l’influencer. Laissons-nous guider par la boussole divine. Ne supportons pas qu’elle voisine dans notre esprit avec les idées de l’homme qui, immanquablement, fausseraient la direction qu’elle veut nous donner.
Fortifiez donc vos mains languissantes et vos genoux affaiblis ; et suivez avec vos pieds des voies droites, afin que ce qui est boiteux ne dévie pas, mais plutôt se raffermisse, Hébreux 12 : 12-13.
1/13/2020 • 3 minutes, 1 second
Tout est réglé pour que l’homme soit heureux
En 1993, un spécialiste des planètes, George Wetherell, fit une découverte passionnante sur le système solaire. Il prouva que sans Jupiter, la Terre serait bombardée environ mille fois plus souvent par des comètes et des débris de comètes. En effet, Jupiter attire les comètes sur elle, ou les dérive hors du système solaire, parce qu’elle est deux fois et demi plus lourde que toutes les autres planètes ensemble. Pour reprendre les mots de Wetherell, « sans Jupiter nous ne serions pas là pour étudier l’origine du système solaire ».
En juillet 1994, l’astrophysicien Jacques Laskar a montré que si les planètes les plus éloignées du soleil avaient des orbites moins régulières, celles qui en sont les plus rapprochées auraient des trajectoires chaotiques. La terre subirait alors des changements climatiques importants et serait impropre à la vie.
Ainsi l’univers, et plus précieusement notre système solaire, semble comme réglé pour que la vie soit possible. Cela a surpris beaucoup de chercheurs. Certains ont été ainsi conduits à la foi, et d’autres, déjà croyants, ont été encouragés. C’est, en effet, merveilleux de constater comment notre Créateur a tout fait pour que nous soyons heureux sur la terre, tant dans le domaine matériel que dans le domaine spirituel. Dieu s’est révélé dans la Bible. Il nous a parlé de sa justice et de son amour. Il nous a donné un Sauveur, Jésus-Christ. Si tout est réglé pour que la vie soit possible, nous pouvons dire aussi que tout est à la gloire de Jésus, le Fils de Dieu.
Que tes œuvres sont nombreuses, o Éternel ! Tu les as toutes faites avec sagesse. La terre est pleine de tes richesses, Psaumes 104 : 24.
Je te célébrerai de ce que j’ai fait d’une étrange et admirable manière. Tes œuvres sont merveilleuses, et mon âme le sait très bien, Psaumes 139 : 14.
1/10/2020 • 3 minutes, 10 seconds
L’air que nous respirons
Depuis quelques temps, on parle beaucoup de la pollution de l’air et de ses effets néfastes sur la santé. Ceux qui sont le plus touchés sont les enfants et les personnes âgées. En toute saison, on met en garde les populations lorsque les pics de pollution atteignent des niveaux inquiétants. On avertit la population, surtout les plus faibles, et on les incite à ne pas sortir.
Et pourtant on ne « voit » pas cette pollution. Les plus incrédules pourraient dire : mais où est cette pollution ? Et pourtant elle est bel et bien là et peut provoquer des maladies graves, des crises d’asthme par exemple, qui peuvent entraîner la mort par étouffement.
Pourtant d’autres formes de pollution se révèlent tout aussi nocives que celle de l’air. Oui, l’homme pollue non seulement l’air, l’eau, la terre mais il salit même l’esprit et les pensées de ses semblables, étalant sans vergogne des images obscènes ou violentes qui blessent la sensibilité de chacun, surtout des plus faibles comme les enfants. A l’instar de la pollution atmosphérique qui détruit les plus faibles, la violence, la pornographie si répandues par les médias blessent profondément l’âme innocente de nos petits. Très jeunes ils sont exposés à de l’impudicité et à la violence, au point où pour eux cela devient la seule référence. Que deux hommes se marient ou qu’un criminel tue des dizaines de personnes ne les choque plus. Après tout on voit bien toutes ces choses dans les jeux vidéo où le jeu consiste à « tuer » un maximum de personnes. Le mal devient le bien et le bien devient le mal. Cela insidieusement pollue leur âme et endurcit leur cœur.
Le fait d’exclure Dieu est à l’origine de cette pollution. La stabilité et la solidité qu’amènent la foi en Dieu et la crainte de Dieu sont détruites. De ce fait l’homme renverse les barrières morales que le Créateur avait établies pour leur bien. Contrairement à ce que les hommes croient, les limites que fixe Dieu, sont pour notre bien. L’homme a besoin de fondement solide pour pouvoir construire une vie stable. Sans limites, la maison s’effondre comme dans la parabole de l’homme qui construit sa maison sur le sable.
La Bible dénonce cette dérive. En cela la Bible est très moderne, parce que cette dérive morale détruit l’homme.
La Bible encourage les croyants à vivre dans la pureté et à s’éloigner de cet empoisonnement moral. Cette pollution morale amène la mort de l’homme. Le croyant doit se préserver. Parce que de même que la pollution atmosphérique ne se voit pas mais détruit doucement mais sûrement, de même si on n’y prend pas garde, cette pollution morale nous détruit petit à petit sans que nous nous rendions compte. Le croyant en sera préservé dans la mesure où il goûtera l’amour du Seigneur pour lui et où il cherchera la relation avec ses frères et sœurs chrétiens qui l’aideront à ne pas dériver.
C’est que vous ne devez plus marcher comme les païens, qui marchent selon la vanité de leurs pensées. Ils ont l’intelligence obscurcie, ils sont étrangers à la vie de Dieu, à cause de l’ignorance qui est en eux, à cause de l’endurcissement de leur cœur. Ayant perdu tout sentiment, ils se sont livrés à la dissolution, pour commettre toute espèce d’impureté jointe à la cupidité, Ephésiens 4 : 17-19.
1/9/2020 • 4 minutes, 33 seconds
Il faut que le Fils de l’homme soit élevé
Dans ce verset, Jésus annonce sa mort par cette parole étonnante :
Il faut que le Fils de l’homme soit élevé. Oui, Jésus allait être élevé sur une Croix pour y laisser sa vie. Il devait connaître les souffrances de la croix et la honte de la mort d’un malfaiteur.
Maudit est quiconque est pendu au bois, était-il écrit dans la Loi Sur la croix, Jésus allait connaître la malédiction divine, Galates 3 : 13.
Autrefois, dans le désert, alors que des serpents mordaient mortellement les Hébreux, Moise avait dressé une perche où était suspendu un serpent d’airain, afin que tous ceux du peuple qui étaient mordus puissent être sauvés Nombres 21 : 4-9. Pour cela, ils devaient seulement regarder vers le serpent d’airain fixé sur la perche, image de la croix.
Nous sommes tous atteints par la blessure mortelle du péché. Pour obtenir la vie éternelle, il suffit de croire au Seigneur Jésus crucifié. Il suffit d’un seul regard de foi vers Celui que Dieu donne pour notre salut. Il ne s’agit pas de faire des œuvres, il ne s’agit pas non plus de regarder à nous-mêmes, à nos sentiments. Ce ne sont pas les autres, ce n’est pas l’Eglise, qui peuvent nous sauver de la mort éternelle.
Il faut croire au Seigneur Jésus, chacun personnellement.
Jésus est mort pour nous donner la vie. Maintenant, Il vit et prend en charge éternellement tous ceux qui ont mis leur confiance en Lui. Cet ami fidèle, le connaissez-vous ?
Comme Moïse éleva le serpent dans le désert, de même il faut que le fils de l’homme soit élevé, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle, Jean 3 : 14-15.
1/7/2020 • 3 minutes, 2 seconds
Utiliser la puissance de Dieu !
Le célèbre compositeur Franz Joseph Haydn était interrogé par un éminent musicien intrigué de savoir comment il pouvait retrouver si rapidement sa force intérieure après une période d’efforts intenses. Il répondit : « Quand je me sens fatigué après avoir créé une composition, je me retire pour prier. Ce simple remède ne m’a jamais fait défaut ».
Les croyants qui parlent à Dieu quand ils ont besoin de se ressourcer, se branchent sur la réserve de toute force : le Tout-Puissant lui-même.
Christ nous a donné le plus bel exemple de la façon de résister par la prière aux pressions de la vie. L’Evangile de Marc nous apprend qu’après une épuisante journée où il avait enseigné, guéri, chassé des démons, Jésus ne dormit que très peu. Avant le lever du soleil, il se retira dans un endroit à l’écart pour s’adresser à son Père et renouveler sa vigueur spirituelle. Si le Fils de Dieu trouvait nécessaire de préparer son cœur au début d’une autre fatigante journée, combien plus, avons-nous besoin, nous autres, faibles humains, de prendre le temps de prier avant d’affronter nos responsabilités !
Celui qui se rend compte des complexités et des exigences de la vie ne devrait jamais rien entreprendre sans demander au Seigneur de la diriger. Nous pouvons avoir confiance que
Ceux qui se confient en l’Eternel renouvelleront leurs forces, Esaïe 40 : 31.
S’étant levé sur le matin, longtemps avant le jour, il sortit et s’en alla dans un lieu désert, où il pria, Marc 1 : 35.
1/7/2020 • 2 minutes, 54 seconds
Entre pour les deux !
Tous les samedis soir, le père Mathieu promettait à sa chère Marguerite, sa femme de l’accompagner le lendemain dans l’église Évangélique de son village. Mais le dimanche matin, il avait toujours une excuse et il disait pour finir :
_ Va seul et tu prieras pour nous deux !
Une nuit Mathieu fit un rêve : sa femme et lui vinrent à mourir et ils arrivaient à la porte du ciel.
L’apôtre Pierre les attendait sur le seuil et il prit Marguerite par la main et la tira rapidement dans le paradis en lui disant :
_ Viens, Marguerite, viens et entre pour les deux !
Puis tourmenté Mathieu se réveilla et depuis ce rêve, Marguerite ne va plus seule à l’Église Évangélique. Son mari Mathieu l’accompagne toujours !
Cela vous fait rire, mais cela nous parle très sérieusement comme une parole de l’Évangile qui a été donnée par Jésus dans L’Évangile de Luc chapitre 17 versets 34-36 : Je vous le dis, en cette nuit-là, de deux personnes qui seront dans un même lit, l’une sera prise et l’autre laissée. De deux femmes qui moudront ensemble, l’une sera prise et l’autre laissée. De deux hommes qui seront dans un champ, l’un sera pris et l’autre laissé.
Et vous cher auditeur, allez-vous être pris et vivre avec le Seigneur pour l’éternité ? Votre éternité dépend de votre décision !
1/6/2020 • 2 minutes, 17 seconds
Il prêchait si bien !
Prêcher implique être pur dans ses habitudes de vie. Pas de péchés secrets sur ce plan : Dieu les amènerait tôt ou tard à la lumière.
Un fidèle serviteur de Dieu nous raconta la mésaventure de la brigade missionnaire de la Drôme durant le réveil des années 1920-1930.
Un évangéliste très dynamique obtenait de grands succès et beaucoup de conversions. Notre ami qui connaissait le passé peu recommandable de cet homme, avertit les responsables et leur demanda s’ils s’étaient renseignés auprès de ce frère sur la mise en ordre de son passé. La « suspicion » fut vivement critiquée par les responsables. « Oser soupçonner un homme que Dieu a accrédité par tant de fruits ! » Jusqu’au jour où l’évangéliste se trompa d’enveloppe et où son président de synode reçut une lettre destinée… à sa maîtresse. C’est ce qui fait la différence avec un artiste ou même un médecin : leur vie privée n’influe pas sur leur compétence professionnelle.
Spurgeon, parlant d’un pasteur dont la vie ne correspondait pas à ce qu’il prêchait, dit : « Il prêchait si bien et vivait si mal que, lorsqu’il était en chaire, chacun disait qu’il ne devrait jamais en redescendre, et lorsqu’il était hors de sa chaire, tous déclaraient qu’il ne devrait plus jamais y remonter. »
Comme quoi notre vie parle beaucoup plus que nos paroles. L’apôtre Paul disait dans Philippiens 3 :17.
Soyez tous mes imitateurs, frères, et portez les regards sur ceux qui marchent selon le modèle que vous avez en nous.
Il était fier de dire : « Soyez mes imitateurs comme je le suis moi-même de Jésus-Christ ».
1/3/2020 • 2 minutes, 51 seconds
Couper complètement le lien !
Nous avons eu la joie, dans notre église, de baptiser une dame d’un certain âge, qui manifesta un bel attachement à son Sauveur et Maître.
Son mari incroyant l’amenait au culte, puis revenait la reprendre ensuite. Pendant ce temps, il allait à la ville voisine, dans un bar, jouait aux courses et dépensait beaucoup, beaucoup d’argent. Cette passion pour le jeu le conduisit peu à peu à une situation financière catastrophique, au point qu’il décida de se suicider.
Tandis qu’il allait à son lieu funeste pour mettre fin à ses jours, il rencontra providentiellement un membre engagé de notre église et, fondant en larmes il lui raconta tout. A la suite de ces faits, il commença à accompagner sa femme au culte d’une façon régulière. Puis il manifesta le désir de se faire baptiser. Après un entretien sérieux, il apparut qu’il avait gardé un petit lien « raisonnable » à ses yeux, avec sa passion du jeu.
Il lui fut demandé, par amour pour le Seigneur, de couper complètement ce lien qui l’avait conduit à deux doigts de la mort. Mais il refusa, et nous nous faisions du souci pour lui et son avenir.
Beaucoup de prières montèrent vers le ciel en sa faveur et le Saint-Esprit travailla dans son cœur au point de l’amener seul à un attachement total au Seigneur. Il nous téléphona aussitôt pour nous annoncer cette bonne nouvelle en manifestant beaucoup d’émotions et de larmes de joie concernant sa décision. Après une petite formation biblique, il fut baptisé et son témoignage bouleversa bien des cœurs, par sa sincérité, sa profondeur et sa consécration.
Par la suite, il prouva son amour pour son Sauveur et son Maître notamment par la distribution systématique de tracts et la vente de littérature chrétienne sur les marchés.
1/2/2020 • 3 minutes
Je veux tourner la page
Il est toujours bon de prendre de bonnes résolutions et, autour de vous, chacun vous en félicitera. Mais le problème n’est pas là. Que ferez-vous des pages de votre passé coupable ? Ce n’est pas en tournant la page et en prenant la résolution de faire mieux à l’avenir que le mauvais élève fait disparaître les taches faites dans son cahier, car l’œil exercé du maître les découvrira et l’élève sera puni. Ses efforts lui réserveront d’ailleurs bien des déceptions.
Un commerçant, sur le point de faire faillite, ne gagnerait rien en évitant d’inscrire le report de la page : « doit » dans son livre de caisse. Les chiffres nouveaux sur la page blanche ne paieraient pas les vieilles dettes. Hélas ! Chaque page de notre vie commence par un triste « report ». Bonnes résolutions et améliorations nous conduisent à de dangereuses illusions ; ce sont autant de tromperies du diable. Car Jésus dit :
Il vous faut être né de nouveau, Jean 3 : 7.
Dieu est Saint et Juste et sa Perfection ne lui permet pas d’exercer sa miséricorde au détriment de sa justice. Il est lent à la colère, mais il ne tiendra pas le coupable pour innocent.
C’est au prix de l’expiation accomplie par son Fils Jésus-Christ que Dieu, qui est amour, peut offrir aux coupables le pardon, la paix, la vie éternelle. Seul le sang de Jésus-Christ purifie de tout péché.
Mon fils, ne méprise pas le châtiment du Seigneur, et ne perds pas courage lorsqu’il te reprend ; car le Seigneur châtie celui qu’il aime, Hébreux 12 : 5-6.
Quand tu te laverais avec du nitre, et que tu emploierais beaucoup de potasse, ton iniquité reste marquée devant moi, dit le Seigneur, l’Eternel, Jérémie 2 : 22.
Celui qui croit au Fils a la vie éternelle ; mais celui qui ne croit pas au Fils ne verra point la vie, mais la colère de Dieu demeure sur lui, Jean 3 : 36.
12/31/2019 • 3 minutes, 13 seconds
Notre conscience, un cadran solaire !
On a comparé la conscience naturelle à un cadran solaire qui, normalement éclairé par le soleil, indique l’heure au passant. Avant notre conversion, notre conscience ne peut nous donner d’indications fiables car elle se trouve dans le brouillard des opinions de la société au milieu de laquelle nous vivons.
Si, dans la nuit, on projette sur un cadran le faisceau lumineux d’une lampe électrique, on obtient les heures que l’on désire. Un homme politique de premier plan n’a-t-il pas déclaré dernièrement : « Ma conscience est assez bonne fille pour me dire ce que j’ai envie d’entendre ».
Le soleil qui illumine le cadran solaire d’un croyant, c’est, bien sûr, la Parole de Dieu, à condition qu’elle soit reçue et comprise par le Saint-Esprit. C’est en grande partie par la confrontation de la Parole avec les situations dans lesquelles nous nous trouvons que notre conscience s’affine.
Du reste, il peut malheureusement arriver qu’un gros nuage vienne voiler le soleil, par exemple, une mauvaise pensée qu’on laisse se développer jusqu’au point où elle détruit tout discernement du bien ou du mal. Nous en avons un exemple avec un homme de Dieu pourtant remarquable : David, lorsqu’il commit adultère et devint meurtrier d’un de ses fidèles serviteurs.
Que le Seigneur nous accorde d’acquérir une conscience délicate, constamment mise à jour par une réelle et constante communion avec lui !
Je ne me sens coupable de rien ; mais ce n’est pas pour cela que je suis justifié. Celui qui me juge, c’est le Seigneur, 1 Corinthiens 4 : 4.
12/30/2019 • 2 minutes, 41 seconds
L’auditeur invisible
Ce fut à l’âge de 16 ans que Christopher présida ses premières réunions d’évangélisation, dans la chapelle d’un village au sud de l’Angleterre. Pour se préparer, il décida d’aller « aux champs » pour « s’entraîner » à l’exhortation. Son pupitre était un râtelier à foin et son auditoire… une douzaine de vaches ! Il s’inspira du texte : « Repentez-vous et croyez à l’Evangile… » Bien entendu, les vaches ne prêtèrent aucune attention à ses propos (!). Mais, quelle ne fut pas sa surprise de découvrir, de l’autre côté du râtelier, un homme à genoux implorant le pardon et la paix de Dieu !
« Parlez-moi encore de Jésus-Christ », supplia-t-il, lorsqu’il se vit face à face avec le prédicateur.
Je lui racontai l’histoire de la rédemption, dit Christopher, et ce fut un ivrogne, un bagarreur, un possédé, qui entra ce jour-là dans le repos de Dieu et la vie de bénédiction.
C’était la première âme qu’il gagnait à l’Evangile. Quel mémorable commencement !
Que chacun de vous mette au service des autres le don qu’il a reçu.
1 Pierre 4: 1-11.
12/27/2019 • 1 minute, 57 seconds
Le plus important
Un hôtel du sud de l’Allemagne a été cité par plusieurs instances internationales de l’environnement comme un exemple de fonctionnement respectueux de l’environnement : recyclage de déchets, énergie éolienne, pompe à chaleur, matériaux naturels. Sur le mur du hall d’entrée, se trouve une petite porte avec cette inscription : « Ce qui pour nous est le plus important ». Curieux, j’ouvre la porte, pensant trouver la liste des grands principes écologiques si chers à cet établissement. Surprise : un miroir me renvoie ma propre image ! Le message est clair: pour la direction de cet hôtel, le plus important, c’est le client.
La Bible se compare à un miroir. Quand nous l’ouvrons, nous découvrons notre propre image. Le résultat n’est pas très beau. La Parole de Dieu nous dit la vérité, sans ménagements. Notre égoïsme, notre orgueil, nos mauvais penchants, comme nos mauvaises actions, y sont mentionnés de façon frappante. Même dans les récits concernant des croyants, la Bible ne nous cache pas leurs faiblesses et leurs erreurs.
Mais son message va plus loin. Elle nous dit aussi ce qui est le plus important. Notre personne est, aux yeux de Dieu, plus précieuse que tout au monde. Jésus a dit :
Que profitera-t-il à un homme de gagner le monde entier, s’il se perd ou se détruit lui-même ? Luc 9 : 25.
En nous renvoyant une image vraie sur notre état de pécheur, la Bible ne veut pas notre malheur mais notre bien, en nous conduisant par la repentance au Sauveur, à Jésus.
Si quelqu’un écoute sa Parole sans la mettre en pratique, il est semblable à un homme qui observe son visage naturel dans un miroir : il s’est observé lui-même, s’en est allé, et aussitôt il a oublié comment il était. Mais celui qui aura regardé de près dans la loi parfaite, celle de la liberté, et qui aura persévéré, n’étant pas un auditeur oublieux, mais un faiseur d’œuvre, celui-là sera bienheureux dans ce qu’il fait, Jacques 1 : 23-25.
12/26/2019 • 3 minutes, 29 seconds
Regardez les oiseaux du ciel (b)
Nous voulons accompagner une dernière fois, les oies sauvages que nous avons vues passer ces jours-ci. Les scientifiques qui s’intéressent au comportement des oiseaux nous apprennent des choses extraordinaires. Il paraît que, si une oie est malade ou blessée et qu’elle doit quitter la formation à cause de cela, une ou deux autres oies la suivent pour lui apporter aide et protection. Elles restent avec l’oie tombée à terre jusqu’à ce que cette dernière soit à nouveau capable de voler ou qu’elle meure. Ce n’est qu’à ce moment-là qu’elles s’élancent pour essayer de rejoindre leur formation ou se joindre à une autre.
En ce début d’automne où les oies migrent, nous aussi nous redémarrons une nouvelle étape :la rentrée. C’est une occasion supplémentaire de prendre exemple sur les oies.
Il y a certainement, dans nos églises, des services qui usent plus que d’autres. Ne serait-ce pas le moment de permettre au frère ou à la sœur qui y peine, de se placer à l’arrière de la formation pour ne plus porter l’entière responsabilité du service et ne plus assumer seul tous les efforts nécessaires à faire avancer le groupe ? Ne pourrions-nous pas prendre à notre tour, notre place à l’avant de la formation ?
Apprenons encore des oies à être plus solidaires les uns des autres. Comme elles, sachons accompagner celui ou celle qui est malade, déprimé ou blessé jusqu’à ce qu’il puisse reprendre sa place.
Et si un membre souffre, tous les membres souffrent avec lui ; si un membre est honoré, tous les membres se réjouissent avec lui,1 Corinthiens 12 : 26.
12/23/2019 • 2 minutes, 24 seconds
Regardez les oiseaux du ciel (a)
Ce matin, le ciel était magnifique. J’ai été attiré par un vol d’oiseaux en forme de V. Il s’agissait d’oies sauvages. Lorsque ces oiseaux se déplacent dans le ciel, ils volent toujours en formation serrée, ils semblent ne faire qu’un. Cette forme en fer de lance facilite considérablement leur vol. En volant ainsi en groupe, chaque oiseau a une capacité de vol beaucoup plus importante que s’il était seul. Lorsqu’une oie quitte le groupe, elle est beaucoup plus vite épuisée par la résistance du vent. Lorsqu’un oiseau est fatigué, il se place à l’arrière de la formation et un autre prend sa place à l’avant. Les oiseaux s’encouragent les uns les autres en poussant des cris.
Comme la parole de Dieu nous y encourage, nous pouvons apprendre des oies sauvages. Si nous avions au moins autant de bon sens qu’elles, nous n’essaierions pas de vivre notre foi en solitaire mais nous rejoindrions une communauté pour trouver auprès des autres l’aide, l’amitié, la fraternité nécessaires pour le long voyage de la vie.
N’abandonnons pas notre assemblée, comme c’est la coutume de quelques-uns, Hébreux 10:25.
12/23/2019 • 2 minutes, 24 seconds
L’influence d’un cantique ! Ira Sankey.
Un soir qu’un bateau à vapeur remontait le fleuve Potomac, sur la côte Est des États-Unis et que les passagers se trouvaient confortablement installés dans les fauteuils du bord, une dame s’adressa à Ira Sankey, l’évangéliste, et le pria de bien vouloir chanter quelque chose.
— Chanter ? répondit-il. Volontiers, mais… je ne chante que des cantiques !
— Qu’importe, chantez-nous donc un cantique, répondit la voyageuse. C’est une soirée qui nous invite à en entendre un, n’est-ce pas, Mesdames et Messieurs ?
Comme tout le monde acquiesçait, Ira Sankey se découvrit, et sa voix se mit à résonner pure, saisissante :
— Jésus, ami de mon âme, je me réfugie en toi…
Le silence le plus profond s’était établi autour de lui. Soudain, accourant de l’autre bout du bateau, un homme l’interrompit :
— Avez-vous servi dans l’armée du Nord ? Lui demanda-t-il.
—Oui, répondit l’évangéliste.
—Dans le régiment…
—Oui, fit encore Sankey, mais pourquoi me demandez-vous cela ?
—Attendez ! N’étiez-vous pas aux avant-postes, la nuit de la pleine lune en mai 1862 ? Cherchez à vous en souvenir…
—Oui, je m’en souviens parfaitement.
—Moi aussi ! S’écria l’homme, car ce fut la nuit de ma vie… et de la vôtre ! Monsieur, écoutez-moi : comme vous, j’ai servi, non pas avec vous, mais avec les Sudistes. Cette nuit-là, j’étais aux avant-postes quand, à la lueur de la lune, j’aperçus à quelque distance un homme debout, un ennemi. Ah ! Jeune homme, pensai-je, toi tu ne m’échapperas pas, et je le couchai en joue. Il était en pleine lumière, la tête baissée, et ne pouvait pas me voir, j’étais agenouillé dans l’ombre. J’avais le doigt sur la détente, lorsque tout à coup il leva la tête et se mit à chanter. Comme tout le monde, j’ai une faiblesse. Monsieur, j’aime la musique, et comme cet ennemi avait une fort belle voix, je me dis : « Laissons-le vivre encore un peu ! » Puis il se mit à chanter plus fort et j’entendis distinctement les paroles :
« Si vous saviez la paix douce et profonde
Que le Sauveur en mon âme apportât !
Pour cette paix, que peut donner le monde ?
Elle jaillit pour vous de Golgotha.
Mon Sauveur vous aime :
Ah ! Cherchez en lui
Votre ami suprême
Votre seul appui ! »
Je fus bouleversé, c’était le cantique préféré de ma mère, et pour moi, ce fut comme si elle était debout à côté de moi, m’empêchant de tirer sur cet ennemi.
Monsieur, ce soir, je viens de reconnaître votre voix, et de revoir toute la scène et ma pauvre maman. Les assistants demeuraient très émus, Sankey encore plus qu’eux tous. Incapable de prononcer une parole, il s’avança et ils s’embrassèrent.
12/20/2019 • 4 minutes, 4 seconds
La retraite
En plus de son travail accompli la semaine, un artisan était disposé aussi à travailler le samedi quand il le fallait. Quelqu’un lui demanda d’effectuer également des travaux le dimanche. Là, il refusa tout net :
—Moi, le dimanche, je ne travaille que pour le Seigneur.
—Pourquoi ? Interrogea l’autre en plaisantant. Paie-t-il mieux ?
Avec bon sens et une pointe d’humour, il répondit :
—Oh, ce n’est pas tellement la paie, mais c’est la retraite. Il n’y a pas plus sûre que celle-là.
Il voulait parler évidemment de la retraite éternelle : celle que Dieu réserve dans son ciel de gloire à tous ceux qui se confient au Christ et désirent lui être fidèles.
Par ailleurs, mettre à part le repos du dimanche et aller adorer Dieu ce jour-là est l’accomplissement de l’un des dix commandements qu’il adressa jadis à son peuple :
Souviens-toi du jour du repos pour le sanctifier, Exode 20 : 8.
12/19/2019 • 1 minute, 53 seconds
Je ne puis pas croire
— Moi, je ne peux pas croire, me répondait l’autre jour ce voisin que j’encourageais à lire l’évangile.
— Vraiment ! Et qui est-ce que vous ne pouvez pas croire ?
Cette question ouvrit les yeux à ce sceptique. Il se rendit compte qu’il donnait chaque jour sa confiance sans contrôle à une foule de gens. Il croyait son journal qui lui débitait toutes sortes de nouvelles vraies ou déformées ; il croyait ceux qui lui racontaient les potins du village ; il avait confiance dans son épicier qui peut-être falsifiait sa marchandise ; bref, il se fiait aux hommes qui sont menteurs par nature, et le seul être qu’il ne pouvait pas croire, c’était Dieu !
Mais ce jour-là, il crut. Il appliqua à Dieu même, cette confiance qu’il avait naturellement dans les hommes et c’est ainsi qu’il reçut le salut.
Et en effet, la foi consiste à recevoir ce que Dieu dit. Vous pouvez croire ou ne pas croire ; chacun peut répondre oui ou non à l’appel de Dieu, aussi bien qu’à toute autre invitation qui lui est adressée. Si un ami vous invite, libre à vous d’accepter ou de refuser. Vous trouvez dans la Bible l’appel de Jésus : Venez à moi !
Libre à vous aussi d’accepter ou de refuser. Mais ce choix-là est infiniment plus lourd de conséquences.
La foi est l’assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas, Hébreux 11 : 1.
12/18/2019 • 2 minutes, 37 seconds
La tête haute
Depuis dix-huit ans, cette femme était courbée en deux. Que pouvait-elle voir ? Rien d’autre que ses pieds et la terre sur laquelle elle marchait. Impossible de lever les yeux pour regarder vers le ciel ! Ce récit, comme tous ceux de l’Evangile, a une portée spirituelle. Peut-être êtes-vous aussi, cher ami, moralement courbé vers le sol, ne regardant que les choses de la terre ? A quoi vos pensées sont-elles occupées ? Vos problèmes personnels, les soucis familiaux personnels ? Par expérience, nous savons que certains fardeaux peuvent peser très lourds. Et, il est normal qu’un individu portant un gros sac sur le dos soit penché vers l’avant pour garder l’équilibre. Mais, ce n’est pas ce que Dieu désire pour nous. Il veut des chrétiens qui gardent la tête haute.
Cette femme était courbée depuis dix-huit ans. Mais Jésus la voit et l’appelle. Remarquez qu’il n’est pas dit qu’elle se redresse, car elle ne le pouvait pas d’elle-même, mais elle fut redressée. C’est alors, qu’elle put voir un autre horizon de vie : elle voit Jésus, elle voit son entourage, elle voit le ciel… ce qui l’amène à glorifier Dieu.
Laissez le Seigneur Jésus toucher votre cœur. Si vous l’acceptez par la foi comme votre Sauveur personnel, votre vie sera entièrement changée. Les problèmes de la terre prendront moins d’importance et Jésus-Christ en prendra davantage.
Jésus enseignait dans une des synagogues […] Et voici, il y avait là une femme possédée d’un esprit qui la rendait infirme depuis dix-huit ans ; elle était courbée, et ne pouvait aucunement se redresser. La voyant, Jésus lui adressa la parole, et lui dit : femme, tu es délivrée de ton infirmité. Et il lui imposa les mains. A l’instant, elle se redressa, et glorifia Dieu, Luc 13 : 10-13.
12/17/2019 • 3 minutes, 5 seconds
Lequel est libre ?
Bernard Palissy, le célèbre potier émailleur de l’époque de la Renaissance, fut mis en prison par le Parlement à cause de sa foi.
Le roi Henri III désirait vivement garder ce sujet, qui était le seul artisan du temps, capable de lui fabriquer de la vaisselle précieuse en terre cuite.
Comme, ni les menaces, ni les promesses ne produisaient aucun effet sur le prisonnier pour lui faire renier sa foi, le roi se rendit en personne dans la prison, et lui demanda d’adjurer :
— Si vous ne le faites pas, ajouta Henri, je me verrai forcé de vous laisser condamner à mort.
— Sire, répondit Palissy, est-ce le roi de France que j’entends dire : je serai forcé ? Je ne suis qu’un pauvre potier, un des plus petits sujets de Votre Majesté et de plus, aujourd’hui prisonnier, mais aucune puissance au monde ne peut me forcer à agir contre ma conscience. Vous êtes un des plus puissants maîtres de la terre et vous dites : Je serai forcé. Sire, lequel de nous deux est libre ?
L’homme se veut libre, se croit libre. En fait, même s’il est investi d’autorité, sa marge de liberté est étroite. Et comment l’utilise-t-il ? Il est en fait l’esclave de ses pulsions et de ses convoitises. Mais Jésus, le Fils de Dieu, nous rappelle que si Lui nous délivre, nous serons réellement libres (Jean 8 : 36).
C’est pour la liberté que Christ nous a affranchis, Galates 5 : 1.
Là où est l’Esprit du Seigneur, là est la liberté, 2 Corinthiens 3 : 17.
12/16/2019 • 2 minutes, 48 seconds
Je ne le lâcherai pas !
Une jeune fille prenait soin d’un groupe de garçons au culte des enfants de son église locale qui se tenait à quelque distance de sa maison isolée. Elle s’y rendait par une belle journée de printemps. L’air était pur, tout pénétré du parfum des fleurs… La jeune fille aurait voulu se réjouir de tant de beauté, tandis qu’elle suivait le sentier conduisant à son église ; mais impossible. Elle était triste et découragée en pensant à « ses » enfants.
« C’est assez, disait-elle, je me suis trop fatiguée et en vain pour ces petits étourdis ! Dès aujourd’hui, je vais remettre ma responsabilité au pasteur et le prier de trouver quelqu’un d’autre pour tenir ce groupe difficile. »
Elle parlait encore lorsque, dirigeant par hasard ses yeux sur la rivière qui longeait le sentier, elle aperçut un petit agneau qui venait de perdre l’équilibre et de tomber dans l’eau.
Il aurait été emporté si le berger, voyant le danger que courait la petite bête, ne se fût immédiatement jeté à l’eau pour le sauver. Cependant, le sauvetage ne se fit pas facilement. Le courant était rapide et le berger allait perdre pied, mais il tenait fortement l’agneau et criait : « Je ne le lâcherai pas ! »
Lorsqu’il fut revenu sur le sentier avec l’animal sain et sauf, la jeune fille lui demanda :
— Pourquoi as-tu pris tant de peine pour sauver cet agneau ?
— Ah ! répondit le berger, c’est qu’il faut que j’en rende compte à mon maître !
Ces paroles atteignirent le cœur de notre monitrice.
— Je comprends, dit-elle. Moi aussi, il faut que je lui rende compte de mes chers élèves. A l’œuvre donc ! Et que mon mot d’ordre soit celui du jeune berger : « Je ne le lâcherai pas. »
12/13/2019 • 2 minutes, 48 seconds
Aucune exception.
Gravement accidenté, un certain Jean Lorrain se trouvait à l’hôpital. L’aumônier qui lui rendit visite l’interrogea sur ses convictions chrétiennes. Jean expliqua qu’il ne craignait pas la mort puisqu’il n’avait jamais fait tort à personne. Le visiteur l’écouta sans le contredire puis lui proposa de lire avec lui quelques passages de la Bible. Pas d’objection et l’aumônier lut lentement :
—Il n’y a point de juste, non pas même un seul… et il ajouta : excepté Jean Lorrain.
Il n’y a personne qui ait de l’intelligence, il n’y a personne qui recherche Dieu… excepté Jean Lorrain.
Ils se sont tous égarés, ils se sont tous ensemble rendus inutiles… excepté Jean Lorrain.
Il n’y a pas de différence, car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu… excepté…
— Arrêtez, arrêtez, supplia le malade d’un ton angoissé.
— J’essaie seulement de mettre ensemble ce que Dieu dit et ce que vous dites, répliqua le visiteur. Dieu déclare :
Tous sont coupables. Vous dites que vous n’avez jamais rien fait de mal. Il ajouta quelques mots d’adieu et quitta la chambre.
Quelques jours après, l’aumônier revint et fut étonné de voir un visage heureux. Jean l’attendait avec impatience. Il avait réalisé quelle était sa véritable situation vis-à-vis de Dieu et avait accepté le salut que Jésus donne.
Ce ne sont pas ceux qui se portent bien qui ont besoin de médecin, mais les malades. Je ne suis pas venu appeler à la à la repentance des justes, mais des pécheurs. Marc 2:17
12/12/2019 • 2 minutes, 44 seconds
Pas une religion des faits
La Revellière-Lépeaux, homme politique du temps de la Révolution, qui avait tenté de fonder une nouvelle religion, la théophilanthropie, se plaignait de son échec à Talleyrand, le célèbre homme d’état :
— Ah ! répondit ce dernier, ce n’est pas étonnant que vous ayez échoué. Pour réussir à fonder une religion, il faut s’y prendre autrement.
— Comment, demanda le philosophe.
— Allez de lieu en lieu faisant du bien, guérissez les maladies, ressuscitez des morts, puis laissez-vous crucifier et ensevelir ; le troisième jour, réveillez-vous, relevez-vous d’entre les morts. Alors, vous vous ferez des disciples.
Ces propos mettent bien en évidence les actes et les faits extraordinaires qui marquèrent la vie, la mort et la résurrection de Jésus. Ils passent cependant sous silence, ce qui est appelé le grand mystère de la piété : Dieu incarné dans un homme, Dieu lui-même venu sur la terre à la rencontre de sa créature perdue (1 Timothée 3 : 16).
Ce n’est, en effet, pas d’une religion que les hommes ont besoin, mais d’un Sauveur, car ils sont perdus, loin de Dieu.
Il y a un seul médiateur entre Dieu et les hommes, l’homme Christ Jésus qui s’est donné lui-même en rançon pour tous, 1 Timothée 2. 5-6. Jésus est sur toutes choses, Dieu béni éternellement, Romains 9. 5. Il s’est fait homme afin de pouvoir prendre sur Lui les péchés de ceux qui les Lui confessent et de les expier sur la croix.
Il n’y a de salut en aucun autre ; car il n’y a sous le ciel aucun autre nom (que celui de Jésus) qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés, Actes 4 : 12.
12/11/2019 • 2 minutes, 57 seconds
La louange.
Le chef d’orchestre Michael Costa faisait un jour répéter son immense chœur composé de plusieurs centaines de voix et son orchestre puissant. L’orgue grondait comme un tonnerre, les instruments, les cuivres, les cymbales résonnaient ; un artiste, dans un coin, jouait du piccolo.
Chers lecteurs vous devez vous demander ce qu’est un piccolo ?
Le piccolo est un instrument de musique à vent, plus précisément un bois appartenant à la famille de la flûte traversière. Il est également appelé "petite flûte".
Beaucoup plus petit que la grande flûte -il fait à peu près la moitié de sa taille- il a à peu près la même étendue, sauf qu'il ne peut jouer ni le do ni le do# grave, et il sonne à l'octave supérieure. C'est l'instrument le plus aigu de l'orchestre symphonique, et son timbre, particulièrement pénétrant, le rend bien audible.
Alors cet homme qui jouait du piccolo se dit en lui-même : « Dans un vacarme pareil, je peux bien m’arrêter de jouer, cela ne fera pas grande différence ! »
Tout à coup, le grand chef jeta ses bras en l’air, tout le monde s’arrêta et dans le silence il s’écria : « Où est le piccolo ? »
Son oreille exercée lui avait révélé la lacune, et l’harmonie avait été rompue parce qu’un seul artiste n’avait pas tenu son rôle.
Si dans vos prières, « la note de la louange » manque, le chœur céleste ne s’en trouve-t-il pas amoindri ? Est-ce que vous attendez toujours, en vain, la réponse à vos prières ? Dieu voudrait pouvoir vous répondre. Il vous attend. « La louange t’attend à Sion. »
Essayez de rendre grâce. LA LOUANGE change les choses.
Vers le milieu de la nuit, Paul et Silas priaient et chantaient les louanges de Dieu, et les prisonniers les entendaient, Actes 16 :25.
12/10/2019 • 3 minutes, 4 seconds
Ligne de partage des eaux
Si vous voyagez par l’autoroute de Toulouse à Carcassonne, vous rencontrez un panneau indiquant le seuil de Naurouze. C’est le point où les eaux de pluie se séparent, et selon qu’elles s’écoulent à l’Ouest ou à l’Est, elles aboutissent à l’océan Atlantique ou à la Méditerranée.
Que deux gouttes d’eau tombées tout près l’une de l’autre finissent dans deux mers différentes, cela n’est pas important. Mais, voilà qui mérite beaucoup plus d’attention : il y a une ligne de partage des hommes ! Deux directions différentes. Deux aboutissements opposés.
Deux personnes pourront avoir vécu toute leur vie côte à côte et quitter ce monde pour des destinations absolument opposées. Un choix leur aura été offert, au moins une fois, un jour où elles auront entendu ou lu le message du salut par la foi en Jésus-Christ : l’une aura reçu cette bonne nouvelle, l’autre l’aura refusée. C’est alors que leurs vies auront pris des cours différents.
Celui qui écoute et se laisse persuader, attirer par l’amour de Dieu, c’est celui qui prend la bonne direction.
Celui qui refuse ce message de grâce et de pardon, ferme son cœur à Dieu et se laisse entraîner sur la pente de l’indifférence vers une condition terrible, sans retour.
Etes-vous sur le bon versant ? Allez-vous vers la bonne destination ?
Regarde, je mets aujourd’hui devant toi la vie et le bien, la mort et le mal. Car je te prescris aujourd’hui d’aimer l’Eternel, ton Dieu, de marcher dans ses voies, et d’observer ses commandements, ses lois et ses ordonnances, afin que tu vives, Deutéronome 30 : 15-16.
12/9/2019 • 2 minutes, 48 seconds
La prière. Le président Abraham Lincoln
Abraham Lincoln fut le 16e président des États-Unis, il exerça deux mandats de suite en 1860 et 1864. Ses débuts dans la vie professionnelle furent catastrophiques. En 1832, il échoua dans sa tentative d’être élu comme procureur. L’année suivante, son entreprise fit faillite, puis son épouse bien aimée décéda brutalement. En 1839, nouvel échec comme candidat à la présidence de l’Illinois, puis défaite pour entrer au Congrès, puis au Sénat, puis échec encore comme vice-président de son parti. En 1858, nouvel échec comme candidat au Sénat. Pourtant aujourd’hui, il est considéré comme le plus grand des présidents des États-Unis. Comme quoi, notre réussite ne dépend pas de notre passé, mais, le plus souvent, de nos échecs qui nous apprennent à être toujours prêts à nous relever et à repartir avec autant de détermination.
Quant à nous, nous ne deviendrons un « raté » que le jour où nous nous considérerons comme incapable de survivre à un échec. L’échec n’est jamais un événement insurmontable, nous pouvons nous relever et essayer à nouveau. Mais écoutez le secret du 16e président des États-Unis et suivez son exemple.
Pendant la terrible guerre civile, pour la libération des esclaves aux États-Unis, le président Lincoln fut souvent écrasé par le sentiment de la responsabilité qui pesait sur lui. « J’ai été souvent jeté à genoux, avouait-il, par la conviction absolue que je n’avais pas autre chose à faire. » Au milieu de ses travaux écrasants, il trouvait toujours moyen de consacrer à son Maître ses premiers instants, comme il le faisait jadis dans la hutte de l’Indiana ou sur son radeau du Mississippi. Le pasteur Adams, de Philadelphie, raconte qu’ayant rendez-vous avec le président à cinq heures du matin, il arriva à la Maison-Blanche un peu avant l’instant fixé. Tandis qu’il attendait dans l’antichambre, il fut surpris d’entendre parler dans la pièce voisine, et s’informa auprès du domestique s’il y avait quelqu’un.
— Non, monsieur, le président est seul, mais il lit sa Bible.
— Comment donc, est-ce son habitude journalière ?
— Oui, Monsieur, tous les matins, M. Lincoln emploie l’heure de quatre à cinq à lire la Bible et à prier à haute voix.
Vers le matin, pendant qu’il faisait encore très sombre, il se leva, et sortit pour aller dans un lieu désert, où il pria. Marc 1 : 3.
12/6/2019 • 4 minutes, 7 seconds
Limites de la science et de la révélation divine.
Tout homme réfléchi et sincère constate qu’après des millénaires de réflexions et d’essais infructueux, les humains voient plutôt s’éloigner d’eux leurs espérances de faire de la terre un espace où il ferait bon vivre. Qui croit encore aux lendemains qui chantent ? Alors, il se pose la question de la finalité de l’univers : pourquoi la terre ? Pourquoi l’homme sur la terre ? Car il a soif de savoir et de comprendre, une soif d’infini, une soif de quelque chose d’éternel.
Tout ce qu’elle peut voir et mesurer, la science l’étudie et le fouille, mais, au-delà, tout s’obscurcit pour elle. Elle ne peut pénétrer dans le domaine de Dieu. Dieu seul peut parler de Dieu et de l’éternité.
Eh bien, Dieu a parlé : il a voulu dissiper cette nuit dans laquelle nous ne pouvions le chercher qu’en tâtonnant et en nous trompant. Il nous a affirmé ses droits sur l’homme, sa créature, nous a fait constater la perdition de ce dernier, nous a montré la nécessité d’un sacrifice pour qu’Il puisse lui donner la vie éternelle.
Quand nous croyons, nous pénétrons dans un monde nouveau, un monde où luit la lumière de l’amour. Car voilà, ce qui manque aux hommes pour que tout marche bien : l’amour.
Et la finalité de l’univers, c’est de mettre en valeur l’amour de Dieu qui, par le sacrifice de son propre Fils, a triomphé de tous les obstacles qui empêchaient sa manifestation.
Ne sais-tu pas ? Ne l’as-tu pas appris ? C’est le Dieu d’éternité, l’Eternel, qui a créé les extrémités de la terre ; Il ne se fatigue point, Il ne se lasse point ; on ne peut sonder son intelligence, Esaïe 40 : 28.
12/5/2019 • 2 minutes, 48 seconds
Il faudrait que je le laisse à la porte.
Il y avait dans une faculté de théologie un étudiant de vocation tardive. Colonel à la force aérienne, célibataire, il avait connu pendant des années une vie de débauche. A la suite d’une longue maladie, du témoignage d’une infirmière et de la lecture assidue des Ecritures, il s’était tourné vers le Seigneur, et par la suite, avait quitté sa carrière pour s’engager à plein temps dans le ministère. Etant remarquablement doué pour l’évangélisation personnelle, il saisissait presque chaque jour l’occasion de se rendre à un comptoir de dégustation proche de la faculté. Là, assis sur un tabouret devant une tasse de café, il liait conversation avec ceux qui s’attablaient à ses côtés.
Un jour, un jeune homme l’entendant parler si personnellement de Jésus-Christ fit cette objection assez mal à propos :
— Ah oui, mais il ne vous est pas permis en tant que chrétien d’aller aux Folies Bergères !
Sans hésiter, notre ami (qui avait connu tout cela et bien plus) lui répondit :
— Mon cher, en tant que chrétien, je suis entièrement libre de m’y rendre si je le veux. Cependant, je sais très bien que cet ami intime qu’est pour moi Jésus-Christ ne pourrait jamais m’accompagner dans un tel endroit. Si je venais à m’y rendre, il faudrait que je le laisse à la porte. Or, sa communion et son amitié me sont bien trop précieuses et trop indispensables pour que je les sacrifie à ce prix-là.
Pas d’explications embarrassantes dans cette réponse, pas de cliché pieux ou d’appel au légalisme. L’amour de Christ suffisait entièrement. C’était, d’ailleurs, la seule réponse capable de satisfaire cet interlocuteur.
Nous sommes subjugués par l’amour que Christ nous a témoigné, il nous étreint, nous presse, et nous pousse en avant, 2 Corinthiens 5 : 11-21.
12/4/2019 • 3 minutes, 1 second
Mme de Staël, vous avez tout !
Madame de Staël est considérée comme une des importatrices du mouvement romantique en France, avec son défenseur et ami François René de Chateaubriand. Fille de Necker, la jeune femme reçut une excellente éducation et grandit au contact des grands noms de la vie intellectuelle française, ce qui fit d'elle une femme curieuse, libre et ambitieuse, animée par l'esprit des Lumières. Femme de lettres et écrivain, vivement opposée à Napoléon Ier, Germaine de Staël passa une grande partie de sa vie en exil, en Suisse notamment, où elle fonda le Groupe de Coppet.
Une jeune fille de famille chrétienne, habitant à la campagne, eut l’occasion de lire les livres « Delphine » et « Corinne » écrits par Mme de Staël. A la suite de sa lecture, sa vie tranquille lui sembla insipide et vide. Elle trouva l’adresse de la romancière et lui écrivit pour lui proposer de devenir sa secrétaire. Son désir était de pouvoir suivre l’écrivain et de voyager avec elle.
Un rendez-vous fut pris. Au cours de la rencontre, la jeune fille se jeta aux pieds de Mme de Staël en la suppliant de la prendre avec elle. Avec gentillesse et calme, la femme de lettres lui répondit :
« Vous pensez que ma vie est enviable parce que je voyage dans l’Europe entière et que je visite les plus beaux salons, mais rien de tout cela ne peut remplacer un vrai foyer, une vraie famille. Vous avez une vraie famille, moi je voyage parce que je n’en ai pas. Vous avez un bon père, moi je n’en ai plus. Vous avez le calme, la tranquillité, je n’en ai pas du tout. N’enviez pas mon sort, retournez chez vous, appréciez tout votre bonheur à sa juste valeur, il est inestimable. »
La jeune fille repartit chez elle, et les illusions qu’elle s’était faites à la lecture de ces livres disparurent. Dieu s’était servi de l’écrivain pour lui ouvrir les yeux.
Aujourd’hui même, louons Dieu pour les nombreuses bénédictions inestimables qu’Il nous a accordées et qu’Il nous prodigue encore : pardon, paix, provision, famille, frères et sœurs. Ne cherchons pas auprès du monde notre bonheur, la Parole de Dieu nous dit dans Colossiens, 2 :10
Nous avons tout pleinement en Jésus-Christ qui est le chef de toute domination et de toute autorité !
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12/3/2019 • 3 minutes, 30 seconds
La vigne
Une pauvre femme vivait dans la capitale d’un pays au nord de l’Europe, non loin du palais royal. Sa fille gravement malade désirait ardemment un peu de raisins, mais comment en trouver en magasin à cette époque de l’année ? La mère se souvint tout à coup qu’elle avait vu, en traversant le parc du palais ouvert à tous, de magnifiques grappes de raisins dans les serres chauffées. S’armant de courage, elle alla trouver le jardinier en chef pour lui demander de lui en vendre une ou deux grappes. Elle se heurta à un refus catégorique.
— Vous êtes folle, lui dit le jardinier. Le roi n’est pas un marchand !
La pauvre femme s’en allait fort déçue quand un homme, qui avait tout entendu, s’approcha d’elle.
— Le jardinier a raison, dit-il. Mon père, qui est le roi, n’est pas un marchand. Mais s’il ne vend pas son raisin, il peut en donner !
Sur ces paroles, il choisit plusieurs belles grappes qu’il plaça dans le panier de la pauvre mère tout émue et reconnaissante.
Combien y en a-t-il qui désirent acheter le salut, pas seulement avec de l’argent, mais par leurs efforts, leurs mérites ou leurs prières ? Ils ne comprennent pas que le salut de Dieu est gratuit. Le Roi des rois ne vend rien à personne. D’ailleurs, quel prix pourrions-nous payer ?
Le salaire du péché, c’est la mort, mais le don gratuit de Dieu, c’est la vie éternelle en Jésus-Christ notre Seigneur, Romains 6 : 23.
Vous avez été rachetés […] non par des choses périssables, par de l’argent ou de l’or, mais par le sang précieux de Christ, comme d’un agneau sans défaut et sans tache, 1 Pierre 1 : 18-20.
Je suis prêt à adresser 5 histoires audio par semaine à vos amis, n’hésitez pas à les inviter à s’inscrire : Pour cela il me faut leur N° de smartphone avec le logiciel WhatsApp. Bien sûr c'est gratuit !
12/2/2019 • 2 minutes, 47 seconds
Le vent avait brisé le vitrail
La cathédrale d’une vieille petite ville était célèbre pour l’un de ses vitraux particulièrement beaux ; on venait de loin pour l’admirer. Quelle ne fut pas la désolation de la population lorsqu’un jour de gros orage accompagné d’un vent violent, le vitrail fut brisé et tomba en miettes sur le sol ! On rassembla ces morceaux dans une caisse que l’on conserva dans la crypte de l’église. Un étranger venu pour contempler le chef-d’œuvre les trouva là ; il se fit raconter l’histoire, et réussit à se faire donner la caissette, car, explique-t-on, on ne savait que faire de ces débris.
Les mois passèrent. Un jour, les responsables de la cathédrale reçurent une invitation à visiter l’atelier d’un artiste connu dans l’art du vitrail. Ils furent mis en présence d’un grand tableau caché par un rideau ; quand l’artiste l’eut dévoilé, ils demeurèrent stupéfaits en découvrant un merveilleux vitrail, d’une richesse de teintes exceptionnelles et d’un travail particulièrement fin et soigné. L’artiste leur dit alors :
« Ce vitrail a été fait avec les fragments que vous m’avez donnés, maintenant il est prêt à être replacé. »
Ne voyons-nous pas souvent nos plans et nos projets détruits par des circonstances en dehors de notre volonté ? Ne nous décourageons pas, remercions-en Dieu au contraire. Il a quelque chose de meilleur en vue pour nous. Il ne nous abandonne jamais et conduit nos pas selon son immense amour. C’est Lui le grand artiste, capable de nous donner des choses encore meilleures pour notre vie. Il nous a tout donné à travers son fils Jésus-Christ afin que nous ayons sa vie, sa paix, sa joie et toutes choses qu’il a préparées d’avance pour notre bien.
Toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu. Romains 8 :28.
11/28/2019 • 2 minutes, 58 seconds
Témoignage lointain
Un jour que mon grand-père, chef du village, siégeait entourer de ses courtisans, un homme vint se prosterner devant lui selon l’usage africain. Propriétaire de nombreux troupeaux, cet homme était connu pour pratiquer le culte des morts. Il était venu avec huit vaches qu’il avait laissées à une vingtaine de mètres derrière lui.
—Je suis venu dans un but précis, dit-il.
—Que représentent ces vaches ? demanda le chef.
—Elles sont à vous.
—Que veux-tu dire par « elles sont à moi » ?
—Eh bien ! Elles sont à vous parce que, lorsque je gardais vos troupeaux, j’ai volé un jour quatre vaches ; maintenant elles sont devenues huit, donc je vous les ramène.
—Qui t’a arrêté ?
—Nul homme, mais Jésus, lui m’a arrêté. Voici vos vaches.
Personne ne sourit ; le silence étant tombé sur l’assemblée, mon grand-père voyait bien que cet homme était en paix avec lui-même et qu’il rayonnait de joie.
—Vous pouvez me jeter en prison ou me donner la bastonnade, mais je suis libéré. J’ai rencontré Jésus et je suis un homme libre.
—Eh ben ! Si Dieu a fait tout cela pour toi, qui suis-je pour te mettre en prison ? Retourne chez toi.
Ayant été mis au courant de cette affaire, je me rendis chez mon grand-père quelques jours plus tard et, dans la conversation, je glissai cette phrase :
—J’ai appris que tu as reçu huit vaches en cadeau !
—C’est exact, répondit-il.
—Alors tu dois être heureux ?
— Pas du tout ! Depuis que cet homme est venu, je ne peux plus dormir. Pour connaître la paix qu’il possède, ce n’est pas huit vaches qu’il me faudrait rendre, mais cent !
Le roi David, dans Psaume 32 : 2-5, nous raconte son état lorsqu’il réalise son péché.
Heureux l’homme à qui l’Eternel n’impute pas d’iniquité, Et dans l’esprit duquel il n’y a point de fraude ! Tant que je me suis tu, mes os se consumaient, Je gémissais toute la journée ;
Car nuit et jour ta main s’appesantissait sur moi, Ma vigueur n’était plus que sécheresse, comme celle de l’été. — Je t’ai fait connaître mon péché, je n’ai pas caché mon iniquité ; J’ai dit : J’avouerai mes transgressions à l’Eternel ! Et tu as effacé la peine de mon péché.
11/27/2019 • 4 minutes, 5 seconds
La maîtrise du temps !
Un jour, un vieux professeur fut engagé pour donner une formation sur la planification efficace de son temps. Ce cours constituait l’un des cinq ateliers de leur journée de formation. Mais pour ce faire le vieux professeur ne disposait que d’une heure.
Debout, devant ce groupe d’élite (qui était prêt à noter tout ce que l’expert allait enseigner), le vieux professeur les regarda un par un, lentement, puis leur dit : « nous allons réaliser une expérience. » De dessous la table qui le séparait de ses élèves, il sortit un immense pot qu’il posa délicatement, en face de lui. Ensuite, il sortit environ une douzaine de cailloux à peu près gros comme des balles de tennis et les plaça avec précaution, un par un, dans le grand pot.
Lorsque le pot fut rempli jusqu’au bord et qu’il fut impossible d’y ajouter un caillou de plus, il leva lentement les yeux vers ses élèves et leur demanda :
—est-ce que ce pot est plein ?
Tous répondirent : —Oui !
Il attendit quelques secondes et ajouta : — Vraiment ?
Alors, il se pencha de nouveau et sortit de dessous la table un récipient rempli de gravier. Avec minutie, il versa le gravier sur les gros cailloux puis tapota le pot. Les morceaux de gravier s’infiltrèrent entre les cailloux… jusqu’au fond du pot. Le vieux professeur leva de nouveau les yeux vers son auditoire et redemanda :
—Est-ce que le pot est plein ?
Cette fois, ses brillants élèves commençaient à comprendre son manège. L’un d’eux répondit :
—probablement pas !
—Bien, répondit le vieux professeur.
Il se pencha à nouveau et cette fois, sortit de dessous la table un seau de sable. Avec attention, il versa le sable dans le pot. Le sable alla remplir les espaces entre les gros cailloux et le gravier. Encore une fois, il demanda :
—est-ce que ce pot est plein ?
Cette fois, sans hésiter et en chœur, les brillants élèves répondirent : — Non !
—Bien, répondit le vieux professeur.
Et comme si y attendaient ses prestigieux élèves, il prit le pichet d’eau qui était sur la table et remplit le pot jusqu’à ras bord. Le vieux professeur leva alors les yeux vers son groupe et demanda :
—quelle grande vérité nous démontre cette expérience ?
Pas fou, le plus audacieux des élèves, songeant au sujet de ce cours, répondit :
—cela démontre que même lorsqu’on croit que notre agenda est complètement rempli, si on le veut vraiment, on peut y ajouter plus de rendez-vous, plus de choses à faire.
—Non, répondit le vieux prof. Ce n’est pas cela.
La grande vérité que nous démontre cette expérience est la suivante : si on ne met pas les gros cailloux en premier dans le pot, on ne pourra jamais les faire entrer tous, ensuite.
Il y eut un profond silence, chacun prenant conscience de l’évidence de ces propos. Le vieux professeur leur dit alors : « Quels sont les gros cailloux dans votre vie ? Votre santé physique ou morale ? Votre famille ? Vos amis ? Faire ce que vous aimez ? Apprendre ? Défendre une cause ? Se relaxer ? Prendre du temps ? »
Ce qu’il faut retenir, c’est l’importance de mettre ses GROS CAILLOUX en premier dans la vie, sinon on risque de ne pas réussir sa vie. Si on donne priorité aux ‘peccadilles’ (le gravier, le sable), on remplira sa vie de petits riens et on n’aura plus suffisamment de temps précieux à consacrer aux éléments importants de notre vie.
Alors, n’oubliez pas de vous poser à vous-même la question : « Quels sont les GROS CAILLOUX dans ma vie ? »
11/26/2019 • 4 minutes, 46 seconds
Le juge et le condamné Charles Colson
Charles Colson est cet ancien conseiller du président Nixon, compromis dans l’affaire de Watergate et emprisonné ensuite durant plusieurs mois. Devenu chrétien, il se consacra à l’évangélisation des prisons américaines. A son groupe « Amitiés Prisons » se joignent souvent des visiteurs bénévoles pour rendre témoignage devant les prisonniers. Après une de ces visites, au moment de passer au contrôle de la sortie, Colson constata qu’un des bénévoles, le juge Clément, n’avait pas suivi le groupe. Il revint sur ses pas et le trouva dans la cellule du détenu James Brewer.
— Juste une minute, dit le visiteur à Colson. C’est important. Voyez-vous, c’est moi qui ai condamné James à la plus lourde peine. Mais maintenant, il est mon frère et nous avons besoin d’une minute pour prier ensemble.
— Je restai pétrifié sur le seuil de la cellule, raconte Colson. Devant moi, il y avait deux hommes ; l’un avait le pouvoir, l’autre n’en avait aucun ; l’un était blanc, l’autre, un Noir ; l’un avait condamné l’autre. Partout ailleurs que dans le royaume de Dieu, ce détenu aurait été prêt à tuer ce juge de ses mains nues. Mais là, ils étaient un, et leurs visages reflétaient une extraordinaire expression d’amour, tandis qu’ils priaient ensemble.
En sortant de la prison, le juge Clément, très ému, m’expliqua qu’il avait prié pour Brewer chaque jour depuis qu’il l’avait condamné, quatre ans auparavant.
Car nous aussi, nous étions autrefois insensés, désobéissants, égarés, asservis à toute espèce de convoitises et de voluptés, vivant dans la méchanceté et dans l’envie, dignes d’être haïs, et nous haïssant les uns, les autres. Mais, lorsque la bonté de Dieu, notre Sauveur et son amour pour les hommes ont été manifestés, il nous a sauvés, Tite 3 : 3-5.
11/25/2019 • 2 minutes, 57 seconds
Les trois médecins
Un roi qui aimait beaucoup trop les liqueurs avait trois médecins attachés à sa personne. Il les consulta tous les trois pour savoir s’il valait mieux en user avant, pendant ou après les repas.
—Avant les repas, lui dit le premier.
Son raisonnement convainquit le monarque.
— Pendant les repas, répondit le second.
La démonstration fut trouvée aussi bonne que celle du premier.
— Après les repas, affirma le troisième.
Ses arguments parurent si solides qu’il fallait bien s’y rendre.
— Je suis satisfait, dit le prince. Vous avez raison tous les trois ! Les preuves que vous m’avez tous données m’ont pleinement persuadé. Aussi, je suivrai vos conseils et désormais je prendrai les liqueurs avant, pendant et après les repas.
Si nous prenons conseil des hommes, nous trouverons toujours auprès d’eux des justifications qui paraîtront excellentes. Elles nous laisseront la liberté de jouir à notre guise. Au contraire, la Parole de Dieu nous avertira clairement des dangers. Saurons-nous l’écouter ?
La loi de l’Eternel est parfaite, elle restaure l'âme ; Le témoignage de l’Eternel est véritable, il rend sage l'ignorant. Les ordonnances de l’Eternel sont droites, elles réjouissent le cœur ; Les commandements de l’Eternel sont purs, ils éclairent les yeux.
La crainte de l’Eternel est pure, elle subsiste à toujours ; Les jugements de l’Eternel sont vrais, ils sont tous justes. Ils sont plus précieux que l'or, que beaucoup d'or fin ; Ils sont plus doux que le miel, que celui qui coule des rayons. Ton serviteur aussi en reçoit instruction ; Pour qui les observe la récompense est grande. Qui connaît ses égarements ? Pardonne-moi ceux que j'ignore. Préserve aussi ton serviteur des orgueilleux ;
Qu'ils ne dominent point sur moi ! Alors je serai intègre, innocent de grands péchés. Reçois favorablement les paroles de ma bouche Et les sentiments de mon cœur, O Eternel, mon rocher et mon libérateur ! Psaumes19 : 8-15.
11/22/2019 • 3 minutes, 9 seconds
S’accepter
L’apôtre Paul se rappelait qu’il avait persécuté l’assemblée de Dieu, ce que n’avaient pas fait les autres apôtres. Dieu ne l’avait pas disqualifié pour autant, au contraire puisque, dans sa grâce, après sa conversion, il avait fait de lui son porte-parole auprès des non-juifs.
Paul regardait en face la réalité, et savait qu’il ne pourrait effacer son passé de persécuteur, mais il acceptait parfaitement ce que Dieu avait fait de lui. Ce qu’il était maintenant était le résultat de la grâce de Dieu.
Comme il est important pour un chrétien de s’accepter tel qu’il est, tel que Dieu l’a fait dans sa grâce ! Accepter son physique, les parents qu’on a eus, sa famille, celle de son conjoint, l’éducation qu’on a reçue. D’accepter tout notre passé, y compris les expériences malheureuses dont on a encore honte.
Seul le souvenir de la grâce de Dieu peut nous tenir à notre juste place devant lui, en nous empêchant :
— De nous dévaloriser à nos propres yeux. Ne suis-je pas un enfant de Dieu, aimé de Lui tel qu’il m’a fait et tel qu’Il me façonne chaque jour comme j’ai besoin de l’être ?
— De nous enorgueillir de ce que nous possédons. Je ne mérite rien et ce que j’ai, je le tiens de la bonté de Dieu qui ne me doit rien, mais me fait la grâce d’être ce que je suis, et de pouvoir faire quelque chose pour lui.
Je suis le moindre des apôtres, je ne suis pas digne d’être appelé apôtre, parce que j’ai persécuté l’Eglise de Dieu. Par la grâce de Dieu, je suis ce que je suis et sa grâce envers moi n’a pas été vaine, 1 Corinthiens 15 : 9-10.
11/21/2019 • 2 minutes, 51 seconds
Vainqueur par la foi !
Rencontrant tout dernièrement un ancien camarade de guerre de mon père, officier supérieur et ancien déporté, nous avons été très frappés par un incident de sa vie dans les camps de la mort.
Soumis à la rude discipline que l’on sait, il était spécialement surveillé par les Allemands. Ses souffrances furent atroces. En avril 1945, par des rumeurs parvenues jusque dans le camp, il comprit que les troupes américaines n’étaient pas loin et que le moment était venu de faire acte d’autorité. Il se présenta au chef de camp et lui tint le langage suivant : « Les troupes américaines sont à quelques kilomètres. Etant l’officier au grade le plus élevé, je vous fais connaître qu’à partir de cet instant, c’est moi qui suis le chef de camp. Vous êtes donc mon prisonnier et vous allez me remettre vos armes. Vous donnerez ensuite, sous mon contrôle, des ordres pour que les gardiens soient immédiatement rassemblés dans une baraque. »
A son étonnement, le chef de camp allemand obéit. Les gardiens furent désarmés et soigneusement enfermés, pendant que les déportés ne se tenaient plus de joie. Quand les troupes américaines envoyèrent une patrouille, celle-ci trouva un camp en parfaite discipline et complètement libéré. Elle n’eut qu’à récupérer les prisonniers allemands et faire le nécessaire au point de vue sanitaire.
En écoutant ce camarade, j’ai été frappé de la similitude de sa position et de la nôtre. Beaucoup de croyants sont prisonniers et enfermés dans un réseau d’habitudes, de façons de faire, de peurs, de réticences et, disons le mot, de péchés. Ils ne peuvent se libérer et passent leur temps à soupirer après la liberté des vrais enfants de Dieu.
Or, la nouvelle nous est parvenue que la libération a été réalisée, qu’elle va devenir effective dans quelques heures. Si nous prenions les promesses au pied de la lettre, nous connaîtrions à notre tour le désarmement et la mise en état d’impuissance de notre chair, de notre ennemi et de ses anges.
Ce n’est pas par manque de connaissance que nous péchons, mais bien par manque de confiance. Si nous demandions à Dieu que, par son Saint Esprit, il rende réelle la libération faite par le Christ, il y a vingt siècles, nous serions des VAINQUEURS.
11/20/2019 • 3 minutes, 26 seconds
Avec les deux rames !
Un vieil Écossais avait une petite embarcation qu’il utilisait pour le transport de passagers.
Un jour, l’un d’entre eux remarqua qu’il avait gravé sur l’une de ses rames « LA FOI » et sur l’autre « LES ŒUVRES ». La curiosité le poussa à demander ce que cela signifiait et le vieillard, qui était un chrétien convaincu, fut tout heureux de saisir cette occasion de témoignage. Il fit marcher seulement la rame « FOI », mais la barque ne fit que tourner en rond, puis il fit marcher seule la rame « ŒUVRES » et la barque tourna dans l’autre sens, mais aussi en rond. Il prit les deux rames et la barque s’avança rapidement sur l’eau démontrant que la foi et les œuvres apportent la sécurité, le progrès et la bénédiction. L’épître de Jacques, 2 :14-26 nous parle de la foi et des œuvres :
Mes frères, que sert-il à quelqu’un de dire qu’il a la foi, s’il n’a pas les œuvres ? La foi peut-elle le sauver ? Si un frère ou une sœur sont nus et manquent de la nourriture de chaque jour, et que l’un d’entre vous leur dise : Allez en paix, chauffez-vous et vous rassasiez ! et que vous ne leur donniez pas ce qui est nécessaire au corps, à quoi cela sert-il ? Il en est ainsi de la foi : si elle n’a pas les œuvres, elle est morte en elle-même. Mais quelqu’un dira : Toi, tu as la foi ; et moi, j’ai les œuvres. Montre-moi ta foi sans les œuvres, et moi, je te montrerai la foi par mes œuvres. Tu crois qu’il y a un seul Dieu, tu fais bien ; les démons le croient aussi, et ils tremblent.
Veux-tu savoir, ô homme vain, que la foi sans les œuvres est inutile ?
Abraham, notre père, ne fut-il pas justifié par les œuvres, lorsqu’il offrit son fils Isaac sur l’autel ?
Tu vois que la foi agissait avec ses œuvres, et que par les œuvres la foi fut rendue parfaite.
Ainsi s’accomplit ce que dit l’Écriture : Abraham crut à Dieu, et cela lui fut imputé à justice ; et il fut appelé ami de Dieu.
Vous voyez que l’homme est justifié par les œuvres, et non par la foi seulement.
Rahab la prostituée ne fut-elle pas également justifiée par les œuvres, lorsqu’elle reçut les messagers et qu’elle les fit partir par un autre chemin ?
Comme le corps sans âme est mort, de même la foi sans les œuvres est morte.
C’est vraiment le moment d’utiliser ces deux rames : la foi et les œuvres !
11/19/2019 • 3 minutes, 27 seconds
Le langage de la création !
Dieu est l’auteur de deux grands livres qu’il a mis à la disposition de l’humanité : la Nature et la Bible. Il faut la foi pour lire et comprendre l’un et l’autre.
Du moment qu’on admet l’évidente nécessité d’un Créateur, on trouve à chaque pas des sujets d’émerveillement concernant la puissance et la divinité de Dieu. Tout, absolument tout, de l’infiniment grand à l’infiniment petit, témoigne de la puissance créatrice et de la sagesse parfaite de notre Dieu.
Le croyant capable de comprendre les plus récentes découvertes scientifiques est plein d’admiration devant la complexité et la précision de la création divine. La nature nous parle aussi de la bonté de Dieu qui veut le bien de sa créature.
Pourquoi beaucoup d’hommes de sciences rejettent-ils l’existence de Dieu ? Tout simplement parce que tout créateur a des droits sur ce qu’il a créé, et le Créateur en a sur l’homme, sa créature, qui trop souvent ne veut pas l’admettre.
La fin de ce premier chapitre de l’épître aux Romains nous montre que le refus d’écouter le Créateur conduit aux pires désastres dans les mœurs et la santé. L’état de pollution dont la planète souffre de manière accélérée et généralisée est aussi le résultat de ce mépris de Dieu.
Nous invitons les jeunes, les étudiants en particulier, à ne pas se laisser influencer par les théories changeantes que le monde développe pour évacuer l’idée même d’un Créateur.
Depuis la création du monde, ce qu’il y a d’invisible en Dieu, c’est-à-dire à la fois sa puissance éternelle et sa divinité, se discerne au moyen de l’intelligence, d’après ses œuvres, Romains 1 : 20.
11/18/2019 • 2 minutes, 53 seconds
Les regrets de Bismarck
Le prince de Bismarck, l’un des principaux artisans de la puissance de l’Allemagne, jugeait ainsi sa propre œuvre à la fin de sa vie : « Je n’ai rendu personne heureux, ni moi, ni les miens, ni qui que ce soit. Par contre, combien n’ai-je pas fait de malheureux ? Sans moi, trois grandes guerres n’auraient pas eu lieu. Quatre-vingt mille hommes n’auraient pas péri. Leurs parents, leurs femmes, leurs enfants n’auraient pas été plongés dans le chagrin et le deuil. Quoique j’aie réglé cette question devant Dieu, il me reste le regret d’avoir derrière moi, à côté du peu de joie que m’ont procuré mes succès, toute une vie de soucis, de contrariétés et de peines ».
Cette confession peut paraître surprenante dans la bouche d’un homme couvert d’honneurs. Pendant ses trente-six ans d’activités politiques, il s’était consacré tout entier à la grandeur de la Prusse et à l’unité allemande. Arrivé à la fin de sa vie, il découvre avec tristesse les résultats décevants de son œuvre.
Mais faut-il donc attendre la fin de son existence pour s’apercevoir de sa faillite ? Quand Saul de Tarse a rencontré Jésus sur le chemin de Damas, il a découvert que tout ce qu’il recherchait jusqu’alors n’avait aucune valeur et n’était qu’une perte (Philippiens 3 : 7).
Ne travaillons pas pour ce qui périt, mais pour ce qui demeure jusqu’en la vie éternelle, Jean 6 : 27.
Prenons contact avec Jésus-Christ ; il remettra de l’ordre dans nos vies pour notre bonheur éternel.
Ne vous amassez pas des trésors sur la terre […] mais amassez-vous des trésors dans le ciel.
Nul ne peut servir deux maîtres, vous ne pouvez servir Dieu et Mamon (les richesses), Matthieu 6 : 19-20, 24.
11/15/2019 • 3 minutes, 1 second
19 CD 07 Recherche Inlassable
Pour illustrer son message, un évangéliste racontait qu’il avait observé récemment dans son jardin l’étrange manège de chenilles, le long des tuteurs plantés dans la terre : Après avoir péniblement escaladé le piquet jusqu’au sommet, elles dressaient leur tête à droite, à gauche, cherchant sans doute un bourgeon ou une feuille tendre à manger ; puis apparemment déçues, elles redescendaient lentement vers le sol. L’assistance intriguée attendait la suite.
Dans ce monde, continua le prédicateur, il y a aussi des piquets qui semblent promettre des merveilles à qui en atteindra le sommet : plaisirs, argent, puissance, renommée… Eh bien ! Il faudra toujours redescendre.
Le lendemain, un des assistants, homme riche de la région, revint et dit à l’évangéliste : « J’ai été frappé hier par votre message. Moi aussi, j’ai grimpé à tous les piquets possibles et ils m’ont tous déçu. J’ai bien trouvé des plaisirs, mais pas le bonheur, des satisfactions, mais pas la paix intérieure… »
Tout heureux de cette confession si franche, l’évangéliste, comme la veille à son auditoire, parle à son visiteur de Celui qui a promis :
Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et moi, je vous donnerai du repos, Matthieu 11 : 28.
Ce que rien n’avait pu et ne pouvait faire, le Seigneur Jésus-Christ, le Sauveur, le fit pour cet homme. Il trouva le repos de sa conscience enfin libérée du fardeau qui pesait sur elle.
Et que servirait-il à un homme de gagner tout le monde, s’il perdait son âme ? Matthieu 16 : 26.
Quoi que mes yeux aient désiré, je ne les en ai point privés ; je n’ai refusé à mon cœur aucune joie…, et voici, tout est vanité et poursuite du vent ! Ecclésiaste 2 : 10-11.
11/14/2019 • 3 minutes, 3 seconds
Recherche inlassable !
Pour illustrer son message, un évangéliste racontait qu’il avait observé récemment dans son jardin l’étrange manège de chenilles, le long des tuteurs plantés dans la terre : Après avoir péniblement escaladé le piquet jusqu’au sommet, elles dressaient leur tête à droite, à gauche, cherchant sans doute un bourgeon ou une feuille tendre à manger ; puis apparemment déçues, elles redescendaient lentement vers le sol. L’assistance intriguée attendait la suite.
Dans ce monde, continua le prédicateur, il y a aussi des piquets qui semblent promettre des merveilles à qui en atteindra le sommet : plaisirs, argent, puissance, renommée… Eh bien ! Il faudra toujours redescendre.
Le lendemain, un des assistants, homme riche de la région, revint et dit à l’évangéliste : « J’ai été frappé hier par votre message. Moi aussi, j’ai grimpé à tous les piquets possibles et ils m’ont tous déçu. J’ai bien trouvé des plaisirs, mais pas le bonheur, des satisfactions, mais pas la paix intérieure… »
Tout heureux de cette confession si franche, l’évangéliste, comme la veille à son auditoire, parle à son visiteur de Celui qui a promis :
Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et moi, je vous donnerai du repos, Matthieu 11 : 28.
Ce que rien n’avait pu et ne pouvait faire, le Seigneur Jésus-Christ, le Sauveur, le fit pour cet homme. Il trouva le repos de sa conscience enfin libérée du fardeau qui pesait sur elle.
Et que servirait-il à un homme de gagner tout le monde, s’il perdait son âme ? Matthieu 16 : 26.
Quoi que mes yeux aient désiré, je ne les en ai point privés ; je n’ai refusé à mon cœur aucune joie…, et voici, tout est vanité et poursuite du vent ! Ecclésiaste 2 : 10-11.
11/14/2019 • 3 minutes, 3 seconds
Si c’est votre livre…
Un soir de bataille, un croyant parcourait le lieu du carnage, cherchant à soulager quelques blessés. Il trouva un soldat qui n’avait plus que quelques instants à vivre.
— Voulez-vous que je vous lise un passage de l’Evangile ? Demanda-t-il.
Pour toute réponse, le mourant lui dit :
— J’ai soif, si vous pouviez me donner un peu d’eau.
Aussitôt, l’homme courut vers un ruisseau et lui rapporta de l’eau. Puis le soldat lui dit :
— Mettez-moi quelque chose sous la tête.
Il prit son manteau et le plaça sous la tête du blessé.
— Maintenant, dit le soldat, si c’est votre livre qui fait des hommes comme vous, ouvrez-le et lisez-le jusqu’à ce que je meure…
Voilà un homme qui a donné à boire à son prochain et à Dieu en même temps. L’important se trouve en ceci, c’est que le vrai chrétien a su créer la soif spirituelle chez celui qu’il secourait.
Les situations ne sont jamais les mêmes, mais une aide, une bonne parole, un sourire sont autant de verres d’eau distribués et, dit la Bible, vous ne perdez pas votre récompense, sans parler de la satisfaction d’avoir été pour votre prochain comme un ange de Dieu et son moyen de salut.
Car j’ai eu faim, et vous m’avez donné à manger ; j’ai eu soif, et vous m’avez donné à boire ; j’étais étranger, et vous m’avez recueilli ; j’étais nu, et vous m’avez vêtu ; j’étais malade, et vous m’avez visité ; j’étais en prison, et vous êtes venus vers moi.
Les justes lui répondront : Seigneur, quand t’avons-nous vu avoir faim, et t’avons-nous donné à manger ; ou avoir soif, et t’avons-nous donné à boire ? Quand t’avons-nous vu étranger, et t’avons-nous recueilli ; ou nu, et t’avons-nous vêtu ?Quand t’avons-nous vu malade, ou en prison, et sommes-nous allés vers toi ?
Et le roi leur répondra : Je vous le dis en vérité, toutes les fois que vous avez fait ces choses à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous les avez faites.
Matthieu 25 :35-40.
11/13/2019 • 3 minutes, 2 seconds
Emportons notre air avec nous !
Connaissez-vous l’argyronète ? C’est une petite araignée de marais qui vit sous l’eau à la manière d’un scaphandrier. Elle se construit entre les plantes aquatiques, une sorte de cloche à plongeur tissée de soie et imperméabilisée, qu’elle remplit d’air. Périodiquement l’argyronète remonte à la surface pour en rapporter de l’oxygène sous forme de petites bulles fixées –ne me demandez pas comment– aux poils de son abdomen.
Elle s’en sert pour regonfler sa petite maison sous-marine dans laquelle elle vit, chasse à l’affût et élève sa progéniture.
Chrétiens, prenons exemple sur cet ingénieux petit insecte.
Nous sommes appelés à vivre, à travailler, à élever nos enfants dans un monde dont l’atmosphère morale est irrespirable. Il nous faut régulièrement faire surface, renouveler notre provision d’air céleste sans laquelle nous nous asphyxions. C’est la lecture régulière de la Bible et la prière qui maintiendront nos relations avec le ciel et nous donneront notre « dynamisme spirituel ».
Que font les cosmonautes appelés à vivre quelques heures ou quelques jours en dehors de l’atmosphère terrestre ? Ils emportent leur air avec eux. Et en particulier, c’est ce que nous avons à faire chaque fois que nous nous trouvons malgré nous dans une compagnie douteuse. Prenons notre air avec nous. Et respirons-le.
Si donc vous avez été ressuscités avec Christ, cherchez les choses qui sont en haut, où Christ est assis à la droite de Dieu ; pensez aux choses qui sont en haut, non pas à celles qui sont sur la terre ; car vous êtes morts, et votre vie est cachée avec Christ en Dieu, Colossiens 3 : 1-3.
11/12/2019 • 2 minutes, 57 seconds
Le ministre et le berger !
Un roi se perd dans la forêt et rencontre un jeune berger qui le raccompagne jusqu’à son château. En chemin, le berger lui parle de son travail et le roi est très impressionné par sa sagesse. Il l’invite à rester avec lui pour être son conseiller.
Quelques années plus tard, l’ancien berger devient l’intendant du royaume. Cette promotion rapide provoque la jalousie des autres conseillers qui vont voir le roi pour lui dire : ton intendant se retire tous les jours dans une pièce dont lui seul a la clé. Nous pensons qu’il profite de sa position pour te voler et qu’il se constitue un trésor personnel.
Le roi est troublé par cette accusation, et bien qu’il ait confiance en son intendant, le doute s’installe dans son esprit. Il veut en avoir le cœur net, et un soir, accompagné de tous ses conseillers, il fait irruption dans la pièce où s’est retiré son intendant. La pièce est vide, à part une chaise sur laquelle sont pliés les riches habits de l’intendant. Quant à lui, il a revêtu son ancienne tunique de berger et il médite, assis par terre. Il explique au roi qu’il a besoin de ces temps de retrait pour se retrouver en vérité, afin de réfléchir aux affaires du royaume, se souvenir de son histoire, et méditer sur son avenir.
11/11/2019 • 2 minutes, 13 seconds
La chute du mur de Berlin !
Automne 1989. Le « mur de Berlin » vole en éclats. C’est le chemin de la liberté enfin retrouvée pour des millions d’Allemands. L’événement est historique.
Cela nous fait penser à un événement plus important encore. Il y a plus de deux mille ans, un autre mur symbolique, « le mur de séparation » (Ephésiens 2 : 14).
C’est Dieu lui-même qui l’avait établi pour séparer son peuple Israël de toutes les autres nations. Désormais, il n’existe plus de séparation entre juifs et non-juifs. Ceux qui étaient :
Sans droit de cité en Israël et étrangers aux alliances de la promesse », « sans Dieu dans le monde », « été approchés par le sang de Christ » Ephésiens 2 : 12-13.
Jésus est venu et a annoncé la Bonne Nouvelle de la paix à ceux qui étaient loin. Le salut est offert à tous les hommes sans distinction de race.
Tous les croyants, quelle que soit leur origine, ont accès à Dieu. Nous nous approchons de Lui librement plus que les prêtres juifs ne pouvaient le faire. Le rideau qui interdisait l’accès du Lieu Très Saint, partie secrète du temple, où se trouvait la Présence de Dieu lui-même, a été déchiré par le milieu (Luc 23 : 45), du haut en bas (Marc 15 : 38). Nous pénétrons par la foi dans le sanctuaire et nous adorons Dieu pour ce qu’il est et pour ce qu’Il a fait pour nous. !
Notre Dieu Sauveur […] veut que tous les hommes soient sauvés […] et, il y a un seul médiateur entre Dieu et les hommes, Jésus-Christ homme, qui s’est donné lui-même en rançon pour tous, 1 Timothée 2 : 3-6.
11/8/2019 • 3 minutes, 13 seconds
Dieu m’aime !
Comment Dieu dont vous prétendez qu’il est amour et qui peut faite tout ce qui lui plaît peut-il regarder un corps tourmenté par une douleur terrible sans tendre une main secourable ?
La question a été posée par une jeune fille autrefois heureuse et qui s’était gravement blessée en tombant d’un cheval et avait entendue par hasard les médecins dirent : « Impotente à vie ! »
A cela tout son être c’était révolté, le visiteur chrétien a qui s’adressait cette parole amère demanda :
_ Mon enfant est-ce que cela t’a fait très mal quand on a mis le plâtre ?
_ Mal, c’était terrible ! Monsieur ! répondit-elle
_ Est-ce que ton Père n’était pas présent ?
_ Bien sûr qu’il était là !
_ Et il les a laissés te torturer ? Il aurait pu les arrêter !
_ Mais c’était nécessaire, c’était pour m’aider pour qu’au moins je sois capable de m’asseoir de nouveau.
_ L’ami parla alors avec beaucoup de douceur !
_ Donc ton père n’a rien fait lorsque le docteur te causait une telle douleur et il a permis cela quoiqu’il t’aime tendrement !
_ Le regard de la patiente avait une subite lumière dans les yeux et croisa celui du visiteur
_ Vous voulez dire demanda-t-elle avec hésitation que Dieu a permis cet accident parce qu’il m’aime ? Il inclina la tête incapable de répondre.
_ Pas très intéressant !
_ Pas très intéressant ?
« Nous savons que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon son dessin ». Épître de Paul aux Romains chapitre 8 verset 28.
11/7/2019 • 2 minutes, 38 seconds
Elle était mignonne, mais est-ce suffisant ?
Mes circonstances professionnelles faisaient que je rencontrais régulièrement une certaine jeune fille. Elle était mignonne, sérieuse et elle me faisait de si beaux sourires ; mais est-ce suffisant pour un mariage chrétien réussi ? Je n’étais pas insensible à son charme naturel, mais je n’en étais pas tombé amoureux. Par affection et témoignage, je lui offris un abonnement d’un an à un journal chrétien. Grandes furent ma surprise et ma déception, lorsque la rédaction de ce journal m’avertit qu’elle avait refusé la publication. En supposant un mariage éventuel, on imagine facilement les grosses difficultés d’un croyant engagé, à vivre sa foi, tous les jours avec une telle personne !
D’ailleurs pour notre bonheur la Bible dit à ce sujet de se marier seulement dans le Seigneur (1 Corinthiens7 : 39), c’est-à-dire avec une personne qui partage la même foi chrétienne. On peut citer un autre texte qui peut aussi concerner le mariage : 2Corinthiens 6 :14.
Ne vous mettez pas avec les infidèles sous un joug étranger.
Non, le Seigneur nous a préparé quelqu’un qu’il connait, qui marche avec Lui et quelqu’un qui nous aidera à grandir dans notre vie spirituelle. Le but du mariage c’est de nous unir dans l’esprit pour vivre ensemble et servir le Seigneur, le reste vient après.
11/6/2019 • 2 minutes, 30 seconds
Ne faites pas comme moi !
Ne pas mettre en garde ceux qui font leurs débuts dans la vie, contre les dangers qui les guettent et qui risquent de gâcher toute leur existence, serait ne pas les aimer, et ce serait même trahir la confiance que les jeunes peuvent avoir en leurs aînés. Mieux qu’une argumentation, voici un fait qui me paraît mériter d’être cité, laissant au lecteur le soin de dégager de ce récit la leçon qu’il comporte.
Il y a quelque temps, entrant en conversation et abordant le sujet religieux avec une jeune femme, plutôt richement habillée et portant croix huguenote, il me fut donné d’entendre les étonnantes paroles suivantes :
— Je ne vous connais pas, mais il me suffit de comprendre que j’ai affaire à un chrétien pour que je vous parle à cœur ouvert : j’ai de l’argent à volonté ; mais je ne suis pas heureuse et je ne le serai jamais, car j’ai perdu la foi chrétienne de mon adolescence, j’ai même perdu l’honneur. En dépit des apparences, je ne suis qu’une épave roulant vers l’abîme, je ne me fais aucune illusion, je suis perdue, car je n’ai plus de volonté ; tous les ressorts sont brisés.
Et tout cela, parce que par deux fois, à l’aube de mes vingt ans et puis un peu plus tard, j’ai dit oui alors que j’aurais dû dire non. Demandée en mariage par un jeune homme que je connaissais peu et qui n’avait pas mes sentiments religieux, j’aurais vite compris que le refus s’imposait si j’en avais fait un sujet de prière mais, quasi orpheline, ayant l’ardent désir de fonder un foyer, je me dis : « ce jeune homme paraît gentil, il ne refusera pas de m’accompagner au temple, il se convertira et tout ira bien. » Et le mariage se fit. Naïve que j’étais, il ne me fallut pas longtemps pour réaliser mon erreur, car non seulement c’était l’incompréhension sur la question religieuse mais aussi sur d’autres points et je fus profondément déçue de n’avoir pas rencontré le compagnon de route rêvé. Deux ans après, devenue maman, je me vis abandonnée et incapable, pour raison de santé, de fournir un travail normal. Désemparée, dans un état d’abattement et de dépression, je ne pouvais être qu’une proie facile pour un tentateur aux aguets. J’aurais dû bondir d’indignation et rejeter ces billets qui m’étaient offerts… au prix de mon honnêteté, mais la misère est mauvaise conseillère et je succombai. Je sais que j’ai tort ; mais vous ne pouvez pas savoir ce que c’est lorsqu’on est incapable de réagir. Je ne sais pourquoi je me suis sentie poussée à vous dire tout cela, à vous que je vois pour la première et dernière fois, c’est sans doute parce si tout est fini pour moi, je pense aux autres, j’ai la hantise des autres. Je voudrais crier à tous les jeunes que je rencontre : « Voilà ce qui m’est arrivé, ne faites pas comme moi. » Oh ! Si vous avez l’occasion de vous adresser aux jeunes de nos églises, racontez-leur mon histoire afin que cela leur serve de leçon.
Bien sûr, avec le Seigneur, nous sommes encore pour un peu de temps dans le temps de la grâce, c’est-à-dire le temps où on peut être pardonné de nos erreurs passées, de nos péchés. Il suffit de Lui demander pardon, reconnaissant notre état de pécheur et croyant que, sur la croix du calvaire, Jésus a payé le prix pour que nos péchés soient pardonnés, effacés et qu’une vie nouvelle de paix, de lumière et de vérité deviennent nôtre. Oui il n’est pas trop tard ! Venons à Lui de tout notre cœur car aujourd’hui encore c’est un jour de grâce !
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11/5/2019 • 5 minutes, 1 second
Marchez dans l’amour !
Pierre circulait de nuit sur le trottoir d’une rue mal éclairée. De loin, il remarqua une petite lumière qui se rapprochait. C’était un individu qui tenait une lampe de poche… et une canne blanche.
— Pourquoi, avez-vous une lampe, demanda Pierre à cet aveugle ? Celui-ci sourit :
— J’ai une lumière pour que les autres puissent me voir. Je ne les vois pas mieux, mais, je fais mon possible pour ne pas faire trébucher les autres.
Cette anecdote illustre ce que devrait être la conduite d’un chrétien : une marche dans l’amour. M’appliquer à ne pas faire tomber mon frère. Me garder de toute malveillance, médisance, mensonge à son sujet. M’abstenir même de ce qui me serait agréable pour ne pas blesser sa conscience.
Cette attitude va de pair avec une marche dans la lumière de la Révélation de Dieu (1 Jean 1 : 7). Elle me permet de voir clairement ce que je suis et ce que je fais. Confessant à Dieu mes faiblesses et mes fautes, je peux rester en contact avec Lui et cultiver une relation de simplicité et de transparence avec mes frères.
Marcher dans l’amour, c’est vouloir le bien spirituel de mes frères ; être à leur écoute ; leur consacrer du temps ; prier pour eux ; partager avec eux joies et souffrances. En réalisant cela, nous entrons dans la pensée du Seigneur Jésus et restons dans sa communion.
Soyez donc imitateurs de Dieu […] et marchez dans l’amour comme Christ nous a aimés, Éphésiens 5 : 1.
Si, à cause d’un aliment, ton frère est attristé, tu ne marches plus selon l’amour, Romains 14 : 15.
11/4/2019 • 2 minutes, 48 seconds
Je me suis lassé !
Un chrétien distribuait un jour des tracts dans les rues de sa ville, quand il fut soudain interpellé par un homme d’un certain âge :
— Ah, dit-il, j’ai distribué des tracts moi aussi lorsque j’étais plus jeune, mais c’est un travail qui ne porte pas de fruits. Je n’ai jamais vu une âme venir au Seigneur par ce moyen. Aussi, me suis-je lassé et n’ai-je pas continué.
Le zélé distributeur fut quelque peu déconcerté par cette remarque décourageante. Mais il se souvint aussitôt de sa propre conversion et comment il avait été lui-même attiré à Dieu par un tract. Ce travail portait quand même du fruit.
Il raconta sa conversion au chrétien sceptique et quand il eut fini celui-ci lui demanda :
— Pourriez-vous me préciser l’époque, le lieu, le moment où vous avez reçu le prospectus qui vous a amené à la conversion ?
—Oh, oui, cela m’est chose facile, car de tels moments marquent dans la vie. C’était dans telle rue, un homme se trouvait à telle heure, le soir, devant tel lieu de culte. Il m’a appelé et m’a invité à assister à la réunion, mais voyant mon refus, il m’a donné le tract en disant :
‘Jeune homme, lisez ce prospectus et si un jour vous êtes dans la détresse venez me voir.’
Les yeux du monsieur se remplirent de larmes ; il secoua les mains de son jeune interlocuteur :
— Monsieur, l’homme dont vous venez de parler, c’est moi ! Oui chaque soir, je faisais ce travail ; j’étais jeune converti, mais ne voyant venir aucune âme au Seigneur par ce moyen, je me suis lassé. Maintenant, après vingt ans, Dieu me montre que ce n’était pas en vain et il me pousse ce soir à confesser ma faiblesse et à travailler de nouveau pour Lui, et cela par ce moyen.
Pour n’avoir tenu compte que des choses qui se voient, cet homme a perdu vingt ans de sa vie et laissé bien des âmes courir à la perdition, alors que Dieu l’avait choisi pour être une sentinelle dans sa ville et offrir le salut aux perdus.
11/1/2019 • 3 minutes, 17 seconds
Être content !
La génération à laquelle nous appartenons, malgré des conditions de vie beaucoup plus faciles que celles de nos grands-parents, manifeste beaucoup d’insatisfaction. Même les plus comblés, les nantis, ceux à qui rien ne semble manquer, ne sont pas contents. Il est donc évident que le cœur humain, même dans l’abondance, reste vide, car il lui manque l’essentiel, la place que Dieu devrait occuper dans ce cœur.
D’ailleurs, le contraste est frappant ; lorsque quelqu’un a la joie de connaître Dieu, il manifeste –comme le faisait l’apôtre Paul– un contentement que l’homme sans Dieu ne peut ni connaître, ni comprendre. Tout change lorsque Dieu remplit le cœur de quelqu’un, parce qu’il sait que tout ce qui le concerne, toutes ces circonstances, heureuses ou difficiles, ont un but car toutes choses travaillent ensemble pour son bien (Romains 8. 28). Celui qui, par Christ, connaît Dieu comme un Père, possède une joie et une paix qui le rendent heureux. Le monde et ses plaisirs n’apportent, eux, rien de durable ; ce sont, comme dit le prophète :
Des citernes crevassées qui ne retiennent pas l’eau, Jérémie 2. 13.
Vous qui avez soif, venez-vous désaltérer à une source éternelle. Elle se trouve en Dieu.
Jésus seul vous y conduit : Dieu a donné son Fils pour vous amener à Lui.
Moi, j’ai appris à être content de l’état où je me trouve, Philippiens 4 : 11.
C’est, en effet, une grande source de gain que la piété avec le contentement,1 Timothée 6 : 6.
10/31/2019 • 2 minutes, 50 seconds
Abandonné par sa fiancée, il découvre Jésus-Christ !
« Dieu, la religion, c’est pour les enfants du catéchisme ou c’est pour les vieilles personnes, mais pas pour les gars de 20 ans. » Voilà ce que j’entendais dire autour de moi et ce que je croyais.
J’avais bien un Dieu dans ma vie, mais pas le Dieu qu’on chante ce soir. Mon Dieu c’était le football. Mais Dieu avait un plan pour moi, et un jour je fus invité à un mariage par un camarade de travail qui me demanda si je pouvais venir pour transporter des invités ; je vis là une bonne occasion de m’amuser et me voilà parti pour la noce mais je n’étais pas à la noce, croyez-moi parce que je ne connaissais personne et c’était bien triste pour moi ; or il y avait une jeune fille de la noce qui voyant que je ne disais rien et que j’étais triste vint vers moi et commença à me parler par politesse, pour me dérider un peu ; cette jeune fille était chrétienne et depuis l’âge de douze ans elle connaissait Jésus-Christ ; voyant le vide de mon âme elle a eu vraiment à cœur de me parler, puis voyez, on s’est si bien parlé, qu’on a décidé de se revoir.
Cette jeune fille rendait un témoignage vivant de ce que Jésus-Christ était pour elle ; elle m’aimait, mais je sentais qu’elle avait quelqu’un d’autre dans son cœur qui tenait la première place ; c’était Jésus-Christ ; moi je n’avais que la deuxième place et ça me faisait mal… Elle se sentait reprise dans sa conscience parce que dans sa Bible qu’elle lisait tous les jours, qu’elle méditait, et qui était la règle de sa vie, il y avait un verset qui disait : Tu ne te mettras pas sous un joug étranger ! Elle avait l’impression d’être sous un joug étranger, elle qui servait le Seigneur, et moi qui ne connaissais pas Dieu et qui étais alors un vrai païen.
Un beau jour, se faisant violence, à elle-même et à son amour, elle a décidé de rompre, elle a choisi Dieu, et je me suis retrouvé avec une lettre de remerciements où elle m’expliquait pourquoi elle m’abandonnait… Vous pouvez penser quel choc ce fut pour moi…
Vous savez ce que c’est que les déceptions sentimentales : on broie du noir, on pense à se suicider ! Cependant au fond de l’épreuve, au fond de l’abîme je me suis dit une chose : « Elle m’a quitté pour Dieu ! Eh bien, si ce Dieu existe, je vais m’adresser à Lui, Lui il me la rendra peut-être ! »
Voyez ce petit marché d’enfant : à genoux dans ma chambre, j’ai crié à Dieu, j’ai prié Dieu comme jamais je ne l’avais fait ! « Ô Dieu, si tu existes, entends ma prière et redonne-moi cette fille que tu as placée sur mon chemin et qui t’appartient ! »
Je dois vous dire que c’était très dur ; j’ai mis Dieu à l’épreuve. J’ai acheté une Bible et je l’ai lue. Là, à 22 ans, j’ai découvert Jésus-Christ ; j’ai découvert dans son Evangile qu’il était mort pour nous, qu’il avait donné sa vie pour nous et Il disait :
Tout ce que vous demanderez en Mon nom, je le ferai.
Chaque soir je Le priai. Je priai Dieu : « Si tu veux, redonne-moi cette jeune fille au nom de Jésus-Christ. »
Et Dieu s’est révélé à mon cœur, ma foi s’est édifiée, s’est fortifiée dans la main de Dieu ; chaque jour j’avançais d’un pas de plus…Mes parents me disaient : « Pourquoi donc attendre cette jeune fille qui t’a dit : non ? Une de perdue, dix de retrouvées ! »
Mais moi j’étais buté, je savais que si Dieu existait, il me la rendrait… Elle habitait à 200 km de chez moi et pendant 8mois, nous ne nous sommes pas revus, nous n’avons eu aucun contact ; puis un beau jour, j’ai appris par une personne interposée qu’elle désirait me revoir ! Et en effet nous avons repris contact, on s’est retrouvé… Dieu me l’avait bien rendue ; il avait mis 8 mois mais c’était pour mon bien, car Il s’était révélé à moi.
Depuis ce jour-là, toute ma vie a été transformée. Dieu existe et Il ne m’a jamais déçu...
10/29/2019 • 5 minutes, 30 seconds
La conversion de Jacques !
Ruth était une croyante. Jacques était un incrédule. Sourde à toute remontrance, la jeune fille s’obstina dans sa propre volonté et l’épousa, au mépris de l’enseignement de la Parole de Dieu, 2 Corinthiens 6 :14 :
Ne vous mettez pas avec les infidèles sous un joug étranger. Il n’est peut-être pas inutile de le rappeler ici.
Le jeune époux ne tarda pas à montrer ses vrais sentiments. Il finit par interdire à sa femme d’aller dans un lieu de culte. Elle répliqua avec vivacité. Il la frappa. Pour la première fois, sur ce visage qui l’avait charmée, elle découvrit une expression cruelle. Elle céda et garda secrète toute l’amertume de son cœur. L’homme le sentit et s’en aigrit. Plus de caresses, plus de douces paroles. Des injures, des blasphèmes et des coups.
Un soir, une voisine vint inviter Ruth à des réunions d’évangélisation. La jeune femme secoua la tête, découragée :
— Inutile, Lucie. Jacques m’a dit qu’il m’assommerait si je retournais à une réunion et je sais qu’il est homme à le faire.
— Vous serez de retour avant qu’il ne rentre du travail. Ne m’avez-vous pas dit que vous étiez une chrétienne ?
— Je l’étais… Eh bien, j’irai.
Et elle alla. Elle entendit la Parole de Dieu et ce fut pour elle comme une pluie qui tombe sur un terrain fauché, Psaumes 72 : 6.
Lorsque Jacques rentra, le soir, il remarqua que sa femme paraissait plus heureuse que de coutume. Il ne voulut pas la questionner, mais il se promit de surprendre le secret de cette joie.
Le soir suivant, Ruth retourna à la réunion.
— Il est bon, disait-elle à sa voisine, de sentir que j’ai un Ami, un Ami céleste qui ne peut me tromper.
Ruth sortit un peu avant la fin de la réunion. Mais, quand elle approcha de sa demeure, elle vit sur le pas de la porte, son mari qui l’attendait. Il s’effaça pour la laisser entrer et verrouilla la porte.
— D’où viens-tu ? demanda-t-il d’une voix calme.
— De la réunion.
— Très bien. Tu as eu ton plaisir, tu dois le payer.
— Écoute, Jacques… dit-elle suppliante.
Inutile ! Nous ne décrirons pas la scène de violence qui suivit. Après l’avoir rouée de coups, le tyran la repoussa du pied et sortit.
Le lendemain, aussi invraisemblable que cela paraisse, Ruth retourna à la réunion. Sur le seuil elle rencontra un ami chrétien :
— Pardon, Monsieur, je voudrais que ce soir on prie tout spécialement pour mon mari, Jacques.
— Nous le ferons, Madame.
Ce soir-là, Jacques n’alla pas au cabaret. Il se demandait si sa femme oserait enfreindre son commandement. Il la vit tout à coup qui entrait dans la salle de réunion. Il tira de sa poche un large couteau, l’ouvrit, s’avança et se glissa dans le fond de la salle. Il n’écoutait rien : son cœur était plein de ses projets de vengeance. Tout à coup, il entendit ces mots :
Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et moi, je vous donnerai du repos.
Il n’écoutait plus, mais il ne pouvait se défaire de cette parole entendue. Il remarqua un ami debout, au fond de la pièce. Il s’approcha :
— C’est vous qui promettez le repos ? Ou c’est l’autre monsieur ? Demanda Jacques.
— Vous êtes venu ici, ce soir, pour trouver le chemin de la paix ?
— Non, Monsieur, je suis venu pour tuer ma femme -et il montra la lame de son couteau-mais je veux savoir maintenant si ce que j’ai entendu est vrai.
— Oui, nous vous dirons qui donne le repos.
Jacques écoutait le chant du dernier cantique. Le prédicateur se leva :
— Une femme demande que l’on prie instamment ce soir pour son mari, Jacques.
L’homme tressaillit. Une prière s’éleva vers Dieu dans un silence recueilli. La réunion était finie. Quelques amis entourèrent l’homme qui se hâtait vers la porte.
— Attendez, Monsieur, nous désirons vous montrer le chemin du repos.
— Vous ne savez pas qui je suis : il n’y a pas de repos pour moi.
On lui parla de Jésus qui purifie le pécheur par son sacrifice. ..
10/27/2019 • 6 minutes, 11 seconds
Ce qui doit changer !
Contrairement à ce que beaucoup pensent, les principaux problèmes de l’homme ne sont ni politiques, ni économiques, ni sociaux, ni écologiques. Ce sont des problèmes moraux.
Imaginez un moment le monde sans égoïsme et sans mensonge, chacun mettant en pratique les enseignements de Christ, aimant son prochain comme lui-même, faisant à autrui ce qu’il voudrait qu’on lui fasse.
Soyez en sûrs, tous les conflits mondiaux et personnels seraient réglés. L’harmonie et le bonheur régneraient dans les familles, Ce serait la fin des guerres, donc la paix entre les nations, la fin des conflits sociaux. Les gouvernements et les gouvernés se comprendraient et feraient tous leurs efforts pour créer une société juste où le bien-être de l’autre serait plus important que le sien.
Ce qui doit changer d’abord, ce ne sont pas les conditions de vie de l’homme, c’est l’homme lui-même.
Le cœur de l’homme doit être renouvelé. Pas le cœur de mon voisin, de mon employeur, de ma femme de mon mari ou de mes enfants mais mon propre cœur.
C’est une illusion de croire que l’homme peut se réformer fondamentalement. De par sa nature, l’homme est pécheur, et de ce fait incapable de s’améliorer.
Dieu ne répare pas ce que l’homme a détruit, mais Il lui offre une nature nouvelle : la vie même de Jésus-Christ. Comment celapeut-il se faire ? Par la foi en Lui, le Sauveur mort sur la Croix pour expier nos péchés, ressuscité pour notre justification.
Si un homme ne naît d’eau et d’Esprit, il ne peut voir le royaume de Dieu, Jean 3 : 5.
Le cœur est tortueux par-dessus tout, et il est méchant : qui peut le connaître ? Moi, l’Eternel, j’éprouve le cœur, je sonde les reins, Jérémie 17 : 9-10.
10/24/2019 • 2 minutes, 58 seconds
N’oublions pas le donateur !
On raconte qu’un certain prince d’Orient avait un fils à qui il avait attribué une pension alimentaire versée au début de chaque année.
A cette occasion, le jeune homme venait dans la capitale rendre visite à son père, et en même temps, ce qui l’intéressait surtout, il touchait sa rente. Le reste de l’année, il restait invisible. Attristé de ce comportement, le prince décida que désormais la pension serait versée, non plus en une seule fois chaque année, mais par semaine. Dès lors, il vit son fils toutes les semaines.
Vraie ou non, cette histoire comporte une leçon pour nous. Elle nous aide à comprendre pourquoi Dieu fractionne souvent ses bénédictions. Il connaît d’abord notre tendance à rechercher le don plutôt que le Donateur, à nous intéresser davantage aux grâces qu’il nous accorde qu’à Lui dont nous les recevons.
Il connaît aussi notre peu de foi. Généralement, dès que nous avons une provision de quoi que ce soit (argent, santé…), c’est sur elle que nous nous reposons plutôt que sur le Seigneur. Quand il nous donne peu à peu et, jour après jour ce qui suffit aux besoins du moment, mais rien de plus, notre Dieu sait ce qu’il fait. Il nous oblige à tourner toujours à nouveau nos regards vers Lui pour que nous continuions à lui demander ce qui nous est nécessaire, et à le remercier quand nous l’avons reçu.
Je sais vivre dans l’humiliation, et je sais vivre dans l’abondance. En tout et partout, j’ai appris à être rassasié et à avoir faim, à être dans l’abondance et à être dans la disette. Je puis tout par Christ qui me fortifie, Philippiens 4 : 12-13.
10/23/2019 • 3 minutes, 9 seconds
Pas d’accidents avec Dieu. !
Le Dr. R. V. Bingham, fondateur de la mission à l’intérieur du Soudan, était un homme dont la foi en Dieu et dans son amour était exercée par une expérience de chaque jour. Il fut un jour très gravement blessé alors qu’il était âgé de 60 ans, au cours d’un accident automobile : fracture du crâne et de plusieurs os.
Quand il revint à lui le lendemain à l’hôpital, il demanda à l’infirmière pourquoi il était là.
—Restez tranquille, lui dit-elle, car vous avez eu un terrible accident.
— Accident ! Accident, s’exclama le Dr Bingham. Il n’y a pas d’accidents dans la vie du chrétien. C’est un incident.
En effet, voici ce que nous déclare l’apôtre Paul dans l’épitre aux Romains chapitre 8 versets 37-39.
Mais dans toutes ces choses nous sommes plus que vainqueurs par celui qui nous a aimés. Car, j’ai l’assurance que ni la mort ni la vie, ni les anges ni les dominations, ni les choses présentes ni les choses à venir, ni les puissances, ni la hauteur, ni la profondeur, ni aucune autre créature ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu manifesté en Jésus-Christ notre Seigneur.
10/22/2019 • 2 minutes, 8 seconds
L’expérience !
Le Petit Robert nous propose cette expérience surprenante : plutôt que de répéter sans cesse à l’enfant que le feu brûle, consentons à le laisser un peu se brûler, l’expérience instruit mieux que le conseil.
Pascal a écrit : les jeunes manquent d’expérience, mais on tire avantage non seulement de sa propre expérience, mais encore de celle de ses prédécesseurs.
Personne ne contestera ici l’expérience de l’auteur du livre « S’aimer », animateur du « courrier du cœur », pendant 15 ans sur Radio Sottens à Lausanne. J’ai nommé le pasteur Maurice Ray. Un jour, un homme vint le voir et lui annonça sa décision de divorcer, il affirma que la vie n’était plus possible au foyer. Et l’homme étala devant lui tous les défauts de sa femme. Maurice Ray prit enfin la parole et lui dit :
— Ecoutez Monsieur, plus je vous écoute, plus je suis convaincu d’une chose : la meilleure femme pour vous, c’est… la vôtre. Prenez votre croix et suivez Jésus, il vous aidera à aimer votre femme.
Il avait de l’expérience, le pasteur, bien sûr.
Car j’ai appris à être content dans l’état où je me trouve. Je sais vivre dans l’humiliation, et je sais vivre dans l’abondance. En tout et partout j’ai appris à être rassasié et à avoir faim, à être dans l’abondance et à être dans la disette. Je puis tout par celui qui me fortifie.
Philippiens 4 :11-13.
10/21/2019 • 2 minutes, 29 seconds
S’investir !
Cette expression moderne, tirée du langage financier, signifie que l’on s’engage à fond pour une cause qu’on a jugée bonne ou pour un objectif qu’on veut atteindre. Quelle cause est meilleure que celle de Jésus-Christ, quel but plus élevé que le ciel et la gloire éternelle ?
Les gens savent investir leur temps, leurs forces, leur argent dans des placements qui ne leur rapportent rien dans l’au-delà. Le chrétien n’en ferait-il pas autant quand il s’agit de son avenir éternel ? Cela suppose des renoncements, car ce qu’on affecte à un certain usage n’est évidemment plus disponible pour d’autres.
Par-dessus tout, le chrétien est invité à s’investir lui-même. L’apôtre Paul cite l’exemple des Macédoniens, gens pauvres qui, non seulement ont donné leur argent pour le service de l’Evangile, mais se sont donnés eux-mêmes au Seigneur.
Le Seigneur Jésus, qui est l’exemple du suprême renoncement, a dit un jour à ses disciples :
Si quelqu’un veut venir après moi, qu’il renonce à lui-même, et qu’il prenne sa croix, et me suive, Matthieu 16 : 24.
Investissons pour le ciel ; c’est le seul placement à l’abri des voleurs, des dévaluations, des krachs boursiers.
Amassez-vous des trésors dans le ciel, où la teigne et la rouille ne détruisent point, et où les voleurs ne percent ni ne dérobent, Matthieu 6 : 20.
Ils se sont donnés premièrement eux-mêmes au Seigneur,2 Corinthiens 8 : 5.
10/17/2019 • 2 minutes, 22 seconds
Ne tuez pas le chien !
Ne tuez pas le chien
Des cambrioleurs cherchaient à s’introduire dans la maison d'un homme endormi. Le chien de la maison attaché dans la cour se mit à aboyer. « Impossible de dormir tranquille, », marmonna le maître, en se retournant dans son lit. Mais le chien aboyait de plus belle.
L’homme exaspéré se leva et voulut imposer silence à la bête. Rien à faire, le chien hurlait toujours. Hors de lui, le maître décrocha son fusil, tua le chien et se recoucha. « Maintenant, je vais pouvoir dormir tranquille. »
Vous souriez de l’absurdité de cet homme ? Qui sait si vous ne faites pas comme lui ? Votre conscience vous rappelle que vous êtes un pécheur bien loin d’accomplir la loi de Dieu, et vous imposez silence à votre conscience !
Vous avez peut-être une Bible chez vous, c'est la parole de Dieu qui montre aux hommes le chemin du salut et les avertit aussi du jugement qui sera prononcé à l'encontre de celui qui ne croit pas. Cette Bible, vous n’osez pas la jeter, mais vous vous gardez bien de la lire. Vous imposez silence à la Parole de Dieu ! Vous ne voulez pas entendre la voix de Dieu.
Nous vous en supplions : « Ne tuez pas le chien ! »
10/16/2019 • 2 minutes, 3 seconds
Le grand feu !
La scène se passe en Nouvelle Guinée, il y a quelques années. Au centre d’un village papou, en plein jour, une foule d’indigènes chante autour d’un grand feu. A tour de rôle, chacun d’eux jette dans les flammes ses fétiches, idoles, amulettes. Et, à chaque fois, la foule manifeste bruyamment son approbation.
Ces Papous s’étaient véritablement tournés vers Jésus et, avant d’être baptisés, ils désiraient montrer publiquement qu’ils tournaient le dos à leurs anciennes pratiques. Ils coupaient définitivement les liens qui les avaient retenus si longtemps.
Visiblement, certains hésitaient plus que d’autres avant de franchir le pas, mais Jésus-Christ avait toujours le dessus.
Dans un monde occidental, de culture judéo-chrétienne, nous n’avons pas eu, dans nos pays christianisés, à couper des liens de cette nature lors de notre conversion. Mais avons-nous su brûler tout ce qui avait de l’emprise sur nous ? Avons-nous demandé au Seigneur, comme ces indigènes, l’énergie nécessaire pour nous engager totalement pour Lui ?
Toutes les chaînes qui nous lient et ces mauvaises habitudes dont nous sommes devenus les esclaves ne nous paraissent peut-être ni graves, ni condamnables. N’oublions cependant pas que, même dorée, une chaîne reste une chaîne et entrave tout autant notre service pour le Maître et nos progrès spirituels.
Jetons dans le feu, sans tarder, avec l’aide du Seigneur, ce qui nous fait du tort. Il saura nous récompenser.
Tournés des idoles vers Dieu, pour servir le Dieu vivant et vrai, 1 Thessaloniciens 1 : 9.
10/15/2019 • 3 minutes, 10 seconds
Le cascadeur !
L’artiste américain Mac Waverly s’était rendu célèbre par ses acrobaties à vous couper le souffle, sur des avions en vol. Il s’appelait lui-même le « maître de la mort ». A l’aide d’un trapèze accroché sous un avion, il effectuait à trois cents mètres d’altitude des tours si vertigineux que d’autres n’auraient même pas pu les réaliser au sol. Sur le fuselage, il se promenait avec des échasses ; les ailes lui servaient de court de tennis ; il sautait de son avion à un autre ou dans une voiture ou un train en marche…
Beaucoup pensaient que ses folles audaces finiraient par lui être fatales. Mais le célèbre cascadeur est mort d’une autre manière. Une nuit, il tomba de son lit et se fractura la colonne vertébrale. Tous les soins prodigués furent vains.
Le vrai « maître de la mort », c’est Dieu. C’est lui qui fait
Retourner l’homme jusqu’à la poussière et dit :
Retournez, fils des hommes, Psaumes 90 : 3.
Il tient chacune de nos vies dans Sa main,Bien sûr, ils ne sont pas nombreux ceux qui, pour la gloire, l’argent ou le goût du risque jouent ainsi avec la mort. Mais, il est bien dangereux aussi d’avancer en fermant les yeux et de vivre comme si l’on devait toujours rester sur la terre. La Parole de Dieu interpelle chacun de nous :
Prépare-toi […] à rencontrer ton Dieu » ! Amos 4 : 12.
Il n’y a personne qui ait de la puissance sur le jour de la mort. Ecclésiaste 8 : 8.
Enseigne-nous […] à bien compter nos jours, afin que nous en acquérions un cœur sage Psaumes 90 : 12.
10/14/2019 • 2 minutes, 54 seconds
Colbert
Colbert fut un homme d’état remarquable et il contribua beaucoup à la prospérité de la France sous le règne de Louis XIV. Pourtant, il fut disgracié par le roi, sans doute victime de médisance.
Alors qu’il approchait de la mort, on l’informa que le roi avait fait prendre plusieurs fois de ses nouvelles. Avec amertume, le ministre aurait répondu :
— Qu’on ne me parle plus de cet homme ! Si j’avais fait pour Dieu ce que j’ai fait pour lui, je ne serais pas si inquiet pour le salut de mon âme.
Comme tant d’autres, Colbert supposait qu’il aurait pu faire suffisamment pour obtenir le pardon de Dieu et le salut de son âme. Les juifs demandèrent un jour à Jésus :
Que ferons-nous pour faire les œuvres de Dieu ?
Voici la réponse du Maître :
C’est ici l’œuvre de Dieu, que vous croyiez en celui qu’il a envoyé, Jean 6 : 28-29.
La seule chose que Dieu demande à l’homme qui se reconnaît pécheur et coupable, c’est qu’il croit en Jésus et en la valeur de son œuvre. Un gardien de prison posa à l’apôtre Paul et son compagnon Silas, cette question angoissée :
Que faut-il que je fasse pour être sauvé ?Savez-vous ce qu’il répondit :
Crois au Seigneur Jésus et tu seras sauvé, Actes 16 : 30-31.
Vous êtes sauvés par grâce, par le moyen de la foi, et cela ne vient pas de vous, c’est le don de Dieu ; non pas sur le principe des œuvres, afin que personne ne se glorifie, Éphésiens 2 : 8-9.
10/11/2019 • 2 minutes, 47 seconds
Le règne de justice
L’histoire du monde est celle de luttes entre puissances rivales. Pour empêcher leur affrontement, certains visionnaires, à la suite d’Einstein, préconise un gouvernement unique pour toute l’humanité.
Pour le moment, ce grand dessein d’une domination universelle est un rêve, et le sentiment de la justice est étranger à l’organisation des peuples.
Mais un jour prochain, la justice et la paix, que le monde recherche en vain depuis des siècles, seront enfin établies sous le sage gouvernement de Jésus-Christ, le Roi de gloire. Dans ce règne de mille ans entrera un reste d’Israël, qui aura traversé auparavant une tribulation sans pareille (Matthieu 24 : 21) ainsi qu’un grand nombre d’hommes issus d’autres nations qui seront amenés à la foi. La paix et la justice régneront (Esaïe 32 : 18,Psaumes 72).
A la crainte et à l’inquiétude succéderont la joie et le bonheur (Esaïe 25 : 6-8). La mort, salaire du péché, ne sera plus que le châtiment exceptionnel d’un acte de désobéissance (Psaumes 101 :8).
La souffrance, la maladie, les infirmités disparaîtront (Esaïe 35 : 5-6).
Le terre elle-même sera délivrée de la malédiction qui pèse sur elle depuis que le péché y est entré (Psaumes 72 : 16 ; Esaïe 30 : 23, 25).
Pendant ce règne de paix terrestre, l’Église de Christ, composée de tous les vrais croyants, régnera avec Lui (2 Timothée 2 : 12).
Voici un roi régnera en justice, et des princes domineront avec droiture ; et il y aura un homme qui sera comme une protection contre le vent et un abri contre l’orage, Esaïe 32 : 1-2.
…On n’apprendra plus la guerre, Esaïe 2 : 4.
10/10/2019 • 2 minutes, 54 seconds
Mon oncle Attilio !
Mon père et ses trois frères formaient une équipe de quatre évangélistes qui prêchaient l’Évangile sur les places et les marchés. Ils avaient des roulottes automobiles, déjà avant la guerre de 39-45 ; cette équipe des « quatre Frères Arnera », comme on les appelait, avait beaucoup voyagé, en France et à l’étranger. Or, les quatre frères avaient un frère aîné, qui s’appelait Attilio. Mais à l’âge de 8 ou 9 ans, à la suite d’une méningite, son développement intellectuel s’était arrêté. Il s’exprimait avec peine, en bredouillant beaucoup, de sorte qu’il avait en son cœur cette tristesse : « Mes frères prêchent le Seigneur partout, et moi je n’y arriverai jamais ! »
Or, voici ce qui est arrivé quelques années avant sa mort. Un dimanche matin, mon oncle Attilio descendait à pied depuis Vallauris jusqu’à la route de Cannes pour prendre le car et aller au culte. Tandis qu’il attendait, une voiture italienne s’arrêta, un homme en descendit et lui demanda la direction à prendre :
— Je me suis égaré et je cherche ma route.
Mon oncle lui répondit en italien, lui indiqua la route en disant :
— Ici, c’est la route de Vallauris, et là, celle de Cannes.
Et ce voyageur de lui dire :
— Vous connaissez Vallauris ?
—Oui, c’est là où j’habite !
—Est-ce que vous connaissez, à Vallauris, un dénommé AttilioArnera?
—Mais AttilioArnera, c’est moi !
Alors cet inconnu, tout ému, lui tendit les bras et lui dit :
— Il y a 50 ans à peu près, à la bataille de Caporetto, en 1917, j’étais blessé à mort. Vous étiez brancardier, vous m’avez ramassé sur le champ de bataille ; vous m’avez pansé et emmené à l’ambulance. Vous m’avez aussi parlé de Jésus dès que j’avais repris connaissance, et vous m’avez donné votre Nouveau Testament de poche. Je l’ai lu à l’hôpital. Je me suis donné au Seigneur. Plus tard, après ma rentrée en convalescence, chez moi, nous l’avons lu en famille. Ma famille s’est convertie, et maintenant dans mon village natal, il y a toute une assemblée de croyants qui se réunit pour louer le Seigneur. Et tout cela, grâce à vous !
Imaginez la joie de mon cher oncle Attilio ! Imaginez ces deux hommes pleurants d’émotion au bord de la route… Que les bontés de l’Éternel sont immenses !
Alors, quelques jours après, mon oncle prit le train ; il fit lui-même le tour de ses nombreux neveux et nièces. Quelle fierté, quel bonheur : il voulait raconter lui-même l’honneur que le Seigneur lui avait accordé. Et il nous disait en bégayant :
— Et moi aussi, j’ai évangélisé !
C’était le commencement de sa vie…
Dans mon ministère de pasteur, j’ai eu l’occasion de raconter cette histoire à un groupe de jeunes chrétiens allemands qui visitaient la France, ils m’ont demandé de revenir, le soir et de la raconter à nouveau pour qu’elle soit enregistrée.
— Après, nous la traduirons, m’ont-ils dit. Nous en ferons un traité pour la distribuer en Allemagne…
On m’a demandé de raconter à nouveau l’histoire de mon oncle Attilio. Il est mort quelques années après ; mais le Seigneur lui avait donné cet immense bonheur : lui que la maladie avait rendu incapable de bien parler, lui qu’on considérait un peu comme un simplet. Le Seigneur ne l’avait pas oublié. Et il pouvait dire avec un immense bonheur la gloire de sa vie : « Moi aussi, j’ai été un évangéliste. »
10/9/2019 • 4 minutes, 31 seconds
Trente pièces d’argent !
L’Ancien Testament contient plus de 300 textes qui annoncent les souffrances de Christ et qui décrivent sa vie sur la terre, sa mort sur la croix. Cinq siècles avant la naissance du Christ, le prophète Zacharie a précisé le prix qui serait payé à Judas pour sa trahison : trente pièces d’argent. Il a aussi annoncé que cet argent, rendu par le traître, serait utilisé pour l’achat du champ d’un potier (Zacharie 11 : 12-13). Comme les autres prophéties, celle-ci se réalisa avec une précision parfaite. Le prix que les chefs des juifs proposèrent fut de trente pièces d’argent. Après quoi, Judas, voyant que Jésus était condamné et pris de remords, rapporta l’argent aux principaux chefs du peuple qui dirent :
Il n’est pas permis de les mettre dans le trésor sacré. Alors, ils prirent cet argent et l’employèrent pour acheter le champ du potier, Matthieu 27 : 6-7.
Vous pensez bien que les chefs des Juifs n’ont pas fait cela pour que s’accomplissent les prophéties qui les condamnaient. Tout ce qui avait été annoncé devait se réaliser. Incrédules, ces hommes religieux ne comprenaient pas les Ecritures dont ils étaient les dépositaires et qu’ils conservaient jalousement ; mais, ils les ont accomplies à leur insu.
Ils pesèrent mon salaire, trente pièces d’argent […] Et je pris les trente pièces d’argent et je les jetai au potier, Zacharie 11 : 12-13.
Judas […] dit : que voulez-vous me donner, et moi, je vous le livrerai ? Et ils lui payèrent trente pièces d’argent, Matthieu 26 : 14-15.
10/8/2019 • 2 minutes, 46 seconds
Si je peux toucher son vêtement
La maladie fondit sur moi comme un aigle sur sa proie : empoisonné quelques heures plus tôt par un pesticide, je fus soudain terrassé par des nausées, des vomissements, des crampes abdominales, des maux de tête et une forte fièvre. Le jeune garçon de dix ans débordant de vitalité que j’étais 24 heures plus tôt, se trouvait soudain à l’article de la mort. Impossible de bouger ou simplement d’ouvrir les yeux à la lumière du jour. Appelé en urgence, notre médecin diagnostiqua une hépatite toxique :
—Le pronostic est très réservé, dit-il à mi-voix à mes parents. Si le foie ne tient pas le coup, on ne pourra rien faire. Alors puisque vous préférez ne pas l’hospitaliser, je retire ma responsabilité…
De fait, la maladie continua d’empirer. Un jour, la fièvre grimpa à 41°, et dans un état de faiblesse extrême, je me sentis en train de mourir. Je sombrais dans un état pré comateux et j’eus l’étrange impression que mon esprit se détachait de mon corps. Ouvrant péniblement les yeux, j’aperçus ma mère et mes sœurs sur le seuil de la chambre à coucher. Le visage baigné de larmes, elles se mirent à chanter un vieux cantique dont les paroles allèrent droit à mon cœur :
Si seulement je puis toucher son vêtement,
Le bord suffit Car il guérit entièrement.
Une grande douceur, une grande paix, mais aussi une incroyable puissance se dégageaient de la mélodie et des paroles de ce chant. Malgré ma grande faiblesse, je réalisai que c’était comme si Jésus me disait que ce qu’il avait fait jadis pour une femme malade, il allait le faire pour moi si seulement je pouvais toucher son vêtement, c’est-à-dire avoir une confiance totale en lui.
Je le fis très simplement en plaçant toute ma foi d’enfant en Jésus-Christ. Dès lors, et à la grande surprise de notre médecin, ma santé s’améliora de jour en jour. Je suis tombé malade au début des vacances d’été, ma convalescence s’amorça avant la rentrée des classes. Je restai encore très faible pendant plusieurs mois. Mais je guéris sans aucune séquelle ! Que Jésus-Christ en soit remercié, que son Nom soit loué !
Sachons que si nous demandons quelque chose selon sa volonté, il nous écoute.
10/7/2019 • 3 minutes, 27 seconds
Pilote d’avion suicide
Le 15 août 1945, un escadron de kamikazes ou d’avions-suicide japonais était en alerte avec la mission d’intercepter tout bombardier américain qui s’approcherait de Tokyo. Kobayashi avait toujours montré beaucoup d’enthousiasme pour les missions qu’on lui avait confiées. Mais aujourd’hui, il avait vraiment peur, car il n’y aurait pas de retour possible.
Soudain, un officier arriva sur la piste d’envol. Il venait d’entendre un message radiodiffusé relatant la reddition du Japon. Kobayashi poussa un soupir de soulagement.
Quelques jours plus tard, le pilote rentra chez lui à Osaka. Sa maison était détruite et plusieurs membres de sa famille étaient morts. Il trouva, non sans peine, un travail dans une raffinerie de pétrole. C’est là qu’il remarqua une jeune secrétaire qui dans ses moments de pause, lisait la Bible. Il ressentit d’abord un certain mépris pour quelqu’un qui préférait la religion de leurs ennemis à celle de leurs ancêtres. Pourtant, quand la jeune fille, quelques jours plus tard, l’invita à assister à une réunion chrétienne, il accepta. Il entendit prêcher sur le texte suivant :
Aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent (Matthieu 5. 44). C’est ce que Christ a fait. Il nous a aimés jusqu’à donner sa vie pour nous sauver. Le pilote se mit à lire la Bible. Il accepta par la foi le salut que Dieu offre à tous les hommes, et une joie profonde remplit son cœur.
Le Père a envoyé le Fils pour être le Sauveur du monde, 1 Jean 4 : 14.
Nous avons connu l’amour, en ce qu’Il a donné sa vie pour nous, 1 Jean 3 : 16.
10/4/2019 • 2 minutes, 54 seconds
Elle offrit ses mains !
Mary Verhese, jeune indienne, acheva sa formation médicale en 1951 à la faculté chrétienne de médecine de Vellore ; elle y apprit entre autres la chirurgie orthopédique et la rééducation.
Très intelligente et habile en chirurgie, elle se perfectionna encore dans cette branche. Un jour qu’elle se dirigeait vers la station médicale de la Mission, l’auto heurta une borne, se renversa et dévala un talus.
Mary se brisa le dos au niveau de l’aisselle ; son visage était tailladé, elle souffrait de blessures terribles et de graves lésions ; alors commença la lutte contre la mort ; paralysée, elle ne pouvait mouvoir que sa tête et ses bras.
Quand on lui annonça cela, elle l’accepta sans aucune plainte ; chrétienne, elle se savait dans les bras de Dieu, qui l’avait dirigée jusqu’à ce jour.
Après trois opérations importantes sur la colonne vertébrale elle put se tenir assise sans tomber en avant ou sur le côté et se déplacer avec un fauteuil roulant.
« Je crois que Dieu me conduit vers les lépreux, avait-elle confié à son chirurgien, car maintenant j’ai quelque chose à leur apporter que seule la souffrance m’a appris. »
Avec son fauteuil roulant qu’elle ne quittait plus, elle revint à la clinique où pendant trois ans elle étudia et apprit à opérer les mains déformées des lépreux ; elle était devenue capable de remodeler, par opération, des mains et des pieds paralysés et déformés ainsi que d’exécuter des opérations plastiques du visage. Assise dans son fauteuil, on peut dire que Mary est maintenant un des meilleurs chirurgiens de la main de toute l’Asie.
Voici ce qu’a écrit le chirurgien chrétien qui l’a suivie dans toutes ces étapes douloureuses. « Ce qui rayonne d’elle c’est la foi et la certitude que, dès le début, Dieu avait un ordre à lui donner, un travail pour lequel Il l’avait préparée », et il ajouta : « Quand je suis assis dans mon bureau je peux voir le petit sentier qui conduit à la clinique des lépreux. Je vois Mary descendre le chemin, guidant adroitement son fauteuil roulant. Je la regarde moins elle que les patients défigurés, estropiés et paralysés qui l’attendent, elle et ses soins. Alors j’aime à observer leurs visages tendus vers elle… Elle a toujours le visage marqué par les cicatrices de son accident, mais comme elle prend le tournant, je peux voir une lumière qui éclaire les visages des patients. Je crois que c’est une lumière céleste qui symbolise en eux une foi naissante, un reflet de la foi du Dr Mary. »
10/3/2019 • 3 minutes, 52 seconds
Le but de ma vie !
Août 1991. En quelques semaines, la cohésion de l’Union Soviétique semble voler en éclat. Les durs du régime résistent pourtant, mais en vain. Alors, l’un d’eux, le maréchal Akhromeev, se donne tragiquement la mort. Sur un papier, il laisse ce message : « Tout ce à quoi j’ai consacré ma vie se détruit ».
Quelle tristesse dans ce constat ! Donner le meilleur de soi-même pour une cause qui s’avère être une mauvaise cause.
Quel est le but de notre vie ? Servons-nous la bonne cause ? Rechercher les richesses, les honneurs, le pouvoir est égoïste et ne sert sûrement pas la bonne cause. Poursuivre l’amitié, la solidarité, l’intégration dans un cercle quelconque est plus généreux, mais correspond en fait à un égoïsme de groupe. Se consacrer à sa famille, à la bonne moralité, aux droits de l’homme, à la défense de l’environnement est plus noble, mais la question demeure : quelle est la véritable bonne cause ? Nous la trouvons en Celui qui est au-dessus de toutes choses. Elle consiste à vivre pour le projet de Dieu, le Bien absolu, qui se concentre en Jésus-Christ.
Vivre pour Jésus est la seule bonne cause et elle rassemble les côtés positifs de toutes les autres. En effet, Jésus-Christ est à la fois le modèle de la plus haute moralité, le plus grand libérateur des hommes et Celui qui apportera la paix et l’harmonie sur la terre. Il a les promesses du présent et du futur. Confions-lui la direction de notre vie.
Je sais en qui j’ai cru, et je suis persuadé qu’Il a la puissance de garder mon dépôt jusqu’à ce jour-là, 2 Timothée 1 : 12.
10/2/2019 • 2 minutes, 50 seconds
De la musique mais pas de déjeuner ! Wolfgang Mozart
Le père de Mozart était un organiste de talent, mais, il gagnait difficilement sa vie. On raconte qu’un lundi matin, son jeune fils, Wolfgang, se leva de bonne heure, mais il n’y avait rien à manger. Le mardi matin : leçon d’orgue et toujours pas de déjeuner. Le mercredi, il surprit une conversation de ses parents :
— Je supplie le Seigneur, disait la mère, de nous envoyer quelque chose à manger !
Le petit Mozart appela sa sœur :
— Viens près de la rivière, il y a un endroit où nous pourrons prier nous aussi. Ils se mirent à genoux tous les deux :
— O Dieu ! disait Wolfgang, nous avons très faim, envoie-nous quelque chose à manger. Permets que papa puisse continuer à me donner des leçons afin que je devienne un musicien célèbre.
Comme ils se relevaient, ils virent près d’eux un monsieur qui souriait :
— Il n’y a pas de quoi rire, nous n’avons plus rien à manger.
— Mon garçon, où habites-tu ? Je te ferai porter de la nourriture… et j’irai t’écouter jouer de l’orgue.
Vers midi, un valet se présenta chez les Mozart :
— Mon maître, l’archiduc d’Autriche vous envoie ces provisions. Il viendra, ce soir, écouter votre petit garçon jouer de l’orgue.
Et il vint. Emerveillé par la façon dont jouait cet enfant, il dit au père :
— Continuez à enseigner la musique à votre fils. Je paierai vos efforts. Un jour, il écrira une musique qui traversera les siècles sans perdre sa beauté.
C’est ainsi que Dieu répondit à la prière du petit Wolfgang Mozart.
Invoque-moi au jour de la détresse : je te délivrerai et tu me glorifieras, Psaumes 50 : 15.
Oh ! Que ta bonté est grande que tu as mise en réserve pour ceux qui te craignent, Psaumes 31 : 19.
10/1/2019 • 2 minutes, 53 seconds
La force d’agir !
La force d’agir
Cette confidence, dirais-je cette confession, je l’ai entendue un jour où je visitais une vieille amie, si lasse, si lasse parfois. Je l’ai écoutée sans l’interrompre. Ayant reçu par son intermédiaire une parole de Dieu, je transcris, avec son autorisation, son expérience, aussi fidèlement que ma mémoire me le permet :
Sept heures… Le réveil sonne. Il faut se lever. Elle soupire. Devant elle s’étend la grisaille du jour pareil à celui d’hier, pareil à celui de demain : la « mise en route » du matin, le déjeuner, le métro, les gros registres aux longues colonnes de chiffres…
Non, elle n’a pas le courage. Une amie lui a bien donné une recette : répéter dix fois, vingt fois : cela va bien, cela va très bien… Décidément, cette méthode Coué ne lui apporte rien. Tant pis, elle se retourne dans son lit, l’effort est pour tout à l’heure ; maintenant elle ne peut que dire son découragement à Dieu…
Et tout à coup lui revient à elle-même, réponse et ordre personnel, le mot du Seigneur à Gédéon : « Va avec cette force que tu as. » Je sais, elle est faible cette force, mais elle existe et le Seigneur tout puissant me soutiendra. Il l’a promis. Alors d’un bond elle se lève et va de l’avant.
Désormais, chaque matin, elle reçoit l’ordre qui porte en lui-même la force de l’exécuter :
Et l’Eternel se tourna vers lui, et dit: Va avec cette force que tu as, et délivre Israël de la main de Madian ; n’est-ce pas moi qui t’envoie ? Juges 6 : 14.
9/30/2019 • 2 minutes, 36 seconds
Rêve
Un jeune homme entre en rêve dans un magasin. Derrière le comptoir se tient un ange. Le jeune homme lui demande :
—Que vendez-vous ?
L’ange lui répond :
— Tout ce que vous désirez.
Alors, le jeune homme commence à énumérer :
— Si vous vendez tout ce que je désire, alors j’aimerais bien : la fin de la guerre dans le monde, la fin des bidonvilles en Amérique latine, l’intégration dans la société de tous les marginaux, du travail pour tous les chômeurs, plus d’amour et de vie communautaire dans l’Eglise…
L’ange lui coupe la parole :
— Excusez-moi, Monsieur, vous m’avez mal compris, ici nous ne vendons pas de fruits, nous ne vendons que les graines.
Dans l’Evangile de Jean, chapitre 12 : 24, notre vie spirituelle est comparée à une graine ou un grain de blé :
En vérité, en vérité, je vous le dis, si le grain de blé qui est tombé en terre ne meurt, il reste seul ; mais, s’il meurt, il porte beaucoup de fruit. Celui qui aime sa vie la perdra, et celui qui hait sa vie dans ce monde la conservera pour la vie éternelle.
Beaucoup de gens cherchent les fruits sans passer par la mort et nous devons déjà commencer par mourir à nous même, c’est-à-dire renoncer à nos plans et à notre volonté pour chercher le plan et la volonté de Dieu. Les hommes veulent toujours avoir des fruits mais ils n’acceptent pas d’avoir le rôle de la graine qui doit mourir. Or, nous devons mourir à nous-mêmes exactement comme a fait Jésus, qui a renoncé à faire ses plans pour faire la volonté de son père céleste. L’exemple de Jésus l’a démontré toute sa vie, mais il y a un exemple bien spécifique dans ce passage. Nous retrouvons Jésus en agonie, la crucifixion vient, il est dans le jardin de Gethsémané, Matthieu 26 : 38 – 39.
Il leur dit alors : Mon âme est triste jusqu’à la mort ; restez ici, et veillez avec moi.
Puis, ayant fait quelques pas en avant, il se jeta sur sa face, et pria ainsi : Mon Père, s’il est possible, que cette coupe s’éloigne de moi ! Toutefois, non pas ce que je veux, mais ce que tu veux.
Et là, nous aurons des fruits…
9/27/2019 • 1 minute, 36 seconds
Piège végétal
Un touriste parcourait l'île de la Jamaïque en compagnie d'un ami qui y était né. L'étranger remarqua au bord du chemin, un buisson d'apparence bizard et le signala à son camarade. Celui-ci conseilla de s'approcher, de façon à ce que ses vêtements soient en contact avec les feuilles. Celles-ci se replièrent si bien, qu'il se trouva complètement emprisonner. Ces feuilles portaient en effet, à leurs extrémités une épine crochue assez semblable à un hameçon, moyen de défense qui entrait en activité dés que la plante se sentait menacée. L'étranger chercha à se dégager, mais tandis qu'il enlevait les petits crochets l'un après l'autre, il constata qu'un buisson voisin de la même espèce l'avait happé à son tour ! Un troisième en fit autant, il dut déployer une attention et une patience peu commune pour parvenir à se libérer. Les Jamaïcains appellent ce buisson " Wait a bit "" "Attends un peu !".Nom qui lui convient très bien ! Le diable a planté sur le chemin du ciel beaucoup de buissons de la même espèce ! Au moment ou l'on se met à songer à l'éternité,on se voit saisi par des désirs et des occupations nouvelles qui vous distraient, vous retiennent en vous soufflant à l'oreille : "Attends un peu !". Plus d'un malheureux a si bien entendu qu'il s'est réveillé trop tard à la terrible réalité ! Vous désirez trouver le salut ? Venez à Jésus maintenant, ne suivez pas le chemin qui conduit à demain, car il aboutit souvent à jamais !
"Prenez garde que personne d'entre vous ne fasse de lui sa proie". Colossiens 2 : 8 ou encore 2 Corinthiens 6 : 2 "Voici, c'est maintenant le jour le temps favorable !
Voici, c'est maintenant le jour le du salut ! "
9/26/2019 • 3 minutes, 3 seconds
Ce que peut faire un doigt au service de Dieu !
Samuel Isaac Schreschewsky, appelé plus tard par ses collègues « frère Sherry » pour simplifier, naquit dans une famille juive en Lituanie. Après avoir fait des études à l’école Talmud-Torah à Zythomyr en Russie, il fréquenta l’université allemande de Breslau ; de là il gagna les Etats-Unis où un chrétien le mit en présence de l’Evangile ; le brillant étudiant israélite accepta Jésus-Christ comme son Sauveur et son Messie, et entendit l’appel pour la mission en Chine. Il connaissait déjà le russe, l’allemand, l’anglais en plus du grec et de l’hébreu. Dès son arrivée en Chine il s’attela à la langue chinoise qu’il posséda bien vite, et comme le besoin urgent d’une traduction de la Bible en langue mandarine se faisait sentir il fut désigné avec six collègues pour entreprendre la traduction du Nouveau Testament ; quant à l’Ancien Testament, il en assuma tout seul la traduction en mandarin, sa grande connaissance de l’hébreu lui facilitant considérablement la tâche.
Moins de quinze ans après son arrivée en Chine -en 1873-la Bible entière en mandarin fut imprimée en Amérique. Le travail de l’évangélisation proprement dite étant alors en pleine expansion en Chine, il fallut nommer un responsable et le choix de la Société des Missions se porta tout naturellement sur « frère Sherry », charge qu’il cumula pendant plusieurs années avec ses travaux linguistiques, mais dont il demanda à être relevé pour se consacrer plus pleinement à la traduction de la Bible en un dialecte populaire, le « bas-wenli ». Cela ne put lui être accordé et à la suite d’un long surmenage il fut atteint d’une attaque de paralysie qui l’immobilisa complètement pendant 21 ans sur un fauteuil roulant. Il arrivait à peine à bouger légèrement une main et de cette main un doigt seulement pouvait se mouvoir : c’est ce doigt unique qui reçut vocation de continuer la transcription de l’œuvre commencée.
Avec courage, sans jamais se laisser abattre. Sherry révisa sa traduction de l’Ancien Testament en langue mandarine, il traduisit toute la Bible, en « bas-wenli », il compila un système de références dans ces deux langues et commença même un dictionnaire de langue mongole.
Ainsi, un humble Juif inconnu crut au salut et aux promesses de Jésus-Christ et les imprima en langue chinoise avec un seul doigt, afin qu’un quart de l’humanité puisse croire à son Messie. Et nous, que faisons-nous pour notre Roi, avec toutes nos facultés et nos dons ?
9/25/2019 • 3 minutes, 44 seconds
Et après ?
Frédéric rend visite à son grand-oncle pour lui annoncer sa réussite au baccalauréat. Après l’avoir félicité, en ajoutant quelques commentaires sur l’étape ainsi franchie et les perspectives qu’elle ouvrait, le vieillard s’intéresse aux projets de son petit-neveu : de solides études juridiques dans la faculté réputée de la ville voisine.
— Et ensuite ? demande l’oncle après avoir posé quelques questions sur l’intérêt et la durée de ces études.
— Je pourrai m’établir comme avocat au barreau de Nanterre.
L’oncle donne amicalement son avis au sujet de cette profession, et pose de nouveau la même question :
— Et après ?
Frédéric, un peu gêné, décrit les étapes de la vie telles qu’il les projette,ponctuées par quelques commentaires bienveillants du vieillard et suivies par l’inévitable question : « Et après ? » Mais pour le moment où la vie se termine, le jeune n’a plus rien à dire ; il n’est sûr de rien à ce sujet.
— Mon cher, tu es en train de construire ta vie avec beaucoup de soin, mais sans sagesse. Tu agis comme si tout se terminait sur la terre. En faisant une telle impasse, tu t’es trompé de priorité. Ce que tu construis ainsi peut être ruiné en quelques instants et ton âme t’être redemandée, comme pour l’homme riche de la parabole (Luc 12 : 16-21).
Cette conversation porta ses fruits ; Frédéric réalisa qu’il avait jusqu’alors négligé l’essentiel : se mettre en règle avec Dieu sans attendre.
Que profitera-t-il à un homme de gagner le monde entier, s’il […] se perd lui-même ? Luc 9 : 25.
Insensé […] celui qui amasse des trésors pour lui-même, et qui n’est pas riche quant à Dieu, Luc 12 : 20-21.
9/24/2019 • 3 minutes, 6 seconds
Ne pas vouloir être guéri
Savez-vous qu’il y a des gens qui, au fond, ne désirent pas tellement être guéris ?
Quand j’étais petit garçon, nous avions une voisine qui avait accueilli chez elle une infirme toujours confinée au lit. Cettevoisine allait à l’usine, mais entre deux, elle soignait sa protégée avec amour. Or, un jour, l’accueillante hôtesse s’aperçut que certains objets avaient changé de place dans son appartement. Aussi se mit-elle à observer et, décidée d’y voir clair, elle fit semblant d’aller travailler et se cacha… Au bout d’un moment, elle vit que la malade se levait et furetait dans sa chambre. Alors elle se montra, et ce fut le drame !
Cette malade se trouvait fort bien ; dorlotée et choyée comme elle l’était, elle ne désirait pas être guérie. Aussi la rééducation a-t-elle été difficile, on le conçoit !
La question de Jésus au paralytique de Béthesda n’est donc par aussi surprenante qu’on pourrait le croire, car on peut constater que sur le plan moral et spirituel, trop rares sont les gens qui veulent vraiment être guéris. Il faut le reconnaître : souvent on aime son péché, on le caresse, on ne désire pas s’en séparer, même si on en souffre.
Et quand le Seigneur dit : « Lève-toi », on répond : « Attends, pas maintenant. » Aujourd’hui, Dieu vous dit : « Veux-tu être guéri ? Veux-tu être délivré ? Veux-tu être vainqueur ? Dis, le veux-tu ? Alors, lève-toi et compte sur lui. »
Lève-toi, lui dit Jésus, prends ton lit, et marche, Jean 5:8.
9/23/2019 • 2 minutes, 25 seconds
Ce qu'il ne faut pas faire ?
Alors que j’exerçais mon ministère pastoral, certains membres de mon église avaient cédé, sans s’en rendre compte, à la tentation de mettre Dieu à l’épreuve. Un ami qui m’était cher était en train de mourir d’un cancer. Cependant, le bruit s’était mis à courir dans l’église que deux « témoins » indépendants affirmaient chacun que notre frère Luc ne mourrait pas parce que Dieu le leur avait dit. Plusieurs s’étaient alors exclamés : « N’est-ce pas merveilleux ? Dieu va guérir Luc ! »
Trois semaines plus tard, Luc était mort.
Si Dieu est Celui qui avait dit à ces deux personnes que Luc ne mourrait pas, que doit-on en conclure ? Que Dieu est un menteur. Mais Dieu est-il un menteur ? Bien sûr que non ; il est la vérité. Le mensonge vient du père du mensonge : Satan en personne.
Le désir humain et charnel de nos frères de voir notre frère Luc vivant, avait été confondu avec la volonté de Dieu. Cela aurait pu amener la destruction de la confiance en Dieu de l’assemblée.
Dieu n’a aucune obligation envers nous ; Il n’a de comptes à rendre qu’à lui-même. Il est absolument impossible de formuler une prière avec une ingéniosité telle que Dieu soit obligé d’y répondre. Non seulement cela dénature le sens de la prière, mais cela nous met à la place de Dieu. Le juste vivra par la foi en la Parole écrite de Dieu et il n’exigera pas que Dieu fasse ses preuves en réponse à nos caprices ou désirs, aussi nobles soient-ils. C’est nous qui sommes mis à l’épreuve, pas Dieu. Dieu est Dieu et Il est souverain.
Tu ne tenteras point le Seigneur ton Dieu.Matthieu 4 : 7.
9/20/2019 • 2 minutes, 48 seconds
L’horloge et l’inspecteur
Voici plus de cinquante ans, un inspecteur de la Poste arrivait inopinément dans un bureau et interrogeait la commis:
- Est-ce que vous prenez bien l'heure exacte à la radio, chaque jour ?
- À vrai dire, j'ai tellement de travail que je la règle plutôt sur l'horloge de la mairie, juste en face. Une horloge toute neuve !
- Cela ne veut pas dire qu'elle soit exacte parce qu'elle est neuve. Il est de toute importance d'avoir l'heure juste dans un bureau de poste. Réglez donc votre pendule sur la radio !
La commis promet qu'elle le fera, tout en pensant que l'inspecteur est bien maniaque.
À la sortie, l'inspecteur jette un regard sur l'horloge de la mairie qui a bonne apparence, dans son aspect de nouveauté. Il aperçoit le concierge devant la porte et l'interpelle :
- Vous avez donc une nouvelle horloge à la mairie. Est-ce qu'elle est bien exacte, au moins ?
- Oh! elle marche à merveille !
- Mais comment donc le savez-vous, mon ami ?
- Eh bien, je la règle d'après le bureau de poste, et je vois qu'elle ne varie pas. Ils ont toujours l'heure exacte, eux autres les postiers, vous savez.
Ainsi chacun était persuadé d'avoir l'heure juste en se fiant au voisin d'en face. Mais c'était évidemment une garantie bien précaire.
N'en est-il pas de même de tant de personnes qui essaient de régler leur vie sur leur voisin, sur leur collègue, sur leur ami, sur une vedette à la mode...
N'en est-il pas aussi pareillement des croyants qui s'efforcent de régler leur conduite sur celle de leurs frères et sœurs dans la foi ? Ces derniers, pour leur part, utilisent la même façon de faire.
Et puis, un grand nombre de croyants pensent savoir l'heure qu'il est à la grande Horloge de Dieu, et s'imaginent avoir tout le temps voulu pour se préparer à la grande et suprême rencontre. La Bible dit : prépare-toi à la rencontre de ton Dieu (Am 4;12). Mais plutôt que de se soucier d'obéir à cet ordre, beaucoup s'installent dans cette vie comme si elle devait se prolonger éternellement sur la terre. D'autres règlent l'Horloge de leur vie sur les fausses doctrines émanant de pseudo-théologiens.
Vous pensez que, dans ce domaine, vous n'avez rien à craindre, car vous avez pleine confiance en votre pasteur.
Celui-ci doit s'efforcer d'annoncer fidèlement la Parole de Dieu, mais tout chrétien se doit de lire les écritures chaque jour
Dans le livre des Actes 17;11 il est écrit : ils examinaient chaque jour les Écritures, pour voir si ce qu'on leur disait était exact.
En effet, il existe une norme infaillible, un guide sûr et éprouvé pour nous conduire dans l'obéissance gui glorifie Dieu. Il s'agit de la Bible, que nous devions et puissions lire chaque jour. Elle nous révèle Jésus. Lui seul a pu dire : Je suis le chemin, la vérité et la vie (Jean 14;6). La Bible dit : Ne vous conformez pas au siècle présent (Romains 12;2). Nous avons à suivre l'enseignement de l'apôtre Paul : Devenez les imitateurs de Dieu... et marchez dans l'amour, à l'exemple de Christ (Éphésiens 5;1-2).
Sur qui donc allons-nous régler la pendule de notre vie ? Sur les autres, ou plutôt sur Jésus, notre Sauveur et Seigneur ?
9/19/2019 • 2 minutes, 37 seconds
La chapelle ensablée ...
Il était une fois, une petite chapelle en bord de mer, située dans un renfoncement de terrain parmi les dunes. Pendant de nombreuses années, les pécheurs des environs s’y rendaient régulièrement et on veillait à ce que le chemin qui y conduisait soit toujours dégagé de sable. Mais, avec le temps, l’intérêt de la population faiblit. On cessa de fréquenter la petite maison de prière qui demeura fermée. Les tempêtes, soufflant depuis la mer, soulevèrent des tourbillons de sable, si bien que la chapelle finit par être entièrement recouverte et qu’aujourd’hui on n’en connaît même plus l’emplacement exact.
Combien de personnes qui, dans leur jeunesse, avaient déclaré appartenir au Seigneur Jésus-Christ se sont laissé gagner par l’amour du monde, si bien qu’on ne peut même plus savoir aujourd’hui si ce sont ou non des chrétiens ? Sans l’avoir renié ouvertement, ces gens ne se sont pas attachés à Christ pour le suivre. Le sable les a étouffés sous la forme de l’égoïsme, de la vanité et la poursuite de leurs intérêts plutôt que celle des intérêts de Dieu.
C’est pourquoi, nous devons porter une plus grande attention aux choses que nous avons entendues, de peur que nous ne nous écartions, avertit l’épître aux Hébreux 2 :1.
Gardons-nous de négliger les choses éternelles en nous laissant absorber par celles qui ne font que passer.
Quiconque entend mes paroles, et ne les met pas en pratique, sera comparé à un homme insensé qui a bâti sa maison sur le sable ; et la pluie est tombée, et les torrents sont venus, et les vents ont soufflé et ont battu cette maison, et elle est tombée, et sa chute a été grande, Matthieu 7 : 26-27.
9/18/2019 • 2 minutes, 50 seconds
Sommes-nous des ingrats ?
Un bateau échoué près de la côte lançait des appels de détresse. Un sauveteur bénévole, le docteur Chalmers, se jeta à l’eau. Une fois, deux fois, trois fois, il ramena à la nage un pauvre naufragé. Mais, le troisième sauvetage faillit lui être fatal. Il dut être hospitalisé.
Quelques années plus tard, le prédicateur Moody évoquait, dans une réunion, ce triple sauvetage pour illustrer le message de l’Evangile. On vint lui dire que Chalmers était précisément dans la salle. Moody invita cet homme courageux à venir sur l’estrade et lui demanda ce qui l’avait le plus frappé dans cet événement inoubliable :
— Eh bien, répondit Chalmers, c’est qu’aucun de ces trois hommes ne soit jamais venu me dire merci.
Une autre histoire vraie, bien différente, nous revient à la mémoire : celle d’une pauvre femme qui manqua de se noyer elle aussi, pendant qu’elle lavait du linge à la rivière, et fut sauvée par un passant.
— Oh ! Monsieur, s’écria-t-elle, vous m’avez sauvé la vie, et je n’ai rien à vous donner pour vous remercier… rien que ce baquet dans lequel je lave le linge du village !
C’était son gagne-pain, ce qu’elle avait de plus précieux. Le sauveteur refusa, bien sûr.
Quel contraste entre la fin de ces deux récits ! Chrétiens, nous avons été sauvés d’un éternel désastre par le dévouement de notre grand Sauveur. Ne soyons pas ingrats ; n’oublions pas de le remercier !
S’en allant (les dix lépreux) furent purifiés. Or, l’un d’entre eux, voyant qu’il était guéri, revint sur ses pas, glorifiant Dieu. Et Jésus dit : les dix n’ont-ils pas été purifiés ? Et les neuf, où sont-ils ? Il ne s’en est pas trouvé pour revenir donner gloire à Dieu, si ce n’est cet étranger, Luc 17 : 14-18.
9/16/2019 • 2 minutes, 57 seconds
Les derniers moments de George Frédéric Haendel !
Dans l’abbaye de Westminster à Londres, le regard du visiteur est attiré par une belle statue représentant le grand compositeur Haendel. Le maître est devant son orgue et il tient à la main une feuille de musique portant ces simples mots :
Je sais que mon Rédempteur est vivant, Job 19 : 25.
On dit qu’avant de mourir, le célèbre musicien se fit lire le Psaume 91 :
Je dis à l’Eternel : mon refuge et ma forteresse : mon Dieu, en qui je me confie ! […] Tu ne craindras ni les terreurs de la nuit ni la flèche qui vole de jour.
Au sujet de chacun de ceux qui l’honorent d’une telle confiance, Dieu déclare :
Parce que tu as mis ton affection en moi, je te délivrerai ; Que mille tombe à ton coté, et dix milles à ta droite, tu ne seras pas atteint !
Haendel demanda encore la lecture du chapitre 15 de la 1ère épître aux Corinthiens, interrompant plusieurs fois le lecteur pour lui dire : « Arrête-toi un instant, relis-moi ce verset ».
Ses dernières paroles furent :
« Seigneur Jésus, reçois mon esprit. Fais que je meure et que je ressuscite avec toi ».
Une fin aussi paisible n’est pas une exception : elle peut être la part de quiconque a remis sa destinée entre les mains de Jésus qui a déclaré :
Je suis le chemin, la vérité et la vie ; nul ne vient au Père que par moi, Jean 14 : 6.
Je chanterai à l’Eternel durant ma vie, je chanterai des cantiques à mon Dieu tant que j’existerai. Que ma méditation lui soit agréable ; moi, je me réjouirai en l’Eternel, Psaumes 104 : 33-34.
9/13/2019 • 2 minutes, 56 seconds
Sur le lit de mort de Philippe Mélanchthon !
D’abord il serait bon de préciser qui est ce Philippe Mélanchthon. En 1518 à l’âge de 22 ans, il se vit offrir le poste de professeur de grec à l’université de Wittenberg, célèbre en Europe puisque six mois plus tôt, un moine Augustin du nom de Martin Luther y avait affiché ses 95 thèses contre les indulgences de l’église catholique. Ces indulgences étaient un commerce qui permettait de racheter ses péchés passés et même futurs. Le but de ce « commerce » était de trouver de l’argent pour pouvoir construire la basilique St Pierre du Vatican.
Voici comment Luther définissait leur collaboration : « Je suis né pour combattre les factions du diable et les mettre à terre. C’est pourquoi mes livres sont impétueux et belliqueux. Moi j’arrache les racines, je coupe les broussailles, je dessèche les marais, je fraie et j’aplanis le chemin. Lui repasse proprement, laboure et plante, sème et arrose avec plaisir selon les dons que Dieu lui a donnés.»
La symbiose qui s’opéra entre le réformateur et l’humaniste, s’avéra rapidement prolifique. Mélanchthon put apporter à Luther ses profondes connaissances linguistiques dans les traductions luthériennes de la Bible. Inversement, avec l’aide de Luther, Mélanchthon pénétra plus profondément les subtilités théologiques et fut rapidement considéré comme le second de Luther.
Mélanchthon étant mourant, on en prévint Luther. Il arriva, se pencha sur le malade et poussa un cri de détresse. Ce cri réveilla Mélanchthon de sa stupeur. Regardant fixement Luther, il lui dit :
— Luther, est-ce bien vous ? Pourquoi ne me laissez-vous pas partir en paix ?
—Philippe, nous ne pouvons encore nous passer de vous, dit Luther.
Et se jetant à genoux, il se mit à prier, à lutter avec Dieu pendant plus d’une heure, pour la guérison de son ami. Puis il vint auprès du malade, prit sa main :
— Cher Luther, dit Mélanchthon, pourquoi ne me laissez-vous pas aller en paix ?
—Non, non, répondit le vaillant réformateur, nous ne pouvons encore nous passer de vous dans ce champ de travail.
Luther alla demander qu’on prépare un potage et pressa le malade de le prendre ; celui-ci répéta :
— Cher Luther, laissez-moi partir pour ma demeure éternelle !
—Non, Philippe, nous ne pouvons vous laisser aller. Buvez cette soupe, sinon, je ne vous laisserai pas tranquille.
Le malade avait à peine pris cette nourriture que la vie lui revint ; il put travailler encore des années. En rentrant chez lui ce soir-là, Luther dit à sa femme :
— A ma prière, Dieu m’a rendu aujourd’hui mon frère Mélanchthon.
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9/12/2019 • 3 minutes, 47 seconds
Empoisonnés… mais vainqueurs !
—Pouvons-nous manger cette nourriture ?
La petite équipe de missionnaires fatigués à la fin d’une journée de marche et de visites pour distribuer leurs prospectus, venait de rendre grâce pour le repas que quelques villageois avaient déposé devant eux. Les équipiers se regardaient l’un l’autre en hésitant, chacun se posait la même question : « Et si cela avait été empoisonné ? » Ils se trouvaient dans une région sans église, ni croyant, parmi une ethnie connue pour ses pratiques occultes.
L’atmosphère était lourde, non seulement de la chaleur humide du jour finissant, mais de forces invisibles que l’on sentait proches, menaçantes.
—Jésus a ordonné à ses disciples d’aller témoigner et de manger partout ce qu’on leur présenterait, donc nous pouvons Lui faire confiance !
—Eh bien ! Restaurons-nous, puis nous prierons au lieu d’aller dormir !
Le plat se vida rapidement. Suivirent de ferventes prières. Soudain, un villageois s’approcha du groupe pour leur délivrer un message :
—Votre nourriture a été empoisonnée par un grand sorcier. Il a annoncé qu’avant le lever du soleil, vous serez tous morts !
—Nous allons prier toute la nuit ! »
Les requêtes pressantes redoublèrent, implorant l’intervention de Dieu, non juste pour protéger les siens, mais pour qu’il se révèle puissamment à ces gens liés par la peur, l’ignorance et l’esclavage de Satan.
Vers quatre heures du matin, un homme surgit de l’ombre. En proie à une agitation et à une angoisse extrêmes, il se jeta aux pieds des équipiers :
—Sauvez-moi ! Sauvez-moi ! Je suis le sorcier et je sais que si vous n’êtes pas morts, dans quelques instants quand paraîtront les premiers rayons du soleil, c’est moi qui mourrai. La sorcellerie se retournera contre moi. Ayez pitié ! Dites-moi, que dois-je faire pour être sauvé ?
Dieu avait répondu et agi puissamment. Aujourd’hui dans cette région se rencontrent des milliers de chrétiens !
9/11/2019 • 2 minutes, 54 seconds
Propre justice !
— Vous pensez aller au ciel ?
— Oui j’espère bien.
— Qu’est-ce qui vous le fait croire ?
— Sans me vanter, je suis un honnête homme, un bon mari. J’ai élevé cinq enfants, je ne bois pas et je suis connu comme un bon voisin.
— C’est tout ?
— Je vais à l’église assez régulièrement. Je suis toujours prêt à rendre service.
— Rien de plus ?
— Je pense que c’est bien assez.
— Non, cher ami, tout cela, c’est très bien, mais ce n’est pas ce qui vous donne droit au Paradis. Vous êtes honnête, à vos yeux et aux yeux de vos semblables, je n’en doute pas, mais devant Dieu vous êtes un pécheur, un coupable.
L’homme durcit son visage. Il n’avait pas ainsi pris « ses mesures ». A son avis, ce qui était suffisant pour les humains devait aussi l’être pour Dieu.
Le croyant qui l’avait interpellé lui parla de Jésus, de l’œuvre parfaite qu’Il avait accomplie à la croix, du salut gratuit que Dieu offre à quiconque croit. Le visage de l’homme restait sombre. Il voulait gagner le ciel par ses propres efforts. Il ne voulait pas de Jésus-Christ.
Voilà bien le ver rongeur de la propre justice. On se vante d’une vie extérieurement irréprochable, mais Dieu sonde le fond du cœur, met à nu les pensées les plus secrètes et alors, qui sera trouvé pur ? Seul le sacrifice de Christ peut obtenir de Dieu le pardon de nos péchés.
L’homme n’est pas justifié sur le principe des œuvres de loi, ni autrement que par la foi en Jésus-Christ.
Le Fils de Dieu […] m’a aimé et […] s’est livré lui-même pour moi, Galates 2 : 16, 20.
c'est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu. Ephésiens 2:8
9/10/2019 • 2 minutes, 41 seconds
Je suis avec vous tous les jours ! David Livingstone,
David Livingstone, le célèbre missionnaire qui a porté l’évangile dans bien des régions d’Afrique jusque-là inexplorées, s’adressait un jour à des étudiants de l’université de Glasgow. Amaigri, affaibli par les maladies tropicales et le bras gauche handicapé par les blessures d’un lion qui l’avait broyé, il était pourtant plein d’enthousiasme en interpellant son auditoire : « Voulez-vous que je vous dise ce qui m’a toujours soutenu dans ces années passées, au milieu de peuplades souvent hostiles ? C’est la présence du Seigneur Jésus, promise aux siens, il y a 20 siècles :
Je suis avec vous tous les jours, Matthieu 28 : 20. »
Voilà le secret, plus puissant que toutes les difficultés, qui galvanisait cet homme et lui donnait une énergie surhumaine.
Une telle expérience est-elle réservée à des serviteurs éminents ? Faut-il pour la vivre se rendre dans un pays lointain ? Non, la promesse que le Seigneur Jésus a faite à ses disciples s’adresse à tous ceux qui lui appartiennent, à toutes les époques, en tous lieux et dans toutes les circonstances.
Cherchons donc, comme ce missionnaire, la présence de Jésus. C’est la source de la joie comme de la force, de l’obéissance comme du fruit produit. La recette concrète est facile : la lecture de la Parole de Dieu et la prière. Mais, pour que le Seigneur se révèle à nous, il faut être à l’écoute de ce qu’il veut nous dire, en paix avec Lui, occupé de Lui.
Le Seigneur s’est tenu près de moi et m’a fortifié […] et j’ai été délivré de la gueule du lion, 2 Timothée 4 : 17.
9/9/2019 • 2 minutes, 45 seconds
C’était aussi pour elle !
Betty, ouvrant la porte du salon, y trouva un ami de son père qui venait leur rendre visite.Il était occupé à lire sa Bible. Elle allait le laisser seul, mais il la retint :
— Betty, j’aimerais bien te poser une question : est-ce que Jésus est ton Sauveur ?
La jeune fille hésita :
— Je voudrais pouvoir le dire, répondit-elle avec un soupir.
L’ami ouvrit sa bible au chapitre 53 d’Esaïe.
— Veux-tu, s’il te plaît, lire cette page à haute voix, en remplaçant les mots nous et nos par je, ma, mes ?
D’une petite voix émue, Betty commença :
—Cependant, ce sont mes souffrances qu’il a portées, C’est de mes douleurs qu’il s’est chargé. Et je l’ai considéré comme puni, Frappé de Dieu, et humilié.
Elle avait de la peine à continuer :
—Mais il était blessé pour mes péchés, Brisé pour mes iniquités ; Le châtiment qui me donne la paix est tombé sur lui, Et c’est par ses meurtrissures que je suis guérie.
Elle se tut un instant, puis s’écria toute bouleversée :
— Est-ce que c’est vrai ? Alors, je suis sauvée.
C’était tout-à-coup comme si le sacrifice de Christ n’avait eu lieu que pour elle seule. Ils se mirent à genoux pour remercier Jésus qui avait accompli cette œuvre et Dieu qui l’avait acceptée.
Le Fils de Dieu m’a aimé et s’est livré lui-même pour moi, Galates 2 : 20.
Le Christ Jésus est venu dans le monde pour sauver les pécheurs, dont moi, je suis le premier, 1 Timothée 1 : 15.
9/6/2019 • 2 minutes, 39 seconds
Examen d’honnêteté.
Je n’ai jamais oublié le petit discours que nous fit un jour notre professeur de mathématiques avant de distribuer les sujets de composition : « Aujourd’hui, mes amis, je vous fais passer deux examens : le premier de géométrie, l’autre d’honnêteté. J’espère que vous réussirez les deux. Si vous échouez à l’un,que ce soit plutôt celui de géométrie. Vous aurez plus d’occasions dans votre carrière d’appliquer les principes d’honnêteté que d’utiliser les théorèmes de géométrie ».
Chaque jour nous devons passer de plusieurs manières l’examende véracité. Par exemple, que faisons-nous au supermarché lorsque la caissière nous rend par erreur, trop de monnaie ? Il est si facile de ne rien dire. De plus, c’est son erreur à elle, pas la nôtre ! Lorsque vient le temps de faire notre déclaration d’impôt, est-ce que nous transcrivons fidèlement tous nos revenus sur le formulaire ? Nous pourrions très bien dire que, puisque l’état empoche déjà un gros pourcentage de notre salaire, il n’y a rien de mal à en soustraire un peu.
Ce professeur avait raison. Le comportement moral d’une personne est autrement plus important que le niveau de ses connaissances ou de ses revenus. Mais ce comportement exige d’abord que l’on soit vrai devant le Dieu avec qui on ne peut pas tricher et que l’on fasse ses comptes avec lui.
Ce que l’Eternel demande de toi, c’est que tu pratiques la justice, que tu aimes la miséricorde, et que tu marches humblement avec ton Dieu, Michée 6 : 8.
(Dieu) n’oublie pas le cri des affligés, Psaumes 9 : 12.
9/5/2019 • 2 minutes, 34 seconds
Les derniers moments d’Haendel !
Dans l’abbaye de Westminster à Londres, le regard du visiteur est attiré par une belle statue représentant le grand compositeur Haendel. Le maître est devant son orgue et il tient à la main une feuille de musique portant ces simples mots :
Je sais que mon Rédempteur est vivant, Job 19 : 25.
On dit qu’avant de mourir, le célèbre musicien se fit lire le Psaume 91 :
Je dis à l’Eternel : mon refuge et ma forteresse : mon Dieu, en qui je me confie ! […] Tu ne craindras ni les terreurs de la nuit ni la flèche qui vole de jour.
Au sujet de chacun de ceux qui l’honorent d’une telle confiance, Dieu déclare :
Parce que tu as mis ton affection en moi, je te délivrerai ; Que mille tombe à ton coté, et dix milles à ta droite, tu ne seras pas atteint !Haendel demanda encore la lecture du chapitre 15 de la 1ère épître aux Corinthiens, interrompant plusieurs fois le lecteur pour lui dire : « Arrête-toi un instant, relis-moi ce verset ».Ses dernières paroles furent :
« Seigneur Jésus, reçois mon esprit. Fais que je meure et que je ressuscite avec toi ».
Une fin aussi paisible n’est pas une exception : elle peut être la part de quiconque a remis sa destinée entre les mains de Jésus qui a déclaré :
Je suis le chemin, la vérité et la vie ; nul ne vient au Père que par moi, Jean 14 : 6.
Je chanterai à l’Eternel durant ma vie, je chanterai des cantiques à mon Dieu tant que j’existerai. Que ma méditation lui soit agréable ; moi, je me réjouirai en l’Eternel, Psaumes 104 : 33-34.
9/4/2019 • 2 minutes, 56 seconds
Une meilleure lumière !
Nous n’oublierons pas notre visite au professeur de l’université de Göttingen. Voici ce qu’il nous raconta :
« Il y a quelques années, j’étais menacé de perdre la vue à brève échéance ; c’est à peine si j’étais encore capable d’écrire, et la perspective d’être aveugle pour le restant de mes jours me déprimait profondément. Je pensais qu’un voyage me distrairait et je me rendis à Hanovre en compagnie de quelques amis. Nous ne manquâmes pas de visiter la Bibliothèque. Là, simplement pour me rendre compte du degré de vision qui me restait, j’ouvris au hasard un livre oublié sur une table. Il se trouva que c’était une Bible. Eh bien, savez-vous quel fut le premier passage qui me tomba sous les yeux ? »
Le professeur nous tendit une Bible, nous invitant à lire un verset souligné. C’était celui-ci :
Je ferai marcher les aveugles sur un chemin qu’ils ne connaissent pas, Je les conduirai par des sentiers qu’ils ignorent. Je changerai les ténèbres en lumière devant eux et les chemins tortueux en plaine. Voilà ce que je ferai, et je ne les abandonnerai pas […]Vous aveugles, regardez et voyez ! Esaïe 42: 16-18.
Non sans émotion, le professeur poursuivit son récit :
« Ce passage me transperça. C’était comme une voix venue du ciel s’adressant à moi personnellement. Spirituellement, mes yeux s’ouvrirent, je reçus la vie divine et c’est avec une paix, une joie et une reconnaissance inexprimables que je repris le chemin de Göttingen. Vous pouvez comprendre le prix qu’a maintenant pour moi cette Parole vivante.
Ta Parole est une lampe à mes pieds, une lumière sur mon sentier. Psaumes 119 : 105
9/3/2019 • 2 minutes, 50 seconds
Avoir la foi d’un enfant !
Jean-Paul et Jema Taboyan sont basés à Valence. Lui est policier, responsable à la fois de « Sport et Foi-Valence » et de « Sport et Foi Sud-Est », au niveau interrégional. Elle est responsable jeunesse au sein des Eglises Évangéliques Arméniennes. Ils ont deux enfants : Mélanie 8 ans, et Matthias 5 ans.
Jema raconte :
Quand notre petit dernier n’avait que dix mois, je sortais d’une période de maladie qui m’avait affaiblie. Un jour, en lui donnant son bain, il m’a "glissé" des mains et a plongé sous le mitigeur de la baignoire… Quand je l’ai relevé, son œil était tout rouge et il hurlait ! Très vite, nous l’avons transporté aux urgences. Après de multiples examens, les médecins ont décidé qu’il devait rester en observation. Nous avons alors téléphoné à Mélanie, qui avait trois ans, pour lui annoncer qu’elle devait passer la nuit chez Papi et Mamie. Elle a alors répondu : « Maman, tu n’as qu’à faire comme Jésus a fait pour Bartimée : tu mets ta main sur son œil et tu pries ! »
Sa réponse m’a émue et en même temps je me disais : si ça pouvait être aussi simple… Le lendemain, on nous a annoncé que Matthias avait un décollement de la rétine et que cela signifiait une perte de la vue !
Vous imaginez notre douleur… Rendez-vous a été pris pour un examen sous anesthésie générale et pour des contrôles quotidiens. On rentrait à la maison quand Mélanie a accouru vers Matthias, a posé sa main sur son œil et a dit : « Jésus, guéris l’œil de mon frère ! »
Elle a enlevé sa main, mais rien n’avait changé ; son œil était toujours aussi rouge. Vraiment étonnée et déçue, elle nous a dit : « Jésus n’a pas guéri Matthias. »
Nous étions très surpris de voir qu’elle pensait vraiment qu’en enlevant sa main, l’œil allait être de nouveau comme avant. Le lendemain, pour le contrôle, le chirurgien qui suivait Matthias n’était pas là et c’est un interne qui l’examina. Au bout de plusieurs essais, il m’a dit :« Madame, pourquoi avez-vous amené votre fils ? »
Je me suis empressée de tout lui raconter, l’infirmière qui était là la veille lui a remontré le dossier, mais il nous a répondu : « Votre fils n’a rien ! »
L’infirmière s’est mise en colère et est allée chercher le chirurgien, qui était en réunion. En costume cravate, il est venu à son tour examiner l’œil. C’est alors qu’il a reconnu :
« En effet, la tache observée la veille a disparu ! Il n’a plus rien ! »
Ce que les hommes jugent impossible, Dieu peut l’accomplir.
9/2/2019 • 3 minutes, 20 seconds
Douceur
Un ancien soldat me raconta son témoignage : « Après mes études, j’ai été mobilisé dans une compagnie de fantassin dans l’est de la France. Nous avions, dans notre compagnie, un jeune soldat Christian qui était un chrétien convaincu et qui nous parlait sans cesse de la rencontre qui avait bouleversé sa vie.
Il rentra tout mouillé et crotté de boue, prit sa douche, puis comme chaque jour il s’agenouille aux pieds de son lit et pria.Mes collègues arrivèrent et se moquèrent de lui. Moi, je pris mes chaussures et les jeta sur Christian. Christian évita de justesse mes caudillos et continue à prier. Et là tout le monde s'esclaffa de rire.
Le lendemain matin, alors que toute la chambrée était endormi, je vis à mes cotés mes bottes. Oui, c’était bien mes bottes Toutes propres, elles avaient été lavées, cirées, elles étaient comme neuve !
Bouleversé par une telle réponse ! A mon tour, je me mis à genoux et invita le Seigneur à venir dans ma vie ! Une conviction de péché envahit mon cœur, je me repentis de toute ma méchanceté à travers de nombreuses larmes,
Mes pleurs réveillèrent mes collègues qui me virent pleurant tout en leur montrant mes chaussures nettoyées et cirées !
A la suite, d’autres soldats témoins de la scène firent la même chose : se mirent à genoux et donnèrent leur vie à Jésus- Christ
Autant vous dire que ce fut un énorme bouleversement pour beaucoup d’entre nous
Notre compagnie a été transformée parce qu’un homme Christian a accepté de répondre à la persécution par l’amour !
Dans ce monde de violence, nous montrons trop souvent les preuves de notre mauvais caractère. Parfois, nous laissons éclater notre colère. D’autres fois, nous réagissons un peu trop violemment lorsque nous sommes victimes d’une injustice.
Pourtant, la Parole de Dieu nous encourage dans la première épître de Pierre chapitre 2 et verset 12 : "Ayez au milieu des païens une bonne conduite, afin que là où ils vous calomnient comme si vous étiez des malfaiteurs, ils remarquent vos bonnes œuvres, et glorifient Dieu, au jour où il les visitera."
Jésus, sur la croix, est le modèle parfait, ainsi que l’auteur véritable de la douceur. Approchons-nous de lui afin qu’il nous enseigne la douceur, la persévérance, la maîtrise de soit comme il l’a fait pour ce soldat chrétien !
Si vous le voulez, nous pouvons prier ensemble
Seigneur Jésus, remplis-moi de ta douceur et de ton amour. J’ai souvent du mal à pardonner à ceux qui se moquent de moi et me persécutent. Pourtant, tu les aimes et tu as donné ta vie pour eux à la croix. Tu m’appelles à te ressembler en aimant mes ennemis et en les bénissant. Je m’humilie devant toi et je reconnais mes limites. Fais ce miracle dans mon cœur.Merci Seigneur Jésus.
8/30/2019 • 2 minutes, 9 seconds
Ses dernières paroles.
Un grand professeur de chirurgie était sur le point d’opérer un jeune agriculteur atteint d’un cancer de la langue. Quelques étudiants entouraient la table d’opération pendant les derniers préparatifs.
Le praticien avertit le malade que, dans le meilleur des cas, il devait s’attendre à perdre la parole après cette opération.
— Si vous avez encore un souhait ou quoi que ce soit à exprimer à haute voix, faites-le maintenant, lui suggéra-t-il. Et dites-vous bien que ce sont les derniers mots que vous allez prononcer. Quand vous vous réveillerez, après l’intervention, vous serez muet.
Tous attendaient avec curiosité le dernier message du jeune homme. Celui-ci ferma un instant les yeux, puis énonça d’une voix claire et ferme :
— Gloire à Jésus-Christ !
Les assistants en furent saisis, et le professeur eut peine à contenir son émotion. L’opération se déroula avec succès. Et la perte de l’usage de la parole n’empêcha pas ensuite le jeune chrétien de trouver sa joie dans son Sauveur. Un jour prochain, sa bouche s’ouvrira de nouveau lorsque, dans son corps glorifié, il se trouvera dans la présence de son Seigneur.
8/29/2019 • 2 minutes, 41 seconds
Et le Seigneur dit ...
Un homme, que nous appellerons Carlos, s’en retournait chez lui après une dure journée de travail. Il croisa des jeunes gens qui lui mirent un tract dans la main. Y jetant un coup d’œil, il réalisa que cela avait un rapport avec la religion, le déchira en petits morceaux et tout en prononçant des jurons, le jeta au vent. Carlos avait décidé une fois pour toutes qu’il haïssait Dieu, l’Eglise, et tout ce que représentait l’Eglise. Son attitude avait très probablement été influencée par la lecture de littérature communiste.
Tout au long du chemin qui le conduisait chez lui, Carlos maudit l’Eglise et les jeunes gens qui lui avaient donné le tract. Arrivé chez lui, il enleva sa veste et remarqua que quelque chose y était attaché. Il le prit et reconnut le petit morceau de tract qu’il avait déchiré. Il y était écrit : « Et le Seigneur dit… » Carlos lut cette phrase, lança un autre juron, et jeta le morceau de papier au loin. Mais cette phrase s’était enfoncée dans son esprit. « Et le Seigneur dit… ». Tout en soupant, cette phrase résonnait au-dedans de lui. Cette nuit-là, tandis qu’il essayait de se rendormir, elle occupait ses pensées et excitait sa curiosité. En fait, il ne dormit pas bien du tout car il se demandait ce que le Seigneur avait dit, et cela l’avait maintenu éveillé !
Toute la journée suivante, tandis que Carlos faisait son travail, la phrase le hantait : « Et le Seigneur dit… » D’instant en instant, en dépit de ses dénégations, sa curiosité augmentait. Dès la fin de sa journée de travail, il se fraya rapidement un chemin vers le même coin de rue où le tract lui avait été donné. Il retrouva là les jeunes chrétiens qui, fidèlement, distribuaient de la littérature évangélique et répandaient ainsi le message de l’Evangile.
Carlos se précipita vers l’un des jeunes gens et supplia :
—Oh, s’il vous plaît, dites-moi ce que le Seigneur disait.
Puis il raconta ce qui s’était passé et, à son tour, le jeune homme lui expliqua ce qu’avait dit le Seigneur.
Quel a été le résultat ? Eh bien, à ce même coin de rue, Carlos a été merveilleusement sauvé ! Aujourd’hui, il est pasteur en Afrique du Sud. Son histoire est la vivante illustration de la puissance de la page imprimée !
Dès le matin, sème ta semence, et le soir ne laisse pas reposer tes mains, car tu ne sais point ce qui réussira.
Ecclésiaste 11:1-6.
8/28/2019 • 3 minutes, 37 seconds
Le roi et le sage
Le roi Cyrus aimait parler avec un sage qu’il allait consulter. Un jour, qu’il revient d’une campagne contre les Mèdes, le sage lui fit partager sa lassitude devant toutes les guerres qu’il devait mener.
— Je suis fatigué de tous ces combats. Comme je t’envie de pouvoir prendre le temps de la méditation et de la rencontre.
—Une fois que tu auras asservi les Mèdes, que comptes-tu faire ?
—Je veux m’emparer de Babylone pour accroître mon empire.
—Et après Babylone ?
—J’irai jusqu’en Grèce.
—Et après la Grèce ?
—J’irai à Rome.
—Et après Rome ?
—Après… je m’arrêterai, je reviendrai te voir et nous pourrons méditer ensemble.
—Et pourquoi ne commences-tu pas tout de suite ?
Tout cela nous montre la vanité de l’homme qui n’est jamais satisfait malgré toutes les choses qu’il possède.
Pourquoi ? — Parce que l’homme est une créature et non un accident du hasard : Dieu l’a créé pour Lui. Aussi longtemps que l’être humain vit sans référence à son Créateur et que ses pensées n’ont pour centre que lui-même, un homme pécheur, il est en complète discordance avec la destinée que lui a fixée l’auteur de l’univers. Il poursuit le bonheur, mais ne rencontre que la frustration, car à peine a-t-il atteint un de ses buts qu’il en constate la vanité et doit s’en fixer un autre. Il recherche intensément la satisfaction de ses désirs, mais le péché a gâté toute la création et tous les plaisirs qu’il peut y trouver ont un arrière-goût amer. « Oh ! Si vous pouviez écouter aujourd’hui sa voix ! »
Face à cela, le Seigneur Jésus nous a donné sa paix, son bonheur à nous, ses enfants. Dieu ne nous demande pas de poursuivre le bonheur. Il nous l’a donné en Jésus Christ, sa vie, sa paix sont en nous. Ce que Dieu donne, il nous le donne parfaitement et pour toujours. Nous pouvons jouir de ses dons au travers même des plus grandes épreuves, ou des terribles souffrances du martyr.
8/27/2019 • 2 minutes, 45 seconds
Comment Dieu répond aux prières
Le chef d’une riche famille, contraint de partir en voyage pour deux mois, avait confié au docteur en médecine Pierre Roger, sa femme, sa belle-sœur et ses trois enfants. Ce médecin des corps était aussi un serviteur de Dieu.
La dernière de cette famille était une fillette de quatre ans, qui faisait la joie de toute la famille. Le père l’avait tout particulièrement recommandée à son ami. Un mois après le départ du papa, la petite fille fut atteinte d’une double pneumonie. Toutes les sommités médicales furent appelées, mais les jours passaient, toujours plus angoissants. Au bout de deux semaines, l’arrêt fatal fut prononcé. Le docteur épancha ses angoisses devant Dieu. Pendant ses nuits d’insomnie, il ne cessait de crier à Lui : « Vois mon angoisse, mes difficultés ; aie égard au désespoir des parents, aux reproches du père. Au nom de Jésus, guéris cette enfant ! Tu ne refuses rien à ce nom par lequel je t’invoque. »
La pauvre mère était profondément accablée. Le docteur lui proposa de prier près du lit de l’enfant. Sans aucune hésitation, il demanda au Seigneur de faire ce miracle, de rendre cette enfant à ses parents afin que, voyant sa puissance et son amour, ils croient en Lui et lui donnent leur cœur. La mère sanglotait et, comme la nuit était avancée, le docteur la laissa.
Le lendemain, très tôt, il se rendit auprès de l’enfant. Quelle ne fut pas sa surprise de la trouver assise dans son lit, jouant avec sa poupée ! Elle l’accueillit avec un bon sourire et demanda à manger. La fièvre, extrême jusqu’à ce jour, l’avait quittée. « Dieu a fait un miracle », dit le docteur à la maman. Il se retira, le cœur rempli d’actions de grâces, tandis que la maman ne pouvait contenir sa joie.
Ce que je fais, tu ne le comprends pas maintenant, mais tu le comprendras bientôt. dit Jésus dans Jean 13 : 7.
8/27/2019 • 3 minutes, 3 seconds
Le jardin mal tenu
— Je trouve que Dieu est injuste, estimait un cultivateur. Pourquoi ne donne-t-il pas aux hommes tous les moyens d’être heureux ? Bien des choses devraient changer…
— Je suis d’accord avec vous, répondit un estivant en vacances dans le village. Par exemple, regardez ce pauvre jardin plein de mauvaises herbes ; tout est sec ; la nature l’a plutôt malmené, ce jardin !
— On voit que vous ne connaissez pas son propriétaire : un paresseux, un ivrogne qui laisse tout aller chez lui.
— Peut-être, mais il ne commande ni au soleil, ni à la pluie, ce n’est pas lui qui fait pousser ses légumes.
— Pas d’accord avec vous, reprit le premier, c’est tout à fait sa faute. Le jardin d’à côté reçoit les mêmes pluies, le même soleil et voyez comme il est bien entretenu…
— Eh bien, mon cher, conclut l’étranger, il en est de même du monde. A qui la faute si au point de vue moral, il est à l’état sauvage ? A Dieu dont la belle création répondait exactement aux besoins de sa créature ? Ou à l’homme qui gâche stupidement ces ressources et a transformé cette terre en une véritable jungle ! L’homme pollue, dévaste et perpétue l’injustice sociale. Et tout cela sans fruits pour Dieu. Mais, il viendra un moment, où Dieu retirera aux descendants d’Adam l’administration de la terre et la confiera à Christ, le roi de l’univers. Alors, seulement régneront l’ordre, la paix et la justice dont l’homme ne peut jouir tant qu’il n’obéit pas à Dieu ».
Le Dieu vivant, qui a fait le ciel, la terre, la mer, et tout ce qui s’y trouve. Ce Dieu, dans les âges passés, a laissé toutes les nations suivre leurs propres voies, quoiqu’il n’ait cessé de rendre témoignage, Actes 14 : 15-17.
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8/26/2019 • 2 minutes, 47 seconds
Ô Dieu ! Si tu existes…
Ô Dieu ! Si tu existes…
Tambring vivait dans une petite ville belge ; il se disait marxiste et athée. Sa jeune nièce tomba dangereusement malade et sa maman dut aller chercher un médecin.
Elle laissa l’enfant en compagnie de Tambring, chargé de veiller sur la malade. Soudain, la fillette demanda à son oncle de prier pour sa guérison. Très embarrassé, il s’efforça de la calmer. Mais elle se fit plus insistante :
—Oncle, si tu ne pries pas, je mourrai.
Alors Tambring, cet homme fort, tomba au chevet du lit :
—Ô Dieu ! S’écria-t-il, si tu existes, entends-moi et guéris cette enfant.
La petite sourit et s’endormit. Sa respiration se calma, tout son corps s’apaisa. Et quand la mère revint avec le médecin, celui-ci ne put que constater :
—Mais elle est guérie !
Tambring acheta une bible, se convertit à Jésus-Christ et annonça l’Evangile à tous ses anciens amis.
Ô Dieu, je te prie, guéris-la, demanda Moïse à Dieu, en faveur de Myriam, sa sœur qui était devenue lépreuse dans le livre des Nombres chapitre 12 verset 13, et elle fut guérie. Le Seigneur, aujourd’hui encore, peut répondre à la prière en faveur d’un malade. Il est encore plus certain qu’il veut se révéler à ceux qui, comme Tambring, le supplieront de se faire connaître à eux. Ceux qui me cherchent me trouvent…
8/23/2019 • 2 minutes, 24 seconds
Le manteau et les parchemins de Paul
L’apôtre Paul est dans sa prison, à Rome, peu avant son martyr. Son service s’achève, mais Timothée va prendre sa relève :
Prêche la Parole, insiste en temps et hors de temps, convaincs, reprends, exhorte […]. Pour moi, le temps de mon départ est arrivé, 2 Timothée 4 : 1-8.
Il ne pense qu’à l’évangile. Toutefois, il ajoute : « apporte mon manteau ».
Détail de vie privée, qui semble insignifiant au lecteur superficiel. Au contraire, celui qui croit à l’inspiration de toute Ecriture (2 Timothée 3 : 16-17), trouve là un enseignement plein d’intérêt. L’apôtre, âgé et dénué de tout, a froid dans son cachot. L’hiver approche. Lui, ne se plaint de rien ; après avoir prêché que « la piété avec le contentement est un grand gain », 1 Timothée 6 : 6-8, il regarde vers le divin Modèle, le « pauvre » par excellence. Ce manteau laissé bien loin est à peu près tout ce qu’il possède.
Les choses du ciel remplissent son cœur : aussi demande-t-il également des livres et des parchemins ; sans doute, avant tout, des extraits de la Sainte Ecriture. Il en a besoin pour le temps qu’il lui reste à vivre. Au lieu de perdre parfois notre temps en lectures futiles, sachons apprécier comme ce cher serviteur de Dieu, comme tant de chrétiens isolés ou persécutés, la Parole de Dieu maintenant complète (Colossiens 1 : 24-25).
Quand tu viendras, apporte le manteau que j’ai laissé à Troas, chez Carpus, et les livres, surtout les parchemins, L’apôtre Paul à Timothée, 2 Timothée 4 : 13.
8/22/2019 • 2 minutes, 48 seconds
Judas
Ce nom évoque la plus lamentable histoire qu’on puisse imaginer ; celle de l’homme qui, appelé comme apôtre est devenu le plus abominable des traîtres. Son caractère est révoltant et son projet ignoble. Son marché infâme avec les principaux sacrificateurs inspire le dégoût. Et que dire de son hypocrisie envers son Maître qu’il livre par un baiser ? Il n’est pas étonnant que, fou de remords, il finisse par se donner la mort. Quant à son âme, elle s’en est allée dans l’éternel malheur.
Pendant trois ans, il avait été l’objet d’une multitude de grâces. Il vivait dans la proximité de Jésus. N’est-ce pas de lui que parle déjà le Seigneur au Psaumes 41 : 9 : « Mon intime ami aussi, en qui je me confiais, qui mangeait mon pain, a levé le talon contre moi ». Il était l’un des douze, particulièrement honoré puisqu’il était chargé de gérer l’argent Jean 13 : 29. Il était celui à qui on faisait confiance. Qu’est-ce qui perdit ce malheureux ? L’amour de l’argent. A cause de cette misérable passion, il perdit son âme.
L’histoire de Judas est impressionnante. Il porte un nom terrifiant, celui de : « Fils de perdition » (Jean 17. 12), titre qui ne laisse aucun doute quant à son avenir éternel. Sinistre détail, l’Anti-christ, le grand ennemi des derniers jours, portera le même titre et aura la même fin, 2 Thessaloniciens 2 : 3 ; Apocalypse 19 : 20.
J’ai gardé ceux que tu m’as donnés, et aucun d’eux ne s’est perdu, sinon le fils de perdition, afin que l’Ecriture fût accomplie(Prière de Jésus à son Père), Jean 17 : 12.
8/21/2019 • 2 minutes, 47 seconds
Le courrier du cœur
Une lettre d’amour adressée en 1942 par une jeune mariée à son époux, alors embarqué sur un navire de la Royal Navy, a mis cinquante-deux ans pour parvenir à son destinataire.
Sa femme avait posté la lettre le 14 juillet 1942, trois mois après leur mariage. Elle l’avait adressée au HMS Carliste, le croiseur anglais sur lequel travaillait Walter Manson. Mais la lettre a fait le tour du monde, suivant sans succès la trace du navire d’escorte. Elle a ensuite atterri dans un bureau de poste de la Royal Navy où elle est restée dix ans. Puis elle a été donnée en 1986, par hasard, à un ancien collègue de Walter Manson qui effectuait des recherches historiques. Celui-ci a retrouvé la trace du destinataire et lui a remis la lettre en juillet 1994.
L’ancien marin, alors âgé de soixante-quatorze ans a cependant préféré ne pas l’ouvrir !
Il s’agit d’un bien regrettable retard d’acheminement du courrier, dû à un concours de circonstances unique. Mais ce qui est bien plus désolant, c’est le retard catastrophique dont beaucoup de chrétiens se rendent responsables dans la transmission de la Bible, la lettre d’amour de Dieu adressée à tous les humains. Faisons tout pour qu’elle parvienne à tous.
Comment croiront-ils en celui dont ils n’ont pas entendu parler ? Romains 10:14.
8/20/2019 • 2 minutes, 37 seconds
Le vieux capitaine
Une mère qui avait prié toute sa vie pour la conversion de son fils était morte sans avoir reçu de réponse. Son fils avait fait une brillante carrière dans la marine, mais était resté indifférent à toute question religieuse.
Commandant d’un vaisseau de guerre, il avait eu les deux talons arrachés par un éclat d’obus et il était maintenant âgé et handicapé.
Des amis l’avaient transporté dans une salle où l’on annonçait l’évangile. « Ce soir-là, raconte Charles Stanley, l’Esprit de Dieu m’avait conduit à parler sur Méphibosheth, 2 Samuel 9. Je décrivais l’entière perdition de l’homme dans son état d’infirmité morale et la bonté de Dieu telle qu’elle s’est manifestée en Christ. Dieu va à la recherche du pécheur pour l’amener en sa présence, tout comme David est allé chercher Méphibosheth paralysé des pieds. Je conclus :Et maintenant, toi, pauvre pécheur, âgé et infirme, toi qu’on a cherché pour t’introduire dans la présence de Dieu, où es-tu ? » Le capitaine sentit que Dieu l’interpellait, ce Dieu qui connaissait toute son histoire. Il essaya de se redresser sur son fauteuil roulant et s’écria : « Je suis là ».
Cette nuit même, Dieu sauva son âme et répondit ainsi aux prières d’une mère. Quelle joie de voir le vieux capitaine, « boiteux des deux pieds », se réjouir en Jésus-Christ comme un fils de Roi !
Priez les uns pour les autres […] la fervente supplication du juste peut beaucoup, Jacques 5 : 16.
8/19/2019 • 2 minutes, 39 seconds
La fleur soporifique
Il existe, paraît-il, dans l’Himalaya, une certaine fleur dont le parfum plonge les voyageurs dans un sommeil léthargique. Pour s’en préserver, les gens du pays tiennent à la main une autre plante dont le parfum en neutralise l’effet.
La fleur soporifique est une magnifique plante dont l’éclat est séduisant ; mais on ne peut se promener, encore moins s’étendre parmi ces fleurs, sans verser dans un sommeil redoutable.
Ces fleurs ne sont pas vénéneuses. Ceux qui cèdent à ce sommeil ne meurent qu’au bout d’un certain nombre de jours, non pas empoisonnés, mais par déshydratation et par manque de nourriture.
Telle est l’action des plaisirs de ce monde. Ils ne sont pas mauvais en eux-mêmes, mais ils exercent sur ceux qui s’y adonnent une action assoupissante.
Le remède à cette pernicieuse influence, c’est la Parole de Dieu. Aspirons-en le parfum et nous traverserons, sans nous y arrêter, les parterres dangereux des tentations du monde. Lisons-la avec prière, demandant au Seigneur qu’il dispose nos esprits pour qu’elle ait un effet actif sur nous, et nous serons alors préservés de toutes les influences pernicieuses auxquelles nous expose le contact d’un monde perdu.
Sanctifie-les par la vérité ; ta parole est la vérité, Jean 17 : 17.
Ne te laisse pas vaincre par le mal, mais surmonte le mal par le bien, Romains 12 : 21.
8/16/2019 • 2 minutes, 33 seconds
Qui sont les héritiers ?
C’est une des premières questions qu’on entend poser quand meurt une personne fortunée. Pour y répondre, il faudra consulter son testament.
Chacun sait que la Bible se compose de deux parties appelées : l’Ancien Testament et le Nouveau Testament. Puisqu'il y a testament, cela suppose d’un côté quelqu’un de riche, de l’autre des héritiers.
Le riche donateur, c’est Dieu, celui qui possède toutes choses parce qu’il les a créées lui-même. Tout lui appartient sur la terre et dans le ciel.
Qui sont alors les héritiers ? L’Ancien Testament avait établi pour légataire le peuple d’Israël. C’est à lui que Dieu avait fait des promesses et avait donné un pays, Canaan, en héritage. Or, Israël a méprisé le pays, transgressé la loi ; il s’est détourné de l’enseignement des prophètes et il a mis à mort son Messie. Dès lors, il est tombé sous le jugement divin.
Mais Dieu est amour. Il se plaît à donner. Puisque les juifs ont méprisé l’héritage, il rédige un Nouveau Testament en faveur d’autres héritiers. Que leur donnera-t-il ? Non pas des bénédictions terrestres, mais des bénédictions spirituelles : le pardon, la vie éternelle (Jean 10 : 28), la gloire (Jean 17 : 22). Qui sont les nouveaux héritiers ? Ses enfants, autrement dit, tous ceux qui font partie de la grande famille de la foi (Romains 8 : 16-17).
A tous ceux qui l’ont reçue, à ceux qui croient en son nom, elle a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu, Jean 1 : 12.
Nous sommes enfants de Dieu ; Or, si nous sommes enfants, nous sommes aussi héritiers ; héritiers de Dieu et cohéritiers de Christ, Romains 8 : 16-17.
8/15/2019 • 2 minutes, 54 seconds
Le malade et le psychiatre
—Le patient (chez le psychiatre) :Docteur, j'ai un problème. Tous les soirs, quand je suis au lit, j'ai l'impression qu'il y a quelqu'un caché dessous. Alors, je me relève pour regarder sous le lit, et, bien sûr, il n'y a personne. Je me recouche, mais au bout d'un moment, je me dis que je n'ai peut-être pas bien regardé. Alors je me relève pour vérifier de nouveau, sans résultat bien entendu. Bref, j'ai beau me dire que c'est idiot, je ressens toujours le besoin de m'assurer que personne n'est caché sous le lit. Docteur, tout ça me pourrit la vie, pouvez-vous faire quelque chose ?
— Le psychiatre : Hum, je vois... Obsessionnel compulsif... Comptez quatre ans d'entretiens de psychothérapie, à raison de trois séances par semaine, et je vous guéris de votre obsession.
—Le patient :Euh... Combien ça va me coûter, Docteur ?
—Le psychiatre : 60 € par séance. Donc, 180 € par semaine, 9 360 € par an et donc 37 440 € au final.
—Le patient (songeur) :Euh... je crois que je vais réfléchir...
Six mois plus tard, le psychiatre rencontre le type dans la rue, par hasard.
—Le psychiatre :Alors ? Pourquoi n'êtes-vous jamais revenu me voir ?
—Le patient : 37 440 € ? Mon livreur de pizza m'a résolu mon problème pour 30 € seulement.
—Le psychiatre (vexé) :Votre livreur de pizza ! Vraiment ? Et comment a-t-il fait ?
—Le patient : Il m'a conseillé de scier les pieds de mon lit !
8/14/2019 • 2 minutes, 29 seconds
Demi-tour
C’est le sens du mot conversion qui est loin d’être toujours compris, même dans les milieux religieux. On parle d’œuvres charitables, de réforme sociale, de solidarité et d’aide humanitaire, mais on ignore la seule vérité capable de résoudre les problèmes de l’homme et du monde : la transformation intérieure du cœur de chacun. Le problème humain est d’abord spirituel, ensuite seulement social. C’est le changement intérieur qui conditionne l’attitude extérieure. D’abord le dedans, ensuite le dehors !
Dieu parle de cette nécessité en Ezéchiel 36 : 26-27 :
Je vous donnerai un cœur nouveau et je mettrai au-dedans de vous un esprit nouveau. L’œuvre de Jésus sur la croix, voilà ce qui rend ce changement possible.
Il n’y a de salut en aucun autre, dit l’apôtre Pierre dans Actes 4 : 12.
Le fils prodigue de Luc 15 réalise sa misère morale devant Dieu et déclare :
Je me lèverai, j’irai vers mon Père, et je lui dirai : Mon Père, j’ai péché contre le ciel et contre toi (V. 18). Alors, il se lève ; c’est le demi-tour, la conversion […] puis dans les bras paternels, il va goûter le pardon et la paix, (v. 20).
Oui, tout le problème est là. Tant que nous nous ferons des illusions sur notre état intérieur, croyant y trouver du bien et fermant les yeux sur le mal qui s’y trouve, nous ne serons pas prêts à faire ce demi-tour qui implique la repentance et la foi en Jésus-Christ.
Tournez-vous vers moi et vous serez sauvés, vous tous qui êtes aux extrémités de la terre ! Car je suis Dieu, et il n’y en a point d’autre, Esaïe 45 : 22.
Vous vous êtes convertis à Dieu en abandonnant les idoles pour servir le Dieu vivant et vrai, 1 Thessaloniciens 1 : 9.
8/13/2019 • 3 minutes, 11 seconds
La Bible épargnée par les flammes
Le 3 novembre 1990. La sirène hurlait dans la nuit froide. Là-bas, dans la campagne, une ferme brûlait. Vite, on avait détaché les vaches dans l’étable mais, prises de panique, elles refusaient de sortir. Enfin dehors, elles fuyaient comme des folles sans savoir où elles allaient. Les habitants de la ferme, dont une grand-mère très âgée, regardaient impuissants brûler les biens qu’ils avaient amassés avec tant de peine durant bien des années. Le lendemain, on remua les cendres encore fumantes et, sous une cloison effondrée, on trouva la grosse bible de la grand-mère. Les flammes avaient léché la reliure, mais aucune page n’avait été brûlée.
Elle était là, la Sainte Parole de Dieu avec toutes ses promesses. Elle était là pour dire à chacun :
Ne crains point, car je suis avec toi ; ne sois pas inquiet, car moi je suis ton Dieu. Je te fortifierai ; oui, je t’aiderai ; dans le feu, tu ne seras pas brûlé, et la flamme ne te consumera pas, Esaïe 41 : 10 ; 43, 2.
Au jour de l’épreuve, ne doutons jamais de la puissance, ni de la bonté de notre Dieu. La main qui nous frappe est celle d’un Père qui nous aime.
Qu’il me faille affronter tourments, combats, épreuves, passer par le creuset où l’on affine l’or, entrer dans la fournaise ou traverser les fleuves, Dieu reste mon Sauveur, mon guide, mon trésor.
8/12/2019 • 2 minutes, 33 seconds
Soyez vigilants !
Dans un passé relativement récent, on voyait encore de grands attroupements de chevaux sauvages dans les prairies de l’Ouest américain et parfois, tandis qu’ils passaient, des loups se rassemblaient dans le lointain.
Détectant la présence des loups par leur sens aigu de l’odorat, les chevaux sauvages étaient immédiatement alertés et alarmés, et leur vivacité de mouvements leur permettait de mettre une distance salutaire entre eux et leurs ennemis.
Mais ceux-ci trouvèrent une façon ingénieuse d’attaquer : deux ou trois des plus vieux loups, dans une indifférence apparente, s’approchaient nonchalamment, puis se retiraient de même en folâtrant et faisant des cabrioles.
Devant cette amitié apparente, les chevaux en arrivaient à relâcher leur vigilance. C’est alors qu’avec une précision sans faille, les loups fondaient sur leurs victimes insouciantes, dans une scène de carnage et de mort…
Soyez sur vos gardes, Marc 13:9.
8/9/2019 • 2 minutes, 1 second
Tache ineffaçable !
Chacun à sa manière passe une partie de sa vie à nettoyer : aspirer la poussière, astiquer sa voiture, balayer les rues, laver le linge, chacun lutte contre la saleté.
Mais, il y a une tache que l’homme ne peut pas ôter, malgré tous ses efforts ; c’est celle du péché ! Il a beau la recouvrir du vernis de la civilisation, du manteau des bonnes œuvres ; le péché reste dans le cœur humain où Dieu le voit dans toute sa laideur. Personne ne peut l’effacer ; il faut y renoncer. Dieu a déclaré :
Quand tu te laverais avec du nitre, et que tu emploierais beaucoup de potasse, ton iniquité reste marquée devant moi, Jérémie 2. 22.
Dieu seul peut l’enlever, et il le fait pour celui qui reconnaît son état :
O Dieu, sois apaisé envers moi, pécheur ! Luc 18 : 13.
L’homme ne peut rien faire ; Dieu a tout fait. Mais quel prix il a dû payer pour ôter le péché !
Il n’a pas épargné son propre Fils, mais il l’a livré pour nous tous, Romains 8 : 32.
Sur la croix, Jésus a dû dire, lui qui était le seul juste Mes iniquités m’ont atteint, Psaumes 40 : 12.
C’étaient mes péchés qu’Il avait pris sur Lui et qu’Il a effacés ; car le sang de Jésus-Christ […] nous purifie de tout péché, 1 Jean 1 : 7.
J’efface tes transgressions comme un nuage, et tes péchés comme une nuée ; reviens à moi, car je t’ai racheté, Esaïe 44 : 22.
Rachetés […] par le sang précieux de Christ, comme d’un agneau sans défaut et sans tache, 1 Pierre 1 : 18-19.
8/8/2019 • 2 minutes, 46 seconds
Lettre à mon cher Papa !
je sais que bientôt tu vas nous quitter et j'ai le cœur triste, mais je ressens beaucoup de fierté d'avoir eu un Papa comme toi ! Je me souviens de nos jeunes années où, le repas du soir terminé, on débarrassait en hâte la table et là, le cours de science commençait pour moi et mes frères et ma sœur. Tu nous apprenais à souder, à réparer, à construire des choses basiques, mais qui avaient un grand impact sur nous. Notre Papa savait tout faire et connaissait toutes choses. Mon Papa, c'était le plus fort ! Physiquement et intellectuellement ... Il était si fort que, lorsque les 4 enfants ensemble, nous sautions sur lui, d'une seule main il nous saisissait tous les 4 et nous faisait rouler sur le lit familial. Je me souviens de ces cours pratiques d'électricité, de mécanique, d'électronique, de pneumatique, qui faisaient de chaque soir une fête, avec la découverte de nouvelles choses.
Pourtant, tu n'avais pas été gâté par la vie. Devenu orphelin de mère à ta naissance, puis de père quelques années plus tard, tu vivotais comme un enfant sauvage dans une ferme perdue dans les monts du Jura. C'est seulement à 9 ans que tu as été récupéré par un cousin lointain qui t'a enfin appris à parler et à écrire ! Tu es venu habiter à la ville, à Reims où tu étais tellement effrayé que tu t'enfermais dans un placard !
Ton premier travail a été forgeron et tu équipais de fer les sabots des chevaux. Puis les chevaux sont devenus rares, remplacés par des tracteurs .
Alors, avec Maman, vous êtes revenus dans les Ardennes, pays de ton beau-père, puis tu as travaillé à l'usine, chez Arthur Martin. D'abord à la fonderie, puis au bureau d'études, tout en poursuivant tes cours du Conservatoire National des Arts et Métiers (CNAM) chaque soir, après nos cours de science ! Ensuite, tu travaillais tes cours jusqu'à tard dans la nuit. Puis tu as terminé tes études d'ingénieur, tout en cherchant à mettre au point des inventions et à déposer des brevets: par exemple avec notre voisin, le pharmacien, tu as mis au point une seringue jetable, ou en fonderie, de nouveaux injecteurs de gaz pour les cuisinières ou d'autres choses pour les machines à laver …
Au bureau d'études, tu as toujours été le plus fort ! Puis les enfants ont grandi et on quitté le nid familial. Un jour, ton fils Jean-Louis a connu le Seigneur Jésus et il est devenu chrétien. Il avait tellement changé que tu avais du mal à comprendre que des choses spirituelles aient de l'importance pour lui. Tu as mis presque 49 ans pour accepter ce fait et réaliser : "Que l'homme ne vit pas seulement de pain, mais de toutes paroles qui sortent de la bouche de l'Éternel". C'est lorsque la longue maladie a commencé son œuvre de destruction en toi, que tu as ressenti que tu avais besoin d'un Sauveur et d'un Seigneur pour te pardonner tes fautes, tes péchés et te donner une nouvelle vie. Oui, cela est venu dans ton cœur au début de cette année, suite à une histoire que ton fils t'a racontée : celle du Dr Arisson, dans laquelle tu t'es retrouvé. Tu as compris que tu étais comme ce médecin orgueilleux, ne pouvant plus compter sur tes capacités et que là, face à cette terrible maladie tu étais sans force et sans espoir et que seule la foi en Jésus-Christ viendrait remplir le vide de ton cœur. C'est alors que tu m'as demandé de prier pour toi, avec toi et nous avons ensemble prié le Seigneur :
- " Jésus, pardon d'avoir vécu loin de toi, je réalise que mon cœur est vide et toi le fils de Dieu tu es venu de ton ciel de gloire pour prendre la forme d'un homme, pour offrir ta vie en rançon de mes péchés, viens dans ma vie et pardonne-moi, donne-moi ta vie, merci Jésus, maintenant je suis à toi. Amen ! " Suite à cette prière, rien n'avait changé en apparence, mais dans ton cœur tu as ressenti la paix de Dieu qui désormais, était en toi !
Suite du texte sur sur www.facebook.com/pg/jeanlouisgaillard8
8/7/2019 • 5 minutes, 38 seconds
Pas de Dieu !
Un étudiant était dans une classe de philosophie, où il y avait une discussion pour savoir si Dieu existe ou non. Le professeur avait la logique suivante:
— Quelqu'un a-t-il, dans cette classe, entendu Dieu ?
Personne ne répondit.
— Quelqu'un a-t-il, dans cette classe, touché Dieu ?
Encore une fois, personne ne répondit.
— Quelqu'un a-t-il, dans cette classe, vu Dieu ?
Lorsque personne ne parla pour la troisième fois, il déclara simplement :
— Alors, il n'y a pas de Dieu.
L'étudiant n'avait pas du tout aimé la logique du professeur et demanda la permission de parler. Le professeur la lui accorda, et l'étudiant se leva et posa les questions suivantes à ses camarades de classe:
— Quelqu'un, dans cette classe, a-t-il entendu le cerveau de notre professeur ?
Silence.
— Quelqu'un, dans cette classe, a-t-il touché le cerveau de notre professeur ?
Silence absolu.
— Quelqu'un, dans cette classe, a-t-il vu le cerveau de notre professeur ?
Alors que personne dans la classe n’osa s’exprimer, l'étudiant conclut : — Alors, selon la logique de notre professeur, il doit être vrai que notre professeur n'a pas de cerveau !
8/6/2019 • 2 minutes, 5 seconds
Quand Dieu parle de Dieu (3) Blaise Pascal
Comme savant chrétien, Pascal connaissait bien « ces sages et ces intelligents » qui rejetaient la Révélation, parce qu’elle est réservée à ceux qui se dépouillent de toute prétention devant Dieu. C’est surtout à l’adresse de ces « raisonneurs » qu’il écrivit son dernier livre ; il ne put l’achever. Après sa mort, on commença à l’imprimer partiellement sous le titre de « Pensées » (1670).
Mais on n’a pas fini, dans la dernière décennie de notre XXème siècle, de relire, de classer et de rééditer les « brouillons » qu’il a laissés : les programmes scolaires s’en sont emparés, si bien que des centaines de milliers de lycéens et d’étudiants ont eu sous les yeux les méditations sur le salut de ce remarquable croyant, accompagnées de nombreux extraits fondamentaux de la Bible. Le Seigneur seul sait combien de ces lecteurs occasionnels ont pu en profiter. Esaïe 55 : 8-11.
Cinq mots suffisent à Pascal pour mettre en lumière l’inspiration des Écritures : « Dieu parle bien de Dieu ».
Au sujet des limites de la raison humaine, il dit : « La dernière démarche de la raison est de reconnaître qu’il y a une infinité de choses qui la dépassent…Si les choses naturelles la dépassent, que dira-t-on des surnaturelles ? »
Mais Pascal n’est pas seulement un homme de doctrine, comme il l’écrit : La vérité hors de la charité (ou l’amour) n’est pas Dieu, Galates 5 : 6 ; 1 Corinthiens 13.
Autant les cieux sont élevés au-dessus de la terre, autant mes voies sont élevées au-dessus de vos voies, et mes pensées au-dessus de vos pensées,
Ainsi en est-il de ma parole, qui sort de ma bouche : elle ne retourne point à moi sans effet, sans avoir exécuté ma volonté et accompli mes desseins, Esaïe 55 : 9, 11.
8/5/2019 • 2 minutes, 58 seconds
N’appuyez pas !
Quand un médecin est appelé auprès d’un malade, il commence par le questionner et l’examiner avant de lui prescrire un médicament. Il appuie sa main en divers endroits du corps sans que le malade dise grand-chose, jusqu’au moment où le doigt est mis sur le point sensible. Alors, la douleur arrache un cri au patient : « N’appuyez plus, docteur, vous me faites mal ! »
C’est ce qui arrive quand on touche à la conscience des gens. Tant qu’on discourt sur le mal qui règne dans le monde, sur la nécessité d’avoir une religion, sur l’existence de Dieu, tout va bien ; on est en général d’accord. Mais si l’on parle de la nécessité de la repentance personnelle, on sent qu’on a touché le point sensible, et de tous côtés s’élève ce cri : « N’appuyez pas ! »
On ne naît pas chrétien. On ne le devient pas en se faisant baptiser, mais on le devient en recevant Jésus, le Fils de Dieu, comme Sauveur personnel, après avoir reconnu sa culpabilité devant Lui.
Voilà le point sensible : si l’on vous parle du mal et de l’injustice qui règne dans le monde, vous acceptez, mais quand on suggère que vous êtes pécheur vous aussi, vous réagissez. Et pourtant la Bible déclare formellement que :
Tous ont péché, Romains 3 : 23.
Quel est le remède ? Dieu pardonne à celui qui se repent et qui croit au Seigneur Jésus-Christ.
La tête entière est malade, et tout le cœur est souffrant. De la plante du pied jusqu’à la tête, rien n’est en bon état : ce ne sont que blessures, contusions et plaies vives, Esaïe 1 : 5-6.
8/2/2019 • 2 minutes, 40 seconds
Réponse de David à son Papa !
Ayant grandi dans une famille chrétienne, et ayant fait une rencontre personnelle avec Jésus-Christ lors de mes 8 ans, j’ai depuis toujours aimé le Seigneur Jésus et reconnu sa divinité. Cependant, l’adolescence se faisant, j'ai découvert alors que mon corps, mes sens et mes pensées avaient tendance à m’éloigner de Dieu chaque jour davantage. Bien qu’étant fils de pasteur et ayant de nombreux frères en Christ qui vivaient chez moi, je n’osais pas partager mes luttes de peur d’être jugé. Durant l’adolescence, on croit parfois que les difficultés que nous pouvons avoir dans notre marche chrétienne nous sont exclusives et que donc personne ne peut vraiment les comprendre. Ce n’est que bien plus tard que l’on s'aperçoit qu’en fait, les ados ont tous plus ou moins les mêmes difficultés .
Les luttes et l’isolement spirituel augmentant, le monde m’attirait de plus en plus… et c’est finalement à l'âge de 18 ans que j’ai cessé de venir à l’église.
De nature vaniteuse, c’est-à-dire que j’ai cette fâcheuse tendance à vouloir être approuvé et accepté des hommes, j’ai commencé à faire des choses, qui dans mon environnement de l’époque, me permettaient de m'assurer une certaine reconnaissance… Je me suis donc mis à commettre toutes sortes d’activités illégales, non pas que je manquais de quoi que ce soit ou que j’avais besoin d’argent, mais plus pour m’affirmer et obtenir une certaine stature auprès de mes amis. Quant aux études, elles ne m'intéressaient plus du tout, j’ai donc arrêté le lycée en terminale S, 6 mois avant le bac. Puis, j’ai fait des petits boulots durant la journée, la nuit étant dédiée à mes activités illégales. Au début, lorsqu'on vient de quitter l’église, le sentiment de liberté éprouvé est génial, on se sent libre et on veut “dévorer” le monde, mais après quelque temps, c’est finalement le monde qui nous dévore et on finit par regretter d’avoir abandonné l’église. Les chrétiens quittent souvent l’église, mais rarement le Seigneur, c’était mon cas. Malgré mes bêtises, j’ai vu la main du Seigneur intervenir pour moi à de nombreuses reprises et je savais que c’était Sa grâce qui m’était accordée à chaque fois. Au bout de 3 ans d’errance dans “le monde”, les problèmes ont commencé à s’accumuler dans ma vie ; en outre, je commençais à comprendre que je n’allais nulle part, il n’y avait aucun progrès dans ma vie. Un léger désir de revenir au Seigneur s'est alors manifesté en moi . Je pensais: “Même si la vie chrétienne semble ennuyeuse et difficile, on y est malgré tout en sécurité.” Bien sûr je n'ai rien laissé transparaître. Ainsi, durant toute cette période, j’aimais me retrouver avec les frères de l’église qui étaient à la maison parce que j’y m’y sentais à l’aise. Ce qui est important de comprendre, c'est que lorsque vous agissez dans l'illégalité, il n’y a aucun cadre légal pour vous protéger. Vous ne pouvez pas porter plainte contre un fournisseur de stupéfiant parce qu’il vous a escroqué. La seule issue alors, est la violence qui n’est pas une solution, car la violence engendre la violence et ça ne s’arrête plus. Finalement, vous devez, pour garder une certaine envergure, être violent et méchant, mais comme vos concurrents agissent de même, vous vivez en permanence avec un sentiment d’insécurité. Dès que vous allez quelque part, vous devez faire très attention et être sur vos gardes. Bref, je ne me sentais plus en sécurité, j’avais beaucoup de difficulté à trouver le sommeil. Je vivais dans la peur. C’est à ce moment-là, qu’en juillet 1998, mes parents m'ont proposé de voyager au Zimbabwe à la condition suivante: “On t’offre un billet pour le Zimbabwe pour un séjour d’un mois, la seule contrepartie est que tu participes pendant 1 semaine à un camp de jeunes chrétiens.” J’ai tout de suite accepté...Suite sur www.facebook.com/pg/jeanlouisgaillard8
8/1/2019 • 6 minutes, 46 seconds
Lettre d'un Papa à son fils aîné
À notre fils David,
David, je me souviens de toi lorsque tu étais enfant, tu parlais du Seigneur Jésus à tout le monde et c'était une joie pour tes parents ! Tu t'adressais aussi bien aux prêtres du village qu'au monsieur qui venait sortir les poubelles de notre immeuble. Puis tu as grandi et je me rappelle de tes premiers cours de philosophie en classe de 1ère qui ont amené un trouble certain à ta vie spirituelle. Tu découvrais un autre mode que celui que tu avais connu. Puis l'année suivante, durant les heures de classe, je te rencontre d'une façon impromptue dans la rue, et je te demande ce que tu fais là ? Et tu me racontes : Que tu n'as pas classe et que tu vas faire une course ? Je trouve cela tellement surprenant que j'appelle la direction du Lycée qui me confirme que tu ne vas plus à l'école depuis plusieurs jours. Et là, tu m'expliques que tu as 18 ans, que tu es majeur, et que c'est toi qui signe maintenant tes bulletins d'absence ! Je suis scotché, mais je reste calme et je me souviens que je te dis :"Mon fils pas de problème c'est ton choix David, mais maintenant ne vit pas dans le mensonge, et va travailler !"
Quelques jours après, tu rencontres un journaliste spécialiste en codage informatique qui te prend sous son aile et tu apprends à écrire des programmes informatiques. Mais aussi cette année-là, tu me déclares ne plus vouloir aller à l'église et mener ta vie comme tu l'entends. C'est alors, que commence une descente aux enfers dans la drogue alors là nous sommes au bout du rouleau car ta maman et moi te voyons quitter nos relations parentales, pour te voir vivre la nuit dans un monde que nous ne connaissons pas. Mais là, je te laisse raconter David.
Puis plusieurs fois, je vois des choses entassées dans la cave, des vélos, des chaînes Hifi etc. Et je réalise que pour dealer, tu te procures des choses qui ne t'appartiennent pas. Je tente de parler avec toi mais tu me sors des explications bien extravagantes qui ne me rassurent pas.
Oui, puis durant plusieurs années, ta mère et moi, allons prier pour toi chaque jour et t'attendre chaque soir que tu rentres à la maison, debout derrière la fenêtre jusqu'à ton retour à une heure avancée de la nuit. Durant ces temps, nous sommes secoués car cette situation, pour moi le pasteur d'avoir un fils qui vit la nuit, qui doit fumer des choses interdites ? Sachant que la Parole de Dieu nous dit :
"Que le pasteur doit tenir ses enfants dans la soumission et dans l'ordre."Que dois je faire ? :
- Démissionner comme pasteur ou mettre notre fils à la porte de notre maison ?
Et là le Seigneur me parle et me dit : "Ne démissionne pas : mais si vous mettez votre fils dehors, vous allez le perdre, mais supporter cette épreuve et attendez à moi car, j'agirai en mon temps."
Ce temps a été dur et pénible, mais il a été l'occasion au Seigneur pour nous montrer notre loi, nos principes et notre orgueil que Lui seul pouvait traiter !
Nous avons appris à prendre notre croix ; pas une théorie d'un message mais une réalité dans nos vies de tous les jours.
Cela a été une période difficile mais nécessaire à notre maturité spirituelle et que nous sommes heureux de l'avoir traversée afin de mieux connaître le Seigneur et de pouvoir grandir avec Lui. Nous apprenons toujours à travers les épreuves, rarement quand tout va bien !
Et au final, ces moments difficiles ont fortifié notre couple et ont approfondi notre relation avec notre Seigneur !
Nous en sommes reconnaissants et nous pouvons aider ceux qui passent par les mêmes situations à regarder au Seigneur en comptant sur Sa grâce !
Mon fils, ta maman et moi , nous t'aimons et nous voulons continuer à servir le Seigneur !
Nous t'embrassons Suite sur www.facebook.com/pg/jeanlouisgaillard8
Papa & Maman
7/31/2019 • 4 minutes, 2 seconds
Pascal et son libérateur (2)
Les dernières forces de son esprit et de son corps, Pascal les a employées à écrire un livre où il déclare sur quel fondement sont établies sa certitude et sa joie profondes, que les souffrances ne troublent pas. C’est le ferme témoignage d’un homme sauvé par la grâce de Dieu, par l’œuvre de Christ, et qui attend les joies de l’éternité : « Je tends les bras à mon libérateur qui, ayant été annoncé durant quatre mille ans, est venu souffrir et mourir pour moi sur la terre, dans les temps et dans toutes les circonstances qui ont été prédites. Par sa grâce, j’attends la mort en paix, dans l’espérance de lui être éternellement uni; et je vis pendant cette attente avec joie, soit dans les biens qu’il lui plaît de me donner, soit dans les maux qu’il m’envoie pour mon bien et qu’il m’a appris à souffrir par son exemple. »
Citant largement les Ecritures, il s’efforce de communiquer sa conviction et sa ferveur à tous ceux qui hésitent ou qui doutent, et plus encore aux indifférents et à ceux qui nient la révélation divine.
En effet, celui qui croit en Jésus-Christ comme en son Sauveur personnel se trouve, par la grâce de Dieu, délivré des faux enseignements, de l’esclavage du péché et de la crainte de la mort. Et quels dons il reçoit ! La paix avec Dieu, la paix de Dieu.
Notre Sauveur Jésus-Christ […] a annulé la mort et a fait luire la vie et l’incorruptibilité par l’évangile […] Je sais en qui j’ai cru, et je suis persuadé qu’il a la puissance de garder ce que je lui ai confié, Timothée 1 : 10, 12.
7/30/2019 • 2 minutes, 54 seconds
Une petite annonce peu ordinaire ! Sir Ernest Shackleton
La Parole de Dieu nous dit "Souffre avec moi, comme un bon soldat de Jésus-Christ. Il n’est pas de soldat qui s’embarrasse des affaires de la vie, s’il veut plaire à celui qui l’a enrôlé,"2 Timothée 2 :4 Jésus nous appelle à le suivre sur un chemin étroit et resserré. Qui osera répondre à cette invitation ?
Une des annonces les plus originales jamais publiées est bien celle qui parut dans un journal de Londres, au moment des premières explorations polaires. La voici :
« Besoin d’hommes pour voyage dangereux. Petit salaire, froid intense, longs mois dans la nuit polaire, danger constant. Retour non assuré. »
L’annonce fut passée par Sir Ernest Shackleton, le célèbre explorateur du pôle Sud. Commentant l’énorme courrier qu’il reçut en réponse, Shackleton dit : « On aurait dit que tous les hommes de Grande-Bretagne voulaient nous accompagner. » Il s’agissait évidemment d’hommes courageux, prêts à faire d’immenses sacrifices pour une cause louable.
L’annonce de Shackleton ne vous fit-elle pas penser aux paroles de Jésus- Christ dans Matthieu seize verset vingt-quatre : "Si quelqu’un veut venir après moi, qu’il renonce à lui-même, qu’il se charge de sa croix, et qu’il me suive."
Lui aussi cherchait des hommes prêts à partir avec lui pour une dangereuse expédition : le chemin de la croix. Le Seigneur lança cet appel après avoir indiqué à ses disciples qu’il se rendait à Jérusalem pour souffrir et être mis à mort.
Combien ont répondu à cette invitation au cours des siècles, abandonnant tout avec joie pour le suivre ? Contrairement à l’expédition de Shackleton, on a toujours un grand besoin de volontaires. Le travail se poursuit. Le Seigneur continue d’appeler des disciples. Il ne veut que ceux qui sont prêts à le suivre, quel qu’en soit le coût. Prions ensemble
Ô Jésus, que je réalise réellement ce que veut dire “te suivre” ! Aidez-moi à tout abandonner, à répondre pleinement à ton appel, à ne plus considérer mes propres intérêts, mais d’abord les tiens. Amen
7/29/2019 • 2 minutes, 55 seconds
Le Mémorial de Blaise Pascal
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Orphelin de mère à trois ans, de santé fragile, élevé de façon austère par un père exigeant, enfant surdoué en mathématiques, savant et inventeur génial avant trente ans. Blaise Pascal souffrit presque quotidiennement pour mourir à 39 ans d’une tumeur au cerveau. On pensera sans doute qu’une vie si dense mais si brève fut triste et malheureuse. Or, les dix dernières années sont remplies par une recherche plus haute que celle des vérités scientifiques : Pascal ne médite plus que sur le Dieu de sainteté et de miséricorde qui a envoyé du ciel un Médiateur (le « Rédempteur » comme il dit) pour sauver les hommes. A sa mort, en 1662, ses proches trouvent, cousu dans la doublure de son gilet, un papier griffonné depuis huit ans où se lit le secret de sa communion avec le Père et avec son Fils Jésus-Christ, (1 Jean 1 : 3).En voici quelques extraits :
— Dieu d’Abraham, Dieu d’Isaac, Dieu de Jacob, non des philosophes et des savants.
— Certitude, joie, certitude… Joie, joie, joie, pleurs de joie…
Dieu de Jésus-Christ. C’est ici la vie éternelle, qu’ils te connaissent seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus-Christ, Jean 17 : 3.
— Oubli du monde et de tout, hormis de Dieu… Il ne se trouve que par des chemins enseignés dans l’évangile, Jean 14 : 6 ; Galates 1 : 6-9, 12…
— Éternellement en joie pour un jour peine sur la terre…
Observe celui qui est intègre, et regarde celui qui est droit ; car il y a une postérité pour l’homme de paix, Psaumes 37 : 37.
Il est entré dans la paix, Esaïe 57 : 2.
7/26/2019 • 2 minutes, 58 seconds
Réponse de ma fille Johanne à son Papa. 25-07-2019
Mon cher petit Papa,
C’est avec surprise que je découvre ta lettre ce matin sur les réseaux sociaux. J’étais dans la voiture, et heureusement, personne avec moi, je ne pouvais plus parler, ma gorge était nouée et mes yeux embués.
Alors deux choses, je ne me rappelle pas avoir eu de maisons de poupée, ni de berceaux puisque j’étais plus intéressé par le rugby et par le tour de France (rappelles-toi des posters de Richard Virenque!). Mais surtout t’avoir dit que j’avais des parents “les plus idiots, les plus minables et les plus injustes que la Terre ait jamais portés.”??
Oserai-je même l’avoir pensé ? J’en doute. Peut-être que cela m’a échappé par excès de colère et de fatigue, ou peut-être que j’avais faim !
Alors après avoir lu ta lettre jusqu’au bout, 2 souvenirs me sont revenus :
Un jour, alors que j’étais invité à aller au cinéma avec une copine. Tu m’as averti que ce film ne m’était pas adapté et que tu n’étais pas d’accord pour que j’aille le voir. Moi, je n’y voyais aucun mal. Tu m’as dit très calmement “fais comme tu veux”. J’étais contente que tu me fasses confiance. Aujourd’hui, je ne me souviens plus du film mais je me souviens de ton calme, de ton attitude, du libre choix que j’avais eu.
L’autre chose qui a refait surface c’est, bien sûr, mon voyage, le jour où j’ai pris mes ailes (ou plutôt mes ailerons). C’était en 1997, j’avais 14 ans quand j’ai quitté la maison pour la première fois. J’ai payé mon billet avec mes économies, la vente de mes BD et la vente de mon piano (les posters ne valaient plus rien).
J’ai pris l’avion seule pour Gatwick en Angleterre avec une connexion sur Heathrow, arrivée au Zimbabwe à Harare pour 3 jours où j’ai été accueilli par un pasteur et sa famille. J’étais habitée d’une timidité hors norme alors pour m’exprimer en anglais, j’ai dû me jeter à l’eau. Spécial Big up à ma prof d’anglais du collège, Mme Ducroquet, elle m’a appris la langue et c’est grâce à elle que j’ai pu me débrouiller et progresser. Je pense souvent à elle, à la bénédiction qu’elle a était pour moi durant ces années-là. J’espère du fond du cœur qu’elle va bien. Je suis donc arrivée à l'île Maurice pour un mois, et puis, je suis revenue au Zimbabwe sur Harare et Bulawayo pour un autre mois pendant lequel j’ai eu mon premier camp de jeunes. Un moment intense et mémorable à vie. Repris l’avion sur Harare ou j’ai raté ma connexion sur l'Angleterre : Gatwick et re-Heathrow et arrivée finalement en France sur Paris. Et tout ça, seule, à 14 ans! Puis rebelote l’année d’après et l’année d’ensuite.
Aujourd’hui, je réalise qu’il n’y a pas beaucoup de jeunes qui seraient capables de faire ça. Et c’est maintenant que j’ai mes propres enfants que je vois cela, ma première fille a 12 ans et il est absolument hors de question qu’elle voyage seule! pour le moment.
Bref, ce qui est important ici, c’est la confiance que vous m’aviez accordée, de m’avoir laissé le choix et d’avoir eu confiance en Dieu que lui-même me guide. Quelle bonté et quelle bénédiction que j’ai eu d’avoir des parents comme vous qui m’ont guidé et aiguillé pour tout faire pour le Seigneur et de lui plaire à lui seul. Alors, si un jour, une seule fois j’ai pensé l’inverse que le Seigneur me pardonne ainsi que toi et maman. Parce qu’aujourd’hui, je ne peux que lui rendre grâce pour la bénédiction que vous avez été pour moi… et que vous êtes toujours!
Plusieurs versets résonnent à mon cœur :
O Dieu ! tu m'as instruit dès ma jeunesse, Et jusqu'à présent j'annonce tes merveilles. Psaumes 71:17 et Instruis l'enfant selon la voie qu'il doit suivre; Et quand il sera vieux, il ne s'en détournera pas. Proverbes 22: 6
7/25/2019 • 3 minutes, 5 seconds
A ma fille qui va avoir 13 ans !
Johanne, ma chérie,
Hier nous avons mis en cartons les restes de ton enfance. Tu vas avoir treize ans et tu as décidé qu’il en était temps. Alors, nous avons descendu à la cave ta maison de poupée, le berceau, tes jeux, tous ces jouets qui disaient : « Voici la chambre d’une petite fille. » Maintenant, tu veux des posters au mur, des cassettes, et faire en sorte que cette chambre soit celle d’une grande.
Comme tu es la deuxième de nos enfants, cela ne nous a guère étonnés, ta maman et moi. La seule surprise, comme pour ton frère, c’est la rapidité avec laquelle c’est arrivé. Ne viens-tu pas tout juste de naître ? Quand as-tu cessé d’avoir peur du noir ? Il y a combien de temps que nous avons fait notre dernière partie de cache-cache ?
Aujourd’hui, te voilà mi-enfant, mi-femme, pleine de contradictions, impatiente de quitter le rassurant cocon familial, avide de nouveautés et d’émotions fortes.
Ce qui veut dire, ma presque adolescente, que dans les quelques années qui viennent tu seras stupéfaite de constater notre ignorance en matière de tout ce qui est branché, ringard ou super. Il y a bien des chances pour que nous n’ayons pas les mêmes goûts et que tu détestes ce qui nous plaît. Lorsque nous te refuserons une activité, tu t’empresseras de nous apprendre qu’on l’autorise à toutes les filles de ton âge.
Il t’arrivera de penser que tu as les parents les plus idiots, les plus minables et les plus injustes que la Terre ait jamais portés. A mon avis, rien de plus normal, car nous t’aimons assez pour courir le risque de ne pas toujours être aimés de toi.
Par moments, lorsque nous serons à bout de patience, ta mère et moi serons tentés de lâcher : « C’est bon… Fais ce que tu veux ! » Mais une pensée nous arrêtera : celle de ces gosses livrés à eux-mêmes parce que les parents ont baissé les bras.
Nous, nous sommes des parents vieux jeu dans la mesure où nous croyons que la vie est un don sur lequel il faut veiller, et que ce rôle incombe aux parents.
Rôle parfois effrayant quand on se dit qu’il n’existe aucun service de voyage accompagné pour passer en toute sécurité de l’enfance à l’âge adulte ; aucune possibilité de te prendre par la main et de t’y conduire sans danger. Ce voyage, tu dois le faire seule. Nous pouvons te conseiller, te faire part de nos expériences, avancer des suggestions, mais la décision de nous écouter ou non, t’appartiendra. Tu seras responsable de tes choix.
Il est parfois difficile de ne pas avoir hâte de grandir. Crois-le ou non, Johanne, ton vieux papa ne l’a pas oublié. Avoir treize ans, c’est comme une promesse en voie de réalisation. Des rêves attendent de devenir réalité ; des rencontres nouvelles se préparent, l’indépendance te fait signe au coin de la rue… Mais souviens-toi que ça ne veut pas dire que tout va t’arriver du jour au lendemain, même si tu le souhaites.
Hier encore, lorsque tu voulais attirer mon attention et que tu me sentais distrait, tu prenais mon visage entre tes mains et tu me grondais :
« Papa, écoute-moi avec tes yeux et vois-moi avec ton cœur. »
Combien de choses tu nous as apprises ! Tu as toujours été rêveuse et poète. Merci, Johanne, pour les joies dont tu as comblé notre existence. Puisses-tu voir toujours la vie non pas simplement avec tes yeux, mais aussi avec ton cœur.
Je t’aime ma fille.
Signé : Ton Papa.
Garde ton cœur plus que toute autre chose, car de lui viennent les sources de la vie.Proverbes 4: 23.
Puis ce merveilleux texte d’Ecclésiaste chapitre 12 du verset 1 à 16 :
Jeune homme (jeune fille), réjouis-toi dans ta jeunesse, livre ton cœur à la joie pendant les jours de ta jeunesse, marche dans les voies de ton cœur et selon les regards de tes yeux ; mais sache que pour tout cela Dieu t’appellera en jugement.
Demain, je publierai la réponse de ma fille à ma lettre ... à demain !
7/24/2019 • 5 minutes, 14 seconds
Comprendre ou croire ?
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On prête à Einstein cette constatation : « Nous ne comprenons pas le centième de ce que nous serions capables de comprendre », et il était généreux. Mais alors, que devient ce centième si on le mesure à tout ce qui existe et que nous sommes incapables de comprendre ? C’est là que nous apprenons ce que nous sommes : des êtres limités devant l’œuvre d’un Dieu infini.
On entend parfois des personnes dire : « Je ne peux pas croire ». Elles feraient mieux de dire : « Je ne comprends pas ». Nous non plus nous ne comprenons pas tout. Il reste des mystères impénétrables relatifs à Dieu, à sa création, à l’origine du mal, à la résurrection des corps, à l’enlèvement des croyants, à l’éternité…Mais, savez-vous quel est, de tous ces mystères, celui qui nous étonne le plus ? C’est que Dieu ait aimé des êtres comme nous et que, pour eux, il ait consenti à donner son propre Fils.
Ai-je besoin de « comprendre » pour accepter cette vérité ? Me faut-il faire un effort d’intelligence particulier ? Le salut serait-il réservé à une élite intellectuelle ? Ce serait injuste de la part de Dieu. Il a voulu que le salut soit mis à la portée de tous. Il suffit de croire.
Non, ne prétendez plus que vous ne pouvez pas croire. Le Seigneur Jésus disait fort bien aux foules qui l’écoutaient : Et vous ne voulez pas venir à moi pour avoir la vie, Jean 5 : 40.
Je te loue, ô Père, […] parce que tu as caché ces choses aux sages et aux intelligents, et que tu les as révélées aux enfants. Oui, Père, je te loue de ce que tu l’as voulu ainsi, Matthieu 11 : 26-26.
7/23/2019 • 2 minutes, 48 seconds
Un risque non couvert !
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Nous vivons dans un siècle où tout (ou presque tout) peut être garanti par les compagnies d’assurances : incendies, dégâts des eaux, bris de glaces, accidents, responsabilité civile et assurances complémentaires pour les frais médicaux et hospitaliers… et j’en passe ! De quoi vivre tranquille !
Et pourtant, je le crains, le risque le plus important a été oublié par beaucoup de nos contemporains. Réfléchissez : vous n’êtes finalement couverts que pendant les 70 à 80 ans de vie sur terre, si vous allez jusque-là. Aucune commune mesure avec ce qui est devant vous, c’est-à-dire l’éternité.
Quand il vous faudra tout quitter, votre assurance-vie mettra sans doute vos proches à l’abri des problèmes financiers, mais vous, vous devrez rencontrer votre Créateur. Que vaudra alors votre assurance ? Le plus grand « risque » celui qu’il faut couvrir en priorité, c’est celui d’être perdu pour l’éternité. Un risque, par définition, est un danger éventuel. Mais ce risque-là, celui de rencontrer Dieu, est une certitude.
Etes-vous assuré que vous le rencontrerez comme votre Dieu Sauveur ? Avez-vous « souscrit » par la foi au Seigneur Jésus-Christ à l’assurance de votre bonheur éternel ?
Quel est le prix de cette assurance ? Elle est gratuite parce que Jésus-Christ a tout payé pour vous, à la croix. Il ne vous demande que votre signature au bas de ce contrat.
Car j’ai l’assurance que ni la mort, ni la vie, ni les anges, ni les dominations, ni les choses présentes, ni les choses à venir, ni les puissances, ni la hauteur, ni la profondeur, ni aucune autre créature ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu manifesté en Jésus-Christ, notre Seigneur, Romains 8 : 38-39.
7/22/2019 • 2 minutes, 56 seconds
Compassion
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La Reine Victoria apprit que la femme d’un ouvrier avait perdu son bébé. Ayant elle-même connu la même affliction, elle se sentit poussée à aller exprimer sa sympathie et rendit visite à la jeune maman. Quand elle fut repartie, les voisins lui demandèrent ce que la reine lui avait dit. « Rien ! Elle a mis simplement ses mains sur les miennes, et nous avons pleuré ensemble ! » Le verset le plus court de la Bible se trouve dans l'évangile de Jean 11 : 35.
Jésus pleura. A la mort de son ami Lazare, il n’avait plus d’autre chose à faire que de pleurer avant de le ressusciter !
Une autre occasion où Jésus pleura fut lorsqu’il vit Jérusalem, dans l'Évangile de Luc 19 : 41.
Comme il approchait de la ville, Jésus, en la voyant, pleura sur elle, et dit : Si toi aussi, au moins en ce jour qui t’est donné, tu connaissais les choses qui appartiennent à ta paix ! Mais maintenant elles sont cachées à tes yeux.
Il viendra sur toi des jours où tes ennemis t’environneront de tranchées, t’enfermeront, et te serreront de toutes parts ; ils te détruiront, toi et tes enfants au milieu de toi, et ils ne laisseront pas en toi pierre sur pierre, parce que tu n’as pas connu le temps où tu as été visitée.
Et effectivement en l’an 70, les Romains ont envahi Jérusalem et détruit le temple, et amené la ville dans un chaos extraordinaire où l’on ne pouvait plus rien retrouver. Tout a été cassé, brisé, il n’est pas resté pierre sur pierre. A nous de reconnaître la grâce d’avoir été visités par notre Seigneur !
7/19/2019 • 2 minutes, 32 seconds
Une simple lecture
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J’ai tenu pendant plusieurs mois un kiosque biblique à l’entrée de la cathédrale Saint-Pierre à Genève. Beaucoup de personnes de plusieurs pays venaient la visiter.
Un jour, un jeune homme s’intéressa à ma littérature. Mais je réalisai vite qu’il parlait l’italien (que je ne connaissais pas) : comment alors lui faire comprendre l’importance de lire la Bible ?
Comme j’avais la Parole de Dieu en plusieurs langues, je pris un volume en italien et l’ouvrant au Psaume 1er, je lui fis signe de lire ce texte, et il le fit avec un intérêt manifeste.
Cette simple lecture a suffi pour le convaincre d’acheter le livre qui rend heureux celui qui le médite.
Heureux l’homme qui ne marche pas selon le conseil des méchants, Qui ne s’arrête pas sur la voie des pécheurs, Et qui ne s’assied pas en compagnie des moqueurs,
Mais qui trouve son plaisir dans la loi de l’Eternel, Et qui la médite jour et nuit !
Il est comme un arbre planté près d’un courant d’eau, Qui donne son fruit en sa saison, Et dont le feuillage ne se flétrit point : Tout ce qu’il fait lui réussit, Psaumes 1 : 1-3
7/18/2019 • 1 minute, 52 seconds
Jimmy Carter, 39° président des États-Unis
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Jimmy Carter, 39° président des États-Unis
Son mandat est marqué par d'importantes réussites en politique extérieure dont les traités sur le Canal de Panama, les Accords de Camp David (le traité de paix entre l'Egypte et Israël), le traité SALT II sur la limitation des armements stratégiques avec l'Union soviétique et l’ouverture de relations diplomatiques avec la République populaire de Chine.
Depuis son départ de la Maison Blanche, il s’est proposé en tant que médiateur de conflits internationaux et il met son prestige au service de causes caritatives. En 2002, il reçoit le Prix Nobel de la paix en récompense de ses « efforts pour résoudre les conflits internationaux par des solutions pacifistes, pour faire progresser la démocratie et les Droits de l'homme, et pour promouvoir le développement économique et social ». Il se distingue également en littérature, étant l'auteur de nombreux livres.
L’expérience chrétienne de Jimmy Carter plonge ses racines dans le milieu baptiste au sein duquel il a grandi.
Il fut baptisé par immersion en 1935, bien que -admet-il-pas encore né de nouveau à ce moment-là.
Il déclara un jour à propos des années 1963-1965 : « Je n’avais jamais connu d’intimité personnelle avec Christ jusqu’à dix ou douze ans en arrière environ. C’est alors que je commençai à voir beaucoup plus clairement la signification de Christ dans ma vie, et cela changea totalement mon comportement. »
A partir des années 1970, Jimmy Carter a souvent répété : « Ma religion est aussi naturelle pour moi que la respiration », et « le plus important dans ma vie, bien avant toutes choses, c’est Jésus-Christ. »
7/17/2019 • 2 minutes, 56 seconds
Sauvetage en mer
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Assis dans mon petit canot gonflable, bercé par les vagues, je savoure le plaisir du moment. A moi l’océan, l’air pur, le soleil, la liberté, pendant que la foule s’agglutine sur la plage.
Mais on dirait qu’elle s’éloigne, cette foule ! Pourquoi me fait-on de grands signes ? Tiens, mais les vagues sont plus fortes que tout à l’heure ! Me voilà pris dans un courant. J’essaie de revenir, mais c’est impossible ! L’angoisse me saisit : « Au secours ! »Le bruit de la mer couvre ma voix. Horreur, je suis perdu !
Les maîtres-nageurs m’observent avec des jumelles. Jugeant la situation grave, ils mettent en marche leur hélicoptère. Le voici qui ronfle au-dessus de ma tête. Un homme descend au bout du filin, m’empoigne, et me dépose en sécurité sur la plage, entre les mains d’un médecin.
Quelle inconscience ! Très tranquille, j’allais périr noyé, mais quelqu’un est venu me sauver.
C’était bien votre faute, direz-vous – C’est vrai ! – Mais réfléchissez un instant : ce canot entraîné par un courant, est-ce que ce n’est pas l’image de notre vie ? Savez-vous où vous emporte ce puissant courant de la vie ? Est-ce vers le naufrage, loin de Dieu pour toujours ? Vous êtes pris dans un tourbillon qui vous entraîne à la perdition à votre insu ; mais Dieu a envoyé un Sauveur, son Fils Jésus-Christ. Acceptez simplement qu’Il vous délivre.
Cette Parole est certaine et entièrement digne d’être reçue, que Jésus-Christ est venu dans le monde pour sauver les pécheurs, dont je suis le premier, 1 Timothée 1 : 15.
Le Seigneur ne veut pas qu’aucun périsse, mais voulant que tous arrivent à la repentance, 2 Pierre 3 : 9.
7/15/2019 • 2 minutes, 48 seconds
Une petite fille courageuse !
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— Je dois aller au couvent du Mont de la Salle… Tu connais le chemin ? C’est avec cette question que Michel Fourniret, dans une petite ville des Ardennes belges, prit contact avec Marie-Ascension le 28 juin 2003. La fillette tenta de lui expliquer le chemin mais l’homme feignit de ne pas comprendre et l’invita à monter dans sa voiture. Elle refusa en lui disant qu’elle n’avait pas le droit de monter en voiture avec quelqu’un qu’elle ne connaissait pas. L’homme la félicita pour sa prudence et la rassura en se présentant comme un père de famille et, en plus un enseignant.
— Tu peux me faire confiance.
Le père de Marie-Ascension était aussi enseignant et lui avait expliqué qu’il faut être serviable… Finalement, elle monta dans la voiture. Personne n’avait vu cette fillette originaire du Burundi monter dans l’auto. Fourniret démarra et le ton changea :
— Je vais te punir, dit-il, et il l’obligea à s’accroupir sous la boîte à gants.
—Monsieur, vous appartenez à la bande de Dutroux ?
—Non, je suis pire que lui.
—Croyez-vous en Dieu ?
—Pourquoi cette question ?
— Parce que si vous croyez en Dieu, vous ne me ferez pas de mal.
Fourniret se tut et la petite se mit à prier à haute voix, ce qui eut le don d’irriter son ravisseur. Il arrêta la voiture, ligota l’enfant et la déposa derrière lui dans la camionnette. Marie-Ascension arriva à défaire les liens de ses pieds et grignota la bande de cuir qui enserrait ses mains. Elle parvint ainsi à se libérer et trouva le bouton de la porte coulissante. Lorsque Fourniret ralentit à un carrefour, elle ouvrit la porte et se jeta dans le vide. Elle fut sauvée, mais elle se trouvait au beau milieu d’une forêt, au bord d’une route peu fréquentée : un panneau indiquait « sa » ville à 25 km de là…
Quelques instants plus tard, une voiture s’arrêta et prit la fillette qui raconta à la conductrice tout ce qui venait de lui arriver.
— Tout cela n’est pas dû au hasard : je suis certaine que Dieu a entendu ma prière.
Juste devant elles, la camionnette revint : le tueur en série avait fait demi-tour pour récupérer sa victime.
Heureusement, la conductrice maîtrisait bien la conduite, et put échapper à Fourniret après avoir mémorisé le numéro d’immatriculation de son véhicule. Les gendarmes, informés, se rendirent sur les lieux et arrêtèrent le criminel.
Il aura fallu un an pour que la Justice se rende compte qu’il s’agissait d’un tueur en série. C’est seulement quand Mme Fourniret apprit que Mme Dutroux avait pris 30 ans pour complicité qu’elle s’est décidée, elle aussi, à parler et qu’elle reconnut avoir assisté à au moins six meurtres…
Le père de Marie-Ascension fut tellement ému et tellement reconnaissant envers Dieu du retour de sa fille qu’il a invité 400 personnes, voisins et amis, pour rendre grâce au Seigneur. La fête eut lieu au couvent du Mont de la Salle, à l’endroit que Marie-Ascension devait indiquer au tueur en série. La Parole de Dieu nous dit dans le Psaume 34, verset 7.
Quand un malheureux crie, l’Eternel entend, Et il le sauve de toutes ses détresses.
7/11/2019 • 4 minutes, 25 seconds
Aimez vos ennemis
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Deux chrétiennes d’un pays de l’Est avaient été emprisonnées pour avoir reçu et distribué des bibles. Tous les jours, elles subissaient des interrogatoires et, chaque matin, le colonel de police leur posait cette étrange question : « A quoi avez-vous rêvé cette nuit ? – A rien », avaient-elles l’habitude de répondre. Mais, un jour, l’une d’elle répondit :
— J’ai rêvé que j’étais libérée et que j’offrais un bouquet de fleurs au responsable de l'enquête.
— Vous ne serez jamais libres, répondit vivement le colonel ; je suis là pour y veiller.
Beaucoup de prières montaient vers Dieu et, au bout de six mois, nos deux croyantes furent libérées. Rentrées chez elles, elles s’aperçurent que, pendant leur emprisonnement, leur maison avait été perquisitionnée et que beaucoup d’objets auxquels elles tenaient avaient été emportés par la police. Elles décidèrent d’aller réclamer leurs biens et, se souvenant du rêve, elles achetèrent un bouquet de glaïeuls qu’elles offrirent au colonel.
Quelques mois plus tard, elles voyageaient en train et il se trouva que leur voisine de compartiment était la secrétaire de ce colonel. Celle-ci leur confia : « Depuis que vous avez offert des fleurs à mon chef, un changement profond s’est produit dans sa vie. Son comportement n’est plus le même ». Tout permet de penser qu’il est devenu chrétien lui aussi.
Beaucoup de patience dans les tribulations, dans les calamités, dans les détresses, sous les coups, dans les prisons, dans les séditions […] comme pauvres, et nous en enrichissons plusieurs ; comme n’ayant rien, et nous possédons toutes choses, 2 Corinthiens 6 : 4-10.
Aimez vos ennemis ; faites du bien à ceux qui vous haïssent, Luc 6 : 27.
7/10/2019 • 2 minutes, 56 seconds
Fruits de la semence divine !
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Elle avait bien souvent le moral en berne, la jeune épouse, en attendant son capitaine qui voguait sur les mers. Un jour, une servante du Seigneur lui parla de Jésus, de son amour et de son œuvre sur la croix et lui laissa en partant un petit calendrier de La Bonne Semence.
Feuillet après feuillet, la grâce divine pénétra dans ce cœur, et lui apporta la joie de Jésus. Il va bientôt rentrer, mon capitaine, se dit-elle, quel plus beau cadeau puis-je lui offrir que ce calendrier, il l’emportera sur les eaux avec son merveilleux message, et Dieu exaucera mes prières pour qu’il opère dans son cœur.
Lui, de son côté, pensait avec joie à son retour prochain dans sa patrie, l’Italie. Enfin, voici la première escale, Gênes. Après une courte promenade sur les quais, il rejoignit sa cabine :surprise, un joli calendrier aux vives couleurs était accroché là près du hublot : c’était un évangéliste de la mission des marins qui était passé par là. A son tour, le capitaine découvrit jour après jour le message divin qui illumina son cœur et fit de lui une nouvelle créature. Cemerveilleux calendrier ne sera-t-il pas le plus beau parmi tous les souvenirs apportés à ma bien-aimée ? Pensa-t-il… Enfin ce fut le retour dans la petite île de Fiorio d’Ischio baignant dans l’azur et toute embaumée par les bougainvilliers.
Après avoir offert les quelques souvenirs rapportés de ses voyages, il dit :
—J’ai encore quelque chose de précieux pour toi, ma bien-aimée,
—Oh, moi aussi ! Répondit-elle.
Et tous les deux s’avancèrent tenant chacun, glorieuse surprise, le calendrier instrument de leur salut. La joie fut grande dans le ciel et dans leur cœur ! Deux calendriers évangéliques distribués, deux miracles de la grâce de Dieu au XXIème siècle !
Que cela nous incite, amis chrétiens, sans nous relâcher, à répandre la divine semence.
La semence, nous dit la Bible, c’est la Parole de Dieu.
7/8/2019 • 3 minutes, 7 seconds
Papa est au volant !
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Un jour, ma femme, notre fille Johanne de 3 ans et moi-même devions nous rendre en Italie pour visiter des frères. Nous avions dû conduire durant 3 jours d'affilés.
Notre petite fille n'ayant jamais voyagé la nuit a été saisie de peur. A l'extérieur, une obscurité profonde l'a surprise.
—Où allons-nous, papa?
— A l’église de nos frères et sœurs en Sicile au bout de l’Italie.
— Connais-tu cette église ?
— Non.
— Connais-tu la route ?
— Non, mais peut-être pourrait-on lire la carte ?
— Sais-tu lire la carte ?
— Oui, ne t’inquiète pas, nous arriverons en toute sécurité.
— Où mangerons-nous si nous avons faim ?Pourrons-nous nous arrêter au restaurant ?Sais-tu s'il y a des restaurants sur le chemin ?
— Oui, il y en a.
— Sais-tu où ?
— Non, mais nous serons en mesure d'en trouver.
Le même dialogue fut répété à plusieurs reprises lors de la première nuit, et aussi lors de la deuxième nuit. Mais la troisième nuit, notre fille resta calme.Quand je regardai dans le rétroviseur, je vis qu'elle était éveillée et était restée tout simplement paisible, tout en regardant autour d’elle. Je ne pouvais pas m'empêcher de me demander pourquoi ma fille Johanne n'osait plus me questionner.
— Ma chérie, sais-tu où nous allons ?
— En Sicile au bout de l’Italie, dans l’église de nos frères et sœurs.
— Sais-tu comment nous y arriverons?
— Non.
— Alors, pourquoi ne me poses-tu plus de questions ?
— Parce que papa est au volant.
Parce que Papa est au volant. Cette réponse de notre fille de 3 ans est alors devenue une force et une aide pour moi et pour de nombreuses années. A chaque fois que des questions et des craintes sont sur mon chemin, je dis alors au Seigneur : « oui, notre Père céleste est au volant ». Nous pouvons connaître la destination comme ma petite fille, « en Sicile au bout de l’Italie ». A l’instar de ma petite fille, nous ne connaissons pas le chemin, nous ne savons pas comment lire la carte, nous ne savons pas si nous trouverons des restaurants le long du chemin. Mais ma petite fille savait la chose la plus importante, Papa est au volant, et c'est ainsi qu'elle est en sécurité et en confiance. Elle sait que son papa va donner tout ce dont elle a besoin.
Connaissez-vous votre Papa ? Le grand Pasteur, qui est le chauffeur de nos vies ? Quelle est votre comportement et quelle est votre réponse en tant que passager, « son enfant » ?
Peut-être vous posez-vous de nombreuses questions. Mais soyez comme la petite fille, qui a la réponse à la question la plus importante : et c’est «Papa est au volant ! »
7/5/2019 • 3 minutes, 42 seconds
Ayrton Senna, la Bible a changé ma vie !
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Il y a quelques années disparaissait, dans un tragique accident, Ayrton Senna, triple champion du monde automobile de Formule 1, alors au sommet de la gloire et de la popularité. Quatre ans avant sa mort, un journaliste d’un magazine de presse, spécialisée dans le sport auto, l’interrogeait sur ses motivations et ses préoccupations en dehors du sport. Voilà un extrait de ce qu’il répondit : « Je ne lis aucun roman, je me contente de quotidiens et de quelques magazines, mais je ne me sépare jamais de ma bible, mon livre de chevet. J’en lis chaque jour un passage… La lecture de la Bible a changé ma vie. Je m’identifie à cent pour cent à ce que je lis. J’y trouve les solutions aux questions qui se posent à moi. Mais j’ai encore beaucoup à apprendre, beaucoup de chemin à parcourir, si je veux à la fois recevoir et transmettre le savoir contenu dans la Bible. Pour le moment, je reçois plus que je ne donne… Le ciel, la terre, les oiseaux, la vie sont des dons de Dieu et moi, simple humain, j’aspire à être en harmonie et en paix avec mes convictions.
Je crois beaucoup en Dieu, c’est lui qui a le contrôle sur toute ma vie. »
Ta parole est une lampe à mes pieds, et une lumière sur mon sentier, ou encore, Je te cherche de tout mon cœur Je te cherche de tout mon cœur : Ne me laisse pas m’égarer loin de tes commandements !
Je serre ta parole dans mon cœur, Afin de ne pas pécher contre toi.
Ces extraits sont tirés du Psaume 119, le plus long Psaume de la Bible, qui parle des différents aspects de la parole de Dieu.
7/4/2019 • 2 minutes, 33 seconds
Sans lui, je ne suis rien ! Michael Chang
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Pendant plus de vingt ans, Michael Chang a été sur le devant de la scène dans le monde du tennis. Lorsqu’il a sorti Yvan Lendl et Stefan Edberg pour remporter, en 1989, à Roland Garros, ce tournoi du Grand Chelem, il est devenu le vainqueur le plus jeune de toute l’histoire du tennis.
Quand il a publiquement remercié Jésus-Christ pour sa victoire, en disant que sans lui il ne pouvait rien, la foule a réagi diversement : critiques et applaudissements ont jailli. D’autres joueurs, anciens et vétérans, n’ont pas manqué de rire et de s’attendre à la chute rapide de cet étrange témoin de Jésus. Mais Michael ne s’est pas laissé troubler et il a gardé le même discours, même lorsqu’il est devenu une star, un phénomène médiatisé dans le monde entier. Devant son public, il a expliqué un jour : « J’ai reçu tant de joie, d’amour et de bénédiction de la part de Dieu que je ne peux qu’en témoigner. N’est-ce pas ainsi lorsque le meilleur vous arrive ; vous souhaitez partager votre bonheur ! »
Michael avait pourtant un handicap pour un joueur de ce niveau, sa petitesse. Les clés de sa réussite furent dans des entraînements intensifs très complets et, ajouta-t-il, sa vie spirituelle. En effet, sa foi était autant nécessaire à son épanouissement que les exercices sportifs. Il tenta constamment de la développer, notamment dans sa vie privée.
« La première chose que je fais le matin, en me levant, c’est de passer un moment à lire la Bible et à prier. Le soir encore, j’étudie cette Bible. Chaque jour, je passe du temps dans la prière et je sens Dieu présent à mes côtés, m’enseignant et me guidant dans tous les aspects de ma vie. Comment peut-on se priver de sa richesse ? Dans les bonnes et les moins bonnes circonstances de la vie, si vous gardez les yeux fixés sur lui, vous êtes assurés de recevoir sa joie et sa paix. »
Alors qu’il entrait dans sa première année de joueur professionnel, Michael a demandé à Jésus d’être le maître de sa vie. Depuis, il eut la profonde conviction que la main de Dieu était sur lui à chaque instant de sa vie.
« Bien avant même la gloire et l’argent, le Seigneur est là pour diriger ma vie. Sa présence et son soutien me donnent une confiance sans limites. Plein de choses se passent dans ma vie et je ne crois pas qu’elles soient dues au hasard. Le Seigneur m’aime, veille, surveille et marche toujours à mes côtés. C’est une grande satisfaction de le savoir présent, quoi qu’il m’arrive ! »
7/3/2019 • 3 minutes, 45 seconds
Un petit traité
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Un jeune Français blessé au siège de Saint-Quentin était étendu languissant sur la couchette d’un hôpital ; ses regards tombèrent sur un feuillet que quelqu’un avait posé. Il le lut et sa vie en fut transformée. Le monument de ce soldat se trouve devant l’église réformée de l’Oratoire, à Paris. Il tient une bible à la main. Ce soldat, c’était l’amiral de Coligny.
Mais le petit feuillet n’avait pas terminé son œuvre. Après avoir apporté dans le cœur de Coligny la conviction des vérités de l’Evangile, il tomba entre les mains d’une sœur de la Miséricorde qui soignait le soldat. Terrifiée et pénitente à l’idée d’avoir lu des déclarations si contraires à tout ce qu’elle révérait, la sœur se hâta d’aller confesser ses péchés à la supérieure. Cette dernière, pour juger de la culpabilité de la pénitente, fut obligée de lire le traité. Tandis qu’elle le lisait, une grande lumière brilla dans son cœur. La conviction apportée par cette lumière l’obligea à quitter la France et à s’en aller au Palatinat où elle emporta le feuillet contenant le message divin.
Ce n’était qu’une feuille de papier, coûtant quelques centimes seulement ; mais destinée à se tenir devant les rois.
En effet, l’ex-sœur supérieure rencontra Guillaume d’Orange et devint sa femme. Le feuillet qui l’avait éclairée encouragea le prince à tenir ferme pour les vérités évangéliques.
Tout cela parce qu’un inconnu laissa un jour un petit traité sur une couchette d’hôpital !
L’apôtre Paul disait :
Je n’ai pas honte de l’Evangile, c’est la puissance de Dieu pour le salut de quiconque croit !Romains 1 : 16.
7/2/2019 • 2 minutes, 45 seconds
Le petit mousse
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La tempête faisait rage. La pluie et les vagues balayaient tout le pont. Le clairon sonna :
—Tout le monde sur le pont !
Il fallait monter aux huniers. La besogne allait être dure. On débuta par une rasade de genièvre. Les hommes, à la file indienne, passèrent devant le distributeur. Chacun avala son grog. Quand vint son tour, Jack, le petit mousse, douze ans, hésita, recula, puis résolument murmura :
— Excusez-moi, je préfère ne pas boire !
—Quoi ?gamin de malheur ! Fit le matelot en avalant sa lampée.
On ne pensa plus au petit. L’océan crachait sa colère, il fallait lutter. Mais en rentrant à l’écoutille, le distributeur d’alcool s’écria :
—Capitaine, voilà un particulier qui rechigne à la distribution !
—Ton nom ? demanda le capitaine… Il faut que tu apprennes à boire de l’eau-de-vie, si tu veux être un marin.
—Pardon capitaine, je préfère ne pas boire !
Le capitaine n’était pas homme à entendre discuter ses ordres :
— Qu’on lui donne la corde ! Hurla-t-il.
Le fouet siffla dans l’air et zébra le dos du petit.A chaque coup, les larmes sautaient de ses yeux bleus ciel.
— Et maintenant, boiras-tu, oui ou non ?
—S’il vous plaît, je préfère ne pas boire !
—Ah ! Tête de mulet ! Grogna le capitaine, monte au mât, tu y passeras la nuit !
L’obscurité était lugubre. Le pauvre petit escalada les cordages et subit toute la nuit le balancement formidable du navire. Le lendemain, on l’appela. Pas de réponse. On grimpa le chercher. Son petit corps était accroché au mât. On le descendit, à moitié gelé, et l’on frotta ses membres jusqu’à qu’il ait repris connaissance.
— A présent, bois cela !
—S’il vous plaît, capitaine…
—Tonnerre, je ne permets pas qu’on me résiste !
L’enfant prit courage et expliqua.
— Nous étions heureux, autrefois. Mon père se mit à boire. Il n’y eut plus d’argent ; il fallut vendre la maison. Ma mère, le cœur brisé, me fit jurer de ne jamais boire d’alcool. Dois-je manquer à ma promesse ?
—Non, non, petit, fit le capitaine, visiblement ému.
Il prit l’enfant dans ses bras et, s’adressant aux matelots, leur dit : — Marsouins, tâchez de soigner ce gosse-là : c’est un homme, ça !
Ne regarde pas le vin qui paraît d’un beau rouge,
Qui fait des perles dans la coupe, Et qui coule aisément.
Il finit par mordre comme un serpent,
Et par piquer comme un basilic.
Tes yeux se porteront sur des étrangères,
Et ton cœur parlera d’une manière perverse.
Tu seras comme un homme couché au milieu de la mer, Comme un homme couché sur le sommet d’un mât:
On m’a frappé,… je n’ai point de mal !... On m’a battu,… je ne sens rien !... Quand me réveillerai-je ?... J’en veux encore ! Proverbes 23 : 31-35.
7/1/2019 • 3 minutes, 55 seconds
L’enfant évangéliste
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Quand feu l’évêque de Madras était en train de visiter Travancore, on lui amena une petite esclave connue sous le nom de l’enfant évangéliste. Elle avait mérité ce titre par son zèle à parler de Jésus-Christ tout autour d’elle. Sa persévérance pleine de calme mais de ferme détermination dans cette voie avait fini par attirer plusieurs personnes au Sauveur.
C’était une remarquable évangéliste, parlant de la mort et de la résurrection du Seigneur à toute personne souhaitant l’interroger, puis elle amenait ces personnes à recevoir Jésus-Christ comme Sauveur et Seigneur de leur vie.
Mais que de traitements d’une incroyable brutalité n’avait-elle pas eu à subir ! Quand elle fut présentée à l’évêque, son visage, son cou, ses bras étaient balafrés et lacérés par les coups !
En la voyant, les yeux de l’évêque se remplirent de larmes :
— Mon enfant, comment avez-vous pu supporter tout cela ? S’écria-t-il.
Elle leva les yeux vers lui, surprise, en disant :
— N’aimez-vous pas, vous aussi, souffrir pour Christ ?
Souvenez-vous de la parole que je vous ai dite : Le serviteur n’est pas plus grand que son maître. S’ils m’ont persécuté, ils vous persécuteront aussi ; s’ils ont gardé ma parole, ils garderont aussi la vôtre, Jean 15 : 20.
Heureux serez-vous, lorsqu’on vous outragera, qu’on vous persécutera et qu’on dira faussement de vous toute sorte de mal, à cause de moi, Matthieu 5 : 11.
6/27/2019 • 2 minutes, 32 seconds
Surtout, ne la réparez pas !
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Un homme possédait une maison délabrée. Un riche étranger vint le trouver et, à son grand étonnement, lui proposa de la lui acheter avec le terrain qui l’entourait. Le prix offert étant intéressant, le brave homme décida d’accepter l’offre, et même de faire un effort pour réparer ce qui pouvait l’être. Sans tarder, il se mit au travail pour consolider l’escalier branlant, remettre quelques tuiles sur le toit, ajuster portes et fenêtres et remplacer les vitres cassées.
Mais sitôt l’acte signé et le prix versé, le nouveau propriétaire fit tout simplement raser la masure. C’était le site qui l’intéressait pour une nouvelle construction.
N’est-ce pas ainsi que Dieu procède ? Il veut reconstruire notre vie et n’a aucun besoin de nos réparations. Tout ce qui témoigne de nos misères d’autrefois ne l’intéresse pas. Jésus-Christ, par sa mort à la croix, nous rachète avec tout notre passé pour tout effacer définitivement : échecs, déceptions, souvenirs dont nous avons honte. Ne cherchons pas à rendre notre ancienne personnalité plus présentable.
N’essayons pas de nous améliorer aux yeux de Dieu : nous n’y parviendrons jamais par nos propres moyens. Livrons-lui notre existence, donnons-lui les clés de notre vieille maison sans rien lui cacher et laissons-le reconstruire notre vie selon ses plans à lui pour qu’elle devienne une demeure digne de Celui qui veut l’habiter.
Je vous donnerai un cœur nouveau, et je mettrai au-dedans de vous un esprit nouveau, Ezéchiel 36 : 26.
Si quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées ; voici, toutes choses sont devenues nouvelles, 2 Corinthiens 5 : 17.
6/27/2019 • 2 minutes, 56 seconds
Treize ans pour une certitude !
— A vous entendre, Monsieur, le salut de l’âme est vraiment facile à obtenir ! Vous avez dit qu’on peut être sauvé en un instant. Pourtant, il m’a fallu treize ans. Je me demande pourquoi Dieu m’a fait attendre si longtemps ce qu’il aurait pu me donner tout de suite.
Cet interlocuteur expliqua au prédicateur que depuis l’âge de seize ans, il priait, se confessait, accomplissait tous ses devoirs religieux et faisait partie de plusieurs organisations de bienfaisance pour mériter la faveur de Dieu.
— Rien n’y faisait, tout cela ne me procurait pas la paix intérieure. Enfin, un soir, au lieu des « belles » prières que je récitais d’habitude, je dis simplement :Seigneur, je ne sais plus que faire… sauve-moi, ce soir, sinon je suis perdu ! C’est alors que j’ai eu la certitude que Jésus était mon Sauveur : c’était enfin la réponse à ce que je désirais depuis treize ans !
— Cher ami, vous êtes seul responsable de tout ce temps perdu. Vous avez été sauvé quand vous avez désespéré de vous-même et regardé à Christ seul. Il est l’unique chemin vers Dieu, les bonnes œuvres viennent après, avec la force puisée en Lui.
N’attendons pas des années pour croire ce que Dieu déclare de façon si claire dans la Bible :
Si tu confesses de ta bouche le Seigneur Jésus, et si tu crois dans ton cœur que Dieu l’a ressuscité des morts, tu seras sauvé, Romains 10 : 9.
Il n’y a point de juste, non pas même un seul, Romains 3 : 10.
Tournez-vous vers moi et soyez sauvés, Esaïe 45 : 22.
Qui croit au Fils a la vie éternelle, Jean 3 : 36
6/26/2019 • 2 minutes, 50 seconds
On dirait les paroles de la Bible !
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Il y a plusieurs années, j’eus à cœur de mettre des affiches bibliques sur la vitrine de la boutique qui nous servait de salle de réunion. Un jeune garçon, les colla sur du polystyrène rigide. Je lui dis :
— Prions afin qu’un grand nombre d’âmes se convertisse par ce moyen !
Peut-être quinze jours après, alors que j’étais dans la salle, j’entendis à l’extérieur quelqu’un dire :
— On dirait des paroles de la Bible.
Je sortis et parlai avec un couple habitant à 300km d’ici, de passage dans notre ville pour aller visiter le château de Versailles. Je leur proposai une Bible et nous avons parlé de Dieu ; le lendemain, ils me visitèrent à nouveau et l’homme me dit :
—J’aimerais bien rencontrer un pasteur là où nous habitons dans le Nord de la France.
J’écrivis aussitôt à un chrétien qui habitait près de chez eux. Il les visita, l’un et l’autre se convertirent quelques mois après. Ils furent baptisés et témoignèrent à leurs enfants : une de leurs filles à Lyon se convertit… Puis, le reste de la famille a suivi, soit plus de 60 personnes en tout !
Celui qui marche en pleurant, quand il porte la semence, Revient avec allégresse, quand il porte ses gerbes, Psaumes 126 : 6.
Dès le matin sème ta semence, et le soir ne laisse pas reposer ta main ; car tu ne sais point ce qui réussira, ceci ou cela, ou si l’un et l’autre sont également bons.Ecclésiaste 11 : 6.
Le Seigneur nous dit aussi dans Esaïe 55 : La Parole qui sort de ma bouche ne retourne point à moi sans effet, sans avoir exécuté ma volonté, dit l’Eternel.C’est notre responsabilité de semer la Parole de Dieu.
6/25/2019 • 2 minutes, 50 seconds
Sa grâce est suffisante
Le pasteur DUBOIS prêchait un jour à Chicago, quand, au milieu de la foule, un ouvrier l’air accablé de fatigue, s’approcha et lui dit devant tout le monde :
— Vous pouvez bien raconter que le Christ vous est cher et qu’il est votre aide ; mais si votre femme était morte, comme c’est le cas pour moi ; si vous aviez des enfants appelant en criant leur maman qui ne répond jamais, vous ne pourriez pas parler comme vous le faites !
Peu de temps après Le pasteur DUBOIS perdit sa noble épouse dans un accident de chemin de fer et son corps fut transporté à Chicago dans l’un des baraquements de l’Armée du Salut, pour un service mortuaire.
Après que d’autres eurent commencé le service, il se tint près du cercueil, jeta un regard sur le visage silencieux de son épouse, la mère de ses enfants et déclara :
— L’autre jour, ici même, un homme est venu me dire que si ma femme était morte et mes enfants en train d’appeler leur mère en criant, je ne pourrais pas dire que Christ est suffisant pour moi. Eh bien, si cet homme est ici, dites-lui que Christ est suffisant. Mon cœur est brisé, mon cœur saigne, mais dans mon cœur, il s’élève un chant et c’est Jésus qui le met ; si cet homme est ici je puis lui dire, quoique ma femme ne soit plus là et que mes enfants soient orphelins, que Christ me réconforte maintenant même.
Cet homme était là ; il descendit du bas-côté et se jeta devant le cercueil en disant :
— Vraiment, si Christ est un tel soutien, je veux m’abandonner à Lui.
Comme un homme que sa mère console, ainsi je vous consolerai, nous dit Esaïe 66: 13.
6/24/2019 • 2 minutes, 32 seconds
Une vie nouvelle !
« Je pense avoir réussi à vous persuader que la religion chrétienne n’est qu’un opium destiné aux masses incultes pour les aider à se contenter de moins que leurs droits, et que Jésus n’est qu’un mythe. » Ainsi concluait un conférencier libre-penseur, lors d’une conférence où il avait exposé tous ses arguments pour démolir la Bible.
Un mineur se leva et déclara : « Monsieur, je ne sais pas ce que c’est qu’un mythe. Ce que je sais, c’est qu’il y a trois ans, mon foyer était un taudis, ma femme et mes enfants vivaient dans la misère. Je buvais, je jurais, je blasphémais, j’étais un voyou. Puis, un jour, quelqu’un m’a parlé de l’amour de Dieu, qui s’est révélé en Jésus mort sur la croix pour mes péchés. Depuis, tout est changé. Nous habitons un logement convenable, j’aime ma femme et mes enfants. Je ne bois plus. Ma vie a été transformée parce que j’ai reconnu Jésus comme mon Sauveur. Monsieur, ajouta le mineur rayonnant, si tout ce que vous venez de dire est vrai, je vous prie de me donner l’explication de ce qui s’est passé en moi. »
Nous ignorons quelle réponse fit le conférencier. Mais l’Ecriture fournit l’explication demandée :
Si quelqu’un est en Christ, c’est une nouvelle créature : les choses anciennes sont passées ; voici, toutes choses sont devenues nouvelles ; et toutes sont du Dieu qui nous a réconciliés avec lui-même, 2 Corinthiens 5:17-21.
6/21/2019 • 2 minutes, 23 seconds
Hystérie collective
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En juin 1986, vingt-quatre heures avant le début du championnat du monde de football à Mexico, un tremblement de terre a fortement secoué la ville. Mais on a passé cet événement sous silence par crainte de voir les touristes étrangers renoncer, au dernier moment, à leur réservation pour cette grande rencontre sportive.
Voici ce qu’on lisait le lendemain dans un journal mexicain : « Cette date entrera dans l’histoire. Ce jour-là, la ville de Mexico tout entière a été prise de folie ». A cause du tremblement de terre ? Pas du tout. Lisons la suite : « On cessa le travail. La circulation s’arrêta. Pendant vingt heures, les gens furent pris d’une joie hystérique : l’équipe de football de Mexico disputait son premier match dans le championnat du monde et elle avait triomphé en battant la Belgique ».
Laissez-nous manger, boire et nous amuser. Nous savons bien que demain nous mourrons, mais nous voulons profiter de la vie. Dieu parle et on ne veut pas écouter. C’est ainsi qu’on gaspille une existence de peu de jours et qu’on se prépare une éternité de malheur. Nous n’oserions pas vous parler ainsi, de crainte de vous effrayer à juste titre, si nous ne pouvions pas aussi vous indiquer le chemin du salut : Crois au Seigneur Jésus et tu seras sauvé, Actes 16 : 31. Puisque j’appelle et que vous résistez […] alors, ils m’appelleront et je ne répondrai pas ; ils me chercheront et ils ne me trouveront pas […] Mais celui qui m’écoute reposera avec assurance, Proverbes 1 : 24, 28, 33.
6/20/2019 • 2 minutes, 39 seconds
Quelles traces laissons-nous ?
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Un général américain raconte qu’un jour d’hiver il sortait de chez lui avec son fils ; une neige épaisse couvrait le sol. Le garçon avait la main dans celle de son père, mais peu à peu il la lâcha et resta en arrière. Au bout d’un moment, le général se retourna et le vit qui, bien droit, la tête haute, essayait d’imiter tous ses mouvements. L’enfant faisait de grands efforts pour placer bien exactement ses petits pieds dans les empreintes de son père. « Quand je vis, dit celui-ci, que le gamin se mettait déjà en tête de suivre mes traces, je me sentis obligé de marcher droit, et je pensai que je devais prendre un soin plus grand de faire le bien en toutes choses. » Dans la première épître de Paul aux Corinthiens 11:1 :
Soyez mes imitateurs, comme je le suis moi-même de Christ. » Ou encore « Te montrant toi-même à tous égards un modèle de bonnes œuvres, et donnant un enseignement pur, digne, Tite 2 : 7.
6/19/2019 • 2 minutes
Les pages du cahier d’école
Antoine était déçu ; il venait de recommencer un cahier d’exercices tout neuf avec beaucoup de soin et déjà son professeur de mathématiques le lui rendait surchargé de corrections à l’encre rouge. C’était vraiment triste à voir ; ce nouveau cahier allait, comme le précédent, constamment lui rappeler ses erreurs et les montrer autour de lui.
Qui n’aimerait pouvoir recommencer aussi sa vie, repartir à zéro en jetant toutes ces anciennes pages surchargées de tant de fautes et de reproches de sa conscience ?
Un seul moyen d’écrire des pages de notre vie qui ne soient pas défigurées par ce qui nous fait honte et que nous désirons cacher aux autres : c’est de les écrire avec Jésus. Oh ! Il ne se bornera pas à corriger les erreurs, comme le professeur ; il réécrira complètement notre vie :
- Le vocabulaire n’aura peut-être pas changé, mais chaque mot résonnera différemment ;
- Le temps employé ne sera plus seulement le présent du quotidien, mais aussi le temps futur de l’espérance assurée ;
-La personne ne sera plus toujours le « je » égoïste et envahissant, mais la conjugaison pensera aux autres et d’abord à Celui qui est entré dans notre vie.
Jésus a-t-il réécrit notre vie ? Lui avons-nous confié toutes ces pages de notre existence salies par tant de fautes ? Il veut tout effacer.
Vous êtes […] la lettre de Christ […], écrite non avec de l’encre, mais avec l’Esprit du Dieu vivant, non sur des tables de pierre, mais sur votre cœur, 2 Corinthiens 3 : 3
6/18/2019 • 2 minutes, 46 seconds
Quand manquent les racines !
A côté de notre jardin s’élevait très droit, jusqu’à une douzaine de mètres, un pin qui avait été un très bel arbre. A le voir de loin, il paraissait encore robuste. De près, on s’apercevait qu’il était mort, et ne tenait debout que par l’effet des innombrables tiges du lierre qui l’enserrait de la base jusqu’au sommet. Il semblait défier le temps. Mais ce matin le vent souffla en rafales violentes, et crac… l’arbre tomba d’un coup, montrant ses racines mortes, et entraînant avec lui son armure de lierre impuissante.
N’est-ce pas là l’image de bien des gens ? Leur apparence extérieure fait illusion aux autres et peut-être à eux-mêmes. Ils font face aux difficultés avec assurance et se conduisent honorablement. Mais, il ne circule en eux aucune sève vivante. Ils sont ce qu’une certaine éducation, les traditions, les conventions de leur milieu, ont faits d’eux et ils se tiennent debout par la seule vertu de ces habitudes imposées. S’ils examinaient sérieusement leur vie, ils devraient convenir : « Oui, j’ai l’air d’être un homme de bien, mais les principes et la religion dont je me réclame n’ont pas de réalité pour moi ». Quand les secousses deviennent trop fortes, et la frêle enveloppe qui les enserre cède et tombe avec eux,un jour, de toute manière, l’arbre devra s’affaisser, il faudra quitter ce monde. Qu’en sera-t-il, devant Dieu, de celui qui n’aura pas accepté la seule vie véritable par la foi en Jésus-Christ ?
Celui qui a reçu la semence dans les endroits pierreux, c’est celui qui entend la Parole et la reçoit aussitôt avec joie ; mais, il n’a pas de racine en lui-même, il manque de persistance, et, dès que survient une tribulation ou une persécution à cause de la Parole, il y trouve une occasion de chute, Matthieu 13 : 20-21.
6/17/2019 • 3 minutes, 17 seconds
Le petit « phénomène »
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Invité dans une famille chrétienne pour le repas du soir, je frappe à la porte. Le mari m’accueille avec chaleur, comme un ami. J’en suis fort aise. Il me débarrasse de mon manteau et m’introduit dans le salon où Loïc, un gros bonhomme de sept à huit ans, se fait tirer l’oreille pour me saluer.
À peine dans le fauteuil, la maman s’adresse à son garçon :
—Montre à notre visiteur comme tu joues bien du piano !
Sans se faire prier cette fois, le petit grimpe sur le siège et, avec importance, la poitrine gonflée, tapote les touches d’un doigt malhabile. Il « annonce » une mélodie qui rappelle un air connu : « Au clair de la lune » sans doute.
J’observe la maman. Émerveillée, la bouche ouverte, elle suit les exploits de son rejeton, les mains en position pour déclencher les applaudissements.
—C’est très bien, enchaîne-t-elle. Nous te félicitons… Ça promet, n’est-ce pas Monsieur ?
Et l’enfant de me fixer des yeux pour recueillir quelque louange.
—En effet, dis-je. Pour un commencement…
Mais je n’ai pas envie de terminer ma phrase.
Et la conversation s’engage devant le « petit » qui trône majestueusement sur son siège à vis. Naturellement, Loïc est le centre de cette conversation. Les parents -la maman surtout-passent en revue les dons exceptionnels, les qualités du jeune « phénomène ». On étale ses cahiers et l’on s’attarde sur les « très bien » du professeur. Chacun mentionne sa facilité à apprendre, sa mémoire hors du commun, son intelligence qu’il a manifestée de très bonne heure. Au berceau presque !
—Montre à Monsieur comme tu récites bien…
Et le petit, mis en goût, débite d’un trait « La cigale et la fourmi » qui se termine par des applaudissements encore plus nourris.
Voilà comment on fabrique un orgueilleux, un être suffisant et prétentieux. Non, Madame ! Votre fils n’est pas un phénomène et vous ne le préparez sûrement pas à la lutte persévérante qui fera de lui un vrai pianiste. D’ailleurs, quand votre fils serait un artiste, n’en dites rien. D’abord, vous rendriez jaloux ses frères et sœurs moins doués, et puis vous rendriez un très mauvais service à votre enfant.
L’homme est par nature plein de lui-même, orgueilleux dès le berceau. Il faut donc lui résister puisque, comme vous le savez, « Dieu résiste » à cette catégorie de gens (Jacques 4:6). Bien sûr, il ne s’agit pas d’humilier votre enfant, de l’amener à se sous-estimer ou de souligner sans cesse ses travers et ses défauts devant les autres. Non ! Vous le blesseriez sans le conduire sur la voie de l’humilité. Mais c’est une grave -très grave-erreur d’encenser constamment son fils devant les autres. En multipliant les éloges, vous lui faites croire qu’il est un phœnix, ce qui le marquera pour la vie. Certainement, vous ne l’aiderez pas à plaider coupable devant son Seigneur.
Votre fils a-t-il de réels talents ? Ne les ignorez pas mais donnez-lui l’occasion d’en rendre grâces à Dieu. Apprenez-lui de bonne heure à confier ses dons au Maître, à les Lui consacrer vraiment. À les perdre même plutôt que de courir le risque de devenir un « centre » et de s’idolâtrer soi-même. Ce qui est appris dans l’enfance -bien ou mal- s’efface difficilement. Il est donc important de veiller à l’éducation des siens. La Parole de Dieu nous dit :
Et vous, pères (parents) élevez vos enfants en les corrigeant et en les instruisant selon le Seigneur, Éphésiens 6 : 1-4.
6/14/2019 • 4 minutes, 41 seconds
Avez-vous des oreilles ?
Un pianiste de talent avait remarqué qu’un de ses amis, chrétien convaincu, n’appréciait pas la musique d’un certain compositeur. Un jour qu’il lui rendait visite, il s’assit derrière son piano, décidé à communiquer à son ami le plaisir qu’il éprouvait lui-même.
— Ecoute de toutes tes oreilles pendant que je vais te jouer ce morceau.
Et il y mit tout son cœur. Après le dernier accord, il se retourna vers son auditeur :
— Qu’est-ce que tu en penses ?
— Ça ne me dit toujours pas grand-chose.
— Comment ! Est-ce possible d’écouter un morceau pareil sans être ému ? Tu me déçois.
— Mon cher, répondit le chrétien, toi aussi tu m’as souvent déçu ! J’ai exposé devant toi les vérités les plus élevées concernant le salut gratuit que Dieu offre aux hommes. Je me disais : cette fois, son cœur va répondre. Il va saisir par la foi la main tendue vers lui pour le sauver. Et jamais, tu n’as fait un pas vers Dieu. Alors, je disais de toi exactement ce que tu dis aujourd’hui de moi : Est-il possible qu’il ait des oreilles ?
Il est permis de ne pas goûter telle ou telle musique. Mais passer avec indifférence devant la croix de Jésus-Christ est autrement triste, autrement grave, et autrement lourd de conséquences.
Comment échapperons-nous, si nous négligeons un si grand salut ? Hébreux 2 : 3.
Ayant des oreilles, n’entendez-vous pas ? Marc 8 : 8.
Nous vous avons joué de la flûte et vous n’avez pas dansé ; nous vous avons chanté des complaintes, et vous ne vous êtes pas lamentés, Matthieu 11 : 17.
6/13/2019 • 2 minutes, 38 seconds
Un groupe de parlementaires français.
On m’avait raconté qu’un groupe de parlementaires français, invités avec plusieurs ministres par un de leurs collègues dans sa villa du bord de la méditerranée, admiraient ensemble la vue sur la mer, lorsque soudain, l’un des convives, le ministre du Travail, apercevant un vieux navire avec des voiles blanches, se mit à fredonner « Blanc plus blanc que Neige». À mi-voix, une femme, la compagne du ministre de l’Éducation nationale, continua « Lavé dans le sang de l’agneau, je serai plus blanc que la neige ! ». Quelqu’un d’autre reprit « Jésus par ton sang précieux, enlève mon iniquité ! Regarde-moi du haut des cieux, Dis-moi que tu m’as pardonné...J’ai longtemps erré cœur rebelle, Mais j’entends ta voix qui m’appelle, Au pied de ta croix, maintenant, Tout confus, brisé, je me rends.» Alors, ils furent plusieurs à achever le vieux cantique de l’École du Dimanche, entraînés par le ministre de la Santé. On dit que le président du conseil n’en revenait pas !
Cette anecdote, certifiée authentique, prouve qu’un chant, tout naïf et insignifiant qu’il paraisse, appris dans l’enfance, ne s’effacera peut-être jamais de la mémoire d’un homme, quelle que soit sa carrière.
Dès ton enfance, tu connais les saintes lettres, qui peuvent te rendre sage à salut par la foi en Jésus-Christ, 2 Timothée 3 : 10–17.
6/12/2019 • 2 minutes, 11 seconds
Parlez-leur de Jésus !
Il y a bien des années, les troupes du gouvernement des États-Unis capturèrent d’une bande d’indiens qui avaient longtemps exercé le vol et les rapts d’enfants sur les frontières de l’Ouest. On trouva entre autre dans leur campement nombre d’enfants volés qui avaient vécu des années parmi eux. Le fait fut rendu public dans la contrée, avec invitation adressée à tous ceux qui avaient perdu des enfants à venir reconnaître les leurs.
De toutes parts, on vit accourir des mères et, parmi elles, une maman à qui deux enfants avaient été volés, un garçon et une fille. Elle s’approcha du groupe des enfants, le cœur palpitant de crainte et d’espérance. Promenant le regard de l’un à l’autre, elle cherchait avec angoisse quelques traits de ressemblance avec ses enfants, mais en vain. Elle ne vit les yeux d’aucun de ces petits s’éclairer d’un signe de reconnaissance subite. Déjà la pauvre mère allait s’en aller, le désespoir au cœur, lorsqu’un assistant lui demanda si elle n’avait pas le souvenir d’une mélodie qui pût rappeler à ses enfants le temps de leur enfance. Refoulant ses larmes, elle se mit à chanter d’une voix douce et claire un cantique glorifiant Jésus qu’elle avait l’habitude de leur chanter autrefois. Elle n’eut pas le temps de finir la première strophe, qu’un petit garçon et une fillette sortant du groupe s’écrièrent : « Maman ! Maman ! »
Et s’élancèrent dans les bras ouverts de leur mère. Le souvenir de leur maman s’était effacé de leur cœur avec les années, mais le souvenir de ce qu’elle leur avait dit et chanté de Jésus subsistait.
Entretenez-vous par des psaumes, par des hymnes et par des cantiques, nous dit Éphésiens 5:19.
6/11/2019 • 3 minutes, 3 seconds
Puissance de la prière
Cet événement eut lieu en hiver. Comme souvent à pareille époque, entre les Etats-Unis et le Canada, une soudaine tempête de neige se déclenche. Malheur aux pilotes de petits avions qui se trouvent ainsi pris dans la tourmente ! Ce jour-là, c’est le cas d’un chrétien missionnaire à bord de son petit Cessena.
Plus de visibilité, plus de radio, la glace alourdit de plus en plus l’avion, il faut tenter d’atterrir ; mais seule une roue du train sort, l’autre reste bloquée. De plus, un vent de travers souffle violemment. Le pilote n’a aucun moyen de joindre sa famille pour lui demander de prier pour lui.
Mais Dieu veille sur son serviteur. Le vent de travers, redouté par le pilote, assure dans ce cas précis la portance de l’aile correspondant à la roue bloquée, et permet l’atterrissage sans dommage sur l’unique roue sortie !
Quelques jours après, le pilote apprend qu’à l’heure même où il se trouvait en détresse, une personne qui n’avait pas pu se rendre à une réunion de prière à cause du mauvais temps avait longuement prié pour lui, chez elle.
Quelle puissance que la prière ! Tout en reconnaissant notre incapacité à intervenir dans des situations qui nous dépassent, prions avec foi et Dieu accomplira des miracles s’il le juge bon pour nous.
Loin de moi […] que je cesse de prier pour vous ! 1 Samuel 12 : 23.
Invoque-moi au jour de la détresse : je te délivrerai, et tu me glorifieras, Psaumes 50 : 1
6/10/2019 • 2 minutes, 29 seconds
Le départ du compagnon de sa vie
La vieille dame de 93 ans tremble un peu en racontant cette page précieuse de sa longue, très longue vie. Son compagnon était cardiaque. Ce jour-là, rien de spécial ne s’était passé. Mais le soir il lui dit :
— Le Seigneur m’a dit : « je viendrai te chercher cette nuit ».
Elle était sous le coup de l’émotion.
— On partira ensemble, tu sais bien !
Et elle le regardait. Il est dans son bon sens, pensait-elle, cela doit être vrai.
— Chérie, nous avons passé 67 années de bonheur ensemble. Nous allons rendre grâce à Dieu, le remercier. Parce que ce n’est pas le lot de tout le monde, tu sais. Nous allons lire un Psaume et après nous prierons.
Et c’est ce qu’ils firent. Puis ils allèrent se coucher. Vers quatre heures du matin, voici ce qu’il lui dit :
— Je te remercie d’avoir été une compagne aussi admirable pour moi. Pardonne-moi si je t’ai peut-être peinée sans le savoir…
Elle, dans un souffle :
— Toi aussi, tu as été un mari merveilleux pour moi. Merci…
Et il s’endormit pour toujours. La vieille dame aux mains qui tremblent ajoute :
— Et je reste là avec ces beaux souvenirs. En attendant qu’un jour prochain, le Seigneur vienne me chercher à mon tour et que nous soyons réunis à nouveau dans le royaume de notre père céleste.
6/7/2019 • 2 minutes, 15 seconds
Dernières paroles de Moody
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L'évangéliste Moody, était couché sur son lit de maladie. Installé à son chevet, son fils l'entendit prononcer ces paroles à mi-voix :
- La terre se retire, le ciel s'ouvre devant moi.
Il chercha à l'éveiller, pensant qu'il rêvait :
- Non mon fils, ce n'est pas un rêve. C'est merveilleux, admirable. Si c'est la mort, alors elle est belle. Ici pas de sombre vallée. Dieu m'appelle, je dois aller.
Puis, ayant réglé, avec ses proches et ses amis, différents points concernant la poursuite de l'œuvre, il redevint silencieux comme contemplant à travers le voile, l'éternité bienheureuse qui l'attendait. Soudain il s'écria encore :
- C'est un jour de triomphe et de couronnement. Je l'attendais depuis de longues années.
Plus tard, il s'endormit paisiblement dans la paix de son Dieu.
6/6/2019 • 2 minutes, 20 seconds
La nature a raison !
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Une publicité récemment apparue dans nos rues sur les panneaux d’affichage affirme : « Plus la science avance, plus elle donne raison à la nature ». C’est vrai, et les gens prennent de plus en plus conscience de la nécessité de la préserver en respectant ses lois. Scientifiques, hommes politiques, associations diverses s’emploient à alerter l’opinion et les pouvoirs publics pour s’opposer à beaucoup d’actions lucratives qui la mettent en péril. On peut convaincre à coup d’arguments, d’informations médiatisées, de manifestations publiques, que « la nature a raison ».
C’est juste, mais pourquoi s’arrêter là ? Parler ainsi, c’est reconnaître que la nature a en elle une sagesse qui nous dépasse infiniment.
La simple vérité, c’est que la nature contient toutes les richesses que son Créateur lui a données. Elle en est la démonstration irrécusable. Lui-même déclare :
Toute ces choses, ma main les a faites, et toutes ces choses ont été, dit l’Eternel, Essaie 66 : 2.
Mais dire que la nature a raison et admirer la sagesse insondable qui se trouve en elle, sans reconnaître son créateur, c’est en fait la diviniser comme l’ont fait des peuples anciens, sous forme de multiples idoles. C’est honorer la créature plutôt que celui qui l’a créée, Romains 1 : 25.
Qu’est-ce donc qui retient tant de personnes de reconnaître Dieu, sa puissance éternelle et sa divinité, sinon la crainte de la rencontrer comme juge ?
Oh ! Si vous vous tournez vers lui, vous le rencontrerez comme le Dieu Sauveur, bien plus grand encore que la nature ne le révèle, car il est amour.
La nature même ne vous enseigne-t-elle pas ?1 Corinthiens 11 : 14.
Les cieux racontent la gloire de Dieu, et l’étendue annonce l’ouvrage de ses mains. Psaumes 19 : 1.
Tournez-vous vers moi, et soyez sauvés, vous, tous les bouts de la terre ; car moi, je suis Dieu, et n’y en a pas d’autre, Esaïe 45 : 22.
6/5/2019 • 3 minutes, 19 seconds
Le vin, non plus jamais !
« Non, mes amis, aujourd’hui je n’en prendrai pas et désormais je n’en boirai plus, plus jamais ! »
C’était un voyageur de commerce qui parlait ainsi en entrant dans un compartiment de chemin de fer où se trouvaient plusieurs de ses camarades. L’un des jeunes gens lui tendait une bouteille qu’il repoussa :
—Vous saurez que j’ai juré, oui, juré ! La boisson et moi nous en avons fini pour toujours !
Une explosion de rires s’éleva parmi les voyageurs. Ils se moquèrent de lui, le houspillèrent et lui mirent la bouteille sous le nez. Tout fut inutile : le jeune homme demeura ferme. Son expression était devenue si sérieuse que ses camarades cessèrent de le presser.
—Ah ! S’écria pourtant l’un d’eux, pour renoncer si subitement au nectar, tu dois avoir un motif péremptoire. Que t’est-il donc arrivé ? Allons, mon vieux, confesse-toi !
—Je vous le dirai, mes amis. Je sais très bien que vous allez encore vous moquer de moi, mais cela m’est indifférent. Depuis mon mariage, je n’ai jamais passé une journée sans boire et, bien souvent, j’ai bu plus que de raison ; cela, vous le savez tous. J’aime l’alcool et je ne sais pas comment je vais m’en passer à l’avenir. C’est égal, je n’en boirai plus une goutte. Hier, je me suis arrêté chez un client qui, outre son commerce, tient une sorte de « Mont-de-piété ». Tandis que nous parlions de nos affaires, un homme est entré, il n’avait certainement pas trente ans, mais il portait sur son visage les traces de la boisson. Il ne passait sûrement pas une journée sans s’enivrer ; ses vêtements étaient sales. Il portait un petit paquet qu’il ouvrit d’une main tremblante et tendit au prêteur sur gages en disant :
« Donnez-moi deux francs en échange ».
C’était une paire de tous petits souliers d’enfant dont les boutons seuls étaient un peu usés ; évidemment, les petits pieds ne les avaient pas chaussés plus de six fois.
—Où as-tu pris ces souliers ? demanda le prêteur qui paraissait connaître l’homme.
—Chez nous, répondit-il, ma femme les avait achetés pour notre bébé. Donnez-moi l’argent, il me faut boire !
— Rapporte ces souliers à ta femme, l’enfant en a besoin. Tu devrais rougir de ta conduite, déclara le commerçant.
—La petite ne les mettra plus ! Elle est morte. On l’enterre demain.
En disant ces mots, l’homme cacha sa tête dans ses bras, en s’appuyant sur le comptoir et se mit à pleurer, d’abord doucement, comme un enfant, puis en désespéré. A la fin, dominé par la douleur, il s’écria :
— Ô Dieu, fais-moi mourir, mais sauve ma femme, ma Lily !
Il y eut un moment de silence, puis le narrateur reprit :
—Camarades, vous pouvez rire maintenant… Mais moi, j’ai à la maison un petit enfant de deux ans et ma femme s’appelle Lily. Aussi vrai que Dieu me viendra en aide, je ne boirai plus de vin !
Après avoir prononcé ces paroles, le voyageur de commerce quitta sa place et passa dans un autre wagon. Ses amis se regardèrent sans proférer un mot. Nul n’avait plus envie de rire ou de plaisanter. L’un d’eux ouvrit brusquement la fenêtre et lança la bouteille qui s’écrasa sur la voie, personne ne le blâma. Il se passa un certain temps avant que les jeunes gens reprennent leur entrain, mais plusieurs restèrent préoccupés…
Voilà pourquoi cet homme ne voulait plus boire, il a tenu parole. La Parole de Dieu nous met en garde contre l’usage du vin et des boissons alcoolisées, nous trouvons cela dans Proverbes 23: 31-35.
"Ne regarde pas le vin qui paraît d’un beau rouge, Qui fait des perles dans la coupe, Et qui coule aisément. Il finit par mordre comme un serpent, Et par piquer comme un basilic. Tes yeux se porteront sur des étrangères, Et ton cœur parlera d’une manière perverse. Tu seras comme un homme couché au milieu de la mer, Comme un homme couché sur le sommet d’un mât: On m’a frappé, […] je n’ai point de mal ! […] On m’a battu, je ne sens rien ! […] Quand me réveillerai-je ? J’en veux encore !"
6/4/2019 • 5 minutes, 11 seconds
C’est mon père !
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Sous le règne de Louis XIV, un officier nommé Duras servait dans le régiment d’Aubusson. La plupart de ceux qui le connaissaient, le croyaient issu d’une puissante famille portant le même nom. Mais il était fils d’un simple paysan. Un jour, son père vint le voir en sabots et vêtu d’une blouse de laboureur, l’officier le présenta avec déférence à son colonel. Le roi, instruit de la manière dont ce soldat avait honoré son père en présence de tous, le fit venir et lui dit :
— Je suis très heureux de connaître un des plus honnêtes hommes de mon royaume.
Il semble que ce geste devrait être tout naturel, car ce n’est pas l’habit ni la profession d’un homme qui en font la qualité. Cependant, si nous y pensons, nous constatons que dans notre monde où tout est « tape-à-l’œil », des fils et des filles qui ont bénéficié du travail acharné ou des sacrifices substantiels de leurs parents n’ont pas toujours la simplicité de cet officier.
Eh oui, cet homme est mon père, ne vous en déplaise, il est né à une autre époque, c’est vrai. Il n’est peut-être pas versé dans les mathématiques modernes, c’est encore vrai. Il est plus à l’aise en pleine nature que dans vos salons artificiels. Mais, c’est mon père, je l’aime et le respecte. Si je suis ce que je suis, après Dieu, c’est à mes parents que je le dois et, bien que je sois adulte, j’aime à connaître leur avis et à m’entretenir avec eux.
Les choses iraient certainement mieux si comme l’officier de Louis XIV la jeunesse savait honorer ses parents. C’est le seul des dix commandements qui soit suivi d’une promesse :
Honore ton père et ta mère, afin que tes jours se prolongent dans le pays que l’Eternel, ton Dieu, te donne. Exode 20:12.
6/3/2019 • 2 minutes, 48 seconds
Puissance de l’amour.
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Un petit garçon de cinq ans, pensionnaire dans un orphelinat, avait pris l’habitude de dérober les affaires de ses camarades et de les cacher dans son casier.
Le surveillant entreprit de le raisonner : peine perdue. Il essaya différentes méthodes de correction mais l’enfant continuait de voler.
« Peut-être que si l’enfant prend les choses des autres c’est pour compenser le manque d’affection d’un père et d’une mère, suggéra quelqu’un. Essayons de lui témoigner beaucoup, beaucoup d’amour. »
De différentes façons, les responsables de l’orphelinat s’efforcèrent de lui prodiguer les marques d’une affection véritable et au bout de peu de temps on put s’apercevoir d’un changement extraordinaire : l’enfant ne dérobait plus. L’amour avait triomphé.
Essayez-vous aussi. Pour nous les chrétiens il n’y a pas plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis. Jésus a donné sa vie pour nous. Vous pouvez lire dans 1 Corinthiens 13, l’hymne à l’amour fraternel.
1 Quand je parlerais les langues des hommes et des anges, si je n’ai pas l’amour, je suis un airain qui résonne, ou une cymbale qui retentit.
2 Et quand j’aurais le don de prophétie, la science de tous les mystères et toute la connaissance, quand j’aurais même toute la foi jusqu’à transporter des montagnes, si je n’ai pas l’amour, je ne suis rien.
Je vous invite à lire la première Épître de Paul aux Corinthiens 13 : 1-13.
5/31/2019 • 2 minutes, 21 seconds
Si j’avais su !
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Près du château de Balmoral en Ecosse, une dame simplement vêtue, surprise par une averse, chercha refuge dans une ferme.
— Bonjour Madame, dit-elle à la fermière ; j’ai été surprise par la pluie pendant ma promenade. Me rendriez-vous le service de me prêter un parapluie pour retourner chez moi ?
La femme visiblement ennuyée regarda la visiteuse et lui dit :
— J’ai deux parapluies, l’un est en soie, tout neuf, mais je ne vous le prêterai pas, n’étant pas trop sûre de le revoir. Tenez, voilà l’autre !
Et elle offrit un vieux parapluie misérable à la dame qui lui répondit :
— Merci, Madame, mieux vaut cela que rien !
Le lendemain matin, la paysanne vit arriver un valet de pied qui rapportait le parapluie avec les remerciements de la reine.
— C’était donc la reine, s’écria la paysanne consternée. Si j’avais su ! Je lui aurais prêté mon beau parapluie neuf !
Un Roi infiniment plus glorieux que la reine d’Angleterre a vécu sur la terre dans un abaissement tel que son peuple Israël ne l’a pas reconnu. Pourtant, il était le Fils de Dieu, le Créateur de toutes choses.
Plutôt que de dire, quand il sera trop tard : « Si j’avais su !... » Puissiez-vous affirmer dès maintenant :
— Je sais que Jésus-Christ est mon Sauveur.
Il vint chez lui ; et les siens ne l’ont pas reçu, Jean 1 : 11.
[…] il n’avait ni beauté, ni éclat pour attirer nos regards, et son aspect n’avait rien pour nous plaire […] mais il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités ; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, et c’est par ses meurtrissures que nous sommes guéris, Esaïe 53 : 2,5.
5/30/2019 • 2 minutes, 49 seconds
Trompe l’œil !
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Le placage, en ébénisterie, consiste à recouvrir par collage un bois ordinaire ou un aggloméré d’une mince plaque d’un bois plus noble : noyer, palissandre, acajou… Les meubles fabriqués à partir de planches ainsi recouvertes donnent l’illusion d’être entièrement faits de bois coûteux. Mais, surtout n’essayez pas de limer, ni de raboter ; vous feriez aussitôt apparaître le support bon marché !
La chrétienté abonde en personnes revêtues d’un placage de piété. Extérieurement, elles se distinguent mal des chrétiens véritables : leur conduite est honorable ; elles fréquentent les offices religieux, donnent à des œuvres de bienfaisance. Mais, tout cela peut-être superficiel. Les épreuves remplissent le rôle de la lime ou du rabot. Que survienne une difficulté dans laquelle la foi, l’amour, la piété, la patience, devraient se montrer : et voilà la mince couche religieuse qui disparaît ! Les bases de la vie divine, les relations conscientes avec Dieu par le Saint-Esprit, source de cette vie, ne sont pas là. C’est le fond naturel, un moment caché par des moyens artificiels, qui fait son apparition.
La religion fait partie de la vie sociale : elle constitue dans certains milieux une recommandation. Mais que pense Dieu de ce vernis de piété ?
Peut-Il s’en contenter ? Absolument pas !
Mais tu veux que la vérité soit au fond du cœur : Fais donc pénétrer la sagesse au dedans de moi !,Psaumes 51 : 6
Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites ! Parce que vous ressemblez à des sépulcres blanchis, qui paraissent beaux au dehors, et qui, au-dedans, sont pleins d’ossements de morts et de toutes espèce d’impuretés, Matthieu 23 : 27.
5/29/2019 • 2 minutes, 59 seconds
Le mal, sur l’estomac !
Simone est hospitalisée en urgence pour des vomissements incoercibles, accompagnés de douleurs abdominales très violentes. Elle reçoit des calmants très forts et les médecins stomatologues, et -gastro-entérologues pratiquent tout un bilan. Du banal calcul vésiculaire au cancer digestif le plus grave, tout est recherché minutieusement et tout est éliminé ! On ne trouve aucune cause organique ! Pourtant, la douleur est toujours là et les vomissements toujours prêts à revenir malgré le traitement médicamenteux mis en place. C’est alors qu’on appelle le psychiatre.
Que peut faire le psychiatre pour une femme de la quarantaine, en pleine vie active, mariée, mère de deux enfants, à cent lieues de la folie ?
« Je suis allé voir Simone à la demande de mes collègues et l’ai écoutée. Simone a parlé, beaucoup parlé, plus d’une heure la première fois. Mariée jeune à 19 ans, après une enfance sans problème particulier, Simone avait eu rapidement ses deux enfants : une petite fille, puis un petit garçon. Son mari était un passionné de sports, et surtout de moto. Il s’était rapidement mis à son compte comme carrossier. Tout allait bien.
Un jour Simone partit le weekend à une réunion de famille. Son mari, lui, était à un weekend de moto. Mue par un étrange pressentiment, Simone rentra précipitamment le samedi soir à la maison. Elle découvrit son mari dans la chambre avec une femme qui participait également au weekend-de moto. Ce fut le choc ! Simone se sentit flouée et demanda le divorce. Cependant, à la conciliation devant le juge de Paix, le mari de Simone s’effondra, demanda pardon ; il ne voulait pas briser leur famille par un égarement ponctuel, Simone céda… et la vie reprit comme avant ?
‘J’ai pardonné mais je n’ai pas oublié’, me dit-elle.
Au fil des années, les enfants grandissaient, l’entreprise s’étoffa, et la moto prit de plus en plus de place dans la vie du mari de Simone. Voilà que le fils aussi devint passionné de moto et commença à participer à des compétitions. Simone se sentit délaissée. Elle me dit : « Je voudrais être sa moto, il lui donne tellement d’attention et de soin. C’est comme s’il y avait une autre femme dans la vie de mon mari. » Bientôt, Simone tomba malade ; elle ne put plus rien avaler. La situation lui resta sur l’estomac. »
Le problème de Simone est qu’elle n’avait pas réellement pardonné à son mari. Quand nous demandons pardon au Seigneur Jésus, il nous pardonne et efface nos péchés comme si nous n’avions jamais rien fait. Il nous dit :
Les choses anciennes sont passées toutes choses sont devenues nouvelles, 2 Corinthiens 5 : 17.
C’est cela le miracle de la nouvelle naissance : un changement de cœur suivi d’un changement de vie.
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5/27/2019 • 3 minutes, 49 seconds
Négligence
Au premier abord, il ne semble pas que la négligence soit une faute bien grave. En réalité tout dépend des conséquences qui en résultent. La négligence de l’infirmière qui a oublié de donner à son malade le médicament prescrit sera considérée comme légère si l’état du patient ne s’en ressent pas, mais elle sera impardonnable si le malade en meurt.
Dans le verset cité aujourd’hui, il est question de ceux qui négligent « un si grand salut ». Ce ne sont peut-être pas des moqueurs, des impies, ni des indifférents. Mais, il y a quelque chose, un petit rien peut-être, qui les fait renvoyer à plus tard le moment de prendre position devant Dieu, d’accepter avec décision Jésus pour leur Sauveur. Ils ont bien l’intention de le faire une fois, mais pas tout de suite. Ils négligent le grand salut : grand parce que c’est un don de Dieu, grand parce qu’il peut sauver le plus coupable d’entre nous, grand parce qu’il nous donne la vie éternelle, grand parce qu’il ne demande rien au pécheur si ce n’est la foi en l’œuvre de Jésus-Christ.
Si vous étiez un de ces négligents, réfléchissez bien aux conséquences que peut avoir votre négligence : ce n’est pas un problème d’argent, ni de santé, ni la séparation d’avec un être cher, c’est beaucoup plus que tout cela, c’est l’éloignement éternel de Dieu. L’enjeu est trop grave pour que vous remettiez votre décision à plus tard.
Comment échapperons-nous en négligeant un si grand salut, qui, annoncé d’abord par le Seigneur, nous a été confirmé par ceux qui l’ont entendu ? Hébreux 2 : 3.
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5/23/2019 • 2 minutes, 45 seconds
Quelqu’un m’aide !
Une dame recevait la visite d’un enquêteur pour un « sondage d’opinion ». Elle avait été veuve jeune, mais grâce à son travail et à son savoir-faire, elle avait non seulement élevé ses six enfants, mais pris en charge six orphelins dont elle s’était occupée avec dévouement. En dépit de ses « travaux forcés », elle était connue pour son contentement et son affabilité.
Alors que l’enquêteur s’informait des moyens qu’elle employait, étant seule, pour faire face à tout à la fois, elle dit :
—Oh, je ne suis pas seule, j’ai quelqu’un qui m’aide !
— Tiens, tout le monde me dit qu’on vous voit toujours seule ?
— Voici mon secret. Quand j’ai perdu mon mari, j’ai dit au Seigneur : ‘Si tu veux, Seigneur, moi je ferai le travail, et Toi, Tu t’occuperas des soucis et du tracas.’ Et je sais qu’il a accepté, car depuis, j’ai été en paix et je n’ai jamais eu à dénouer moi-même les difficultés !
Quel beau témoignage ! Dieu tient ses promesses. N’a-t-il pas dit : Je ne te délaisserai point et je ne t’abandonnerai point, Hébreux 13 :5.
Cela ne veut pas dire qu’il n’y aura pas de souffrances, mais qu’il donnera la force de les traverser avec confiance et même avec joie et actions de grâces.
5/21/2019 • 2 minutes, 9 seconds
Avertissements importuns !
William Burton, missionnaire au Zaïre, raconte ce qui s’est passé lorsqu’il reçut l’hospitalité dans un village de brousse. Cette nuit-là, il fut longtemps éveillé par de furieux aboiements. Il essaya bien de faire taire les chiens importuns, mais ce fut en vain. Le lendemain, comme il se plaignait aux villageois d’avoir été dérangé dans son sommeil, on lui apprit que des lions avaient voulu entrer dans le village. Leurs traces se voyaient jusqu’aux abords de la case où il avait dormi.
Quelque temps plus tard, en racontant cet incident, William ajoutait : « Les chiens avaient fait de leur mieux pour nous avertir du danger. Et moi, comme un insensé, j’essayais de les faire taire. Ainsi ceux-là mêmes qui nous reprochent de parler de l’enfer, nous remercieront peut-être un jour de notre importunité. Continuons donc à avertir ».
La Bible n’est pas d’abord un message de menace. Elle est la bonne nouvelle de la paix et de la vie que Dieu offre à tous ceux qui viennent à lui avec confiance en reconnaissant leurs fautes. Mais si nous refusons cette offre gratuite, nous connaîtrons le malheur et le regret éternels. L’important est de croire ce que Dieu dit dans la Bible, d’accepter la bonne nouvelle de paix que Jésus-Christ nous annonce. Reconnaissons notre état de perdition morale devant Dieu et recevons Jésus comme celui qui nous a cherchés et sauvés, parce qu’Il nous aimait. Alors il y aura des conséquences heureuses dans notre vie.
Voici, tu es pour eux comme un chant agréable, une belle voix, et quelqu’un qui joue bien ; et ils entendent tes paroles, mais ils ne les pratiquent nullement, Ezéchiel 33 : 32.
Prenez garde de ne pas refuser celui qui parle, Hébreux 12 : 25.
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5/20/2019 • 2 minutes, 59 seconds
Ne refusez pas la grâce de Dieu !
On raconte qu’une pauvre femme se trouvant dans de grandes difficultés pécuniaires eut la visite d’un homme bienveillant qui venait la voir pour lui venir en aide. Il frappa à sa porte, mais ne recevant pas de réponse, il en conclut qu’elle était absente et se retira. La rencontrant un peu plus tard, il lui parla de sa démarche et du désir qui l’avait inspirée.
-Oh ! dit-elle, c’était vous, Monsieur ? Comme je le regrette ! J’ai cru que c’était le propriétaire qui venait réclamer le loyer, et comme je n’avais pas la somme nécessaire, j’ai eu peur d’ouvrir la porte !
Des milliers d’hommes et de femmes aujourd’hui agissent à l’égard de Dieu comme cette femme vis-à-vis de celui qui voulait être son bienfaiteur. Ils pensent que lorsqu’il frappe à la porte de leur cœur, Dieu vient pour exiger quelque chose. Quelle erreur ! Il vient au contraire pour donner, et non pour réclamer le paiement de votre dette. Il vient pour vous délivrer de votre détresse et vous donner un héritage éternel.
Le Fils de l’homme est venu non pour être servi, mais pour servir et pour donner sa vie en rançon pour un grand nombre, Marc 10 : 45.
Il a souvent frappé à votre porte avec amour, il attend depuis longtemps. Ah ! Quel ami traiteriez-vous ainsi ?
Dieu met en évidence son amour à lui envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore pécheurs, Christ est mort pour nous, Romains 5 : 8.
Car Dieu a tant aimé le monde, qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle, Jean 3 : 16. Pourquoi suis-je venu et il n’y a eu personne ? Pourquoi ai-je appelé et il n’y a eu personne qui répondit ? N’y a-t-il pas de force en moi pour délivrer ? Esaïe 50 : 2.
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5/17/2019 • 3 minutes, 13 seconds
L’amour va au-delà !
L’amour va au-delà !
L’histoire est celle d’un couple de jeunes mariés qui paraissaient très amoureux l’un de l’autre. Un jour, l’état de la charmante épouse nécessita une intervention chirurgicale au visage. Après avoir examiné toutes les possibilités et envisagé toutes les conséquences, le couple se résolut à l’opération. Celle-ci se déroula parfaitement.
Après l’intervention, le visage de la jeune femme demeura bandé pendant plusieurs jours. Mais au cours de cette période, le médecin l’informa qu’une complication avait surgi. Il s’agissait d’une tumeur qu’on ne pouvait ôter qu’en sectionnant un nerf du visage.
Cette nouvelle opération allait la défigurer définitivement. Un côté de sa bouche allait être tiré littéralement vers le bas. En clair, elle ne serait plus aussi belle qu’elle avait été.
Naturellement, elle était accablée. Puis, elle s’inquiéta de savoir si son mari lui demeurerait attaché. Allait-il l’aimer encore ? Le jour vint d’enlever les bandages. La voix sécurisante de son médecin ne l’avait préparée qu’en partie à ce qui allait se passer.
Lorsqu’elle vit dans la glace sa bouche déformée, elle commença à pleurer et guetta anxieusement la réaction de son mari. C’est alors qu’elle sut pourquoi elle lui était si reconnaissante et qu’elle n’aurait jamais à douter de son amour.
Sa réaction fut d’une simplicité désarmante. Il la prit dans ses bras et dit : « Cela te donne un air plutôt sympa ! Ça me plaît. »
Voyez-vous, l’amour n’est pas le sentiment que l’on reçoit de quelqu’un. C’est le sentiment qu’on lui donne. Ce jeune époux avait certainement été attiré romantiquement par sa femme. Mais son amour allait bien au-delà de l’apparence extérieure. Il avait fait d’elle sa femme pour prendre soin d’elle et l’aimer. Rien ne pouvait changer cela.
L’amour couvre toutes les fautes, Proverbes 10 : 7-14.
5/16/2019 • 3 minutes, 3 seconds
L’enfant et la Bible !
Dès ton enfance tu connais les saintes lettres qui peuvent te rendre sage à salut par la foi en Jésus-Christ.2 Timothée 3 : 15.
Donnez de bonne heure la Bible à vos enfants sans prêter l’oreille à ceux qui prétendent que l’Écriture ne les concerne pas ou, en tout cas, dépasse leur entendement. C’est totalement inexact et le texte cité en exergue en est la preuve. L’un de mes amis, évangéliste comme moi, dut m’avouer :
— Quand j’étais jeune, j’éprouvais plus d’intérêt pour la Parole de Dieu que maintenant où je l’explique aux autres. J’avais l’impression de mieux la comprendre et de recevoir plus aisément son message. Elle me parlait beaucoup et me paraissait tellement plus vivante et précieuse pour moi.
Lors de mon activité dans le cadre de la « Ligue pour la lecture de la Bible », le plus beau courrier (et le plus touchant) que nous recevions relatif à la lecture de la Bible, provenait des plus jeunes. Quoi qu’il en soit, et en règle générale, les enfants qui fréquentent les saintes lettres sont gardés plus que les autres. Ils s’attachent plus tôt et plus profondément à leur Seigneur, et s’avèrent aussi être les meilleurs élèves aux enseignements bibliques… et pour cause ! Il faut se persuader qu’il n’y a pas de vie chrétienne solide sans contact permanent avec la Parole, qu’il s’agisse des grands comme des petits. Si vous aimez les vôtres et désirez les voir suivre de bonne heure le chemin de Dieu, confiez-leur la Bible. Imitez l’aïeule ou la mère de Timothée dans 2 Timothée 1 : 5; et 3 :14 -15, et vous ne le regretterez pas. Gardant le souvenir de la foi sincère qui est en toi, qui habita d’abord dans ton aïeule Loïs et dans ta mère Eunice, et qui, j’en suis persuadé, habite aussi en toi.
Toi, demeure dans les choses que tu as apprises, et reconnues certaines, sachant de qui tu les as apprises ; dès ton enfance, tu connais les saintes lettres, qui peuvent te rendre sage à salut par la foi en Jésus-Christ.
5/15/2019 • 3 minutes, 8 seconds
Odyssée d’une petite Hongroise
La barrière aux lignes rouges et blanches du poste de frontière de Hegeyeshalom venait d’être baissée. C’était le soir du dimanche 10 novembre. Sans pitié, les gardes refoulaient le fleuve de réfugiés, de femmes, d’enfants et de vieillards, qui, trop tard, s’étaient décidés à abandonner leur foyer et la terre qui les avait vus grandir pour affronter l’inconnu dans un pays étranger. Les chemins étaient boueux ; il pleuvait et neigeait ; l’atmosphère était grisâtre ; il y avait tant de désordre et tant de douleur que le froid en paraissait plus intense et cruel…
Soudain, on vit apparaître, dans les jambes des soldats, une minuscule petite fille qui, résolument, se frayait un chemin à travers la frontière. Elle passa aisément entre les barres rouges et blanches et continua sa marche sans s’arrêter. Toute trempée par la pluie, elle tenait sous son menton son petit poing bien fermé et tout bleui par le froid ; elle ne répondait à aucune question. Une infirmière de la Croix Rouge remarqua que, de son petit poing serré, sortait un petit bout de papier ; s’approchant de l’enfant, elle voulut lui prendre la main, mais tout effort fut inutile, la fillette résistait énergiquement. Alors l’infirmière la prit dans ses bras et l’enfant, sentant enfin la chaude affection d’un cœur aimant, ouvrit sa petite main et l’on put lire sur le billet qui s’en échappa :
« Cette enfant s’appelle Illonka, elle n’a pas trois ans. Nous, ses parents, sommes médecins à Györ ; nous ne pouvons abandonner nos blessés malades. Nous confions notre Illonka à la miséricorde de Dieu et à la bonté des hommes. »
Comment cette enfant a-t-elle pu franchir les 50 km qui séparent Györ de la frontière ? Jamais personne ne le saura. Personne ne saura non plus quel est l’instinct qui l’a poussée à sortir de cette multitude refoulée pour pénétrer en terre autrichienne.
L’explication de ce miracle se trouve sur le billet écrit par les parents d’Illonka : ils ont recommandé leur enfant à la miséricorde de Dieu !
5/14/2019 • 3 minutes, 20 seconds
Le monde va à sa perte !
Nos parents croyaient pour la plupart que leurs enfants seraient plus heureux et plus prospères qu’eux. Le progrès des sciences et des techniques permettrait une plus grande maîtrise de la nature. La prospérité future ferait oublier les souffrances du passé…
La conquête des énergies (vapeur, électricité, nucléaire) et les succès de la médecine ont fait naître en occident un grand orgueil et des espoirs démesurés. La recherche d’un monde meilleur a nourri les ambitions les plus nobles et les plus folles. La foi dans le progrès, chez les nations qui ont délaissé le christianisme, est devenue une sorte de religion laïque : demain, on fêterait l’extinction de la pauvreté, demain le progrès souverain conduirait à une planète illuminée par la Justice et la Liberté… Mais depuis une trentaine d’années, c’est la désillusion croissante. Et les parents se demandent avec inquiétude dans quel monde vont vivre leurs enfants !
Dieu a donné pour vocation à l’homme de gérer la terre… non pas égoïstement, mais pour Dieu et avec Lui. Nous pouvons profiter avec reconnaissance des progrès matériels, mais sobrement et en cherchant d’abord ce qui plaît au Seigneur.
La Bible nous montre que l’état moral du monde ira en empirant et que Dieu devra ôter le mal de la terre par de terribles jugements avant d’instaurer une ère de justice et de paix. Mais maintenant encore, le salut est offert à chacun. Non pas un salut lié à la prospérité matérielle, mais le bonheur de se savoir pardonné et aimé, d’avoir la paix avec Dieu par la foi en Jésus-Christ, et l’espérance d’être toujours avec lui au ciel.
Le jour du Seigneur vient comme un voleur dans la nuit. Quand ils diront : « Paix et sureté», alors une subite destruction viendra sur eux, 1 Thessaloniciens 5 : 2,3.
Moi je connais les pensées que je pense à votre égard, dit l’Eternel, pensées de paix et non de mal, pour vous donner un avenir et une espérance, Jérémie 29 : 11.
5/13/2019 • 3 minutes, 20 seconds
Le goût de l’excellence
En 1985-1986, les artisans qui ont réparé la statue de la Liberté à New York ont été impressionnés par sa qualité. Le célèbre sculpteur français Bartholdi qui l’avait construite n’avait rien laissé au hasard. Par exemple, il avait apporté beaucoup de soins aux détails de la couronne, à ses dentelures pointues et à la tête, alors que personne n’aperçoit le sommet de cette tête située à quelques 48 mètres de hauteur.
Amis chrétiens, il y a un domaine où nous devons rechercher l’excellence. C’est le domaine de la moralité, et cela, que l’on nous observe ou non. En effet, Dieu nous voit toujours et c’est pour Lui que nous vivons. Nous sommes ses témoins, nous devons refléter sa perfection morale, celle de Jésus-Christ ! Mais parfois, nous risquons d’être découragés dans ce combat moral pour le bien. Nous pensons peut-être : A quoi bon vivre différemment alors que les pressions sont de plus en plus fortes pour se conformer au grand nombre ? Pourquoi lutter pour se garder pur du mal et du mensonge alors que tant s’y laissent aller ? Pourquoi prendre une position courageuse si cela conduit à l’incompréhension… ?
Alors, pensons à d’autres chrétiens qui ont une vie combien plus difficile, confrontés à l’injustice ou à la persécution.
Regardez surtout à Jésus qui a enduré une telle contradiction de la part des pécheurs contre lui-même, afin que vous ne soyez pas abattus ni découragés dans vos âmes, Hébreux 12 : 3.
Il est notre seul modèle, celui qui nous guide et nous fortifie dans le chemin de la foi.
Tout ce qui est vrai, […] honorable, […] juste, […] pur, […] aimable, de bonne réputation, s’il y a quelque vertu digne d’éloge que cela occupe vos pensées […] faites-le, et le Dieu de paix sera avec vous, Philippiens 4 : 8-9.
L’homme noble se propose des choses nobles, et il se maintiendra par des choses nobles, Esaïe 32 : 8.
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5/10/2019 • 3 minutes, 14 seconds
Le moi et ses exigences
« Moi » est un petit mot de trois lettres, mais ce qu’il représente est énorme, solidement planté sur trois piliers qui s’appellent l’égoïsme, l’orgueil et la propre volonté. Le « moi » chez les autres est facile à identifier et nous le condamnons volontiers. Chrétiens, apprenons à le reconnaître chaque fois qu’il se manifeste chez nous et refusons ses exigences pour qu’il cède la place au Seigneur Jésus-Christ, à son amour et à ses droits.
Le portrait moral de l’homme des derniers temps est tracé par l’apôtre Paul avec une criante vérité dans 2 Timothée 3 : 2-7. Le premier trait mentionné est l’égoïsme, source de toutes les tristes tendances énumérées ensuite, telles que l’avarice, la vantardise,…
Combien il est humiliant, pour les chrétiens, de montrer si souvent cet affreux égoïsme, au lieu du vrai amour divin qui ne pense pas à soi et n’attend pas de réponse ou de contrepartie des autres ! Pas une seule fois, l’Ecriture ne laisse supposer que j’aie à attendre de mon prochain des manifestations d’amour ; par contre, elle m’exhorte à lui en témoigner moi-même. L’amour se met au service des autres, tandis que l’égoïsme veut être servi.
En Christ par contre, nous ne trouvons pas un acte, pas une parole, dictés par l’égoïsme. Le « moi »n’avait en lui aucune place. Imiter Jésus au lieu d’être occupé à moi-même, tel est le seul remède efficace à mon terrible égoïsme.
Tous cherchent leurs propres intérêts, Philippiens 2 : 21.
Les hommes seront égoïstes… 2 Timothée 3 : 2.
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5/9/2019 • 3 minutes, 25 seconds
Hors du puits par Sundar Singh
Alors qu’il parcourait le Tibet pour y annoncer l’évangile, Sundar Singh fut arrêté et condamné à mort. On le mena au bord d’un puits profond de dix mètres où l’on jetait habituellement les cadavres. Avec une grosse clef, on ouvrit la lourde porte qui fermait l’orifice, on cassa le bras gauche du prisonnier pour lui enlever toute possibilité de ressortir et enfin on le jeta dans cette horrible fosse. Il raconte : « Au fond de ce trou infect, sans manger et sans boire, la présence de mon Sauveur transforma pour moi en paradis ce lieu de ténèbres et de mort. Je pensais que Dieu allait me prendre à lui, mais, la nuit du troisième jour, j’entendis une clef tourner dans la serrure. Une voix me dit de saisir la corde qui m’était lancée. Je la saisis et me sentis doucement soulevé et déposé hors du puits. La porte se referma derrière moi et la clef tourna dans la serrure ».
Sundar, qui n’avait vu personne, rendit grâces à Dieu pour cette délivrance miraculeuse. Il recommença à prêcher dans les rues de la ville. Le gouverneur en fut informé. On vérifia la fermeture du puits. On s’assura que la seule clef qui ouvrait la fosse n’avait pas quitté la ceinture du responsable. Finalement, le gouverneur dit à Sundar : « Ton Dieu est un Dieu puissant. Il t’a délivré. Nous ne pouvons plus te faire de mal, mais va-t-en de notre pays ». Ils le chassèrent de leur territoire… comme autrefois, on avait chassé son Maître (Matthieu 8 : 34).
Des prophètes, qui par la foi subjuguèrent des royaumes, accomplirent la justice, obtinrent les choses promises, fermèrent la gueule des lions, éteignirent la force du feu, échappèrent au tranchant de l’épée, de faibles qu’ils étaient furent rendus vigoureux, devinrent forts dans la bataille, firent ployer les armées des étrangers, Hébreux 11 : 33-34.
5/8/2019 • 3 minutes, 6 seconds
Après la bataille !
Je n’ai jamais été un lâche, raconte un sous-officier, mais je ne pouvais me défaire d’une terreur affreuse de la mort. Sous le feu des grenades, j’avais devant mes hommes une attitude de fer, mais mon cœur était plein d’angoisse.
Au soir d’une rude journée de combats, je m’étais couché dans une grange, à demi-mort d’épuisement.
Tout à coup, j’entendis une voix qui venait du dehors. Quelqu’un priait : c’était un soldat mourant. Je sortis sans bruit de la grange et m’approchai. Il était étendu sur le dos, les mains jointes.
— Puis-je t’être utile ?
— Merci, j’ai tout ce qu’il me faut.
Je m’agenouillai près de lui, assez près pour n’être entendu de personne d’autre. Je lui dis :
— Pardonne-moi de troubler tes derniers moments, mais peux-tu me dire pourquoi tu n’as pas peur de la mort ? Elle me terrifie.
— Tu auras tout le secours que tu veux, répondit-il doucement. Là, dans mon sac, tu trouveras un livre, tu y trouveras Jésus.
Un râle… et ce chrétien entrait dans le repos.
Nous l’avons enseveli. Le livre qu’il m’a donné était un Nouveau Testament. Je l’ai lu avec beaucoup d’attention. Mon âme a trouvé ce qu’elle cherchait : la paix dans la connaissance de l’amour de Dieu. J’ai rencontré Jésus, le Fils de Dieu, mort pour moi. J’ai mis ma confiance en lui. La crainte de la mort m’a quitté pour toujours.
Elle a du prix aux yeux de l’Eternel, la mort de ceux qui l’aiment. Psaumes 116 : 15.
Il n’y a point d’autre Dieu que moi, je suis le seul Dieu juste et qui sauve. Tournez-vous vers moi, et vous serez sauvés, Esaïe 45 : 21-22.
5/7/2019 • 2 minutes, 57 seconds
Sauvé sans mentir
Les circonstances spéciales que créait l’occupation posaient bien des problèmes et en particulier celui de la conduite chrétienne. Le soir, en famille, nous envisagions les différentes situations qui pouvaient se présenter et cherchions quelle attitude nous aurions à prendre pour rester fidèles à l’enseignement biblique. La question qui préoccupait tout spécialement mes sœurs était ce qu’elles auraient à répondre au cas où des soldats allemands se présenteraient pour demander s’il y avait des jeunes gens dans la maison. Devraient-elles dire la vérité ou devraient-elles mentir pour sauver nos vies ? Nous n’étions pas toujours d’accord sur la réponse à donner. Maman était assise à côté de nous et attendait patiemment que nous ayons fini de discuter, puis elle ajoutait son opinion, qui ne variait jamais :
—La franchise est la meilleure des méthodes. Si vous êtes scrupuleusement honnêtes, vous êtes sûrs que le Seigneur est de votre côté. Ne croyez-vous pas, mes enfants, que c’est toujours la meilleure chose ?
Un jour, ma petite sœur était fort occupée à nettoyer les chambres au premier. Elle ouvrit la fenêtre pour secouer son torchon et aperçut tout à coup un groupe de soldats autour de notre maison tandis que d’autres, plus loin, allaient d’une porte à l’autre de chaque habitation.
—Pierre ! S’écria-t-elle en descendant l’escalier tout excitée, vite, cache-toi ! Les Allemands arrivent. Dépêche-toi, va à la cuisine !
Sous le plancher de notre petite cuisine, nous avions pratiqué un certain coin en prévision d’un danger imminent. Louise souleva les planches et m’aida à me faufiler dans ma cachette, puis arrangea de nouveau rapidement les planches, qu’elle recouvrit d’un long et épais tapis et remit la table avec sa nappe. Je me retirai le plus possible de l’ouverture et me tapis dans un coin ; ma tête était juste au-dessous de la table de la cuisine.
Clomp, clomp, clomp… Le bruit lourd des bottes ferrées des soldats résonnait sur le plancher au-dessus de moi. Je pensais que même si l’on ne disait rien, les battements de mon cœur étaient si violents qu’ils trahiraient ma présence. Une voix mâle demanda à ma sœur :
—Y a-t-il des jeunes gens ici ?
Nous y voilà : C’était la question sur laquelle nous n’étions jamais d’accord. Il y eut un instant de silence. Que répondrait-elle ? La vérité m’enverrait en prison et un « non » serait un mensonge. « Seigneur, donne-lui Ta sagesse ! », priai-je en moi-même.
—Oui, monsieur, j’entendis une voix enfantine et claire répondre. Il y en a un sous la table ! Puis Louise se mit à éclater de rire.
Le soldat souleva la nappe et regarda sous la table. Rien. Alors, tandis que Louise prenait un véritable fou rire, le soldat se retirait, tout confus qu’une folle petite fille se soit jouée de lui.
Recommande ton sort à l’Éternel, mets en Lui ta confiance et il agira, Psaumes 37:5.
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5/2/2019 • 4 minutes, 4 seconds
Courrier d’une vieille dame à sa banque !
Cher Monsieur,
Je vous écris pour vous remercier d’avoir refusé le chèque qui m’aurait permis de payer le plombier le mois dernier.
Selon mes calculs, trois nanosecondes se sont écoulées entre la présentation du chèque et l’arrivée sur mon compte des fonds nécessaires à son paiement. Je fais référence, évidemment, au dépôt mensuel automatique de ma pension, une procédure qui, je dois l’admettre, n’a cours que depuis 26 ans.
Il me faut d’ailleurs vous féliciter d’avoir saisi cette fugace occasion et débité mon compte des 30 euros de frais pour le désagrément causé à votre banque.
Ma gratitude est d’autant plus grande que cet incident m’a incitée à revoir la gestion de mes finances ; après tout, je n’ai QUE ÇA à faire.
A partir d'aujourd’hui, je passerai dix (10) fois par jour au guichet de votre agence (nous sommes voisins) et notamment à 11 h 50 et 16 h 50 pour retirer 2 euros ; je déposerai aussi des espèces (1 euro) et demanderai un reçu.
Je paierai TOUS mes achats (même ma baguette de pain) par chèque.
A ce propos, veuillez m’envoyer immédiatement cent (100) chéquiers.
Comme il m’arrive d’OUBLIER de signer certains chèques ou de noter des montants chiffres et lettres différents, je vous demanderai de faire très attention puisqu’il s’agirait d’une faute de votre part.
Bien entendu, je préviendrai mes commerçants et leur demanderai de faire une copie de mes chèques, avant de les porter.
Je vais interrompre TOUS mes prélèvements automatiques, je paierai par chèque.
TOUS mes courriers seront déposés à votre banque et adressés au directeur avec la mention « CONFIDENTIEL NE PAS OUVRIR ».
Je compte changer tous les mois ma signature légale : avec tous ces vols de chéquiers on n’est jamais assez prudent.
Dorénavant, si vous me téléphonez, vous entendrez :« Appuyez sur la touche étoile de votre téléphone ». Vous devrez choisir la langue 1, 2, 3 ou 4 (eh oui, à 86 ans, je parle 4 langues). Une fois la langue sélectionnée, vous devrez :
- taper 1 pour prendre rendez-vous avec moi ;
- taper 2 pour toute question concernant un retard de paiement ;
-taper 3 pour me laisser un message ;
-taper 4 pour me parler ;
-taper 5 pour retourner au menu principal et tout recommencer.
ENFIN, avant de me parler, vous entendrez une belle musique, chantée par moi (pas de droit SACEM) que vous connaissez sûrement et qui s’intitule : « Le petit bonhomme en mousse ».
Je vous souhaite une heureuse nouvelle année, et vous dis donc A DEMAIN.
Respectueusement,
Madame X
5/1/2019 • 3 minutes, 44 seconds
Être dans le ciel !
Adèle Kamm étant à l’agonie et sur le point de rendre l’âme, on lui fit une dernière piqûre de « Pantopon ». Elle reprit connaissance, mais laissa paraître un sentiment de regret, tant, disait-elle, les choses qu’elle avait aperçues étaient merveilleuses.
Ces derniers jours, je lisais dans une de ces revues à grand tirage du genre « Sélection », un récit bien émouvant et d’autant plus significatif qu’il était consigné dans cette revue. C’était l’histoire d’un médecin incrédule qui venait de voir mourir un enfant et qui assistait maintenant un homme jeune, père de famille, lequel venait aussi de trépasser à la suite d’une crise cardiaque.
Et ce médecin, au cœur généreux, pendant plus de deux heures s’évertua à ranimer ce mort. Or il y réussit, au moins pour quelques heures. L’épouse fut aussitôt appelée au chevet de ce ressuscité. Et le miraculé dit à sa compagne :
—Je suis persuadé que Dieu a permis ce retour pour que je te dise que, sans aucun doute possible, nous serons de nouveau réunis auprès de Lui.
Et comme il narrait au docteur les merveilles dont il avait été le témoin pendant ces deux heures, celui-ci lui demanda :
— Avez-vous eu souvent ces rêves au cours de votre vie ?
À quoi le malade répondit :
—J’ai eu souvent des rêves, mais cette fois ce n’était pas un rêve !
On ne dit pas si le médecin s’est rallié à la foi chrétienne, mais de tels récits, qu’on pourrait multiplier à l’infini, vont au-devant de notre conscience, ils suivent la ligne de notre espérance, et surtout ils entrent dans l’esprit de l’Évangile.
Vous qui pleurez sur le départ de vos bien-aimés ou qui redoutez pour vous-même l’heure suprême, levez les yeux et regardez vers les demeures de la maison du Père. Il n’y a pas d’autre consolation à vos larmes, mais celle-là suffit à tout.
L’apôtre Paul, dans sa deuxième épitre aux Corinthiens 12:4, nous parle d’un homme qui fut enlevé dans le paradis et qu’il y entendit des paroles merveilleuses.
5/1/2019 • 3 minutes, 4 seconds
Sauvé du suicide !
Je certifie, moi qui écris ces lignes, qu’un homme du Nord m’a tenu ce langage, à Paris, dans ce XVe arrondissement à un cinquième étage, alors que je faisais du colportage de porte en porte, un dimanche après-midi. C’était il y a dix ans. J’habitais avec ma femme et mes enfants rue Vaugirard.
J’étais malheureux en ménage ; le cafard m’avait pris. Alors j’avais décidé de me jeter dans le canal St Martin. J’ai demandé une permission à l’usine afin de quitter mon travail à 17 heures -on était en décembre-et je suis rentré chez moi. J’ai griffonné quelque chose pour ma femme à la cuisine, et me voilà dehors. Il était loin ce canal. J’ai pris le métro, l’affaire de vingt minutes. J’étais bien décidé, vous savez. Ça ne pouvait plus continuer.
Voilà qu’à l’arrêt suivant monte un homme comme il n’y en a pas beaucoup, âgé, voûté, une moustache de général de la guerre 39-40, une cape un peu verdâtre sur les épaules, un front comme le général de Gaulle, et des yeux bons, bons… Un quart d’heure il m’a regardé, là, simplement. Impossible de supporter ce regard. Ça pleuvait sur moi comme une lumière douce, douce et pénétrante. Rien que ça, sans un mot, je vous l’assure. Un regard. Tenez, je me rappelle que son chapeau noir était à l’envers, le nœud devant. Mais ça ne fait rien ; j’étais drôlement tourmenté. Tout à coup on a dit :
— Terminus… alors, vous ne descendez pas ? Mais descendez !
Je suis sorti sous la pluie et dans la nuit. L’homme avait disparu. J’ai marché, marché comme un fou, courbé en deux et brassant la boue. J’avais l’impression que ce regard d’homme me courait après. Là, dans les terrains vagues, je vis une église comme une ombre froide ! Ça a été plus fort que moi.
Je suis entré. À peine dedans, je me suis effondré sur les dalles au pied d’un mur de l’enceinte ! Je pleurais devant la lumière de ce regard bleu, le regard doux de cet homme inconnu. Le canal ne m’a pas vu, parce que je suis rentré, avant ma femme, heureusement. J’ai brûlé le papier, et je n’ai plus rien dit. Ma femme m’a trouvé couché. Mais cette nuit, mon pauvre monsieur, je m’en souviendrai longtemps. J’essayais de dormir, mais pas moyen ! Ce regard de lumière me poursuivait. J’ai cherché l’homme. Je disais :
— Vous n’avez pas vu cet homme grand avec une cape et des moustaches grises ?
On me répondait : — Non.
Un jour, je l’ai rencontré. C’était un lundi soir, dans la rue Pierre Bonté. Oui, c’était lui, sous la pluie, à 8 heures du soir. Avec des grands gestes de ses bras en croix, il invitait les passants à entrer dans une cour. Au fond de la cour, c’était son Foyer, je le connais maintenant, on pénétrait dans une grande salle éclairée. Encore de la lumière ! Je suis entré. Je me suis blotti là, au fond, du côté gauche.
Ah mon Dieu ! Des chants, des chants, et puis l’homme est monté sur l’estrade. Mon regard, pour le coup, s’est accroché à son visage. Il parlait, il lisait l’Évangile, il expliquait. Tout était pour moi, tout pour les candidats au suicide comme moi. J’ai encore pleuré, pleuré, puis ri. Oui, j’ai ri, parce que cette lumière, maintenant, je la sentais en moi comme un volume de joie dorée et chaude.
Après la réunion, j’ai foncé tout de suite sur lui, le pasteur. Il m’a regardé. J’ai tout raconté. Alors il m’a dit comme ça tout simplement : — Oui, je priais pour vous dans le métro, je priais pour vous. Voilà, monsieur, comment je suis devenu chrétien.
Ouvrons sur le monde nos deux yeux purifiés et notre cœur lavé, les vannes de la lumière et de l’amour de Dieu.
Tous connaîtront que vous êtes mes disciples, si vous avez de l’amour les uns pour les autres. Jean 13 :31-35.
4/30/2019 • 5 minutes, 11 seconds
Mon cher Seigneur Jésus !
Sundar Singh, chrétien indien fidèle à son Seigneur, visitait l’Angleterre. A l’université de Cambridge, un professeur d’étude comparée des religions lui demanda :
— Pouvez-vous m’expliquer ce que vous avez trouvé dans le christianisme que vous n’aviez pas dans votre ancienne religion ?
— Monsieur le professeur, j’ai trouvé mon cher Seigneur Jésus.
— Oh ! Oui, je comprends bien, poursuivit le professeur, mais quel principe, quelle nouvelle philosophie avez-vous découverts dans le christianisme ?
— Ce que j’ai trouvé, répéta Sundar, c’est mon cher Seigneur Jésus.
Encore aujourd’hui, certains comparent les religions :« finalement, toutes se ressemblent », se disent-ils. Profonde erreur ! Le christianisme est unique, même s’il a des points communs avec plusieurs religions, comme par exemple d’encourager les valeurs morales et d’affirmer l’existence d’un Dieu unique, Créateur, qui sera le Juge final de tous les hommes.
Mais le christianisme n’enseigne pas comme les autres religions ce que l’homme doit faire pour mériter d’être accepté par Dieu. Il annonce ce que Dieu a fait pour que l’homme puisse s’approcher de lui.
Il a donné son Fils unique, Jean 3 : 16.
C’est un acte unique dans l’histoire de l’humanité que la présentation d’un Sauveur pour tous les hommes, annoncé par les prophéties, donné par Dieu lui-même.
Pour moi, Christ est ma vie, Philippiens 1 : 21.
Jésus-Christ que vous aimez, quoique vous ne l’ayez pas vu, 1 Pierre 1 : 8.
4/29/2019 • 2 minutes, 57 seconds
Conduit par l’Esprit !
Il y a quelques années, à la sortie d’une conférence professionnelle, je fus saisi d’une véritable angoisse au sujet d’un collègue, jusqu’alors inconnu de moi, à qui je venais de serrer la main.
Point de repos pour moi jusqu’à ce que je me décide à prendre ma voiture pour aller chez lui ; mon collègue parut heureux de me voir et je ne dis mot de ce que j’avais ressenti, mais fut poussé à lui dire : « Je vous écrirai souvent. » Qu’avais-je fait ? Moi pour qui la correspondance était un cauchemar. Au moment d’écrire, je fus conduit vers une phrase soulignée dans ma bible et, chose extraordinaire, cela formait un tout cohérent. Après 6 mois de cette correspondance, Monsieur Pierre m’écrivit : « Merci pour vos lettres et votre affection qui m’ont aidées à trouver en Jésus mon Sauveur et mon libérateur. Mais je dois vous avouer que le jour de votre première visite, j’étais à bout : vous êtes arrivé juste à temps pour m’empêcher de me suicider. » Déjà le livre des Actes 8:26 nous parle de l’Esprit qui appelle Philippe et lui dit :
Lève-toi, et va du côté du midi […] il se leva, et partit.
Il est important que nous obéissions à ce que l’Esprit met dans notre cœur.
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4/26/2019 • 2 minutes, 9 seconds
La source des jeunes filles !
Dans la Rome antique, il y avait une source, dite "Fons puellarum", la source des jeunes filles. On pouvait la voir sortir de terre, se frayer un chemin, s’élargir, arriver finalement au Tibre. Mais, au cours des siècles, des tonnes d’ordures de toutes sortes sont venues recouvrir l’emplacement de la source qui finit par se boucher.
Il y a quelques années furent entreprises les fouilles des sites historiques de ce quartier de Rome. Couche après couche, les détritus entassés furent évacués. Pioches et pelles travaillaient en profondeur, lorsqu’un matin, un coup de pioche fit jaillir un jet d’eau pure comme du cristal. L’eau se mit alors à couler comme dans les jours d’autrefois.
N’y a-t-il pas là, peut-être, une analogie avec notre état spirituel ? Peu à peu, la source fraîche de la vie divine qui coulait à travers nous et rafraîchissait les autres n’a plus été qu’un filet d’eau intermittent, puis s’est tarie. Que s’est-il passé ? Comme des décombres, il s’est amassé en nous tellement de pensées impures, de tentations auxquelles nous n'avons pas résisté, que la vraie source n’a pu s’écouler. Mais par le Saint-Esprit agissant dans nos cœurs, nous pouvons nous libérer des déchets qui s’y sont accumulés. Par ce jugement de nous-mêmes, nous donnerons alors un nouveau passage à l’eau pure venant de la source divine.
Jésus se tenant debout, s’écria : si quelqu’un a soif, qu’il vienne à moi, et qu’il boive, Jean 7 : 37.
L’eau que je lui donnerai, deviendra en lui une source d’eau qui jaillira jusque dans la vie éternelle, Jean 4 : 14.
4/25/2019 • 2 minutes, 57 seconds
Luther et sa fille Madeleine : comme Dieu voudra !
Le troisième enfant de Luther, Madeleine, né le 4 mai 1529, mourut à l’âge de quatorze ans. Rien de plus touchant que la résignation du réformateur dans cette épreuve.
— Je l’aime beaucoup, disait-il près du lit de douleur de la chère enfant, mais si c’est ta volonté, ô mon Dieu, qu’elle nous soit ravie, je me réjouirai de la savoir auprès de toi. Madeleine, mon enfant, tu voudrais bien rester avec ton père ici-bas. Mais si ton Père d’en haut t’appelle, tu iras aussi avec joie, n’est-il pas vrai ?
—Oui, mon bon père, dit la mourante, ce sera comme Dieu voudra.
Se détournant du lit de la malade :
—Ah ! s’écria le père affligé, je l’aime beaucoup, je l’aime extrêmement, la chair est si faible !
Comme jésus Jésus alla avec eux dans un lieu appelé Gethsémané, et il dit aux disciples : Asseyez-vous ici, pendant que je m’éloignerai pour prier. Il prit avec lui Pierre et les deux fils de Zébédée, et il commença à éprouver de la tristesse et des angoisses.
Il leur dit alors : Mon âme est triste jusqu’à la mort ; restez ici, et veillez avec moi. Puis, ayant fait quelques pas en avant, il se jeta sur sa face, et pria ainsi : Mon Père, s’il est possible, que cette coupe s’éloigne de moi ! Toutefois, non pas ce que je veux, mais ce que tu veux.
Matthieu 26 : 36-39.
4/24/2019 • 1 minute, 51 seconds
Dieu m'a parlé !
Il y a encore peu d'années, en Union Soviétique, rares étaient les croyants qui possédaient une Bible. Les fidèles d'une église avaient prié à ce sujet. Un jour, un visiteur qui venait de l'Ouest arriva dans cette ville et remit une Bible au pasteur. Le dimanche suivant, quelle joie parmi ces croyants et quels remerciements à Dieu quand leur pasteur leur montra sa Bible ! Ils pouvaient enfin entendre lire la Parole de Dieu. Mais à la sortie du culte, nouvelle surprise : le pasteur distribua à chacun une page de cette Bible tant attendue. Il voulait partager son trésor pour que chacun puisse y trouver quelque chose de personnel.
Quelques jours plus tard, le pasteur rencontra un paroissien qui le salua avec un large sourire :
— Je suis très content de la page du prophète Jérémie que vous m'avez donnée, s'écrie-t-il.
— Vous l'avez trouvée encourageante ? demanda le pasteur ? Pourtant Jérémie n'a pas eu une vie facile. Il a été arrêté, battu, jeté dans une fosse et probablement tué en exil.
— Justement, cette page m'a fait du bien, parce qu'elle commence ainsi :"La parole de l’Éternel vint à Jérémie lorsqu'il était encore enfermé dans la cour de la prison..." (Jérémie 33, 1). Puisque Dieu en des temps si sombres s'est adressé à son prophète éprouvé, il peut également me parler, et c'est ce qui m'a fait tant de bien.
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4/19/2019 • 2 minutes, 41 seconds
À la résurrection, qu'en sera-t-il ?
À la résurrection, qu'en sera-t-il ?
La résurrection des morts est un domaine bien mystérieux, Comment sera notre nouveau corps ?
4/18/2019 • 1 minute, 51 seconds
Quadrichromie
L’impression d’une image en couleur se fait généralement selon un procédé qui s’appelle la quadrichromie. Ouvrez n’importe quel magazine. Une grosse loupe permettra peut-être de vérifier que les illustrations se composent en réalité de la superposition d’une multitude de petits points de couleurs dites primaires : jaune, rouge et bleu, auxquelles s’ajoute le noir. L’imprimeur s’est servi de quatre clichés du même sujet, obtenus à travers les filtres correspondants. Inégalement répartis et mélangés, ces points minuscules reconstituent le cliché original.
Cette technique nous aide à comprendre pourquoi le Saint-Esprit nous a donné quatre évangiles. Même dans les biographies humaines, nous remarquons cela. De deux auteurs différents qui racontent la vie d’une personne, l’un parlera davantage de sa vie familiale alors que l’autre présentera surtout son activité professionnelle. Et il nous faudra bien les deux ouvrages pour mieux cerner la personne décrite.
Que Jésus passe devant nous dans la dignité du Fils de Dieu (évangile de Jean) ou dans son humanité (Luc), qu’il nous soit présenté comme le Roi d’Israël (Matthieu), comme le Serviteur des multiples besoins des pécheurs (Marc), tout est toujours perfection et le lecteur terminant les récits évangéliques ne peut que s’écrier :
Tes témoignages sont merveilleux,Psaumes 119 : 129.
Cette diversité met en valeur la richesse de l’Ecriture et nous ne pouvons qu’y admirer la sagesse de Dieu.
La loi de l’Eternel est parfaite, restaurant l’âme ; les témoignages de l’Eternel sont sûrs, rendant sages les sots. Les ordonnances de l’Eternel sont droites, réjouissant le cœur, Psaumes 19 : 7-8.
4/17/2019 • 3 minutes, 3 seconds
Monde moderne !
Alexis Carrel (1873–1944), le célèbre chirurgien et physiologiste qui ouvrit la voie aux opérations à cœur ouvert, a écrit :
« On dirait que la vie moderne s’est engagée dans une impasse. L’intelligence, dans son développement égoïste, isolée du domaine spirituel, est une monstruosité. Sur l’arbre de la science, l’homme moderne a cueilli, pour la seconde fois, le fruit défendu. La difficulté vient de ce qu’il connaît les lois de la mécanique, de la physique, de la chimie ; mais qu’il ne se connaît pas lui-même. Il a donc créé un paradis qui ne lui convient pas, un monde dur, géométrique, technique ».
Ces réflexions sont plus que jamais actuelles : l’homme, qui a cru pouvoir se passer de Dieu, s’aperçoit qu’en lui-même subsiste un vide immense que rien ne peut combler. Il a voulu se libérer et il est tombé dans de nouvelles servitudes. La technique, le confort, les facilités, l’argent, les plaisirs, voilà ce qui l’enchaîne. On n’écarte pas Dieu de son chemin sans en subir les plus grands dommages.
Mais ce Dieu, dont on ne veut pas, est toujours là et il attend le pécheur repentant. Il faut que chacun reconnaisse sa culpabilité personnelle et la valeur du sacrifice de Jésus. On ne vient à Dieu qu’en passant par la croix.
Si donc le Fils vous affranchit, vous serez réellement libres, Jean 8 : 36.
Christ est mort pour tous, afin que ceux qui vivent ne vivent plus pour eux-mêmes, mais pour celui qui pour eux est mort et a été ressuscité, 2 Corinthiens 5 : 15.
4/16/2019 • 2 minutes, 53 seconds
Newton, personne !
On dit que le grand savant Newton, vrai chrétien, avait un collègue athée. Il le reçut un jour dans son cabinet de travail. Un globe s’y trouvait, sur lequel les constellations étaient fort bien représentées. C’était un vrai chef-d’œuvre.
Le visiteur fut frappé de la beauté de ce globe. Il l’examina de près, admira le travail. Puis se tournant vers Newton, il demanda :
— Qui a fait cela ?
— Personne ! Répondit le savant en souriant. Cela s’est fait tout seul !
L’incrédule comprit l’allusion et ne dit plus rien. Les insensés pensent : Dieu n’existe pas.
Dieu, du haut des cieux, regarde les fils de l’homme, Pour voir s’il y a quelqu’un qui soit intelligent, Qui cherche Dieu. Tous sont égarés, tous sont pervertis ; Il n’en est aucun qui fasse le bien, pas même un seul, Psaumes 53.
4/15/2019 • 1 minute, 51 seconds
Et ce fut : « Ben-Hur »
Lew Wallace, général anglais, au cours d’un voyage en train, rencontra le colonel Ingersoll, athée notoire.
Les deux hommes s’entretenaient du ridicule du christianisme et de toute forme de croyance religieuse.
— Mon cher Wallace, disait Ingersoll, avec votre intelligence et votre immense culture, je vous crois capable de réaliser un ouvrage qui sonne le glas et assène un coup de grâce à tout cet obscurantisme religieux qui retient nos semblables dans ses filets. Je suis assuré du succès d’un tel livre.
Wallace fut séduit par la proposition, et par la perspective d’atteindre la célébrité, mais ne voulant pas écrire n’importe quoi, il entreprit de faire des recherches sérieuses sur les sources des différentes croyances.
Comme dans son pays la foi chrétienne et biblique était la plus implantée, il s’attaqua au plus gros morceau : la Bible. Confiant en sa perspicacité et son esprit d’analyse, il ne doutait pas qu’il trouverait, dans la Bible elle-même, toutes les erreurs, contradictions et affabulations qui réduiraient à néant les croyances fondées sur ce « bouquin ». Il se mit au travail, lisant, étudiant, confrontant les textes.
Plus il avançait dans ses recherches, moins il trouvait d’arguments soutenant ses idées. Par contre, il en voyait de plus en plus qui plaidaient en faveur de l’authenticité des textes, de la réalité d’un Dieu vivant, et de la validité d’une foi vraie et active. Il finit par acquérir la conviction que Jésus était réellement le Fils de Dieu, venu pour lui pardonner son incrédulité, le réconcilier avec ce Dieu qu’il avait si longtemps nié. Par la repentance et la foi, il accepta Jésus comme Sauveur personnel et maître de sa (nouvelle) vie.
Et le livre prévu ? Il l’écrivit. Ce fut… « Ben-Hur », ce best-seller mondial, véritable plaidoyer en faveur de la Bible et de la foi en Jésus-Christ, qui en a convaincu plus d’un et d’une, partout dans le monde.
L’avez-vous lu ami ? Encore sceptique ? Si non, ce n’est pas grave. Vous trouverez dans la Bible, surtout dans les quatre Évangiles, tous les éléments que Wallace a développés en les romançant quelque peu, à condition que vous vouliez bien faire les investigations nécessaires. Mais… cela dépend de vous, et de vous seul.
Il m’a aussi semblé bon, après avoir fait des recherches exactes sur toutes ces choses depuis leur origine, de te les exposer par écrit d’une manière suivie, excellent Théophile, afin que tu reconnaisses la certitude des enseignements que tu as reçus, Luc 1 : 3-4.
4/12/2019 • 4 minutes, 3 seconds
Sucrée ou acide ?
Lors d’une conférence en faveur de l’athéisme, l’orateur invita tous ceux qui avaient des questions, à monter sur l’estrade. Au bout d’un moment, un ancien alcoolique bien connu dans la ville accepta le défi. Il vint tranquillement s’asseoir devant le public, puis il sortit une orange de sa poche, et lentement, il commença à l’éplucher. Agacé, le conférencier le pressa de poser sa question, mais l’autre, imperturbable, continuait à manger son orange. Une fois fini, il se leva, il jeta ses épluchures, et enfin posa sa question :
— Alors, mon orange, elle était sucrée ou acide ?
— Arrêtez vos pitreries, lui répondit l’orateur avec colère. Comment voulez-vous que je le sache ? Je n’y ai pas goûté !
L’ancien ivrogne se mit à rire, et il expliqua qu’il avait bien changé, qu’il ne buvait plus et cela grâce au Dieu que son interlocuteur essayait de nier. Il termina sa tirade par une simple question :
— Si vous ne connaissez pas le goût de mon orange, comment pouvez-vous savoir qui est Dieu, puisque vous refusez d’y goûter ?
J’ai cherché l’Éternel, et il m’a répondu ; il m’a délivré, Psaumes 34.
4/11/2019 • 2 minutes, 18 seconds
La chorale du Prince. Jean Sébastien Bach
Donnant une grande réception dans son château de Dresde, le Prince Électeur de Saxe voulait offrir à ses invités un divertissement de qualité : un récital du plus illustre musicien de l’époque.
Avec naturel et sans se laisser intimider par l’apparat qui l’entoure, le musicien s’assied devant le clavecin. Le prince, d’un signe discret, donne le signal du début. Un grand silence ! On attend une mélodie joyeuse, peut-être un air de danse.
Lentement, solennellement, un cantique retentit : « Voilà l’agneau de Dieu qui ôte le péché du monde ». Un coup de tonnerre n’aurait pas davantage secoué l’auditoire.
Le prince ému et ses invités recueillis sont très attentifs. Les accords remuent les cœurs. « Voilà l’Agneau de Dieu qui vient expier les péchés des coupables ». Et le choral se termine par cette parole prêtée au Sauveur des hommes : « Je veux souffrir ! C’est pour toi que je veux souffrir ! »
Le récital est terminé. Le compositeur baisse les yeux et garde le silence. Le prince saisit les deux mains de Jean-Sébastien Bach –car c’était lui– et glisse son anneau à l’un de ses doigts. Bach s’incline avec respect et dit : « Excellence, puissiez-vous ne jamais oublier le thème de ce choral. C’est le seul remerciement auquel je puisse prétendre ».
Le lendemain, Jean voit Jésus venant à lui et il dit :
Voilà l’agneau de Dieu qui ôte le péché du monde !Jean 1 : 29.
Vous avez été rachetés… par le sang précieux de Christ comme d’un agneau sans défaut et sans tâche,1 Pierre 1 : 18-19.
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4/10/2019 • 2 minutes, 52 seconds
La Bible, message de Dieu.
En 1968, près de Devon en Angleterre, on a retrouvé, au bord de la mer, une bouteille vert sombre, poisseuse et scellée. Elle contenait une lettre d’un marin à son frère, avec un plan soigneusement dessiné. Sur ce croquis, une petite marque repérait un trésor caché dans une cave. La bouteille avait été jetée par-dessus bord dans la mer Noire en 1843. La lettre est arrivée à destination 125 années plus tard.
La Bible est un peu comme cette bouteille. Elle voyage depuis bientôt 2000 ans pour sa partie la plus récente. Comme la bouteille, elle contient un message qui reste toujours actuel et universel. C’est le message de Dieu à l’homme, résumé dans ce verset :
Dieu a tant aimé le monde, qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle, Jean 3 : 16).
Est-il arrivé jusqu’à vous, ce merveilleux message ? Alors, lisez-le avec humilité, persévérance et sans préjugés. Demandez à Dieu de vous le faire comprendre. Vous y verrez clair pour reconnaître des barrières secrètes en vous qui vous empêchent de venir à Dieu, et surtout, le moyen d’en être délivré. Votre vie sera libérée du mal intérieur qui la ronge ; vous apprendrez à connaître et à aimer Celui qui remplit toute la Bible :
Le Seigneur Jésus lui-même. Il est le seul médiateur entre Dieu et les hommes, 1 Timothée 2 : 5. Il est le seul chef digne d’être suivi.
Sondez les Écritures […] ce sont elles qui rendent témoignage de moi, Jean 5 : 39.
Ma parole […] ne reviendra pas à moi sans effet, mais fera ce qui est mon plaisir et accomplira ce pour quoi je l’ai envoyée, Esaïe 55 : 11.
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4/9/2019 • 3 minutes, 18 seconds
Athée ou paresseux ?
Athée ou paresseux à nous de choisir !
4/8/2019 • 1 minute, 56 seconds
Civilisation fragile !
Une panne générale d’électricité paralyse une région pendant plusieurs heures : plus de lumière, ni de chauffage, ascenseurs en panne… Les conséquences risquent d’être graves… Les progrès des sciences et des techniques nous ont acquis un confort insoupçonné par nos ancêtres. Mais voilà que tout à coup, nous découvrons son extrême fragilité et, ceux qui réfléchissent se demandent bien ce que sera demain. Sans doute se trouve-t-il des gens assez imprudents pour prédire l’avenir et d’autres assez crédules pour les écouter.
Malgré de continuelles désillusions, la clientèle des astrologues, voyantes, mages, cartomanciennes, est bien assurée. Les hommes ont besoin de lumière et ils vont la chercher dans les endroits les plus ténébreux.
Pourtant la Bible est là, non pour nous annoncer tout ce qui doit se passer demain, ni dans les années à venir, mais tout ce que nous devons savoir pour nous conduire d’une manière digne de Dieu. Bien des prédictions de la Parole de Dieu se sont déjà accomplies. La venue du Christ était annoncée des centaines d’années avant sa naissance. Sa mort aussi a été décrite des siècles à l’avance. Il en est de même pour la miraculeuse conservation du peuple juif qui doit jouer encore un très grand rôle dans l’histoire du monde.
Nous remercions Dieu de nous avoir révélé ses plans admirables dans lesquels il donne libre cours à son immense miséricorde.
L’Eternel est Dieu, et il nous a donné la lumière, Psaumes 118 : 27.
Jésus […] dit : Moi, je suis la Lumière du monde, Jean 8 : 12.
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4/5/2019 • 2 minutes, 50 seconds
Dans les bras de son père !
Annette dormait dans son lit au premier étage, quand elle fut réveillée en pleine nuit par une sensation d’étouffement : une épaisse fumée avait envahi la chambre. Elle se rua vers la porte, mais l’escalier était en feu. Elle ouvrit la fenêtre et se pencha au dehors. Déjà, plusieurs voisins s’étaient rassemblés en bas de l’immeuble et la regardaient.
L’un d’eux s’avança et lui cria : « Saute, petite, saute, je vais t’attraper ! »
Non ! C’était très haut pour ses quatre ans, elle avait trop peur… et pourtant le feu menaçait maintenant le toit qui risquait à tout instant de s’effondrer. Déjà, la fumée lui piquait la gorge et les yeux, elle suffoquait et n’y voyait plus rien.
A ce moment crucial, elle entendit une voix connue qui criait :« Annette, ma chérie, je vais te recevoir dans mes bras, saute, vite ! »Oui, à son papa elle pouvait faire confiance ! Elle enjamba le rebord de la fenêtre et s’élança dans le vide. Une seconde plus tard, dans les bras de son papa, elle était en sécurité !
C’est cela la foi : une confiance totale, non pas dans un homme, mais dans quelqu’un qui est tout-puissant et veut nous sauver de la mort. La foi, ce n’est pas sauter dans le vide, c’est se jeter dans les bras d’un père qui nous aime, qui nous connaît et nous appelle par notre nom,Jean 10 : 3 : 14, 27-29.
Moi, je suis le bon berger, et je connais les miens et je suis connu des miens, comme le Père me connaît et moi je connais le Père ; et je laisse ma vie pour les brebis,Jean 10 : 14-15.
4/4/2019 • 2 minutes, 47 seconds
Trois genres d’athées !
Un magistrat, se trouvant un jour dans un grand repas, faisait parade de son incrédulité. Après avoir raillé une dame sur sa foi, il s’adressa au frère de la maîtresse de maison qui était jeune pasteur :
—Je suis convaincu qu’un homme aussi cultivé que vous ne peut que me donner raison. Sans doute, votre fonction vous force-t-elleà prêcher toutes ces vieilleries, c’est peut-être ce qu’il faut au peuple ignorant ; mais au fond du cœur, vous êtes de mon avis, n’est-ce pas ?
Avec un regard calme et scrutateur, le jeune pasteur répondit :
—Il y eut de tout temps des athées comme vous. On en distingue trois sortes : les premiers sont des philosophes, des penseurs qui ont cherché la vérité ; mais le problème leur a paru insoluble et ils ont dit : Il n’y a point de Dieu ! Est-ce là votre cas ?
—Pour ça non, dit le magistrat, rien n’est moins de mon goût que la philosophie.
—À d’autres époques, continua le pasteur, l’incrédulité a trouvé des adeptes parmi ceux qui veulent démolir tout ce qu’on tenait pour sacré ; la foule aveugle les croit sur parole et imite leur langage par mode, pour faire écho, malgré ce qui lui reste de foi. Êtes-vous de cette catégorie ?
—Non, dit le magistrat, je ne suis l’écho de personne.
—La troisième catégorie d’athées se compose de ceux qui, longtemps et sans scrupules, se sont abandonnés à leurs convoitises, s’enfonçant par plaisir dans les souillures du péché. Un jour, Dieu secoue leur conscience ; alors ils cherchent à étouffer la voix intérieure pour n’avoir rien à craindre de la mort. Ils voudraient nier Dieu, pour échapper au jugement dernier.
Le pasteur n’eut pas besoin de demander si c’était là le cas du moqueur. Les yeux de tous étaient fixés sur lui. Sa face rougie par l’intempérance et son silence répondirent suffisamment.
Comme ils ne se sont pas souciés de connaître Dieu, Dieu les a livrés à leur sens réprouvé. Romains 1 :28-32.
4/3/2019 • 3 minutes, 13 seconds
Une confiance éclairée John Bunyan.
En 1660, John Bunyan, l’auteur du livre Le voyage du Pèlerin, fut arrêté pour avoir prêché l’évangile. Un de ses amis chrétiens s’étonnait devant sa femme que son mari, un citoyen irréprochable, fût emprisonné alors que tant de mauvais sujets étaient en liberté. Cela le dépassait.
« Cela vous dépasse, répondit cette femme de foi. Pour moi, il n’y a pas de problème. Quand vous confiez un travail à un de vos ouvriers, est-ce que vous lui expliquez toujours quelles sont vos intentions ? Sans doute pas. Vous vous attendez à ce qu’il obéisse sans discussion. Il doit se douter que vous avez vos raisons. Alors, le Seigneur ne peut-il pas, lui aussi, garder ses raisons pour lui ? D’ailleurs, est-ce que nous pourrions toujours les comprendre ? »
Certes Dieu ne tient pas ses enfants dans une complète ignorance ; il aime leur faire partager ses pensées. Mais ce qu’il désire d’abord c’est que les siens apprennent à le connaître. S’il est connu, ses actes seront compris le moment venu. Dieu est infiniment sage et il nous aime. C’est avec confiance que nous pouvons nous remettre entre ses mains.
Comme cet ami de Bunyan l’a été, nous sommes aussi confondus par une telle attitude de confiance. Que de fois nous interrogeons-nous à propos de ce que Dieu permet !
Avec quelle facilité nous serions prêts à lui demander des comptes ! Ces attitudes sont-elles autre chose que de la méfiance et de l’incrédulité ?
Sur Dieu seul mon âme se repose paisiblement ; de lui vient mon salut, Psaumes 62 : 1.
4/2/2019 • 2 minutes, 44 seconds
Celui dont le nom ne parut pas !
L'évangéliste Peter James fit une promenade et rencontra un homme qui lui posa une question : prouvez-moi que celui qui ne croit pas en Dieu est un sot comme vous vous êtes engagé hier soir à l'église ?
Confrontation entre un "athée " et le pasteur James !
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4/1/2019 • 3 minutes, 6 seconds
Talleyrand, c’est tout simple !
Quelqu’un disait un jour à Talleyrand, évêque d’Autun, président de l’Assemblée nationale sous la Révolution, ministre et diplomate sous différents régimes par la suite, l’un des hommes les plus astucieux qui ait jamais existé :
—Quelle difficulté y aurait-il à fonder une religion similaire à la religion chrétienne ?
—Aucune, répondit Talleyrand, il suffirait de se laisser crucifier et de ressusciter le troisième jour !
Dieu l’a ressuscité le troisième jour, et il a permis qu’il apparaisse, Actes 10:34-48.
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3/29/2019 • 2 minutes, 24 seconds
La mort fardée
Au Moyen-âge, on peignait la mort comme un faucheur squelettique au rictus effrayant. Aujourd’hui, la littérature la présente plutôt sous des abords agréables. Plus de ricanement sinistre, au contraire, c’est l’apaisement et l’oubli.
Qui faut-il croire ? La Bible est là pour rappeler ce que Dieu a déclaré à l’homme pécheur : Tu mourras certainement, Genèse 2. 17. Et après la mort, le jugement, autrement dit, la comparution dans la lumière divine qui sera comme un projecteur braqué sur toutes nos fautes, sur tout ce que je voudrais cacher et engloutir à jamais dans le néant, avec moi.
Les philosophes imaginent la réincarnation, mais la Bible affirme :
Il est réservé aux hommes de mourir une seule fois. Hébreux 9 : 27
D’autres prétendent qu’après, il n’y a plus rien, et c’est, en fait, pour fuir la réalité. La musique moderne ensorcelle les jeunes et présente la mort comme une délivrance ; les suicides d’adolescents montrent que le piège du diable fonctionne bien.
Non, la mort n’est pas l’anéantissement. L’homme a une âme qui ne peut disparaître : c’est le souffle de Dieu ; de plus, il en est responsable ! Il faudra rendre compte. Qu’aurons-nous fait de la vie que Dieu nous a prêtée ?
L’aurons-nous vécue pour satisfaire nos désirs égoïstes ou pour glorifier Dieu en acceptant Jésus comme notre Sauveur et notre Seigneur ?
Il est réservé aux hommes de mourir une seule fois après quoi vient le jugement, Hébreux 9 : 27.
Le salaire du péché, c’est la mort ; mais le don gratuit de Dieu, c’est la vie éternelle en Jésus-Christ, notre Seigneur, Romains 6 : 23.
3/28/2019 • 2 minutes, 57 seconds
Qui sont les invités ?
Un notable organise un grand dîner auquel, avec diverses mauvaises excuses, les invités ne se rendent pas. Irrité, il envoie son serviteur chercher, dans les rues et les ruelles de la ville, les pauvres, les estropiés, les aveugles (Luc 14. 21).Jésus illustre par cette parabole l’invitation qui est faite à tous d’entrer un jour dans le royaume de Dieu.
Mais qui sont ces invités de la dernière heure ? Ceux qui portent un fardeau secret et contraignant, ceux qui se sentent étrangers parmi les autres, que l’on qualifie souvent de« marginaux » ou « d’épaves ». Et moi, qu’étais-je quand Dieu m’a trouvé ? N’étais-je pas d’une certaine manière une épave ? Le Maître prend soin de ces marginaux que nous avons tant de peine à accueillir. Serions-nous plus sélectifs que Dieu lui-même, nous qui avons l’immense bonheur de Le connaître ?
Le chemin le plus court pour aller vers celui qui souffre passe par le Christ, a écrit quelqu’un. Et c’est par ce chemin qu’en tant que chrétien nous pouvons tendre la main à ceux qui n’ont rien, en leur montrant que Dieu est le grand port où viennent s’abriter les épaves du monde.
N’oublions pas que, selon l’Evangile, Jésus reçoit aussi les pauvres et les malmenés de la vie dont Il s’est approché en venant sur terre prendre la dernière place.
Mettez la parole en pratique, et ne l’écoutez pas seulement, vous séduisant vous-mêmes, Jacques 1 : 22.
Ecoutez, mes frères bien-aimés : Dieu n’a-t-il pas choisi les pauvres aux yeux du monde, pour qu’ils soient riches en la foi, et héritiers du royaume qu’il a promis à ceux qui l’aiment ? Jacques 2: 5
3/27/2019 • 3 minutes
Un jour, il faut choisir ...
Quand j'avais 19 ans, mon professeur de philosophie demanda un volontaire pour faire une thèse sur la non-existence de Dieu. Pour moi, c’était l'occasion de me libérer de mon éducation chrétienne...