Denis Fayolle, c'est un acteur emblématique de l’écosystème tech en France, et pour le moins actifs puisqu'il a été fondateur de 17 startups depuis plus de 20 ans. Son premier succès il l'a connu avec La Fourchette, revendu à Tripadvisor pour 150m€. Suite à cette aventure, Denis a décidé de se consacrer aux premières phases de la vie d’une startup, et a fondé plus de 17 startups comme, Habiteo, Singulart ou Manawa mais aussi investi dans d’autres comme ManoMano. Dans cet épisode: - Denis nous parle des ses deux premières startups et comment l'échec a façonné son parcours et l'a aidé pour la Fourchette - L'histoire de La Fourchette, et notamment la phase d'hyper croissance après l'investissement d'Otium où la startup est passé de 200k à 2m de réservations par mois - Comment il a progressivement découvert que ce qui lui plaisait le plus c'était la phase de création et comment il a itéré pour arriver au modèle actuel où il lance une startup par an - Denis nous raconte comment il sélectionne ses co-fondateurs et ce qu'il chercher comme qualités chez eux. Particularité, Denis cherche d'abord une associé féminine - Denis s'est spécialisé sur la marketplace d'abord B2C puis B2B et il nous donne ses tips pour lancer un business de marketplace - Enfin quels sont les erreurs les plus communes qui tuent une startup, Denis en a arrêté 8 donc il nous expliquera les raisons.

- La proposition de valeur de Matera pour mieux gérer votre copropriété - Monter une boîte dans un secteur oligopolistique et régulé - Raphaël donne des conseils pour naviguer dans un marché dominé par quelques acteurs qui ont de forts liens politiques et mettent de la pression sur les nouvelles sociétés qui innovent sur leur marché - Faire du lobbying quand on est une startup avec des conseils concrets - Ornikar, Swile, les startups dans le secteur de la santé,... que mettre en place en termes d'organisation tôt quand on est une startup sur un marché régulé ? Opportunité ou compliqué ? - La roadmap produit de Matera avec le lancement d'un compte de paiement (#fintech) - La croissance, l'évolution du produit, l'internationalisation : les trois gros sujets pour une Series B réussie. Comment prioriser ? - Les codes de marché sur le SaaS : quel niveau d'ARR pour quelle levée de fonds ? - Se développer organiquement ou en faisant des acquisitions ?

Thomas Rebaud est un OVNI! Que ça soit en sport, dans la vie ou dans les affaires, il fait tout à 200 à l'heure. Dans cet épisode de Funding Crush, j'ai le plaisir d'interviewer celui qui à ce jour a levé le plus gros tour de table d'une startup française, une Series D de 230m$. Thomas nous donne ses meilleurs tips pour bien lever et appréhender au mieux cet exercice bien particulier. Puis on parle B2B marketplace, ce business model qui fait beaucoup parler de lui récemment et qui a donné lieu à de très beaux succès en Europe. - Toutes ses levées de fonds, Thomas les a préparé avec beaucoup de minutie, passant un temps  important sur le deck et le storytelling. Cela lui a permis d'aller chercher toujours +20-30% par rapport à ce que ses métriques lui autorisaient. - Les ingrédients d'un bon pitch: 1) des chiffres alléchants 2) un marché gros et prometteur 3) une tech différentiante - Gérer le process de levée: rester maître de son timing, énoncer clairement ses conditions et inverser le rapport de force avec les VCs - Choisir ses investisseurs: du Seed à la Series D, le fit investisseur passe avant la brand du fonds de très loin. Pour les tours pré-IPO et IPO, la brand est  à privilégier. - B2B marketplace: Après une première phase où il s'agit d'apporter de la liquidité entre supply-demand, Meero a renforcé la valeur apportée à la supply en apportant plus de services: un logiciel pour gérer leurs factures et droit à l’image, des cours en ligne - Croissance drivée par la demande: Meero a signé des marketplaces digitales dans la food et l'hospitalité et qui ont porté sa croissance et l'ont emmené à l'international. Meero ouvre chaque nouveau pays avec un gros contrat puis va acquérir des photographes. Le but est toujours assurer un minimum de commande aux photographes. - Comment le Covid a durement impacté Meero en 2020 et les plans pour se relancer en 2021.

- Comment placer 50,000 euros qu'on a réussi à économiser et qui dort sur notre compte en banque ? - Yoann Lopez, fondateur de la newsletter Snowball qui vous aide à placer votre argent avec des conseils sous forme d'email (1 par semaine) - Snowball aujourd'hui : 7,500 inscrits, 95,000 $ de revenus annuels récurrents générés en 9 mois - Le business de la newsletter payante: n revient sur la création de l'audience initiale, l'acquisition des utilisateurs, le modèle économique d'une newsletter payante et ce que Yoann veut en faire - Son premier canal d'acquisition : Linkedin - Pourquoi les particuliers français investissent très peu en bourse - Investir son capital : comment s'y mettre, les outils à utiliser, les sources d'information, les stratégies qu'il est possible de mettre en place sur le long terme. - La diversification de ses investissements, qu'est ce que c'est ? - Quelques sociétés cotées en bourse que Yoann nous conseille de suivre sur l'année 2021 (TSMC à Taïwan, LVMH en France, Poshmark aux US...) - Le vocabulaire à connaître et quelques définitions avant de se mettre à investir ses premiers 500€ ! - La valeur de l'argent aujourd'hui

Aujourd'hui on reçoit Henri Capoul à l'occasion de la sortie de Cajoo, un service de livraison de course à domicile en moins de 15 minutes. Pour lancer Cajoo, Henri a levé un tour de table de €6m auprès de Frst et Xange, un montant record pour un Seed en France, et tout ceci en moins de 2 semaines. Dans cet épisode, on revient sur la genèse de l'idée, comment Cajoo transforme le retail traditionnel, et l'excitation en Europe sur ces derniers mois autour de ce modèle économique. - On revient sur l'expérience de Henri en tant que General Manager de Bolt en France: comment évoluer dans un marché très concurrentiel, avec une exécution opérationelle  complexe. - L'avantage du modèle Cajoo: tous les produits du quotidien accessible depuis une app, au prix du retail avec une livraison à la demande pour moins de 2€. Comment cet offre peut transformer l'expérience consommateur. - Le modèle économique sous-jacent pour livrer en 15 minutes. Cajoo gère tout depuis les achats de marchandises, jusqu'au mini entrepôts et à la livraison. Ces mini-entrepôts sont disséminés de telle sorte à mailler la ville. - Fin Novembre, ils tombent sur la dernière levée de fonds de GoPuff et réfléchissent à  adapter le modèle de la livraison on-demand en France. Ils commencent leur levée de fonds en Décembre et bouclent avant Noël un tour de €6m avec Xange, Frst et beaucoup d'angels réputés. - Qu'est ce qui a poussé les VCs a investir autant d'argent dans ce modèle? Le Covid a fortement accéléré l'émergence de concurrents en Europe, et le marché français restait encore à prendre. - Les prochains mois pour Cajoo vont être intense et ils recrutent à tous les postes.

Dans cet épisode Funding Crush, Firmin Zocchetto, CEO de Payfit revient sur le remote forcée par le Covid, et comment Payfit a repensé son organisation du travail en adoptant une nouvelle politique "Work from Anywhere". On discute aussi productivité, ou comment Firmin reste maître de son temps et de coaching, aide extérieur indispensable pour progresser. Enfin on parle d'internationalisation puisqu'aujourd'hui Payfit est présent dans 5 pays (France, UK, Allemagne, Italie, Espagne) et a plus de 1000 clients à l'étranger. - Comment le Covid a chamboulé les plans 2020 de Payfit et a amené a repensé l'organisation du travail. - "Work from Anywhere", les employés de Payfit ont la liberté de travailler d'où ils le souhaitent, même si Payfit garde ses bureaux. Chacun choisit en fonction de ses préférences et contraintes. On aborde les avantages (gain de productivité, recruter des talents où qu'ils se trouvent) et les challenges de cette nouvelle culture (possible perte du lien social et de la culture d'entreprise). - L'évolution du rôle de CEO depuis les débuts à 3 jusqu'à 500 personnes aujourd'hui. "Mon rôle change tous les 3 mois" dixit Firmin. - On parle productivité et maitrise de son temps. Firmin définit le temps qu'il doit passer sur chaque problématique et traque son agenda pour être sûr de passer son temps sur les sujets importants. - Le rôle des coachs pour monter en compétence sur certains sujets et apprendre à mieux se connaitre. - Comment Payfit s'organise à l'international avec une autonomie donnée aux country managers de chaque pays qui forment leurs propres équipes mais avec des managers transverses en France qui s'assurent d'une cohérence globale et d'un partage de connaissance. Ce que Payfit a déjà réalisé à l'international en lançant 5 pays et l'ambition pour les prochaines années.

- Nicolas d'Audiffret revient sur son parcours (A Little Market racheté par Etsy) et les raisons qui l'ont poussé à lancer Ankorstore : aider les marques et les petits commerçants à se trouver ! - Amazon versus le commerce indépendant : Ankorstore construit les outils qui vont permettre aux petits commerçants de lutter contre Amazon - Trouver le Product Market Fit sur une marketplace : comment on a structuré les premiers mois chez Ankorstore pour trouver notre marché (NPS, satisfaction client, culture du feedback) - L'ambition européenne dès le premier jour : ne pas reproduire les erreurs faites sur leur première startup - L'opportunité d'Ankorstore par rapport au concurrent US Faire.com a levé 400m€ - Les forces du business model et de l'effet de réseau / network effect dans une marketplace comme Ankorstore - Pourquoi il faut investir pendant une crise. Le covid : 90% de perte de CA du jour au lendemain et ils ont pourtant décidé d'investir à fond pendant le 1er confinement, ce qui leur a permis d'exploser post-confinement. - La levée de fonds de 25m€ : Ankorstore a récolté un record de 9 term sheet de VCs. Comment ils ont géré leur process et choisi Index Ventures. - Les objectifs pour 2021

- Deux parties dans ce podcast :  1/ la cession de Shine à la Société Générale pour 100 millions de $   2/ la mise en place de politiques RSE en startup - Le choix entre une nouvelle levée de fonds (20 millions d'euros) ou de se revendre à la SG qui avait déjà tenté de racheter Shine par le passé - La différence dans le process entre une levée de fonds et une cession - Toutes les étapes des premières discussions au rachat final - La suite pour Shine avec la SG - Shine a été particulièrement avancé sur les sujets RSE par rapport à ce qu'on voit habituellement en startup : les conseils de Nicolas pour créer une entreprise responsable - Nous discutons aussi du lien entre initiatives RSE et performance économique / financière - Quelques actions concrètes que n'importe quel entrepreneur peut mettre en place dès demain : bilan carbone, B-Corp, 0 déchet, Parental Act,...

- Pennylane, le logiciel de comptabilité nouvelle génération, lève 15m€ et évolue d'un modèle lourd opérationnellement à un modèle de plus en plus logiciel - On revient sur 2020 pour Pennylane : immatriculé le 15 janvier 2020, levée de fonds de 4m€ le 30 janvier 2020 et Series A de 15m€ sur la même année en décembre 2020 - Les premiers mois de Pennylane : premiers salariés recrutés et premiers clients signés. - Les marges d'une offre Service versus une offre SaaS : quelle stratégie pour lever des fonds et être une société scalable et rentable sur le long terme ? - La vision de Pennylane et l'organisation de la boîte et du produit pour accomplir cette mission. - Comment on challenge son modèle pour prioriser les bons sujets stratégiques ? - La différenciation de Pennylane versus les outils existants - Comment on décide ce qu'on priorise dans une roadmap produit ? - Partenariat produit (Qonto, Libeo, Swan, Bankin, Agicap, etc.) versus Build, la construction de fonctionnalités en interne - Comment penser l'international après avoir levé 15m€ et sur un marché qui nécessite de grosses adaptations locales - 2020 : l'année où l'on a montré qu'il y avait un besoin (atteindre les 100,000€ de revenus récurrents mensuels). 2021 : l'année où l'on veut montrer qu'il y a beaucoup d'usage sur Pennylane - Ce que les investisseurs de Series A regardent avec le plus d'attention - Comment on apprend le plus possible et le plus vite possible de ses clients pour créer des "feedbacks loops" pertinentes et aller vite sur son marché - Comment Pennylane devient une marque malgré un ADN d'équipe très tech : stratégie marketing et RP pour suivre les traces de Swile ou d'Alan

Attention exclusivité Funding Crush puisque pour la première fois on a l'occasion d'écouter Olivier Pomel, CEO de Datadog, sur un podcast en Français! Datadog est, à ce jour, la plus grosse entreprise tech fondée et dirigée par un Français avec une valorisation affichée au Nasdaq à plus de 30 milliards de dollars, et une croissance phénoménale. Dans cet épisode on évoque: - Le problème initial que Datadog résout: réconcilier les équipes de développement avec les équipes IT en charge de maintenir les applications en misant sur le cloud qui n'en est alors qu'à ses débuts. - Une stratégie plateforme: les clients peuvent développer eux-mêmes sur Datadog les applications dont ils ont besoin, et Datadog s'en inspire pour créer sa propre roadmap produit. - Être  Excel plutôt que SAP: Datadog doit s'appréhender très rapidement tout en permettant  de construire des applications très poussées. L'installation doit se faire en 5 minutes, le développeur doit comprendre la valeur au bout de 1h et Datadog doit pouvoir être déployé à l'échelle d'un groupe en 1 semaine. - Les difficultés de financement les premières années alors que l'enterprise software n'a pas la cote sur la côte Est des US. - Pourquoi faire une IPO ? L'accès à un financement beaucoup plus important très rapidement, fournir de la liquidité aux employés, faire des acquisitions. - Ce qui change quand on est une entreprise publique: les relations avec les investisseurs sont beaucoup plus normées, on ne maitrise pas la volatilité court terme du cours de bourse mais on a un impact sur le long terme. - La préparation de l'IPO: avoir un CFO expérimenté et comment définir le bon pricing. - Comment s'explique la performance exceptionnelle de Datadog durant cette année Covid avec une capitalisation boursière multiplier par 3 en 1 an.

Ça n'est pas tous les jours qu'on peut avoir autant de détails sur l'exit d'une startup! Dans cet épisode exceptionnel, Sébastien de Lafond, co-fondateur et CEO de MeilleursAgents, nous livre tous ses secrets pour réussir son exit et raconte en détails les dessous de l'exit de €200m à Axel Springer, groupe média allemand. On évoque: - L'importance de préparer son exit très en amont. Dès 2009, Sébastien tisse des relations avec les acheteurs potentiels et réfléchit aux différentes options d'exit. - Dès 2017, il sait qu'il devra fournir de la liquidité à ses investisseurs de la première heure dont Alven, et il dissémine donc des informations clés pour créer de l'excitation autour du deal. - Son choix fort de ne pas laisser entrer des acteurs industriels qui poussaient pour investir plus tôt. - Pourquoi il choisit la banque d'affaire Jefferies pour l'accompagner et qui touchera €4m sur le deal. - Dual track: deux sorties possibles entre une vente partielle à un acteur de PE et une sortie  totale à un acteur stratégique industriel, et comment naviguer entre ces 2 voies. - Les premières offres très basses et comment sa relation personnelle avec Andreas Wille, numéro 2 de Axel Springer, a permis de rattraper le deal et obtenir une offre beaucoup plus importante. - Les due diligences et les négociations très dures jusqu'à la signature. - L'intégration de MeilleursAgents au sein de Axel Springer. - Enfin, Sébastien nous parle des son nouveau projet en fin de podcast :)

Il n'y a pas que les entrepreneurs qui lèvent des fonds ! Elina de Gaia et Pierre de Frst parlent sans tabou de leur levée de fonds de VC. - Comment on monte un fonds de Venture Capital from scratch ? - Plein de détails et d’anecdotes sur le process de levée de fonds pour des VC - Ce qui est arrivé à Frst la veille du closing de son fonds et comment ils s’en sont tirés ! - Les meilleurs et les pires conseils pour lever son fonds de VC - Choisir son équipe de départ - Les apprentissages étonnants du process de levée de fonds - Les « emerging managers », être trentenaire dans le monde du VC - On parle du Seed avec Pierre et du Growth avec Elina - Enfin on discute aussi de la mise en place des politiques ESG / CSR quand on monte un fonds et dans sa stratégie d’investissement

- Deux parties dans ce podcast : la series A avec un des meilleurs fonds américains (Greylock) et des conseils sur le recrutement de postes stratégiques. - La création et la mission de Sqreen : démocratiser la sécurité - Les premiers pas de Sqreen, la première levée avec P9 et Alven et là où ils en sont aujourd’hui - Des détails hyper intéressants sur le choix de faire le Y Combinator après avoir levé plusieurs millions d’euros et la réalisation d’une des plus belles levées de leur batch à la fin du YC - La mentalité des fonds basés dans la Silicon Valley et comment Pierre a structuré son process de levée - Maximiser les « data points » pour pouvoir suivre son « gut feeling » le mieux possible - Les recrutements clés de Sqreen qui ont permis de prendre des tournants importants : « il n’y a pas une personne sur une équipe de 10 personnes qui n’est pas clé sur les 15 premiers mois de l’aventure » - Les cabinets de chasseurs de tête et l’importance de bien les choisir - Ce que veut dire le « No Agenda »

Aujourd'hui on accueille, Alexandre Prot, co-fondateur et co-CEO de Qonto, la néo-banque pour les PMEs et les entrepreneurs, qui compte 120000 clients en Europe et a levé en tout €136m d'euros. Dans cette épisode, Alexandre nous parle: De la mission de Qonto de simplifier l'expérience bancaire et la finance des PMEs. De la rencontre avec Steve Anavi, avec qui ils en sont à leur deuxième entreprise ensemble, et du rôle particulier de co-CEO. De la stratégie de se lancer au début avec un partenaire Treezor, avant de développer eux-mêmes leur propre core banking system. De la vision plateforme de Qonto d'aggréger tout un ensemble de services financiers sur le produit Qonto. Comment une néo-banque gagne de l'argent: abonnement, interchange, et partenariat. Pourquoi les Fintech fonctionnent si bien en Europe et pourquoi l'Europe est peut-être un meilleur marché que les US. Le dernier tour de table avec Tencent et DST qui font rentrer Qonto dans le cercle fermé des Fintech qui comptent à l'échelle mondial.

- Le rôle de Romain depuis 8 ans : le seul Français à écrire pour le plus gros média tech américain, TechCrunch - Les conseils concrets de Romain sur les stratégies RP pour les entrepreneurs et la relation à nouer avec les journalistes pertinents sur votre sujet - Les erreurs à ne pas commettre quand on contacte un journaliste - Comment Romain détecte des startups très tôt et les suit sur le long terme - Les sujets sur lesquels Romain écrit et aimerait plus écrire : la décentralisation, le respect de la vie privée, l’évolution règlementaire, les GAFAM dans tout ça… - Le rôle des RP pour les startups, les scale ups et les grosses boîtes tech - L’évolution de l’écosystème tech français depuis 8 ans et quelques startups que Romain nous conseille de suivre

Je suis ravi d'accueillir Bénédicte de Raphélis Soissan qui a monté Clustree, vendu près de 20 millions de dollars à Cornerstone (grosse société américaine qui vend un logiciel RH), on revient sur les sujets suivants et Bénédicte donne beaucoup de conseils et astuces à tous les entrepreneurs qui souhaitent vendre leur société : - L’histoire de Clustree : la RH, le SaaS, les levées de fonds, les 100k€ de MRR - La nécessité d’évangéliser pour vendre aux grosses entreprises - La décision de vendre à ce moment-là : un exit « mid-market » à 20 millions de dollars - Galérer à lever et réaliser qu’on doit vendre sa boîte « tôt » alors qu’on a des VCs au capital - Lever trop c’est réduire son champ d’acquéreurs potentiels - Lancer un process de M&A et toutes les étapes du process en exclu avec pleins de conseils et astuces ! De façon hyper claire et pédagogique : o S’entourer des personnes qui ont le bon réseau (banquier d’affaires) o La documentation et la construction de la liste des acquéreurs o Accéder aux bonnes personnes chez les acquéreurs potentiels o Chaque étape de due diligence avant de signer o La valorisation (les leviers, les méthodes,…) et les techniques de négociation o Les termes de la Term Sheet : comment maximiser les chances que le deal aille au bout o L’étape post term sheet o Ses erreurs pendant le process o La différence entre une levée de fonds et vendre sa boîte

C'est avec grand plaisir que j'accueille Arthur Waller sur Funding Crush avec un épisode en deux parties où l’on parle de : 1/ l’exit de Pricematch - Comment Pricematch a été vendu alors qu’ils étaient en train de lever une Series A de plus de 10m€ - Le déroulement de la vente et tous les détails croustillants des étapes vers l’exit : de la discussion d’un partenariat avec les équipes produits de Booking jusqu’à la signature de la vente - Convaincre ses investisseurs - S’assurer que les salariés sont on board - Les acteurs clés sur le process (avocats, banques, …) - La valorisation et comment on la fait monter - Les aller retours et les négociations avec la personne clé chez Booking (leur futur boss) - Ce qu’il se passe post-intégration de sa boîte - La mafia Pricematch dans la scène tech française (Cardiologs, Mindsay, Matera,…) 2/ Le lancement d’une nouvelle boîte : Pennylane - Comment 4 (des 6) cofondateurs de Pricematch relancent Pennylane - Comment ça arrive sur la table (méthode, idée, process) : marché énorme où la tech peut jouer un grand rôle, du remplacement plutôt que de la création de besoin, le process de « user research »… - Le produit et l’organisation produit pour aller vite - Les valeurs des fondateurs : leader par l’exemple, customer-centric, pragmatisme, transparence - Le beau tour de Seed de 4m€ leadé par GFC (David Sainteff) et comment il travaille avec ses VCs au quotidien (GFC, Partech, Kima) - Les milestones à atteindre avec 4m€ en banque

J'ai le plaisir d'accueillir Florian Douettau, co-fondateur et CEO de Dataïku, un des plus beaux succès tech français de ces dernières années qui révolutionne le monde de la data dans les grandes entreprises. En Quelques chiffres, Dataiku c’est aujourd’hui près de 500 personnes en France mais aussi dans ses bureaux aux US et en Asie. C’est près de 150m$ levés avec les plus beaux fonds US (Battery, FirstMark, et CapitalG le fonds de Google) et français (Alven, Serena). Le dernier tour de Dataiku lui a permis d’atteindre le fameux statut de “licorne” avec une valorisation de $1.4b. Dans cette épisode Florian évoque: La mission de Dataiku de démocratiser l’accès à la donnée Les premières années de Dataiku qui était alors rentable et a financé la construction du produit par des activités de conseil La vente aux grands groupes et la méthode de customer-centric selling Les débuts aux US en 2015 avec les difficultés de recrutement et la différence de culture Comment il gère son temps et quelques tips (pas d’assistant, inbox zéro, et pas de meeting >4 personnes) La mafia Exalead et la nouvelle mafia Dataiku Ce qu’il a appris de ses levées de fonds successives et comment il choisit ses investisseurs Le stade d’avancement de Dataiku aux US quand ils ont levée leurs Series A avec Firstmark Comment Dataiku s’attaque au problème de la diversité dans la tech

J’ai le grand plaisir d’accueillir Loic Soubeyrand, fondateur et CEO de Swile (ex-Lunchr). La chronologie de Lunchr qui devient Swile avec une nouvelle levée de 70m€ et l’hypercroissance depuis 3 ans  - Le lancement de Lunchr et le lancement de la meilleure carte titre restaurant sur un marché oligopolistique qui innove peu - On revient sur les raisons qui nous ont poussé à leader la Series A (Idinvest Partners) il y a 2 ans. o Une culture d’entreprise qui révèle et respecte les collaborateurs. o La vélocité produit : innovation et organisation. Autonomie, focus et simplicité. - Les clés de la Series B de 30m€ avec Index Ventures réalisée en 3 semaines. - Lunchr devient Swile début 2020 : comment on change de nom alors qu’on a déjà investi massivement dans sa 1èremarque ? - Swile : le travail sur l’évolution du produit et de la vision, l’ambition énorme de Swile avec beaucoup de fonctionnalités et de produits qui arrivent dans les mois à venir (à suivre !).  - Une nouvelle levée de fonds de 70m€ : le choix des investisseurs, le process, l’utilisation des fonds et les étapes clés dans les mois à venir. - Loic explique la manière dont il s’est entouré (équipe, board) et pourquoi la diversité c’est tout pour lui. - On parle de prises de décision dans une startup en hypercroissance, de confiance, des interactions et de la relation avec les employés et les investisseurs.

#NewHost, Maxime le Dantec - Investisseur chez Balderton  Jon est un ami de longue date, et quand il m’a proposé de faire des épisodes pour son podcast Funding Crush, c’était l’occasion idéale de travailler sur un projet ensemble. C’est donc avec beaucoup d'enthousiasme que je vous annonce la sortie de mon premier interview podcast avec Nicolas Dessaigne, co-fondateur et board member de Algolia, une search API qui vise à délivrer la meilleure expérience de recherche sur le web. Dans cet épisode Nicolas évoque: La spécificité des business d’API comme Stripe ou Twilio (“API is eating the world” ) et le changement de paradigme associé pour les développeurs. Les différentes techniques pour faire connaître Algolia auprès des développeurs grâce au marketing par la produit Comment la stratégie de go-to-market a changé à partir de 10 millions € ARR avec une force de vente plus élaborer La décision de laisser sa place de CEO après la Series C à un moment où Algolia rentre dans une phase nouvelle de son développement La chasse d’un nouveau CEO avec son co-fondateur Julien Lemoine et le board (Philippe Botterri, Accel) L’annonce à l’équipe et la transition avec la nouvelle CEO Bernadette Nixon La culture Algolia, sujet coeur dès les premiers jours et qui transpire directement sur le recrutement. La première installation aux US pour YC en 2014 puis le lancement réel en 2015 où aucun des premiers employés n’est resté plus de 6 mois YC pour un entrepreneur français, une bonne idée ? La diversité chez Algolia avec le rôle de la Inclusion & Diversity Squad et ses actions concrètes

J'accueille Jean 2lr, Partner chez Kima qui a aujourd'hui un portefeuille de 838 boîtes.  - L’impact du coronavirus sur les startups françaises : « seuls les paranos survivent ». - L’impact sur les investissements en startups, les levées de fonds, les valorisations. - On discute du timing pour lever des fonds : maintenant ou plus tard ? - Le rôle des VC, des intermédiaires et des entrepreneurs dans la levée de fonds. - La question à 1 milliard de dollars : comment on travaille la narrative / la vision de sa boîte quand on est entrepreneur ? Antoine Martin, Loic Soubeyrand. Clairvoyance du présent et extrapolation du future avec beaucoup de justesse. - Ce que Jean essaye de détecter tôt chez les entrepreneurs. - La self fulfilling prophecy chez les startups – le magnétisme autour d’entrepreneurs comme Jean-Charles Samuélian. - Pourquoi les gens ratent des évidences énormes – genre Capitaine Train. - Comment les boîtes qui cartonnent commencent et « l’évidence » de certains succès. - Ce que c’est qu’être contrarian et est-ce que les investisseurs peuvent encore l’être dans le contexte actuel ? - Des tips concrets pour une levée de fonds sur le process et le timing. - La définition d’un bon investisseur et la conclusion de Jean sur les comportements des investisseurs pendant le Covid. - Le rôle des VCs sur les années à venir pour renforcer notre écosystème. - Pour terminer, les nouveaux sujets que Jean regarde et pourquoi il s’y intéresse. Les opportunités de marché comme celles que des Alan ou Swile ont trouvé.

Matt Turck est un des rares VC français à être Partner chez un fonds US : FirstMark Capital, le tout premier fonds à être rentré dans Pinterest, l’un des premiers fonds dans Shopify et plus récemment dans Dataiku qui est devenu une licorne tricolore depuis. On aborde plein de sujets inspirants :  - Les investissements que Matt aime (B2B, Enterprise, Data) : Sketchfab, Ledger, Dataiku dans son portefeuille. - Les nouvelles catégories à suivre dans la data après les succès de UiPath ou Automation Anywhere. - Pourquoi toutes les sociétés deviennent des sociétés de data et comment cela est devenu une réalité au cours des dernières années. - On parle des opportunités pour les startups dans la data, des applications horizontales (Dataiku) versus verticales (Cardiologs). - Comment Matt analyse un dossier early stage : « Art versus Science » dans la levée de fonds  "Quand je réfléchis aux pitchs qui m’ont impressionné dès le début, c’est la clarté dans l’élocution, la vision, la pensée ("clarity of thought"). Ce que je veux dire par là, c’est que sont des entrepreneurs qui ont un peu réfléchi à tout. Sentiment très immédiat qu’il y a eu une réflexion sur tous les sujets. Sur un sujet technique, tu n’en sauras jamais plus que l’entrepreneur sur ses sujets." - On revient sur le financement de Dataiku lors de la Series A en 2016, depuis c’est devenu une licorne ! - Pourquoi c’est parfois un avantage de construire sa boîte SaaS en France plutôt qu’aux US. - On parle du bon moment pour une boîte européenne pour aller aux US : Matt donne ses conseils sur le sujet et nous donne des détails concrets via l’exemple de Dataiku. - New York comme nouveau hub startups et Matt explique pourquoi.

Pourquoi Thibaud Elzière a monté eFounders et partage maintenant son temps entre eFounders et Folk. Les SaaS locaux (Payfit, Alan, Doctolib, Swile) avec une forte dimension régionale due à la régulation mais avec une forte profondeur de marché versus les SaaS dans lesquels eFounders s’est spécialisé qui répondent à des problématiques horizontales des PMEs (de 20 à 2,000 employés). Pourquoi eFounders incorporent ses boîtes aux Etats-Unis plutôt qu’en Europe. On discute des opportunités et de la saturation potentielle de certaines catégories en SaaS (collaboration, productivité, project management etc.). La hype d’un software ne dure qu’un temps : il y a de la place pour plein d’acteurs et ce ne sont pas des marchés winner takes all. Comment Efounders a accompagné une vingtaine de sociétés à lever des tours de Seed de plusieurs millions de dollars et souvent closée en quelques semaines. L’importance de structurer un bon deck mais finalement de ne pas le présenter quand on parle avec des investisseurs. On explique ce qu’est une Pégasus : les boîtes qui lèvent moins pour faire plus ! On parle de fonds US comme Coatue (Snapchat, Uber, Box, ...), Boldstart ventures. Thibaud dévoile aussi avec qui Folk a levé son tour de Seed et pourquoi Bonjour n'a pas avancé avec Sequoia (Apple, Facebook, Zoom, Whatsapp, Github...). La nouvelle ère du coronavirus pour le Seed investment, la nouvelle génération des VCs en France, …

Comment Pierre & ses cofondateurs Kim et Aurélien ont monté Strapi en parallèle de leurs études. On parle de l’open source, un modèle encore peu développé en Europe mais où l’on voit une vague de nouvelles startups françaises (Containous, MeiliSearch, …) et européennes prometteuses. Pourquoi les investisseurs croient dans l’open source et comment on mesure la valeur de ces sociétés dans des stade early stage alors qu’elles génèrent souvent peu ou pas de revenus : la traction / les étoiles sur Github, l’usage via des outils de trackings, les « logos » (sociétés qui utilisent le logiciel comme la NASA ou Delivery Hero pour Strapi). Pierre explique comment on parle à des VCs sur un sujet aussi technique et sur un sujet qui fait peur en Europe étant donné qu’on monétise après quelques années d’opérations… On revient sur ses 3 tours de table : 1m$ avec BPI France (JP) & Kima (Alexis) en 2018, 4m$ il y a 6 mois avec Accel (Dan) et Stride (Pia) puis 10m$ avec Index en Lead (Ari, Julia). La préparation, le momentum, comment Index a préempté la Series A en 4 jours, l’élément déclencheur & pourquoi c’est bien d’avoir une relation avec des VCs en amont… On discute aussi de la valeur ajoutée des investisseurs et des objectifs visés avec cette belle levée de fonds. Enfin on échange sur les US, le plus gros marché pour les sociétés dans le logiciel – un gros enjeu pour le développement de Strapi.

Je reçois aujourd'hui Thibaut Machet, founder & CEO de Playplay, un outil de création de vidéo à destination des entreprises. Playplay avait déjà levé 1.5m€ avec Point Nine Capital et Kerala il y a 18 mois. Thibaut annonce une nouvelle levée de fonds de 10m€ : on discute du process de levée, des clés de succès de sa levée, de la façon dont on décroche une term sheet à la fin d'un process, du choix des investisseurs, de Balderton (son investisseur Lead), de Point Nine (hello Louis), des fonds anglo-saxons... On discute de la Series A et de sa différence par rapport au tour de Seed : "La Series A c'est plus exigeant, il y a moins de poésie que dans le Seed. Les fonds de Series A vont chercher la petite bête et tout va être disséqué : ton équipe, ton marché, ton produit, ta concurrence, tes KPIs..." On discute également de la relation entrepreneur-investisseur, la gestion de ses investisseurs, ce que l’on attend d’eux, comment on les engage ! Thibaut nous annonce aussi comment Playplay va utiliser ces 10m€ et quels milestones il compte atteindre avec son équipe. Je vous invite à suivre et partager Funding Crush et n’hésitez pas à m’envoyer vos feedbacks par mail à ju@idinvest.com.

Funding Crush répond à toutes tes questions sur les levées de fonds et les investisseurs, de l’intérieur. Toutes les semaines, j’interview un entrepreneur sur sa levée de fonds pour comprendre comment il s’y est pris : le process de levée, le deck, les clés de succès d’une belle levée, le choix des investisseurs… Le but est de laisser la parole aux entrepreneurs pour comprendre leur vision, leur mission et aussi ce qui a tapé dans l’œil des investisseurs ! On discute également de la relation entrepreneur-investisseur, la gestion de ses investisseurs, ce que l’on attend d’eux, comment on les engage ! C’est aussi le moment de comprendre à quoi vont servir les fonds levés… Je vous invite à suivre et partager Funding Crush et n’hésitez pas à m’envoyer vos feedbacks par mail à ju@idinvest.com.