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French, Political, 1 season, 127 episodes, 1 day, 3 hours, 58 minutes
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Des braqueurs racontent leur vie dangereuse, une prof retrouve ses élèves, un secret de famille cache un secret d’Histoire… Des feuilletons complets ou à suivre,  des séries documentaire ou fiction pour une écoute longue durée.
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Wajdi Mouawad (3/3)

Là-haut sur La Colline Bookmakers #28 - L'auteur du mois : Wajdi MouawadNé en 1968 près de Beyrouth, Wajdi Mouawad est l’un des dramaturges les plus joués du théâtre francophone, avec près de vingt-cinq pièces écrites et mises en scène par ses soins depuis le début des années 90, dont l’incontournable « Incendies » (2003), adaptée au cinéma par Denis Villeneuve. Traduits en vingt langues, co-édités par Actes Sud et la maison québécoise Léméac, ses drames familiaux, riches en apparitions surnaturelles autant qu’en engueulades réparatrices, sont montés au Japon, au Brésil, en Espagne, au Maroc, aux États-Unis, en Corée du Sud, en Argentine ou en Australie.Récompensé par les plus hautes instances au Québec ou en Allemagne, il refuse poliment un Molière en 2005 pour souligner l’indifférence des grands théâtres à l’égard de la création contemporaine, tandis que l’Académie française lui remet en 2009 un prix pour l’ensemble de son œuvre. Depuis 2016, il dirige le théâtre national de La Colline, à Paris. Wajdi Mouawad (3/3)Outre ses propres textes, Wajdi Mouawad adapta sur scène, ces trente dernières années, « Macbeth » sur un parking de nuit, les épopées galactiques de la saga « Fondation » d’Isaac Asimov, les dépendances toxiques du roman « Trainspotting » d’Irvine Welsh ou l’intégrale des tragédies de Sophocle. Parallèlement, l’auteur de « Tous des oiseaux » arpenta en solitaire les territoires du roman. D’abord avec « Visage retrouvé » (2002), sur son enfance libanaise, vendu à 13 000 exemplaires. Puis avec « Anima » (2012), enquête américaine sur un meurtre raconté durant 500 pages du point de vue de dizaines d’animaux (canari, mouche, fourmi, cheval), écoulé à 82 000 exemplaires et sacré du grand prix de la Société des Gens De Lettres. Mais quelles différences fait-il avec son écriture théâtrale ? Changer de forme, de support, est-ce la façon la plus simple de se renouveler ? Car le sujet le hante. En 2002, dans sa pièce intitulée « Rêves », le héros se faisait reprocher par le fantôme de Lautréamont de « toujours réécrire ce qu’il sait déjà écrire ». En 2005, en interview, Wajdi se demandait : « Comment ne pas être le touriste de sa propre création ? » En 2010, dans son livre « Le poisson-soi », il notait : « Je voudrais tellement ne plus avoir à dire Je. Ne plus m’occuper de rien. Que quelqu’un dise Il pour moi. Qu’on me débarrasse. » Comment renaître, artistiquement, sans se tuer ? C’est la question finale, ou presque, de ce troisième et dernier acte, dans lequel le directeur de La Colline évoque en détails la vie économique d’un auteur de théâtre, c’est-à-dire : la monnaie de ses pièces. Enregistrement : janvier 2024 - Entretien, découpage : Richard Gaitet - Prise de son : Mathilde Guermonprez - Montage : Juliette Cordemans - Réalisation, mixage : Charlie Marcelet - Musiques originales : Samuel Hirsch - Clarinette : Paul Laurent - Lectures : Sabine Zovighian - Illustration : Sylvain Cabot - Remerciements : Alice Zeniter, Joseph Hirsch - Production : ARTE Radio - Samuel Hirsch
2/21/202446 minutes, 27 seconds
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Wajdi Mouawad (2/3)

Inflammation du verbe dire Bookmakers #28 - L'auteur du mois : Wajdi MouawadNé en 1968 près de Beyrouth, Wajdi Mouawad est l’un des dramaturges les plus joués du théâtre francophone, avec près de vingt-cinq pièces écrites et mises en scène par ses soins depuis le début des années 90, dont l’incontournable « Incendies » (2003), adaptée au cinéma par Denis Villeneuve. Traduits en vingt langues, co-édités par Actes Sud et la maison québécoise Léméac, ses drames familiaux, riches en apparitions surnaturelles autant qu’en engueulades réparatrices, sont montés au Japon, au Brésil, en Espagne, au Maroc, aux États-Unis, en Corée du Sud, en Argentine ou en Australie.Récompensé par les plus hautes instances au Québec ou en Allemagne, il refuse poliment un Molière en 2005 pour souligner l’indifférence des grands théâtres à l’égard de la création contemporaine, tandis que l’Académie française lui remet en 2009 un prix pour l’ensemble de son œuvre. Depuis 2016, il dirige le théâtre national de La Colline, à Paris. Wajdi Mouawad (2/3)Rideau sur le chagrin. Les pièces de Wajdi Mouawad démarrent souvent par la mort. Celle de sa mère, que l’auteur perdit à 19 ans, dans « Mère » (2021). Celle de la grand-mère dans « Pacamambo », troublant spectacle pour enfants (2000). Celles des victimes de l’explosion du port de Beyrouth en 2020, qui ouvrait – en vidéo – les six heures de « Racine carrée du verbe être » (2022). Ou encore celle de l’inoubliable Nawal dans « Incendies », dont l’édition papier se vendit à plus de 100 000 exemplaires et dont Wajdi Mouawad raconte, ici, le brasier originel. Comment écrire pour la scène ? Qu’apporte la troupe aux personnages ? À quoi sert une didascalie ? À quoi correspond l’état « d’hypnose » dans lequel il se met pour accoucher de ses monologues finaux ? C’est l’enjeu de notre acte deux, en compagnie d’un graphomane à lunettes qui déclara un jour : « La mise en scène, ça me gonfle. C’est compliqué, il faut gérer une chaise qui doit sortir et une chaise qui doit rentrer. C’est lourd, pénible. Si je trouvais un metteur en scène qui pouvait entrer dans ma tête pour monter mes pièces, je ne ferais plus de mise en scène. Mais je n’ai pas trouvé encore. Alors, à défaut, je les monte moi-même, mes pièces. Ce que j’aime, c’est raconter des histoires. » Enregistrement : janvier 2024 - Entretien, découpage : Richard Gaitet - Prise de son : Mathilde Guermonprez - Montage : Juliette Cordemans - Réalisation, mixage : Charlie Marcelet - Musiques originales : Samuel Hirsch - Clarinette : Paul Laurent - Lectures : Sabine Zovighian - Illustration : Sylvain Cabot - Remerciements : Alice Zeniter, Joseph Hirsch - Production : ARTE Radio - Samuel Hirsch
2/21/202449 minutes, 49 seconds
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Wajdi Mouawad (1/3)

Un obus dans le cœur Bookmakers #28 - L'auteur du mois : Wajdi MouawadNé en 1968 près de Beyrouth, Wajdi Mouawad est l’un des dramaturges les plus joués du théâtre francophone, avec près de vingt-cinq pièces écrites et mises en scène par ses soins depuis le début des années 90, dont l’incontournable « Incendies » (2003), adaptée au cinéma par Denis Villeneuve. Traduits en vingt langues, co-édités par Actes Sud et la maison québécoise Léméac, ses drames familiaux, riches en apparitions surnaturelles autant qu’en engueulades réparatrices, sont montés au Japon, au Brésil, en Espagne, au Maroc, aux États-Unis, en Corée du Sud, en Argentine ou en Australie.Récompensé par les plus hautes instances au Québec ou en Allemagne, il refuse poliment un Molière en 2005 pour souligner l’indifférence des grands théâtres à l’égard de la création contemporaine, tandis que l’Académie française lui remet en 2009 un prix pour l’ensemble de son œuvre. Depuis 2016, il dirige le théâtre national de La Colline, à Paris. Wajdi Mouawad (1/3)C’est un oiseau rare, au plumage marqué par l’exil. Un fougueux pour qui le théâtre demeure une « boussole », qui écrit guidé par « le désir ardent de colmater les déchirures, les peines et l’ennui profond ». Forcée de fuir le Liban en raison des bombardements de la guerre civile, la famille de Wajdi Mouawad s’installe en 1978 à Paris, puis quelques années plus tard à Montréal, où l’École nationale de théâtre sauve de la dépression le futur auteur de « Littoral » ou de « Seuls », en lui offrant à la fois « le chemin » et son seul diplôme. D’abord comédien, il se met à l’écriture pour « partager un hurlement, exorciser des peurs, commettre des attentats de façon symbolique, déposer des bombes dans la tête des gens. Que ça cogne. » Ses cris ont été entendus. Mais comment la lecture de Kafka, adolescent, l’a-t-elle métamorphosé jusqu’à l’obsession ? Que doit-il à son grand frère, Naji ? Aux chansons de Brel ou de Renaud ? Peut-on fleurir quand on a été plusieurs fois déraciné ? Ce sont certaines des scènes du premier acte de cette conversation, qui revient sur ces années de formation où Wajdi Mouawad n’était « qu’un verre qui attendait d’être rempli ». Enregistrement : janvier 2024 - Entretien, découpage : Richard Gaitet - Prise de son : Mathilde Guermonprez - Montage : Juliette Cordemans - Réalisation, mixage : Charlie Marcelet - Musiques originales : Samuel Hirsch - Clarinette : Paul Laurent - Lectures : Sabine Zovighian - Illustration : Sylvain Cabot - Remerciements : Alice Zeniter, Joseph Hirsch - Production : ARTE Radio - Samuel Hirsch
2/21/202458 minutes, 9 seconds
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La moitié du gourou (4/4) : Le point de non-retour

Six années au service d'un gourou Au bout de six années, la secte commence à se délier. En réaction, Gabriel impose au groupe des initiations chaque fois plus extrêmes. L'une d'entre elles aboutit au viol d'une jeune mineure, et conduira Gabriel et Julie sur le banc des accusés. C'est le début de la déprise de Julie, qui constate jusqu'où son désir d'obéissance l'a poussée. La moitié du gourouPendant 6 ans, Julie a été membre de « l'Université de la Nature, de l'écologie et de la Relation » qui se présentait comme un collectif avant-gardiste mêlant projet écologique et développement personnel. Fascinée par les ambitions que porte son leader Gabriel, elle s'y consacre corps et âme, au point de devenir son bras droit le plus zélé.Six ans plus tard, le groupe est caractérisé comme une secte, et elle se retrouve sur le banc des accusés au même titre que son gourou, notamment pour des faits de viol commis sur une mineure.Comment expliquer qu'elle ait été capable d'accomplir les actes les plus violents et les plus humiliants, devenant parfois plus redoutable que celui qui lui en donnait l'ordre ? Jusqu'où peut pousser le désir d'obéissance ? Décortiquant avec méthode la mécanique du mal, le témoignage de Julie offre une réflexion non pas sur la jouissance du pouvoir mais sur la jouissance de l'obéissance au pouvoir et l’incapacité à dire non.Ou comment avoir toujours le souci de bien faire, y compris quand on vous demande de faire du mal. Remerciements : Merci à Yohann, Françoise, Mélodie et Gilles. Merci également à Silvain Gire et Mathias Théry Manon PrigentAprès une formation en lettres et en histoire de l’art, puis un passage dans diverses institutions d’art contemporain, Manon Prigent décide de s’initier à la prise de son et à la réalisation sonore. Depuis 2019, elle réalise des documentaires radiophoniques pour ARTE Radio (L’amour à Pattaya, Tout fout le camp) et France Culture principalement (émissions LSD et L’Expérience). Elle travaille actuellement à l’écriture d’un film documentaire avec Mathias Théry. Enregistrements : Août-décembre 2023 - Entretiens et montage : Manon Prigent - Réalisation : Manon Prigent et Arnaud Forest - Musique originale et mixage : Arnaud Forest - Illustration : Ophélie Legrand - Production : ARTE Radio - Arnaud Forest
1/31/202422 minutes, 10 seconds
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La moitié du gourou (3/4) : Malgré moi

Six années au service d'un gourou Devenue le bras-droit de Gabriel, Julie acquiert une autorité au sein du groupe qu'elle ne soupçonnait pas. Elle va participer à l'instauration d'un climat de peur et de violence qui va conduire les membres du groupe à commettre des agressions sexuelles les uns sur les autres. La moitié du gourouPendant 6 ans, Julie a été membre de « l'Université de la Nature, de l'écologie et de la Relation » qui se présentait comme un collectif avant-gardiste mêlant projet écologique et développement personnel. Fascinée par les ambitions que porte son leader Gabriel, elle s'y consacre corps et âme, au point de devenir son bras droit le plus zélé.Six ans plus tard, le groupe est caractérisé comme une secte, et elle se retrouve sur le banc des accusés au même titre que son gourou, notamment pour des faits de viol commis sur une mineure.Comment expliquer qu'elle ait été capable d'accomplir les actes les plus violents et les plus humiliants, devenant parfois plus redoutable que celui qui lui en donnait l'ordre ? Jusqu'où peut pousser le désir d'obéissance ? Décortiquant avec méthode la mécanique du mal, le témoignage de Julie offre une réflexion non pas sur la jouissance du pouvoir mais sur la jouissance de l'obéissance au pouvoir et l’incapacité à dire non.Ou comment avoir toujours le souci de bien faire, y compris quand on vous demande de faire du mal. Remerciements : Merci à Yohann, Françoise, Mélodie et Gilles. Merci également à Silvain Gire et Mathias Théry Manon PrigentAprès une formation en lettres et en histoire de l’art, puis un passage dans diverses institutions d’art contemporain, Manon Prigent décide de s’initier à la prise de son et à la réalisation sonore. Depuis 2019, elle réalise des documentaires radiophoniques pour ARTE Radio (L’amour à Pattaya, Tout fout le camp) et France Culture principalement (émissions LSD et L’Expérience). Elle travaille actuellement à l’écriture d’un film documentaire avec Mathias Théry. Enregistrements : Août-décembre 2023 - Entretiens et montage : Manon Prigent - Réalisation : Manon Prigent et Arnaud Forest - Musique originale et mixage : Arnaud Forest - Illustration : Ophélie Legrand - Production : ARTE Radio - Arnaud Forest
1/31/202422 minutes, 6 seconds
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La moitié du gourou (2/4) : Âme sœur, âme damnée

Six années au service d'un gourou De retour du Maroc, Julie se fixe un nouveau cap : elle est prête à s'engager dans ce collectif et à se former pour en devenir un membre actif. Elle est rapidement repérée pour ses capacités par Gabriel, à la tête du collectif, qui va la convaincre qu'elle ne doit pas être simplement membre, mais sa tête pensante. La moitié du gourouPendant 6 ans, Julie a été membre de « l'Université de la Nature, de l'écologie et de la Relation » qui se présentait comme un collectif avant-gardiste mêlant projet écologique et développement personnel. Fascinée par les ambitions que porte son leader Gabriel, elle s'y consacre corps et âme, au point de devenir son bras droit le plus zélé.Six ans plus tard, le groupe est caractérisé comme une secte, et elle se retrouve sur le banc des accusés au même titre que son gourou, notamment pour des faits de viol commis sur une mineure.Comment expliquer qu'elle ait été capable d'accomplir les actes les plus violents et les plus humiliants, devenant parfois plus redoutable que celui qui lui en donnait l'ordre ? Jusqu'où peut pousser le désir d'obéissance ? Décortiquant avec méthode la mécanique du mal, le témoignage de Julie offre une réflexion non pas sur la jouissance du pouvoir mais sur la jouissance de l'obéissance au pouvoir et l’incapacité à dire non.Ou comment avoir toujours le souci de bien faire, y compris quand on vous demande de faire du mal. Remerciements : Merci à Yohann, Françoise, Mélodie et Gilles. Merci également à Silvain Gire et Mathias Théry Manon PrigentAprès une formation en lettres et en histoire de l’art, puis un passage dans diverses institutions d’art contemporain, Manon Prigent décide de s’initier à la prise de son et à la réalisation sonore. Depuis 2019, elle réalise des documentaires radiophoniques pour ARTE Radio (L’amour à Pattaya, Tout fout le camp) et France Culture principalement (émissions LSD et L’Expérience). Elle travaille actuellement à l’écriture d’un film documentaire avec Mathias Théry. Enregistrements : Août-décembre 2023 - Entretiens et montage : Manon Prigent - Réalisation : Manon Prigent et Arnaud Forest - Musique originale et mixage : Arnaud Forest - Illustration : Ophélie Legrand - Production : ARTE Radio - Arnaud Forest
1/31/202423 minutes, 47 seconds
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La moitié du gourou (1/4) : Sans ciller

Six années au service d'un gourou Julie a 31 ans lorsque, à un moment où tout semble s'arrêter dans sa vie (job, vie amoureuse, thérapie), elle fait la rencontre de Paul. Paul lui parle d'un collectif soucieux de développer des projets humanitaires et environnementaux au Mexique et au Maroc. Elle décide d'embarquer pour un stage de 3 semaines où elle espère trouver les réponses à ses questions. La moitié du gourouPendant 6 ans, Julie a été membre de « l'Université de la Nature, de l'écologie et de la Relation » qui se présentait comme un collectif avant-gardiste mêlant projet écologique et développement personnel. Fascinée par les ambitions que porte son leader Gabriel, elle s'y consacre corps et âme, au point de devenir son bras droit le plus zélé.Six ans plus tard, le groupe est caractérisé comme une secte, et elle se retrouve sur le banc des accusés au même titre que son gourou, notamment pour des faits de viol commis sur une mineure.Comment expliquer qu'elle ait été capable d'accomplir les actes les plus violents et les plus humiliants, devenant parfois plus redoutable que celui qui lui en donnait l'ordre ? Jusqu'où peut pousser le désir d'obéissance ? Décortiquant avec méthode la mécanique du mal, le témoignage de Julie offre une réflexion non pas sur la jouissance du pouvoir mais sur la jouissance de l'obéissance au pouvoir et l’incapacité à dire non.Ou comment avoir toujours le souci de bien faire, y compris quand on vous demande de faire du mal. Remerciements : Merci à Yohann, Françoise, Mélodie et Gilles. Merci également à Silvain Gire et Mathias Théry Manon PrigentAprès une formation en lettres et en histoire de l’art, puis un passage dans diverses institutions d’art contemporain, Manon Prigent décide de s’initier à la prise de son et à la réalisation sonore. Depuis 2019, elle réalise des documentaires radiophoniques pour ARTE Radio (L’amour à Pattaya, Tout fout le camp) et France Culture principalement (émissions LSD et L’Expérience). Elle travaille actuellement à l’écriture d’un film documentaire avec Mathias Théry.   Enregistrements : Août-décembre 2023 - Entretiens et montage : Manon Prigent - Réalisation : Manon Prigent et Arnaud Forest - Musique originale et mixage : Arnaud Forest - Illustration : Ophélie Legrand - Production : ARTE Radio - Arnaud Forest
1/31/202420 minutes, 47 seconds
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#WhenIwas15 : L’été du bad boy

Heureusement, j’ai un amoureux 13e épisode : "L’été du bad boy" d'Emmanuelle Kaiser. #WhenIwas15, dire et lire le désirÀ quinze ans, on a les hormones en folie, de l’acné, parfois même des bagues. On voit son corps changer presque chaque jour, les poils qui débarquent, les seins qui poussent, les vergetures qui zèbrent la peau, un nez dur à décrire, les hanches qui s’élargissent, les aisselles qui sentent plus fort.L’été parfois, on a très chaud, trop chaud, on palpite, on frissonne, on fantasme, on ne pense qu’à ça, on joue avec l’idée, on passe à l’acte, on a peur, on est populaire ou invisible, on se demande quoi faire avec ses doigts ou avec sa langue, on écoute plein de musique très fort, parfois on lit ou on écrit des poèmes. On trouve ses parents ringards et débiles et en même temps, on a encore des doudous, on suce parfois son pouce, on ne voudrait manger que des céréales et des bonbons et parfois même, en cachette, on joue encore avec ses jouets…Alors une fois devenu grand ou grande, qu’est-ce qu’il nous reste de tout ça, de ses premiers contacts avec la salive de l’autre, parfois avec son sexe ou avec le sien, de cette ardeur et de cette peur, de cette enfance qui s’en va et du désir qui arrive. En tous les cas ce qui est sûr, c'est que c’est quelque chose qu’on n’oublie pas. Le 17 juillet 2023, le roman pour grands adolescents Bien trop petit de Manu Causse est interdit à la vente aux mineurs. En réaction à cette censure, l’écrivain Nicolas Mathieu lance alors le hashtag #WHENIWAS15 sur Instagram. Pendant l’été, plus de 500 personnes vont répondre à l’appel et partager sur les réseaux des textes dans lesquels ils se souviennent de leurs premiers émois adolescents et leur découverte de la sexualité à travers la lecture. 70 de ces témoignages sont réunis dans un livre aux Éditions Thierry Magnier, mais aussi dans un livre audio édité chez Actes Sud. ARTE Radio adapte 12 de ces textes en podcast qui sont lus par leurs auteurs et autrices (surtout autrices, hein) : Mélanie Boutet, Alice Briant, Thomas-Louis Cepitelli, Margaux Conduzorgues, Nadia Daam, Laure Decourchelle, Maryam Douari, Romain Ischard, Emmanuelle Kaiser, Judith Margolin, Tiphaine Rault, Anne Terral et Victoire Tuaillon.   Enregistrement : octobre 2023 - Réalisation et musique originale : Samuel Hirsch - Illustration : Aurélie Garnier - Production : ARTE Radio
12/27/20234 minutes, 1 second
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#WhenIwas15 : Seul à crever

Les histoires nous permettent d'exister 12e épisode : "Seul à en crever" de Thomas-Louis Cepitelli. #WhenIwas15, dire et lire le désirÀ quinze ans, on a les hormones en folie, de l’acné, parfois même des bagues. On voit son corps changer presque chaque jour, les poils qui débarquent, les seins qui poussent, les vergetures qui zèbrent la peau, un nez dur à décrire, les hanches qui s’élargissent, les aisselles qui sentent plus fort.L’été parfois, on a très chaud, trop chaud, on palpite, on frissonne, on fantasme, on ne pense qu’à ça, on joue avec l’idée, on passe à l’acte, on a peur, on est populaire ou invisible, on se demande quoi faire avec ses doigts ou avec sa langue, on écoute plein de musique très fort, parfois on lit ou on écrit des poèmes. On trouve ses parents ringards et débiles et en même temps, on a encore des doudous, on suce parfois son pouce, on ne voudrait manger que des céréales et des bonbons et parfois même, en cachette, on joue encore avec ses jouets…Alors une fois devenu grand ou grande, qu’est-ce qu’il nous reste de tout ça, de ses premiers contacts avec la salive de l’autre, parfois avec son sexe ou avec le sien, de cette ardeur et de cette peur, de cette enfance qui s’en va et du désir qui arrive. En tous les cas ce qui est sûr, c'est que c’est quelque chose qu’on n’oublie pas. Le 17 juillet 2023, le roman pour grands adolescents Bien trop petit de Manu Causse est interdit à la vente aux mineurs. En réaction à cette censure, l’écrivain Nicolas Mathieu lance alors le hashtag #WHENIWAS15 sur Instagram. Pendant l’été, plus de 500 personnes vont répondre à l’appel et partager sur les réseaux des textes dans lesquels ils se souviennent de leurs premiers émois adolescents et leur découverte de la sexualité à travers la lecture. 70 de ces témoignages sont réunis dans un livre aux Éditions Thierry Magnier, mais aussi dans un livre audio édité chez Actes Sud. ARTE Radio adapte 12 de ces textes en podcast qui sont lus par leurs auteurs et autrices (surtout autrices, hein) : Mélanie Boutet, Alice Briant, Thomas-Louis Cepitelli, Margaux Conduzorgues, Nadia Daam, Laure Decourchelle, Maryam Douari, Romain Ischard, Emmanuelle Kaiser, Judith Margolin, Tiphaine Rault, Anne Terral et Victoire Tuaillon.   Enregistrement : octobre 2023 - Réalisation et musique originale : Samuel Hirsch - Illustration : Aurélie Garnier - Production : ARTE Radio
12/20/20231 minute, 59 seconds
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#WhenIwas15 : Le désir est dans les toilettes

Un désir comme une cible 11e épisode : "Le désir est dans les toilettes" d'Alice Briant. #WhenIwas15, dire et lire le désirÀ quinze ans, on a les hormones en folie, de l’acné, parfois même des bagues. On voit son corps changer presque chaque jour, les poils qui débarquent, les seins qui poussent, les vergetures qui zèbrent la peau, un nez dur à décrire, les hanches qui s’élargissent, les aisselles qui sentent plus fort.L’été parfois, on a très chaud, trop chaud, on palpite, on frissonne, on fantasme, on ne pense qu’à ça, on joue avec l’idée, on passe à l’acte, on a peur, on est populaire ou invisible, on se demande quoi faire avec ses doigts ou avec sa langue, on écoute plein de musique très fort, parfois on lit ou on écrit des poèmes. On trouve ses parents ringards et débiles et en même temps, on a encore des doudous, on suce parfois son pouce, on ne voudrait manger que des céréales et des bonbons et parfois même, en cachette, on joue encore avec ses jouets…Alors une fois devenu grand ou grande, qu’est-ce qu’il nous reste de tout ça, de ses premiers contacts avec la salive de l’autre, parfois avec son sexe ou avec le sien, de cette ardeur et de cette peur, de cette enfance qui s’en va et du désir qui arrive. En tous les cas ce qui est sûr, c'est que c’est quelque chose qu’on n’oublie pas. Le 17 juillet 2023, le roman pour grands adolescents Bien trop petit de Manu Causse est interdit à la vente aux mineurs. En réaction à cette censure, l’écrivain Nicolas Mathieu lance alors le hashtag #WHENIWAS15 sur Instagram. Pendant l’été, plus de 500 personnes vont répondre à l’appel et partager sur les réseaux des textes dans lesquels ils se souviennent de leurs premiers émois adolescents et leur découverte de la sexualité à travers la lecture. 70 de ces témoignages sont réunis dans un livre aux Éditions Thierry Magnier, mais aussi dans un livre audio édité chez Actes Sud. ARTE Radio adapte 12 de ces textes en podcast qui sont lus par leurs auteurs et autrices (surtout autrices, hein) : Mélanie Boutet, Alice Briant, Thomas-Louis Cepitelli, Margaux Conduzorgues, Nadia Daam, Laure Decourchelle, Maryam Douari, Romain Ischard, Emmanuelle Kaiser, Judith Margolin, Tiphaine Rault, Anne Terral et Victoire Tuaillon.   Enregistrement : octobre 2023 - Réalisation et musique originale : Charlie Marcelet - Illustration : Aurélie Garnier - Production : ARTE Radio
12/20/20233 minutes, 16 seconds
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#WhenIwas15 : Hormones en folie

Je pense au sexe tout le temps 10e épisode : "Hormones en folie" de Laure Decourchelle. #WhenIwas15, dire et lire le désirÀ quinze ans, on a les hormones en folie, de l’acné, parfois même des bagues. On voit son corps changer presque chaque jour, les poils qui débarquent, les seins qui poussent, les vergetures qui zèbrent la peau, un nez dur à décrire, les hanches qui s’élargissent, les aisselles qui sentent plus fort.L’été parfois, on a très chaud, trop chaud, on palpite, on frissonne, on fantasme, on ne pense qu’à ça, on joue avec l’idée, on passe à l’acte, on a peur, on est populaire ou invisible, on se demande quoi faire avec ses doigts ou avec sa langue, on écoute plein de musique très fort, parfois on lit ou on écrit des poèmes. On trouve ses parents ringards et débiles et en même temps, on a encore des doudous, on suce parfois son pouce, on ne voudrait manger que des céréales et des bonbons et parfois même, en cachette, on joue encore avec ses jouets…Alors une fois devenu grand ou grande, qu’est-ce qu’il nous reste de tout ça, de ses premiers contacts avec la salive de l’autre, parfois avec son sexe ou avec le sien, de cette ardeur et de cette peur, de cette enfance qui s’en va et du désir qui arrive. En tous les cas ce qui est sûr, c'est que c’est quelque chose qu’on n’oublie pas. Le 17 juillet 2023, le roman pour grands adolescents Bien trop petit de Manu Causse est interdit à la vente aux mineurs. En réaction à cette censure, l’écrivain Nicolas Mathieu lance alors le hashtag #WHENIWAS15 sur Instagram. Pendant l’été, plus de 500 personnes vont répondre à l’appel et partager sur les réseaux des textes dans lesquels ils se souviennent de leurs premiers émois adolescents et leur découverte de la sexualité à travers la lecture. 70 de ces témoignages sont réunis dans un livre aux Éditions Thierry Magnier, mais aussi dans un livre audio édité chez Actes Sud. ARTE Radio adapte 12 de ces textes en podcast qui sont lus par leurs auteurs et autrices (surtout autrices, hein) : Mélanie Boutet, Alice Briant, Thomas-Louis Cepitelli, Margaux Conduzorgues, Nadia Daam, Laure Decourchelle, Maryam Douari, Romain Ischard, Emmanuelle Kaiser, Judith Margolin, Tiphaine Rault, Anne Terral et Victoire Tuaillon.   Enregistrement : octobre 2023 - Réalisation et musique originale : Samuel Hirsch - Illustration : Aurélie Garnier - Production : ARTE Radio - Samuel Hirsch
12/13/20234 minutes, 44 seconds
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#WhenIwas15 : La hchouma

Morte de honte et de plaisir 9e épisode : "La hchouma" de Maryam. #WhenIwas15, dire et lire le désirÀ quinze ans, on a les hormones en folie, de l’acné, parfois même des bagues. On voit son corps changer presque chaque jour, les poils qui débarquent, les seins qui poussent, les vergetures qui zèbrent la peau, un nez dur à décrire, les hanches qui s’élargissent, les aisselles qui sentent plus fort.L’été parfois, on a très chaud, trop chaud, on palpite, on frissonne, on fantasme, on ne pense qu’à ça, on joue avec l’idée, on passe à l’acte, on a peur, on est populaire ou invisible, on se demande quoi faire avec ses doigts ou avec sa langue, on écoute plein de musique très fort, parfois on lit ou on écrit des poèmes. On trouve ses parents ringards et débiles et en même temps, on a encore des doudous, on suce parfois son pouce, on ne voudrait manger que des céréales et des bonbons et parfois même, en cachette, on joue encore avec ses jouets…Alors une fois devenu grand ou grande, qu’est-ce qu’il nous reste de tout ça, de ses premiers contacts avec la salive de l’autre, parfois avec son sexe ou avec le sien, de cette ardeur et de cette peur, de cette enfance qui s’en va et du désir qui arrive. En tous les cas ce qui est sûr, c'est que c’est quelque chose qu’on n’oublie pas. Le 17 juillet 2023, le roman pour grands adolescents Bien trop petit de Manu Causse est interdit à la vente aux mineurs. En réaction à cette censure, l’écrivain Nicolas Mathieu lance alors le hashtag #WHENIWAS15 sur Instagram. Pendant l’été, plus de 500 personnes vont répondre à l’appel et partager sur les réseaux des textes dans lesquels ils se souviennent de leurs premiers émois adolescents et leur découverte de la sexualité à travers la lecture. 70 de ces témoignages sont réunis dans un livre aux Éditions Thierry Magnier, mais aussi dans un livre audio édité chez Actes Sud. ARTE Radio adapte 12 de ces textes en podcast qui sont lus par leurs auteurs et autrices (surtout autrices, hein) : Mélanie Boutet, Alice Briant, Thomas-Louis Cepitelli, Margaux Conduzorgues, Nadia Daam, Laure Decourchelle, Maryam Douari, Romain Ischard, Emmanuelle Kaiser, Judith Margolin, Tiphaine Rault, Anne Terral et Victoire Tuaillon.   Enregistrement : octobre 2023 - Réalisation et musique originale : Samuel Hirsch - Illustration : Aurélie Garnier - Production : ARTE Radio - Samuel Hirsch
12/6/20236 minutes, 4 seconds
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#WhenIwas15 : L'été des puceaux

Certain de perdre ma virginité dans l’année 8e épisode : "L'été des puceaux" de Romain Ischard. #WhenIwas15, dire et lire le désirÀ quinze ans, on a les hormones en folie, de l’acné, parfois même des bagues. On voit son corps changer presque chaque jour, les poils qui débarquent, les seins qui poussent, les vergetures qui zèbrent la peau, un nez dur à décrire, les hanches qui s’élargissent, les aisselles qui sentent plus fort.L’été parfois, on a très chaud, trop chaud, on palpite, on frissonne, on fantasme, on ne pense qu’à ça, on joue avec l’idée, on passe à l’acte, on a peur, on est populaire ou invisible, on se demande quoi faire avec ses doigts ou avec sa langue, on écoute plein de musique très fort, parfois on lit ou on écrit des poèmes. On trouve ses parents ringards et débiles et en même temps, on a encore des doudous, on suce parfois son pouce, on ne voudrait manger que des céréales et des bonbons et parfois même, en cachette, on joue encore avec ses jouets…Alors une fois devenu grand ou grande, qu’est-ce qu’il nous reste de tout ça, de ses premiers contacts avec la salive de l’autre, parfois avec son sexe ou avec le sien, de cette ardeur et de cette peur, de cette enfance qui s’en va et du désir qui arrive. En tous les cas ce qui est sûr, c'est que c’est quelque chose qu’on n’oublie pas. Le 17 juillet 2023, le roman pour grands adolescents Bien trop petit de Manu Causse est interdit à la vente aux mineurs. En réaction à cette censure, l’écrivain Nicolas Mathieu lance alors le hashtag #WHENIWAS15 sur Instagram. Pendant l’été, plus de 500 personnes vont répondre à l’appel et partager sur les réseaux des textes dans lesquels ils se souviennent de leurs premiers émois adolescents et leur découverte de la sexualité à travers la lecture. 70 de ces témoignages sont réunis dans un livre aux Éditions Thierry Magnier, mais aussi dans un livre audio édité chez Actes Sud. ARTE Radio adapte 12 de ces textes en podcast qui sont lus par leurs auteurs et autrices (surtout autrices, hein) : Mélanie Boutet, Alice Briant, Thomas-Louis Cepitelli, Margaux Conduzorgues, Nadia Daam, Laure Decourchelle, Maryam Douari, Romain Ischard, Emmanuelle Kaiser, Judith Margolin, Tiphaine Rault, Anne Terral et Victoire Tuaillon.   Enregistrement : octobre 2023 - Réalisation et musique originale : Samuel Hirsch - Illustration : Aurélie Garnier - Production : ARTE Radio - Samuel Hirsch
11/29/20235 minutes, 18 seconds
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#WhenIwas15 : Toute première fois

Très envie que ce soit lui 7e épisode : "Toute première fois" de Mélanie Boutet. #WhenIwas15, dire et lire le désirÀ quinze ans, on a les hormones en folie, de l’acné, parfois même des bagues. On voit son corps changer presque chaque jour, les poils qui débarquent, les seins qui poussent, les vergetures qui zèbrent la peau, un nez dur à décrire, les hanches qui s’élargissent, les aisselles qui sentent plus fort.L’été parfois, on a très chaud, trop chaud, on palpite, on frissonne, on fantasme, on ne pense qu’à ça, on joue avec l’idée, on passe à l’acte, on a peur, on est populaire ou invisible, on se demande quoi faire avec ses doigts ou avec sa langue, on écoute plein de musique très fort, parfois on lit ou on écrit des poèmes. On trouve ses parents ringards et débiles et en même temps, on a encore des doudous, on suce parfois son pouce, on ne voudrait manger que des céréales et des bonbons et parfois même, en cachette, on joue encore avec ses jouets…Alors une fois devenu grand ou grande, qu’est-ce qu’il nous reste de tout ça, de ses premiers contacts avec la salive de l’autre, parfois avec son sexe ou avec le sien, de cette ardeur et de cette peur, de cette enfance qui s’en va et du désir qui arrive. En tous les cas ce qui est sûr, c'est que c’est quelque chose qu’on n’oublie pas. Le 17 juillet 2023, le roman pour grands adolescents Bien trop petit de Manu Causse est interdit à la vente aux mineurs. En réaction à cette censure, l’écrivain Nicolas Mathieu lance alors le hashtag #WHENIWAS15 sur Instagram. Pendant l’été, plus de 500 personnes vont répondre à l’appel et partager sur les réseaux des textes dans lesquels ils se souviennent de leurs premiers émois adolescents et leur découverte de la sexualité à travers la lecture. 70 de ces témoignages sont réunis dans un livre aux Éditions Thierry Magnier, mais aussi dans un livre audio édité chez Actes Sud. ARTE Radio adapte 12 de ces textes en podcast qui sont lus par leurs auteurs et autrices (surtout autrices, hein) : Mélanie Boutet, Alice Briant, Thomas-Louis Cepitelli, Margaux Conduzorgues, Nadia Daam, Laure Decourchelle, Maryam Douari, Romain Ischard, Emmanuelle Kaiser, Judith Margolin, Tiphaine Rault, Anne Terral et Victoire Tuaillon.   Enregistrement : octobre 2023 - Réalisation et musique originale : Samuel Hirsch - Illustration : Aurélie Garnier - Production : ARTE Radio
11/22/20234 minutes, 36 seconds
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#WhenIwas15 : L’amour en mer

J'ai toujours détesté l'été 6e épisode : "L'amour en mer" de Mélanie Boutet. #WhenIwas15, dire et lire le désirÀ quinze ans, on a les hormones en folie, de l’acné, parfois même des bagues. On voit son corps changer presque chaque jour, les poils qui débarquent, les seins qui poussent, les vergetures qui zèbrent la peau, un nez dur à décrire, les hanches qui s’élargissent, les aisselles qui sentent plus fort.L’été parfois, on a très chaud, trop chaud, on palpite, on frissonne, on fantasme, on ne pense qu’à ça, on joue avec l’idée, on passe à l’acte, on a peur, on est populaire ou invisible, on se demande quoi faire avec ses doigts ou avec sa langue, on écoute plein de musique très fort, parfois on lit ou on écrit des poèmes. On trouve ses parents ringards et débiles et en même temps, on a encore des doudous, on suce parfois son pouce, on ne voudrait manger que des céréales et des bonbons et parfois même, en cachette, on joue encore avec ses jouets…Alors une fois devenu grand ou grande, qu’est-ce qu’il nous reste de tout ça, de ses premiers contacts avec la salive de l’autre, parfois avec son sexe ou avec le sien, de cette ardeur et de cette peur, de cette enfance qui s’en va et du désir qui arrive. En tous les cas ce qui est sûr, c'est que c’est quelque chose qu’on n’oublie pas. Le 17 juillet 2023, le roman pour grands adolescents Bien trop petit de Manu Causse est interdit à la vente aux mineurs. En réaction à cette censure, l’écrivain Nicolas Mathieu lance alors le hashtag #WHENIWAS15 sur Instagram. Pendant l’été, plus de 500 personnes vont répondre à l’appel et partager sur les réseaux des textes dans lesquels ils se souviennent de leurs premiers émois adolescents et leur découverte de la sexualité à travers la lecture. 70 de ces témoignages sont réunis dans un livre aux Éditions Thierry Magnier, mais aussi dans un livre audio édité chez Actes Sud. ARTE Radio adapte 12 de ces textes en podcast qui sont lus par leurs auteurs et autrices (surtout autrices, hein) : Mélanie Boutet, Alice Briant, Thomas-Louis Cepitelli, Margaux Conduzorgues, Nadia Daam, Laure Decourchelle, Maryam Douari, Romain Ischard, Emmanuelle Kaiser, Judith Margolin, Tiphaine Rault, Anne Terral et Victoire Tuaillon.   Enregistrement : octobre 2023 - Réalisation et musique originale : Samuel Hirsch - Illustration : Aurélie Garnier - Production : ARTE Radio - Samuel Hirsch
11/15/20234 minutes, 31 seconds
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#WhenIwas15 : Chocapic et libido

Couchée sous lui et un velux 5e épisode : "Chocapic et libido" de Margaux Conduzorgues. #WhenIwas15, dire et lire le désirÀ quinze ans, on a les hormones en folie, de l’acné, parfois même des bagues. On voit son corps changer presque chaque jour, les poils qui débarquent, les seins qui poussent, les vergetures qui zèbrent la peau, un nez dur à décrire, les hanches qui s’élargissent, les aisselles qui sentent plus fort.L’été parfois, on a très chaud, trop chaud, on palpite, on frissonne, on fantasme, on ne pense qu’à ça, on joue avec l’idée, on passe à l’acte, on a peur, on est populaire ou invisible, on se demande quoi faire avec ses doigts ou avec sa langue, on écoute plein de musique très fort, parfois on lit ou on écrit des poèmes. On trouve ses parents ringards et débiles et en même temps, on a encore des doudous, on suce parfois son pouce, on ne voudrait manger que des céréales et des bonbons et parfois même, en cachette, on joue encore avec ses jouets…Alors une fois devenu grand ou grande, qu’est-ce qu’il nous reste de tout ça, de ses premiers contacts avec la salive de l’autre, parfois avec son sexe ou avec le sien, de cette ardeur et de cette peur, de cette enfance qui s’en va et du désir qui arrive. En tous les cas ce qui est sûr, c'est que c’est quelque chose qu’on n’oublie pas. Le 17 juillet 2023, le roman pour grands adolescents Bien trop petit de Manu Causse est interdit à la vente aux mineurs. En réaction à cette censure, l’écrivain Nicolas Mathieu lance alors le hashtag #WHENIWAS15 sur Instagram. Pendant l’été, plus de 500 personnes vont répondre à l’appel et partager sur les réseaux des textes dans lesquels ils se souviennent de leurs premiers émois adolescents et leur découverte de la sexualité à travers la lecture. 70 de ces témoignages sont réunis dans un livre aux Éditions Thierry Magnier, mais aussi dans un livre audio édité chez Actes Sud. ARTE Radio adapte 12 de ces textes en podcast qui sont lus par leurs auteurs et autrices (surtout autrices, hein) : Mélanie Boutet, Alice Briant, Thomas-Louis Cepitelli, Margaux Conduzorgues, Nadia Daam, Laure Decourchelle, Maryam Douari, Romain Ischard, Emmanuelle Kaiser, Judith Margolin, Tiphaine Rault, Anne Terral et Victoire Tuaillon. Enregistrement : octobre 2023 - Réalisation et musique originale : Samuel Hirsch - Illustration : Aurélie Garnier - Production : ARTE Radio - Samuel Hirsch
11/8/20234 minutes, 28 seconds
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WhenIwas15 : Ma lampe, ma langue et moi

Goûter la sueur de mes aisselles 4e épisode : "Ma lampe, ma langue et moi" d'Anne Terral. #WhenIwas15, dire et lire le désirÀ quinze ans, on a les hormones en folie, de l’acné, parfois même des bagues. On voit son corps changer presque chaque jour, les poils qui débarquent, les seins qui poussent, les vergetures qui zèbrent la peau, un nez dur à décrire, les hanches qui s’élargissent, les aisselles qui sentent plus fort.L’été parfois, on a très chaud, trop chaud, on palpite, on frissonne, on fantasme, on ne pense qu’à ça, on joue avec l’idée, on passe à l’acte, on a peur, on est populaire ou invisible, on se demande quoi faire avec ses doigts ou avec sa langue, on écoute plein de musique très fort, parfois on lit ou on écrit des poèmes. On trouve ses parents ringards et débiles et en même temps, on a encore des doudous, on suce parfois son pouce, on ne voudrait manger que des céréales et des bonbons et parfois même, en cachette, on joue encore avec ses jouets…Alors une fois devenu grand ou grande, qu’est-ce qu’il nous reste de tout ça, de ses premiers contacts avec la salive de l’autre, parfois avec son sexe ou avec le sien, de cette ardeur et de cette peur, de cette enfance qui s’en va et du désir qui arrive. En tous les cas ce qui est sûr, c'est que c’est quelque chose qu’on n’oublie pas. Le 17 juillet 2023, le roman pour grands adolescents Bien trop petit de Manu Causse est interdit à la vente aux mineurs. En réaction à cette censure, l’écrivain Nicolas Mathieu lance alors le hashtag #WHENIWAS15 sur Instagram. Pendant l’été, plus de 500 personnes vont répondre à l’appel et partager sur les réseaux des textes dans lesquels ils se souviennent de leurs premiers émois adolescents et leur découverte de la sexualité à travers la lecture. 70 de ces témoignages sont réunis dans un livre aux Éditions Thierry Magnier, mais aussi dans un livre audio édité chez Actes Sud. ARTE Radio adapte 12 de ces textes en podcast qui sont lus par leurs auteurs et autrices (surtout autrices, hein) : Mélanie Boutet, Alice Briant, Thomas-Louis Cepitelli, Margaux Conduzorgues, Nadia Daam, Laure Decourchelle, Maryam Douari, Romain Ischard, Emmanuelle Kaiser, Judith Margolin, Tiphaine Rault, Anne Terral et Victoire Tuaillon. Enregistrement : octobre 2023 - Réalisation : Charlie Marcelet - Musique originale : Samuel Hirsch - Illustration : Aurélie Garnier - Production : ARTE Radio - Samuel Hirsch
10/27/20232 minutes, 32 seconds
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WhenIwas15 : Le goût de sa salive dégueu

Les garçons sont des cons 3e épisode : "Le goût de sa salive dégueu" de Nadia Daam. #WhenIwas15, dire et lire le désirÀ quinze ans, on a les hormones en folie, de l’acné, parfois même des bagues. On voit son corps changer presque chaque jour, les poils qui débarquent, les seins qui poussent, les vergetures qui zèbrent la peau, un nez dur à décrire, les hanches qui s’élargissent, les aisselles qui sentent plus fort.L’été parfois, on a très chaud, trop chaud, on palpite, on frissonne, on fantasme, on ne pense qu’à ça, on joue avec l’idée, on passe à l’acte, on a peur, on est populaire ou invisible, on se demande quoi faire avec ses doigts ou avec sa langue, on écoute plein de musique très fort, parfois on lit ou on écrit des poèmes. On trouve ses parents ringards et débiles et en même temps, on a encore des doudous, on suce parfois son pouce, on ne voudrait manger que des céréales et des bonbons et parfois même, en cachette, on joue encore avec ses jouets…Alors une fois devenu grand ou grande, qu’est-ce qu’il nous reste de tout ça, de ses premiers contacts avec la salive de l’autre, parfois avec son sexe ou avec le sien, de cette ardeur et de cette peur, de cette enfance qui s’en va et du désir qui arrive. En tous les cas ce qui est sûr, c'est que c’est quelque chose qu’on n’oublie pas. Le 17 juillet 2023, le roman pour grands adolescents Bien trop petit de Manu Causse est interdit à la vente aux mineurs. En réaction à cette censure, l’écrivain Nicolas Mathieu lance alors le hashtag #WHENIWAS15 sur Instagram. Pendant l’été, plus de 500 personnes vont répondre à l’appel et partager sur les réseaux des textes dans lesquels ils se souviennent de leurs premiers émois adolescents et leur découverte de la sexualité à travers la lecture. 70 de ces témoignages sont réunis dans un livre aux Éditions Thierry Magnier, mais aussi dans un livre audio édité chez Actes Sud. ARTE Radio adapte 12 de ces textes en podcast qui sont lus par leurs auteurs et autrices (surtout autrices, hein) : Mélanie Boutet, Alice Briant, Thomas-Louis Cepitelli, Margaux Conduzorgues, Nadia Daam, Laure Decourchelle, Maryam Douari, Romain Ischard, Emmanuelle Kaiser, Judith Margolin, Tiphaine Rault, Anne Terral et Victoire Tuaillon. Enregistrement : octobre 2023 - Réalisation : Charlie Marcelet - Musique originale : Samuel Hirsch - Illustration : Aurélie Garnier - Production : ARTE Radio - Samuel Hirsch
10/27/20232 minutes, 4 seconds
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WhenIwas15 : Au suivant

Le pèlerinage du désir 2e épisode : "Au suivant" de Victoire Tuaillon. #WhenIwas15, dire et lire le désirÀ quinze ans, on a les hormones en folie, de l’acné, parfois même des bagues. On voit son corps changer presque chaque jour, les poils qui débarquent, les seins qui poussent, les vergetures qui zèbrent la peau, un nez dur à décrire, les hanches qui s’élargissent, les aisselles qui sentent plus fort.L’été parfois, on a très chaud, trop chaud, on palpite, on frissonne, on fantasme, on ne pense qu’à ça, on joue avec l’idée, on passe à l’acte, on a peur, on est populaire ou invisible, on se demande quoi faire avec ses doigts ou avec sa langue, on écoute plein de musique très fort, parfois on lit ou on écrit des poèmes. On trouve ses parents ringards et débiles et en même temps, on a encore des doudous, on suce parfois son pouce, on ne voudrait manger que des céréales et des bonbons et parfois même, en cachette, on joue encore avec ses jouets…Alors une fois devenu grand ou grande, qu’est-ce qu’il nous reste de tout ça, de ses premiers contacts avec la salive de l’autre, parfois avec son sexe ou avec le sien, de cette ardeur et de cette peur, de cette enfance qui s’en va et du désir qui arrive. En tous les cas ce qui est sûr, c'est que c’est quelque chose qu’on n’oublie pas. Le 17 juillet 2023, le roman pour grands adolescents Bien trop petit de Manu Causse est interdit à la vente aux mineurs. En réaction à cette censure, l’écrivain Nicolas Mathieu lance alors le hashtag #WHENIWAS15 sur Instagram. Pendant l’été, plus de 500 personnes vont répondre à l’appel et partager sur les réseaux des textes dans lesquels ils se souviennent de leurs premiers émois adolescents et leur découverte de la sexualité à travers la lecture. 70 de ces témoignages sont réunis dans un livre aux Éditions Thierry Magnier, mais aussi dans un livre audio édité chez Actes Sud. ARTE Radio adapte 12 de ces textes en podcast qui sont lus par leurs auteurs et autrices (surtout autrices, hein) : Mélanie Boutet, Alice Briant, Thomas-Louis Cepitelli, Margaux Conduzorgues, Nadia Daam, Laure Decourchelle, Maryam Douari, Romain Ischard, Emmanuelle Kaiser, Judith Margolin, Tiphaine Rault, Anne Terral et Victoire Tuaillon. Enregistrement : octobre 2023 - Réalisation et musique originale : Samuel Hirsch - Illustration : Aurélie Garnier - Production : ARTE Radio - Samuel Hirsch
10/25/20234 minutes, 7 seconds
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WhenIwas15 : Moi, moche et brûlante

La jeune lesbienne en feu 1er épisode : "Moi, moche et brûlante" de Tiphaine Rault. #WhenIwas15, lire et dire le désirÀ quinze ans, on a les hormones en folie, de l’acné, parfois même des bagues. On voit son corps changer presque chaque jour, les poils qui débarquent, les seins qui poussent, les vergetures qui zèbrent la peau, un nez dur à décrire, les hanches qui s’élargissent, les aisselles qui sentent plus fort.L’été parfois, on a très chaud, trop chaud, on palpite, on frissonne, on fantasme, on ne pense qu’à ça, on joue avec l’idée, on passe à l’acte, on a peur, on est populaire ou invisible, on se demande quoi faire avec ses doigts ou avec sa langue, on écoute plein de musique très fort, parfois on lit ou on écrit des poèmes. On trouve ses parents ringards et débiles et en même temps, on a encore des doudous, on suce parfois son pouce, on ne voudrait manger que des céréales et des bonbons et parfois même, en cachette, on joue encore avec ses jouets…Alors une fois devenu grand ou grande, qu’est-ce qu’il nous reste de tout ça, de ses premiers contacts avec la salive de l’autre, parfois avec son sexe ou avec le sien, de cette ardeur et de cette peur, de cette enfance qui s’en va et du désir qui arrive. En tous les cas ce qui est sûr, c'est que c’est quelque chose qu’on n’oublie pas. Le 17 juillet 2023, le roman pour grands adolescents Bien trop petit de Manu Causse est interdit à la vente aux mineurs. En réaction à cette censure, l’écrivain Nicolas Mathieu lance alors le hashtag #WHENIWAS15 sur Instagram. Pendant l’été, plus de 500 personnes vont répondre à l’appel et partager sur les réseaux des textes dans lesquels ils se souviennent de leurs premiers émois adolescents et leur découverte de la sexualité à travers la lecture. 70 de ces témoignages sont réunis dans un livre aux Éditions Thierry Magnier, mais aussi dans un livre audio édité chez Actes Sud. ARTE Radio adapte 12 de ces textes en podcast qui sont lus par leurs auteurs et autrices (surtout autrices, hein) : Mélanie Boutet, Alice Briant, Thomas-Louis Cepitelli, Margaux Conduzorgues, Nadia Daam, Laure Decourchelle, Maryam Douari, Romain Ischard, Emmanuelle Kaiser, Judith Margolin, Tiphaine Rault, Anne Terral et Victoire Tuaillon. Enregistrement : octobre 2023 - Réalisation et musique originale : Samuel Hirsch - Illustration : Aurélie Garnier - Production : ARTE Radio - Samuel Hirsch
10/24/20234 minutes, 31 seconds
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L'école c'est de la merde (3/3)

Je retrouve Madame Guguen, ma prof de 4e Anis Rhali continue son enquête, il tente de mesurer l'impact qu'ont eu sur lui ses « années collège » dans le 93.  Il reste convaincu que son année de 4ᵉ, au cours de laquelle il a pu écrire, réaliser et jouer dans un court-métrage grâce à une enseignante déterminée, a été décisive. En effet Anis est aujourd'hui vidéaste. Alors il veut en avoir le cœur net. Après avoir interrogé ses camarades, il décide donc de retrouver cette professeure. Madame Guguen vit aujourd'hui à Amsterdam et n'est plus enseignante depuis des années. Quel souvenir garde-t-elle de ces années ? L'école c'est de la merdeLes années scolaires sont denses, on se souvient d’autant de choses qu'on en oublie. Il est donc difficile de rendre palpable l’impact qu’a eu l’école sur un être humain. Pourtant, c'est ce qu’Anis a décidé de faire. Le banlieusard qui a grandi dans le 93 n’a pas un bon souvenir de l’école. Il a l’impression qu’il est devenu qui il est grâce à lui et personne d’autre. Aujourd’hui créateur de contenus sur YouTube et scénariste, il doit admettre que son année de 4ᵉ dans laquelle sa classe a pu écrire, réaliser et jouer dans un court-métrage a peut-être eu une influence sur lui. Il va donc rencontrer ses anciens camarades, mais aussi la prof à l’origine de ce projet pour comprendre. Y a-t-il un lien entre cet événement et sa vie d’aujourd’hui ? L’école est-elle si perfectible que ça ? Et si oui à quel endroit ? Que ce soit le témoignage de Tony, le rappeur informaticien, celui de Mohamed, le banlieusard globe-trotter ou encore Madame Guguen, l’enseignante qui mettait des 18/20 facilement, chaque avis va nous permettre de nous questionner sur l’un des principes fondamentaux de notre société : l’éducation. Anis RhaliAnis est un scénariste, réalisateur et comédien autodidacte. Le banlieusard a fait ses preuves sur internet en exploitant tout ce qu’il pouvait. Court-métrage sur YouTube, expériences sociales ou encore émission de radio. Pour Anis, faire du contenu populaire qui a du sens et du fond, c’est possible. C’est ce qu’il tente de démontrer à travers ses créations.  Enregistrements : Mars 2023 - Réalisation : Anis Rhali - Mixage et musique originale : Arnaud Forest - Illustration : Clémence Moutoussamy - Production : ARTE Radio
9/28/202314 minutes, 27 seconds
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L'école c'est de la merde (2/3)

Je retrouve Mohamed, mon ancien camarade Après sa conversation avec Tony, Anis Rhali voudrait nuancer le portrait sévère qu’il a fait de l’éducation nationale à la française.  Il continue de penser que son année de 4ᵉ a peut-être changé sa vie en positif. Pour avoir un autre son de cloche, il se rend chez un camarade qu'il a complètement perdu de vue : Mohamed, aujourd'hui jeune patron d'un restaurant dans la ville d'Aubervilliers. Là encore le constat n’est pas glorieux et le problème ne se limite pas à l’école.  Mohamed se confie, revisite les souvenirs en commun et raconte comment il a pu s’épanouir à l'étranger et surmonter  le mal-être qu'il a malgré lui développé en France. Anis découvre un parcours à l'opposé du sien. L'école c'est de la merdeLes années scolaires sont denses, on se souvient d’autant de choses qu'on en oublie. Il est donc difficile de rendre palpable l’impact qu’a eu l’école sur un être humain. Pourtant, c'est ce qu’Anis a décidé de faire. Le banlieusard qui a grandi dans le 93 n’a pas un bon souvenir de l’école. Il a l’impression qu’il est devenu qui il est grâce à lui et personne d’autre. Aujourd’hui créateur de contenus sur YouTube et scénariste, il doit admettre que son année de 4ᵉ dans laquelle sa classe a pu écrire, réaliser et jouer dans un court-métrage a peut-être eu une influence sur lui. Il va donc rencontrer ses anciens camarades, mais aussi la prof à l’origine de ce projet pour comprendre. Y a-t-il un lien entre cet événement et sa vie d’aujourd’hui ? L’école est-elle si perfectible que ça ? Et si oui à quel endroit ? Que ce soit le témoignage de Tony, le rappeur informaticien, celui de Mohamed, le banlieusard globe-trotter ou encore Madame Guguen, l’enseignante qui mettait des 18/20 facilement, chaque avis va nous permettre de nous questionner sur l’un des principes fondamentaux de notre société : l’éducation. Anis RhaliAnis est un scénariste, réalisateur et comédien autodidacte. Le banlieusard a fait ses preuves sur internet en exploitant tout ce qu’il pouvait. Court-métrage sur YouTube, expériences sociales ou encore émission de radio. Pour Anis, faire du contenu populaire qui a du sens et du fond, c’est possible. C’est ce qu’il tente de démontrer à travers ses créations.  Enregistrements : Mars 2023 - Réalisation : Anis Rhali - Mixage et musique originale : Arnaud Forest - Illustration : Clémence Moutoussamy - Production : ARTE Radio
9/28/202318 minutes, 35 seconds
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L'école c'est de la merde (1/3)

Je retrouve Tony, mon ancien camarade Anis a grandi dans le 93 et a un très mauvais souvenir de l’école et des profs. Lui qui est désormais créateur de contenu sur YouTube, pense que sa créativité n’avait pas sa place à l’école et qu’on ne l’a pas encouragé à la révéler. Mais s’il se trompait ? Si son constat était peut-être finalement un peu caricatural ? Parce que maintenant qu’il y pense, il se souvient qu’en 4ᵉ il a fait un court-métrage grâce à l’une de ses profs. Alors il s’interroge, et si en fin de compte cette année 2003 avait eu un énorme impact sur lui ? Et s’il devait tout au projet cinéma de sa prof de français ? Pour le savoir, il se rend chez Tony, l’un de ses camarades de classe de l’époque qui a eu, comme lui, un parcours artistique, mais lui dans le rap. L'école c'est de la merdeLes années scolaires sont denses, on se souvient d’autant de choses qu'on en oublie. Il est donc difficile de rendre palpable l’impact qu’a eu l’école sur un être humain. Pourtant, c'est ce qu’Anis a décidé de faire. Le banlieusard qui a grandi dans le 93 n’a pas un bon souvenir de l’école. Il a l’impression qu’il est devenu qui il est grâce à lui et personne d’autre. Aujourd’hui créateur de contenus sur YouTube et scénariste, il doit admettre que son année de 4ᵉ dans laquelle sa classe a pu écrire, réaliser et jouer dans un court-métrage a peut-être eu une influence sur lui. Il va donc rencontrer ses anciens camarades, mais aussi la prof à l’origine de ce projet pour comprendre. Y a-t-il un lien entre cet événement et sa vie d’aujourd’hui ? L’école est-elle si perfectible que ça ? Et si oui à quel endroit ? Que ce soit le témoignage de Tony, le rappeur informaticien, celui de Mohamed, le banlieusard globe-trotter ou encore Madame Guguen, l’enseignante qui mettait des 18/20 facilement, chaque avis va nous permettre de nous questionner sur l’un des principes fondamentaux de notre société : l’éducation. Anis RhaliAnis est un scénariste, réalisateur et comédien autodidacte. Le banlieusard a fait ses preuves sur internet en exploitant tout ce qu’il pouvait. Court-métrage sur YouTube, expériences sociales ou encore émission de radio. Pour Anis, faire du contenu populaire qui a du sens et du fond, c’est possible. C’est ce qu’il tente de démontrer à travers ses créations.    Enregistrements : Mars 2023 - Réalisation : Anis Rhali - Mixage et musique originale : Arnaud Forest - Illustration : Clémence Moutoussamy - Production : ARTE Radio
9/28/202321 minutes, 30 seconds
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Pause pipi (4/4)

Pisse and Love Les toilettes et la miction ne sont pas que source de stress et d’inconfort, elles peuvent aussi être source de soulagement et de plaisir.  Saviez-vous que les urinoirs publics ont été lieu de rencontre pour la communauté gay, lorsque l’homosexualité était encore pénalisée ? Et que nombreuses sont les pratiques sexuelles qui s’amusent avec l’urine ? Liées, souvent au milieu BDSM, ces pratiques sont très codifiées. Qu’est-ce que cela dit des normes de genres et du consentement ? Et si nous transgressions le tabou et laissions aller nos pulsions jusqu’au bout. Jouons avec notre miction et nos convictions ! Avec Marc Martin, photographe et écrivain Lecture : Les tasses. Toilettes privées, affaires publiques, Marc Martin, Ed. Agua Pause pipiNous évacuons en moyenne 1,5 à 2 litres d'urine par jour, soit l'équivalent d’un camion citerne dans une vie !  Faire pipi, est si universel et quotidien, que nous en oublions de questionner ce qui se joue derrière chaque miction : un rapport à son propre corps, à son identité et au monde. Avec malice, Julie Auzou ausculte notre époque par la lunette (relevée ou non, là est la question) en mêlant témoignages de proches, d’une sociologue-géographe, d’un photographe et de personnes rencontrées au fil de ses recherches. Chez soi, dans son lit, à l’école, en manif, dans les bars ou en festival : de l’intimité la plus secrète aux mouvements les plus collectifs, qu’est-ce que l’acte d’uriner révèle de nos rapports de genre ? Une production ARTE Radio. Cette série a bénéficié de l'aide à l'écriture de podcasts du ministère de la Culture.  Enregistrements : janvier à juin 2023 - Prise de son, montage, textes et voix : Julie Auzou - Réalisation : Annabelle Brouard - Musiques et voix additionnelle : Samuel Hirsch - Illustration : Maïc Baxane - Production : ARTE Radio
8/3/202324 minutes, 5 seconds
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Pause pipi (3/4)

La nuit tous les pipis sont gris Tandis que l’alcool coule à flot, l’urine aussi. Moment agréable ou attente insoutenable ? À la nuit tombée, uriner devient plus simple (sur le mur du voisin) ou plus compliqué (entre deux voitures), tout dépend de notre position et de notre degré d’alcoolisation. De pratiques drôles à d’autres (auto)-humiliantes, quelles constructions virilistes se jouent dans ces moments de fête et de lâcher prise ? Quels constats et aménagements de la part des bars et festivals ? Et si le rêve de toilettes inclusives devenait réalité… Pause pipiChaque jour, nous évacuons en moyenne 1,5 à 2 litres d'urine - soit, dans une vie, l’équivalent d’un camion-citerne par personne ! Faire pipi, est si universel et quotidien, que nous en oublions de questionner ce qui se joue derrière chaque miction : un rapport à son propre corps, à son identité et au monde. Avec malice, Julie Auzou ausculte notre époque par la lunette (relevée ou non, là est la question) en mêlant témoignages de proches, d’une sociologue-géographe, d’un photographe et de personnes rencontrées au fil de ses recherches. Chez soi, dans son lit, à l’école, en manif, dans les bars ou en festival : de l’intimité la plus secrète aux mouvements les plus collectifs, qu’est-ce que l’acte d’uriner révèle de nos rapports de genre ? Une production ARTE Radio. Cette série a bénéficié de l'aide à l'écriture de podcasts du ministère de la Culture. Enregistrements : janvier à juin 2023 - Prise de son, montage, textes et voix : Julie Auzou - Réalisation : Annabelle Brouard - Musiques et voix additionnelle : Samuel Hirsch - Illustration : Maïc Baxane - Production : ARTE Radio - Samuel Hirsch
8/3/202322 minutes, 11 seconds
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Pause pipi (2/4)

À la recherche des toilettes perdues Dans l’espace public, quand l’envie devient pressante, les hommes n’ont (presque) qu’à ouvrir leur braguette, tandis que pour les femmes, commence la galère. Chacune développe alors ses « propres » stratégies. Et quand enfin des toilettes font leur apparition, d’autres problématiques aussi ! La non-mixité des toilettes publique est convention même obligation. De quoi cela est-il la manifestation ? Alors que les codes sont inculqués dès la plus tendre enfance, comment cela dégouline-t-il à l’âge à adulte… Avec Édith Maruéjouls, sociologue et géographe du genre. Lecture : Faire je(u) égal, Penser les espaces à l’école pour inclure tous les enfants, Édith Maruéjouls, Ed. Double Ponctuation Pause pipiNous évacuons en moyenne 1,5 à 2 litres d'urine par jour, soit l'équivalent d’un camion citerne dans une vie !  Faire pipi, est si universel et quotidien, que nous en oublions de questionner ce qui se joue derrière chaque miction : un rapport à son propre corps, à son identité et au monde. Avec malice, Julie Auzou ausculte notre époque par la lunette (relevée ou non, là est la question) en mêlant témoignages de proches, d’une sociologue-géographe, d’un photographe et de personnes rencontrées au fil de ses recherches. Chez soi, dans son lit, à l’école, en manif, dans les bars ou en festival : de l’intimité la plus secrète aux mouvements les plus collectifs, qu’est-ce que l’acte d’uriner révèle de nos rapports de genre ? Une production ARTE Radio. Cette série a bénéficié de l'aide à l'écriture de podcasts du ministère de la Culture.  Enregistrements : janvier à juin 2023 - Prise de son, montage, textes et voix : Julie Auzou - Réalisation : Annabelle Brouard - Musiques et voix additionnelle : Samuel Hirsch - Illustration : Maïc Baxane - Production : ARTE Radio - Responsable éditorial : Silvain Gire - Samuel Hirsch
8/3/202318 minutes, 43 seconds
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Pause pipi (1/4)

Pleure tu pisseras moins « Ah si je pouvais faire pipi debout ! » Quelle personne dotée d’une vulve n’a pas eu, ne serait-ce qu’une seule fois, cette pensée traverser son esprit ? Position privilégiée ou imposée, dominante ou enfermante ? Et la lunette, levée ou baissée ? Geste anodin ou subi au quotidien ? Qu’est-ce qu’est-ce que ces positions aux toilettes déterminent de notre position dans la société ? C’est le début d’une enquête décalée et documentée. Pour commencer, remontons à la petite enfance. Tandis que les toilettes non mixtes et les urinoirs font leur entrée à l’école élémentaire, les codes genrés s’assimilent goutte après goutte... Avec :- Des élèves du collège La Ville aux Roses de Chateaubriant et de l’école publique d’Issé,- Edith Maruéjouls, sociologue et géographe du genre. Lecture : Faire je(u) égal, Penser les espaces à l’école pour inclure tous les enfants, Édith Maruéjouls, Ed. Double Ponctuation Pause pipiNous évacuons en moyenne 1,5 à 2 litres d'urine par jour, soit l'équivalent d’un camion citerne dans une vie ! Faire pipi, est si universel et quotidien, que nous en oublions de questionner ce qui se joue derrière chaque miction : un rapport à son propre corps, à son identité et au monde. Avec malice, Julie Auzou ausculte notre époque par la lunette (relevée ou non, là est la question) en mêlant témoignages de proches, d’une sociologue-géographe, d’un photographe et de personnes rencontrées au fil de ses recherches. Chez soi, dans son lit, à l’école, en manif, dans les bars ou en festival : de l’intimité la plus secrète aux mouvements les plus collectifs, qu’est-ce que l’acte d’uriner révèle de nos rapports de genre ? Une production ARTE Radio. Cette série a bénéficié de l'aide à l'écriture de podcasts du ministère de la Culture. Enregistrements : janvier à juin 2023 - Prise de son, montage, textes et voix : Julie Auzou - Réalisation : Annabelle Brouard - Musiques et voix additionnelle : Samuel Hirsch - Illustration : Maïc Baxane - Production : ARTE Radio - Samuel Hirsch
8/3/202319 minutes, 6 seconds
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Bande-annonce Backstage

Ils travaillent pour que la musique résonne dans les plus grandes salles. Les régisseurs de concerts racontent l’envers du live avec NTM et Oasis, Marilyn Manson et MHD.   Ils sont à la fois baby-sitter, couteau suisse et confident. Ils travaillent dans l’ombre des plus grandes stars de la pop, du rap et du rock. Dans les coulisses comme dans le tour bus, ils ont tout vu et tout vécu, mais ils ne racontent (presque) jamais rien.Pour organiser les concerts les plus fous avec les musiciens les plus fantasques, il faut des régisseurs rigoureux, pragmatiques, et toujours à la hauteur des événements. A travers des anecdotes insolites et touchantes, ces femmes et ces hommes de l’ombre racontent leur métier et leur proximité pas toujours simple avec les musiciens. Enregistrements : octobre 2020 à juin 2022 - Réalisation : Samuel Hirsch - Musique originale : Samuel Hirsch - Illustration : Thomas Gozzo - Production : ARTE Radio - Samuel Hirsch
3/30/20231 minute, 1 second
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Backstage (6/6) : Des kilomètres en chantant avec Camille

Racontés par Maddly Maddly évoque l’un de ses meilleurs souvenirs de régisseuse : une tournée acoustique et 100 % bio de la chanteuse Camille, où chaque concert est l’occasion d’une promenade dans la campagne. Backstage, dans l'ombre des starsIls travaillent pour que la musique résonne dans les plus grandes salles. Les régisseurs de concerts racontent l’envers du live avec NTM et Oasis, Marilyn Manson et MHD.  Ils sont à la fois baby-sitter, couteau suisse et confident. Ils travaillent dans l’ombre des plus grandes stars de la pop, du rap et du rock. Dans les coulisses comme dans le tour bus, ils ont tout vu et tout vécu, mais ils ne racontent (presque) jamais rien.Pour organiser les concerts les plus fous avec les musiciens les plus fantasques, il faut des régisseurs rigoureux, pragmatiques, et toujours à la hauteur des événements. À travers des anecdotes insolites et touchantes, ces femmes et ces hommes de l’ombre racontent leur métier et leur proximité pas toujours simple avec les musiciens. Enregistrements : octobre 2020 à juin 2022 - Réalisation : Samuel Hirsch - Musique originale : Samuel Hirsch - Musiques additionnelles : Camille, La demeure d’un ciel - Illustration : Thomas Gozzo - Production : ARTE Radio - Samuel Hirsch
3/30/20236 minutes, 15 seconds
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Backstage (5/6) : Soirée skinhead avec Chassol

Racontée par Boris Memmi Insultes racistes et mise à l’amende : lors d’une nuit bouillante dans un squat à Vilnius, en Lituanie, le régisseur Boris Memmi voit le pianiste Christophe Chassol foncer dans une meute de jeunes skinheads éméchés. Backstage, dans l'ombre des starsIls travaillent pour que la musique résonne dans les plus grandes salles. Les régisseurs de concerts racontent l’envers du live avec NTM et Oasis, Marilyn Manson et MHD.  Ils sont à la fois baby-sitter, couteau suisse et confident. Ils travaillent dans l’ombre des plus grandes stars de la pop, du rap et du rock. Dans les coulisses comme dans le tour bus, ils ont tout vu et tout vécu, mais ils ne racontent (presque) jamais rien.Pour organiser les concerts les plus fous avec les musiciens les plus fantasques, il faut des régisseurs rigoureux, pragmatiques, et toujours à la hauteur des événements. À travers des anecdotes insolites et touchantes, ces femmes et ces hommes de l’ombre racontent leur métier et leur proximité pas toujours simple avec les musiciens. Enregistrements : octobre 2020 à juin 2022 - Réalisation : Samuel Hirsch - Musique originale : Samuel Hirsch - Musiques additionnelles : Chassol, Pipornithology et Chassol , Reich & Darwin - Illustration : Thomas Gozzo - Production : ARTE Radio - Samuel Hirsch
3/30/20238 minutes, 28 seconds
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Backstage (4/6) : Une journée en enfer avec Simple Minds

Racontée par J.P. Pernet Grève des employés municipaux, concert de Simple Minds interrompu, électrocution et séjour à l'hôpital : J.P. Pernet se rappelle sa pire journée de régisseur en 30 ans de métier. Backstage, dans l'ombre des starsIls travaillent pour que la musique résonne dans les plus grandes salles. Les régisseurs de concerts racontent l’envers du live avec NTM et Oasis, Marilyn Manson et MHD.  Ils sont à la fois baby-sitter, couteau suisse et confident. Ils travaillent dans l’ombre des plus grandes stars de la pop, du rap et du rock. Dans les coulisses comme dans le tour bus, ils ont tout vu et tout vécu, mais ils ne racontent (presque) jamais rien.Pour organiser les concerts les plus fous avec les musiciens les plus fantasques, il faut des régisseurs rigoureux, pragmatiques, et toujours à la hauteur des événements. À travers des anecdotes insolites et touchantes, ces femmes et ces hommes de l’ombre racontent leur métier et leur proximité pas toujours simple avec les musiciens. Enregistrements : octobre 2020 à juin 2022 - Réalisation : Samuel Hirsch - Musique originale : Samuel Hirsch - Musiques additionnelles : Simple Minds, Intro Waterfront, Live - Illustration : Thomas Gozzo - Production : ARTE Radio - Samuel Hirsch
3/30/20236 minutes, 32 seconds
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Backstage (3/6) : La dernière bagarre des frères Gallagher d’Oasis

Racontée par Phillipe Guerreiro La fameuse embrouille des frères Gallagher vécue en coulisses par leur régisseur Philippe Guerreiro au festival Rock en Seine en août 2009. Cette baston fraternelle entre Liam et Noel marque la fin définitive du mythique groupe anglais Oasis. Backstage, dans l'ombre des starsIls travaillent pour que la musique résonne dans les plus grandes salles. Les régisseurs de concerts racontent l’envers du live avec NTM et Oasis, Marilyn Manson et MHD.  Ils sont à la fois baby-sitter, couteau suisse et confident. Ils travaillent dans l’ombre des plus grandes stars de la pop, du rap et du rock. Dans les coulisses comme dans le tour bus, ils ont tout vu et tout vécu, mais ils ne racontent (presque) jamais rien.Pour organiser les concerts les plus fous avec les musiciens les plus fantasques, il faut des régisseurs rigoureux, pragmatiques, et toujours à la hauteur des événements. À travers des anecdotes insolites et touchantes, ces femmes et ces hommes de l’ombre racontent leur métier et leur proximité pas toujours simple avec les musiciens. Enregistrements : octobre 2020 à juin 2022 - Réalisation : Samuel Hirsch - Musique originale : Samuel Hirsch - Illustration : Thomas Gozzo - Production : ARTE Radio - Samuel Hirsch
3/30/20239 minutes, 21 seconds
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Backstage (2/6) : Retour en Afrique avec MHD

Raconté par Christophe Pommier Quand le rappeur MHD rentre au pays pour un concert gratuit en plein air, son régisseur Christophe Pommier se rappelle la monstrueuse émeute qui a mis tout le monde en danger de mort. Backstage, dans l'ombre des starsIls travaillent pour que la musique résonne dans les plus grandes salles. Les régisseurs de concerts racontent l’envers du live avec NTM et Oasis, Marilyn Manson et MHD.  Ils sont à la fois baby-sitter, couteau suisse et confident. Ils travaillent dans l’ombre des plus grandes stars de la pop, du rap et du rock. Dans les coulisses comme dans le tour bus, ils ont tout vu et tout vécu, mais ils ne racontent (presque) jamais rien.Pour organiser les concerts les plus fous avec les musiciens les plus fantasques, il faut des régisseurs rigoureux, pragmatiques, et toujours à la hauteur des événements. A travers des anecdotes insolites et touchantes, ces femmes et ces hommes de l’ombre racontent leur métier et leur proximité pas toujours simple avec les musiciens. Enregistrements : octobre 2020 à juin 2022 - Réalisation : Samuel Hirsch - Musique originale : Samuel Hirsch - Illustration : Thomas Gozzo - Production : ARTE Radio - Samuel Hirsch
3/30/20237 minutes, 58 seconds
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Backstage (1/6) : Vis ma vie de régisseur(se)

Les coulisses des plus grands concerts Premier levé, dernier couché, rarement remercié : un bon régisseur doit gérer n’importe quel problème à n’importe quel instant. Mais que faire quand Marilyn Manson « adopte » un chien qui ne lui appartient pas ? Quand même Joeystarr devient câlin après l’ultime concert de NTM ? Quand Gérard Depardieu réclame des frites à trois heures du matin ? Les régisseurs et régisseuses des concerts pop et rap racontent leurs aventures sur les routes et leur dévouement pour les artistes qu’ils accompagnent.Avec Maddly, Christophe Pommier, Philippe Guerreiro, Boris Memmi et J.P. Pernet. Backstage, dans l'ombre des starsIls travaillent pour que la musique résonne dans les plus grandes salles. Les régisseurs de concerts racontent l’envers du live avec NTM et Oasis, Marilyn Manson et MHD.  Ils sont à la fois baby-sitter, couteau suisse et confident. Ils travaillent dans l’ombre des plus grandes stars de la pop, du rap et du rock. Dans les coulisses comme dans le tour bus, ils ont tout vu et tout vécu, mais ils ne racontent (presque) jamais rien.Pour organiser les concerts les plus fous avec les musiciens les plus fantasques, il faut des régisseurs rigoureux, pragmatiques, et toujours à la hauteur des événements. A travers des anecdotes insolites et touchantes, ces femmes et ces hommes de l’ombre racontent leur métier et leur proximité pas toujours simple avec les musiciens. Enregistrements : octobre 2020 à juin 2022 - Réalisation : Samuel Hirsch - Musique originale : Samuel Hirsch - Musiques additionnelles : Alekos, Antilope, Alekos Rec et Inna De Yard feat. Winston McAnuff : Malcom X, Chapter Two Rec - Illustration : Thomas Gozzo - Production : ARTE Radio - Samuel Hirsch
3/29/202320 minutes, 54 seconds
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Comment finir une guerre (8/8)

De nouvelles armes Un an après son désarmement, l’organisation ETA s’est officiellement auto-dissoute le 4 mai 2018. C’est Josu Urrutikoetxea qui a lu le communiqué, depuis sa nouvelle vie cachée, quelque part dans les Alpes françaises. Sa longue cavale clandestine prend fin le 16 mai 2019, lors d’une consultation à l’hôpital de Sallanches. Il est alors dénoncé et arrêté par la police française. Aujourd’hui, il risque encore de la prison en France et la justice espagnole l’attend de pied ferme pour le juger et le condamner. Qu’est ce qui va se passer maintenant pour Josu et tous les autres indépendantistes incarcérés, alors qu’ETA n’existe plus ? Est-ce que le désarmement à permis d’avancer dans le processus ? Le Pays basque est-il enfin en paix ? Avec Josu Urrutikoetxea, militant indépendantiste et ancien membre d’ETA, Laure Heinich, avocate de Josu Urrutikoetxea, Caroline Guibet Lafaye, chercheuse en sciences sociales, spécialiste de la question de la violence politique et Véronique Dudouet, médiatrice internationale dans une ONG allemande, spécialiste de la transformation des conflits violents en conflit non violents. Ressources- Interview de David Pla du 20 février 2017 Sur Josu Urrutikoetxea :- « À partir de maintenant, rien n’est tracé, vous êtes les acteurs »- Toute une vie dans ETA Caroline Guibet Lafaye :- Violence stratégique et autodéfense au Pays basque.- ETA Euskadi Ta Askatasuna ; témoignage de quatre générations de militantes et militants, avec Alexandra Frénod. Véronique Dudouet, La société civile, un acteur moteur du processus de paix au Pays basque.Prisonniers basquesAssociation Etxerat Sur le processus de paix :- De la fin de la lutte armée au défit de la réconciliation, Interview de Jean-Pierre Massias.- Le désarmement, la voie basque d'Iñaki Egaña.- L'hypothèse démocratique, de Thomas Lacoste. Comment finir une guerre raconte la fin du conflit armé au Pays basque du point de vue de militants et d’habitants engagés dans le processus de paix. Cette version ne se substitue pas aux autres récits existants, et plus volontiers médiatisés. Elle n’oublie pas les milliers de victimes et de souffrances causées par les deux camps. Elle veut porter un éclairage neuf sur la version basque d’un enjeu universel : comment faire la paix avec son ennemi ? Comment finir une guerre - Une histoire de la fin de la lutte armée au Pays basqueEn 2011, après plus de 50 ans de conflit, l’organisation basque ETA annonce officiellement la fin de la lutte armée. Au Pays basque, des deux côtés de la frontière pyrénéenne, c’est une page qui se tourne, et l’espoir qu’une paix durable puisse enfin s’installer. Mais la route est encore longue. D’abord, il faut rassembler les armes. Des tonnes d’armes, disséminées dans les campagnes françaises. Puis les rendre au camp d’en face, afin qu’elles soient détruites. Enfin il faut asseoir les deux camps – ETA d’un côté, les États espagnols et français de l’autre – autour d’une même table. S’écouter et se confronter. S’accorder, juger et réparer. Envisager, pourquoi pas, un avenir commun. Il faut beaucoup d’ingrédients pour bien finir une guerre.Mais les États espagnols et français ne répondent pas à la main tendue d’ETA. Au contraire, ils continuent de surveiller, arrêter, condamner les militants indépendantistes basques. Et ça dure. À croire que les États veulent continuer la guerre. Comment faire, quand on est seul à vouloir faire la paix ? Les membres d’ETA sont résolus. Il va falloir trouver une autre solution pour détruire ces armes, et permettre au processus d’avancer. Commence alors pour ces militants indépendantistes une longue série de tractations secrètes et de péripéties. Les protagonistes de cette histoire sont basques. Ils racontent leur guerre, ils racontent aussi leur chemin vers la paix. Parmi eux, certains ont connu la prison, la torture, vécu en clandestinité, d’autres sont aujourd’hui encore accusés de terrorisme. Mais tous ont grandi sur une terre qu’ils ne considèrent pas tout à fait comme étant la France ou l’Espagne. Qu’est-ce qui fait que ces hommes et ces femmes sont allés jusqu’à prendre les armes pour cette terre ? Et qu’est-ce qui les a poussés à les rendre ?Et puis c’est qui d’abord, ces basques ? Est-ce qu’on naît basque ou est-ce qu’on le devient ? "Comment finir une guerre" peut s’écouter même – et surtout – si on n’y connaît rien, au conflit basque. Une série dense et profondément politique, mais aussi joyeuse, tragique et douloureuse, racontée comme un polar, avec de vrais morceaux de suspens, de questions existentielles, et de musiques made in Pays basque. RemerciementsMerci à tou·te·s celles et ceux qui ont pris le temps de me raconter, d’expliquer, de répondre à mes questions :Anais Funosas de Bake Bidea, Argi Perurena dont le père, Bixente Perurena, a été assassiné par les GAL en 1984 à Hendaye, Anita Lopepe militante à EH Bai, Agus Hernan pour le forum social permanent, Xantiana Cachenaut avocate, Françoise Sironi chercheuse en psychologie, Christian Aguerre paysan gourmet, Gabi Mouesca ancien prisonnier et travailleur social, Giuliano Cavaterra, pour son livre « Au cœur du conflit basque », Kristiane Etchalus militante indépendantiste, Nekane Txapartegi ancienne prisonnière et victime de torture, militante indépendantiste, Olatz Retegi chercheuse, Olivier Peter avocat, Maritxu Paulus Basurco avocate, Denis O’Kelly sympathisant de la cause basque, les membres de l’association Harrera, Sophie Wahnich chercheuse en histoire, Egoitz Urrutikoetxea chercheur en histoire, Olivia Ipharraguerre, chanteuse.  Merci aussi à Jean-François Lefort, Thomas Lacoste, Christian Borde, Joana Pochelu, Kristof Hiriart et Maite Garra de la compagnie Lagunarte, Arnaud Sauvage et la compagnie La Fabrique Affamée et à Floriane Miny.Enfin, un merci spécial à Jenofa Berhokoirigoin.  Enregistrements : février, juin à septembre 21 et avril 22 - Réalisation : Anna Buy - Musique : Habia - Voix, violon et chant : Maia Iribarne Olhagarai - Illustration : Zaven Najjar - Production : ARTE Radio - Musique : Habia - Voix, violon et chant : Maia Iribarne Olhagarai
2/23/202324 minutes, 22 seconds
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Comment finir une guerre (7/8)

Le désarmement Txetx Etcheverry rentre au Pays basque après quatre jours de garde à vue dans les locaux de la section antiterroriste de Levallois-Perret. Il a été embarqué avec Michel Berhokoirigoin et Michel Tubiana, suite à une tentative de désarmement d’une partie de l’arsenal d’ETA. Une opération qui s’est déroulée le 16 décembre 2016, à Louhossoa, un petit village du Pays basque Nord. Au Pays basque, tout le monde salue l’action de Txetx Etcheverry, Michel Berhokoirigoin, et Michel Tubiana. C’était risqué, mais c’est ce qu’il fallait faire. Autour de ces trois-là, toute une population se rassemble : des gens qui se disent prêts à s’engager eux aussi pour faire avancer le processus de paix. On les appelle les artisans de la paix. En attendant, ETA est toujours officiellement armée, et il y a plusieurs tonnes d’armes à rendre et à détruire. Il faut absolument trouver un accord avec l’État français pour un déminage sécurisé. Mais jusque là, la France n’a pas eu l’air concernée par cette situation. Pourtant il n’est pas question pour les artisans de la paix de s’arrêter en chemin : ils iront jusqu’au bout d’un désarmement reconnu et officiel. Avec Txetx Etcheverry, militant altermondialiste, Jean-René Etchegaray, maire de Bayonne et président de la communauté d’agglomération du Pays basque et Michel Berhokoirigoin, éleveur paysan à la retraite (décédé en mai 2021). Ressources- Interview de David Pla du 20 février 2017- Récits du désarmement- Les artisans de la paix Sur le processus de paix :- Le désarmement, la voie basque d'Iñaki Egaña.- L'hypothèse démocratique, de Thomas Lacoste. Trajectoires de militantes et militants d'ETA Comment finir une guerre raconte la fin du conflit armé au Pays basque du point de vue de militants et d’habitants engagés dans le processus de paix. Cette version ne se substitue pas aux autres récits existants, et plus volontiers médiatisés. Elle n’oublie pas les milliers de victimes et de souffrances causées par les deux camps. Elle veut porter un éclairage neuf sur la version basque d’un enjeu universel : comment faire la paix avec son ennemi ? Comment finir une guerre - Une histoire de la fin de la lutte armée au Pays basqueEn 2011, après plus de 50 ans de conflit, l’organisation basque ETA annonce officiellement la fin de la lutte armée. Au Pays basque, des deux côtés de la frontière pyrénéenne, c’est une page qui se tourne, et l’espoir qu’une paix durable puisse enfin s’installer. Mais la route est encore longue. D’abord, il faut rassembler les armes. Des tonnes d’armes, disséminées dans les campagnes françaises. Puis les rendre au camp d’en face, afin qu’elles soient détruites. Enfin il faut asseoir les deux camps – ETA d’un côté, les États espagnols et français de l’autre – autour d’une même table. S’écouter et se confronter. S’accorder, juger et réparer. Envisager, pourquoi pas, un avenir commun. Il faut beaucoup d’ingrédients pour bien finir une guerre.Mais les États espagnols et français ne répondent pas à la main tendue d’ETA. Au contraire, ils continuent de surveiller, arrêter, condamner les militants indépendantistes basques. Et ça dure. À croire que les États veulent continuer la guerre. Comment faire, quand on est seul à vouloir faire la paix ? Les membres d’ETA sont résolus. Il va falloir trouver une autre solution pour détruire ces armes, et permettre au processus d’avancer. Commence alors pour ces militants indépendantistes une longue série de tractations secrètes et de péripéties. Les protagonistes de cette histoire sont basques. Ils racontent leur guerre, ils racontent aussi leur chemin vers la paix. Parmi eux, certains ont connu la prison, la torture, vécu en clandestinité, d’autres sont aujourd’hui encore accusés de terrorisme. Mais tous ont grandi sur une terre qu’ils ne considèrent pas tout à fait comme étant la France ou l’Espagne. Qu’est-ce qui fait que ces hommes et ces femmes sont allés jusqu’à prendre les armes pour cette terre ? Et qu’est-ce qui les a poussés à les rendre ?Et puis c’est qui d’abord, ces basques ? Est-ce qu’on naît basque ou est-ce qu’on le devient ? "Comment finir une guerre" peut s’écouter même – et surtout – si on n’y connaît rien, au conflit basque. Une série dense et profondément politique, mais aussi joyeuse, tragique et douloureuse, racontée comme un polar, avec de vrais morceaux de suspens, de questions existentielles, et de musiques made in Pays basque.  Enregistrements : février, juin à septembre 21 et avril 22 - Réalisation : Anna Buy - Musique : Habia - Voix, violon et chant : Maia Iribarne Olhagarai - Illustration : Zaven Najjar - Production : ARTE Radio - Musique : Habia - Voix, violon et chant : Maia Iribarne Olhagarai
2/23/202325 minutes, 59 seconds
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Comment finir une guerre (6/8)

Le détonateur 2016, cinq années ont passé depuis le cessez-le-feu d’ETA. Aucune négociation n’a eu lieu, et l’organisation est toujours armée. Ses membres continuent d’être arrêtés et condamnés. Mais ils et elles ont quand même réussi à rassembler la majeure partie des armes et à les mettre sous scellés. Quant aux habitant·e·s du Pays basque, ils et elles sont de plus en plus nombreus·e·s à se mobiliser pour chercher des solutions. Il leur faut sortir de ce blocage qui empêche le processus de se mettre en place. Ils et elles tournent en rond, réfléchissent. Désespèrent parfois.Jusqu’au soir du 16 décembre 2016. Ce soir-là, on apprend par les réseaux sociaux qu’une opération de désarmement est en cours dans un village du Pays basque français, Louhossoa. Une opération qui s’avère aussitôt être neutralisée par la police française et le RAID, selon les informations locales puis nationales. Au Pays basque, l’info se répand comme une traînée de poudre : mais qui est donc en train de désarmer ETA ? Avec Txetx Etcheverry, militant altermondialiste, Michel Berhokoirigoin, éleveur paysan à la retraite (décédé en mai 2021) et Ekhi Erremundegi, journaliste au quotidien en langue basque Berria. RessourcesSur les arrestations de Louhossoa :- Louhossoa : les interpellés mis en examen et remis en liberté- Arrestations à Louhossoa : les personnes interpellées de retour à Bayonne Sur le processus de paix :- Le désarmement, la voie basque d'Iñaki Egaña.- L'hypothèse démocratique, de Thomas Lacoste. Trajectoires de militantes et militants d'ETA Comment finir une guerre raconte la fin du conflit armé au Pays basque du point de vue de militants et d’habitants engagés dans le processus de paix. Cette version ne se substitue pas aux autres récits existants, et plus volontiers médiatisés. Elle n’oublie pas les milliers de victimes et de souffrances causées par les deux camps. Elle veut porter un éclairage neuf sur la version basque d’un enjeu universel : comment faire la paix avec son ennemi ? Comment finir une guerre - Une histoire de la fin de la lutte armée au Pays basque.En 2011, après plus de 50 ans de conflit, l’organisation basque ETA annonce officiellement la fin de la lutte armée. Au Pays basque, des deux côtés de la frontière pyrénéenne, c’est une page qui se tourne, et l’espoir qu’une paix durable puisse enfin s’installer. Mais la route est encore longue. D’abord, il faut rassembler les armes. Des tonnes d’armes, disséminées dans les campagnes françaises. Puis les rendre au camp d’en face, afin qu’elles soient détruites. Enfin il faut asseoir les deux camps – ETA d’un côté, les États espagnols et français de l’autre – autour d’une même table. S’écouter et se confronter. S’accorder, juger et réparer. Envisager, pourquoi pas, un avenir commun. Il faut beaucoup d’ingrédients pour bien finir une guerre.Mais les États espagnols et français ne répondent pas à la main tendue d’ETA. Au contraire, ils continuent de surveiller, arrêter, condamner les militants indépendantistes basques. Et ça dure. À croire que les États veulent continuer la guerre. Comment faire, quand on est seul à vouloir faire la paix ? Les membres d’ETA sont résolus. Il va falloir trouver une autre solution pour détruire ces armes, et permettre au processus d’avancer. Commence alors pour ces militants indépendantistes une longue série de tractations secrètes et de péripéties. Les protagonistes de cette histoire sont basques. Ils racontent leur guerre, ils racontent aussi leur chemin vers la paix. Parmi eux, certains ont connu la prison, la torture, vécu en clandestinité, d’autres sont aujourd’hui encore accusés de terrorisme. Mais tous ont grandi sur une terre qu’ils ne considèrent pas tout à fait comme étant la France ou l’Espagne. Qu’est-ce qui fait que ces hommes et ces femmes sont allés jusqu’à prendre les armes pour cette terre ? Et qu’est-ce qui les a poussés à les rendre ?Et puis c’est qui d’abord, ces basques ? Est-ce qu’on naît basque ou est-ce qu’on le devient ? "Comment finir une guerre" peut s’écouter même – et surtout – si on n’y connaît rien, au conflit basque. Une série dense et profondément politique, mais aussi joyeuse, tragique et douloureuse, racontée comme un polar, avec de vrais morceaux de suspens, de questions existentielles, et de musiques made in Pays basque. Enregistrements : février, juin à septembre 2021 et avril 2022 - Réalisation : Anna Buy - Musique : Habia - Voix, violon et chant : Maia Iribarne Olhagarai - Illustration : Zaven Najjar - Production : ARTE Radio - Musique : Habia - Voix, violon et chant : Maia Iribarne Olhagarai
2/22/202323 minutes, 27 seconds
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Comment finir une guerre (5/8)

Iratxe Sorzabal Diaz Iratxe Sorzabal est l’une des trois militants d’ETA partis à Oslo pour ces négociations avec l’État espagnol qui n’ont finalement pas eu lieu. En 2001, elle a été torturée dans une caserne de la Guardia Civil (la police espagnole) à Madrid. Cet épisode est consacré à son récit. La torture envers les indépendantistes a été une pratique régulière durant le conflit, et ce jusque dans le début des années 2010. En parler aujourd’hui est encore difficile. Iratxe Sorzabal a livré ce récit pour la première fois en français, au téléphone, depuis le centre de détention de Réau (Seine-et-Marne) où elle était encore incarcérée au moment de l’interview. Avec Iraxte Sorzabal Diaz, ancienne militante d’ETA, actuellement détenue dans le centre pénitentiaire de Zaballa, Pays basque, Espagne. Et Pauline Guelle, doctorante en droit public à l’Université de Pau et des Pays de l’Adour. Elle travaille sur la torture au Pays basque. Plus précisément, elle étudie comment la torture a pu se pérenniser au-delà de la chute de la dictature franquiste (Franco est mort en 1975) et comment le système a permis l’impunité des tortionnaires. RessourcesIraxte Sorzabal Diaz, procès de Madrid en février 2022 Sur la torture au Pays basque :- Pauline Guelle, Torture et vérité au Pays basque- Pauline Guelle, Une justice en transition- Caroline Guibet Lafaye, La fabrique de la torture en contexte démocratique : l’antiterrorisme espagnol face aux militants basques- Torture : le Pays basque Nord en a été témoin, Médiabask Prisonniers basques Sur les systèmes tortionnaires en général :- Françoise Sironi et Raphaëlle Branche La torture aux frontières de l’humain- Françoise Sironi, Comment devient-on tortionnaire ? Un grand merci à Xantiana Cachenaut et à Françoise Sironi. Comment finir une guerre raconte la fin du conflit armé au Pays basque du point de vue de militants et d’habitants engagés dans le processus de paix. Cette version ne se substitue pas aux autres récits existants, et plus volontiers médiatisés. Elle n’oublie pas les milliers de victimes et de souffrances causées par les deux camps. Elle veut porter un éclairage neuf sur la version basque d’un enjeu universel : comment faire la paix avec son ennemi ? Comment finir une guerre - Une histoire de la fin de la lutte armée au Pays basque.En 2011, après plus de 50 ans de conflit, l’organisation basque ETA annonce officiellement la fin de la lutte armée. Au Pays basque, des deux côtés de la frontière pyrénéenne, c’est une page qui se tourne, et l’espoir qu’une paix durable puisse enfin s’installer. Mais la route est encore longue. D’abord, il faut rassembler les armes. Des tonnes d’armes, disséminées dans les campagnes françaises. Puis les rendre au camp d’en face, afin qu’elles soient détruites. Enfin il faut asseoir les deux camps – ETA d’un côté, les États espagnols et français de l’autre – autour d’une même table. S’écouter et se confronter. S’accorder, juger et réparer. Envisager, pourquoi pas, un avenir commun. Il faut beaucoup d’ingrédients pour bien finir une guerre.Mais les États espagnols et français ne répondent pas à la main tendue d’ETA. Au contraire, ils continuent de surveiller, arrêter, condamner les militants indépendantistes basques. Et ça dure. À croire que les États veulent continuer la guerre. Comment faire, quand on est seul à vouloir faire la paix ? Les membres d’ETA sont résolus. Il va falloir trouver une autre solution pour détruire ces armes, et permettre au processus d’avancer. Commence alors pour ces militants indépendantistes une longue série de tractations secrètes et de péripéties. Les protagonistes de cette histoire sont basques. Ils racontent leur guerre, ils racontent aussi leur chemin vers la paix. Parmi eux, certains ont connu la prison, la torture, vécu en clandestinité, d’autres sont aujourd’hui encore accusés de terrorisme. Mais tous ont grandi sur une terre qu’ils ne considèrent pas tout à fait comme étant la France ou l’Espagne. Qu’est-ce qui fait que ces hommes et ces femmes sont allés jusqu’à prendre les armes pour cette terre ? Et qu’est-ce qui les a poussés à les rendre ?Et puis c’est qui d’abord, ces basques ? Est-ce qu’on naît basque ou est-ce qu’on le devient ? "Comment finir une guerre" peut s’écouter même – et surtout – si on n’y connaît rien, au conflit basque. Une série dense et profondément politique, mais aussi joyeuse, tragique et douloureuse, racontée comme un polar, avec de vrais morceaux de suspens, de questions existentielles, et de musiques made in Pays basque. Enregistrements : février, juin à septembre 2021 et avril 2022 - Réalisation : Anna Buy - Musique : Habia - Voix, violon et chant : Maia Iribarne Olhagarai - Illustration : Zaven Najjar - Production : ARTE Radio - Musique : Habia - Voix, violon et chant : Maia Iribarne Olhagarai
2/22/202325 minutes, 43 seconds
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Comment finir une guerre (4/8)

Une paix inaudible C’est la déroute. Deux ans ont passé depuis le cessez-le-feu d’ETA et ni le gouvernement espagnol, ni le gouvernement français ne sont venus dialoguer avec les représentants de l’organisation. Josu Urrutikoetexea, David Pla et Iratxe Sorzabal sont forcés de retourner à leur vies cachées quelque part dans les montagnes françaises. Et de passer au plan B : se désarmer tout seuls. C’est à dire clandestinement. Mais la police française surveille des caches d’armes. Un jeu de chat et de souris commence. Des arrestations de membres d’ETA ont lieu. Au Pays basque Nord, la colère enfle. Quand le gouvernement français est interpellé, y compris par des élus basques, il affiche un mépris évident pour la situation. Comment ETA va-t-elle se débrouiller pour avancer seule dans le processus de paix qu’elle a déclaré ? Avec David Pla, ancien militant d’ETA et membre de la délégation d’Oslo, Sylviane Alaux, députée socialiste pour la 6ème circonscription du département des Pyrénées Atlantiques de 2012 à 2017, et Peio Etcheverry Ainchart, historien, écrivain, militant de la gauche abertzale. RessourcesActualité :- Pays basque : la police espagnole affirme avoir "décapité" ETA en arrêtant deux chefs politiques.- Interview de David Pla du 2 janvier 2016. Ouvrages de Peio Etcheverry Ainchart :- Initiation à l’histoire du Pays basque- Pourquoi nous sommes abertzale- Pays basque dans la transition démocratique Sur le processus de paix :- Le désarmement, la voie basque d'Iñaki Egaña.- L'hypothèse démocratique, de Thomas Lacoste. Trajectoires de militantes et militants d'ETA Comment finir une guerre raconte la fin du conflit armé au Pays basque du point de vue de militants et d’habitants engagés dans le processus de paix. Cette version ne se substitue pas aux autres récits existants, et plus volontiers médiatisés. Elle n’oublie pas les milliers de victimes et de souffrances causées par les deux camps. Elle veut porter un éclairage neuf sur la version basque d’un enjeu universel : comment faire la paix avec son ennemi ? Comment finir une guerre - Une histoire de la fin de la lutte armée au Pays basque.En 2011, après plus de 50 ans de conflit, l’organisation basque ETA annonce officiellement la fin de la lutte armée. Au Pays basque, des deux côtés de la frontière pyrénéenne, c’est une page qui se tourne, et l’espoir qu’une paix durable puisse enfin s’installer. Mais la route est encore longue. D’abord, il faut rassembler les armes. Des tonnes d’armes, disséminées dans les campagnes françaises. Puis les rendre au camp d’en face, afin qu’elles soient détruites. Enfin il faut asseoir les deux camps – ETA d’un côté, les États espagnols et français de l’autre – autour d’une même table. S’écouter et se confronter. S’accorder, juger et réparer. Envisager, pourquoi pas, un avenir commun. Il faut beaucoup d’ingrédients pour bien finir une guerre.Mais les États espagnols et français ne répondent pas à la main tendue d’ETA. Au contraire, ils continuent de surveiller, arrêter, condamner les militants indépendantistes basques. Et ça dure. À croire que les États veulent continuer la guerre. Comment faire, quand on est seul à vouloir faire la paix ? Les membres d’ETA sont résolus. Il va falloir trouver une autre solution pour détruire ces armes, et permettre au processus d’avancer. Commence alors pour ces militants indépendantistes une longue série de tractations secrètes et de péripéties. Les protagonistes de cette histoire sont basques. Ils racontent leur guerre, ils racontent aussi leur chemin vers la paix. Parmi eux, certains ont connu la prison, la torture, vécu en clandestinité, d’autres sont aujourd’hui encore accusés de terrorisme. Mais tous ont grandi sur une terre qu’ils ne considèrent pas tout à fait comme étant la France ou l’Espagne. Qu’est-ce qui fait que ces hommes et ces femmes sont allés jusqu’à prendre les armes pour cette terre ? Et qu’est-ce qui les a poussés à les rendre ?Et puis c’est qui d’abord, ces basques ? Est-ce qu’on naît basque ou est-ce qu’on le devient ? "Comment finir une guerre" peut s’écouter même – et surtout – si on n’y connaît rien, au conflit basque. Une série dense et profondément politique, mais aussi joyeuse, tragique et douloureuse, racontée comme un polar, avec de vrais morceaux de suspens, de questions existentielles, et de musiques made in Pays basque. Enregistrements : février, juin à septembre 2021 et avril 2022 - Réalisation : Anna Buy - Musique : Habia - Voix, violon et chant : Maia Iribarne Olhagarai - Illustration : Zaven Najjar - Production : ARTE Radio - Musique : Habia - Voix, violon et chant : Maia Iribarne Olhagarai
2/22/202322 minutes, 47 seconds
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Comment finir une guerre (3/8)

L’huile sur le feu A Oslo, le temps passe. Les trois membres d’ETA attendent toujours. Mais le gouvernement espagnol ne vient pas. Le processus semble être compromis. Le moral est en chute libre pour le camp basque. D’autant plus que la répression contre les indépendantistes bat son plein, et la collaboration policière franco-espagnole déborde de nouvelles idées pour combattre le terrorisme. C’est le moment où Aurore Martin, militante française de la gauche abertzale (gauche indépendantiste) connaît une petite célébrité dans l’hexagone. La jeune femme est la cible d’un mandat d’arrêt européen parce qu’elle est soupçonnée d’appartenir à une mouvance terroriste. Les preuves ? Avoir participé à un meeting de son parti politique, Batasuna, et avoir écrit un article dans un journal indépendantiste. On est loin du trafic de cocktails molotov. Mais la France accepte le mandat d’arrêt européen, et Aurore Martin doit être arrêtée et extradée vers l’Espagne. Elle décide alors d’entrer en clandestinité. Avec Aurore Martin, militante abertzale, Josu Urrutikoetxea, ancien militant d’ETA et membre de la délégation d’Oslo et David Pla, ancien militant d’ETA et membre de la délégation d’Oslo. RessourcesAurore Martin :- Entretien avec Aurore Martin, Mediapart, 2011.- La parisienne libérée – Si Aurore Martin vous fait peur. Sur le processus de paix :- Le désarmement, la voie basque d'Iñaki Egaña.- L'hypothèse démocratique, de Thomas Lacoste.Trajectoires de militantes et militants d'ETA Comment finir une guerre raconte la fin du conflit armé au Pays basque du point de vue de militants et d’habitants engagés dans le processus de paix. Cette version ne se substitue pas aux autres récits existants, et plus volontiers médiatisés. Elle n’oublie pas les milliers de victimes et de souffrances causées par les deux camps. Elle veut porter un éclairage neuf sur la version basque d’un enjeu universel : comment faire la paix avec son ennemi ?  Comment finir une guerre - Une histoire de la fin de la lutte armée au Pays basque.En 2011, après plus de 50 ans de conflit, l’organisation basque ETA annonce officiellement la fin de la lutte armée. Au Pays basque, des deux côtés de la frontière pyrénéenne, c’est une page qui se tourne, et l’espoir qu’une paix durable puisse enfin s’installer. Mais la route est encore longue. D’abord, il faut rassembler les armes. Des tonnes d’armes, disséminées dans les campagnes françaises. Puis les rendre au camp d’en face, afin qu’elles soient détruites. Enfin il faut asseoir les deux camps – ETA d’un côté, les États espagnols et français de l’autre – autour d’une même table. S’écouter et se confronter. S’accorder, juger et réparer. Envisager, pourquoi pas, un avenir commun. Il faut beaucoup d’ingrédients pour bien finir une guerre.Mais les États espagnols et français ne répondent pas à la main tendue d’ETA. Au contraire, ils continuent de surveiller, arrêter, condamner les militants indépendantistes basques. Et ça dure. À croire que les États veulent continuer la guerre. Comment faire, quand on est seul à vouloir faire la paix ? Les membres d’ETA sont résolus. Il va falloir trouver une autre solution pour détruire ces armes, et permettre au processus d’avancer. Commence alors pour ces militants indépendantistes une longue série de tractations secrètes et de péripéties. Les protagonistes de cette histoire sont basques. Ils racontent leur guerre, ils racontent aussi leur chemin vers la paix. Parmi eux, certains ont connu la prison, la torture, vécu en clandestinité, d’autres sont aujourd’hui encore accusés de terrorisme. Mais tous ont grandi sur une terre qu’ils ne considèrent pas tout à fait comme étant la France ou l’Espagne. Qu’est-ce qui fait que ces hommes et ces femmes sont allés jusqu’à prendre les armes pour cette terre ? Et qu’est-ce qui les a poussés à les rendre ?Et puis c’est qui d’abord, ces basques ? Est-ce qu’on naît basque ou est-ce qu’on le devient ? "Comment finir une guerre" peut s’écouter même – et surtout – si on n’y connaît rien, au conflit basque. Une série dense et profondément politique, mais aussi joyeuse, tragique et douloureuse, racontée comme un polar, avec de vrais morceaux de suspens, de questions existentielles, et de musiques made in Pays basque. Enregistrements : février, juin à septembre 2021 et avril 2022 - Réalisation : Anna Buy - Musique : Habia - Voix, violon et chant : Maia Iribarne Olhagarai - Illustration : Zaven Najjar - Production : ARTE Radio - Musique : Habia - Voix, violon et chant : Maia Iribarne Olhagarai
2/22/202325 minutes, 58 seconds
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Comment finir une guerre (2/8)

Un peuple sans État Octobre 2011, David Pla, Iratxe Sorzabal et Josu Urrutikoetxea, tous trois membres de l’organisation armée ETA, sont à Oslo en Norvège pour entamer un dialogue avec le gouvernement espagnol. Objectif : mettre fin officiellement aux violences du conflit politique. Mais il n’est pas question d’abandonner leur lutte pour autant. L’indépendance du Pays basque est toujours au programme pour les militants d’ETA. Et ils sont loin d’être les seuls, car il existe au Pays basque un large mouvement politique dit « aberztale » (la gauche indépendantiste) qui poursuit un projet d’autonomie. Pourquoi ? Comment comprendre cette volonté souvent qualifiée en France de « séparatiste » ? C’est quoi ce sentiment d’appartenance à un peuple et à une terre ? Comment devient-on basque ?Ce deuxième épisode nous permet de mieux comprendre nos voisins les Basques et leur désir d'indépendance. Avec Ekhi Erremundegi, journaliste au quotidien en langue basque Berria et Peio Etcheverry Ainchart, historien, écrivain, militant de la gauche abertzale. RessourcesOuvrages de Peio Etcheverry Ainchart :- Initiation à l’histoire du Pays basque- Pourquoi nous sommes abertzale- Pays basque dans la transition démocratique Sur le processus de paix :- Le désarmement, la voie basque d'Iñaki Egaña.- L'hypothèse démocratique, de Thomas Lacoste. Trajectoires de militantes et militants d'ETA Comment finir une guerre raconte la fin du conflit armé au Pays basque du point de vue de militants et d’habitants engagés dans le processus de paix. Cette version ne se substitue pas aux autres récits existants, et plus volontiers médiatisés. Elle n’oublie pas les milliers de victimes et de souffrances causées par les deux camps. Elle veut porter un éclairage neuf sur la version basque d’un enjeu universel : comment faire la paix avec son ennemi ?  Comment finir une guerre - Une histoire de la fin de la lutte armée au Pays basque.En 2011, après plus de 50 ans de conflit, l’organisation basque ETA annonce officiellement la fin de la lutte armée. Au Pays basque, des deux côtés de la frontière pyrénéenne, c’est une page qui se tourne, et l’espoir qu’une paix durable puisse enfin s’installer. Mais la route est encore longue. D’abord, il faut rassembler les armes. Des tonnes d’armes, disséminées dans les campagnes françaises. Puis les rendre au camp d’en face, afin qu’elles soient détruites. Enfin il faut asseoir les deux camps – ETA d’un côté, les États espagnols et français de l’autre – autour d’une même table. S’écouter et se confronter. S’accorder, juger et réparer. Envisager, pourquoi pas, un avenir commun. Il faut beaucoup d’ingrédients pour bien finir une guerre.Mais les États espagnols et français ne répondent pas à la main tendue d’ETA. Au contraire, ils continuent de surveiller, arrêter, condamner les militants indépendantistes basques. Et ça dure. À croire que les États veulent continuer la guerre. Comment faire, quand on est seul à vouloir faire la paix ? Les membres d’ETA sont résolus. Il va falloir trouver une autre solution pour détruire ces armes, et permettre au processus d’avancer. Commence alors pour ces militants indépendantistes une longue série de tractations secrètes et de péripéties. Les protagonistes de cette histoire sont basques. Ils racontent leur guerre, ils racontent aussi leur chemin vers la paix. Parmi eux, certains ont connu la prison, la torture, vécu en clandestinité, d’autres sont aujourd’hui encore accusés de terrorisme. Mais tous ont grandi sur une terre qu’ils ne considèrent pas tout à fait comme étant la France ou l’Espagne. Qu’est-ce qui fait que ces hommes et ces femmes sont allés jusqu’à prendre les armes pour cette terre ? Et qu’est-ce qui les a poussés à les rendre ?Et puis c’est qui d’abord, ces basques ? Est-ce qu’on naît basque ou est-ce qu’on le devient ? "Comment finir une guerre" peut s’écouter même – et surtout – si on n’y connaît rien, au conflit basque. Une série dense et profondément politique, mais aussi joyeuse, tragique et douloureuse, racontée comme un polar, avec de vrais morceaux de suspens, de questions existentielles, et de musiques made in Pays basque. Enregistrements : février, juin à septembre 2021 et avril 2022 - Réalisation : Anna Buy - Musique : Habia - Voix, violon et chant : Maia Iribarne Olhagarai - Illustration : Zaven Najjar - Production : ARTE Radio - Musique : Habia - Voix, violon et chant : Maia Iribarne Olhagarai
2/22/202321 minutes, 27 seconds
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Comment finir une guerre (1/8)

Un clandestin sur la route de la paix Automne 2011. Le Pays basque attendait ça depuis longtemps : l’organisation armée ETA (Euskadi Ta Askatasuna, soit Pays basque et Liberté en basque) annonce un cessez-le-feu définitif. La communauté internationale demande aux États espagnols et français de saisir cette main tendue et d’entamer un processus de paix. Ce n’est pas la première fois que des négociations ont lieu dans l’histoire du conflit basque, mais cette fois-ci, tout indique que c’est la bonne. Parallèlement à ces évènements officiels, à l’autre bout de la chaîne pyrénéenne, dans un petit village d’Ariège, vit un homme connu sous le nom de Daniel. Cet homme a un accent espagnol, il est venu vivre là il y a déjà plusieurs années, pour sa retraite. Lors de cet automne 2011, alors que la société basque guette les réactions des gouvernements français et espagnol, Daniel reçoit une visite discrète et étonnante. « On » vient le chercher parce qu’« on » a besoin de lui pour faire la paix au Pays basque. Ce n’est en réalité pas Daniel que ces visiteurs mystérieux viennent voir, mais une des figures les plus influentes du groupe ETA, volatilisé dix ans auparavant et activement recherché par les polices espagnoles et françaises : Josu Urrutikoetxea. Avec Josu Urrutikoetxea, ancien militant d’ETA. Ressources- Josu Urrutikoetxea sur les négociations de 2005.- La conférence internationale d’Aiete.- Center for Humanitarian Dialogue (anciennement Centre Henri Dunant). Sur le processus de paix :- Le désarmement, la voie basque d'Iñaki Egaña.- L'hypothèse démocratique, de Thomas Lacoste.Trajectoires de militantes et militants d'ETA Comment finir une guerre raconte la fin du conflit armé au Pays basque du point de vue de militants et d’habitants engagés dans le processus de paix. Cette version ne se substitue pas aux autres récits existants, et plus volontiers médiatisés. Elle n’oublie pas les milliers de victimes et de souffrances causées par les deux camps. Elle veut porter un éclairage neuf sur la version basque d’un enjeu universel : comment faire la paix avec son ennemi ?   Comment finir une guerre - Une histoire de la fin de la lutte armée au Pays basqueEn 2011, après plus de 50 ans de conflit, l’organisation basque ETA annonce officiellement la fin de la lutte armée. Au Pays basque, des deux côtés de la frontière pyrénéenne, c’est une page qui se tourne, et l’espoir qu’une paix durable puisse enfin s’installer. Mais la route est encore longue. D’abord, il faut rassembler les armes. Des tonnes d’armes, disséminées dans les campagnes françaises. Puis les rendre au camp d’en face, afin qu’elles soient détruites. Enfin il faut asseoir les deux camps – ETA d’un côté, les États espagnols et français de l’autre – autour d’une même table. S’écouter et se confronter. S’accorder, juger et réparer. Envisager, pourquoi pas, un avenir commun. Il faut beaucoup d’ingrédients pour bien finir une guerre.Mais les États espagnols et français ne répondent pas à la main tendue d’ETA. Au contraire, ils continuent de surveiller, arrêter, condamner les militants indépendantistes basques. Et ça dure. À croire que les États veulent continuer la guerre. Comment faire, quand on est seul à vouloir faire la paix ? Les membres d’ETA sont résolus. Il va falloir trouver une autre solution pour détruire ces armes, et permettre au processus d’avancer. Commence alors pour ces militants indépendantistes une longue série de tractations secrètes et de péripéties. Les protagonistes de cette histoire sont basques. Ils racontent leur guerre, ils racontent aussi leur chemin vers la paix. Parmi eux, certains ont connu la prison, la torture, vécu en clandestinité, d’autres sont aujourd’hui encore accusés de terrorisme. Mais tous ont grandi sur une terre qu’ils ne considèrent pas tout à fait comme étant la France ou l’Espagne. Qu’est-ce qui fait que ces hommes et ces femmes sont allés jusqu’à prendre les armes pour cette terre ? Et qu’est-ce qui les a poussés à les rendre ?Et puis c’est qui d’abord, ces basques ? Est-ce qu’on naît basque ou est-ce qu’on le devient ? "Comment finir une guerre" peut s’écouter même – et surtout – si on n’y connaît rien, au conflit basque. Une série dense et profondément politique, mais aussi joyeuse, tragique et douloureuse, racontée comme un polar, avec de vrais morceaux de suspens, de questions existentielles, et de musiques made in Pays basque.   Enregistrements : février, juin à septembre 21 et avril 22 - Réalisation : Anna Buy - Musique : Habia - Voix, violon et chant : Maia Iribarne Olhagarai - Illustration : Zaven Najjar - Production : ARTE Radio - Musique : Habia - Voix, violon et chant : Maia Iribarne Olhagarai
2/22/202321 minutes, 56 seconds
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La reine des pirates (6/6)

Les aventures d'Anne Bonny pour la jeunesse Épisode 6 : Les pirates ne meurent jamaisLes pirates ne sont pas les derniers à faire la fête. Un soir, ivres de rhum et de bonne compagnie, ils oublient d’éteindre les lanternes et se font repérer par un navire anglais qui les prend en chasse. Jack est un excellent capitaine et Anne et Mary des tireuses hors pair. Mais ça n'a pas suffi. Anne, Jack et Mary sont repérés par les Anglais et sont fait prisonniers en Jamaïque, chacun dans une cellule différente. Toute la ville se presse à leur procès : tout le monde veut les voir punies. Mais Anne et Mary ont une toute dernière carte à jouer. La reine des piratesAnne Bonny est une pirate, une vraie : au 18e siècle, elle a vécu déguisée en homme sur le bateau du capitaine Jack Rackham. Anne Bonny est célèbre, certains disent même que c'est la reine des pirates. Alors quand elle voit des gamins qui croient qu'être pirate, c'est se courir après avec des sabres en plastique, ça la fait bien rigoler. Pour leur apprendre comment on fait, elle leur raconte son histoire : comment elle est née bâtarde dans un village d'Irlande, comment elle a traversé l'Atlantique à 12 ans avec son père et sa mère pour rejoindre le Nouveau Monde, et comment elle y a rencontré son destin : les pirates et surtout, Jack Rackham et Mary Read, qui deviendront respectivement son amoureux et son amie. La Reine des pirates est une adaptation pour les enfants de la fiction radio La Dernière Nuit d'Anne Bonny. C'est une histoire d'aventure et de liberté, avec des tempêtes, des abordages, des mouettes et bien sûr, des blagues. Avec les voix de Pauline Favre-Avias, Clémentine Verdier, Lucile Chevalier, Didier Vinson, Denis Ardent, Grégoire Lagrange, Guillaume Pottier, Hicham Boutahar, Stephane Soo Mongo, Michael Perez, Jo Zeugma, Richard Gaitet, Thom Lefèvre, Christian Paccoud, Simon Primard, Aurélien Lorgnier, Samuel Roger, Anthony Sayegh et Arnaud Forest. Enregistrements : 2019-2022 - Réalisation : Sabine Zovighian, Charlie Marcelet et Arnaud Forest - Musique et chansons : Michael Liot - Prises de son : Sara Monimart - Bruitages : Franck Tassel - Violoncelle : Paul Colomb - Violon : Eugène Feygelson - Contrebasse : Romain Lécuyer - Chant additionnel : Michael Liot et Mathilde Ortscheidt - Collaboration artistique : Anne-Sophie Bailly - Illustration : Lola Félin - Comédiennes : Anne Loiret (Anne Bonny), Héloïse Havard (Anne Bonny, enfant), Victoire Du Bois (Anne Bonny, jeune), Louise Blachère (Mary Read), Sabine Zovighian (La mère de Anne) - Comédiens : Damien Zanoly (John Bonny), Robinson Stevenin (Jack Rackham), Christophe Brault (William Cormack) - Michael Liot et Mathilde Ortscheidt
12/16/202222 minutes, 32 seconds
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La reine des pirates (5/6)

Les aventures d'Anne Bonny pour la jeunesse Épisode 5 : Sur le bateau de Jack RackhamAvec Jack, sur le bateau, Anne découvre la vraie vie des pirates. Jack lui apprend comment on fait des abordages, et Anne apprend vite. La vie est belle : Anne découvre les merveilles des Caraïbes, les plages et les soupes de tortue, car les pirates aussi savent vivre. Elle découvre aussi qu’elle n’est pas la seule femme déguisée en homme à bord... Anne Bonny, la reine des piratesAnne Bonny est une pirate, une vraie : au 18e siècle, elle a vécu déguisée en homme sur le bateau du capitaine Jack Rackham. Anne Bonny est célèbre, certains disent même que c'est la reine des pirates. Alors quand elle voit des gamins qui croient qu'être pirate, c'est se courir après avec des sabres en plastique, ça la fait bien rigoler. Pour leur apprendre comment on fait, elle leur raconte son histoire : comment elle est née bâtarde dans un village d'Irlande, comment elle a traversé l'Atlantique à 12 ans avec son père et sa mère pour rejoindre le Nouveau Monde, et comment elle y a rencontré son destin : les pirates et surtout, Jack Rackham et Mary Read, qui deviendront respectivement son amoureux et son amie. La Reine des pirates est une adaptation pour les enfants de la fiction radio La Dernière Nuit d'Anne Bonny. C'est une histoire d'aventure et de liberté, avec des tempêtes, des abordages, des mouettes et bien sûr, des blagues. Avec les voix de Pauline Favre-Avias, Clémentine Verdier, Lucile Chevalier, Didier Vinson, Denis Ardent, Grégoire Lagrange, Guillaume Pottier, Hicham Boutahar, Stephane Soo Mongo, Michael Perez, Jo Zeugma, Richard Gaitet, Thom Lefèvre, Christian Paccoud, Simon Primard, Aurélien Lorgnier, Samuel Roger, Anthony Sayegh et Arnaud Forest. Enregistrements : 2019-2022 - Réalisation : Sabine Zovighian, Charlie Marcelet et Arnaud Forest - Musique et chansons : Michael Liot - Prises de son : Sara Monimart - Bruitages : Franck Tassel - Violoncelle : Paul Colomb - Violon : Eugène Feygelson - Contrebasse : Romain Lécuyer - Chant additionnel : Michael Liot et Mathilde Ortscheidt - Collaboration artistique : Anne-Sophie Bailly - Illustration : Lola Félin - Comédiennes : Anne Loiret (Anne Bonny), Héloïse Havard (Anne Bonny, enfant), Victoire Du Bois (Anne Bonny, jeune), Louise Blachère (Mary Read), Sabine Zovighian (La mère de Anne) - Comédiens : Damien Zanoly (John Bonny), Robinson Stevenin (Jack Rackham), Christophe Brault (William Cormack) - Michael Liot et Mathilde Ortscheidt
12/16/202216 minutes, 10 seconds
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La reine des pirates (4/6)

Les aventures d'Anne Bonny pour la jeunesse Épisode 4 : L’île aux piratesAprès leur mariage, Anne et John Bonny prennent le premier bateau pour Providence. Ils s'installent dans une cabane et se retrouvent parmi les pirates. Mais Anne se rend vite compte qu’au lieu de chercher à rejoindre un équipage, John passe son temps sur la plage à boire du rhum. Il préfère parler d'aventures plutôt de que de prendre le risque de les vivre. Un soir, dans une auberge, elle finit par rencontrer un vrai pirate... La reine des piratesAnne Bonny est une pirate, une vraie : au 18e siècle, elle a vécu déguisée en homme sur le bateau du capitaine Jack Rackham. Anne Bonny est célèbre, certains disent même que c'est la reine des pirates. Alors quand elle voit des gamins qui croient qu'être pirate, c'est se courir après avec des sabres en plastique, ça la fait bien rigoler. Pour leur apprendre comment on fait, elle leur raconte son histoire : comment elle est née bâtarde dans un village d'Irlande, comment elle a traversé l'Atlantique à 12 ans avec son père et sa mère pour rejoindre le Nouveau Monde, et comment elle y a rencontré son destin : les pirates et surtout, Jack Rackham et Mary Read, qui deviendront respectivement son amoureux et son amie. La Reine des pirates est une adaptation pour les enfants de la fiction radio La Dernière Nuit d'Anne Bonny. C'est une histoire d'aventure et de liberté, avec des tempêtes, des abordages, des mouettes et bien sûr, des blagues. Avec les voix de Pauline Favre-Avias, Clémentine Verdier, Lucile Chevalier, Didier Vinson, Denis Ardent, Grégoire Lagrange, Guillaume Pottier, Hicham Boutahar, Stephane Soo Mongo, Michael Perez, Jo Zeugma, Richard Gaitet, Thom Lefèvre, Christian Paccoud, Simon Primard, Aurélien Lorgnier, Samuel Roger, Anthony Sayegh et Arnaud Forest. Enregistrements : 2019-2022 - Réalisation : Sabine Zovighian, Charlie Marcelet et Arnaud Forest - Musique et chansons : Michael Liot - Prises de son : Sara Monimart - Bruitages : Franck Tassel - Violoncelle : Paul Colomb - Violon : Eugène Feygelson - Contrebasse : Romain Lécuyer - Chant additionnel : Michael Liot et Mathilde Ortscheidt - Collaboration artistique : Anne-Sophie Bailly - Illustration : Lola Félin - Comédiennes : Anne Loiret (Anne Bonny), Héloïse Havard (Anne Bonny, enfant), Victoire Du Bois (Anne Bonny, jeune), Louise Blachère (Mary Read), Sabine Zovighian (La mère de Anne) - Comédiens : Damien Zanoly (John Bonny), Robinson Stevenin (Jack Rackham), Christophe Brault (William Cormack) - Michael Liot et Mathilde Ortscheidt
12/16/202213 minutes, 20 seconds
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La reine des pirates (3/6)

Les aventures d'Anne Bonny pour la jeunesse Épisode 3 : Une rebelle à CharlestonÀ Charleston, Anne grandit au milieu des plantations. Ses parents voudraient faire d’elle une jeune fille bien sous tous rapports, mais ça l’ennuie beaucoup. C’est alors qu’elle fait la connaissance d’un jeune marin, qui lui parle pour la première fois des pirates et d’une île merveilleuse, où ils font la loi : l’ile de Providence. La reine des piratesAnne Bonny est une pirate, une vraie : au 18e siècle, elle a vécu déguisée en homme sur le bateau du capitaine Jack Rackham. Anne Bonny est célèbre, certains disent même que c'est la reine des pirates. Alors quand elle voit des gamins qui croient qu'être pirate, c'est se courir après avec des sabres en plastique, ça la fait bien rigoler. Pour leur apprendre comment on fait, elle leur raconte son histoire : comment elle est née bâtarde dans un village d'Irlande, comment elle a traversé l'Atlantique à 12 ans avec son père et sa mère pour rejoindre le Nouveau Monde, et comment elle y a rencontré son destin : les pirates et surtout, Jack Rackham et Mary Read, qui deviendront respectivement son amoureux et son amie. La Reine des pirates est une adaptation pour les enfants de la fiction radio La Dernière Nuit d'Anne Bonny. C'est une histoire d'aventure et de liberté, avec des tempêtes, des abordages, des mouettes et bien sûr, des blagues. Avec les voix de Pauline Favre-Avias, Clémentine Verdier, Lucile Chevalier, Didier Vinson, Denis Ardent, Grégoire Lagrange, Guillaume Pottier, Hicham Boutahar, Stephane Soo Mongo, Michael Perez, Jo Zeugma, Richard Gaitet, Thom Lefèvre, Christian Paccoud, Simon Primard, Aurélien Lorgnier, Samuel Roger, Anthony Sayegh et Arnaud Forest. Enregistrements : 2019-2022 - Réalisation : Sabine Zovighian, Charlie Marcelet et Arnaud Forest - Musique et chansons : Michael Liot - Prises de son : Sara Monimart - Bruitages : Franck Tassel - Violoncelle : Paul Colomb - Violon : Eugène Feygelson - Contrebasse : Romain Lécuyer - Chant additionnel : Michael Liot et Mathilde Ortscheidt - Collaboration artistique : Anne-Sophie Bailly - Illustration : Lola Félin - Comédiennes : Anne Loiret (Anne Bonny), Héloïse Havard (Anne Bonny, enfant), Victoire Du Bois (Anne Bonny, jeune), Louise Blachère (Mary Read), Sabine Zovighian (La mère de Anne) - Comédiens : Damien Zanoly (John Bonny), Robinson Stevenin (Jack Rackham), Christophe Brault (William Cormack) - Michael Liot et Mathilde Ortscheidt
12/16/202213 minutes, 11 seconds
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La reine des pirates (2/6)

Les aventures d'Anne Bonny pour la jeunesse Épisode 2 : À l’assaut du Nouveau MondeAnne, son père et sa mère, partent pour l’Amérique. Ce n’est pas une mince affaire : il faut prendre un bateau, s’entasser dans une cabine minuscule pour deux ou trois mois... Mais Anne est ravie. Elle s’habille en garçon et passe pour un mousse. Mais pas facile d’être à la fois la petite fille chérie de ses parents et l’apprenti marin... La reine des piratesAnne Bonny est une pirate, une vraie : au 18e siècle, elle a vécu déguisée en homme sur le bateau du capitaine Jack Rackham. Anne Bonny est célèbre, certains disent même que c'est la reine des pirates. Alors quand elle voit des gamins qui croient qu'être pirate, c'est se courir après avec des sabres en plastique, ça la fait bien rigoler. Pour leur apprendre comment on fait, elle leur raconte son histoire : comment elle est née bâtarde dans un village d'Irlande, comment elle a traversé l'Atlantique à 12 ans avec son père et sa mère pour rejoindre le Nouveau Monde, et comment elle y a rencontré son destin : les pirates et surtout, Jack Rackham et Mary Read, qui deviendront respectivement son amoureux et son amie. La Reine des pirates est une adaptation pour les enfants de la fiction radio La Dernière Nuit d'Anne Bonny. C'est une histoire d'aventure et de liberté, avec des tempêtes, des abordages, des mouettes et bien sûr, des blagues. Avec les voix de Pauline Favre-Avias, Clémentine Verdier, Lucile Chevalier, Didier Vinson, Denis Ardent, Grégoire Lagrange, Guillaume Pottier, Hicham Boutahar, Stephane Soo Mongo, Michael Perez, Jo Zeugma, Richard Gaitet, Thom Lefèvre, Christian Paccoud, Simon Primard, Aurélien Lorgnier, Samuel Roger, Anthony Sayegh et Arnaud Forest. Enregistrements : 2019-2022 - Réalisation : Sabine Zovighian, Charlie Marcelet et Arnaud Forest - Musique et chansons : Michael Liot - Prises de son : Sara Monimart - Bruitages : Franck Tassel - Violoncelle : Paul Colomb - Violon : Eugène Feygelson - Contrebasse : Romain Lécuyer - Chant additionnel : Michael Liot et Mathilde Ortscheidt - Collaboration artistique : Anne-Sophie Bailly - Illustration : Lola Félin - Comédiennes : Anne Loiret (Anne Bonny), Héloïse Havard (Anne Bonny, enfant), Victoire Du Bois (Anne Bonny, jeune), Louise Blachère (Mary Read), Sabine Zovighian (La mère de Anne) - Comédiens : Damien Zanoly (John Bonny), Robinson Stevenin (Jack Rackham), Christophe Brault (William Cormack) - Michael Liot et Mathilde Ortscheidt
12/16/202216 minutes, 48 seconds
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La reine des pirates (1/6)

Les aventures d'Anne Bonny pour la jeunesse Épisode 1 : L'enfance d'une pirateTout commence en Irlande. À huit ans, Anne est dégourdie mais plutôt mal partie dans la vie : elle est née bâtarde et sa mère est servante. Mais son père l’adore et un jour, il décide de la faire passer pour son neveu, Peter, afin de passer plus de temps avec elle. Pour ça, elle doit couper ses cheveux et mettre un pantalon pour la première fois... La reine des piratesAnne Bonny est une pirate, une vraie : au 18e siècle, elle a vécu déguisée en homme sur le bateau du capitaine Jack Rackham. Anne Bonny est célèbre, certains disent même que c'est la reine des pirates. Alors quand elle voit des gamins qui croient qu'être pirate, c'est se courir après avec des sabres en plastique, ça la fait bien rigoler. Pour leur apprendre comment on fait, elle leur raconte son histoire : comment elle est née bâtarde dans un village d'Irlande, comment elle a traversé l'Atlantique à 12 ans avec son père et sa mère pour rejoindre le Nouveau Monde, et comment elle y a rencontré son destin : les pirates et surtout, Jack Rackham et Mary Read, qui deviendront respectivement son amoureux et son amie. La Reine des pirates est une adaptation pour les enfants de la fiction radio La Dernière Nuit d'Anne Bonny. C'est une histoire d'aventure et de liberté, avec des tempêtes, des abordages, des mouettes et bien sûr, des blagues. Avec les voix de Pauline Favre-Avias, Clémentine Verdier, Lucile Chevalier, Didier Vinson, Denis Ardent, Grégoire Lagrange, Guillaume Pottier, Hicham Boutahar, Stephane Soo Mongo, Michael Perez, Jo Zeugma, Richard Gaitet, Thom Lefèvre, Christian Paccoud, Simon Primard, Aurélien Lorgnier, Samuel Roger, Anthony Sayegh et Arnaud Forest.  Enregistrements : 2019-2022 - Réalisation : Sabine Zovighian, Charlie Marcelet et Arnaud Forest - Musique et chansons : Michael Liot - Prises de son : Sara Monimart - Bruitages : Franck Tassel - Violoncelle : Paul Colomb - Violon : Eugène Feygelson - Contrebasse : Romain Lécuyer - Chant additionnel : Michael Liot et Mathilde Ortscheidt - Collaboration artistique : Anne-Sophie Bailly - Illustration : Lola Félin - Comédiennes : Anne Loiret (Anne Bonny), Héloïse Havard (Anne Bonny, enfant), Victoire Du Bois (Anne Bonny, jeune), Louise Blachère (Mary Read), Sabine Zovighian (La mère de Anne) - Comédiens : Damien Zanoly (John Bonny), Robinson Stevenin (Jack Rackham), Christophe Brault (William Cormack) - Michael Liot et Mathilde Ortscheidt
12/16/202218 minutes, 26 seconds
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La dernière nuit d'Anne Bonny (9/9)

Les amants du sycomore Épuisée, Anne retrouve Mary au tribunal. Toutes deux tentent de garder la tête haute face à la vindicte populaire et les preuves accablantes. Lorsque la sentence tombe, elles jouent leur dernière carte... La dernière nuit d’Anne Bonny Dans une rue de la Nouvelle Orléans, vers 1780, une femme rencontre la Mort qui lui annonce qu’elle n’a plus qu’une nuit à vivre. Cette femme, c’est Anne Bonny. Aujourd’hui, c’est une vieille maquerelle qui gère d’une main de fer un bordel très couru, mais dans sa jeunesse, elle a été pirate. Elle convoque sa fille préférée, Apolline : elle veut lui léguer son entreprise et surtout lui dicter ses mémoires. Car les récits qui ont été faits de sa vie ne lui conviennent pas du tout — notamment celui d’un certain Capitaine Johnson qui la décrit dans son Histoire générale des pirates comme une femme sans vertu ni grandeur. Avant de tirer sa révérence, Anne aimerait bien donner sa version des faits. Alors, elle raconte : comment, née pauvre et bâtarde en Irlande, elle a traversé l’Atlantique pour arriver dans le Nouveau Monde, comment elle y a découvert la piraterie et surtout fait la connaissance du pirate Jack Rackham... embarqué sur le vaisseau du capitaine Jack Rackham, traqué par les Anglais.  A mesure que la nuit avance, Anne fait revivre sa jeunesse flamboyante et l’âge d’or de la piraterie... Mais jusqu’où faut-il croire son récit ? Depuis le 18e siècle, Anne Bonny fascine. Femme de mauvaise vie pour le capitaine Johnson, femme puissante dans l’imaginaire contemporain, son histoire a donné lieu à de nombreuses interprétations. La dernière nuit d’Anne Bonny joue avec les archives et les registres pour explorer la fascination qu’elle suscite, l’écart qui peut se creuser entre une figure historique et ses réinterprétations contemporaines. Sans jamais oublier de faire battre le cœur, et de raconter une grande histoire d’amour et de liberté.   Enregistrements : 2019-2022 - Réalisation : Sabine Zovighian et Arnaud Forest - Musique et chansons : Michael Liot - Prises de son : Sara Monimart - Bruitages : Franck Tassel - Violoncelle : Paul Colomb - Violon : Eugène Feygelson - Contrebasse : Romain Lécuyer - Chant additionnel : Michael Liot et Mathilde Ortscheidt - Collaboration artistique : Anne-Sophie Bailly - Illustration : Lola Félin - Comédiennes : Catherine Hiegel (Anne Bonny âgée), Alice Belaïdi (Apolline), Aurélie Miermont (L’historienne), Victoire Du Bois (Anne Bonny, jeune), Audrey Stupovski (La Mort), Louise Blachère (Mary Read) - Comédiens : Marc-Henri Boisse (Le Capitaine Johnson), Antoine Reinartz (L’historien), Robinson Stevenin (Jack Rackham), Matthew Amendt (Woodes Rodgers), Stephane Soo Mongo (Sam) - Voix : Grégoire Lagrange, Guillaume Pottier, Thom Lefèvre, Christian Paccoud, Simon Primard, Aurélien Lorgnier, Samuel Roger, Jo Zeugma, Elie Olivennes, Hanae Bossert, Etienne Gratianette et Michael Liot. - Michael Liot
12/4/202219 minutes, 13 seconds
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La dernière nuit d'Anne Bonny (8/9)

Une vie heureuse, mais une vie courte Un soir de fête, alors que l’équipage est ivre, le bateau est pris en chasse par un capitaine anglais.  Malgré le courage de Jack, Anne et Mary, l’équipage est fait prisonnier. Ils sont emmenés à fond de cale à Port-Royal, en Jamaïque, où ils seront jugés. Or un édit de la Couronne d’Angleterre condamne tous les pirates à la pendaison... La dernière nuit d’Anne BonnyDans une rue de la Nouvelle Orléans, vers 1780, une femme rencontre la Mort qui lui annonce qu’elle n’a plus qu’une nuit à vivre. Cette femme, c’est Anne Bonny. Aujourd’hui, c’est une vieille maquerelle qui gère d’une main de fer un bordel très couru, mais dans sa jeunesse, elle a été pirate. Elle convoque sa fille préférée, Apolline : elle veut lui léguer son entreprise et surtout lui dicter ses mémoires. Car les récits qui ont été faits de sa vie ne lui conviennent pas du tout — notamment celui d’un certain Capitaine Johnson qui la décrit dans son Histoire générale des pirates comme une femme sans vertu ni grandeur. Avant de tirer sa révérence, Anne aimerait bien donner sa version des faits. Alors, elle raconte : comment, née pauvre et bâtarde en Irlande, elle a traversé l’Atlantique pour arriver dans le Nouveau Monde, comment elle y a découvert la piraterie et surtout fait la connaissance du pirate Jack Rackham... embarqué sur le vaisseau du capitaine Jack Rackham, traqué par les Anglais.  A mesure que la nuit avance, Anne fait revivre sa jeunesse flamboyante et l’âge d’or de la piraterie... Mais jusqu’où faut-il croire son récit ?Depuis le 18e siècle, Anne Bonny fascine. Femme de mauvaise vie pour le capitaine Johnson, femme puissante dans l’imaginaire contemporain, son histoire a donné lieu à de nombreuses interprétations. La dernière nuit d’Anne Bonny joue avec les archives et les registres pour explorer la fascination qu’elle suscite, l’écart qui peut se creuser entre une figure historique et ses réinterprétations contemporaines. Sans jamais oublier de faire battre le cœur, et de raconter une grande histoire d’amour et de liberté.  Enregistrements : 2019-2022 - Réalisation : Sabine Zovighian et Arnaud Forest - Musique et chansons : Michael Liot - Prises de son : Sara Monimart - Bruitages : Franck Tassel - Violoncelle : Paul Colomb - Violon : Eugène Feygelson - Contrebasse : Romain Lécuyer - Chant additionnel : Michael Liot et Mathilde Ortscheidt - Collaboration artistique : Anne-Sophie Bailly - Illustration : Lola Félin - Comédiennes : Catherine Hiegel (Anne Bonny), Alice Belaïdi (Apolline), Aurélie Miermont (L’historienne), Victoire Du Bois (Anne Bonny, jeune), Audrey Stpuvski (La Mort), Louisde Blachère (Mary Read), Lucile Chevalier (Dorothy) - Comédiens : Marc-Henri Boisse (Le Capitaine Johnson), Antoine Reinartz (L’historien), Damien Zanoly (John Bonny), Robinson Stevenin (Jack Rackham), Didier Vinson (Le juge), Denis Ardent (L'assesseur) - Voix : Grégoire Lagrange, Guillaume Pottier, Jo Zeugma, Thom Lefèvre, Christian Paccoud, Simon Primard, Aurélien Lorgnier, Samuel Roger, Richard Gaitet, Stéphane Soo Mongo, Michael Perez, Vincent Chaumont, Elie Olivennes, Hanae Bossert, Etienne Gratianette et Michael Liot. - Michael Liot
12/4/202222 minutes, 12 seconds
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La dernière nuit d'Anne Bonny (7/9)

L'histoire de Mary Read Intriguée par le comportement d’un des membres de l’équipage, Anne comprend qu’elle n’est pas la seule femme à bord. Elle se rapproche de la mystérieuse inconnue... Elle s’appelle Mary Read, elle a eu une vie encore plus folle que celle d'Anne et ce sera sa première véritable amie. La dernière nuit d’Anne Bonny Dans une rue de la Nouvelle Orléans, vers 1780, une femme rencontre la Mort qui lui annonce qu’elle n’a plus qu’une nuit à vivre. Cette femme, c’est Anne Bonny. Aujourd’hui, c’est une vieille maquerelle qui gère d’une main de fer un bordel très couru, mais dans sa jeunesse, elle a été pirate. Elle convoque sa fille préférée, Apolline : elle veut lui léguer son entreprise et surtout lui dicter ses mémoires. Car les récits qui ont été faits de sa vie ne lui conviennent pas du tout — notamment celui d’un certain Capitaine Johnson qui la décrit dans son Histoire générale des pirates comme une femme sans vertu ni grandeur. Avant de tirer sa révérence, Anne aimerait bien donner sa version des faits. Alors, elle raconte : comment, née pauvre et bâtarde en Irlande, elle a traversé l’Atlantique pour arriver dans le Nouveau Monde, comment elle y a découvert la piraterie et surtout fait la connaissance du pirate Jack Rackham... embarqué sur le vaisseau du capitaine Jack Rackham, traqué par les Anglais. A mesure que la nuit avance, Anne fait revivre sa jeunesse flamboyante et l’âge d’or de la piraterie... Mais jusqu’où faut-il croire son récit ? Depuis le 18e siècle, Anne Bonny fascine. Femme de mauvaise vie pour le capitaine Johnson, femme puissante dans l’imaginaire contemporain, son histoire a donné lieu à de nombreuses interprétations. La dernière nuit d’Anne Bonny joue avec les archives et les registres pour explorer la fascination qu’elle suscite, l’écart qui peut se creuser entre une figure historique et ses réinterprétations contemporaines. Sans jamais oublier de faire battre le cœur, et de raconter une grande histoire d’amour et de liberté. Enregistrements : 2019-2022 - Réalisation : Sabine Zovighian et Arnaud Forest - Musique et chansons : Michael Liot - Prises de son : Sara Monimart - Bruitages : Franck Tassel - Violoncelle : Paul Colomb - Violon : Eugène Feygelson - Contrebasse : Romain Lécuyer - Chant additionnel : Michael Liot et Mathilde Ortscheidt - Collaboration artistique : Anne-Sophie Bailly - Illustration : Lola Félin - Comédiennes : Catherine Hiegel (Anne Bonny âgée), Alice Belaïdi (Apolline), Aurélie Miermont (L’historienne), Audrey Stupovski (La Mort), Louise Blachère (Mary Read), Victoire Du Bois (Anne Bonny, jeune) - Comédiens : Marc-Henri Boisse (Le Capitaine Johnson), Antoine Reinartz (L’historien), Robinson Stevenin (Jack Rackham) - Voix : Jo Zeugma, Vincent Chaumont, Michael Liot, Michael Perez. - Michael Liot
12/4/202220 minutes, 36 seconds
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La dernière nuit d'Anne Bonny (6/9)

Chasse partie Anne vit désormais sur un bateau pirate. Déguisée en homme, elle participe aux abordages. Habillée en femme, elle vit un amour passionné avec Jack. Une vie joyeuse et une vie courte : telle est la devise des pirates... La dernière nuit d’Anne Bonny Dans une rue de la Nouvelle Orléans, vers 1780, une femme rencontre la Mort qui lui annonce qu’elle n’a plus qu’une nuit à vivre. Cette femme, c’est Anne Bonny. Aujourd’hui, c’est une vieille maquerelle qui gère d’une main de fer un bordel très couru, mais dans sa jeunesse, elle a été pirate. Elle convoque sa fille préférée, Apolline : elle veut lui léguer son entreprise et surtout lui dicter ses mémoires. Car les récits qui ont été faits de sa vie ne lui conviennent pas du tout — notamment celui d’un certain Capitaine Johnson qui la décrit dans son Histoire générale des pirates comme une femme sans vertu ni grandeur. Avant de tirer sa révérence, Anne aimerait bien donner sa version des faits. Alors, elle raconte : comment, née pauvre et bâtarde en Irlande, elle a traversé l’Atlantique pour arriver dans le Nouveau Monde, comment elle y a découvert la piraterie et surtout fait la connaissance du pirate Jack Rackham... embarqué sur le vaisseau du capitaine Jack Rackham, traqué par les Anglais.  A mesure que la nuit avance, Anne fait revivre sa jeunesse flamboyante et l’âge d’or de la piraterie... Mais jusqu’où faut-il croire son récit ? Depuis le 18e siècle, Anne Bonny fascine. Femme de mauvaise vie pour le capitaine Johnson, femme puissante dans l’imaginaire contemporain, son histoire a donné lieu à de nombreuses interprétations. La dernière nuit d’Anne Bonny joue avec les archives et les registres pour explorer la fascination qu’elle suscite, l’écart qui peut se creuser entre une figure historique et ses réinterprétations contemporaines. Sans jamais oublier de faire battre le cœur, et de raconter une grande histoire d’amour et de liberté. Enregistrement : 2019-2022 - Réalisation : Sabine Zovighian et Arnaud Forest - Musique et chansons : Michael Liot - Prises de son : Sara Monimart - Bruitages : Franck Tassel - Violoncelle : Paul Colomb - Violon : Eugène Feygelson - Contrebasse : Romain Lécuyer - Chant additionnel : Michael Liot et Mathilde Ortscheidt - Collaboration artistique : Anne-Sophie Bailly - Illustration : Lola Félin - Comédiennes : Catherine Hiegel (Anne Bonny âgée), Alice Belaïdi (Apolline), Aurélie Miermont (L’historienne), Victoire Du Bois (Anne Bonny, jeune), Lucile Chevalier (Dorothy) - Comédiens : Marc-Henri Boisse (Le Capitaine Johnson), Antoine Reinartz (L’historien), Robinson Stevenin (Jack Rackham), Grégoire Lagrange (Le Capitaine du navire marchand) - Voix : Guillaume Pottier, Jo Zeugma, Thom Lefèvre, Christian Paccoud, Simon Primard, Aurélien Lorgnier, Samuel Roger, Richard Gaitet, Stéphane Soo Mongo, Michael Perez, Vincent Chaumont - Michael Liot
12/4/202223 minutes, 20 seconds
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La dernière nuit d'Anne Bonny (5/9)

La République des pirates John et Anne débarque sur l’île de Providence, lieu d’établissement de la République des pirates des Caraïbes. L’île est moche et les pirates souvent bourrés, mais Anne découvre pour la première fois la liberté. Alors que John la déçoit, elle rencontre un homme d’une toute autre envergure : le capitaine Jack Rackham... La dernière nuit d’Anne Bonny Dans une rue de la Nouvelle Orléans, vers 1780, une femme rencontre la Mort qui lui annonce qu’elle n’a plus qu’une nuit à vivre. Cette femme, c’est Anne Bonny. Aujourd’hui, c’est une vieille maquerelle qui gère d’une main de fer un bordel très couru, mais dans sa jeunesse, elle a été pirate. Elle convoque sa fille préférée, Apolline : elle veut lui léguer son entreprise et surtout lui dicter ses mémoires. Car les récits qui ont été faits de sa vie ne lui conviennent pas du tout — notamment celui d’un certain Capitaine Johnson qui la décrit dans son Histoire générale des pirates comme une femme sans vertu ni grandeur. Avant de tirer sa révérence, Anne aimerait bien donner sa version des faits. Alors, elle raconte : comment, née pauvre et bâtarde en Irlande, elle a traversé l’Atlantique pour arriver dans le Nouveau Monde, comment elle y a découvert la piraterie et surtout fait la connaissance du pirate Jack Rackham... embarqué sur le vaisseau du capitaine Jack Rackham, traqué par les Anglais.  A mesure que la nuit avance, Anne fait revivre sa jeunesse flamboyante et l’âge d’or de la piraterie... Mais jusqu’où faut-il croire son récit ?Depuis le 18e siècle, Anne Bonny fascine. Femme de mauvaise vie pour le capitaine Johnson, femme puissante dans l’imaginaire contemporain, son histoire a donné lieu à de nombreuses interprétations. La dernière nuit d’Anne Bonny joue avec les archives et les registres pour explorer la fascination qu’elle suscite, l’écart qui peut se creuser entre une figure historique et ses réinterprétations contemporaines. Sans jamais oublier de faire battre le cœur, et de raconter une grande histoire d’amour et de liberté. Enregistrements : 2019-2022 - Réalisation : Sabine Zovighian et Arnaud Forest - Musique et chansons : Michael Liot - Prises de son : Sara Monimart - Bruitages : Franck Tassel - Violoncelle : Paul Colomb - Violon : Eugène Feygelson - Contrebasse : Romain Lécuyer - Chant additionnel : Michael Liot et Mathilde Ortscheidt - Collaboration artistique : Anne-Sophie Bailly - Illustration : Lola Félin - Comédiennes : Catherine Hiegel (Anne Bonny âgée), Alice Belaïdi (Apolline), Aurélie Miermont (L’historienne), Audrey Stupovsky (La Mort), Victoire Du Bois (Anne Bonny, jeune), Louise Blachère (Mary Read) - Comédiens : Marc-Henri Boisse (Le Capitaine Johnson), Antoine Reinartz (L’historien), Damien Zanoly (John Bonny), Robinson Stevenin (Jack Rackham), Matthew Amendt (Woodes Rodgers) - Voix : Stéphane Soo Mongo, Richard Gaitet, Michael Perez, Vincent Chaumont, Jo Zeugma, Lucile Chevalier, Samuel Roger, Guillaume Pottier - Michael Liot
12/4/202224 minutes, 22 seconds
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La dernière nuit d'Anne Bonny (4/9)

Ce que les filles sont prêtes à faire pour partir de chez elles A Charleston, William devient planteur. Après la mort de sa mère, Anne grandit seule. Son père voudrait en faire une vraie jeune fille et la marier à un fils de notable. Elle refuse tous les prétendants et préfère l’aventure. Un jour, sur le port, elle rencontre un jeune marin aux beaux yeux qui lui propose d’autres perspectives d’avenir... La dernière nuit d’Anne Bonny Dans une rue de la Nouvelle Orléans, vers 1780, une femme rencontre la Mort qui lui annonce qu’elle n’a plus qu’une nuit à vivre. Cette femme, c’est Anne Bonny. Aujourd’hui, c’est une vieille maquerelle qui gère d’une main de fer un bordel très couru, mais dans sa jeunesse, elle a été pirate. Elle convoque sa fille préférée, Apolline : elle veut lui léguer son entreprise et surtout lui dicter ses mémoires. Car les récits qui ont été faits de sa vie ne lui conviennent pas du tout — notamment celui d’un certain Capitaine Johnson qui la décrit dans son Histoire générale des pirates comme une femme sans vertu ni grandeur. Avant de tirer sa révérence, Anne aimerait bien donner sa version des faits. Alors, elle raconte : comment, née pauvre et bâtarde en Irlande, elle a traversé l’Atlantique pour arriver dans le Nouveau Monde, comment elle y a découvert la piraterie et surtout fait la connaissance du pirate Jack Rackham... embarqué sur le vaisseau du capitaine Jack Rackham, traqué par les Anglais.  A mesure que la nuit avance, Anne fait revivre sa jeunesse flamboyante et l’âge d’or de la piraterie... Mais jusqu’où faut-il croire son récit ? Depuis le 18e siècle, Anne Bonny fascine. Femme de mauvaise vie pour le capitaine Johnson, femme puissante dans l’imaginaire contemporain, son histoire a donné lieu à de nombreuses interprétations. La dernière nuit d’Anne Bonny joue avec les archives et les registres pour explorer la fascination qu’elle suscite, l’écart qui peut se creuser entre une figure historique et ses réinterprétations contemporaines. Sans jamais oublier de faire battre le cœur, et de raconter une grande histoire d’amour et de liberté. Enregistrements : 2019-2022 - Réalisation : Sabine Zovighian et Arnaud Forest - Musique et chansons : Michael Liot - Prises de son : Sara Monimart - Bruitages : Franck Tassel - Violoncelle : Paul Colomb - Violon : Eugène Feygelson - Contrebasse : Romain Lécuyer - Chant additionnel : Michael Liot et Mathilde Ortscheidt - Collaboration artistique : Anne-Sophie Bailly - Illustration : Lola Félin - Comédiennes : Catherine Hiegel (Anne Bonny), Alice Belaïdi (Apolline), Aurélie Miermont (L’historienne), Victoire Du Bois (Anne Bonny, jeune) - Comédiens : Marc-Henri Boisse (Le Capitaine Johnson), Antoine Reinartz (L’historien), Damien Zanoly (John Bonny), Robinson Stevenin (Jack Rackham), Matthew Amendt (Woodes Rodgers), Stephane Soo Mongo (Sam) - Voix : Jo Zeugma, Christian Paccoud, Thom Lefèvre, Aurélien Lorgnier, Samuel Roger, Richard Gaitet, Stéphane Soo Mongo, Michael Perez, Vincent Chaumont et Arnaud Forest (L'agresseur) - Michael Liot
12/4/202221 minutes, 4 seconds
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La dernière nuit d'Anne Bonny (3/9)

Vers le Nouveau Monde Décidé à faire fortune, William part pour l’Amérique avec femme (illégitime) et enfant. A douze ans, Anne monte sur un bateau pour la première fois. Direction Charleston, en Caroline du Sud. A bord, Anne découvre la dure vie des marins. La dernière nuit d’Anne Bonny Dans une rue de la Nouvelle Orléans, vers 1780, une femme rencontre la Mort qui lui annonce qu’elle n’a plus qu’une nuit à vivre. Cette femme, c’est Anne Bonny. Aujourd’hui, c’est une vieille maquerelle qui gère d’une main de fer un bordel très couru, mais dans sa jeunesse, elle a été pirate. Elle convoque sa fille préférée, Apolline : elle veut lui léguer son entreprise et surtout lui dicter ses mémoires. Car les récits qui ont été faits de sa vie ne lui conviennent pas du tout — notamment celui d’un certain Capitaine Johnson qui la décrit dans son Histoire générale des pirates comme une femme sans vertu ni grandeur. Avant de tirer sa révérence, Anne aimerait bien donner sa version des faits. Alors, elle raconte : comment, née pauvre et bâtarde en Irlande, elle a traversé l’Atlantique pour arriver dans le Nouveau Monde, comment elle y a découvert la piraterie et surtout fait la connaissance du pirate Jack Rackham... embarqué sur le vaisseau du capitaine Jack Rackham, traqué par les Anglais.  A mesure que la nuit avance, Anne fait revivre sa jeunesse flamboyante et l’âge d’or de la piraterie... Mais jusqu’où faut-il croire son récit ? Depuis le 18e siècle, Anne Bonny fascine. Femme de mauvaise vie pour le capitaine Johnson, femme puissante dans l’imaginaire contemporain, son histoire a donné lieu à de nombreuses interprétations. La dernière nuit d’Anne Bonny joue avec les archives et les registres pour explorer la fascination qu’elle suscite, l’écart qui peut se creuser entre une figure historique et ses réinterprétations contemporaines. Sans jamais oublier de faire battre le cœur, et de raconter une grande histoire d’amour et de liberté.  Enregistrements : 2019-2022 - Réalisation : Sabine Zovighian et Arnaud Forest - Musique et chansons : Michael Liot - Prises de son : Sara Monimart - Bruitages : Franck Tassel - Violoncelle : Paul Colomb - Violon : Eugène Feygelson - Contrebasse : Romain Lécuyer - Chant additionnel : Michael Liot et Mathilde Ortscheidt - Collaboration artistique : Anne-Sophie Bailly - Illustration : Lola Félin - Comédiennes : Catherine Hiegel (Anne Bonny âgée), Alice Belaïdi (Apolline), Aurélie Miermont (L’historienne), Héloïse Havard (Anne Bonny, enfant), Sabine Zovighian (La mère d'Anne), Audrey Stupovski (La Mort), Clémentine Verdier (Elizabeth Cormack) - Comédiens : Marc-Henri Boisse (Le Capitaine Johnson), Antoine Reinartz (L’historien), Thibault Duval (William Cormack), Hicham Boutahar (Le Jésuite), Christian Pelissier (Le Vieux Soldat) - Voix : Matthew Amendt, Guillaume Pottier, Simon Primard et Arnaud Forest - Michael Liot
12/4/202220 minutes, 54 seconds
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La dernière nuit d'Anne Bonny (2/9)

Granuaille et la vie en garçon Irlande, près de Cork. Anne a huit ans. Fille bâtarde d’une servante, Mary, et d’un avocat, William, elle semble destinée à une vie de domestique comme sa mère. C’est sans compter l’amour et l’imagination de son père. Un jour, celui-ci arrive avec un grand sac et une idée qui va changer leur vie. La dernière nuit d’Anne BonnyDans une rue de la Nouvelle Orléans, vers 1780, une femme rencontre la Mort qui lui annonce qu’elle n’a plus qu’une nuit à vivre. Cette femme, c’est Anne Bonny. Aujourd’hui, c’est une vieille maquerelle qui gère d’une main de fer un bordel très couru, mais dans sa jeunesse, elle a été pirate. Elle convoque sa fille préférée, Apolline : elle veut lui léguer son entreprise et surtout lui dicter ses mémoires. Car les récits qui ont été faits de sa vie ne lui conviennent pas du tout — notamment celui d’un certain Capitaine Johnson qui la décrit dans son Histoire générale des pirates comme une femme sans vertu ni grandeur. Avant de tirer sa révérence, Anne aimerait bien donner sa version des faits. Alors, elle raconte : comment, née pauvre et bâtarde en Irlande, elle a traversé l’Atlantique pour arriver dans le Nouveau Monde, comment elle y a découvert la piraterie et surtout fait la connaissance du pirate Jack Rackham... embarqué sur le vaisseau du capitaine Jack Rackham, traqué par les Anglais.  A mesure que la nuit avance, Anne fait revivre sa jeunesse flamboyante et l’âge d’or de la piraterie... Mais jusqu’où faut-il croire son récit ? Depuis le 18e siècle, Anne Bonny fascine. Femme de mauvaise vie pour le capitaine Johnson, femme puissante dans l’imaginaire contemporain, son histoire a donné lieu à de nombreuses interprétations. La dernière nuit d’Anne Bonny joue avec les archives et les registres pour explorer la fascination qu’elle suscite, l’écart qui peut se creuser entre une figure historique et ses réinterprétations contemporaines. Sans jamais oublier de faire battre le cœur, et de raconter une grande histoire d’amour et de liberté. Enregistrements : 2019-2022 - Réalisation : Sabine Zovighian et Arnaud Forest - Musique et chansons : Michael Liot - Prises de son : Sara Monimart - Bruitages : Franck Tassel - Violoncelle : Paul Colomb - Violon : Eugène Feygelson - Contrebasse : Romain Lécuyer - Chant de « Granuaille » : Michael Liot et Mathilde Ortscheidt - Collaboration artistique : Anne-Sophie Bailly - Illustration : Lola Félin - Comédiennes : Catherine Hiegel (Anne Bonny âgée), Alice Belaïdi (Apolline), Aurélie Miermont (L’historienne), Héloïse Havard (Anne Bonny, enfant), Sabine Zovighian (La mère d'Anne), Clémentine Verdier (Elizabeth Cormack) - Comédiens : Marc-Henri Boisse (Le Capitaine Johnson), Antoine Reinartz (L’historien), Thibault Duval (William Cormack) - Voix : Anthony Sayegh et Simon Primard - Michael Liot
12/4/202215 minutes, 19 seconds
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La dernière nuit d'Anne Bonny (1/9)

J’ai vu la Mort dans le Quartier Français La Nouvelle-Orléans, fin du XVIIIe siècle. Lors de sa promenade nocturne, Anne Bonny rencontre la Mort, qui lui annonce avec tendresse qu’elle n’a plus qu’une nuit à vivre. Anne rentre au bordel qu’elle dirige d’une main de fer pour mettre ses affaires en ordre. Elle appelle Apolline, sa préférée : elle a des choses importantes à lui dire...   La dernière nuit d’Anne Bonny Dans une rue de la Nouvelle Orléans, vers 1780, une femme rencontre la Mort qui lui annonce qu’elle n’a plus qu’une nuit à vivre. Cette femme, c’est Anne Bonny. Aujourd’hui, c’est une vieille maquerelle qui gère d’une main de fer un bordel très couru, mais dans sa jeunesse, elle a été pirate. Elle convoque sa fille préférée, Apolline : elle veut lui léguer son entreprise et surtout lui dicter ses mémoires. Car les récits qui ont été faits de sa vie ne lui conviennent pas du tout — notamment celui d’un certain Capitaine Johnson qui la décrit dans son Histoire générale des pirates comme une femme sans vertu ni grandeur. Avant de tirer sa révérence, Anne aimerait bien donner sa version des faits. Alors, elle raconte : comment, née pauvre et bâtarde en Irlande, elle a traversé l’Atlantique pour arriver dans le Nouveau Monde, comment elle y a découvert la piraterie et surtout fait la connaissance du pirate Jack Rackham... embarqué sur le vaisseau du capitaine Jack Rackham, traqué par les Anglais.  A mesure que la nuit avance, Anne fait revivre sa jeunesse flamboyante et l’âge d’or de la piraterie... Mais jusqu’où faut-il croire son récit ? Depuis le 18e siècle, Anne Bonny fascine. Femme de mauvaise vie pour le capitaine Johnson, femme puissante dans l’imaginaire contemporain, son histoire a donné lieu à de nombreuses interprétations. La dernière nuit d’Anne Bonny joue avec les archives et les registres pour explorer la fascination qu’elle suscite, l’écart qui peut se creuser entre une figure historique et ses réinterprétations contemporaines. Sans jamais oublier de faire battre le cœur, et de raconter une grande histoire d’amour et de liberté. Enregistrements : 2019-2022 - Réalisation : Sabine Zovighian et Arnaud Forest - Musique et chansons : Michael Liot - Prises de son : Sara Monimart - Bruitages : Franck Tassel - Violoncelle : Paul Colomb - Violon : Eugène Feygelson - Contrebasse : Romain Lécuyer - Chant additionnel : Michael Liot et Mathilde Ortscheidt - Collaboration artistique : Anne-Sophie Bailly - Illustration : Lola Félin - Comédiennes : Catherine Hiegel (Anne Bonny âgée), Alice Belaïdi (Apolline), Aurélie Miermont (L’historienne), Audrey Stupovski (La Mort) - Comédiens : Marc-Henri Boisse (Le Capitaine Johnson), Antoine Reinartz (L’historien) - Voix : Richard Gaitet, Stéphane Soo Mongo, Michael Perez, Vincent Chaumont, Jo Zeugma, Victoire Du Bois, Louise Blachère et Denis Ardant - Michael Liot
12/4/202216 minutes, 6 seconds
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Vous êtes bien chez Sophie (6/6)

Le répondeur tire sa révérence Pour ne pas que les voix s’effacent, Sophie a gardé tous les messages du répondeur téléphonique de ses 20 ans. Des centaines de messages qui racontent les années 90, les amis, les amours et le temps qui passe... Désormais réalisatrice TV et radio, Sophie commente un montage dynamique de toutes ces voix. Elle revit ses vingt ans, ses histoires d’amour et ses débuts en radio… La saga s’achève à la veille de ses 40 ans, âge de la (pseudo) maturité professionnelle et amoureuse. Un formidable hommage aux pouvoirs du sonore et à la mémoire des voix, un documentaire exceptionnel à la recherche du temps perdu. Episode 6Sophie a quitté la radio pour travailler auprès d’un réalisateur de documentaires de télévision, Daniel Karlin. Elle vit désormais en couple. Autour d’elle, on ne parle que d’achat immobilier et de bébés. Saura-t-elle y résister ? Peut-on recoller les morceaux épars de sa vie, tous ces petits échos de répondeur qui sont autant de fragments contradictoires de son identité et de ses rêves ? Après le dernier bip s’achève son voyage initiatique, sonore et amoureux.   Enregistrements : 1989-1994, 2022 - Mise en ondes & mix : Charlie Marcelet - Texte, voix, réalisation : Sophie Simonot - Illustration : Quentin Faucompré - Production : ARTE Radio
11/15/202221 minutes, 18 seconds
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Vous êtes bien chez Sophie (5/6)

Un répondeur gonflé aux hormones Pour ne pas que les voix s’effacent, Sophie a gardé tous les messages du répondeur téléphonique de ses 20 ans. Des centaines de messages qui racontent les années 90, les amis, les amours et le temps qui passe... Désormais réalisatrice TV et radio, Sophie commente un montage dynamique de toutes ces voix. Elle revit ses vingt ans, ses histoires d’amour et ses débuts en radio… La saga s’achève à la veille de ses 40 ans, âge de la (pseudo) maturité professionnelle et amoureuse. Un formidable hommage aux pouvoirs du sonore et à la mémoire des voix, un documentaire exceptionnel à la recherche du temps perdu.  Episode 5En 1996, Sophie vit une nouvelle aventure radiophonique, celle de la création du Mouv’, la future "radio jeune" de Radio France. Un projet fou pour lequel on réunit 15 jeunes professionnels de la radio. 15 jeunes enfermés dans un studio jour et nuit, tous en pleine forme et en pleine montée d’hormones. Une aventure dans laquelle, comme toujours, vont venir s’entremêler amour du son et liaisons dangereuses, et obliger Sophie à se poser la seule question qui vaille : est-il possible de rester rock’n’roll ad vitam ? Enregistrements : 1989-1994, 2022 - Mise en ondes & mix : Charlie Marcelet - Texte, voix, réalisation : Sophie Simonot - Illustration : Quentin Faucompré - Production : ARTE Radio
11/15/202219 minutes
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Vous êtes bien chez Sophie (4/6)

Histoires d'amour et de radio sur le répondeur Pour ne pas que les voix s’effacent, Sophie a gardé tous les messages du répondeur téléphonique de ses 20 ans. Des centaines de messages qui racontent les années 90, les amis, les amours et le temps qui passe... Désormais réalisatrice TV et radio, Sophie commente un montage dynamique de toutes ces voix. Elle revit ses vingt ans, ses histoires d’amour et ses débuts en radio… La saga s’achève à la veille de ses 40 ans, âge de la (pseudo) maturité professionnelle et amoureuse. Un formidable hommage aux pouvoirs du sonore et à la mémoire des voix, un documentaire exceptionnel à la recherche du temps perdu. Episode 4En 1994, Sophie profite de son stage à RFI à la Maison de la Radio pour aller toquer à la porte de son idole, Daniel Mermet, responsable de « Là-bas si j’y suis ». Pendant deux ans, elle travaille d’arrache-pied pour répondre à l’exigence hautement radiophonique de cette émission mythique. Elle trouve du réconfort auprès d’amoureux qu’elle rencontre, évidemment, dans les couloirs de la maison ronde. Mais en amour comme au boulot, il n’est pas facile de rester fidèle à ses idées…  Enregistrements : 1989-1994, 2022 - Mise en ondes & mix : Charlie Marcelet - Texte, voix, réalisation : Sophie Simonot - Illustration : Quentin Faucompré - Production : ARTE Radio
11/15/202219 minutes, 6 seconds
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Mon ARTE (5/5)

2016-2022, la reconnaissance Des audiences en forte progression, des récompenses à foison, une pandémie qui bloque tout le monde à la maison…Dans ce 5e et dernier épisode, il sera question de pause déjeuner, de baby-foot et de lingettes désinfectantes. On parlera aussi cinéma, psychanalyse, TikTok et multilingue. Avec la participation de Paul Laurent, Audrey Kamga, Karen Michael, Guillaume Thomas, Caroline Oltz, Arnaud Forest, Sara Monimart, Adrienne Frejacques, Claire Doutriaux, Stéphanie Poncelet et Annette Gerlach. Mon ARTE - 30 ans d’aventures racontés par ses salarié.esA travers les témoignages des salarié.e.s, cette série en 5 épisodes invite à plonger dans les 30 ans de la chaîne culturelle ARTE. Une odyssée parfois cosmique, souvent comique, faite d’orages solaires et de disquettes informatiques, d’entente franco-allemande et de réunions Teams, de pizza et d’Internet, de hard-rock et de sang de chèvre. Un podcast d'entreprise garanti sans mot du directeur ni de la DRH, qui relate en toute liberté les petits ratés et les grands succès de l’aventure d’ARTE. Enregistrement : 2022 - Prises de son, montage, réalisation : Thomas Guillaud-Bataille - Mise en ondes, musique originale et mix : Samuel Hirsch - Production : ARTE Radio, ARTE France - Samuel Hirsch
11/3/202216 minutes
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Mon ARTE (4/5)

2011-2015, à la conquête de l'Europe 2011, changement d’ère à ARTE : Jérôme Clément quitte la présidence. Véronique Cayla prend les rênes de la chaîne, développant notamment la fiction et les séries européennes. Dans ce 4e épisode, il sera aussi question de réunion Teams, de sang de chèvre et de jeu vidéo. Avec la participation de Stéphanie Poncelet, Karen Michael, Arno Forest, Audrey Kamga, Adrienne Frejacques, Paul Laurent et Rudy Chambard. Mon ARTE - 30 ans d’aventures racontés par ses salarié.esA travers les témoignages des salarié.e.s, cette série en 5 épisodes invite à plonger dans les 30 ans de la chaîne culturelle ARTE. Une odyssée parfois cosmique, souvent comique, faite d’orages solaires et de disquettes informatiques, d’entente franco-allemande et de réunions Teams, de pizza et d’Internet, de hard-rock et de sang de chèvre. Un podcast d'entreprise garanti sans mot du directeur ni de la DRH, qui relate en toute liberté les petits ratés et les grands succès de l’aventure d’ARTE. Enregistrement : 2022 - Prises de son, montage, réalisation : Thomas Guillaud-Bataille - Mise en ondes, musique originale et mix : Samuel Hirsch - Production : ARTE Radio, ARTE France - Samuel Hirsch
11/3/202212 minutes, 36 seconds
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Mon ARTE (3/5)

2000-2010, à la conquête de l'Internet À l’aube du nouveau millénaire, fidèle à son esprit pionnier, ARTE se lance avec envie dans l’Internet. Web-radio, web-docu… Dans ce troisième épisode, on vous raconte la conquête de la Toile par ARTE, mais aussi les messages plus ou moins farfelus postés sur la “Diff générale”, une messagerie interne qui permettait d'écrire un message qui s’affiche en pop-up sur les écrans de tous les salariés. Avec la participation de Sylvie Smets, Audrey Kamga, Elena Zenone, Silvain Gire, Mehdi Ahoudig, Samuel Hirsch, Richard Gaitet, Chloé Assous-Plunian et Hélène Vayssières. Mon ARTE - 30 ans d’aventures racontés par ses salarié.esA travers les témoignages des salarié.e.s, cette série en 5 épisodes invite à plonger dans les 30 ans de la chaîne culturelle ARTE. Une odyssée parfois cosmique, souvent comique, faite d’orages solaires et de disquettes informatiques, d’entente franco-allemande et de réunions Teams, de pizza et d’Internet, de hard-rock et de sang de chèvre. Un podcast d'entreprise garanti sans mot du directeur ni de la DRH, qui relate en toute liberté les petits ratés et les grands succès de l’aventure d’ARTE. Enregistrement : 2022 - Prises de son, montage, réalisation : Thomas Guillaud-Bataille - Mise en ondes, musique originale et mix : Samuel Hirsch - Production : ARTE Radio, ARTE France - Samuel Hirsch
11/3/202211 minutes, 50 seconds
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Mon ARTE (2/5)

1992-2000, des débuts difficiles Une soirée de lancement un peu ratée, un directeur des programmes inspiré, une entente franco-allemande pas toujours facile à trouver… Ce second épisode revient sur la création de la chaîne ARTE et ses premières années d’existence. Bienvenue dans les nineties, à la glorieuse époque du fax et des disquettes informatiques. Avec la participation d’Annette Gerlach, Karen Michael, Silvain Gire, Caroline Oltz, Elisabetta Zampa, François Pieretti. Mon ARTE - 30 ans d’aventures racontés par ses salarié.esA travers les témoignages des salarié.e.s, cette série en 5 épisodes invite à plonger dans les 30 ans de la chaîne culturelle ARTE. Une odyssée parfois cosmique, souvent comique, faite d’orages solaires et de disquettes informatiques, d’entente franco-allemande et de réunions Teams, de pizza et d’Internet, de hard-rock et de sang de chèvre. Un podcast d'entreprise garanti sans mot du directeur ni de la DRH, qui relate en toute liberté les petits ratés et les grands succès de l’aventure d’ARTE. Enregistrement : 2022 - Prises de son, montage, réalisation : Thomas Guillaud-Bataille - Mise en ondes, musique originale et mix : Samuel Hirsch - Production : ARTE Radio, ARTE France - Samuel Hirsch
11/3/202215 minutes, 5 seconds
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Mon ARTE (1/5)

1989-1992, aux origines d'ARTE, La Sept Aux origines d’ARTE, il y eut la SEPT, Société d'Édition de Programmes de Télévision à vocation culturelle et européenne. Ce premier épisode raconte la préhistoire de la chaîne, faite d’orages solaires et de satellites qui se détraquent, d’émissions emblématiques et d’habillages loufoques. On va vous parler d'un temps que les moins de 30 ans peuvent ne pas connaître, l'époque des K7 Betacam et des VHS PAL SECAM. Avec la participation de Franck Evin, Elisabetta Zampa, Eglantine Dupuy, Claire Doutriaux, Elena Zenone. Mon ARTE - 30 ans d’aventures racontés par ses salarié.esA travers les témoignages des salarié.e.s, cette série en 5 épisodes invite à plonger dans les 30 ans de la chaîne culturelle ARTE. Une odyssée parfois cosmique, souvent comique, faite d’orages solaires et de disquettes informatiques, d’entente franco-allemande et de réunions Teams, de pizza et d’Internet, de hard-rock et de sang de chèvre. Un podcast d'entreprise garanti sans mot du directeur ni de la DRH, qui relate en toute liberté les petits ratés et les grands succès de l’aventure d’ARTE. Enregistrement : mai-juin 22 - Prises de son, montage, réalisation : Thomas Guillaud-Bataille - Mise en ondes, musique originale et mix : Samuel Hirsch - Production : ARTE Radio, ARTE France - Samuel Hirsch
11/3/202214 minutes, 1 second
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Enlèvement à l'italienne (7/7) : Nous nous sommes tant aimés

Il faut savoir se retirer à temps Daniel Nieto est activement recherché. Les enquêteurs ont identifié le Marseillais en cavale. Dans un geste désespéré, il donne un dernier rendez-vous à Giovanna Amati, le 24 mai 1978... Enlèvement à l'italienneDaniel Nieto, 75 ans, est selon ses propres termes un « retraité du crime », adepte de l’argent facile. Après avoir passé la moitié de sa vie derrière les barreaux, il revient avec lucidité sur son itinéraire de braqueur reconverti en kidnappeur. La guerre politique et sociale fait alors rage en Italie. De l’extrême-droite à l’extrême-gauche en passant par la mafia et les malfrats « ordinaires », on multiplie les attentats, les rapts, les assassinats. Daniel rejoint un groupe d’apprentis-kidnappeurs et enchaîne les enlèvements crapuleux. Jusqu’au “kid ultime”, celui de la riche héritière Giovanna Amati, en février 1978. Quelques jours après son enlèvement, les Brigades rouges enlevaient Aldo Moro… Daniel Nieto s’est confié sans fards à Marine Vlahovic (prix SCAM du podcast 2021 pour sa série « Carnets de correspondante »). Désormais libre après une vie gâchée en prison, l’ancien ravisseur raconte avec verve et lucidité le rapt qui défraya alors la chronique. Un récit troublant, des rebondissements à couper le souffle, une mise en ondes de Samuel Hirsch inspirée par l’âge d’or du cinéma italien. Enregistrements : août 20 à mai 22 - Entretiens : Marine Vlahovic - Montage : Marine Vlahovic et Sara Monimart - Réalisation : Marine Vlahovic et Samuel Hirsch - Musique originale & mixage : Samuel Hirsch - Illustration : Zaven Najjar - Production : ARTE Radio - Samuel Hirsch
10/4/20228 minutes, 52 seconds
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Enlèvement à l'italienne (6/7) : Prends l’oseille et tire-toi

Tout le pays l’avait donnée pour morte... Le 16 mars 1978, Aldo Moro est enlevé par les Brigades Rouges. Rome est un champ de mines patrouillé par la police. Après avoir fini dans un placard à balais, Giovanna Amati est enfin libérée contre rançon. Daniel Nieto échappe à un vaste coup de filet et reste en contact avec son ancienne victime. Leur relation ambigue née dans la contrainte brutale de l'enlèvement se poursuit une fois que Giovanna a retrouvé la liberté.  Enlèvement à l'italienneDaniel Nieto, 75 ans, est selon ses propres termes un « retraité du crime », adepte de l’argent facile. Après avoir passé la moitié de sa vie derrière les barreaux, il revient avec lucidité sur son itinéraire de braqueur reconverti en kidnappeur. La guerre politique et sociale fait alors rage en Italie. De l’extrême-droite à l’extrême-gauche en passant par la mafia et les malfrats « ordinaires », on multiplie les attentats, les rapts, les assassinats. Daniel rejoint un groupe d’apprentis-kidnappeurs et enchaîne les enlèvements crapuleux. Jusqu’au “kid ultime”, celui de la riche héritière Giovanna Amati, en février 1978. Quelques jours après son enlèvement, les Brigades rouges enlevaient Aldo Moro… Daniel Nieto s’est confié sans fards à Marine Vlahovic (prix SCAM du podcast 2021 pour sa série « Carnets de correspondante »). Désormais libre après une vie gâchée en prison, l’ancien ravisseur raconte avec verve et lucidité le rapt qui défraya alors la chronique. Un récit troublant, des rebondissements à couper le souffle, une mise en ondes de Samuel Hirsch inspirée par l’âge d’or du cinéma italien. Enregistrements : août 20 à mai 22 - Entretiens : Marine Vlahovic - Montage : Marine Vlahovic et Sara Monimart - Réalisation : Marine Vlahovic et Samuel Hirsch - Musique originale & mixage : Samuel Hirsch - Illustration : Zaven Najjar - Production : ARTE Radio - Samuel Hirsch
10/4/202210 minutes, 22 seconds
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Enlèvement à l'italienne (5/7) : Une journée particulière

Ce qui ne devait pas arriver Daniel Nieto, le bourreau, et Giovanna Amati, la victime, concluent un pacte. Une tension ambigue monte entre le kidnappeur et son otage. À Pâques, Daniel Nieto commet l’irréparable. Avec le recul des années, il comprend aujourd'hui qu'une relation qu'il croyait consentie était en fait vécue sous la contrainte, et il la qualifie lui-même de viol.  Enlèvement à l'italienneDaniel Nieto, 75 ans, est selon ses propres termes un « retraité du crime », adepte de l’argent facile. Après avoir passé la moitié de sa vie derrière les barreaux, il revient avec lucidité sur son itinéraire de braqueur reconverti en kidnappeur. La guerre politique et sociale fait alors rage en Italie. De l’extrême-droite à l’extrême-gauche en passant par la mafia et les malfrats « ordinaires », on multiplie les attentats, les rapts, les assassinats. Daniel rejoint un groupe d’apprentis-kidnappeurs et enchaîne les enlèvements crapuleux. Jusqu’au “kid ultime”, celui de la riche héritière Giovanna Amati, en février 1978. Quelques jours après son enlèvement, les Brigades rouges enlevaient Aldo Moro… Daniel Nieto s’est confié sans fards à Marine Vlahovic (prix SCAM du podcast 2021 pour sa série « Carnets de correspondante »). Désormais libre après une vie gâchée en prison, l’ancien ravisseur raconte avec verve et lucidité le rapt qui défraya alors la chronique. Un récit troublant, des rebondissements à couper le souffle, une mise en ondes de Samuel Hirsch inspirée par l’âge d’or du cinéma italien. Enregistrements : août 20 à mai 22 - Entretiens : Marine Vlahovic - Montage : Marine Vlahovic et Sara Monimart - Réalisation : Marine Vlahovic et Samuel Hirsch - Musique originale & mixage : Samuel Hirsch - Illustration : Zaven Najjar - Production : ARTE Radio - Samuel Hirsch
10/4/20226 minutes, 58 seconds
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Enlèvement à l'italienne (4/7) : Dans la cage

La belle et le geôlier Athlétique et intrépide, Giovanna Amati n’a qu’une idée en tête : devenir pilote automobile. Pour l’heure, la jeune femme de 19 ans vit enchaînée dans un caisson obscur et insonorisé de 4m². Daniel Nieto est son geôlier attitré. Une nuit, il entre dans la cage à visage découvert... Enlèvement à l'italienneDaniel Nieto, 75 ans, est selon ses propres termes un « retraité du crime », adepte de l’argent facile. Après avoir passé la moitié de sa vie derrière les barreaux, il revient avec lucidité sur son itinéraire de braqueur reconverti en kidnappeur. La guerre politique et sociale fait alors rage en Italie. De l’extrême-droite à l’extrême-gauche en passant par la mafia et les malfrats « ordinaires », on multiplie les attentats, les rapts, les assassinats. Daniel rejoint un groupe d’apprentis-kidnappeurs et enchaîne les enlèvements crapuleux. Jusqu’au “kid ultime”, celui de la riche héritière Giovanna Amati, en février 1978. Quelques jours après son enlèvement, les Brigades rouges enlevaient Aldo Moro… Daniel Nieto s’est confié sans fards à Marine Vlahovic (prix SCAM du podcast 2021 pour sa série « Carnets de correspondante »). Désormais libre après une vie gâchée en prison, l’ancien ravisseur raconte avec verve et lucidité le rapt qui défraya alors la chronique. Un récit troublant, des rebondissements à couper le souffle, une mise en ondes de Samuel Hirsch inspirée par l’âge d’or du cinéma italien. Enregistrements : août 20 à mai 22 - Entretiens : Marine Vlahovic - Montage : Marine Vlahovic et Sara Monimart - Réalisation : Marine Vlahovic et Samuel Hirsch - Musique originale & mixage : Samuel Hirsch - Illustration : Zaven Najjar - Production : ARTE Radio - Samuel Hirsch
10/4/20226 minutes, 57 seconds
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Enlèvement à l'italienne (3/7) : 75 jours et 75 nuits

Passage à l'acte Daniel Nieto et sa bande sont à la recherche d’une nouvelle victime. Ils arrêtent leur choix sur Giovanna Amati, la fille du « roi du cinéma » local. Après quelques hésitations et plusieurs semaines de filature, elle est enlevée avec brutalité sur le pas de sa porte en février 1978. Mais le rapt-éclair de la riche héritière s’éternise. Enlèvement à l'italienneDaniel Nieto, 75 ans, est selon ses propres termes un « retraité du crime », adepte de l’argent facile. Après avoir passé la moitié de sa vie derrière les barreaux, il revient avec lucidité sur son itinéraire de braqueur reconverti en kidnappeur. La guerre politique et sociale fait alors rage en Italie. De l’extrême-droite à l’extrême-gauche en passant par la mafia et les malfrats « ordinaires », on multiplie les attentats, les rapts, les assassinats. Daniel rejoint un groupe d’apprentis-kidnappeurs et enchaîne les enlèvements crapuleux. Jusqu’au “kid ultime”, celui de la riche héritière Giovanna Amati, en février 1978. Quelques jours après son enlèvement, les Brigades rouges enlevaient Aldo Moro… Daniel Nieto s’est confié sans fards à Marine Vlahovic (prix SCAM du podcast 2021 pour sa série « Carnets de correspondante »). Désormais libre après une vie gâchée en prison, l’ancien ravisseur raconte avec verve et lucidité le rapt qui défraya alors la chronique. Un récit troublant, des rebondissements à couper le souffle, une mise en ondes de Samuel Hirsch inspirée par l’âge d’or du cinéma italien. Enregistrements : août 20 à mai 22 - Entretiens : Marine Vlahovic - Montage : Marine Vlahovic et Sara Monimart - Réalisation : Marine Vlahovic et Samuel Hirsch - Musique originale & mixage : Samuel Hirsch - Illustration : Zaven Najjar - Production : ARTE Radio - Samuel Hirsch
10/4/20228 minutes, 12 seconds
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Enlèvement à l’italienne (2/7) : La dolce vita

En route pour le kid ultime Avec un enlèvement tous les quatre jours en moyenne, 1977 marque un record dans l’Italie des années de plomb. À Rome, Daniel Nieto intègre une bande de voyous "anonymes" qui s’essaie aux kidnappings. Entre deux prises d’otages, le Marseillais en cavale mène la dolce vita en tuant le temps au cinéma. Enlèvement à l'italienneDaniel Nieto, 75 ans, est selon ses propres termes un « retraité du crime », adepte de l’argent facile. Après avoir passé la moitié de sa vie derrière les barreaux, il revient avec lucidité sur son itinéraire de braqueur reconverti en kidnappeur. La guerre politique et sociale fait alors rage en Italie. De l’extrême-droite à l’extrême-gauche en passant par la mafia et les malfrats « ordinaires », on multiplie les attentats, les rapts, les assassinats. Daniel rejoint un groupe d’apprentis-kidnappeurs et enchaîne les enlèvements crapuleux. Jusqu’au “kid ultime”, celui de la riche héritière Giovanna Amati, en février 1978. Quelques jours après son enlèvement, les Brigades rouges enlevaient Aldo Moro… Daniel Nieto s’est confié sans fards à Marine Vlahovic (prix SCAM du podcast 2021 pour sa série « Carnets de correspondante »). Désormais libre après une vie gâchée en prison, l’ancien ravisseur raconte avec verve et lucidité le rapt qui défraya alors la chronique. Un récit troublant, des rebondissements à couper le souffle, une mise en ondes de Samuel Hirsch inspirée par l’âge d’or du cinéma italien. Enregistrements : août 20 à mai 22 - Entretiens : Marine Vlahovic - Montage : Marine Vlahovic et Sara Monimart - Réalisation : Marine Vlahovic et Samuel Hirsch - Musique originale & mixage : Samuel Hirsch - Illustration : Zaven Najjar - Production : ARTE Radio - Samuel Hirsch
10/4/20228 minutes, 53 seconds
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Enlèvement à l'italienne (1/7) : Voyage en Italie

Le récit vrai d'un kidnapping dans les années de plomb Après une enfance miséreuse mais pas malheureuse dans le Marseille de l’après-guerre, Daniel Nieto multiplie les braquages avant d'être emprisonné. En 1976, il profite d’une permission pour s’enfuir en Italie. Il gravit les échelons du crime aux côtés de "l'ennemi public numero uno", Renato Vallanzasca. Les braquages devant trop dangereux, la bande décide de se lancer dans le kidnapping...  Enlèvement à l'italienneDaniel Nieto, 75 ans, est selon ses propres termes un « retraité du crime », adepte de l’argent facile. Après avoir passé la moitié de sa vie derrière les barreaux, il revient avec lucidité sur son itinéraire de braqueur reconverti en kidnappeur. La guerre politique et sociale fait alors rage en Italie. De l’extrême-droite à l’extrême-gauche en passant par la mafia et les malfrats « ordinaires », on multiplie les attentats, les rapts, les assassinats. Daniel rejoint un groupe d’apprentis-kidnappeurs et enchaîne les enlèvements crapuleux. Jusqu’au “kid ultime”, celui de la riche héritière Giovanna Amati, en février 1978. Quelques jours après son enlèvement, les Brigades rouges enlevaient Aldo Moro… Daniel Nieto s’est confié sans fards à Marine Vlahovic (prix SCAM du podcast 2021 pour sa série « Carnets de correspondante »). Désormais libre après une vie gâchée en prison, l’ancien ravisseur raconte avec verve et lucidité le rapt qui défraya alors la chronique. Un récit troublant, des rebondissements à couper le souffle, une mise en ondes et en musique de Samuel Hirsch inspirée par l’âge d’or du cinéma italien. Enregistrements : août 20 à mai 22 - Entretiens : Marine Vlahovic - Montage : Marine Vlahovic et Sara Monimart - Réalisation : Marine Vlahovic et Samuel Hirsch - Musique originale & mixage : Samuel Hirsch - Illustration : Zaven Najjar - Production : ARTE Radio - Samuel Hirsch
10/4/202210 minutes, 46 seconds
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Le Trafiquant (8/8)

Milou, le dernier survivant de la French Connection Où planquer son produit, comment se jouer des frontières, comment semer les flics en filature… Né dans une famille de bandits corses, Milou a passé sa vie au sommet de la voyoucratie. De son enfance pauvre à la Belle de Mai jusqu'à ses années dans la French Connection, il raconte tout. 8 épisodes à suivre pour un récit puissant et addictif.  Milou, le dernier survivant de la French ConnectionUne gouaille exceptionnelle, un carnet d'adresses aussi fourni que les fichiers du grand banditisme… Émile Diaz, dit « Milou », 78 ans, est une mémoire du Milieu marseillais : l’un des derniers survivants de la French Connection, du temps où la voyoucratie avait placé les Corses de Marseille au sommet du trafic de drogue mondial. Milou nous emmène sur les routes de la blanche, des souks d’Istanbul aux labos marseillais, et dresse son autoportrait sans complaisance. Dans sa voix, les charmes du Midi se mêlent à l’âpreté du Milieu, à sa violence et son amoralité. Retraité tranquille, rangé des voitures depuis une quinzaine d’années, il accepte de lever le voile sur les chapitres les plus sombres de sa vie. Milou a publié, avec Thierry Collombié, son autobiographie chez Robert Laffont "Truand" en 2015. Épisode 8 :Cette fois, fin de partie pour le trafiquant. Le voilà « enchristé » pour longtemps. Milou donne alors carte blanche à ses avocats pour le faire sortir de prison. Mais sa plus lourde peine ne sera pas celle prononcée par la justice. Enregistrements : mai-août 21 - Entretiens et montage : Hugo Lemonier - Réalisation : Thomas Loupias, Charlie Marcelet - Musique originale : Thomas Loupias - Production : ARTE Radio - Musique originale : Thomas Loupias
8/25/202221 minutes, 3 seconds
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Le Trafiquant (7/8)

Milou, le dernier survivant de la French Connection Où planquer son produit, comment se jouer des frontières, comment semer les flics en filature… Né dans une famille de bandits corses, Milou a passé sa vie au sommet de la voyoucratie. De son enfance pauvre à la Belle de Mai jusqu'à ses années dans la French Connection, il raconte tout. 8 épisodes à suivre pour un récit puissant et addictif.  Milou, le dernier survivant de la French ConnectionUne gouaille exceptionnelle, un carnet d'adresses aussi fourni que les fichiers du grand banditisme… Émile Diaz, dit « Milou », 78 ans, est une mémoire du Milieu marseillais : l’un des derniers survivants de la French Connection, du temps où la voyoucratie avait placé les Corses de Marseille au sommet du trafic de drogue mondial. Milou nous emmène sur les routes de la blanche, des souks d’Istanbul aux labos marseillais, et dresse son autoportrait sans complaisance. Dans sa voix, les charmes du Midi se mêlent à l’âpreté du Milieu, à sa violence et son amoralité. Retraité tranquille, rangé des voitures depuis une quinzaine d’années, il accepte de lever le voile sur les chapitres les plus sombres de sa vie. Milou a publié, avec Thierry Collombié, son autobiographie chez Robert Laffont "Truand" en 2015. Épisode 7 :Le juge Michel le suit à la trace, mais Milou se pense intouchable. D’autant qu’un nouveau partenaire lui promet un avenir radieux : la Cosa Nostra. Enregistrements : mai, août 21 - Entretiens, montage : Hugo Lemonier - Réalisation : Thomas Loupias et Charlie Marcelet - Musique originale : Thomas Loupias - Illustration : Chez Gertrud - Production : ARTE Radio  - Musique originale : Thomas Loupias
8/23/202216 minutes, 24 seconds
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Le Trafiquant (6/8)

Milou, le dernier survivant de la French Connection Où planquer son produit, comment se jouer des frontières, comment semer les flics en filature… Né dans une famille de bandits corses, Milou a passé sa vie au sommet de la voyoucratie. De son enfance pauvre à la Belle de Mai jusqu'à ses années dans la French Connection, il raconte tout. 8 épisodes à suivre pour un récit puissant et addictif.  Milou, le dernier survivant de la French ConnectionUne gouaille exceptionnelle, un carnet d'adresses aussi fourni que les fichiers du grand banditisme… Émile Diaz, dit « Milou », 78 ans, est une mémoire du Milieu marseillais : l’un des derniers survivants de la French Connection, du temps où la voyoucratie avait placé les Corses de Marseille au sommet du trafic de drogue mondial. Milou nous emmène sur les routes de la blanche, des souks d’Istanbul aux labos marseillais, et dresse son autoportrait sans complaisance. Dans sa voix, les charmes du Midi se mêlent à l’âpreté du Milieu, à sa violence et son amoralité. Retraité tranquille, rangé des voitures depuis une quinzaine d’années, il accepte de lever le voile sur les chapitres les plus sombres de sa vie. Milou a publié, avec Thierry Collombié, son autobiographie chez Robert Laffont "Truand" en 2015. Épisode 6 :À peine sorti de prison, Milou reprend les affaires. La French Connection est morte, mais pas lui. La Turquie et sa fameuse « base » lui tendent les bras mais, très vite, le revoilà dans le viseur des autorités. Enregistrements : mai, août 21 - Entretiens, montage : Hugo Lemonier - Réalisation : Thomas Loupias et Charlie Marcelet - Musique originale : Thomas Loupias - Illustration : Chez Gertrud - Production : ARTE Radio  - Musique originale : Thomas Loupias
8/18/202216 minutes, 40 seconds
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Le Trafiquant (5/8)

Milou, le dernier survivant de la French Connection Où planquer son produit, comment se jouer des frontières, comment semer les flics en filature… Né dans une famille de bandits corses, Milou a passé sa vie au sommet de la voyoucratie. De son enfance pauvre à la Belle de Mai jusqu'à ses années dans la French Connection, il raconte tout. 8 épisodes à suivre pour un récit puissant et addictif.  Milou, le dernier survivant de la French ConnectionUne gouaille exceptionnelle, un carnet d'adresses aussi fourni que les fichiers du grand banditisme… Émile Diaz, dit « Milou », 78 ans, est une mémoire du Milieu marseillais : l’un des derniers survivants de la French Connection, du temps où la voyoucratie avait placé les Corses de Marseille au sommet du trafic de drogue mondial. Milou nous emmène sur les routes de la blanche, des souks d’Istanbul aux labos marseillais, et dresse son autoportrait sans complaisance. Dans sa voix, les charmes du Midi se mêlent à l’âpreté du Milieu, à sa violence et son amoralité. Retraité tranquille, rangé des voitures depuis une quinzaine d’années, il accepte de lever le voile sur les chapitres les plus sombres de sa vie. Milou a publié, avec Thierry Collombié, son autobiographie chez Robert Laffont "Truand" en 2015. Épisode 5 :Le filet se resserre autour de Milou. Les policiers de Marseille ont vu monter en puissance ce trafiquant âgé d’à peine 30 ans. En 1974, ils sont décidés à le faire plonger. Enregistrements : mai, août 21 - Entretiens, montage : Hugo Lemonier - Réalisation : Thomas Loupias et Charlie Marcelet - Musique originale : Thomas Loupias - Illustration : Chez Gertrud - Production : ARTE Radio  - Musique originale : Thomas Loupias
8/11/202217 minutes, 11 seconds
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Le Trafiquant (4/8)

Milou, le dernier survivant de la French Connection Où planquer son produit, comment se jouer des frontières, comment semer les flics en filature… Né dans une famille de bandits corses, Milou a passé sa vie au sommet de la voyoucratie. De son enfance pauvre à la Belle de Mai jusqu'à ses années dans la French Connection, il raconte tout. 8 épisodes à suivre pour un récit puissant et addictif.  Milou, le dernier survivant de la French ConnectionUne gouaille exceptionnelle, un carnet d'adresses aussi fourni que les fichiers du grand banditisme… Émile Diaz, dit « Milou », 78 ans, est une mémoire du Milieu marseillais : l’un des derniers survivants de la French Connection, du temps où la voyoucratie avait placé les Corses de Marseille au sommet du trafic de drogue mondial. Milou nous emmène sur les routes de la blanche, des souks d’Istanbul aux labos marseillais, et dresse son autoportrait sans complaisance. Dans sa voix, les charmes du Midi se mêlent à l’âpreté du Milieu, à sa violence et son amoralité. Retraité tranquille, rangé des voitures depuis une quinzaine d’années, il accepte de lever le voile sur les chapitres les plus sombres de sa vie. Milou a publié, avec Thierry Collombié, son autobiographie chez Robert Laffont "Truand" en 2015. Épisode 4 :À la suite de l’assassinat d’un de ses oncles, Milou est rattrapé par la vendetta. Comme on dit en Corse, "le sang appelle le sang". Son instinct de survie l’amène à commettre l’irréparable. Enregistrements : mai, août 21 - Entretiens, montage : Hugo Lemonier - Réalisation : Thomas Loupias et Charlie Marcelet - Musique originale : Thomas Loupias - Illustration : Chez Gertrud - Production : ARTE Radio - Musique originale : Thomas Loupias
8/4/20226 minutes, 25 seconds
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Le Trafiquant (3/8)

Milou, le dernier survivant de la French Connection Où planquer son produit, comment se jouer des frontières, comment semer les flics en filature… Né dans une famille de bandits corses, Milou a passé sa vie au sommet de la voyoucratie. De son enfance pauvre à la Belle de Mai jusqu'à ses années dans la French Connection, il raconte tout. 8 épisodes à suivre pour un récit puissant et addictif.  Milou, le dernier survivant de la French ConnectionUne gouaille exceptionnelle, un carnet d'adresses aussi fourni que les fichiers du grand banditisme… Émile Diaz, dit « Milou », 78 ans, est une mémoire du Milieu marseillais : l’un des derniers survivants de la French Connection, du temps où la voyoucratie avait placé les Corses de Marseille au sommet du trafic de drogue mondial. Milou nous emmène sur les routes de la blanche, des souks d’Istanbul aux labos marseillais, et dresse son autoportrait sans complaisance. Dans sa voix, les charmes du Midi se mêlent à l’âpreté du Milieu, à sa violence et son amoralité. Retraité tranquille, rangé des voitures depuis une quinzaine d’années, il accepte de lever le voile sur les chapitres les plus sombres de sa vie. Milou a publié, avec Thierry Collombié, son autobiographie chez Robert Laffont "Truand" en 2015. Épisode 3 :Milou installe des labos près de Marseille pour transformer la morphine base en héroïne. Le jeune homme est déjà un voyou accompli, qui jette l’argent par les fenêtres jusqu’au prochain voyage. Enregistrements : mai, août 21 - Entretiens, montage : Hugo Lemonier - Réalisation : Thomas Loupias et Charlie Marcelet - Musique originale : Thomas Loupias - Illustration : Chez Gertrud - Production : ARTE Radio - Musique originale : Thomas Loupias
7/28/202214 minutes, 2 seconds
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Le Trafiquant (2/8)

Milou, le dernier survivant de la French Connection Où planquer son produit, comment se jouer des frontières, comment semer les flics en filature… Né dans une famille de bandits corses, Milou a passé sa vie au sommet de la voyoucratie. De son enfance pauvre à la Belle de Mai jusqu'à ses années dans la French Connection, il raconte tout. 8 épisodes à suivre pour un récit puissant et addictif.  Milou, le dernier survivant de la French ConnectionUne gouaille exceptionnelle, un carnet d'adresses aussi fourni que les fichiers du grand banditisme… Émile Diaz, dit « Milou », 78 ans, est une mémoire du Milieu marseillais : l’un des derniers survivants de la French Connection, du temps où la voyoucratie avait placé les Corses de Marseille au sommet du trafic de drogue mondial. Milou nous emmène sur les routes de la blanche, des souks d’Istanbul aux labos marseillais, et dresse son autoportrait sans complaisance. Dans sa voix, les charmes du Midi se mêlent à l’âpreté du Milieu, à sa violence et son amoralité. Retraité tranquille, rangé des voitures depuis une quinzaine d’années, il accepte de lever le voile sur les chapitres les plus sombres de sa vie. Milou a publié, avec Thierry Collombié, son autobiographie chez Robert Laffont "Truand" en 2015. Épisode 2 :Milou se lance le trafic de drogue. D’abord simple transporteur, il décide de remonter à la source en Turquie pour en tirer, cette fois, le maximum de profit. Enregistrements : mai, août 21 - Entretiens, montage : Hugo Lemonier - Réalisation : Thomas Loupias et Charlie Marcelet - Musique originale : Thomas Loupias - Illustration : Chez Gertrud - Production : ARTE Radio - Musique originale : Thomas Loupias
7/21/202214 minutes, 31 seconds
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Le Trafiquant (1/8)

Milou, le dernier survivant de la French Connection Où planquer son produit, comment se jouer des frontières, comment semer les flics en filature… Né dans une famille de bandits corses, Milou a passé sa vie au sommet de la voyoucratie. De son enfance pauvre à la Belle de Mai jusqu'à ses années dans la French Connection, il raconte tout. 8 épisodes à suivre pour un récit puissant et addictif.  Milou, le dernier trafiquant de la French ConnectionUne gouaille exceptionnelle, un carnet d'adresses aussi fourni que les fichiers du grand banditisme… Émile Diaz, dit « Milou », 78 ans, est une mémoire du Milieu marseillais : l’un des derniers survivants de la French Connection, du temps où la voyoucratie avait placé les Corses de Marseille au sommet du trafic de drogue mondial. Milou nous emmène sur les routes de la blanche, des souks d’Istanbul aux labos marseillais, et dresse son autoportrait sans complaisance. Dans sa voix, les charmes du Midi se mêlent à l’âpreté du Milieu, à sa violence et son amoralité. Retraité tranquille, rangé des voitures depuis une quinzaine d’années, il accepte de lever le voile sur les chapitres les plus sombres de sa vie. Milou a publié, avec Thierry Collombié, son autobiographie chez Robert Laffont "Truand" en 2015. Épisode 1 :Émile Diaz, dit « Milou », naît dans une famille de voyous corso-marseillais. Des petits chapardages au trafic d’armes, le jeune garçon entre dans le monde très fermé de la voyoucratie. Et commence ses premiers trafics…  Enregistrements : mai, août 21 - Entretiens, montage : Hugo Lemonier - Réalisation : Thomas Loupias et Charlie Marcelet - Musique originale : Thomas Loupias - Illustration : Chez Gertrud - Production : ARTE Radio  - Musique originale : Thomas Loupias
7/21/202218 minutes, 54 seconds
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La route de l'Eldorado (5/5) : Rêve ou mirage

En France ou au Canada, l’Eldorado existe-t-il ? Le mythe de l’Eldorado comme celui du self-made man résonnent fort chez beaucoup d’exilés. L’idée selon laquelle « tout est possible en Amérique si tu le veux », ils ont pu la mesurer, la vivre, l’expérimenter. Qu’ont-ils trouvé en Amérique du Nord qui semblait impossible en Europe ? Et y resteront-ils ? La route de l'EldoradoIls et elles ont quitté leur pays pour la France avant de choisir de s’installer au Canada. Ils et elles nous racontent la France, son accueil, ses opportunités, mais aussi ses blocages. Après leur expérience française ils ont finalement atterri à Montréal, Ottawa ou Vancouver, où Halima Elkhatabi les a rencontrés. Après la Route du Bled, Halima Elkhatabi tisse avec finesse onze récits qui racontent un double exil avec émotion et lucidité. Une coproduction ARTE Radio - Radio Canada qui permet de passionnants regards croisés sur la France et la Canada. Enregistrements : 2021 - Entretiens et prises de son : Halima Elkhatabi - Réalisation et mixage : Charlie Marcelet - Musiques originales : Samuel Hirsch - Illustration : Lola Penicaud - Production : Radio-Canada OHdio, ARTE Radio - Musiques originales : Samuel Hirsch
4/28/202222 minutes, 59 seconds
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La route de l'Eldorado (4/5) : La valse de l'exil

La France tient-elle ses promesses ? Myriam et Caroline ont quitté leurs pays respectifs pour des raisons politiques. Le Maroc en 1967 pour Myriam en tant que juive après la guerre des 6 jours, et la Chine pour Caroline au début des années 90 après le massacre de Tian’an men. L’une était encore adolescente, l’autre passionnée par la langue française. Tout aurait dû bien se passer pour elles en France, et pourtant, elles l’ont quittée en espérant des jours meilleurs au Canada. La route de l'EldoradoIls et elles ont quitté leur pays pour la France avant de choisir de s’installer au Canada. Ils et elles nous racontent la France, son accueil, ses opportunités, mais aussi ses blocages. Après leur expérience française ils ont finalement atterri à Montréal, Ottawa ou Vancouver, où Halima Elkhatabi les a rencontrés. Après la Route du Bled, Halima Elkhatabi tisse avec finesse onze récits qui racontent un double exil avec émotion et lucidité. Une coproduction ARTE Radio - Radio Canada qui permet de passionnants regards croisés sur la France et la Canada.  Enregistrements : 2021 - Entretiens et prises de son : Halima Elkhatabi - Réalisation et mixage : Charlie Marcelet - Musiques originales : Samuel Hirsch - Illustration : Lola Penicaud - Production : Radio-Canada OHdio, ARTE Radio - Musiques originales : Samuel Hirsch
4/28/202221 minutes, 54 seconds
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La route de l'Eldorado (3/5) : Une lumière au bout du voyage

Du bon accueil aux écueils du racisme Mekki, Benjamin et Grace ont fait des études universitaires en France avant de tenter d’intégrer le monde du travail. Qu’on soit Algérien, Camerounais ou Franco-Congolaise, les opportunités en tant que Noir ou Maghrébin sont-elles différentes d’un pays à l’autre, d’un continent à l’autre ?  La route de l'EldoradoIls et elles ont quitté leur pays pour la France avant de choisir de s’installer au Canada. Ils et elles nous racontent la France, son accueil, ses opportunités, mais aussi ses blocages. Après leur expérience française ils ont finalement atterri à Montréal, Ottawa ou Vancouver, où Halima Elkhatabi les a rencontrés. Après la Route du Bled, Halima Elkhatabi tisse avec finesse onze récits qui racontent un double exil avec émotion et lucidité. Une coproduction ARTE Radio - Radio Canada qui permet de passionnants regards croisés sur la France et la Canada. Enregistrements : 2021 - Entretiens et prises de son : Halima Elkhatabi - Réalisation et mixage : Charlie Marcelet - Musiques originales : Samuel Hirsch - Illustration : Lola Penicaud - Production : Radio-Canada OHdio, ARTE Radio - Musiques originales : Samuel Hirsch
4/28/202226 minutes, 2 seconds
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La route de l'Eldorado (2/5) : Les 12 travaux de l'immigration

Les mystères de l'administration française Miguel, Gloria et Rachel ont bien connu les déboires de l’administration française. Obtenir ses papiers, qu’on vienne du Mexique ou du Cameroun, amène à devoir vivre l’expérience de la préfecture - pour ne pas dire le cauchemar de la préfecture. Visa temporaire, permis de travail à renouveler, récépissé, file d’attente, confrontation avec les agents, incohérences bureaucratiques… Ils ont fini par renoncer. Mais est-ce mieux au Canada et particulièrement à Vancouver ou Winnipeg ? Il faut y aller pour le savoir. La route de l'EldoradoIls et elles ont quitté leur pays pour la France avant de choisir de s’installer au Canada. Ils et elles nous racontent la France, son accueil, ses opportunités, mais aussi ses blocages. Après leur expérience française ils ont finalement atterri à Montréal, Ottawa ou Vancouver, où Halima Elkhatabi les a rencontrés. Après la Route du Bled, Halima Elkhatabi tisse avec finesse onze récits qui racontent un double exil avec émotion et lucidité. Une coproduction ARTE Radio - Radio Canada qui permet de passionnants regards croisés sur la France et la Canada.  Enregistrements : 2021 - Entretiens et prises de son : Halima Elkhatabi - Réalisation et mixage : Charlie Marcelet - Musiques originales : Samuel Hirsch - Illustration : Lola Penicaud - Production : Radio-Canada OHdio, ARTE Radio - Musiques originales : Samuel Hirsch
4/28/202219 minutes, 45 seconds
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La route de l'Eldorado (1/5) : À la recherche de la terre promise

Bochra, Samlé et Renata ont choisi la France Bochra, Samlé et Renata ont quitté la Tunisie, la Côte d’Ivoire ou le Brésil pour émigrer en France. L’une est réfugiée politique, l’autre est issu d'un mariage mixte, la troisième est passionnée de langue française. Qu’est-ce qui a fait qu’ils ont un jour voulu quitter la France ? Quels rêves et quels espoirs entrevoyaient-ils au Canada et particulièrement au Québec ? La route de l'EldoradoIls et elles ont quitté leur pays pour la France avant de choisir de s’installer au Canada. Ils et elles nous racontent la France, son accueil, ses opportunités, mais aussi ses blocages. Après leur expérience française ils ont finalement atterri à Montréal, Ottawa ou Vancouver, où Halima Elkhatabi les a rencontrés. Après la Route du Bled, Halima Elkhatabi tisse avec finesse onze récits qui racontent un double exil avec émotion et lucidité. Une coproduction ARTE Radio - Radio Canada qui permet de passionnants regards croisés sur la France et la Canada. Enregistrements : 2021 - Entretiens et prises de son : Halima Elkhatabi - Réalisation et mixage : Charlie Marcelet - Musiques originales : Samuel Hirsch - Illustration : Lola Penicaud - Production : Radio-Canada OHdio, ARTE Radio - Musiques originales : Samuel Hirsch
4/28/202224 minutes, 42 seconds
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Bande-annonce La route de l'Eldorado

Parcours d’exils de la France au Canada Ils et elles ont quitté leur pays pour la France avant de choisir de s’installer au Canada. Ils et elles nous racontent la France, son accueil, ses opportunités, mais aussi ses blocages. Après leur expérience française ils ont finalement atterri à Montréal, Ottawa ou Vancouver, où Halima Elkhatabi les a rencontrés. Après la Route du Bled, Halima Elkhatabi tisse avec finesse onze récits qui racontent un double exil avec émotion et lucidité. Une coproduction ARTE Radio - Radio Canada qui permet de passionnants regards croisés sur la France et le Canada. Enregistrements : 2021 - Entretiens et prises de son : Halima Elkhatabi - Réalisation et mixage : Charlie Marcelet - Musiques originales : Samuel Hirsch - Illustration : Lola Penicaud - Production : Radio-Canada OHdio, ARTE Radio - Musiques originales : Samuel Hirsch
4/27/20221 minute, 9 seconds
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Le bocal (24/24)

L'apocalypse Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris. 24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon. Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle. Enregistrements : 2008 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio
2/28/20228 minutes, 30 seconds
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Le bocal (23/24)

La fiction radio Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris. 24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon. Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle. Enregistrements : 2008 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio
2/28/20221 minute, 38 seconds
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Le bocal (22/24)

Le 2e CDD Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris. 24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon. Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle. Enregistrements : 2008 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio
2/28/20222 minutes, 57 seconds
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Le bocal (21/24)

Le renouvellement Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris. 24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon. Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle. Enregistrements : 2008 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio
2/28/20222 minutes, 33 seconds
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Le bocal (20/24)

La déprime Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris. 24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon. Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle. Enregistrements : 2008 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio
2/28/20221 minute, 37 seconds
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Le bocal (19/24)

Le sauveur Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris. 24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon. Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle. Enregistrements : 2008 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio
2/28/20224 minutes, 35 seconds
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Le bocal (18/24)

La journée de formation Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris. 24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon. Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle. Enregistrements : 2008 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio
2/28/20224 minutes, 3 seconds
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Le bocal (17/24)

La médecine du travail Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris. 24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon. Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle. Enregistrements : 2008 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio
2/28/20222 minutes, 6 seconds
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Le bocal (16/24)

Les bien loties Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris. 24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon. Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle. Enregistrements : 2008 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio
2/28/20222 minutes, 7 seconds
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Le bocal (15/24)

L'employée modèle Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris. 24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon. Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle. Enregistrements : 2008 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio
2/28/20222 minutes, 9 seconds
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Le bocal (14/24)

Les heures manquantes Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris. 24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon. Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle. Enregistrements : 2008 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio
2/28/20222 minutes, 23 seconds
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Le bocal (13/24)

L'esprit d'équipe Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris. 24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon. Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle. Enregistrements : 2008 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio
2/28/20223 minutes, 19 seconds
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Le bocal (12/24)

L'externalisation des hôtesses d'accueil Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris. 24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon. Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle. Enregistrements : 2008 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio
2/28/20224 minutes, 10 seconds
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Le bocal (11/24)

Le trajet pour le bureau Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris. 24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon. Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle. Enregistrements : 2008 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio
2/28/20225 minutes, 12 seconds
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Le bocal (10/24)

Calamar en colère Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris. 24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon. Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle. Enregistrements : 2008 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio
2/28/20222 minutes, 30 seconds
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Le bocal (9/24)

L'accueil du public Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris. 24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon. Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle. Enregistrements : 2008 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio
2/28/20222 minutes, 30 seconds
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Le bocal (8/24)

Le service collectivité Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris. 24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon. Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle. Enregistrements : 2008 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio
2/28/20221 minute, 35 seconds
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Le bocal (7/24)

La nouvelle Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris. 24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon. Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle. Enregistrements : 2008 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio
2/28/20222 minutes, 31 seconds
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Le bocal (6/24)

Critiques au bureau Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris. 24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon. Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle. Enregistrements : 2006 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio
2/28/20222 minutes, 32 seconds
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Le bocal (5/24)

Le jour de l'inauguration Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris. 24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon. Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle.  Enregistrements : 2006 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio
2/28/20222 minutes, 44 seconds
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Le bocal (4/24)

Les heures sup s'accumulent Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris.24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon. Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle. Enregistrements : 2006 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio
2/28/20222 minutes, 37 seconds
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Le bocal (3/24)

Un calamar hors de l'eau Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris.24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon. Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle. Enregistrements : 2006 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio
2/28/20223 minutes, 16 seconds
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Le bocal (2/24)

Le bureau B19 Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris.24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction entre journal intime et cartoon. Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec elle. Enregistrements : 2006 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio
2/28/20222 minutes, 17 seconds
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Le bocal (1/24)

Description des bureaux Mariannick, une jeune femme comme les autres, est en CDD dans une institution culturelle prestigieuse. Mais son collègue de bureau est un calamar. Un calamar veule et visqueux, amateur de ragots et de techno italienne. Il y a aussi l’archichef qui terrorise les hôtesses d’accueil, l’hyperchef qui terrorise tout le monde, et un monstre géant qui détruit la moitié de Paris. 24 épisodes de 3 à 5 minutes sur la vie de bureau. Une nouvelle forme de fiction politique et drôle, entre journal intime et cartoon. Prix Europa 2008 de la Meilleure Fiction radio.   Scénariste, Mariannick Bellot a eu l’idée de ce feuilleton alors qu’elle accomplissait un CDD « alimentaire » dans une institution culturelle prestigieuse (que nous ne nommerons pas). L'immense Delphine Théodore joue Mariannick tandis que le grand Christophe Brault joue le calamar et tous les autres personnages. Sophie Bissantz bruite le calamar avec des spaghettis jetés sur la vitre du studio, ainsi que plein d'autres trucs. Christophe Rault, co-fondateur d’ARTE Radio, rythme et réalise l’ensemble avec Mariannick. Traduit en tchèque et en chinois, "Le Bocal" a marqué l'histoire de la fiction sonore en rapportant son premier prix Europa à ARTE Radio, et en prouvant qu'on pouvait faire court, plaisant et politique.   Enregistrements : 2006 - Interprètes : Delphine Théodore (Mariannick), Christophe Brault (le calamar, le reste du monde) - Bruitage : Sophie Bissantz - Scénario et dialogues : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Christophe Rault - Illustration : Pierre La Police - Production : ARTE Radio
2/28/20222 minutes, 55 seconds
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La cage, une Française dans le djihad (4/4) : Revivre

L'heure de la justice En mars 2019, Nessrine est renvoyée en France après avoir été arrêtée par les autorités turques à sa sortie de Syrie. Mise en examen pour "association de malfaiteurs en vue d’une entreprise terroriste", elle est immédiatement incarcérée et séparée de son fils et de sa fille. Libérée après un an et demi de détention, Nessrine est aujourd’hui placée sous contrôle judiciaire dans l’attente de son procès où elle risque une très lourde peine. Elle suit une thérapie et tente de se recontruire avec ses enfants.   La cage : une Française dans le djihad Nessrine a passé cinq ans en Syrie au coeur de Daech. Jamais une Française de retour de l’Etat islamique n’a parlé aussi librement et avec autant de lucidité de ce qu’elle a vécu et des motifs de son embrigadement. Une série documentaire d'Édith Bouvier et Céline Martelet, toutes deux grandes reporters et spécialistes du Moyen Orient. "Je m’appelle Nessrine, j’ai 29 ans et deux enfants. J’ai passé cinq ans en Syrie dans le territoire de Daech. Je suis en liberté conditionnelle et j’attends l’ouverture de mon procès." La voix de la jeune Française paraît d’autant plus douce que la descente aux enfers qu’elle raconte est terrible. Fuyant une famille violente et oppressante (sa première "cage"), Nessrine, en manque de repères et manipulée par des islamistes, est partie en Syrie en pensant se rendre utile auprès d’un peuple en souffrance. Elle pensait aussi pouvoir y vivre plus librement un Islam radical. Elle paiera cher sa naïveté et son manque de repères, tombant aussitôt entre les griffes de l’État islamique dans une Raqqa mise en coupe réglée. Revenue de tout, après deux mariages avec d’importants djihadistes, elle est la première Française à faire, de l’intérieur, le récit intime et détaillé de la mécanique du monstre terroriste et de son propre parcours. Un éclairage indispensable pour comprendre la mécanique de l'embrigadement et du terrorisme.  Édith Bouvier et Céline Martelet sont toutes deux grandes reporters, spécialistes du Moyen Orient. Elles ont publié "Un parfum de djihad" (éditions Plon, 2018), une enquête inédite sur les Françaises de l'État islamique. Elles ont tout récemment remporté le 3ème prix radio pour un reportage à Idlib (Syrie), au Prix Bayeux Calvados-Normandie des correspondants de guerre. Enregistrements : juin 21 - Entretiens : Édith Bouvier et Céline Martelet - Prises de son et montage : Céline Martelet - Prises de sons à Raqqa : Noé Pignède, Ali Al Matroud, Faris Thakhera, Mohamed Al Wawi - Musiques : Abdulsattar Ramadam (Oud à Raqqa), The Weeknd « Save your tears », Nea « Some say » - Réalisation et mixage : Charlie Marcelet - Illustration : Raphaëlle Macaron - Production : ARTE Radio
11/11/202117 minutes, 38 seconds
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La cage, une Française dans le djihad (3/4) : La terreur

L'espoir dans la pénombre Fin 2014, Nessrine arrive à Raqqa, devenue capitale syrienne de l’État Islamique. La ville millénaire est paralysée par la terreur imposée par l’organisation terroriste. Les frappes aériennes du régime de Damas et de son allié russe sont de plus en plus fréquentes. Puis viennent celles de la coalition internationale. C’est à Raqqa que Nessrine donne naissance à ses deux enfants. Et c’est pour eux qu’elle trouve la force de fuir Daech. La cage : une Française dans le djihad Nessrine a passé cinq ans en Syrie au coeur de Daech. Jamais une Française de retour de l’Etat islamique n’a parlé aussi librement et avec autant de lucidité de ce qu’elle a vécu et des motifs de son embrigadement. Une série documentaire d'Édith Bouvier et Céline Martelet, toutes deux grandes reporters et spécialistes du Moyen Orient. "Je m’appelle Nessrine, j’ai 29 ans et deux enfants. J’ai passé cinq ans en Syrie dans le territoire de Daech. Je suis en liberté conditionnelle et j’attends l’ouverture de mon procès." La voix de la jeune Française paraît d’autant plus douce que la descente aux enfers qu’elle raconte est terrible. Fuyant une famille violente et oppressante (sa première "cage"), Nessrine, en manque de repères et manipulée par des islamistes, est partie en Syrie en pensant se rendre utile auprès d’un peuple en souffrance. Elle pensait aussi pouvoir y vivre plus librement un Islam radical. Elle paiera cher sa naïveté et son manque de repères, tombant aussitôt entre les griffes de l’État islamique dans une Raqqa mise en coupe réglée. Revenue de tout, après deux mariages avec d’importants djihadistes, elle est la première Française à faire, de l’intérieur, le récit intime et détaillé de la mécanique du monstre terroriste et de son propre parcours. Un éclairage indispensable pour comprendre la mécanique de l'embrigadement et du terrorisme.  Édith Bouvier et Céline Martelet sont toutes deux grandes reporters, spécialistes du Moyen Orient. Elles ont publié "Un parfum de djihad" (éditions Plon, 2018), une enquête inédite sur les Françaises de l'État islamique. Elles ont tout récemment remporté le 3ème prix radio pour un reportage à Idlib (Syrie), au Prix Bayeux Calvados-Normandie des correspondants de guerre. Enregistrements : juin 21 - Entretiens : Édith Bouvier et Céline Martelet - Prises de son et montage : Céline Martelet - Prises de sons à Raqqa : Noé Pignède, Ali Al Matroud, Faris Thakhera, Mohamed Al Wawi - Musiques : Abdulsattar Ramadam (Oud à Raqqa), The Weeknd « Save your tears », Nea « Some say » - Réalisation et mixage : Charlie Marcelet - Illustration : Raphaëlle Macaron - Production : ARTE Radio
11/11/202117 minutes, 39 seconds
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La cage, une Française dans le djihad (2/4) : Enfermée

Prise au piège dans le djihad À son arrivée en Syrie, Nessrine se retrouve rapidement plongée dans la violence. D’abord celle de l'homme qu’elle a épousé sans le connaitre, mais aussi celle des autres Françaises qui l’entourent. Prise au piège, elle ne parvient pas à s’enfuir. Après la mort de son premier mari, et sous la pression des autres femmes de l’État Islamique, elle accepte de se remarier. La cage : une Française dans le djihad Nessrine a passé cinq ans en Syrie au coeur de Daech. Jamais une Française de retour de l’Etat islamique n’a parlé aussi librement et avec autant de lucidité de ce qu’elle a vécu et des motifs de son embrigadement. Une série documentaire d'Édith Bouvier et Céline Martelet, toutes deux grandes reporters et spécialistes du Moyen Orient. "Je m’appelle Nessrine, j’ai 29 ans et deux enfants. J’ai passé cinq ans en Syrie dans le territoire de Daech. Je suis en liberté conditionnelle et j’attends l’ouverture de mon procès." La voix de la jeune Française paraît d’autant plus douce que la descente aux enfers qu’elle raconte est terrible. Fuyant une famille violente et oppressante (sa première "cage"), Nessrine, en manque de repères et manipulée par des islamistes, est partie en Syrie en pensant se rendre utile auprès d’un peuple en souffrance. Elle pensait aussi pouvoir y vivre plus librement un Islam radical. Elle paiera cher sa naïveté et son manque de repères, tombant aussitôt entre les griffes de l’État islamique dans une Raqqa mise en coupe réglée. Revenue de tout, après deux mariages avec d’importants djihadistes, elle est la première Française à faire, de l’intérieur, le récit intime et détaillé de la mécanique du monstre terroriste et de son propre parcours. Un éclairage indispensable pour comprendre la mécanique de l'embrigadement et du terrorisme.  Édith Bouvier et Céline Martelet sont toutes deux grandes reporters, spécialistes du Moyen Orient. Elles ont publié "Un parfum de djihad" (éditions Plon, 2018), une enquête inédite sur les Françaises de l'État islamique. Elles ont tout récemment remporté le 3ème prix radio pour un reportage à Idlib (Syrie), au Prix Bayeux Calvados-Normandie des correspondants de guerre. Enregistrements : juin 21 - Entretiens : Édith Bouvier et Céline Martelet - Prises de son et montage : Céline Martelet - Prises de sons à Raqqa : Noé Pignède, Ali Al Matroud, Faris Thakhera, Mohamed Al Wawi - Musiques : Abdulsattar Ramadam (Oud à Raqqa), The Weeknd « Save your tears », Nea « Some say » - Réalisation et mixage : Charlie Marcelet - Illustration : Raphaëlle Macaron - Production : ARTE Radio
11/11/202118 minutes, 57 seconds
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La cage, une Française dans le djihad (1/4) : Les failles

Comment une jeune Française a rejoint le djihad Nessrine grandit dans un cadre familial étouffant et violent qui lui vaut d'être surnommée « la prisonnière » par ses amis d’école. À l’université, la jeune femme s’isole et se réfugie sur les réseaux sociaux. C’est là qu’elle croise une recruteuse pour des candidat.e.s au djihad en Syrie. Convaincue qu’une vie meilleure l’attend, elle se marie par Skype à un Français djihadiste déjà sur place, quelques semaines après sa radicalisation. Le 9 décembre 2013, âgée de 22 ans, Nessrine embarque dans un avion pour partir en Syrie... La cage : une Française dans le djihad Nessrine a passé cinq ans en Syrie au coeur de Daech. Jamais une Française de retour de l’Etat islamique n’a parlé aussi librement et avec autant de lucidité de ce qu’elle a vécu et des motifs de son embrigadement. Une série documentaire d'Édith Bouvier et Céline Martelet, toutes deux grandes reporters et spécialistes du Moyen Orient. "Je m’appelle Nessrine, j’ai 29 ans et deux enfants. J’ai passé cinq ans en Syrie dans le territoire de Daech. Je suis en liberté conditionnelle et j’attends l’ouverture de mon procès." La voix de la jeune Française paraît d’autant plus douce que la descente aux enfers qu’elle raconte est terrible. Fuyant une famille violente et oppressante (sa première "cage"), Nessrine, en manque de repères et manipulée par des islamistes, est partie en Syrie en pensant se rendre utile auprès d’un peuple en souffrance. Elle pensait aussi pouvoir y vivre plus librement un Islam radical. Elle paiera cher sa naïveté et son manque de repères, tombant aussitôt entre les griffes de l’État islamique dans une Raqqa mise en coupe réglée. Revenue de tout, après deux mariages avec d’importants djihadistes, elle est la première Française à faire, de l’intérieur, le récit intime et détaillé de la mécanique du monstre terroriste et de son propre parcours. Un éclairage indispensable pour comprendre la mécanique de l'embrigadement et du terrorisme.  Édith Bouvier et Céline Martelet sont toutes deux grandes reporters, spécialistes du Moyen Orient. Elles ont publié "Un parfum de djihad" (éditions Plon, 2018), une enquête inédite sur les Françaises de l'État islamique. Elles ont tout récemment remporté le 3ème prix radio pour un reportage à Idlib (Syrie), au Prix Bayeux Calvados-Normandie des correspondants de guerre. Enregistrements : juin 21 - Entretiens : Édith Bouvier et Céline Martelet - Prises de son et montage : Céline Martelet - Prises de sons à Raqqa : Noé Pignède, Ali Al Matroud, Faris Thakhera, Mohamed Al Wawi - Musiques : Abdulsattar Ramadam (Oud à Raqqa), The Weeknd « Save your tears », Nea « Some say » - Réalisation et mixage : Charlie Marcelet - Illustration : Raphaëlle Macaron - Production : ARTE Radio
11/11/202121 minutes, 5 seconds
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Vous êtes bien chez Sophie (3/6)

20 ans après, la voix de l'amour est intacte Pour ne pas que les voix s’effacent, Sophie a gardé tous les messages du répondeur téléphonique de ses 20 ans. Des centaines de messages qui racontent les années 90, les amis, les amours et le temps qui passe... Désormais réalisatrice TV et radio, Sophie commente un montage dynamique de toutes ces voix. Elle revit ses vingt ans, ses histoires d’amour et ses débuts en radio… La saga s’achève à la veille de ses 40 ans, âge de la (pseudo) maturité professionnelle et amoureuse. Un formidable hommage aux pouvoirs du sonore et à la mémoire des voix, un documentaire exceptionnel à la recherche du temps perdu. Episode 3En 1993, Sophie débarque à la Maison de la Radio comme Alice au pays des merveilles. Une année charnière, où l’amour du son s’entremêle avec l’amour tout court. Un premier stage, une rencontre explosive et décisive avec l’homme idéal, qui, dans les années 90 à Paris et en tout cas pour Sophie, se devait forcément d’être brun, latino ou breton, avec des pattes et délicieusement torturé…  Enregistrements : 1989-1994, juin 18 - Mise en ondes & mix : Arnaud Forest - Texte, voix, réalisation : Sophie Simonot - Illustration : Quentin Faucompré - Production : ARTE Radio
9/20/201820 minutes, 17 seconds
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Vous êtes bien chez Sophie (2/6)

Mes amies, mes amants, le répondeur de mes vingt ans Pour ne pas que les voix s’effacent, Sophie a gardé tous les messages du répondeur téléphonique de ses 20 ans. Des centaines de messages qui racontent les années 90, les amis, les amours et le temps qui passe... Désormais réalisatrice TV et radio, Sophie commente un montage dynamique de toutes ces voix. Elle revit ses vingt ans, ses histoires d’amour et ses débuts en radio… La saga s’achève à la veille de ses 40 ans, âge de la (pseudo) maturité professionnelle et amoureuse. Un formidable hommage aux pouvoirs du sonore et à la mémoire des voix, un documentaire exceptionnel à la recherche du temps perdu. Episode 2Installée dans son studio de Bastille, Sophie, grâce à son répondeur, découvre la liberté. Après trois ans d‘amour fou avec Stéphane qu’elle a connu au lycée, la jeune femme - pour qui l’indépendance est la valeur suprême -  multiplie les aventures : Antony, Serge et Michel, fan de l’émission « Là-bas si j’y suis », et qui lui offre son premier enregistreur. Peu à peu, les K7 de son petit Sony viennent grossir la pile déjà grande des K7 du répondeur : Sophie découvre la radio...  Enregistrements : 1989-1994, juin 18 - Mise en ondes & mix : Arnaud Forest - Texte, voix, réalisation : Sophie Simonot - Illustration : Quentin Faucompré
9/13/201815 minutes, 39 seconds
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Vous êtes bien chez Sophie (1/6)

J'ai gardé les messages du répondeur de mes 20 ans Pour ne pas que les voix s’effacent, Sophie a gardé tous les messages du répondeur téléphonique de ses 20 ans. Des centaines de messages qui racontent les années 90, les amis, les amours et le temps qui passe... Désormais réalisatrice TV et radio, Sophie commente un montage dynamique de toutes ces voix. Elle revit ses vingt ans, ses histoires d’amour et ses débuts en radio… La saga s’achève à la veille de ses 40 ans, âge de la (pseudo) maturité professionnelle et amoureuse. Un formidable hommage aux pouvoirs du sonore et à la mémoire des voix, un documentaire exceptionnel à la recherche du temps perdu.Episode 1 Le répondeur téléphonique fait partie de ces inventions, comme le minitel ou le bi-bop, qui ont révolutionné la façon de vivre d’une génération. C’est d’ailleurs le tout premier objet acheté par Sophie pour meubler son tout premier studio, dans le quartier de la Bastille, à Paris, en 1989. Pour elle et pour sa bande de copains, cette machine est vite devenue la pierre angulaire de leur vie sociale. Mais pour Sophie, atteinte du "syndrome du sablier" qui ne veut pas que le temps s’écoule ni que les bons moment disparaissent, le répondeur a vite représenté beaucoup plus que tout ça… Enregistrements : 1989-1994, juin 18 - Mise en ondes & mix : Arnaud Forest - Texte, voix, réalisation : Sophie Simonot - Illustration : Quentin Faucompré
9/6/201810 minutes, 38 seconds
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Comme un pied (10)

En route pour la gloire (10/12) Grâce aux matches truqués, l'équipe de St-Murc monte et les joueurs découvrent les médias. L'agent (Christophe Brault) a déjà vendu Memed (Adama Diop) à un grand club. En vue d'un match décisif, entraînement sous les regards de la Présidente (Florence Loiret-Caille), du coach (Jackie Berroyer) et du préparateur physique (Paul Filippi). Une comédie d'amour et de crampons par Mariannick Bellot, Prix Europa 2011 et Prix Italia 2012 du meilleur feuilleton radio. Enregistrements : mai 10 - Texte : Mariannick Bellot - Stagiaire : Elodie Fiat - Réalisation : Arnaud Forest & Mariannick Bellot
12/7/20107 minutes, 58 seconds
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Comme un pied (9)

Un grand vide au vestaire (9/12) Alors que Wei (Yucheng Sun) attire les médias chinois, Memed (Adama Diop) voit Saint-Murc monter grâce aux matches truqués. La Tourette (Slimane Yefsah) a même recours au dopage. La Présidente (Florence Loiret Caille) et l'entraîneur (Jackie Berroyer) sont contents, l'agent et les commentateurs (Christophe Brault) aussi. Une comédie d'amour et de crampons par Mariannick Bellot, Prix Europa 2011 et Prix Italia 2012 du meilleur feuilleton radio. Enregistrements : mai 10 - Texte : Mariannick Bellot - Musique : Arnaud Forest - Scripte : Mathilde Guermonprez - Réalisation : Arnaud Forest & Mariannick Bellot
11/30/20109 minutes, 46 seconds
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Comme un pied (8)

La recette de l'amour foot (8/12) Lors d'une fête, La Tourette (Slimane Yefsah) remercie le club à sa manière. La présidente (Florence Loiret-Caille) invite Memed (Adama Diop) à passer chez elle. Elle parle wolof et sait cuisiner le maffé... Une comédie d'amour et de crampons par Mariannick Bellot, Prix Europa 2011 et Prix Italia 2012 du meilleur feuilleton radio.Home Goal (8/12 - The recipe for football love) - The story of a smalltown football club on a spectacular winning streak thanks to doping, match-fixing and organic biscuits. Enregistrements : mai 10 - Texte : Mariannick Bellot - Bruitages : Sophie Bissantz, Cyril Menauge - Réalisation : Arnaud Forest & Mariannick Bellot
11/23/20109 minutes, 13 seconds
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Comme un pied (7)

Karaoké à la chinoise (7/12) La Tourette (Slimane Yefsah) est amoureux ! L'autre grande nouvelle au club de St-Murc, c'est l'arrivée de Wei (Yucheng Sun), un joueur venu de Chine. Entre exilés solitaires loin de leur foyer, le courant passe avec Memed (Adama Diop) et le reste de l'équipe lors d'une soirée karaoké bien arrosée... Une comédie d'amour et de crampons par Mariannick Bellot, Prix Europa 2011 et Prix Italia 2012 du meilleur feuilleton radio. Enregistrements : mai 10 - Texte : Mariannick Bellot - Réalisation : Mariannick Bellot & Arnaud Forest
11/16/201010 minutes, 42 seconds
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Comme un pied (6)

La véritable histoire de Memed (6/12) Où l'on apprend comment Memed (Adama Diop) a quitté le Sénégal pour la France, et l'on entend la chaude ambiances des vestiaires du club avec le coach (Jackie Berroyer), La Tourette (Slimane Yefsah), Mon Chéri (Mustafa Abourachid), Dani (Jonathan Cohen), Frankie (Mohamed Rouabhi)... Une comédie d'amour et de crampons par Mariannick Bellot, Prix Europa 2011 et Prix Italia 2012 du meilleur feuilleton radio. Enregistrements : mai 10 - Texte : Mariannick Bellot - Préparateur physique : Paul Filippi - Réalisation : Mariannick Bellot & Arnaud Forest
11/9/20108 minutes, 37 seconds
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Comme un pied (5)

L'enfant qui rêvait au football (5/12) Le petit club de Saint-Murc monte dans le championnat, encouragé par les commentateurs sportifs (Christophe Brault). Memed (Adama Diop) raconte comment un petit joueur africain a débarqué un jour en France, provoquant la surprise chez ses partenaires, Frankie (Mohamed Rouabhi), La Tourette (Slimane Yefsah), Mon Chéri (Mustafa Abourachid) et Dani (Jonathan Cohen). Une comédie d'amour et de crampons par Mariannick Bellot, Prix Europa 2011 et Prix Italia 2012 du meilleur feuilleton radio. Enregistrements : mai 10 - Texte : Mariannick Bellot - Réalisation : Arnaud Forest & Mariannick Bellot
11/9/20106 minutes, 41 seconds
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Comme un pied (4)

Parier comporte des risques (4/12) L'agent qui gère sa carrière (Christophe Brault) met en garde Memed (Adama Diop) contre le mystérieux M. Yes. Celui-ci aurait déjà sévi dans les championnats européens, truquant des matches de foot pour gagner les paris. Memed rêve à sa famille restée à Dakar... Une comédie d'amour et de crampons par Mariannick Bellot, Prix Europa 2011 et Prix Italia 2012 du meilleur feuilleton radio. Enregistrements : mai 10 - Texte : Mariannick Bellot - Musique originale : Arnaud Forest - Réalisation : Arnaud Forest & Mariannick Bellot
11/2/20107 minutes, 17 seconds
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Comme un pied (3)

La montagne ça vous gagne (3/12) Memed (Adama Diop) et toute l'équipe de football de St-Murc (Slimane Yefsah, Jonathan Cohen, Mustapha Abourachid, Mohamed Rouabhi) font un stage en montagne. Pendant ce temps la Présidente (Florence Loiret-Caille) et l'entraîneur (Jackie Berroyer) rencontrent le roi des Chinois (Yucheng Sun) qui veut bien investir dans le club à condition de truquer les matches. Une comédie d'amour et de crampons par Mariannick Bellot, Prix Europa 2011 et Prix Italia 2012 du meilleur feuilleton radio. Enregistrements : mai 10 - Texte : Mariannick Bellot - Réalisation : Arnaud Forest & Mariannick Bellot
11/2/20107 minutes, 31 seconds
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Comme un pied (2)

Les ambitions de la Présidente (2/12) Memed (Adama Diop), jeune joueur de foot, débarque au petit club de St-Murc. Celui-ci est dirigé d'une main de fer par la Présidente (Florence Loiret-Caille), qui en a hérité de son père (Christophe Brault) avec une usine de gâteaux bio. Pour sauver ses affaires, la Présidente veut faire appel à un mystérieux investisseur, le roi des Chinois... Une comédie d'amour et de crampons par Mariannick Bellot, Prix Europa 2011 et Prix Italia 2012 du meilleur feuilleton radio.  Enregistrements : mai 10 - Texte : Mariannick Bellot - Bruitages : Sophie Bissantz & Cyril Menauge - Réalisation : Mariannick Bellot & Arnaud Forest
10/26/20105 minutes, 38 seconds
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Comme un pied (1)

Nouveau club pour Memed (1/12) Memed (Adama Diop) est un jeune joueur de football venu du Sénégal. Grâce à son agent (Christophe Brault), il débarque en France au petit club de St-Murc. L'entraîneur (Jackie Berroyer) lui présente l'équipe : La Tourette (Slimane Yefsah), Mon Chéri (Mustafa Abourachid), Dani (Jonathan Cohen), Frankie (Mohamed Rouabhi)... Une comédie d'amour et de crampons par Mariannick Bellot, Prix Europa 2011 et Prix Italia 2012 du meilleur feuilleton radio. Home Goal (1/12 - A new club for Memet) - The story of a smalltown football club on a spectacular winning streak thanks to doping, match-fixing and organic biscuits. Enregistrements : mai 10 - Texte : Mariannick Bellot - Prises de son : Samuel Hirsch & Arnaud Forest - Réalisation : Mariannick Bellot & Arnaud Forest
10/26/20109 minutes, 10 seconds